MAEVA DOMINA et ses esclaves
Honorer bottes et chaussures de la Domina est un art qui demande de l'intelligence et du discernement. Voici une étude de cas qui vous changera un…
Jeu 25 déc 2008
29 commentaires
Alors là, oui tu délires sous bottes! Comme tous les gens qui écrivent, tu as ta part de délire et ton imagination est débordante! En premier lieu, sur mon tableau de bord d'overblog, je vois toutes les adresses mail des personnes qui envoient des commentaires...... et le bouffon a une adresse IP , un mail, je sais qui il est, ensuite, tu te fais de bizarres représentations du chien feet qui est: un ancien "post soixante huit -art " intello, du genre insoumis et qui déteste l'uniforme et tout ce qui est en rapport avec une autorité institutionnelle, il n'a aucun fantasme homo, il n'a aucun fantasme de domination sur qui que ce soit! Voila, il fallait faire cette mise au point, le bouffon te rend fou à ce point? Moi, et même si parfois il abuse, je trouve qu'il met une petite note discordante à l'Adoration unanime.....un peu de piment.....tu veux que je supprime tous ses commentaires? Je te croyais plus solide......

MAEVA DOMINA - le 25/12/2008 à 19h38
sous bottes est à MOI....ne le touchez pas!

Master le bouffon - le 25/12/2008 à 20h08
De retour de cette fête familiale à cette heure tardive, j'ai senti "l'appel du blog" et ai résolu de ne pas aller me coucher avant de venir le consulter. C'était à la fois comme une attirance irrépressible et comme un Devoir que je ressentais profondément. Comme si, Maestra, Vous étiez présente en mon esprit et au creux de mon oreille pour me rappeler à mes devoirs et à Vos exigences.
Découvrant l'étude de cas, je m'empresse donc de tenter d'y répondre dès maintenant.
Découvrant l'étude de cas, je m'empresse donc de tenter d'y répondre dès maintenant.
amépié - le 26/12/2008 à 00h32
Que ferais-je donc ? Un réflexe naturel et instinctif me pousserait à me précipiter en me prosternant pour honorer et lécher Vos bottes, de manière peut-être irréfléchie. Mais un doute m'envahirait aussitôt car la forme de l'ordre (un substantif) me rappelle les ordres du chirurgien à ses assistants pendant qu'il opère : pinces ! scalpel ! fil ! etc. Je me dis donc que Maestra veut que je lui ôte ses bottes et que pour me signifier qu'Elle veut que je les lèche, Elle aurait employer un verbe : lèche ! nettoie ! etc.
amépié - le 26/12/2008 à 00h43
Alors, dans le doute et la peur de mal faire, je me résouds à m'ouvrir à ma Reine de ces doutes et de mon imparfaite compréhension : A Vos ordres Divina, qu'attendez-Vous de moi, je vais m'empresser de l'exécuter.
Je sais que cet aveu de faillibilité me coûtera une punition méritée, mais par respect pour Maestra, je préfère cela plutôt que commettre un impair. Cela fait partie de mon éducation, de ma formation : oser exprimer mes faiblesses ou mes incompétences pour que Maestra m'explique, me corrige et me rende meilleur à son service.
Je sais que cet aveu de faillibilité me coûtera une punition méritée, mais par respect pour Maestra, je préfère cela plutôt que commettre un impair. Cela fait partie de mon éducation, de ma formation : oser exprimer mes faiblesses ou mes incompétences pour que Maestra m'explique, me corrige et me rende meilleur à son service.
amépié - le 26/12/2008 à 00h51
Bonjour,
Moi personellement devant une telle injonction je me précipiterais à terre, à vos pieds le front à quelques centimètres de vos bottes et j'attendrais l'ordre suivant. je prendrais donc cet ordre comme un "au pieds".
J'espèrerais donc que ensuite viendrais les demandes de "lechez, embrassez" et tout autre caprices qu'il vous ferait de voir exhausser.
Bien à vous.
Moi personellement devant une telle injonction je me précipiterais à terre, à vos pieds le front à quelques centimètres de vos bottes et j'attendrais l'ordre suivant. je prendrais donc cet ordre comme un "au pieds".
J'espèrerais donc que ensuite viendrais les demandes de "lechez, embrassez" et tout autre caprices qu'il vous ferait de voir exhausser.
Bien à vous.
un fan - le 26/12/2008 à 01h11
Bonjour Maestra,
voici comme promis un petit compte rendu du livre dont je vous avais parlé... je profite des 2 jours de repos liés à cette période de noël que, pour tout vous avouer, je n’aime pas du tout... soit...
Quand je parle de compte rendu, c’est peut-être un peu prétentieux, car le livre en question aborde le fantasme dans son sens le plus large, je me contenterai donc d’aborder les deux sujets qui me semblent les plus liés à ce site, à dire : le fétichisme et les rapports sm dans leur sens le plus large(nonon, pas le gode ceinture...:-) lol...
De plus, le livre est en anglais, et pas spécialement simple, bon, lançons-nous : il est écrit par un psychiatre américain, Stoller, qui a apparemment passé sa vie à étudier les fantasmes et les comportements qui en découlent, ce qui est assez rare pour être remarqué. Personnellement, j’ai lu gilles Deleuze et Kraft Ebiing qui semblent en avoir fait une “spécialité, mais à part eux... Sans compter Freud évidemment, mais qui englobe çà dans une perspective beaucoup plus large.
Il existe dans ce livre une composante “morale” qui me dérange, mais le sujet m’interessant beaucoup, je suis passé au-dessus de çà, en essayant de “filtrer” les informations les plus objectives... tant est que j’en sois capable.
L’auteur fait d’abord la distinction entre deux “états”, même si les mots ne sont que des mots :
-la “déviance” où le fantasme agit comme un stimulant, pas strictement nécessaire, la finalité restant l’acte sexuel en lui-même,
-la “perversion” où le fantasme lui-même devient objet de plaisir, sans pour autant passer par l’acte sexuel proprement dit.
En d’autre terme, et pour le sujet qui nous occupe, et personnellement, je serais très curieux de connaître la réponse des personnes qui fréquentent ce site par exemple :
en shématisant, le fétichisme de la chaussure provoque-t-elle une excitation en l’objet lui-même (à dire la chaussure seule), ou uniquement lorsqu’il est porté... par une femme désirable ...
Cette excitation trouvera-t-elle satisfaction en “s’occupant” de l’objet de l’excitation c-à-d la chaussure uniquement, celle-ci dans ce cas devenant l’objet de désir, ou ceci sera-t-il un “prélude” à l’acte sexuel, et quand on parle d’acte sexuel, il est bien entendu qu’il peut être multiforme, l’objet de désir restant la personne portant la chaussure.
Ou pour prendre un autre exemple, dans le contexte masochiste, la douleur se suffit-elle à elle même pour crèer la jouissance, ou n’est-elle excitante que dans un contexte érotique lors de préludes, ou dans l’acte à proprement parlé qu’elle “sublime” ?
Ce qui n’est pas déjà si évident : car tout le monde aura tendance à dire que ce n’est qu’un plus, mais je serais curieux de savoir combien de personnes ici présentes désireraient possèder l’une de vos chaussures ou de vos bottes...
Combien refuseraient d’aller s’occuper “d’elles”, même sans que vous soyez présente ? En ressentant une grande excitation... La question reste posée...
Il y a ici une parenthèse intéressante en remarquant que la notion de déviance ou de perversité n’a aucune valeur tiré de son contexte culturel. En effet, être pédéraste dans la grèce antique faisait partie de la culture de l’époque et ne peut en aucun cas être considéré comme pervers ou “anormal” (je cite anormal dans son sens : en dehors de la norme, donc sans jugement de valeur). De même que le fétichisme des petits pieds pour les femmes orientales à une certaine époque était tout à fait dans la norme également.
Et la cause ?
L’auteur aborde le thème sous 3 angles différents :
-une composante physique, apparemment, il y aurait une prédisposition génétique chez certains sujets, images de scanner à l’appui, une partie du cerveau inhabituelle au niveau temporal est en activité lors de l’excitation associée à l’imagerie fantasmatique...
Saviez-vous qu’il existe certains animaux fétichistes ?
On donne l’exemple d’un singe excité par la vue d’une botte, qui se masturbe sur celle-ci, délaissant les femelles alentours ???
-une composante “acquise”, chère aux “behavioristes”... que je pense que l’on peut traduire en français par “comportementalistes”... à dire, et ceci rejoint la remarque faite plus haut sur le contexte culturel, que l’on ne peut pas considérer comme fétichiste à proprement parler un homme qui aime les talons hauts chez la femme, car celui-ci fait partie d’une certaine “culture” ordinaire au niveau érotique et pornographique tellement courante qu’elle peut être considérée comme banale car très répandue.
Elle créerait une espèce de réflexe de pavlov à grande échelle si on veut. D’après les comportementalistes, l’association “plaisir- comportement” resulterait d’expérience vécues dès l’enfance, mais à la grande différence des psychanalistes, elle ne serait PAS TRAUMATIQUE, en tout cas, le fait n’est pas “signifiant”.
Je suis ici obligé de vraiment résumer : à toute normalité correspond une “anormalité”, aucun phénomène ne s’arrête abruptement, le fameux “chapeau” de Gauss auxquels nous appartenons (nous adeptes du sm ou fétichistes) dans ses extrêmités si l’on veut.
Une personne ayant à un moment de sa vie associé le plaisir à un type de comportement différent de la “norme” aurait tendance à le reproduire pour y trouver du plaisir.
-le point de vue psychanalitique : le fantasme correspondrait à une (ou plusieurs) expériences traumatiques passées, associées à l’angoisse dans le sens le plus large.
Le fait de “revivre” ou “rejouer” cette expérience dans le présent en lui associant le plaisir permettrait de la “décharger”, très momentanément, de lui associer le plaisir, remède de cette angoisse primaire.
Transformer la peur, l’échec, le trauma en victoire, le plaisir en étant le synonime.
Je ne peux m’empêcher ici de penser à Deleuze qui décrit si bien le comportement du masochiste qui éduque, guide, tend à contrôler la situation au-delà des apparences dans son analyse de “La vénus à la fourrure”. Le monde de Masoch tellement différent de celui de Sade qui lui, prendra plaisir à maltraiter une victime à priori non consentante.
Le point de vue de l’auteur, plus précisément, est que la perversion serait la reviviscence d’un trauma sexuel visant l’identité sexuelle en elle-même et que grâce à cet acte, le passé et la charge émotive qui y est attachée est momentanémént apaisée, effacée, d’ou la nécessité de le répéter encore et toujours, l’apaisement n’étant que passager. L’acte pervers étant le fantasme (que l’on peut considérer comme un rêve éveillé) vécut dans le réel, aboutit.
Là où je ne suis pas d’accord est qu’il associe systématiquement dans l’acte proprement dit la notion de haine, de vengeance, mais bon, je ne vais pas me lancer dans ce débat qui mériterait bien une étude complète en soi !
Voilà, en espérant avoir été assez clair et pas trop long....
Une excellente journée.
Charles.
voici comme promis un petit compte rendu du livre dont je vous avais parlé... je profite des 2 jours de repos liés à cette période de noël que, pour tout vous avouer, je n’aime pas du tout... soit...
Quand je parle de compte rendu, c’est peut-être un peu prétentieux, car le livre en question aborde le fantasme dans son sens le plus large, je me contenterai donc d’aborder les deux sujets qui me semblent les plus liés à ce site, à dire : le fétichisme et les rapports sm dans leur sens le plus large(nonon, pas le gode ceinture...:-) lol...
De plus, le livre est en anglais, et pas spécialement simple, bon, lançons-nous : il est écrit par un psychiatre américain, Stoller, qui a apparemment passé sa vie à étudier les fantasmes et les comportements qui en découlent, ce qui est assez rare pour être remarqué. Personnellement, j’ai lu gilles Deleuze et Kraft Ebiing qui semblent en avoir fait une “spécialité, mais à part eux... Sans compter Freud évidemment, mais qui englobe çà dans une perspective beaucoup plus large.
Il existe dans ce livre une composante “morale” qui me dérange, mais le sujet m’interessant beaucoup, je suis passé au-dessus de çà, en essayant de “filtrer” les informations les plus objectives... tant est que j’en sois capable.
L’auteur fait d’abord la distinction entre deux “états”, même si les mots ne sont que des mots :
-la “déviance” où le fantasme agit comme un stimulant, pas strictement nécessaire, la finalité restant l’acte sexuel en lui-même,
-la “perversion” où le fantasme lui-même devient objet de plaisir, sans pour autant passer par l’acte sexuel proprement dit.
En d’autre terme, et pour le sujet qui nous occupe, et personnellement, je serais très curieux de connaître la réponse des personnes qui fréquentent ce site par exemple :
en shématisant, le fétichisme de la chaussure provoque-t-elle une excitation en l’objet lui-même (à dire la chaussure seule), ou uniquement lorsqu’il est porté... par une femme désirable ...
Cette excitation trouvera-t-elle satisfaction en “s’occupant” de l’objet de l’excitation c-à-d la chaussure uniquement, celle-ci dans ce cas devenant l’objet de désir, ou ceci sera-t-il un “prélude” à l’acte sexuel, et quand on parle d’acte sexuel, il est bien entendu qu’il peut être multiforme, l’objet de désir restant la personne portant la chaussure.
Ou pour prendre un autre exemple, dans le contexte masochiste, la douleur se suffit-elle à elle même pour crèer la jouissance, ou n’est-elle excitante que dans un contexte érotique lors de préludes, ou dans l’acte à proprement parlé qu’elle “sublime” ?
Ce qui n’est pas déjà si évident : car tout le monde aura tendance à dire que ce n’est qu’un plus, mais je serais curieux de savoir combien de personnes ici présentes désireraient possèder l’une de vos chaussures ou de vos bottes...
Combien refuseraient d’aller s’occuper “d’elles”, même sans que vous soyez présente ? En ressentant une grande excitation... La question reste posée...
Il y a ici une parenthèse intéressante en remarquant que la notion de déviance ou de perversité n’a aucune valeur tiré de son contexte culturel. En effet, être pédéraste dans la grèce antique faisait partie de la culture de l’époque et ne peut en aucun cas être considéré comme pervers ou “anormal” (je cite anormal dans son sens : en dehors de la norme, donc sans jugement de valeur). De même que le fétichisme des petits pieds pour les femmes orientales à une certaine époque était tout à fait dans la norme également.
Et la cause ?
L’auteur aborde le thème sous 3 angles différents :
-une composante physique, apparemment, il y aurait une prédisposition génétique chez certains sujets, images de scanner à l’appui, une partie du cerveau inhabituelle au niveau temporal est en activité lors de l’excitation associée à l’imagerie fantasmatique...
Saviez-vous qu’il existe certains animaux fétichistes ?
On donne l’exemple d’un singe excité par la vue d’une botte, qui se masturbe sur celle-ci, délaissant les femelles alentours ???
-une composante “acquise”, chère aux “behavioristes”... que je pense que l’on peut traduire en français par “comportementalistes”... à dire, et ceci rejoint la remarque faite plus haut sur le contexte culturel, que l’on ne peut pas considérer comme fétichiste à proprement parler un homme qui aime les talons hauts chez la femme, car celui-ci fait partie d’une certaine “culture” ordinaire au niveau érotique et pornographique tellement courante qu’elle peut être considérée comme banale car très répandue.
Elle créerait une espèce de réflexe de pavlov à grande échelle si on veut. D’après les comportementalistes, l’association “plaisir- comportement” resulterait d’expérience vécues dès l’enfance, mais à la grande différence des psychanalistes, elle ne serait PAS TRAUMATIQUE, en tout cas, le fait n’est pas “signifiant”.
Je suis ici obligé de vraiment résumer : à toute normalité correspond une “anormalité”, aucun phénomène ne s’arrête abruptement, le fameux “chapeau” de Gauss auxquels nous appartenons (nous adeptes du sm ou fétichistes) dans ses extrêmités si l’on veut.
Une personne ayant à un moment de sa vie associé le plaisir à un type de comportement différent de la “norme” aurait tendance à le reproduire pour y trouver du plaisir.
-le point de vue psychanalitique : le fantasme correspondrait à une (ou plusieurs) expériences traumatiques passées, associées à l’angoisse dans le sens le plus large.
Le fait de “revivre” ou “rejouer” cette expérience dans le présent en lui associant le plaisir permettrait de la “décharger”, très momentanément, de lui associer le plaisir, remède de cette angoisse primaire.
Transformer la peur, l’échec, le trauma en victoire, le plaisir en étant le synonime.
Je ne peux m’empêcher ici de penser à Deleuze qui décrit si bien le comportement du masochiste qui éduque, guide, tend à contrôler la situation au-delà des apparences dans son analyse de “La vénus à la fourrure”. Le monde de Masoch tellement différent de celui de Sade qui lui, prendra plaisir à maltraiter une victime à priori non consentante.
Le point de vue de l’auteur, plus précisément, est que la perversion serait la reviviscence d’un trauma sexuel visant l’identité sexuelle en elle-même et que grâce à cet acte, le passé et la charge émotive qui y est attachée est momentanémént apaisée, effacée, d’ou la nécessité de le répéter encore et toujours, l’apaisement n’étant que passager. L’acte pervers étant le fantasme (que l’on peut considérer comme un rêve éveillé) vécut dans le réel, aboutit.
Là où je ne suis pas d’accord est qu’il associe systématiquement dans l’acte proprement dit la notion de haine, de vengeance, mais bon, je ne vais pas me lancer dans ce débat qui mériterait bien une étude complète en soi !
Voilà, en espérant avoir été assez clair et pas trop long....
Une excellente journée.
Charles.
bootshine - le 26/12/2008 à 02h32
Divine Maeva,
Moi, je me prosternerais et j' embrasserais vos bottes.
Les retirer me semble t-il n' est pas ce que vous attendez.
Respectueusement,
paillasse
Moi, je me prosternerais et j' embrasserais vos bottes.
Les retirer me semble t-il n' est pas ce que vous attendez.
Respectueusement,
paillasse
paillasse - le 26/12/2008 à 06h30


sous bottes - le 26/12/2008 à 08h08
Tout tremblant du désir de vous satisfaire
Mais aussi de la crainte de vous déplaire
Nu je suis, offert et prosterné à vos pieds.
A votre ordre je ne veux que vous en doutiez,
Je n'aspire qu'a obéir sans hésiter.
Mais que les Dieux me laissent deviner
En m'inspirant justesse dans ma reflexion
Les désirs là proclamés par cette injonction!
De vos bottes suffit-il d'en lècher le cuir
Si assidument jusqu'à le faire luire,
Ou bien de vos divins pieds enfin dénudés,
A l'esclave impudent sans qu'il l'ait demandé
Est-il permis d'en goûter les parfums grisants
Et de prendre là un plaisir exorbitant?