MAEVA DOMINA et ses esclaves

...... supplice ou plaisir?

.... Je pense que ces deux représentations mentales cohabitent avec une subtile ambivalence. Si les pinces le font vraiment souffrir (surtout portées plusieurs heures de suite!) le simple fait d'avoir la semelle de Mes cuissardes sur le visage (objet sacré) transcende la douleur et la transforme en plaisir pur, un peu comme la métaphore biblique (Nouveau Testament) de l'eau transformée en vin par notre ami Yeshua..... en l'occurence, quelqu'un qui accomplit ce miracle mérite notre respect inconditionnel, Bukowski et Gainsbourg ne me contrediraient pas....

.....il aura beau avoir supporté les six pinces pendant quatre heures, il souffrira de plus des genoux, car rester agenouillé, pantalon baissé, les poignets attachés dans le dos, et cela pendant une heure, devant Moi, Déesse hautaine,  trônant dans le moelleux canapé, téléphonant à Ma fille, à Maîtresse A, dégustant un Mum 1976....... mais ses douleurs seront vite transcendées lorsque Mon Pied botté se glissera entre ses jambes, le cuir caressant ses gonades prêtes à exploser, gonflées d'un désir pur et dur, comme un diamant......

...... D'un index de métal, je lui signifie ce que je veux, là, maintenant..... et il comprend intuitivement que Mes bottes cuissardes demandent un peu d'entretien. Il se met à plat ventre et lèche avec une voluptée efficace et zélée, toujours imitée, mais rarement égalée: feet - d'où son nom- est un authentique esclave de Pieds..... de MES PIEDS.......