MAEVA DOMINA et ses esclaves
A 10h15 précise, feet franchit la porte du chalet cossu de MAEVA. Il voulut lui faire la bise, Elle le repoussa avec fermeté et lui dit: "Aux
pieds!!!".
feet s'exécuta et salua la Domina en se prosternant devant Elle, en lui léchant les orteils, Elle marchait pieds nus ...il
comprit qu'Elle exigeait ce matin qu'il manifeste tout de suite une grande servilité à Son égard. Ils prirent ensemble un petit déjeuner qu'il termina sous la table de la cuisine,
Elle avait froid aux pieds...Il dut ensuite la chausser, la déchausser, Elle avait sorti toutes Ses paires de souliers, les plus négligées et sales
furent nettoyées par l'esclave. Il put aussi comparer la douleur engendrée par les différents talons, sa marque cicatrisée depuis peu se remit à saigner. Elle lui ordonna ensuite de faire du
ménage, exigeant sa nudité complète, il ne portait que son collier, se déplaçait à quatre pattes, Elle l'humiliait et lui donnait des ordres. Elle le fouetta pour le plaisir, le pietina
longuement....Elle exigea ensuite sa servitude orale, exigeant qu'il repose sa tête sur le canapé, Elle s'asseya sur la visage soumis, ondulant des fesses et du bassin...la langue de l'esclave
allait et venait...prolongement naturel de la raie de Ses fesses...la séance dura pendant tout le journal télévisé qu'Elle regardait avec attention. L'esclave avait le son, pas les
images...
"A midi, j’avais rangé la vaisselle, passé l’aspirateur, serpillé le carrelage de la cuisine (à « l’ancienne » comme Elle l’exigeait,
c’est à dire à quatre pattes, Elle m’avait interdit le balai car celui ci induisait la position debout et j'étais rarement debout en Sa présence), au pied de Son fauteuil, je frottais le
carrelage plutôt maculé, Elle taquinait ma bouche d'un pied nu et glacé, Elle avait posé l'autre pied - glacé aussi - sur mon dos, c'était délicieusement humiliant ! Il faut savoir
qu'Elle ne supportait pas une moquette poussiéreuse, un carrelage douteux, avec des miettes… surtout depuis qu'Elle m'avait à Sa botte! Elle marchait la plupart du temps pieds nus dans Sa
vaste maison, et Elle faisait régulièrement le test : si Ses plantes de pieds étaient sales, c’était de la faute de ma négligence, de mon laisser-aller naturel, de ma paresse
crasse (comme Elle le disait savamment :consubstantielle à la condition masculine !). Pour réparer cette offense, je devais illico lui nettoyer les pieds en les léchant jusqu’à
disparition de toute trace de poussière, et me mettre tout de suite au ménage. "
Ainsi était ma nouvelle vie. J'étais très bien ainsi.