MAEVA DOMINA et ses esclaves
Comment allez Vous Maestra, c'est tout ce qui compte. Une toute petite réponse ici me ravirait. J'espère que Vous
allez bien Vous me manquez. Bonne journée
Bonjour Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Je suis très triste de voir que les magnifiques photos ont disparus. Heureusement, il reste les textes et les superbes vidéos pour nous consoler…
Je suis anéanti de savoir que le blog est « mort », il était tout pour moi.
Maîtresse MAEVA, je vous ai envoyé deux mails dont un qui contient la partie 22 de ma monographie.
Je ne sais pas si vous consultez encore vos mails mais vous ne m’avez pas répondu. Maîtresse MAEVA, vous savez à quel point vous êtes importante pour moi !!!
Je vous en supplie à genoux, je vous implore, ne m’abandonnez pas, j’ai besoin de rester en contact avec vous. Je vous en prie, Maîtresse MAEVA, accordez moi cette faveur s’il vous plait…
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.
bonsoir maistrese maeva j'espere que vous allez bien pour quoi cette longe absance? vos pieds me manquant et manqunet surmant a tous vos chien au soumis vertuels je pense qu'ils sont des milliers a se prostener devant leurs ecran tout comme moi je meur d'envie de routrouve vos cliche vos pieds sur le visage de votre chien feet avec tout mes respects pour vos sublimes pieds
Autres auteurs - Histoire 7
Retrouvailles...
Voici une histoire qui, au premier abord, pourrait sembler banale. Des retrouvailles, quoi de plus commun ? Messieurs les machos, vous apprécieriez voir réapparaître une lointaine conquête ; vous l'imagineriez, sa mine déconfite et désireuse d'implorer votre pardon. Aussi, lorqu'elle vous paraît plus sûre d'elle que jamais, vous dites-vous, avec votre orgueuil maladif, qu'elle vous sera plus dévouée, plus aimante encore qu'auparavant.
"Amour, amour, quand tu nous tiens !" seront alors vos pensées...
... et vengeance.
A moins qu'il ne s'agisse d'une manoeuvre bien cachée ? Une vengeance, par exemple... Qui vous ferait tomber dans le piège de votre désir. Une bien douce vengeance, juste revers à la médaille portée depuis trop longtemps par les hommes. Au tour des femmes de s'amuser, de commander, de profiter et même d'abuser. Et si cela contente leurs serviteurs zélés, couchés sous leurs pieds, ma foi, un esclave heureux ne peut être que plus obéissant...
Cette histoire n'est malheureusement pas encore d'actualité dans nos moeurs. J'espère cependant qu'elle aidera à les faire évoluer. La plume est en effet l'un des outils culturel les plus puissants dans notre monde, et ce depuis la naissance même de la Civilisation.
Bonne lecture,
latrine.
Evidemment, la surprise était de taille. Je n'aurais jamais imaginé que Karen aurait repris contact avec moi après six ans de séparation. Notre relation n'avait pas duré un an. A l'époque, elle n'avait absolument pas compris mon attirance pour ses pieds et notre relation avait tourné court en raison d'une complète incompréhension mutuelle. Elle m'avait jeté dehors de chez elle après une brève dispute et j'étais resté seul depuis ce temps, désabusé et amer.
Lorsqu'elle m'a appelé chez moi, hier soir, je suis d'abord resté incrédule, partagé entre le plaisir de l'entendre de nouveau et la méfiance. Elle
était très sure d'elle, comme toujours. Elle n'a pas parue surprise de me savoir toujours célibataire. Elle aussi vivait seule, depuis une séparation récente. Nous avons bavardé agréablement,
comme si nous ne nous étions jamais vraiment perdus de vue. Puis elle m'a invité chez elle. J'ai accepté, ravi. La solitude me pèse. A présent, avant de sonner à sa porte, je ressens une vague
appréhension. Elle a 32 ans maintenant, j'en ai 34. N'avons-nous pas trop changé après toutes ces années ? Serons-nous vraiment heureux de nous revoir, ou déçus de ne pas retrouver l'image de
l'autre que nous conservions dans notre souvenir ?
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Karen est toujours aussi ravissante, encore plus féminine que lorsque nous nous sommes séparés. Je la regarde, un peu gêné, lui tend les fleurs que j'ai acheté pour elle. Elle sourit. Elle est belle comme une louve. Légèrement vêtue, séduisante en diable. Pieds nus. Je remarque ce détail instantanément. D'abord bien sur parce que c'est chez moi un réflexe, en bon fétichiste que je suis, de regarder les pieds des femmes. Mais surtout parce qu'elle ne marchait jamais pieds nus lorsque nous vivions ensemble... L'ambiance est un peu étrange. Feutrée, en raison des lumières tamisée. Pleine d'émotion me semble-t-il en raison de ces échecs sentimentaux qui nous ont d'abord éloignés puis réunis.
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Nous sommes installés dans son superbe canapé. Elle s'est assise un peu à l'oblique, croisant les jambes, balançant un ravissant pied nu sous mon regard avide. Elle parle calmement. De la vie, de l'amour. Des hommes. Son ton se fait plus tendu, son regard plus dur. Puis elle se calme, pensive. Du bout de l'orteil, elle effleure distraitement le bord de la table basse. Ses ongles tapent contre le plateau de verre avec un petit bruit mat. Son regard se détourne, elle semble rêveuse. J'en profite pour dévorer du regard son pied alléchant. Ses pieds m'ont tellement manqué ! Idéalement proportionnés, tendres à embrasser, doux à caresser, ils ont été tout mon univers pendant les quelques mois où nous vivions ensemble. Karen ne se préoccupait pas particulièrement de cette partie de son corps : de fait, elle ne se vernissait presque jamais les ongles et les coupaient quand elle avait le temps. Ce soir encore, ses jolis ongles lisses et brillants sont encore un peu trop longs, certains sont mal taillés. Un peu sales même. Mais leur pouvoir d'attraction sur moi est resté le même.
"Toujours fan de mes pieds ?"
Je sursaute, puis la regarde avec un petit sourire gêné
"Je crois que je ne changerai plus maintenant..."
Karen répond à mon sourire puis pivote pour me faire face. Elle tend sa jambe vers moi, puis pose sans douceur un pied sur ma cuisse, en conquérante. A mon tour je me tourne légèrement vers elle, me rapprochant légèrement. Elle inflitre le bout de son pied sous mon tee-shirt, qu'elle parvient à soulever. Engageant son pied plus fortement, elle entreprend de dégager le tee-shirt de mon pantalon. Enfin, d'un coup sec, elle l'arrache hors de mon pantalon
"Enlève-ça" ordonne-t-elle.
Docile, je fais ce qu'elle demande. Je n'ai jamais su lui résister...
Me voici torse nu. Karen plaque ses deux pieds nus à plat sur ma poitrine et pousse un petit soupir satisfait :
"Enfin... j'avais envie d'essuyer mes pieds sales sur la poitrine d'un homme..."
Elle me regarde avec un air de défi "Je peux ?" Surprenante entrée en matière...
Sans attendre, elle commence à frotter ses pieds fortement contre ma poitrine, d'un mouvement alternatif.
"J'ai gardé mes pieds sales juste pour les nettoyer sur toi, j'espère que tu apprécies le privilège ?"
Son ton est devenu moqueur, presque sarcastique, mais je suis incapable de me rebeller. Ses pieds sont un peu sales, poussiéreux, c'est vrai, mais je ne parviens pas à trouver la volonté de la faire cesser ce jeu dégradant. Malgré la douleur de la friction, le contact chaud de ses plantes de pieds contre ma peau me paraît un vrai délice.
"Les hommes sont juste bons à ça après tout..." poursuit-elle "J'aurais dû m'en rendre compte plus vite, mais j'étais si inexpérimentée... Vous êtes des porcs, des lâches, des égoïstes... Vous avez besoin d'être matés, vous avez besoin d'apprendre à souffrir..."
De l'ongle du gros orteil, elle me griffe la poitrine. Profondément. Lentement. Elle me regarde souffrir avec gourmandise. Je gémis et essaye de l'empêcher de poursuivre, sans succès. Ironique, elle lève un pied à hauteur de mon visage et le fait pivoter devant mes yeux.
"Joli pied, pas vrai ? Tu n'aurais pas envie de l'embrasser ? Non, j'ai une meilleure idée ! Sens-le ! Allez sens mon pied !"
Je tente de protester, pour la forme. Pour seule réponse, elle me plaque son pied en pleine figure :
"Je t'ai dit de sentir mon pied, chien ! Obéis !"
Quel changement ! Karen a toujours été dotée d'un très fort caractère, mais jamais elle ne m'avait ainsi traité par le passé ! Mes pensées se transforment entièrement à mesure que l'odeur douceâtre qu'elle m'impose de respirer s'insinue dans mes narines. Et voilà que j'oublie ma fierté, que j'oublie l'ironie et les violences verbales que me fait subir mon ancienne petite amie. J'enfonce le bout de mon nez juste sous les orteils de Karen et j'inspire doucement en fermant les yeux...
"Plus fort ! Respire à pleins poumons !"
Cette odeur est incroyablement entêtante, envoûtante. Je me laisse imprégner par elle. Je respire encore plus profondément... Toujours plus
Bonjour Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Je suis très très inquiet et très triste de ne plus avoir de vos nouvelles.
Je vous ai envoyé une offrande mais votre silence me tue à petit feu...
Maîtrese MAEVA, je vous supllie à genoux, je vous implore, donnez moi s'il vous plait juste un peu de vos nouvelles.
Je vous remercie d'avance.
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.
J'ai bien reçu ton offrande et je t'en remercie... je n'ai pas du tout la tête à tout cela en cette période, il ne faut pas m'en vouloir...ce blog est mort, oublie-le et vis ta vie,
selon ta nature profonde....suis mon conseil: il faut vivre en phase avec sa nature profonde....bisous
Bonjour Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages
Je vous remercie sincèrement de m’avoir rassuré en prenant le temps de me répondre. Je suis heureux de savoir que vous avez bien reçu mon offrande. Comme vous avez pu le constater, j’ai écrit des choses très personnelles, j’avais peur que le colis soit perdu !!!!
Aimez vous les chocolats Léonidas ?
J’espère que vous allez bien. Je comprends que vous n’ayez plus la tête et le goût pour cela en ce moment. Je respecte votre décision d’arrêter le blog même si cette décision me rend triste.
J’ai besoin de poursuivre l’écriture de ma monographie. Maîtresse MAEVA, n’avez vous pas envi de connaître la suite de mon histoire ?
Avez vous lu la dernière partie que je vous avais envoyé sur votre mail ?
Maîtresse MAEVA, je me permets de vous demander si votre adresse mail est encore active, puis je continuer à vous écrire à cette adresse ?
Divine MAEVA, je me permets également de vous demander se que vous pensez par rapport à se que je vous ai demandé dans mon courrier par rapport à vos sublimes photos et vidéos.
Si vous saviez comme je vénère vos divins pieds. Vous m’aviez donné l’immense honneur de me confier vos sublimes bottines rouges. Si vous saviez comme je les honore, comme je les lèche, j’aime tellement être votre lèche botte…
Maîtresse MAEVA, mon fétichisme est présent en moi plus que jamais. Je sais que je dois vivre en accord avec ma nature profonde. J’avais trouvé la bonne personne, la vie me l’a reprise. Je sais que désormais ma vie sera toujours compliquée mais je suis bien décidé à trouver celle qui me fera ramper de nouveau à ses pieds, j’en ai tellement besoin…
Comme, je vous l’ai dit, depuis quelques semaines, je passe beaucoup de temps avec une amie. Je prends beaucoup de plaisir, je me détends mais jamais je n’oserai lui avouer mon secret, je dois trouver une inconnue…
Bien entendu, mon rêve ultime est d’être à vos divins pieds, Maîtresse MAEVA. Je sais bien que je ne pourrai malheureusement jamais vivre à vos merveilleux pieds, la place est déjà prise.
Mais si un jour, j’avais l’incroyable honneur et privilège de pouvoir passer même que quelques minutes à vos divins pieds, je serai l’homme le plus heureux du monde. C’est sincère, je garde ce rêve en moi…
Maîtresse MAEVA, vous représentez tellement pour moi, vous avez pris une place considérable dans ma vie. J’accepte la fin du blog mais j’aimerai rester en contact avec vous.
Maîtresse MAEVA, je vous en supplie à genoux, m’autorisez vous à continuer de vous écrire par mail ? par courrier ? m’autorisez vous à continuer de vous envoyer des offrandes ?
J’ai une immense faveur à vous demander : J’aimerai tellement pouvoir discuter par téléphone avec vous. Maîtresse MAEVA, m’autoriseriez vous à vous téléphoné un jour ?
Maîtresse MAEVA, j’ai tellement besoin de vous !!!!
Je vous en supplie, répondez moi, je vous remercie d’avance de tout mon cœur !!!
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.
Salut princesse alors je viens de voir que tu jette l eponge remarque tu a tout a fait raison avec tout ses tares tu risquai de devenir comme eux bref peut etre a un de ses jours moi je repars debut juin je te souhaite bon vent ma belle et qui sait nos chemin se croiseront peut etre un jour
bises
TON PIRATE
Bonjour Maitresse Maeva , j 'aimerais participer à votre blog mais aucune photo n'est visible . Difficile de commenter et de réagir par rapport aux photos , dommage . Faut il s inscrire ? y a t 'il une procedure ? une aurorisation a vous demander ? un mauvais réglage de mon navigateu ? j 'ai aussi un modeste blog sur skyrock , j 'ai un peu honte car c 'est plutot pour les jeunes ! enfin voici : http://lechepiedsdegirls.skyrock.com/ ma chaine sur you tube c'est :http://www.youtube.com/user/VENEREPIEDSFEMMES
en espèrant une réponse de votre part , un dessous de semelles pour femmes .
Yan , humbles bise sur vos semelles .
http://lechepiedsdegirls.skyrock.com/
bjr maitresse je voudrais savoir si connaisser des maitresse dominatrice a lile de la réunion
Bonjour Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Je me permets de prendre de vos nouvelles, vous me manquez tellement.
Aujourd'hui, c'est l'ouverture de la coupe du monde. j'aimerai tellement vivre la coupe du monde à vos divins pieds qui me manquent tellement.
Je vous ai transmis par mail un nouveau texte.
Je vous en supplie, je vous en implore, répondez moi s'il vous plait, Maîtresse MAEVA.
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.