MAEVA DOMINA et ses esclaves

Je suis de retour et je constate que le poème de Bootshine n'a pas été apprécié à sa juste valeur, et pourtant c'est très bien écrit, et c'est de plus bien vu et très juste, je ne comprends pas pourquoi vous n'avez pas réagi, ou alors ce serait la jalousie de le voir publié qui vous dicterait cette attitude mutique? Qu'attendez vous pour en faire autant, écrire des poèmes, des scénaris, des suggestions originales, encore une fois, je veux ce blog participatif et mutuel, ouvert aux personnes sincères et de bonne volonté qui sont majorité, je ne parle pas d'un ou deux débiles frustrés qui utilisent le blog comme exutoire à leur médiocrité.....


J'ai rencontré feet en juin 2007, trois mois plus tard, le 22 septembre, nous signions un contrat D/s (voir le contrat dans les pages statiques en haut à droite du blog...), beaucoup d'obligations et de contraintes pour lui, tous les droits (ou presque...) pour Moi; de ce fait, il s'efforce d'agir en conformité avec le contenu du contrat et de ses nombreuses annexes. Nous fêterons cet anniversaire le week end prochain chez lui, j'ai l'intention de "marquer le coup", il devra être en forme et endurant, vous pouvez Me faire confiance......

Mer 17 sep 2008 9 commentaires
Heureux anniversaire déja à votre superbe couple ouvert et très bien assortis. J'attend avec une certaine impatience les clichés de votre soirée pour fêter cet anniversaire mais je sais bien que l'on peut compter sur vous pour nous faire partager ces moments, et ce malgré c'est vrai notre petit manque de réactions sur certains articles. Bien à vous.
un fan - le 17/09/2008 à 12h57
Bonsoir Maitresse maeva..... que du bonheur de vous retrouvez..... et je suis de tout coeur avec vous par la pensée pour cet anniversaire..... au plaisir de voir et de lire ce joyeux évenement.... respectueusement jean-marc 0676213932
jean-marc - le 17/09/2008 à 18h11
Merci les amis pour votre douceur....à demain...
MAESTRA MAEVA - le 17/09/2008 à 21h51
Bonjour à Vous Madame ainsi qu'à feet, je ne viens pas souvent voir Votre blog et à tort,il est vraiment impressionnant tant en qualité qu'en quantité, merci à vous deux. A défaut de Vous écrire quelque chose qui Vous soit spécialement destiné, je Vous mets ci-dessous une copie d'une de mes histoires que j'ai écrite il y a quelque temps. Si cela Vous convient, je serais honoré de Vous en faire une juste pour Votre blog cette fois. (je Vous sais gré si tel est Votre désir, de me donner une situation de départ, un thème global voire un mot) L'histoire : Je m’appelle Steven, je suis célibataire, mon histoire commence de façon très banale, j’ai une collègue de travail, Sophie, une superbe femme brune, la trentaine, 1m75, souvent habillée de façon très sexy mais jamais vulgaire (jupe, talons haut, bas noirs…..), avec qui je devenu ami. De temps en temps on va discuter devant un café après le travail, on parle de tout et de rien, on refait le monde, on parle de nos vies, de nos envies, de nos fantasmes………et c’est là que mon histoire allai basculer,. Lors d’une conversation parmi tant d’autres je lui ai parlé de mes fantasmes de soumission, de mes désirs de servir une femme……elle a été surprise puis amusée d’apprendre çà, d’autant que dans la société je suis chef d’équipe et que cela contraste donc avec l’image qu’elle avait pus se faire de moi, mais comme on a pris l’habitude de parler de tout sans tabou la conversation à continuée sur d’autres sujets et une demi heure plus tard nous sommes rentrés chacun chez nous. Le vendredi suivant, après la journée de travail Sophie m’a proposé de passer boire un verre chez elle pour marquer le début de mes congés. On est en février et mes dernières vacances remontaient à l’été, j’allais profiter de ce repos tant attendu…….enfin je croyais me reposer. Tout a été très vite, je suis arrivé chez elle, elle m’a servi un verre, nous avons discuté un peu puis au bout de quelques minutes, j’ai été pris d’un coup de barre, je me suis levé pour prendre congé de Sophie quand je suis tombé à ses pieds, mes jambes incapables de me porter, rapidement je me suis mis à ne presque plus sentir mes muscles……..paniqué j’allais demander l’aide de Sophie quand je l’ai vu rire de ce qui m’arrivais……..je ne comprenais pas, au moment ou j’ai voulu parlé, elle m’a dit ; - Ne t’inquiète pas, ce n’est que passager, dans quelques heures çà ira mieux, tu n’imagines pas tous les effets différents que l’on peut obtenir avec des drogues, je trouvais celui là plutôt sympa, te mettre à ma merci en te gardant conscient……… - Comment çà ? balbutiais-je - Tu ne te souvient pas l’autre jour quand tu m’as parlé de tes fantasmes, me dit elle ? - Non…..enfin……..pas trop……… On discutait de tellement de choses que je n’avais pas prêté plus attention à ce passage que s’il s’était agit de parler du temps qu’il faisait ce jour là. - Je vais te rafraîchir la mémoire, tu désirais servir une femme, te soumettre à elle……….. - Euh oui……… - Eh bien je vais t’exaucer, enfin ce n’est pas vraiment moi, tu verras tout à l’heure, j’ai une surprise pour toi. Sur ce, elle m’a mis un bâillon sur la bouche, en me disant : - Ne t’inquiète pas, je t’ai organisé des vacances comme tu n’en a jamais eu, elle vont être inoubliables, 2 semaines de pur bonheur. Puis elle s’est servi un autre verre, s’est confortablement assise dans son fauteuil pour le déguster tout en me regardant de façon amusée en regardant sa montre de temps en temps. J’essayais de bouger mais je n’arrivais même pas à soulever un bras, le simple fait de remuer mes doigts me demandait des efforts incroyables, je ne sentais plus mes membres. Ce qui m’arrivais et le peu de choses qu’elle m’avait dites me trottaient dans la tête, et l’inquiétude grandissait en moi petit à petit. Après de longues minutes, j’entendis une voiture s’arrêter devant la maison, puis quelqu’un sonna à la porte. Sophie se leva pour aller ouvrir la porte, elle avait vraiment des jambes magnifique et de ma position j’avais tout le loisir de les voir, je dis bien de les voir car cela ne procurait chez moi aucune sensation, sûrement les effets de la drogue, ajouter à cela le stress qui montait en moi, je n’ai pas vraiment pris le temps et le plaisir de contempler ses pieds et ses jambes magnifiques. La porte s’ouvrit, j’étais le visage contre le sol, je ne voyais pas qui était là. Sophie dit : - Bonjour les filles, pile à l’heure, le colis est prêt, je vous attendais Puis une douce voix de féminine qui m’était inconnue répondit : - Bonsoir Sophie, je suis heureuse de te voir depuis le temps, nous sommes impatientes de voir notre colis « les filles….. », « nous…..», « notre…..», je sentais la pression monter, combien étaient elles, qui étaient elles, qu’allait il se passer, je ne comprenais rien. J’entendais le cliquetis des talons aiguille sur le sol et rapidement je me suis retrouvé face à trois superbes paires de chaussures noires, talons haut, l’une à brides, l’autre des bottines et les mules de Sophie, puis essayant de lever les yeux, je vis deux superbes jumelles bondes, l’une habillée d’un long magnifique manteau de fourrure blanc et sa sœur d’une non moins magnifique et aussi longue fourrure noire sur laquelle ruisselait leurs chevelures d’or, dans d’autres circonstances j’aurais pus me croire au paradis. Elles étaient à peu près de la même taille que Sophie, les yeux d’un bleu dans lequel j’aurais bien voulu essayer de me noyer si l’une des deux sœurs ne m’avais pas mis sa bottine sur la tête pour me plaquer le visage contre le tapis en disant : - Eh bien, c’est nous que tu regardes comme çà, en voilà des façons. - Ne t’inquiète pas, lui dit sa sœur, avec un petit dressage on va apprendre à cette chose à rester à sa place. - « Cette chose ? » demanda Sophie, qu’entends tu par là Angélique demanda t elle à l’une des deux jumelle - Eh bien oui, comment veux tu le nommer, même le paillasson sur lequel je me suis essuyé les semelles en arrivant mérite plus d’égard, n’est-ce pas Aurélie ? - Mais c’est évident lui répondit sa sœur, je lui fait déjà l’honneur de poser ma botte sur sa tête malgré son impertinence, dans 15 jours il me sera reconnaissant pour mon geste, ma bonté me perdra. - C’est ta nature, tu es comme çà, on ne te changera plus dit Angélique, ce n’est pas comme « paillasson » - « Paillasson » ? dit Sophie - Oui je sais que c’est encore trop bien pour cet homme mais çà ira. - C’est sur dit Sophie, mais on cause on cause, laissez moi vous débarrasser de vos fourrures les filles, vous allez bien prendre un café avant de reprendre la route avec votre… paillasson….. Ce sur quoi elle se mirent à rire toutes les trois. Aurélie enleva sa botte de ma tête, il était temps, la position était très inconfortable et m’empêchait de respirer. Pendant que Sophie ramenait le café Angélique demanda à sa sœur : - bon, on déballe notre colis soeurette ? - Oh oui, oh oui, je veux voir de plus près notre paillasson, allons-y Je ne comprenais pas ce qu’elles disaient mais aussitôt elles passèrent à l’acte et là j’ai vite compris, pantalon, chemise, chaussettes, je me suis retrouvé sur le dos en slip en une minute, trop faible pour faire quoi que ce soit, la peur laissa la place à la honte quand je vit Sophie revenir de la cuisine. Elle me regarda et fut prise d’un fou rire en me voyant comme çà, elle dit : - Eh bien, je ne te croyais pas aussi grassouillet Stev….euh paillasson Et toutes les 3 sont parties dans un nouveau fou rire, la honte continuait de monter en moi - Tu arrive juste au bon moment Sophie, il nous reste le meilleur à déballer dit Angélique qui dans la foulée m’enleva mon slip laissant découvrir un sexe minuscule, je n’étais déjà pas très gâté par la nature mais l’effet de la drogue n’arrangeait rien et toutes les trois sont reparties dans un long fou rire. Je suis en train de vivre la honte de ma vie étais je en train de penser, je ne savais pas ce que me réservais le futur………. - Eh bien j’en découvre vraiment un peu plus tous les jours sur toi paillasson dit Sophie qui prenait un malin plaisir à m’appeler comme çà Apres quelques instants Angélique me mis un bandeau sur les yeux, m’attacha les mains dans le dos et me lia les chevilles : - Bon voilà une bonne chose de faite, on a bien mérité notre petit café dit-elle - Venez, c’est prêt dit Sophie. Eh bien les filles, çà fait bien longtemps que je n’avais pas ris comme çà, quelle soirée. Quelle est la suite du programme pour votre paillasson ? - On va l’emmener chez nous où on lui réserve tout un tas de surprise répondit Aurélie, dressage en bon et due forme, tu n’auras qu’a venir, je te garantie de bon moments en perspective. - Je suis en vacance dans une semaine, je viendrais passer quelques jours chez vous - Parfait, çà nous laisse le temps de te préparer ton paillasson dit Angélique, tu va adorer le résultat - « Mon » paillasson ? dit Sophie - Eh bien oui, on va s’amuser pendant 15 jours, mais après ce serais dommage de gâcher tout le travail, autant que quelqu’un profite d’autant que ton paillasson va revenir marqué à vie de son expérience répondit Angélique - De toute façon quand tu te seras servi de ton paillasson chez nous tu auras du mal à t’en passer par la suite tu verras dit Aurélie - C’est à mon tour d’être impatiente alors dit Sophie - Bien, on n’est pas mal avec toi mais on a pas mal de route à faire alors on va mettre notre paillasson dans le coffre de la voiture et rentrer - Bien sur les filles, reculez la voiture jusqu'à la porte d’entrée, je vais vous aider Après avoir été trainé jusqu'à la porte d’entree par Sophie et une des jumelles, elles se sont mise à trois pour me mettre dans le coffre de la voiture sans ménagement, elle faisaient vite pour ne pas être vues et vu mon poids elles s’y sont reprise à plusieurs fois pour me mettre dans le coffre. J’avais froid, j’avais mal partout, je me sentait faible, honteux, humilié……….puis la voiture s’est mise à rouler pendant un très long moment qui m’a semblé une éternité Pendant le trajet, j’ai retrouvé une partie de mes forces mais avec le froid, le peu de place dont je disposais et les bleus que j’ai pris dans la soirée je ne peux pas vraiment dire que les choses commençaient à aller mieux, qu’est ce que je faisait là, où m’emmenaient elles, qu’allaient elles faire…..tout çà pour une banale discussion, je regrettais déjà, pourtant çà ne faisait que commencer. La voiture venait enfin de s’arrêter, combien de temps avons-nous roulé ? 3h00, 5h00,….impossible de le dire, j’avais perdu la notion du temps, j’étais fatigué, perdu…….Les jumelles sont descendue de la voiture puis……plus rien, que se passait-il ? Tout un tas d’idées me sont passées dans la tête, j’essayais de me rassurer mais le froid, la douleur, la fatigue me rappelait à la réalité…….puis le coffre s’est ouvert, un vent glacé m’a parcouru le corps qui se remplit de frissons en un instant, les jumelles se mirent à rire, s’amusant de la situation tout en en rajoutant une couche sur la petite taille de mon sexe. L’une d’elle m’enleva mes liens aux chevilles puis me demanda fermement de sortir de la voiture, ce que je n’ai bien sûre pas pus faire. La réaction ne s’est pas faite attendre, une main ganté de velours me mis une paire de baffes magistrale, mais la douceur du toucher laissa immédiatement place à la chaleur de la douleur. Au même moment, une paire de mains elles aussi gantées de velours m’attrapaient les jambes et me les mis hors du coffres, puis les jumelles m’attrapèrent à deux et me firent sortir sans ménagement de ma prison. J’ai à peine eu le temps de profiter de la douceur de leurs fourrures contre ma peau qu’un froid intense me glaça les pieds mais ce n’était rien, après tout ce qui s’était passé mes jambes étaient incapables de me porter et je me suis étalé de tout mon long sur la neige, si je n’avais pas eu mon bâillon je suis sûre qu’il aurait été possible d’entendre mon cris plusieurs kilomètres à la ronde……et comme à l’habitude, les jumelles se sont mises à rire de la situation……puis elles m’ont soulevé et m’on traîné comme elles pouvaient dans la maison tout en me jurant de me faire payer les efforts que je les obligeais à faire. A peine passé le seuil de la porte elles m’ont jeté au sol et m’ont rué de coups de pied : - Qu’est –ce que tu croyais, dit Angélique, on va te faire passer l’envie de te faire aider, goûte un peu de ce talon - Oui, répondit Aurélie, il ne faudrait pas oublier que tu es là pour nous servir et pas l’inverse - On va t’apprendre à te tenir à ta place, ne t’inquiète pas, çà va rentrer rapidement……..enfin il vaut mieux pour toi - Allez debout maintenant si tu ne tiens pas à recevoir une autre volée Je ne sais pas où j’ai pus trouver les ressources mais je me suis mis à genoux tant bien que mal puis au prix d’incroyables efforts j’ai enfin pus me lever. A chaque pas je craignait que mes jambes me lâchent, les filles me tenais les épaules pour me diriger puis Angélique dit : - Arrête là paillasson !!! J’ouvre le placard à balais, c’est là-dedans qu’on va te ranger quand on n’aura pas besoin de toi - Quelle chance tu as, ce sera un vrai palace, on est vraiment trop bonnes avec toi - On a une surprise pour toi, dit Angélique, on t’as acheté de nouveaux « habits », çà va t’aller à ravir Sur ce elle m’attrape le sexe fermement mais avec la douceur de son gant de velours et l’enferme aussitôt dans une cage de chasteté, me met quelques anneaux à la base des couilles ce qui à pour effet de les laisser en évidence, à la merci du moindre coup de pied bien place. Dans le même temps, Aurélie me met aux pieds une paire d’escarpins munis de talons d’une dizaine de centimètres. Clic, clic, clic, clic, cage, anneaux, escarpins, j’entends le bruit des cadenas se refermer sur mon sexe et à mes chevilles. Puis Angélique me fait rentrer dans le placard à balais : - met toi dos contre le mur et écarte les jambes que je puisse te mettre ces menottes Une fois fait, Aurélie me détache les mains puis chacune m’attrape un poignet pour aussitôt le menotter au mur. En un instant je me retrouve les bras et les jambes écartés, solidement menottés, menottes elles même solidement rivetés dans le mur, déjà les talons haut commence à me faire mal mais je peux à peine bouger. Pour finir, Angélique me passe deux ceintures de cuir, elles aussi solidement rivetées, me plaquant la tête et le corps contre le mur et dit : - Voilà une bonne chose de faite, je suis fatiguée, on va se coucher Aurélie ? - Oui, quelle soirée, je suis éreintée. En ce qui te concerne, paillasson, profite de ta nuit pour méditer sur ta future condition et essaie à l’occasion de dormir, les prochains jours vont être difficiles pour toi. J’ai un dernier cadeaux pour toi avant de te laisser. Et là elle me balance un énorme coup de pied dans mes couilles offertes et ferme la porte à clef. Et toutes les deux s’en vont rigolant, me laissant seul avec ma douleur, à la limite de l’évanouissement, la nuit va être dure et longue pour moi……… ……..le bruit de la clef dans la serrure me réveille, alors que je crois sortir d’un rêve, mes liens me ramènent aussitôt à la réalité, j’ai le corps endolori et malgré la situation et ce qui s’est passé la veille, je sens une érection arriver, elle est vite gênée par la cage, je l’avais oubliée, puis je ressent des picotements autour de mon sexe qui deviennent de plus en plus douloureux au fur et a mesure que mon sexe grossit, j’ai beau essayer de me maîtriser, impossible, je ne peux pas bouger, juste subir, je ne comprends pas d’où vient la douleur. La porte s’ouvre : - Ah,ah,ah,ah….regarde Aurélie, notre carpette à une érection, à le voir essayer de se tortiller et à l’entendre gémir, je vois que les pointes à l’intérieur de la cage font leur effet - Hi,hi,hi,hi….ce serai dommage de le déranger, allons prendre tranquillement notre petit déjeuner, nous avons tout le temps de nous occuper de lui, rien ne presse - Profite de ce doux moment, la journée qui t’attends va être dure, me dit Angélique tout en me caressant les couilles, ce me qui provoque immédiatement une montée d’érection………et une douleur Et refermant la porte du placard elles partent en rigolant. Au bout d’un moment, j’arrive à calmer mon érection, sûrement plus à cause de la douleur que grâce à ma volonté puis le temps passe, de longue minutes, j’ai perdu la notion du temps. Vu la forte odeur de poussière qui règne autour de moi, je dois réellement être dans un placard à balais. Le bâillon que j’ai sur la bouche m’oblige à surtout respirer par le nez, l’odeur est très forte. J’entends des bruits de talons aiguille sur le carrelage, la porte s’ouvre de nouveau: - Un bon petit déjeuner, voilà qui fait du bien n’est-ce pas ?, me dit Angélique tout en m’enlevant mon bandeau. La lumière est aveuglante mais rapidement je Commence à apercevoir les jumelles qui sont face à moi. Elles sont superbes mais d’une beauté terrifiante vu la situation. Profite bien de ce moment, on ne te laissera pas le loisir d’admirer notre beauté gratuitement comme çà, dit Aurélie, et ne t’inquiète pas, si tu as faim ou soif On ne va pas te laisser mourir ici, tu dois être en pleine forme pour nous servir…..mais tu vas devoir patienter un peu - Oui, dit à son tour Angélique pendant qu’elle m’enlevait mon bâillon, on va tout d’abord te dicter les quelques petites règles de base de cette maison, règles que nous complèterons au fur et a mesure de ton séjour ici Une fois ma bouche libre, j’ai voulu commencer à parler - Mais……. Aussitôt Angélique me met une grande gifle : - Première leçon, tu ne parles que si on t’y autorise !!! - Je….... Une deuxième gifle me tombe dessus immédiatement, puis une troisième,4,5,6,7,8 : - Cette fois je pense que tu as compris dis Angélique. Je n’ose plus rien dire - Bon, la règle dominante : On a tous les droits, tu n’en a aucun !!! Notre seul devoir envers toi sera de te maintenir en bonne santé. Compris ? Je ne dis rien, une nouvelle gifle : - Réponds quand je te le demande dit Angélique !!!!! - J’ai compris Encore une gifle. Aurélie prend la parole - D’une part, interdiction pour toi de parler à la première personne, tu n’es que notre paillasson, d’autre part tu réponds « Oui » - Oui………..et deux autres gifles tombent - Oui Princesse Angélique, je vais t’apprendre les bonnes manières me dit Angélique, il vaut mieux pour toi que çà rentre rapidement - Oui Princesse Angélique - Autre chose dit Aurélie, tu porteras en permanence tes nouveaux habits,à savoir tes escarpins et ta cage mais cette cage à deux trois particularités. Comme tu t’en est aperçu l’intérieur est recouvert de pointes qui te rappelleront à l’ordre à chaque fois que ce sera nécessaire. Ensuite ce n’est pas la peine d’essayer de casser ou couper tes cadenas où ta cage, c’est un alliage hyper résistant. Et le meilleur pour la fin, il ne s’agit pas d’une simple cage, elle est beaucoup plus sophistiqué qu’elle n’en à l’ai, regarde ce boîtier, si j’appuie sur ce bouton comme çà……. Une vive décharge me transperce alors le sexe, je me mords la lèvre de peur d’une représaille si je cris - Ce n’était qu’un aperçu, reprends Aurélie. A chaque fois que nous aurons besoin de toi, une petite décharge te le fera savoir, si nous devons te punir, la décharge sera plus longue. Sache également, que notre maison est isolée, le premier village est à 25 km d’ici, si tu essaie de te sauver à plus de 500mètres de la maison, une décharge permanente se déclenchera automatiquement, idem si tu essaie de retirer ta cage, dès le début de ta tentative une bonne décharge t’empêchera d’aller plus loin dans ta tentative. - Pour toi, reprends Angélique, je serais Princesse Angélique et ma sœur Princesse Aurélie, ne te trompe pas dans nos prénoms si tu ne veux pas recevoir de punition, compris ? - Oui Princesse Angélique dis-je fébrilement - Voilà qui est mieux. Pour nous présenter rapidement, nous sommes deux sœurs jumelles orphelines depuis l’âge de 18 ans, heureusement, dans notre malheur, nous avons hérité de nos parents d’une énorme somme d’argent qui nous permet de vivre comme les princesses que nous sommes et de nous consacrer à notre passion, le dressage des hommes, ce qui t’amène ici suite à notre petite discussion avec Sophie. Tu vas donc avoir le privilège de passer tes vacances en notre compagnie, période pendant laquelle tu apprendra à rester à ta place comme la carpette que tu es pour que nous puissions te rendre à Sophie parfaitement formé……..et sache que c’est toute ta vie qui va être transformée, lorsque tu nous quitteras, si nous apprenons que tu dévie de ta nouvelle condition, on te fera un petit stage de remise à niveau, mais je ne m’inquiète pas trop, rares sont ceux que nous devons rééduquer une fois sorti de chez nous. - On va te faire visiter les lieux, dit Aurélie, mais tu porteras ce collier avec des menottes et cette barre aux chevilles te gardera les jambes écartées pour te limiter l’envie de te sauver. De toute façon, si tu essaie, tu sais ce qui t’attend n’est-ce pas ? - Oui Princesse Aurélie A peine détaché de mon mur, je me retrouve donc de nouveau limité dans mes mouvement. De plus les escarpins me font très mal aux pieds et rendent ma démarche très difficile. Sortant de mon placard, je découvrais une immense maison. Face à nous se tiens un très grand escalier couvert de moquette qui se séparait en deux a mis hauteur pour se diriger vers différentes pièces. - Pour commencer, dit Angélique, un petit passage en cuisine pour que tu puisse te désaltérer un peu, par ici, c’est tout droit Arrivés dans la pièce, là encore plutôt grande par rapport à l’idée que je pouvais me faire d’une cuisine, Angélique prend un grand bol dans un placard, le remplis d’eau et le pose à terre. Comment voulait elle que je boive, je reste immobile sans savoir quoi faire. - Eh bien !!!!!!! A genoux !!!!!! Je m’exécute tant bien que mal , manque de perdre l’équilibre et au moment ou je me penche pour commencer à boire, une décharge électrique me transperce le sexe - Nous ne t’avons pas autorisé à boire que je sache !!!!!! Seulement à te mettre à genoux !!!!!!! cria Angélique - Tu dois d’abord nous remercier en nous baisant dix fois chacune les pieds, à chaque fois que nous aurons la bonté de te permettre de faire quelque chose, tu te soumettra à ce rituel Je m’exécute donc tant bien que mal, et arrivant près des jumelles je commence à me baisser pour embrasser les superbes mules roses d’Angélique, de nouveau il me prend un début d’érection, ce qui a pour effet immédiat de me compresser le sexe dans sa cage suivi immédiatement d’une douleur et me fait perdre l’équilibre. Je tombe la face en avant, me cognant violemment le front contre le carrelage mais je me reprends aussitôt et m’exécute, craignant des représailles si je ne me soumet pas à leur volonté rapidement. Regardant la scène amusée, Aurélie dit : - Eh bien soeurette, il y a encore beaucoup de chemin pour en faire quelque chose, je pense que l’on va beaucoup s’amuser Après avoir déposé mes dix baisers sur les pieds D’angélique, je m’approche d’Aurélie qui se lève et part à l’autre bout de la pièce : - On va corser un peu la difficulté, dit-elle, mes pieds se méritent. Je vais donc jusqu’à elle en me déplaçant à genoux aussi vite que possible, j’ai très soif, je veux en finir au plus vite. Pendant le trajet, elle ne manque pas de se moquer de moi, de mon côté grassouillet qui ne facilite pas mon déplacement, de mon petit sexe qui se balance de droite à gauche, ……J’arrive enfin à hauteur de ses mules noires et dépose mes dix baisers à ses pieds et je me remet à genoux, regardant le sol et attendant l’autorisation d’aller boire. - Cà s’améliore dit Angélique, tu peux me remercier et aller boire - Merci Princesse Angélique, dis je Aussitôt un courant électrique me parcours le sexe, la douleur dure quelques secondes, je m’étale à terre - Imbécile, je suis Aurélie !!!!!!, dit-elle Je ne comprenais plus, j’avais repéré qui était qui grâce aux mules, je ne m’étais pas trompé quand je me suis dit qu’elles allaient être sadiques au point de jouer de leur ressemblance parfaite pour avoir le plaisir de me punir, je n’allait pas m’en sortir, quelque soit le prénom que je choisirais il ne sera bon que si elles le décide………quel enfer…….. : « - Mer…ci…..Prin….cesse….Aurélie, dis-je en me remettant à genoux - Va boire maintenant, on a beaucoup à faire après !!!!!!!!» De nouveau je me déplace dans cette position très humiliante jusqu’au bol que je bois comme je peux, faisant quelques éclaboussures sur le sol. Une fois fini, je commence à me relever……..nouvelle décharge électrique………. - Tu ne vas pas laisser le sol comme çà !!!!!!!!!!! dit Angélique, Lèche !!!!!!!!!!! » Je ne cherche pas à comprendre et lèche le sol, chacune de mes actions devient prétexte à humiliations, brimades, moqueries, punitions……..et pourtant je suis pris par moment d’érections douloureuse. Qu’est-ce qui m’attends encore ? Comment est-ce que je vais me sortir de là ? - Bien, dit Angélique, poursuivons la visite. Debout !!! Par ici !!! Nous entrons dans une nouvelle pièce séparée en deux, d’un coté une grande salle à manger meublée en chêne, de l’autre un salon aussi grand avec de superbes fauteuils en cuir, un canapé assorti posé sur un grand tapis persan - C’est ici que nous prendrons nos repas me dit Aurélie, ne t’inquiète pas tu n’auras pas à faire la cuisine, nous ne mangeons que des plats de grands traiteurs, ton travail sera de faire le service…….et attention, nous sommes très exigeantes - Nous adorons aussi nous détendre dans notre salons, surenchérit Angélique, en nous faisant masser ou lécher les pieds, nous allons passer de bonnes soirées en perspective n’est-ce pas? - Oui Princesse Angélique - Continuons, par ici c’est notre bureau Il à peu près de la même taille que le salon, un superbe bureau en chêne derrière lequel se trouvent deux magnifiques fauteuils dignes des plus grands directeurs. Tout autour de la pièce une grande bibliothèque remplie de livres, dossiers et bibelots sûrement d’une très grande valeur. Comme dans chacune des pièces visitées à présent sont placés aux murs des toiles de maîtres. - Maintenant, poursuis Angélique, passons à l’étage. Arrivés devant l’escalier, elle me demande de me mettre à genoux pour grimper à l’étage. Je suis presque content de sa proposition, les talons aiguille me font très mal aux pieds. Cependant, au fur et à mesure que nous montons les marches, mes genoux me font de plus en plus mal et finalement je regrette rapidement de ne pas me tenir debout. Une fois arrivés Aurélie m’ordonne de me remettre debout : - Par ici, nous allons commencer par notre chambre. Alors qu’Angélique ouvre la porte, elle m’ordonne - A genoux !!!!! La chambre est magnifique, un grand lit à baldaquins est placé au fond de la pièce, de grande portes noires de chaque côté de la pièce me laisse imaginer d’immenses armoires remplies d’habits et de chaussures, une épaisse moquette me permet enfin de me reposer un peu - A chaque fois que tu pénètreras ici tu te mettras à genoux, ce lieu sera pour toi comme un sanctuaire, tu le vénéreras. Si tu es obéissant et que nous somme contentes de toi, peut être auras tu le privilège de passer la nuit attaché sur notre descente de lit. - Maintenant, la salle de bain. Tu vas en profiter pour prendre une douche, je t’accorde 15 minutes pendant que Aurélie et moi nous changeons, pas question de te sauver et pas question de prendre une minute de plus sinon……. Une brève décharge me fait tout de suite comprendre ce que je risque. Angélique m’enlève mes divers liens, mais me laisse le sexe emprisonné : - Cela ne t’empêchera pas de te laver, et pas d’inquiétude, le système est étanche. Fait vite, il ne te reste que 13 minutes. La porte se referme, je reste un instant immobile, goûtant ce moment de liberté puis rapidement je reprends mes esprits et passe à la douche……..cela me fait énormément de bien, un tel moment de bien être que le temps passe très vite. Je me rend compte que je suis là depuis un petit moment, je me dépêche alors de fermer l’eau et au moment où je met le pieds hors de la cabine, un choc électrique met fait perdre l’équilibre, je tombe au sol sur le tapis de douche et la douleur continue, je me retiens de crier , j’ai le réflexe de me tenir les parties mais le courant électrique me rappelle à l’ordre, 10 secondes, la douleur est toujours là, je me tortille au sol dans tous les sens, 20 secondes, j’attrape la serviette de toilette et mords dedans pour ne pas laisser échapper de cris, 30 secondes, la porte s’ouvre, les jumelles entrent tranquillement et me regardent ainsi au sol, 40 secondes,50 secondes….enfin çà s’arrête, j’en ai le souffle coupé, je me tiens enfin les parties, j’ai très mal, Angélique m’ordonne alors de me relever et de m’essuyer rapidement, je m’exécute tant bien que mal. A peine finie elle me dit : - Allez, à genoux !!!!! Tu vas nous baiser les pieds dix fois pour nous remercier ce moment de liberté, dix fois pour t’excuser de ne pas avoir respecté les délais et dix fois encore pour notre plaisir Pendant ma punition je continue à me tenir les parties douloureuses, les jumelles s’en donnent à cœur joie : - Hmmm, ce paillasson est très appliqué tu ne trouve pas Angélique ? - Oui, enfin quelque chose qu’il fait de bien, il était temps mais on a encore beaucoup à lui apprendre. - Bon maintenant, remet tes escarpins et la barre d’écartement et suis nous. J’obéis rapidement, on arrive devant une nouvelle porte fermée à clef, Angélique ouvre la porte et immédiatement je suis pris d’un frisson, la pièce est capitonnée, recouverte de velours bordeaux. J’ai l’impression de me trouver dans une chambre de torture, je parcours des yeux cette pièce, elle est remplie de fouets, de cravaches, de godes, de cages de différentes tailles, des anneaux sont disposés un peu partout au sol, au plafond et sur les murs, il y a plusieurs tables sûrement destinées à me torturer, il y a des tas d’objets dont je n’imagine pas à quoi ils peuvent servir……… - C’est notre salle d’apprentissage et de jeu me lance Aurélie, nous allons passer de longs moments ensemble ici, mais ne t’impatiente pas, on va y revenir tout à l’heure - Oui, continue Angélique, pour l’instant on va juste prendre quelques petites choses avant de finir la visite. Tout d’abord, je vais te passer ceci Elle me met les mains dans le dos et m’enfile un harnais m’obligeant à garder les bras serrés, d’autant plus serrés qu’Angélique tire sur le lacet, ce qui m’oblige à me tenir cambré. Pendant ce temps, Aurélie me place un bâillon boule dans la bouche. Une fois fait, Angélique repasse devant moi, je me tiens toujours à genoux, les jambes écartées, elle me regarde pendant de longues secondes avec un grand sourire sur les lèvres. Je me demande ce qu’elle à en tête, mais hélas ma curiosité est rapidement satisfaite, elle me met une grande gifle et aussitôt après me met un grand coup de pied dans les couilles. Je m’écroule au sol encore une fois alors qu’elle rigole avec sa sœur, la boule m’empêche de crier et il ne sort qu’un râle de ma bouche : - Excellent, presque pas de bruit, tu veux essayer à ton tour Aurélie ? - Mais bien sûre. Allez !!! A genoux !!! Je me lève avec difficulté, malgré les fines mules qu’Angélique avait à ses pieds, elle n’a pas retenu son coup et j’ai senti le coup passer. Je ferme les yeux et avec angoisse j’attends le second coup de pied. Je suis tendu. Le coup se fait attendre. Et au moment où je commence à me relâcher son pied vient heurter mes couilles encore douloureuses, j’ai l’impression que la puissance des coups s’est additionnée, je m’écroule de nouveau alors que les deux sœurs s’amusent une nouvelle fois de la scène. Je reste plié au sol plusieurs minutes, pendant ce temps les sœurs s’affairent de leur côté. Enfin elles reviennent près de moi, Angélique m’ordonne de me remettre debout. Une fois fait, elle accroche à un des anneaux qui maintiennent mes couilles en évidence quatre petites chaînes d’une vingtaine de centimètres, chacune finies par un poids de 250 grammes, une fois lâchés les poids se balancent et à chaque fois qu’ils s’entrechoquent me tirent sur les parties : - Ne t’inquiète pas, rigole Angélique, ce n’est que pour commencer, le temps de t’habituer, on augmentera le poids les prochains jours. Bon, maintenant redescendons - Avance !!!! m’ordonne Aurélie qui me donne en même temps un coup de cravache sur les fesses. Je commence à avancer, les poids se balancent de nouveau et me tirent sur les testicules. Le mouvement s’amplifie quand je commence à descendre l’escalier et à chaque marche un petit chaos en rajoute à la douleur. Les sœurs m’amènent face à la porte d’entrée : - Arrête !!! m’ordonne Aurélie Elles ouvrent une porte à côté de mon placard à balai, il s’agit d’un vestiaire, une petite pièce dans laquelle elles entrent à deux sans soucis. Plusieurs étagères sont remplies de dizaines de paires de chaussures (escarpins, bottes, bottines, mules…..), à de long porte manteaux sont accrochés des tas de vestes et manteaux de fourrure. Angélique choisi une superbe paire de cuissardes qui lui arrive a mis cuisse, elle passe une écharpe de vison, met un bonnet et enfile un long manteau en vison eux aussi. Aurélie chausse une paire de cuissardes identiques mais choisi un bonnet et un manteau de lynx. J’ai l’esprit partagé entre le mal que me font mes couilles et ce que me préparent encore les jumelles. Une fois habillées, elle ouvrent la porte d’entrée et d’un coup de cravache me font sortir de la maison. Le sol est recouvert de neige, il ne fait que quelques degrés, un énorme frisson parcours mon corps quasiment nu: - Eh bien Aurélie, nous avons bien fait de nous habiller chaudement - Oh oui, il fait plutôt froid ce matin, répond elle avec un grand sourire. - Le temps de faire le tour de la maison et on rentre. Encore quelques coups de cravaches sur les fesses, les sœurs me font faire le tour de la maison pendant d’interminables minutes. Cette maison est immense, sous la neige, je devine une grande allée de graviers autour de la maison, devant la maison se dessine une grande allée qui se perd à travers les arbres. Derrière je devine une immense pelouse. Un mur de béton de près de trois mètres de haut se dresse de chaque coté de la maison et j’imagine qu’il se prolonge au-delà des arbre qui se trouvent à l’avant et l’arrière de la maison. Une vraie forteresse. J’avance avec du mal, partagé entre diverses douleurs : les escarpins me font très mal aux pieds, les poids me tirent sur les couilles et la cravache me pique les fesse et partout le froid. Pendant la « promenade » les sœurs se lovent chaudement dans leur manteaux, plaisantant sur la température et le temps, mon sexe, mon poids, ma nudité, se moquant de moi à chaque occasion (quand je trébuche, frissonne, laisse échapper un cri étouffé par la boule…….). Cela me semble interminable………. Les filles se décident à rentrer mais juste avant Angélique ramasse deux pleines poignées de neige qu’elle me colle sur les couilles et le sexe, le froid est intense, je sautille sur place pour tenter de faire tomber la neige mais alors ce sont les poids qui font leur office, et forcément les jumelles se mettent à rire à gorges déployées de la situation : - Ah,ah,ah, regarde un peu Aurélie, il ne sais plus quoi faire - Oui, très amusant. Bon, ce n’est pas tout çà, rentrons, je commence à avoir un peu froid sur le bout du nez - Allons-y, ce n’est vraiment pas un temps à mettre un chien dehors, rajoute Angélique en insistant bien sur les mots tout en me regardant amusée, à la rigueur pour sortir un peu son paillasson…….hi,hi,hi,hi…….. - En tout cas, je ne sais pas comment il fait, moi je ne pourrais pas quitter mes chauds habits par ce froid…….ah,ah,ah,ah,ah…….. Enfin nous rentrons, Angélique m’enlève mon baillon-boule, les filles s’assoient sur un petit fauteuil placé dans l’entrée et pointent du doigt leurs cuissardes. Je suis transi de froid, tant bien que mal je me met à genoux et commence à embrasser les chaussures d’Angélique……elle me lance une décharge dans le sexe : - Non mais, je ne t’ai pas encore demandé de nous remercier pour t’avoir autorisé cette petite promenade, tu vas lécher nos cuissardes pour enlever la neige sous nos semelles et les traces laissées par la neige le long de nos cuissardes avant que nous les rangions. - Décidemment ce paillasson à encore beaucoup à apprendre……..et me regardant……bien sûr tu avale tout ce que tu lèche et une fois fini tu nettoiera le sol avec ta langue, et qu’il ne reste pas une trace Je m’exécute et finalement après tout ce qui vient de se passer, je savoure ce moment, j’oublie les saletés incrustées dans la neige et en profite pour me désaltérer. Je fini enfin les bottes d’Angélique, elle se lève, m’enlève mes escarpins afin que je puisse les nettoyer également une fois que j’en aurais fini avec sa sœur. Elle range ses bottes et son manteau, enfile une petite paire de mules noires puis monte à l’étage : - Je vais préparer la « salle de jeu » pendant que tu finis avec lui, à tout de suite - A tout de suite Angélique Je continue mon œuvre en me dépêchant de peur d’une punition et une fois fini, Aurélie se lève à son tour, pendant que je nettoie mes escarpins et le sol souillé par la neige fondue de nos chaussures et de mes couilles. Elle revient elle aussi chaussée d’une petite paire de mules noires identiques à celles de sa sœur, je n’ai plus de moyen de les distinguer l’une de l’autre et je me demande ce qu’Angélique est partie « préparer ». Comme je n’ai toujours pas fini Aurélie me donne régulièrement des coups de cravaches pour me faire accélérer……..enfin je remet met escarpins et Aurélie m’ordonne de la suivre à genoux jusque dans la « salle de jeu . A chaque marche, je suis obligé de tirer sur les poids encore accrochés à mes couilles, malgré la douleur je retiens mes râles et me dépêche de suivre Aurélie. Nous arrivons à la porte, j’entre fébrilement, Angélique m’ordonne d’approcher : - Maintenant je t’autorise à nous baiser dix fois les pieds pour nous remercier de la promenade Je m’exécute - Bon, avant de diner, nous allons nous amuser un peu. Elle m’enlève les poids de mes couilles, la barre d’écartement pour aussitôt m’enfermer les chevilles et les mollets dans des menottes solidement attachées au sol, m’obligeant à rester à genoux. Puis elle me passe une paire de menottes en plus du harnais, et accroche une chaîne reliée à une poulie aux menottes. Aurélie commence alors à tirer sur l’autre bout de la chaîne, m’obligeant à me tenir de plus en plus courbé et à garder les bras en l’air. Angélique approche de ma bouche une petite caisse de bois recouverte de velours noir sur lequel se trouve un coussin et dit : - Voilà les règles du jeu, nous allons nous promener dans la pièce, et de temps en temps nous viendrons poser un pied sur le coussin, alors tu l’embrasseras en remerciant la princesse qui te fera l’honneur d’admirer ses pieds et de baiser sa mule. A chaque fois que tu te tromperas de prénom, tu recevras une punition de plus en plus sévère. Compris ? - Oui Princesse Angélique Vlan !! je reçois un coup de cravache. Je suis sur de ne pas m’être trompé mais je ne cherche même pas à répondre de peur de recevoir une nouvelle correction, comme je m’y attendais, les jumelles étant habillées pareil de la tête au pied, je ne peux pas distinguer qui est qui et elles vont en jouer…….. - Oui Princesse Aurélie - C’est mieux, je vais être bonne avec toi. Embrasse !!! Là elle dépose son pied sur le coussin juste à hauteur de ma bouche, je dépose un baiser sur ses magnifiques orteils dont le vernis rouge vif ressort au travers de ses bas noirs. Vlan !!!! Nouveau coup de cravache - Imbécile !!!!!!!! Tu n’as rien compris !!!!!!! Je t’ai dit dans les règles que tu devais baiser ma mule. J’entends Aurélie pouffer de rire dans mon dos. Angélique enlève son pied du coussin et va rejoindre sa sœur. Un nouveau pied arrive à mes lèvres, je prend bien soin de n’embrasser que la mule et dis « Merci Princesse Aurélie ». Je ferme les yeux, attendant la punition………….rien……..nouveau pied, encore un baiser, « Merci Princesse… .Angélique »………j’attends………Vlan !!!!! Vlan !!!!! Deux coups de cravache à la suite. « Idiot !!! » ………..nouveau pied, baiser, « Merci Princesse….Aurélie »…….Paf !!Paf !!Paf !!Paf !!.....je reçois 4 coups de battoir sur les fesses…….pied, baiser, « Merci Princesse Angélique »……..j’attends……..pied, baiser, « Merci Princesse Aurélie »…..PAF !!! « Eh non !!! », je reçois un coup de battoir sur les couilles et laisse échapper un cri……elle me met aussi sec un second coup de battoir, je contiens mon cris, «La ferme paillasson, je ne t’ai pas autorisé à crier !!!!»……..çà continue comme çà pendant un quart d’heure, 8 fois sur 10 je me trompe et reçois diverses punitions, coups de martinet, de fouet, de cravache, sur les fesses, les couilles, je retiens tant bien que mal mes cris de douleur mais quand de temps en temps j’en laisse échapper un la punition s’en trouve doublée. Chaque punition s’accompagne d’une insulte ou d’une brimade. Enfin le « jeu » s’arrête : - Bon, après cet exercice je pense que nous avons bien mérité une bonne douche Angélique - J’allais te le proposer Aurélie. Désolé paillasson, on a fini de jouer pour le moment mais ne t’inquiète pas nous aurons d’autres occasions……..hi,hi,hi,hi Clac. La porte se referme, les filles me laissent là attaché, encore une fois j’ai mal aux fesses, aux couilles, mes bras me tirent, je peux à peine bouger. J’attends, j’attends, j’attends, 10 minutes, je commence à m’engourdir, 20 minutes, une demi heure, j’essaie de me placer me manière à ne pas avoir trop mal…….peine perdue………45 minutes, 1heure passent, enfin la porte s’ouvre. - Bon, tu vas t’habiller pour le dîner me dit Aurélie tout en me détachant. Je jette un regard rapide du coin de l’œil, on dirais qu’elles sont habillées pour une grande soirée, robes longues noires fendues sur le côté, des escarpins noirs aussi fermés par une bride qui remonte un peu au-dessus des chevilles, elles se sont parées de bijoux aux diamants étincelants : rivière autour du cou, de fines boucles d’oreilles elles aussi incrustées d’un diamant, bagues et bracelets en argent incrustés de pierres plus chères les unes que les autres, le tout mis en valeur par un maquillage parfait et leur chevelure d’or. Une fois détaché, je reste à genoux, la tête et les yeux baissés. Angélique revient avec un carcan dans lequel elle m’emprisonne la tête et poignés. Vlan !!!, je reçois une gifle, « baisse les yeux je t’ai déjà dis !!!!». Au moment ou je baisse les yeux, je ressens un fort pincement au niveau des tétons, elle vient de me mettre deux pinces à seins reliées par une petite chaîne : - Voilà, tu es quand même plus présentable comme çà - Mmmoui, c’est pas mal, mais je trouve qu’il manque encore quelque chose Aurélie. Ah, je sais….. Elle part au fond de la pièce et revient avec des menottes très spéciales. Elle me demande de m’accroupir et me passe deux menottes aux chevilles et une troisième petite menotte au-dessus des couilles m’obligeant à me tenir ou accroupi ou à genoux. Alors elle se recule et avec sa sœur, elle admire le spectacle. Alors Angélique se tournant vers moi : - Tu seras parfait comme çà, j’espère que çà te plait paillasson ? - Oui, Princesse Angélique…….. - Bien…..allons-y alors Je les suis, je n’arrive déjà pas bien à marcher avec les talons haut, mais accroupi c’est encore pire, je manque à plusieurs reprises de tomber des escaliers. Arrivés en bas, Aurélie me demande de me mettre à genoux face à l’entrée et de ne pas bouger afin d’accueillir leurs invitées, deux femmes traiteurs qui vont apporter les plats, manger sur place et passer une partie de l’après midi avec nous. - Nous avons des caméras partout dans la maison et autour de la maison, çà ne sert à rien de chercher à faire quoique ce soit sinon tu le regretteras Et là elle m’envoie une décharge électrique dans le sexe pendant quelques secondes, tourne les talons et part dans le salon avec sa sœur en rigolant. Je tombe au sol de douleur, me relève et reprends ma position. Je garde la position, je ne cherche pas à me sauver, avec mes diverses entraves et mes talons haut je n’irais pas loin de toute façon. Après quelques minutes, quelqu’un sonne à la porte, je reste à ma place, tête baissée. Les sœurs arrivent, ouvrent la porte, je me sens très gêné d’apparaître comme çà devant quelqu’un…………tout d’abord, je vois apparaître un chariot sur lequel se trouves les plats recouverts de cloches en argent……..puis entrent deux magnifiques brunes vêtues de longues fourrures noires, les quatre femmes s’embrassent longuement sur la bouche puis Angélique débarrassant les deux femmes de leurs manteaux propose à tout le monde de se rendre dans le salon. Les invitées passent à côté de moi sans même me regarder, sans avoir l’air étonnées de me voir là ainsi attaché…….Angélique se retourne vers moi un instant et me dit : - Avant de nous rejoindre tu lèchera la neige que nos chères invitées ont la délicatesse de laisser au sol pour toi………et ne traîne pas, sinon…… !!!!! Elle me lance une décharge électrique et part dans le salon……… Je lèche le sol consciencieusement jusqu’au salon. Pendant ce temps, les pensées se bousculent dans ma tête, des pensées de honte à me présenter ainsi devant ces femmes, qui sont-elles d’ailleurs, qu’est-ce qui va encore m’arriver, qu’est-ce que je fais ici…….J’arrive enfin dans le salon, les quatre femmes sont confortablement installées dans les profonds fauteuils et le canapé, il n’y a presque plus de traces, je me dépêche de lécher le sol et me présente à genoux devant les jumelles, tête baissée. Aurélie me balance un coup de pied dans les couilles : - Et leurs chaussures !!!!??? Cathy et Christelle ne vont pas garder leurs semelles sales quand même !!!! Je suis sûr que si j’avais pris l’initiative, j’aurais été punis tout pareil……Je m’approche des deux invitées et nettoie leur semelles, honteux et excité à la fois………excitation douloureuse bien sûre - Vous nous excuserez, dit Angélique, c’est notre nouveau paillasson, on l’a eu hier soir, il a encore beaucoup à apprendre… - Oui, je vois çà, après le repas, on va vous aider à le dresser un peu - Oh mais je ne veux pas vous embêter avec çà les filles répond Angélique - Mais au contraire, on a notre après midi de libre, çà nous fait très plaisir Et les quatre femmes partent dans un fou rire, pendant que je fini mon nettoyage. Une fois fini je me recule et reste à genoux tête baissée devant Cathy qui me met deux baffes en guise de remerciement pendant que Christelle me met un coup de pied dans les couilles. Je me retient de crier….puis les filles se servent un apéritif et commence à parler de tout et de rien, de temps en temps l’une d’elle me lance une cacahuète à l’autre bout de la pièce, me demandant d’aller la chercher en restant accroupis pour pouvoir se moquer de ma démarche et me voir grimacer de douleur à chaque fois que je tire un peu trop sur la menotte attachée à mon sexe (ce qui arrive souvent vu que la chaîne qui la relie à mes chevilles me laisse à peine de quoi me tenir accroupis). A chaque fois je dois revenir baiser dix fois les pieds des quatre femmes pour les remercier d’avoir la bonté de me donner à manger. Après avoir fini leur verre, Angélique se lève et propose à tout le monde de se mettre à table et à moi de me mettre sous la table. Pendant que le repas se passe, de temps en temps quelqu’un me jette à terre un bout de salade, un bout de viande,………..et entre chaque plat elles me dépose leur assiette au sol pour que je lèche les restes comme un chien et si je suis trop long à leur goût un coup de pied vient me rappeler à l’ordre………. J’ai tellement faim que je ne suis même pas dégoûté de manger à même le sol. A part les punitions parfois très douloureuses, je finis même par trouver du plaisir aux diverses situations humiliantes, mais j’essaie autant que possible de ne pas m’exciter à cause de la cage et des représailles si l’une des femmes me voit bander. Pendant qu’elles mangent, des coups de pieds arrivent au hasard, parfois l’une d’entre elle essaie d’attraper avec son talon la chaînette reliant les deux pinces à sein et s’amuse un peu avec ou tire un coup sec dessus, ce qui est douloureux dans les deux cas, sauf que lorsque une des deux pinces se décroche, je suis obligé de me présenter face à celle qui l’a décroché afin qu’elle puisse la remettre (ce qui est aussi douloureux que lorsqu’elle se décroche) sans omettre de m’envoyer un coup de pied dans les couilles pour oser la déranger pendant le repas…….après une bonne heure le repas se termine enfin, j’ai un peu mal partout mais comparé à ce que j’ai subit durant la matinée, c’est relativement supportable…….pendant que les filles retournent s’asseoir confortablement dans le salon, Angélique m’ordonne de tourner autour de la table à manger, en faisant un tour accroupis, un tour à genoux, un tour accroupis……prétextant que j’ai besoin de faire un peu d’exercice après le « copieux » repas qu’elles ont eu la bonté de me donner………dès que je commence à baisser le rythme, une décharge électrique dans le sexe me remet en selle pendant que les quatre femmes s’amusent encore une fois de la situation. Après un quart d’heure, Angélique m’ordonne d’approcher : - Bon, tu vas te présenter accroupis devant chacune d’entre nous à tour de rôle pour que nous puissions te mettre un coup de pied bien placé pour nous remercier de nous occuper si bien de ta santé après ce repas et cet exercice A peine fini de prononcer ces mots, elle m’envoie un bon coup de pied sur les parties, je me retient de crier et reste debout………. « Merci Princesse Angélique » et j’embrasse dix fois ses pieds………..je me décale sur la droite afin de me placer face à sa sœur, deuxième coup de pied………. « Mer…ci…Prin…cesse….Aurélie », j’embrasse ses pieds…………….je me place face à Cathy, nouveau coup sec avec la pointe de ses escarpins noirs mais bien placé, je tombe à genoux retenant mon cris, je me relève aussitôt……… « Merci….Prin….cesse……Cathy », j’embrasse ses escarpins……………enfin j’arrive devant Christelle, elle balance son pied faisant mine qu’elle va taper, après quelques secondes, je commence à me relâcher, Vlan !!!.....le pied part sec et fort, je retiens encore mon cris avec du mal, je retombe à genoux………me relève……… « Mer……ci….Prin…..cesse……Christelle », j’embrasse ses escarpins……… Angélique se lève : - Bon, maintenant je vous propose de monter dans la salle de jeu - Oui, je suis sûr que votre paillasson est impatient dis Cathy sur un ton amusé Nous arrivons dans la salle, Angélique me libère de mes chaînes, de mon carcan, m’enlève les pinces à sein en tirant un coup sec dessus. Puis Aurélie ouvre la grille d’une petite cage et m’ordonne de rentrer à l’intérieur. Arrivé face à la cage, elle me met de nouveau un baillon et une cagoule de cuir, je n’entends presque plus rien, je ne vois plus rien, j’ai juste un trou pour respirer par le nez. Quelqu’un m’attrape les poignets et me met une paire de menottes puis une main me pousse dans le dos, signe que je dois avancer. Je me glisse à l’intérieur comme je peux, la cage est très petite, je me courbe, place mes jambes comme je peux, la position est très inconfortable. J’entends des bruits sourds autour de moi, ce sont les filles qui discutent mais je suis incapable de comprendre ce qui se dit puis après quelques instants j’entends la porte se refermer et…………plus rien……..rapidement la position est très inconfortable……le temps passe………5 minutes, 10 minutes,……..rapidement je perds la notion du temps, n’ayant plus aucun repère…………le temps passe………15 minutes, une demi-heure ????,……..j’essaie d’imaginer ce que les filles me prépare…………et si elles me laissaient là plusieurs heures……….sont-elles encore dans la maison ????............le temps passe………..la position est de plus en plus inconfortable………….je commence à espérer qu’elles reviennent me torturer afin que je puisse sortir de la cage……….le temps passe……….est-ce qu’elles me regardent en ce moment, grâce aux caméras, sont elles dans la pièce, rentrées en catimini……..enfin je perçois de faibles bruits de talons aiguille, la porte de la cage s’ouvre, des mains me tirent fermement à l’extérieur, je tombe à la renverse, on m’enlève les menottes puis la cagoule, elles sont toutes les quatre devant moi, amusées, Angélique m’ordonne de me mettre debout, mais le temps passé dans la cage m’a engourdis les membres, 2h00, 3h00, 4h00 ????? toujours est-il que je dois m’y reprendre à plusieurs fois pour arriver à me mettre debout, à chaque tentative loupée Aurélie me balance une décharge électrique plus longue à chaque fois, les jambes tremblantes j’y arrive enfin. Cathy me met un bandeau sur les yeux pendant qu’Angélique m’enlève mon bâillon. Ensuite l’une des filles me remet une barre aux chevilles m’obligeant à garder les jambes très écartées, sans cette barre je finirais en grand écart puis elles me passent des menottes aux poignets et tirent sur des chaînes m’obligeant à avoir les bras eux aussi écartés. Après çà Christelle s’approche de moi et m’attrape les couilles pour y accrocher des poids comme ce matin, une fois fait, elle s’amuse à soupeser et relâcher aussi sec les poids…….çà me lance mais je me retiens de crier……… - Bon, dit Cathy, le jeu est simple, l’une d’entre nous va te fouetter, bien sûr il n’est pas question de crier, tu remercieras par son prénom celle qui t’auras fait l’honneur de ce coup de fouet, si tu te trompes de prénom ou si tu pousse un cris, une autre t’enverras une petite décharge quelque part sur le corps à l’aide de cette épée électrifiée. Compris ? - Oui Princesse Cathy Premier coup de fouet sur les fesses…… « Merci Princesse Aurélie »………j’attends…….rien……..coup de fouet dans le dos……….. « Merci Princesse Christelle »……j’attends……une petite décharge sur le téton gauche me fait sursauter……s’ensuit les poids qui s’entrechoquent…………coup de fouet dans le dos……. « Merci Princesse Christelle »………j’attends………une décharge sur le téton droit suivie après quelques secondes d’une décharge sur la cuisse. - Ah au fait, si tu te trompes plusieurs fois de suite la punition sera doublée à chaque fois alors attention Entre les divers coups, j’entends les talons aiguilles des filles se promener autour de moi, de temps en temps elles rigolent après une punition, m’insultent quand je me trompe………..coup de fouet……. »Merci Princesse…..Cathy »…….j’attends……..quatre décharges les unes après les autres……..au quatrième je laisse échapper un petit cris………huit décharges pleuvent aussitôt sur mes cuisses, mon ventre, je me tortille plus par réflexe que pour éviter les coups d’épée, ce qui est impossible dans ma position………..et le jeu continue, quasiment à chaque fois je me trompe, je ne compte même plus le nombre de coups de fouets que j’ai reçu, tout ce que je sais c’est que j’ai très chaud aux fesses et dans le dos, sans compter les multiples coups d’épée électriques, jusqu’à 32 d’affilée et sans compter les poids qui me semblent de plus en plus lourds………..après un long moment elles s’arrêtent enfin, Cathy m’enlève les poids, me remet un baillon et me dit : - Bon, quelques coups de pieds dans les couilles pour nous remercier de nous occuper de ta formation - Oui, puis on s’accorde une petite pose bien méritée, dit Christelle Vlan !!!!, premier coup de pied puis un deuxième aussitôt, je ne peux pas éviter les coups, 7,8,9,10……je ne compte plus au bout d’un moment, je ne sais pas qui tape………la douleur est énorme, j’ai la tête qui tourne……. - Pour nous baiser les pieds, dit Angélique, on verra plus tard, tu m’as l’air indisposé pour le moment…….hi,hi,hi,hi……. Les filles sortent de nouveau de la pièce pour aller boire un coup, je reste seul un long moment mais pensant être tranquille, une décharge électrique plus ou moins longue viens me transpercer le sexe de temps en temps………je les imagine en train de s’amuser du spectacle grâce aux caméras de surveillance……. A leur retour Cathy demande : - Est-ce que votre paillasson est vierge ? Je me demande pourquoi elle pose la question, j’ai trente ans passés, je ne suis plus vierge depuis longtemps. - Non répond Angélique, Sophie nous l’a certifié et il n’est pas là depuis longtemps, on n’a pas encore eu le temps de s’en occuper Je ne comprends pas le sens de leur discussion. Les filles me détachent à nouveau mais me laisse bandeau et bâillon, elles me dirigent vers une espèce de cheval d’arçon sur lequel elles m’attachent solidement les jambes puis elles m’obligent à me plier en deux pour m’attacher les bras vers l’avant. Enfin elles me passent une ceinture au niveau de la taille, je me retrouve les fesse en évidence, complètement attaché. Je ne comprends rien à ce qui se passe. D’un coup je sens quelqu’un m’appliquer une sorte de gel très froid autour de l’anus……….d’un coup j’ai peur de comprendre……….et après quelques secondes je sens un gode me pénétrer et ressortir, la douleur est très forte, je lance un énorme cris étouffé par le bâillon, puis de nouveau le gode me pénètre et ressort, nouveau cris étouffé sans parler de la honte qui me submerge………le va et viens continue et peu à peu la douleur laisse place à une sorte de plaisir, de jouissance, je me sens encore plus honteux…….. - Eh bien, dit Angélique, il y a vite pris goût, dire que sans nous il n’aurais jamais connu ce plaisir……..ah,ah,ah,ah - Oui, il n’a pas fini de nous remercier pour tout ce qu’on fait pour lui, dit Aurélie……….hi,hi,hi,hi Les filles s’échangent le gode ceinture, chacune à sa façon de faire, des va et viens plus ou moins rapides, plus ou moins sec…….. - Ne t’inquiète pas, me glisse Angélique à l’oreille, ce n’est pas un gros gode et tu vas vite t’y habituer mais on a d’autres tailles pour l’avenir…… Après au moins une demi heure elles s’arrêtent, j’ai fini par y prendre beaucoup de plaisir, je regrette presque que ce soit fini. Christelle m’enlève alors mon baillon et mon bandeau et me glisse le gode dans la bouche pour que je le nettoie, il me parait beaucoup moins grand que tout à l’heure, elle recommence le va et viens, parfois il vient me titiller le fond de la gorge, additionné au goût, cela me provoque des haut le cœur par moment mais je résiste. Une fois fait, Angélique repasse derrière moi et me met un plug au bout duquel est accroché une queue de fourrure dans l’anus. Comparé à ce que je viens de vivre, je le sens à peine. - Voilà qui sera plus présentable, me dit Aurélie Puis les filles me détâchent, m’ordonnent de me mettre à genoux jambes écartées pour me donner le coup de pied rituel en remerciement de ce qu’elles ont fait pour moi accompagné des remerciements et des dix baisers sur leurs pieds. - Bon, il commence à se faire tard, dit Christelle, ce soir je vous invite au restaurant - C’est partis dis Angélique, le temps de ranger notre paillasson dans son placard et on y va. Quelques instants après, je me retrouve attaché au mur dans le placard poussiéreux, dans la position de la veille, cette fois elles m’ont rajouté la cagoule de cuir de tout à l’heure et des poids sur les couilles. Je reçois encore quelques gifles et quelques chocs électriques dans le sexe. J’entends de nouveaux quelques voix étouffées et quelques rires, puis la porte d’entrée qui claque Finalement je ne garde en tête que les derniers instants passés à me faire enculer, du plaisir que j’y ai pris, mon sexe qui se gonfle est douloureux mais je ne peux pas m’en empêcher, j’ai subis la pire honte de ma vie mais finalement je garde à l’esprit l’excitation que çà m’a procuré. Je n’ai aucune idée de l’heure qu’il est, je suis fatigué, j’ai perdu la notion du temps, je finis par m’endormir………. Tout d’un coup je suis réveillé par une décharge électrique dans le sexe, j’entends le bruit étouffé de la porte d’entrée, ce sont les jumelles, quelle heure est-il ? Quelques secondes se passent, suivies d’une autre décharge, encore une autre………….cela continue comme çà pendant plusieurs minutes, parfois cela dure un court instant, parfois de longues secondes,……..puis plus rien………..mon sexe est en feu…………plus un bruit, je fini par me rendormir……….Tout au long de la nuit, je me réveille, pensant avoir fait un rêve, mais aussitôt les liens, les poids, le plug me ramènent à la réalité………à chaque réveil je me demande combien de temps j’ai pus dormir………un courant d’air me réveil, j’entends le bruit étouffé des talons aiguilles sur le carrelage, Aurélie m’enlève ma cagoule après m’avoir giflé pour s’assurer de mon réveil, elle me dit : - Le programme de la matinée, ce sera une promenade dans notre forêt autour de la maison, un peu d’exercice te fera du bien Puis elle saisi les poids mais avant de les détacher, elle s’amuse un peu avec en les soupesant, tirant dessus et rigole en entendant mes gémissements. Elle me détache de mon mur et m’enlève mon bâillon. Je me mets à genoux tête baissée, attendant les ordres. - Met toi dans le hall d’entrée et attends nous !!!!! Je m’exécute. J’attends plusieurs minutes, toujours à genoux tête baissée, les jumelles arrivent enfin. Angélique me met un coup de pied dans le cul, ce qui à pour effet d’enfoncer un peu plus mon plug : - Pendant que nous nous habillons, tu vas filer aux toilettes faire tes besoins !!!!!!! Et ne traîne pas, tu as intérêt à revenir avant que nous ayons fini, sinon…….. Et de nouveau je prends une décharge dans le sexe pendant quelques secondes. Je me dépêche de me rendre aux toilettes à genoux, j’enlève mon plug, et m’assied pour faire mes besoins le plus vite possible, je m’essuie du mieux possible le sexe à cause de la cage et après 2 ou 3 secondes d’hésitation je remet le plug en place. Je retourne dans le hall, me remet en position, au même moment Angélique sors du local suivi de sa sœur, elles sont toutes les deux vêtues pareil, un long manteau, un bonnet et un manchon en fourrures blanches, elles portent de fines cuissardes noires très pointues avec un très haut talon. Angélique passe devant moi, elle me met des pinces à sein plus grosses que la veille et plus douloureuses aussi et me demande d’enlever mes escarpins après avoir ouvert les cadenas. Aurélie me tend alors des bottines qui m’arrivent un peu au-dessus des chevilles, les talons sont plus hauts que ceux de mes escarpins puis elle ouvre la porte d’entrée et m’ordonne de me mettre debout et de sortir. Je m’exécute, il fait froid mais le soleil est éclatant et la douceur de ses rayons me fait mieux supporter la température que la veille. J’ai un peu plus de mal à tenir l’équilibre que sur mes escarpins mais le fait que la cheville soit mieux prise, je m’y fais très rapidement. Je suis surpris de ne pas être attaché. Aurélie me tire par les couilles et me fait avancer jusque dans le garage. Là Angélique m’attend près d’une petite carriole à bras avec un harnais. Elle m’équipe et en peu de temps je me retrouve attaché à l’avant de la carriole, un mors entre les dents, des pinces crocodiles aux couilles. - Voilà les règles, quand tu prends une décharge dans la couille droite tu tournes à droite, dans la couille gauche, tu tournes à gauche, quand tu reçois une décharge rapide dans les deux couilles tu ralentis, quand la décharge se prolonge, tu accélères jusqu’à ce que çà s’arrête. Bien sûr, tu as intérêt à conduire en douceur, sinon…… Et encore une fois la cage s’électrifie pendant quelques secondes jusqu’à ce que je lâche un râle de douleur. Les filles s’installent confortablement dans la carriole et des picotements désagréables dans les couilles me font comprendre que je dois démarrer. Très vite je commence à regretter mes nouvelles chaussures, la taille des talons me fait de plus en plus mal aux pieds. Nous prenons le chemin devant la maison, et peu après les arbres se dresse ouvertes devant nous deux énormes portes métalliques surplombées de caméras. Passé la porte je commence à ralentir pensant à ce qui m’avait été dit la veille concernant le fait que je ne devait pas m’éloigner de la maison sous peine que ma cage s’électrifie mais des picotements dans les couilles me font comprendre que je dois accélérer jusqu’à avancer au trot : - Il n’y aura pas de problème, dit Aurélie, nous avons avec nous un petit émetteur portable, la cage ne se déclenchera qu’à notre demande…….comme çà……. Après avoir parcourus quelques mètres, j’entends un bruit de moteur au loin puis se dessine devant nous une grosse berline. Déjà je sens la honte m’envahir à l’idée de croiser quelqu’un dans ma situation, je commence à ralentir, mais je suis immédiatement rappelé à l’ordre. La voiture nous croise sans ralentir, j’aperçois à l’intérieur une très belle femme brune et trois hommes : - Pile à l’heure, dit Angélique, j’espère que cette fois le ménage sera bien fait - Ne t’inquiète pas petite sœur, avec la correction qu’ils ont reçu la dernière fois çà devrait aller, c’est fous comme il faut rappeler les choses aux hommes, parce qu’ils ne sont plus à notre service depuis un an, ils se croient permis de se laisser aller - De toute façon leur Stéphanie est avec eux, elle saura les punir si çà n’avance pas assez vite ou si çà n’est pas assez bien à son goût En entendant leur conversation, je suis pris d’un frisson et je comprends que ces hommes sont passés avant moi entre leurs mains et que à partir de ce jour ma vie serait définitivement différente, que je leur appartiendrais toujours quelque part……….ma couille droite me fait comprendre que je dois m’engager dans le petit chemin qui s’enfonce dans la forêt. Il y a un peu moins de neige grâce aux arbres, ce qui me permet d’éviter les trous et les branches tant bien que mal, mais pas à chaque fois et aussitôt je reçois des décharges dans le sexe pour me punir de ma façon de conduire. Tout le long du trajet, les filles parlent de leur soirée d’hier, entre deux elles se moquent de moi, m’insultent………mes couilles me rappèlent à l’ordre à chaque fois que je ralentis un peu le pas, j’ai très mal aux pieds, j’ai froid………….après environ une demi heure, nous nous arrêtons en plein milieu de la forêt. Les filles descendent et me détachent de la carriole. Pendant qu’Angélique me fait avancer jusqu’à un arbre, Aurélie sort des cordes d’un petit coffre accroché à l’arrière de la carriole, arrivée près de moi, elle m’attache solidement les poignets, lance la corde par-dessus, tire sèchement dessus jusqu’à ce que mes pieds touchent à peine le sol et m’attache de nouveau les poignets avec l’autre bout, m’obligeant à garder les bras en l’air. Ensuite elles me plaquent face contre l’arbre, le froid me fait lâcher un long râle, sans y prêter attention elles me passent une corde au niveau de la taille et des jambes pour me garder plaqué contre l’arbre : - Bon, voilà une bonne chose de faite, dit Angélique à sa sœur, on va se promener un peu avant de s’amuser ? - Oui, rien de presse - Surtout tu ne bouges pas d’ici hein ?......hi,hi,hi,hi Et elles s’en vont poursuivant leur route sur le petit chemin, me laissant attaché à mon arbre dans le froid. Le temps passe, de très longue minutes, interminables, je commence même à me demander si elles vont revenir. Après près d’une heure, je les entends revenir, une décharge dans me sexe me le confirme : - Il est toujours là, dit Aurélie, c’est bien, il commence à comprendre……….hi,hi,hi,hi…… - Mais regarde un peu, on dirait qu’il à froid, je ne comprends pas, pourtant moi j’ai bien chaud dans ma fourrure…..ha,ha,ha,ha… - Pareil pour moi, mais ce n’est pas grave, on va s’occuper de le réchauffer……..ha,ha,ha,ha……. Aurélie retourne au coffre et en sort une cravache et un grand fouet qu’elle déroule et fait claquer près de ma tête avec dextérité. Elle donne la cravache à sa sœur et m’enlève le mors : - Bon, dit Aurélie, on va te réchauffer le corps, tu compteras les coups et nous remercieras à chaque fois - Je pense que cent coups feront l’affaire, ne te trompe pas dans ton compte, sinon on devra reprendre à zéro. Et pas de cris ou tu t’en prends 10 de plus. Clac !!! « 1, merci Princesse Aurélie, merci Princesse Angélique »…….Clac !!! « 2, merci Princesse Aurélie, merci Princesse Angélique »……....les coups tombent les uns après les autres, les filles prenant leur temps entre chacun d’eux…………….Clac !!! « 15, merci Princesse Aurélie, merci Princesse Angélique » ………..les coups qui étaient juste un peu mordant au début à cause du froid me font de plus en plus mal, je me retiens de crier……………Clac !!! « 35, , merci Princesse Aurélie, ….merci Princesse Angélique »………..Clac !!! « 36, merci ……..Princesse …….Aurélie, merci ………Princesse Angélique »………….elles me visent les cuisses, les jambes, le dos………………Clac !!!! « 52, ………merci ……..Princesse ………Aurélie…….., merci ……….Princesse ……Angélique »………..Clac !!! « Ouch !!! 53, merci Princesse Aurélie, merci Princesse Angélique » - Ah,ah !!!! Un petit cris, tu viens d’en gagner 10 de plus - Mais c’est qu’il doit aimer çà pour en redemander, on va en remettre encore 10 de plus alors Clac !!! « 54, merci Princesse Aurélie,……………… merci Princesse Angélique »…….Clac !!! « 55, merci Princesse Aurélie, ………….merci Princesse Angélique » ………..Clac !!! « 65 , merci ……………Princesse Aurélie, ………merci ………..Princesse Angélique » - Je me boirais bien un petit quelque chose, qu’en penses-tu Aurélie ? - Oui, je vais chercher çà……..tiens, oh mais……il n’y en a que deux, quel dommage, notre paillasson va devoir s’en passer………hi,hi,hi,hi….. - Cà ne te dérange pas j’espère, me glisse sur un ton ironique Angélique à l’oreille? - Non, ………Princesse……………Angélique J’ai très soif, je n’ai rien bu depuis la veille et la nuit dans mon placard poussiéreux n’a rien arrangé, mais je suis plus concentré sur la douleur provoquée par les coups de fouet et de cravache et le nombre sur lequel je me suis arrêté, je ne supporterais pas de reprendre la série à zéro. Elles vont s’asseoir dans la carriole pour boire tranquillement leurs canettes, pendant ce temps j’essaie de reprendre mes esprits pour la suite. Après une dizaine de minutes, elles se lèvent et Clac !!! « 66 , merci Princesse Aurélie, merci Princesse Angélique »…………..Clac !!! « 67, merci Princesse Aurélie, merci Princesse Angélique »……….ces premiers coups me réveillent la douleur de la première série, avec le froid, elle s’était un peu endormie, là elle se fait encore plus présente, je me retiens de crier…………Clac !!! « 90, mer……….ci ………..Prin………..cesse ……………Aurélie, ……………merci …………Princesse …………….Angélique » - Un peu d’énergie voyons !!!!! Si tu t’endors, on va te réveiller !!!!!!!! Clac !!! « 91, merci Princesse Aurélie, merci Princesse Angélique »………….je retiens ma respiration en attendant chaque fois le coup suivant……….Clac !!!, je n’arrive plus à retenir mes larmes « 92, merci Princesse Aurélie, merci Princesse Angélique »………………Clac !!! « 119, merci ……Princesse …….Aurélie, merci ……Princesse ……Angélique »……..Clac !!! « 120, merci …..Princesse ……Aurélie, merci …….Princesse Angélique »………çà y est, c’est fini, je commence à me relâcher, mes joues sont couvertes de larmes………..après une minute,……Clac !!! « Aaaaaiiiieeee !!! », surpris je pousse un cris - Allez, on va te faire une faveur, encore 20 coups puisque tu as apprécié et 10 de plus pour ton cris - Qu’est-ce qu’on dit ???!!!! « 121, merci Princesse Aurélie, merci Princesse Angélique »………Clac !!! « 122, merci Princesse Aurélie, merci Princesse Angélique »…..Clac !!! « 149, merci ……Princesse …..Aurélie, …..merci …..Princesse …..Angélique »……..Clac !!! « 150, merci ….Princesse …….Aurélie, ……merci …..Princesse ……Angélique »………..Les filles retournent ranger fouet et cravache dans le coffre et viennent me détacher. Dès qu’Aurélie me détache les poignets, je m’effondre au sol, la tête me tourne, le froid de la neige et du sol ne me font presque pas d’effet vu ce que je viens de subir……….. - Allez !!! me dit Angélique, tu peux nous remercier en nous baisant les pieds cent fois chacune - Allons nous asseoir, on sera plus à l’aise - Suis nous !!!! A genoux !!!! Je me traîne difficilement jusqu’à la carriole et commence à leur baiser les cuissardes, comptant mes baisers et remerciant les jumelles. Une fois fini, elles m’attachent de nouveau au véhicule, me mettent de nouveau le mors et nous repartons vers la maison. Finalement je suis content qu’il fasse froid, çà calme un peu les douleurs. Comme à l’aller, mes couilles m’indiquent la direction à suivre, la vitesse à respecter. Comme à l’aller elles discutent de tout et de rien et entre deux se moquent de moi, me font remarquer qu’elles ont été plus que gentille de m’avoir permis cette sortie, de s’être occupées de moi……………..Une fois arrivés, je remarque que la voiture n’est plus là, nous entrons dans le garage elles me laissent lécher les roues de la carriole, l’endroit où elles y ont posé leurs pieds et le sol du garage pour enlever toute trace de neige, n’oubliant pas à l’occasion de me balancer quelques décharges prétextant que je suis trop lent. Nous rentrons enfin, je lèche leurs cuissardes et mes chaussures de la neige et des saletés qui s’y sont déposées. Une fois fait, je reçoit de la part de chacune d’elle un coup de pied dans les couilles en remerciement de la sortie qu’elles m’ont fait faire et leur baise dix fois les pieds en les remerciant puis un coup de pied dans les couilles pour les remercier de m’avoir laissé lécher la carriole, le garage et les chaussures et je leur baise de nouveau dix fois les pieds en les remerciant. Ensuite elles m’envoient prendre une douche et une fois fait, elles m’attachent dans mon placard le temps qu’elles se préparent pour le repas……………….. Je suis affamé, même si je me doute que les filles vont me faire passer un mauvais moment, je suis pressé. La porte s’ouvre, Aurélie me détache après m’avoir mis 3 coups de genoux dans les couilles, je me met à genoux et lui baise dix fois les pieds pour et la remercie comme c’est la règle. Elle porte de jolies mules roses, ses pieds nus sont parfaits, son vernis rose brillant est assorti a ses mules. Elle porte une petite robe blanche qui lui arrive aux genoux. Je la suis à genoux, nous nous rendons dans le salon. La table est dressée pour deux, sa sœur se délasse dans le canapé, elle est chaussée de mules noires, elle aussi a des pieds parfaits dont le verni rouge vif fait ressortir encore plus la beauté, elle porte une petite robe identique à celle d’Aurélie mais noire. Du doigt elle me fait signe d’approcher et une fois près d’elle, elle me balance un coup de pied dans les couilles, je lui baise alors les pieds dix fois et la remercie. Aurélie prend place auprès d’elle : - On a bien mérité de se détendre après cette matinée - Oh oui, je suis éreintée répond Angélique puis se tournant vers moi, vas-y paillasson, je t’autorise à nous aider à nous en nous léchant les pieds Je m’approche alors des pieds d’Angélique, enlève délicatement ses mules et commence à lécher. Pendant que je m’occupe d’elle, Aurélie se sert de mon dos comme repose-pieds en prenant soin de m’enfoncer de temps en temps les talons de ses mules dans la peau encore douloureuse du traitement de ce matin. Après quelques minutes, elle me tend ses pieds, je rechausse alors Angélique qui à son tour m’utilise comme tabouret pour ses pieds. Et ainsi de suite chacune leur tour. Bien entendu, la situation commence à m’exciter, mais étonnement j’arrive me contenir, sûrement le souvenir de la douleur de mon sexe serré dans cette cage et la peur de recevoir une punition. - Eh bien, dit Angélique, ce paillasson commence à apprendre à rester à sa place, je crois qu’il sera parfaitement prêt pour Sophie à la fin de sa fomation. - J’en suis même certaine répond Aurélie, de toute façon il vaut mieux pour lui……hi,hi,hi,hi - J’espère qu’elle nous le prêtera de temps en temps, même lui je pense qu’il est déjà déçu à l’idée de ne rester ici que deux semaines et qu’il sera ravi de revenir nous servir par la suite, n’est-ce pas paillasson - …..oui, Princesse Angélique - Ah, formidable rigole Aurélie, j’étais sûre que rapidement il ne pourrais plus se passer de nous……………ha,ha,ha,ha - C’est notre beauté çà, comment veux-tu qu’une chose inférieure comme çà puisse nous résister - N’est-ce pas que nous sommes belles, paillasson………hi,hi,hi,hi - Oui, Princesse Aurélie Après une demi-heure de discussion et de léchage, les jumelles se lèvent : - Aurélie, pour avoir eu le privilège de nous lécher les pieds, combien de coups de pieds dans les couilles cela vaut-il - Oh, çà en fait bien 5 chacune, c’est quand même un grand honneur nous lui avons fait là - Bien, alors çà en fera 10 en tout alors. Je te préviens, si tu pousse un seul cris, tu sauteras le repas !!!!! Vlan !!!! Vlan !!!!! Vlan !!!! Vlan !!!! Vlan !!!! Angélique m’envoie ses 5 coups rapidement mais violement, j’en ai le souffle coupé, je me retiens de crier, j’ai très faim. Vlan !!!!Vlan !!!! Vlan !!!! Les coups d’Aurélie sont plus lents mais très forts et bien placés. Vlan !!!! « Mmmmuuuuufffff !!!!! », au neuvième coup je laisse échapper un soupir de douleur : - Oooohhhhh !!!! Quel dommage me dit Aurélie, tu ne vas pas pouvoir manger avec nous…………ha,ha,ha,ha Et elle me balance le dixième coup qui m’arrache encore un cris de douleur étouffé - Deux fois !!!!! Tu mérites une punition !!!!! - Mais tout à fait Aurélie, répond Angélique sur un ton ironique - Baise nous les pieds et remercie nous qu’on s’occupe de toi Je m’exécute puis elles me trainent dans un coin de la pièce ou se trouve une petite malle. Aurélie l’ouvre et en sors des menottes avec lesquelles elle m’attache les mains dans le dos. Puis elle me demande après avoir enlevé mon plug d’entrer à l’intérieur à genoux. Arrivé au-dessus de la malle, je vois deux godes fixées à gauche et à droite de la malle : - Dépêche-toi !!!!! J’ai faim !!!!! me crie Angélique - Un dans la bouche et un entre les fesses !!!! Vite !!!! Je commence à mettre le premier gode dans ma bouche, aussitôt Aurélie me passe des lanières autour de la tête, m’obligeant à garder l’objet au fond de ma bouche. Vu ma position et la petite taille de la malle, j’ai le second gode un peu plus gros que celui avec lequel elles m’ont sodomisé la veille qui me rentre à moitié entre les fesses. - Bien, dit Angélique, on peut aller manger Et elle referme la malle à clef, le couvercle en m’appuyant sur le dos m’oblige à me plier un peu plus et de ce fait m’enfonce le gode aux trois quart entre les fesses. De légers courants d’air dans mon dos me rassurent quand à la façon dont je vais pouvoir respirer dans ce petit espace. Comme à leur habitude, elles m’ont laissé dans une position très inconfortable qui m’oblige à me tortiller mais à chaque mouvement soit le gode au fond de la gorge me donne des hauts le cœur, soit le gode que j’ai dans le cul s’enfonce complètement ou ressort un peu. De ma malle, j’entends le bruit que font les couverts des filles en train de manger. Elles prennent tout leur temps, parfois je les entends se délecter et s’extasier du repas, parler, rire de moi,………... Le repas dure longtemps………..elles prennent tout leur temps…………me balançant de temps à autre des décharges dans le sexe qui me fait m’enfoncer les godes profondément, juste après je les entends rire à gorges déployées……….enfin leur repas se fini, le couvercle de la malle s’ouvre : - Regarde Angélique, notre paillasson s’est transformé en un porc embroché……..ha,ha,ha,ha - Hi,hi,hi,hi……..mais dis moi, çà fait à peine une heure qu’il est là-dedans, il à l’air si bien, ce serai dommage de le sortir maintenant, je pense que nous pouvons aller nous promener en ville et le laisser profiter Et elles referment la malle à clef. Bientôt il n’y a plus un bruit dans la maison. J’entends le bruit de la voiture qui s’éloigne et…………plus rien……..je suis seul……..j’ai faim………heureusement la neige que j’ai léché ce matin et l’eau que j’ai bu au pommeau de douche ont un peu étanché ma soif, un peu car j’ai pris soin de ne pas boire beaucoup pour pouvoir me retenir d’uriner………le temps passe………encore une fois lentement……….très lentement……...1 heure ?……..2 heures ?……… pas un bruit………..la position est si inconfortable que je n’arrive même pas à dormir pour que le temps passe plus vite…………3 heures ?..............j’entends un moteur de voiture et après quelques minutes la malle s’ouvre : - Bon, maintenant que tu as bien profité de ta malle, c’est à notre tour de s’amuser - Oui, répond Angélique en me détachant, ce shopping m’a mise en forme et j’ai hâte d’essayer nos nouvelles bottes Je sors de la malle, j’ai la gorge sèche et très mal entre les deux fesses. Je me met à genoux tête baissée, Aurélie porte des bottines neuves très pointues avec des hauts talons en métal, Angélique elle porte des escarpins ouverts neufs également avec de très hauts talons noirs, je ne tarde pas à les inaugurer à mon tour, à peine sorti de ma malle elles me balancent chacune leur tour leur pied droit dans les couilles pour avoir eu la bonté de m’offrir ces quelques heures dans la malle, comme d’habitude je leur baise les pieds et les remercie de leur générosité. Ensuite nous montons dans la salle de jeu, à peine entré dans la pièce je me retrouve comme la veille bâillonné et attaché sue le cheval d’arçon, je devine ce qui m’attend mais en voyant Aurélie passer à côté de moi, je suis pris d’un frisson voyant le gode plus gros et plus long que la veille. Très vite, elle commence à me limer, d’abord lentement puis de plus en plus vite, pendant ce temps Angélique s’amuse à me fouetter le dos. De nouveau je fini par prendre plaisir à me faire limer mais vu la taille de l’objet, cette fois la douleur reste plus présente qu’hier. Ensuite c’est Angélique qui m’enfonce le gode sur le même rythme que sa sœur pendant que celle-ci s’assied sur ma tête, me plaquant le visage contre le velours du cheval d’arçon m’empêchant de respirer pendant de longues secondes. Lorsqu’elle se relève pendant un bref instant c’est pour me balancer quelques gifles. Une fois leur affaire faite, Angélique me met le gode dans la bouche pour le nettoyer puis je reçois mon coup de pied dans les couilles. - Bien, maintenant, me dit Angélique, puisque tu es devenu notre paillasson il est normal que nous nous servions de toi comme tel - Allonge-toi !!!!, m’ordonne Aurélie Elle me menotte à des crochets sur le sol, les bras et jambes écartées puis me passe des sangles m’empêchant de remuer des pieds à la tête. Ensuite elle m’attache une corde autour des couilles, passe celle-ci dans un anneau situé au sol et y accroche un poids de trois kilos. - Comme d’habitude, la règle est simple pour ta petite tête de paillasson, à chaque fois que tu crieras tu gagneras le droit de recevoir un coup de pied dans les couilles à la fin de la séance. Si tu cries plus de vingt fois tu passeras la soirée dans ta malle et peut être même la nuit si on en a envie. - Compris ???!!! Le poids accroché à mes couilles me fait si mal que dès que j’ouvre la bouche je ne peux m’empêcher de retenir un cri de douleur : - Ooouuuuccchhhh !!!!! Oui Princesse Aurélie. - Et d’un, j’étais sûre que tu avais envie de retourner dans ta malle, mais laisse nous profiter quand même sinon c’est pas drôle, hi, hi,hi,hi….. Aurélie me met alors le talon dans la bouche : - Suce-le!!!!! A peine ai-je commencé qu’Angélique me saute à pied joints sur le ventre avec ses talons haut m’obligeant à lâcher de nouveau un cri mais en ouvrant la bouche le talon d’Aurélie atterrit au fond de ma gorge me forçant à lâcher un râle : - Et de trois, j’étais sûre qu’il adorerait çà, dit Angélique Et la séance continue, elles m’écrasent longuement les mains, font mine de vouloir me crever les yeux à l’aide de leurs talons aiguille. Lorsqu’elles me montent sur le ventre elles saisissent la corde pour s’aider à garder l’équilibre ne manquant pas de tirer bien fort dessus et le relâchant d’un seul coup, les trois kilos finissant leur travail pour m’arracher le cri désiré au moment désiré. Elles me travaillent le bout des seins à l’aide de leur talons, s’essuient les chaussures sur mon corps, me ruent de coups de pied, sautent à pied joint sur les diverses parties de mon corps……..tout est bon pour leur plaisir, pour m’arracher des cris……..et bien que j’essaie de me contrôler, on fini par arriver à 20 puis 25 jusqu’à 30 cris. - Bien, dit Angélique, je pense que l’on peut passer à la suite, en plus j’ai besoin de faire pipi - Oui, moi aussi, attends un instant, j’ai une idée, bande lui les yeux je reviens. Je me retrouve dans le noir me demandant ce qui va encore se passer. Peu après j’entends les pas d’Aurélie qui revient près de moi. Elle me scotche une espèce de petit entonnoir sur la bouche et peu après un liquide chaud m’arrive au fond de la gorge. Je comprends vite que les filles ont décidé de se servir de moi pour satisfaire leurs besoins. Je me retiens d’avaler le liquide mais je suis vite obligé de changer d’avis si je veux pouvoir respirer, alors je bois à pleine gorgés et finalement je finis par apprécier le goût, de toute façon cela vaut mieux vu que je n’ai pas le choix. Une fois fait, les jumelles m’attachent, bâillonné, sur une croix de Saint-André en vue de ma punition et sortent de la pièce. Pendant leur absence je me remets un peu de ce qu’elles viennent de me faire subir et j’essaie de me préparer à recevoir mes 30 coups de pieds dans les couilles. Lorsqu’elles reviennent, elles rentrent pieds nus mais les bras remplis de chaussures allant des fines mules jusqu’aux grosses bottes en passant par des chaussons, des bottines, des chaussures à talons compensés……… - Je vais commencer en douceur, dit Angélique en mettant un gros chausson de fourrure marron à son pied droit Pouf !!! D’un coup sec elle tape juste entre mes deux jambes, la douceur fait vite place à la douleur. - Ooohhh, tu es trop gentille avec lui, dit Aurélie en s’approchant de moi Elle porte une petite mule rose que j’ai à peine le temps d’admirer. Là encore le coup est sec mais un peu plus douloureux. Et la punition continue, elles enchaînent les chaussures les une après les autres, tapant plus ou moins fort en fonction de leur bon vouloir, parfois avec élan ou sans élan……….. Après une vingtaine de coups, je me retrouve en larmes : - Eh bien, rigole Aurélie, ce paillasson n’a vraiment rien dans le ventre…..hi,hi,hi,hi - Eh non, répond sa sœur, les esclaves ne sont plus ce qu’ils étaient……hi,hi,hi,hi Et plutôt que d’être amadouées elles redoublent de puissance, et s’amusent de ma situation. Après une quarantaine de coups, Aurélie dit : - Oh !!! mais on a dépassé le nombre de coups promis - Mais c’est vrai, je m’amuse tellement que je n’ai même pas fait attention - Et notre paillasson qui ne nous dit rien, c’est qu’il doit aimer çà…hi,hi,hi,hi - Je propose que nous allions boire un verre avant de ranger notre paillasson dans sa malle, qu’en penses-tu Aurélie ? - Je te suis très chère Elles sortent de la pièce, me laissant encore une fois les couilles en feu, la tête au bord de l’explosion et le visage couvert de larmes. Quand elles reviennent me détacher, je commence tout juste à pouvoir retenir mes larmes et à peine libéré, je tombe au sol incapable de tenir sur mes jambes : - A genoux !!!! Vite !!!!! Je me mets autant que possible à genoux pour recevoir deux nouveaux coups de pieds pour remercier les filles du temps qu’elles m’ont accordé. Coups qui m’envoient immédiatement au sol. J’en profite pour leur baiser les pieds et reprendre mes esprits. Une fois nous retournons dans le salon où je finis dans la malle, de nouveau les bras attachés dans le dos, un gode dans la bouche et un autre plus gros que tout à l’heure entre les fesses : - Comme tu avais l’air d’aimer le gode avec lequel je t’ai limé tout à l’heure, me dit Angélique, j’ai voulu que tu puisse en profiter encore - Ah et aussi une petite nouveauté, reprends Aurélie, je ne voudrais pas que tu t’ennuis pendants que nous serons sorties avec Angélique, alors j’ai installé une petite minuterie qui t’enverras une décharge de cinq secondes dans le sexe tous les quarts d’heure - On est vraiment trop bonnes avec toi…….. Elles referment alors le couvercle et s’éloignent en rigolant. La soirée va être très longue et très douloureuse……..à chaque décharge je compte le temps qui passe………..2h00……..4h00………5h00………….vers 2h00 du matin les jumelles rentrent, ouvrent le couvercle de la malle et décident finalement de me laisser passer le reste de la nuit ici………………. Dans la matinée, Angélique ouvre la malle mais décide de me laisser là pendant qu’elle et sa sœur déjeunent tranquillement. J’ai mal un peu partout, avec le gode dans la bouche depuis hier je sens à peine ma mâchoire si ce n’est quelques crampes de temps en temps mais ce n’est rien comparé à mes genoux ou mes couilles. Par contre je fini par m’étonner d’apprécier le gode qui se trouve entre mes fesses, mais les crampes que j’ai un peu partout me font vite oublier çà. - Installe toi Aurélie, je t’ai servi ton thé avec un nuage de lait comme tu l’aimes - Merci Angélique, mais j’y pense paillasson prendra peut être quelque chose aussi - Mais oui, est-ce que tu veux quelque chose pour ton petit déjeuner ? Je meurs de faim mais le gode m’empêche de répondre. - Eh bien, paillasson, répond quand je te pose une question !!!!! Et Angélique me balance une décharge dans les couilles pendant une dizaine de secondes. Je laisse quelques murmures échapper pendant que les filles se mettent à rire de la situation, me regardant remuer dans ma malle. - Bon, reprend Aurélie, je crois qu’il ne veut rien d’autre que çà. Mais puisqu’il aime je vais lui envoyer encore quelques décharges Et cela reprend de plus belle, tout au long du petit déjeuner, elles m’envoient des décharges de 10,20 ou 30 secondes. J’ai les couilles en feu, de plus en plus de crampes à force de me crisper à cause de la douleur. Ce repas me semble interminable. Les sœurs s’amusent comme d’habitude de la situation et plus j’ai mal plus elles rient. - Bien, dit Angélique, tout çà m’a mise en forme. Que dirais tu d’une petite séance avec notre paillasson avant l’arrivée de nos amies - C’est d’accord pour moi, répond Aurélie, et pour toi paillasson - Mmmmm…….mmmmmm - Formidable, reprends Angélique, puisque tout le monde est partant, allons-y Elle me détache et me fait sortir de la malle, j’ai mal partout, je ne tiens pas sur mes jambes. J’en oublie de baiser les chaussons des filles, le rappel à l’ordre ne se fait pas attendre, une très longue décharge accompagnée d’un sermon me rappellent mes devoirs. Je me met tant bien que mal à genoux et m’exécute en leur baisant les pieds et les remerciant pour ma nuit passée dans la malle et le fait de me proposer de jouer avec elles. Nous montons dans la salle de jeux, je suis les filles à genoux tant bien que mal, encore tout engourdi de ma nuit. Encore une fois je me retrouve à genoux, Angélique passe derrière moi avec un gode encore un peu plus gros que la veille qu’elle m’enfonce violemment entre les fesses. Je ne peux m’empêcher de laisser échapper un cri de douleur aussitôt sanctionné par un coup de fouet sur le dos de la part d’Aurélie : - La ferme !!!!! Tu t’exprimes quand on t’y autorise !!!!!!!! Et Angélique continue de plus belle son affaire pendant qu’Aurélie prépare la suite. Après quelques minutes, Angélique s’arrête, me laisse le gode dans les fesses. Je lui baise les pieds ainsi qu’à sa sœur en les remerciant. Peu après je me retrouve attaché les bras et jambes écartées. - Bien, dit Aurélie, nous allons commencer par dix coups de pieds chacune dans tes petites couilles pour avoir osé crier tout à l’heure. Bien entendu, si tu laisses un autre cris s’échapper, tu auras droit à 5 coups supplémentaires de la part de chacune d’entre nous…….. Et cela commence, Aurélie m’envoie sa bottine dans les couilles, la douleur commence dans mon bas-ventre. Je me retiens. Et 2,3,4,5 les coups pleuvent, en quelques secondes elle à fini son affaire. J’ai à peine le temps de reprendre mon souffle que sa sœur enchaîne, elle porte des escarpins noirs très fins mais les coups que je viens déjà de recevoir m’ont déjà mis les couilles en feu et ceux-ci me semblent encore plus douloureux. Elle prend son temps, fait mine de me balancer son pied et quand je ne suis plus sur mes gardes, elle m’envoie avec force son pied. Au bout de 4 coups, je ne peux m’empêcher de crier et lâcher « salopes ». Je me rends compte de ce que je viens de dire et j’imagine aussitôt la que la réaction des sœurs va être terrible. Aussitôt Aurélie me bâillonne et me met une cagoule: - Comment oses-tu !!!!!!!! - Tu vas le regretter, dit Angélique, on va t’apprendre le respect !!!!!!!!! Aurélie m’attache alors des pinces sur les seins pendant que sa sœur me passe une corde autour des couilles en tirant d’un coup sec dessus pour les mettre bien en évidence. J’ai l’impression qu’elle va me les arracher. Je me retrouve sur la pointe des pieds pour limiter le plus possible la tension de la corde. - Bien, dit Angélique, je vais finir ce que j’ai commencé, puis tu recevras 20 coups de pieds supplémentaires de la part de chacune d’entre nous. Ne t’inquiète pas ce n’est que le début…….. Et elle commence, les coups pleuvent les uns après les autres, 10,15,20…….la douleur est terrible, je regrette terriblement ce que je viens de dire, çà à décuplé la puissance des coups de pieds. Je comprends la différence entre le jeu et la punition……..30,35,40……..çà s’arrête enfin, je pleure sous ma cagoule, je commence même à regretter d’être un homme, je ne pensais pas que l’on pouvait souffrir autant avec les couilles. Mais à peine le temps de retrouver mes esprits, qu’elles m’attachent un poids de 5 kilos à ces couilles encore très douloureuses, puis elles enchaînent avec 40 coups de fouet sur les fesses puis dans le dos entrecoupés de paires de baffes et de coups de pieds dans les couilles que le poids de 5 kilos amplifie, elles sont à la limite de la rupture. Les coups pleuvent, je donnerais n’importe quoi pour n’avoir jamais dis çà, pour retourner dans la malle que j’étais content de quitter quelques minutes plus tôt. Tout mon corps me fait mal, me brûle. La punition dure de très longues minutes. - Bien, dit Angélique, je suis fatiguée - Oui moi aussi, je pense qu’il devrait avoir compris ce qu’est le respect. Tout çà m’a épuisée, allons nous doucher et nous préparer pour nos amies. - D’accord, allons-y Et elles sortent de la pièce me laissant seul attaché dans la pièce, j’ai mal partout……..des décharges électriques d’une dizaine de secondes dans les couilles me rappellent à l’ordre toutes les deux minutes, après ce que je viens de subir, la douleur est démultipliée, d’autant qu’il y a toujours ce poids accroché. Enfin la porte s’ouvre, les filles me détachent, je m’écroule sur le sol : - Bon, j’espère que tu as bien compris la leçon !!!!! Je leur baise les pieds et elles m’emmènent me laver à mon tour. Une fois fait elles me remettent des pinces sur les seins, me passe une barre d’écartement entre les jambes, me mettent un collier auquel elles attachent également une barre d’écartement pour mes bras. Aurélie me met un gode dans les fesses aussi gros que celui de tout à l’heure mais celui-ci est équipé d’un moteur qui le fait vibrer et fait ressortir de façon aléatoire des bourrelets sur tout le gode. Angélique fini en me mettant un baillon-boule dans la bouche : - Bien, après ce qui vient de se passer, tu seras privé de repas pour ce midi - Maintenant tu vas te mettre à genoux dans le hall d’entrée devant la porte et attendre nos amies pour les accueillir comme il se doit Je m’exécute, j’attends près d’une demi-heure ainsi, à l’arrivée de la voiture, Angélique vient ouvrir la porte. Trois superbes blondes apparaissent à la porte. Aurélie m’attrape par les cheveux et m’oblige à me coucher à terre. Comme si c’était une habitude, les trois femmes entrent et s’essuient les chaussures sur mon dos avant de s’avancer dans la salle à manger. La journée est loin d’être finie. En effet, alors que tout le monde s’avance dans le salon, Angélique m’ordonne de venir me mettre à genoux face au canapé. Je m’exécute et m’installe face aux cinq femmes. D’un coup de pied dans mes couilles encore douloureuses du traitement de tout à l’heure, Angélique m’ordonne de baisser le regard : - Pour qui te prends tu ? Décidément il y a encore du travail avec toi - Mais ne t’inquiète pas, reprend Aurélie, on en a maté des plus durs que toi Je me relève tant bien que mal, reprends position à genoux et baisse la tête. Le peu de temps que j’ai pus voir les invitées me laisse en mémoire une image idilique. Elles sont magnifiques, plus belles les unes que les autres. Elles n’ont même pas réagit à ce qui vient de se passer, et prennent l’apéritif sans même s’occuper de moi une seule fois. Je prend le temps d’admirer discrètement leur pieds chaussés d’escarpins noirs pour deux d’entres elles et de bottines rouges pour la troisième. Le temps passe, le sentiment de honte et de gêne que j’ai pus ressentir la au début de ma venue dans cette maison n’est plus très présent et je fini presque par être frustré de ne pas faire l’objet d’une quelconque attention même si je sais que cela sera forcément humiliant pour moi. Finalement mon attention se porte sur ces magnifiques pieds et le gode en action dans mon anus, l’effet fini par être plutôt agréable quoique douloureux par moment. Enfin elles se décident à passer à table : - File t’allonger sous la table !!!! , m’ordonne Angélique. Nous allons manger, bien entendu tu es privé de repas comme prévu !!!! Je me met en position sous la table. Les filles prennent place autour et allongent confortablement leurs pieds sur moi. Tout au long du repas elles s’amusent à l’aide de leurs talons haut à me torturer le corps. L’une d’elle à ses chaussures posées sur ma figure, elle enfonce ses talons dans mes joues, de temps en temps fait mine de vouloir me crever les yeux ou me percer les oreilles, ce qui n’est pas fait pour me rassurer. Pendant ce temps, deux autres paires de talons de chaque côté de mon torse me triture près des seins faisant rejaillir la douleur causée par les pinces. Elles s’amusent également de temps en temps à poser leur talons sur ma gorge. Là encore je m’inquiète lorsque de temps en temps un talon bien placé me coupe la respiration, ou que la pression se fait si forte que j’ai l’impression qu’elles vont me transpercer la gorge. Enfin les deux dernières s’en donnent à cœur joie avec mes couilles, les écrasant, les pressant, laissant tomber lourdement leurs pieds dessus……et en me torturant les cuisses. Le repas prend longtemps, près de deux heures, je suis partagé un sentiment de bonheur de servir enfin à quelque chose, un sentiment plutôt fugace de honte en songeant à la situation et en pensant à ce que j’étais il y a encore une semaine et des douleurs sur tout le corps causés par ces cinq paires de talons hauts, les pinces à seins et le gode que je fini par trouver de plus en plus désagréable après plus de trois heures à vibrer et à bouger dans mon anus. Une fois le repas fini les femmes décident d’aller se promener autour de la maison. Angélique m’enlève le bâillon afin que je baise les pieds et remercie chacune d’entre elles pour le moment passé. Puis elle me bâillonne de nouveau avant de m’ordonner d’aller les attendre dans le hall d’accueil. Je les attends un quart d’heure ainsi. Elles arrivent, enfilent toutes les cinq leur manteau de fourrure tous plus épais et plus longs les uns que les autres. Une fois chaudement vêtues Aurélie ouvre la porte, je suis toujours à moitié nu, l’air entrant me glace le corps, Angélique m’attrape fermement par les couilles et me tire à l’extérieur de la maison. Avec les talons hauts et les jambes toujours écartées je manque de tomber des marches. Angélique me compresse les couilles et tire de plus en plus fort dessus, je suis obligé de suivre. Une fois en bas, elle attache une laisse à l’un des annaux à la base de mes couilles et m’oblige à les suivre à 3 ou 4 mètres derrière, toujours les yeux baissés. Elles prennent tout leur temps, discutent encore de choses et d’autres avec leurs amies qui ne prêtent toujours pas plus attention à moi. Il fait encore froid aujourd’hui, j’apprécie énormément les moments ou j’arrive à capter un peu de la chaleur de ce magnifique soleil hivernal. Après une bonne petite promenade nous retournons vers l’entrée de la maison, enfin ce froid mordant va cesser. Quand tout d’un coup Angélique s’arrête et m’ordonne de me mettre à genoux dans la neige. Je sais qu’il est inutile d’essayer de refuser : - Tu croyais peut être que la punition pour l’épisode de ce matin était finie ? Et sur ce elle m’envoie sa botte dans les couilles, je m’écroule de douleur dans la neige qui me transperce tout le corps. Et dans la foulée, Aurélie commence à me donner des coups de pied dans le corps. Les trois amies se mettent aussi de la partie. Les coups pleuvent de partout, de temps en temps elles posent leurs chaussures sur ma tête, m’obligeant à garder la figure dans la neige durant de longues secondes. Elles s’amusent également à donner des coups de pieds dans la neige autour de moi pour me l’envoyer sur le corps. La sensation de douleur est très étrange, à la fois augmentée et atténuée par le froid. La séance dure près de 10 minutes qui me semblent 1h00. Après çà elles restent autour de moi, me regardant presque agonisant. Elles se lovent chaudement dans leurs fourrures et s’amusent du spectacle. Après de longues minutes allongé dans la neige, Angélique reprends la laisse en main, tire fermement dessus, m’obligeant à la suivre à genoux. Arrivé près de la maison, elle prend la laisse et l’attache à un anneau fixé dans le mur. Je suis obligé de rester à genoux, l’anneaux étant placé assez bas pour que je ne puisse pas me relever mais pas assez haut pour que je puisse me coucher, quoique la neige ne m’en donne pas tellement envie. - Bien, dit Angélique, nous allons rentrer nous réchauffer autour d’un bon café, pendant ce temps là tu va réfléchir à toute cette journée et te mettre en tête une bonne fois pour toute que tu n’es qu’un paillasson qui n’a aucun droit et tous les devoirs envers tes déesses. - Nous faisons de toi ce que nous voulons, dit Aurélie, c’est désormais ta vie. - Bien les filles, reprends Angélique, je pense que nous avons bien mérité de rentrer nous mettre au chaud. Et elles partent toutes cinq ma laissant là. A la position inconfortable, il faut ajouter le froid de la neige et les cailloux sous cette neige qui me rentrent dans la peau. Et toujours ce gode entre mes fesses qui lentement vibre et remue dans mon corps et des décharges électriques dans mes couilles toutes les 30 secondes qui m’empêchent de trouver la moindre position un temps soi peu confortable. Après près d’une heure, Angélique revient me détacher : - Tu vas rentrer, aller te doucher rapidement et venir dans le hall d’entrée !!! Exécution !!!! Une fois fait je reviens dans le hall, Angélique m’attache les mains dans le dos et me passe des menottes aux chevilles. Les chaussures avec lesquelles sont allé se promener les femmes sont devant moi : - Tu vas me nettoyer avec ta langue toute la neige et la saleté sur ces chaussures et au sol. Tu as une demi-heure, ne traîne pas. J’obéis, je lèche consciencieusement le sol, les chaussures de ces dames dessus et dessous en prenant soins qu’il ne reste pas la moindre saleté. Bien sûre j’avale tout ce que je lèche, cela constituera mon seul « repas « de la journée.. Une décharge dans les couilles toutes les minutes me permet de calculer le temps. Au bout d’une demi-heure, Angélique revient pour constater le travail effectué. J’ai correctement aligné les cinq paires de chaussures, elle prend les siennes et celles d’Aurélie pour les ranger dans le placard. Nous allons ensuite dans le salon ou les quatre femmes sont installées. Angélique prend place parmi elles. - Tu vas nous baiser les pieds et nous remercier pour ce que nous avons fait pour toi, m’ordonne Aurélie. Tu fera cela pour chacune d’entre nous cinq et recommenceras dix fois de suite. Et ne traîne pas !!!! Encore une fois j’obéis en gardant les yeux baissés. Une fois fait, Angélique me pointe la malle du doigt, je me dirige vers elle, je sais ou je vais encore passer ma nuit. Elle enlève le gode d’entre mes fesses, je ressent un énorme soulagement, elle remplace les batteries et le place dans la malle à l’endroit ou je placerais ma tête, un gode encore un peu plus gros m’attend à l’arrière de la malle. Je m’approche de la malle, il y a un tas de chaînes déposées tout au fond. Je m’installe, bien sûre la position déjà inconfortable est encore pire avec ces chaînes : - Tu ne croyais quand même pas que ta punition prendrais fin avant la fin de la journée, me lance Angélique - Jusqu’à demain matin tu resteras là, reprend Aurélie. - Ah et au fait, tu recevras une décharge de 10 secondes dans tes petites couilles toutes les 5 minutes et je te fais un petit cadeau avant de refermer. Elle me recouvre le corps d’une poudre et referme aussitôt le couvercle. Au bout de quelques secondes, je commence à ressentir des démangeaisons dans tout mon corps sans pouvoir y faire quoique ce soit, je comprends rapidement à quoi sert cette poudre. A l’extérieur, je perçois divers gémissements étouffés par le coffre qui me laissent à penser que ces amies sont plutôt très, très intimes. Cela dure quelques temps puis les femmes décident de finir leur soirée à l’extérieur et quittent la maison, me laissant dans ma malle pour les longues heures à venir, tout mon corps me démange, me fait mal……..Plus jamais de ma vie je n’insulterais une femme…….. J’entends la porte s’ouvrir, le cliquetis des talons haut se rapproche de moi. J’espère être enfin libéré. Je n’ai pas fermé l’œil, mon corps me démange de partout depuis hier soir, les démangeaisons m’ont empêché de dormir de toute la nuit. J’ai essayé de me frotter contre les rebords de la malle mais à chaque mouvement, les chaînes et les godes remplaçaient les démangeaisons par la douleur……..douleur remplacée aussitôt par de nouvelles démangeaisons…….. Enfin le couvercle s’ouvre : - Bien, la leçon est finie, me dit Aurélie, tu vas aller te doucher et descendre dans le hall Elle me détache, je lui baise les pieds et la remercie pour la punition. Malgré les démangeaisons persistantes, je ne prends pas le risque de me gratter ici et je file tout droit dans la salle de bain. Je me dépêche de me laver, je ne prends pas le temps de profiter du bien être procuré par l’eau sur mon corps de peur dépasser les 10 minutes qu’elles m’ont autorisé à prendre. Sitôt fini je redescend. Une fois arrivé dans le hall, Angélique et Aurélie m’attendent. Le sol est jonché des restes de leur repas de la veille : - Bien, dit Angélique, aujourd’hui je t’autorise à manger. Tu as une demi-heure pour lécher tout ce qu’il y a au sol. Aurélie m’attache les mains dans le dos pour corser la difficulté et monte dans sa chambre accompagnée de sa sœur. Après tout ce que je viens de vivre, saisi par la faim, je trouve même le moyen d’apprécier ce « repas ». J’absorbe goulûment tout ce qui se trouve à terre malgré quelques saletés par-ci par-là. Je lèche la moindre trace sur le sol. De temps en temps je bois un peu d’eau qu’elles m’ont déposé dans une écuelle. J’ai tellement faim que je fini sans problème dans le temps qui m’est impartit. Peu après les jumelles redescendent. Je me suis mis à genoux en bas de l’escalier. Je jette un regard rapide de côté. Elles sont superbement habillées à l’identique. Elles portent de longues robes noires moulantes qui mettent en valeur leurs formes parfaites, de fins escarpins noirs également. Un léger maquillage et des bijoux en or finissent de mettre en valeur leur beauté. Leurs cheveux blonds tombant sur leurs épaules sont tels une pluie de fils d’or sur le velours noir de leurs robes. Je garde la tête baissée de peur d’être vu et punis. J’entends le bruit de leurs talons dans les escaliers se rapprocher de moi. Aurélie me détache les mains et Angélique m’ordonne de lui baiser les pieds. Je m’exécute immédiatement et commence à lui embrasser l’un après l’autre ses magnifiques escarpins. Pendant ce temps Aurélie va chercher deux longs manteaux de fourrure en chinchilla noirs et gris. Elle en tend un à sa sœur et m’ordonne de lui baiser ses pieds également. J’obéis immédiatement puis après quelques secondes, Angélique me tend un stylo et des papiers : - Signe çà !!! Dépêche toi !!! Je signe sans lire les documents puis les filles m’emmènent dans le placard à balais pour m’y attacher. Pendant qu’elles me mettent mes liens, je peux sentir la douceur de leurs manteaux sur ma peau, par rapport à tout ce que je viens de subir, j’apprécie cette douceur comme jamais. Elles finissent par me mettre une cagoule, des petites pinces aux seins et un poids de 2 ou trois kilos aux couilles avant de fermer la porte. Je suis si fatigué que je m’endors au bout de quelques minutes, la position me semble très confortable après tout ce qui vient de se passer .……………. Au bout de quelques heures, je me réveille, je n’ai aucune idée de l’heure qu’il est. Le temps passe lentement. Je suis solidement attaché au mur, je ne peux pas bouger le moindre membre. Je trouve plutôt agréable le pincement au niveau de mes tétons mais le poids sur mes couilles lui est très désagréable. N’ayant rien d’autre à faire, je pense à la journée de la veille. Elle sera gravée pour toujours dans ma mémoire. La punition à été terrible. Puis je pense aux amies des jumelles, à la frustration que j’ai ressenti face au désintérêt qu’elles ont eu par rapport à moi. Pas un mot … pas un ordre. Finalement j’étais heureux de m’être fait piétiné durant leur repas et qu’elles m’ait rué de coups de pieds au cours de l’après-midi. Puis je repense aux documents que j’ai signés. Je n’ai aucune idée de ce qui était écris dessus. J’étais trop fatigué et de toute façon je n’aurais pas pris le risque de lire de peur de représailles. Le temps passe. Je commence vraiment à me demander l’heure qu’il est. Quand les jumelles vont-elles revenir ? Elles sont parties depuis combien de temps ? J’imagine qu’elles ont prévu de sortir pour la journée d’après les tenues qu’elles portaient ? Je me demande même un court moment si elles vont revenir ? Puis je m’endors de nouveau…..Je suis réveillé par le bruit étouffé de la porte d’entrée. Enfin elles sont rentrées. J’attends. Plus rien. Je ne sais toujours pas l’heure qu’il est. Je finis par me rendormir. Cette fois-ci je suis réveillé par l’ouverture de la porte du placard. Angélique m’enlève la cagoule, je suis ébloui par la lumière: - Bien, nous allons mettre quelques petites choses au point….concernant les papiers que tu as signé hier, je tenais à te faire savoir que tu viens d’envoyer balader ton patron avec une belle lettre d’insultes et donc de perdre ton travail - Ensuite, continue Aurélie, tu as donné tout ce que tu possèdes à Sophie et décidé de partir pour la Chine en laissant tout derrière toi Je réalise mal ce que j’entends. Je suis en train de perdre les dernières choses qui font parti de mon passé. - Donc, poursuit Angélique, tu n’existe plus pour personne à part Sophie et nous. Ce qui signifie que désormais ta vie nous appartient totalement. Ah oui, au fait, nous avons discuté avec Sophie et finalement nous allons te garder avec nous comme esclave personnel. - Oui, nous voulons profiter un peu du résultat de nos efforts et Sophie a décidée de te donner à nous en cadeau, en échange de tous tes biens. Sur ce elles me détachent et m’envoie me doucher. J’ouvre l’eau et commence à me mettre dessous et me laver. D’un coup, je suis pris de panique en voyant nombre de mes cheveux tomber dans le bac. Angélique entre à ce moment et ouvre le rideau de douche: - Ah au fait, j’ai oublié de te dire, dans le repas d’hier je t’ai mis un produit qui va te faire tomber cheveux et poils jusqu’au dernier, ma sœur et moi détestons çà. Fait donc bien attention à ne pas en laisser un seul sur ton corps à la sortie de ta douche…… Et elle sort de la salle de bain en rigolant à gorge déployée. Je continue de me laver, à chaque fois que je passe le gant sur mon corps, celui-ci se retrouve recouvert de poils. Je passe la main dans mes cheveux qui eux aussi viennent par poignées comme annoncé. Malgré la situation je me dépêche de finir et sors m’essuyer. Là mes derniers poils et cheveux partent avec la serviette. En passant devant le miroir, mon corps est parcouru par un frisson, j’ai l’impression de voir quelqu’un d’autre. Je sors de la salle de bain. Aurélie et Angélique sont là : - Aaahhhh !!! Voilà qui est beaucoup mieux, dit Angélique - Franchement, reprends Aurélie, maintenant il ne vaut même plus rien comme paillasson. - Non, je sais, mais ce n’est qu’un homme, on savait déjà qu’il ne valait rien. Je pense que désormais « esclave » sera plus approprié - Tout a fait. Ah, encore une chose, tu vas faire une petite cure d’hormones diverses qui vont te faire pousser les seins et t’empêcherons d’avoir la moindre érection. - Nos allons te modeler à notre convenance. Nous avions bien pensé à te couper tout attribut masculin, mais je pense que cela nous sera utile en cas de punition. Par contre il est bien entendu que nous seules avons droit de prendre du plaisir, donc cette petite cure réglera le problème définitivement…. Et pendant que j’essaie de prendre conscience de tout ce qu’elles me disent, elles partent dans un long fou rire…….. - Bien, reprends Angélique. Qu’attends-tu pour nous remercier !!!! Je m’agenouille et leur baise les pieds en les remerciant de s’occuper de moi. - Maintenant, esclave, nous allons te préparer pour le dîner !!! Nous allons dans la salle de jeu. Angélique me donne une nouvelle paire de chaussures à talons, des petites mules noires à brides. Cette fois encore, je me retrouve avec un gode entre les fesse, les bras attachés dans le dos, des menottes aux chevilles, de petites pinces en or aux tétons. Mais en plus cette fois-ci, j’ai droit à un maquillage allant du mascara au rouge à lèvre en passant par le fond de teint. Le tout fini par une longue perruque blonde: - Nous avons une invitée toute particulière aujourd’hui, dit Angélique, il faut que tu sois présentable Une invitée ? Je me demande qui peut venir pour demander une telle préparation. Finalement, je suis content d’être affublé de cette perruque après la perte soudaine de tous mes cheveux. Une fois fait, nous descendons dans le salon et Angélique me fait mettre à genoux face à la porte. Après quelques minutes Aurélie nous rejoint, elle entre dans la pièce et juste derrière elle arrive Sophie qui éclate de rire en me voyant………….
Daniel - le 17/09/2008 à 23h39
Cher Daniel, tu auras la palme du commentaire le plus long! Ton histoire est bien quoique un peu "trash" et exagérée, aucun homme ne résisterait longtemps à un traitement pareil...quoi qu'il en soit, le fantasme d'être le captif de plusieurs dominatrices sadiques est récurrent chez les soumis....ce qui est dommage, ce sont toutes les fautes....je veux bien te publier mais fais attention aux fautes de frappe et aux fautes d'orthographe....amicalement... MAEVA
MAESTRA MAEVA - le 18/09/2008 à 11h27
Bonjour Madame, merci pour la franchise de Votre réponse, pour les fautes d'orthographe, il est vrai que l'école est un peu loin, mon correcteur d'orthographe et moi feront plus attention. Sinon, à défaut de qualité, j'aurais au moins l'honneur de recevoir Votre palme pour la longueur, merci Madame. Sinon il est bien évident que je n'ai d'autre prétention que de vous offrir à tous les deux ce petit cadeau pour votre anniversaire, il Vous appartiens de savoir s'il est digne d'être lu par d'autre. En voici deux autres : 1 Enfin le printemps, les beaux jours sont revenus. C’est l’occasion rêvée pour se faire une petite série de photos des magnifiques pieds de Tanya. Après s’être mis d’accord, Léopold rejoint Tanya au départ d’un petit chemin de randonnée. Elle porte une petite jupe courte, un T-shirt blanc et une paire de baskets blanches également, lui donnant l’air d’une joueuse de tennis mais qui, vu sa beauté, se rendrait à un défilé de mode. Avant de partir, elle sort du coffre de sa voiture un sac de sport qu’elle tend à Léopold avec un sourire: - J’en ai choisi plusieurs, on verra bien ce qui nous inspire tout à l’heure Intrigué, Léopold prend le sac et l’ouvre pour découvrir avec bonheur diverses paires de chaussures que Tanya a pris le soin de choisir. Une paire de bottines, des mules roses, des mules noires avec une double bride de cheville et une paire d’escarpins rouges avec une bride de cheville également. Son cœur se met alors à battre la chamade, lui qui pensait faire simplement quelques photos en basket, s’imagine déjà avec ces chaussures aux pieds. Voyant son air ravis, Tanya lui fait de nouveau un grand sourire complice, imaginant tout à fait ce que Léopold à en tête à ce moment même, puis l’enjoint à prendre la route. Léopold reste derrière Tanya tout le long du chemin pour mieux admirer ses superbes pieds, elle lui explique comment elle désire poser tout à l’heure pour mieux mettre en valeur ses superbes pieds. De temps en temps Léopold jette un coup d’œil dans le sac, plongeant à l’occasion la main à l’intérieur pour caresser les écrins dans lesquels Tanya va bientôt enfermer ses pieds. Après une petite heure de marche, ils arrivent à une petite clairière ensoleillée : - Qu’en dis tu Léopold, je trouve le coin charmant. Je suis venu m’y promener la semaine dernière, j’ai tout de suite pensé y faire un nouvel album de photos. - C’est parfait. Ta beauté sied idéalement à l’endroit et tes pieds seront encore plus en valeur sur cette herbe verte. Léopold sort alors du sac une petite couverture pour que Tanya puisse s’asseoir sans se salir. - Dit moi Léopold, voudrais tu m’aider à ôter mes baskets. - Mais bien entendu, tout ce que tu veux Fébrile, Léopold lui enlève délicatement ses baskets pour laisser apparaître ses merveilleux pieds : - Cette marche à travers les cailloux m’a mis les pieds en feu. Voudrais tu me faire un petit massage avant de commencer la séance photos Léopold ? La basket droite encore à la main, Léopold n’est pas sûr de ce qu’il à entendu, perdu dans ses songes. Elle lui fait alors une petite moue puis un petit sourire et d’un léger mouvement des yeux lui indique ses pieds. Maladroitement Léopold laisse tomber la chaussure pour prendre entre ses mains le pied droit de Tanya. Il a les mains un peu moite, il a rêvé de ce moment si souvent, et à peine à croire à ce qui lui arrive. Depuis le temps qu’elle le connaît, Tanya sait bien ce que Léopold désirait plus que tout et profite de ce moment privilégié pour lui offrir ce cadeau et s’offrir à elle-même un instant de détente bien mérité. Il masse longuement la plante de ses pieds du bout de ses doigts, y décrivant des petits cercles avec ses pouces. Il lui prend de temps en temps ses orteils pour les masser individuellement en faisant de petites pressions toujours avec ses pouces pour remonter jusqu’au bout de l’orteil. Pour s’assurer des bienfaits de son massage, il jette de petits coups d’oeils au visage de Tanya qui à les yeux fermés pour mieux profiter du moment. Et Léopold passe délicatement d’un pied à l’autre comme çà pendant une petite demi-heure. A regret, Tanya ouvre les yeux et propose à Léopold de commencer les photos pour profiter de l’éclairage exceptionnel offert par le soleil. A regret également il s’exécute, mais retrouve rapidement le sourire en voyant à travers de l’objectif ces deux magnifiques pieds reposant dans l’herbe. Après quelques clichés, il va chercher dans le sac la paire de mules roses qu’il passe aux pieds de Tanya. Il est heureux de la servir et elle partage ce plaisir d’avoir à ses pieds un homme si dévoué. Peu de mots sont échangés, ils se connaissent si bien que la plupart du temps, un sourire de Tanya, un petit geste de la main, un clignement des yeux suffisent à lui faire comprendre ce qu’elle veut. Pour les poses, les pieds de Tanya sont si beaux que n’importe quel endroit les met en valeur. Parfois dans l’herbe, parfois sur un petit rocher, parfois près d’un petit cour d’eau, le soleil faisant ressortir à chaque fois l’éclat du vernis rouge vif de ses orteils tels des rubis Léopold vit un grand moment de bonheur, shoot à tout va et la carte mémoire de l’appareil numérique se retrouve vite remplie de dizaines de photos toutes plus magnifiques les unes que les autres : - Je pense que nous avons de quoi faire un superbe album, dit Tanya, je vais te donner une récompense pour ta peine. Etonné, Léopold ne dit rien, après tout ce qu’il vient de vivre en ce début d’après-midi, il ne voit pas ce que Tanya pourrait lui offrir de plus beau. - J’ai adoré ton massage de tout à l’heure, et comme il fait très chaud, j’aimerais bien que tu me rafraîchisses les pieds maintenant. Une fois de plus Léopold fait l’étonné, et se lève pour aller tremper un linge dans le petit cours d’eau. - Non, j’aimerais que tu me rafraîchisses toi-même les pieds, avec ta langue…….. Après une très courte hésitation, Léopold percute la demande de Tanya et sent son cœur s’emballer de plus belle. Il revient alors se mettre à genoux aux pieds de Tanya et commence à lécher doucement le dessus de ses pieds légèrement transpirants à cause de la chaleur. Une douce odeur s’en dégage et à chaque coup de langue, un goût légèrement salé emplis la gorge de Léopold. Il passe sa langue sur toute la surface de la plante de ses pieds, prend soin de bien lécher entre ses orteil et même de les lui sucer consciencieusement un par un. Pour l’un et l’autre, c’est un pur moment de bien-être quand au bout de quelques minutes, ils sont interrompus par une voix féminine: - Excusez-nous, peut on se joindre à vous ? Surpris de ne pas être seuls dans ce coin un peu isolé, Léopold sent les rougeurs lui monter à la tête. Il se relève d’un bond et tourne la tête en direction du chemin qu’ils ont emprunté pour arriver jusque là. Deux superbes femmes s’approchent alors, l’une est blonde, l’autre brune, toutes les deux sont habillées sportivement. - Bonjour, on s’excuse de vous déranger, je suis Sophie et voici mon amie Stéphanie - On était en train de courir dans le chemin quand on vous a vu au loin. On se demandait si on pouvait profiter de votre esclave un moment ? - Mais, répond Tanya, ce n’est pas mon……. Sans chercher à comprendre, Léopold coupe la parole de Tanya : - Mais bien entendu, reprends alors Léopold - Oooohhhhh. Vous lui laissez le droit de parler, s’étonne Sophie D’un coup Tanya décide d’entrer dans le jeu et met deux gifles à Léopold : - Je t’ai déjà dit de te taire !!!!! A genoux !!!! - Je vous plaint ma chère amie, reprend Stéphanie, c’est difficile de trouver des esclaves bien dressés. Léopold se remet alors à genoux, à la fois surpris et content de la réaction de Tanya qui, elle, de son côté se surprend à avoir apprécié de gifler Léopold. Non pas par méchanceté, mais parce qu’elle sait qu’il aime être soumis et qu’il lui avait à plusieurs reprises parlé de ses fantasmes de vivre sous la domination d’une femme à fort caractère. Sans réfléchir Tanya s’est mise dans l’idée d’offrir à Léopold ce dont il rêve depuis si longtemps, poussée par la réaction de Sophie et Stéphanie. - Je m’appelle Tanya, je suis vraiment désolée pour l’insolence de mon esclave, il est sous mes ordres depuis peu et il a encore beaucoup à apprendre. Lèche toi !!!! Excité comme un fou, Léopold reprend de plus belle là où il s’était arrêté. De leur côté les trois femmes font connaissance. Stéphanie regarde avec envie Léopold et le pointant de la tête: - Tanya, puis je vous l’emprunter un moment ? - Mais bien sûr, je vous le prête autant que vous le voulez, faites vous plaisir En même temps qu’elle lui envoie un coup de pied dans le ventre, Stéphanie ordonne à Léopold de se mettre sur le dos. Trop heureux de la situation, il ne réagit pas au coup de pied et se couche docilement. Stéphanie en profite pour lui monter sur le ventre sans autre précaution, lui faisant lâcher un râle de douleur : - La ferme !!! crie Stéphanie, il va vraiment falloir t’apprendre à obéir. Si tu es d’accord Tanya, on va lui donner quelques petites leçon toutes les trois Stéphanie pose alors sa basket droite sur la gorge de Léopold, lui coupant net la respiration. Aussitôt il a le réflexe d’attraper sa cheville des deux mains pour enlever son pied de là mais en vain, elle se met à appuyer encore plus fort. - Mais bien entendu, répond Tanya amusée de la scène, faites en ce que vous voulez je vous ai dit. Stéphanie relève alors son pied droit. Léopold essayant reprendre sa respiration, se met à tousser comme si il venait d’être étranglé. - Il y a deux arbres pas trop éloignés là-bas, reprend Sophie, nous allons l’attacher avec ces cordes à sauter pour nous occuper de lui. Ne sachant pas trop dans quoi il s’engage, Léopold se laisse traîner jusqu’aux arbres partagé entre un sentiment de peur et une excitation comme il n’a jamais connu. En quelques minutes, il se retrouve allongé sur le dos, les bras au dessus de la tête solidement attachés à un arbre ainsi que les chevilles attachées à un arbre distant d’un peu plus que sa hauteur d’homme du premier. Une fois fait les femmes s’éloignent pour décider de la suite des évènements, laissant là Léopold. De sa position, il n’entend que les rires des 3 femmes, et commence à s’imaginer le meilleur comme le pire, excité comme jamais. Stéphanie revient seule vers Léopold, enlève ses baskets, puis ses chaussettes pour les enfoncer dans la bouche de Léopold : - On va faire un petit tour toutes les trois, tu as intérêt à garder çà dans ta bouche, sinon çà va être ta fête à notre retour !!!! Puis après avoir jeté un regard noir à Léopold et remis ses chaussures, elle s’en va rejoindre Tanya et Sophie dans le petit chemin. Léopold reste seul, les chaussettes de Stéphanie sont imprégnées du goût et de l’odeur des baskets et de la transpiration due au jogging. Il savoure ce moment, être à la merci de Tanya, c’était déjà un rêve qu’il ne pensait jamais réaliser, mais être l’esclave de trois femmes à la fois, c’était le paradis. Après un bon quart d’heure, quelques crampes commencent à démanger Léopold, il commence à trouver le temps long. Une demi-heure, une heure passent…..l’inquiétude commence à le gagner, combien de temps allaient elles le laisser là……allaient elles revenir ? Le temps passe encore, peut être une heure encore. Les cordes sont solidement attachées et malgré les efforts pour essayer de se libérer, rien à faire……… Depuis le temps qu’il est là, les phases d’excitation ont beau revenir de temps à autre, ce sont surtout les crampes qui prennent le dessus, rendant la situation très désagréable. Finalement, Léopold entend les voix des femmes au loin, puis rapidement les aperçoit du coin de l’œil : - C’est bien çà, dit Tanya, tu n’as pas bougé de là où on t’avais laissé - Tu vois qu’il sait rester sage quand il veut, répond Sophie - Oui, mais je pense qu’il mérite quand même une leçon pour avoir osé nous adresser la parole tout à l’heure, qu’en penses tu Tanya ? - Bien entendu les filles, on va lui faire passer l’envie de recommencer Et à ces mots, Tanya grimpe sur le ventre de Léopold suivie de ses deux amies. Sophie à un pied posé sur ses cuisses et l’autre juste au-dessus de l’entre jambe, ce qui à pour effet immédiat de réveiller son excitation encore plus forte que tout à l’heure. Stéphanie, elle à les pieds joints au niveau de son ventre et Tanya à un pied posé sur son torse et l’autre sur sa tête. Et elles commencent à le piétiner lentement. A chaque fois qu’il le peut, il essaie de prendre une petite aspiration par le nez, car bien que les trois femmes soient sveltes, le cumul de leur poids l’empêche de respirer convenablement. Tanya prend plaisir à faire vriller son pied gauche sur la figure de Léopold et Sophie de temps en temps pose son pied pile entre les jambes de Léopold. Les chaussettes de Stéphanie toujours dans la bouche, Léopold laisse juste échapper un cri étouffé par moment. Et les trois femmes prenant de l’assurance le piétinent avec de plus en plus d’assurance durant de longues, très longues minutes. Etonnement la douleur vient ajouter à l’excitation de Léopold, malgré les coups de pied « bien » placés de ses tortionnaires, il apprécie de plus en plus. Et elles continuent encore de le piétiner, variant les « jeux », s’amusant à marcher une à une sur toute la longueur du corps offert de Léopold sans perdre l’équilibre, à sauter à pieds joint dessus. A chaque fois que l’une d’elle perd l’équilibre, Léopold reçoit quelques coups de pieds les filles estimant que c’est de sa faute. Après une bonne demi-heure Tanya interpelle ses amies : - Je crois que l’on fait toutes la même taille de chaussures, j’ai dans mon sac quelques paires de talons haut, çà vous tente ? - Oh oui !!!! répond Stéphanie Chacune enfile alors une paire de talons hauts. A ce moment, Léopold déjà tout endoloris du traitement qu’il vient de subir n’est plus complètement sûr de vouloir continuer, mais ses gémissement ne préoccupent en rien les trois femmes, au contraire : - Regardez, dit Sophie, il réclame après nous, il est impatient !!!! Elle s’approchent de Léopold et font durer leur plaisir. Tanya a chaussé ses bottines, elle vient marcher près de sa tête, caressant de temps en temps son visage avec son talon droit. Captivé par elle, Léopold ne voit pas arriver Stéphanie sur son ventre, elle a chaussé une des deux paires de mules et quand elle lui monte dessus, Léopold à l’impression que deux tiges cherchent à le transpercer. Mais rapidement, Stéphanie se sert de l’arbre pour retrouver son équilibre. Sophie chaussée d’escarpins vient la rejoindre, montant précautionneusement sur Léopold qui supporte déjà beaucoup plus mal le poids de ces deux femmes juchées sur leurs talons hauts. Tanya quand à elle, continue de s’amuser avec le visage de Léopold, lui posant le talon sur l’œil ou la carotide pour lui montrer qu’elle l’a à ce moment entièrement à sa merci. Sophie et Stéphanie elles, continuent de le piétiner lentement, laissant par moment leur poids reposer sur les talons qui s’enfoncent profondément dans le corps de Léopold. La séance dure une bonne vingtaine de minutes, Léopold a mal partout, mais est toujours excité. Même dans ses fantasmes les plus fous, il n’avait jamais crû çà possible. Le mélange de la douleur et de cette excitation lui donne la force de supporter tout ce que ses bourreaux de charme lui font subir. Fatiguées, les femmes s’arrêtent enfin pour aller boire un coup, laissant Léopold toujours attaché là pour lui laisser le temps de bien assimiler la leçon. Le soleil étant au plus haut, elles en profite pour s’allonger dans l’herbe fraîche et s’offrir une petite sieste. De son côté Léopold à trop mal pour espérer pouvoir se reposer. Après une bonne heure, Stéphanie et Sophie viennent enfin le détacher, lui ôter son bâillon en lui faisant promettre de se taire et de ne parler que s’il y est autorisé par sa maîtresse. D’un geste de la tête il acquiesce et a la demande de Tanya, se met à genoux pour embrasser pendant de longues minutes les pieds de Sophie et Stéphanie pour s’être généreusement occupé de lui. Il a mal partout mais le bonheur d’être aux pieds de si jolies femmes l’aide à surmonter cela. Léopold est ensuite invité à les rechausser afin qu’elles puissent prendre congé non sans avoir nettoyé avec sa langue toutes les chaussures des femmes salies par les séances de trampling et la promenade. Une fois seule avec lui, Tanya en profite pour se faire lécher une nouvelle fois les pieds mais cette fois avec la satisfaction supplémentaire de pouvoir lui ordonner et non plus de simplement lui proposer. Quand Tanya décide enfin de rentrer, Léopold se trouve à la fois soulagé de se dire qu’il va pouvoir rentrer prendre un bain chaud pour soulager son corps meurtris et déçu que tout çà soit déjà fini. Mais revenus à leurs voitures, Léopold se met de nouveau à genoux pour baiser les pieds de Tanya qui lui glisse juste avant de partir que Sophie, Stéphanie et elle-même ont l’intention de se revoir et qu’elle compte bien sur lui pour être présent ce jour là………….. 2 Elle arriva dans le parking…personne…Elle n’était vêtue que d’un long manteau, des bas et des escarpins…son Dom n’était pas encore là, elle était pourtant à l’heure...il était déjà tard, pas un bruit de véhicule, pas un murmure autre que celui du vent dans les tuyauteries…seuls ses escarpins raisonnaient dans l’infini sombre de cet endroit malodorant…d’un coup un crissement de pneus à l’étage supérieur du parking puis plus rien…toujours le cliquetis des talons durant de longue minutes, très longues…cinq minutes, dix, quinze sans montre difficile de savoir...encore quelques crissements loin, très loin…ce n’était pas l’habitude de son Dom d’être en retard, elle avait juste reçu un message court sur son téléphone ce matin : Rendez Vous – Ce soir – 22h30 – Parking 2émé sous-sol – Manteau, bas et escarpins noirs uniquement – Soit à l’heure Une angoisse commençait à monter, avait elle bien compris ce message, était-il arrivé quelque chose à son Dom, si quelqu’un la surprenait dans cette tenue. Elle avait fait déjà trois fois le tour du grand parking où stationnaient seulement six véhicules. Elle n’avait pas osé s’en approcher mais l’anxiété montante elle avait peur qu’il ai eu un malaise ou pire à l’intérieur d’une de ces voitures. De part sa profession il louait ses voitures et changeait parfois plusieurs fois par mois. Impossible de savoir si l’une d’elles était à lui. Elle s’avança d’abord vers une petite voiture bleue…vide…puis une seconde de même marque mais blanche…vide…vingt mètres plus loin, face à elle se trouvait une grosse berline noir. Alors qu’elle s’en approchait l’angoisse montait de plus en plus, les vitres entièrement fumées, cette portion de parking n’était plus éclairée que par une vieille ampoule jaunâtre. Mais arrivée à dix mètres elle s’arrêta le cœur battant. Seul l’écho lui renvoyait le dernier claquement de ses talons encore et encore, de moins en moins fort. Elle se sentait mal à l’aise dans cette tenue, seule ici, quoique légèrement excitée. Cette voiture semblait prête à se jeter sur elle tel un fauve. Comme paralysée, elle n’osait plus bouger. Après de longues secondes elle arriva enfin à tourner les talons et commença à l’éloigner du monstre. L’angoisse prenait le dessus sur elle, un pas après l’autre elle accélérait, priant pour tomber dans les grands bras fermes de son Dom. Ses longues jambes faisaient s’envoler son manteau comme si il lui poussait des ailes pour mieux s’enfuir…laissant parfois apparaître l’intimité de la belle. D’un coup, moteur rugissant, plein phares éblouissants le monstre de métal démarra en trombe…accélération, crissements de pneus, accélération…à deux doigts de la renverser…elle trébucha et tomba de tout son long sur le sol, sans douleur mais paralysée par la peur…coup de frein, portière…un homme cagoulé, veste de cuir, jean noir, grosses chaussures et gants noirs surgit. Elle eu à peine le temps de tourner la tête pour voir la masse sombre lui fondre dessus et lui enfoncer un baîllon dans la bouche…pas eu le temps de crier, la peur envahissante…l’homme à califourchon sur elle face au sol, elle voulu se débattre mais le poids de l’inconnu l’en empêcha… dans cette tenue elle était à sa merci, en un instant il pouvait…il lui attrapa les poignets, menottes dans le dos, bandeau de cuir sur les yeux et jambes ligotées. En très peu de temps elle se retrouva entièrement à sa merci, il en profita pour l’attraper et la placer à l’arrière de la grosse voiture de luxe. Nouveau rugissement et la voiture roula, roula, roula…..A sa peur venait se mêler une peine immense, elle pensait à son Dom, où était-il, que lui était il arrivé, est-ce que cet inconnu lui avait fait du mal…En se posant cette dernière question, à sa peur venait se mêler de la peur pour son Dom qui finissait presque par prendre le dessus sur sa propre peur…le véhicule se mit à ralentir, s’arrêter et le moteur cesser de gronder… Plus rien, plus un bruit…à part le souffle de cet homme à travers sa cagoule… angoissante, stressante respiration pour elle à l’arrière de la voiture qui n’osait plus bouger, à peine respirer…qui n’arrivait même pas à pleurer. Toujours cette attente…longue…très longue…pesante…Que faisait-il. ? Elle voulait croire que c’était son Dom qui était là devant, mais ce parfum lui était inconnu, cette brutalité elle ne la connaissait pas non plus. Est-ce qu’il la regardait pensait elle ? Oui il la regardait de ses yeux noirs à peine visibles, il l’admirait, la désirait. Quand il voulait, ce qu’il voulait… il avait tout pouvoir sur elle, la libérer, la faire souffrir, la rassurer, l’aimer…ou pas. Il l’admirait étendue là derrière lui, belle, si belle, si vulnérable, si désirable. Enfin il décida de sortir du véhicule, ouvrir la portière arrière pour la prendre dans ses grands bras fermes telle une mariée…soumise. Soumise par la peur, saisie par la peine pour son Dom, transit par la main droite de cet homme si près de son sexe si vulnérable…si près de son sexe qui commençait à la déranger parce que mue par un mécanisme incontrôlable. Parce que obligée de subir. Contre l’avis de son esprit son corps avait décidé pour elle. Son corps désirait cet homme, cet homme qui la désirait. Elle se refusait à cette idée mais elle ne pouvais pas faire çà à son Dom…son Dom…plus elle pensait à lui moins son corps lui obéissait jusqu’à ce qu’elle sentit entre ses jambes un peu de liquide chaud couler…comme des larmes, comme les larmes qu’elle laissait enfin couler sur son doux visage comme pour expier, comme pour se punir de l’aimer. Non ce n’était pas de l’amour, pensait elle, c’est impossible. Pourtant tout ses sens s’éveillaient les uns après les autres, tout son corps désirait cet homme et désirait que cet homme la punisse pour son péché. Arrivés dans la chambre il la déposa au centre d’un grand lit moelleux dans lequel elle s’enfonça comme si elle s’allongeait sur un nuage de coton. Le contraste entre la fermeté des grands bras musclés de cet homme et l’immense volupté si soudaine de ce lit lui fit perdre encore un peu plus le contrôle de son corps, de ses sens…de son sexe. Elle aurait voulu pouvoir s’enfuir, là, tout de suite, maintenant, mais seul son esprit fuyait, cherchait à fuir, à fuir l’amour obscène qui l’envahissait. Il passa sa main sur les cuisses de cette femme offerte, descendit jusqu’à ses pieds pour lui enlever délicatement l’escarpin de son pied gauche et déposer quelques baisers chauds sur la plante à travers le nylon de ses bas. Elle sentit des frissons parcourir tout son corps, électrisant son sexe, ses seins au passage. Puis il recommença…cuisse droite…douce caresse…escarpin droit…doux baisers. Elle ne chercha pas à s’enfuir, à aucun moment, elle était soumise…soumise à cet inconnu, infidèle à son Dom…Seules ses larmes fuyaient le long de ses joues, elles emmenaient avec elles toute la honte qu’elle éprouvait pour ne laisser que le plaisir…oui, le plaisir, elle n’osait pas se l’avouer mais c’était bien du plaisir qu’il lui donnait…qu’elle lui offrait… Il commença à lui délier les jambes, doucement, calmement, avec de temps en temps une caresse pleine de sensations pour tous les deux. Pour lui qui la tenait en son pouvoir et pour elle qui ressentait du plaisir…et en éprouvait. Il lui prit la cheville gauche pour l’attacher au pied du lit, puis la droite le l’autre côté du lit. A cet instant elle lui présentait ce sexe dégoulinant d’amour que seul son manteau cachait. De la honte ou du désir, elle ne savait plus. Qu’il lui fasse l’amour bondieu. Elle lui offrait son amour dégueulasse, elle en voulait, elle voulait en finir, qu’il le prenne… qu’il la prenne… Elle l’entendait se déshabiller…mais qu’il vienne bon sang, qu’il cesse de la torturer ainsi…elle se savait désirée, elle se donnait à lui, elle lui donnait son sexe…contre sa liberté, cette putain de liberté qu’elle devra supporter jusqu’à la fin de ses jours. Enfin il approchait, enfin il allait la violer, la baiser, la faire jouir…l’obliger à jouir de toute sa honte et son amour pour lui. Mais non, pas encore. Le supplice continuait, il lui ôta ses menottes pour lui attacher les poignets au dessus du lit. Ce n’est que pendant ce court instant qu’elle a retrouvé un peu de volonté, un peu de fierté, cherchant à le frapper, le frappant avec toute la haine qu’il avait fait naître en elle, avec toute la haine qu’elle avait à tort contre elle-même. Mais rien n’y fit, en quelques instants elle était de nouveau attachée, lui soumettant ses seins nus, son sexe humide, sa haine ou son amour, elle ne savait plus…Il la chevaucha enfin…enfin elle allait jouir... jouir tout son amour gerbant. Elle sentait sa queue lui frôler les seins, ses seins tendus, au bord de l’explosion. Il se pencha sur elle, passant ses mains ordurières dans ses longs cheveux d’or. Il lui ôta son bandeau, ses rouges de douleur et de déshonneur ne virent rien immédiatement. De nouveau il lui passa ses mains pour lui enlever le baîllon et lui laisser vomir son dégoût. Elle allait crier…elle voulait crier…mais elle se mit à pleurer encore…pleurer comme jamais elle n’avait pleuré de joie et de bonheur en voyant son Dom apparaître dans le brouillard. C’était lui sur elle et elle à sa merci pour son plus grand bonheur. Il l’embrassa, la caressa, elle aurait voulu l’enlacer fort, si fort mais ses liens l’en empêchaient. Très vite il se mit à la violer…non, à lui faire l’amour, à lui offrir un amour immense qu’elle lui rendit, qu’ils échangèrent plusieurs fois. Toute cette haine, ce dégoût avaient disparus, disparus dans les larmes pour laisser place à un bonheur qu’elle n’avait jamais ressenti, qu’elle n’avait jamais osé espérer, qu’il avait eu peur de lui offrir. Il avait eu si peur de lui offrir cette violence inouïe pour qu’elle découvre ce bonheur si puissant. Cela ne pouvait arriver qu’une fois, il eu si peur de la détruire pour pouvoir lui offrir ce cadeau divin. Il y était arrivé, il avait eu peur, si peur pour elle qu’il lui fit l’amour, un amour à la hauteur de sa peur, à la hauteur de ce qu’elle avait enduré, plus fort même, bien plus fort, bien plus beau… La nuit fut longue, très longue, très forte, si belle et leur amour plus fort que jamais à partir de cette nuit…
Daniel - le 18/09/2008 à 16h45
mes respects Maitresse pourquoi mon commentaire ne passe pas. cela est une vraie histoire comme la votre
serviteur - le 18/09/2008 à 20h11
De quel commentaire parles-tu, serviteur?
MAESTRA MAEVA - le 18/09/2008 à 21h37
Daniel, la première histoire avec tania est vraiment digne d'être publiée dans le blog, merci pour tes efforts quant à l'orthographe, de plus c'est bien écrit, ce serait du vécu que cela ne m'étonnerait pas...la deuxième histoire est bien aussi mais ne correspond pas à la sensibilité féministe, voire gynarchiste du blog: les hommes dominateurs ne nous intéressent pas.....je te propose de m'envoyer l'histoire en format Word sur Mon mail: maevaslave-mail@yahoo.fr....merci encore de participer ainsi à la vie de ce blog....
MAESTRA MAEVA - le 18/09/2008 à 22h11