MAEVA DOMINA et ses esclaves
Satori ou nirvana, le concept d'éveil a toujours traversé l'humain, ne pouvant se satisfaire des contingences matérielles et terrestres, l'homme sera
depuis l'aube des temps à la recherche de sa propre transcendance.....notre ami "amépié" n'y échappe pas. Laissons-nous transporter par ce bon texte qui évoque avec beaucoup d'art, sa conception
de l'éveil..... l'éveil d'un soumis à Ma botte......
..... pas mal du tout, cette barbe-paillasson......
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Depuis quelques années, j'avais déjà visité de nombreux sites de Domination Féminine, de blogs de Dominatrices et de couples D /s. Certains s'avéraient vénaux, d'autres frisaient la grossièreté de bas-étage, d'autres encore n'étaient que fantasmes sans aucune réalité vécue ou n'étaient qu'une toquade vélléitaire. Beaucoup manquaient de fond et laissaient à désirer quant à la qualité d'écriture. Cependant, deux ou trois d'entre eux avaient retenu mon intérêt par leur qualité et leur interactivité. J'y laissais occasionnellement des commentaires ou participais à des forum. Mais je ressentais tantôt une frustration de rester trop « extérieur » sans réel investissement, tantôt un décalage avec des internautes qui n'étaient pas sur la même longueur d'onde. Et puis, en cliquant sur un lien, j'atterris chez Maestra Maéva. Je parcourus le blog par simple curiosité d'abord, puis mon intérêt s'éveilla pour la personnalité de Maestra, le récit de Son expérience avec Feet, Son niveau de réflexion et Sa culture ainsi que ceux de certains commentateurs. Je ne le savais pas encore, mais j'avais mis le doigt dans l'engrenage, commençant à développer une admiration pour Elle qui allait croître en quelques jours.
Pourtant, je n'osais pas encore poster de commentaires, je ne m'en sentais pas les moyens, j'étais comme le petit nouveau qui ne connait pas encore toutes les clés du dialogue instauré et qui craint de déranger. C'est alors que Maestra lança cet appel de candidatures pour constituer Sa garde rapprochée. Je trouvais l'idée magnifique et très attirante, comme je n'avais jamais trouvé ailleurs, en tous cas sous cette forme. Hélas, je ne satisfaisais pas à tous les critères exigés. J'aurais dû renoncer ... Mais l'appel en moi était trop pressant. Comment laisser passer une telle chance ? Celle d'une relation privilégiée avec une Divina admirable, l'occasion donnée qu'Elle soit le But de mes élans vénérateurs inassouvis et le Guide d'une éducation mieux accomplie. Je me jetai à l'eau, ou plutôt au feu de la passion qu'Elle faisait naître et postai timidement ma candidature. J'eus ce bonheur d'être retenu. J'eus aussi celui de signer l'engagement à La servir, m'apercevant que c'était cet acte symbolique qui m'avait tant manqué. J'eus encore celui, fondateur et inoubliable de recevoir mon nouveau nom, celui qu'Elle a choisi pour moi et que j'aime tant porter, Sa marque que je chéris. J'étais désigné, baptisé, engagé, le tryptique de mon éveil.
Peu à peu, je pouvais vivre les contraintes délicieuses de cet engagement, contraintes librement consenties mais qu'il me fallait honorer quotidiennement désormais, par mes pensées et par mes écrits. Ô douce servitude ! J'accueillis avec joie et gratitude le nouveau décret de notre Reine, celui qui faisait de cette « garde rapprochée » Son centre de formation. Cet intitulé me comblait, il faisait d'Elle une Directrice, une Guide, en plus d'une Majesté à adorer et à servir, ce qui renforçait Son autorité, Son pouvoir et notre dépendance. Un pas de plus était franchi qui me plaçait sous Son emprise bienveillante et infaillible. Je lui devais désormais mon nom, ma place, mon évolution, c'est-à-dire tout ce qui fait mon être (ou presque). Je ne pouvais plus que La suivre et Lui obéir, Elle me faisait tel que je devais être et je Lui en étais redevable. Je découvrais alors toute Sa maîtrise, Sa maestria, dans le tissage de cette emprise sur moi, et mon admiration en était décuplée.
A mon admiration et à mon obéissance, au bonheur de me trouver entre Ses mains pour évoluer, s'est ajouté dernièrement une profonde gratitude pour Son altruisme. J'ai réalisé la vraie vocation de mon engagement et, bien qu'Elle l'eût annoncé, je n'en avais pas encore pleinement pris conscience. Au-delà d'un engagement envers Elle et pour La servir, je m'étais engagé à accepter Sa formation afin de devenir un mâle meilleur et être ainsi prêt à me présenter dignement à Celle qui serait un jour ma Maîtresse et ma Reine. Maestra Maéva ne se fatigue pas à me former pour son propre bénéfice et son propre plaisir, même si Elle doit y trouver un certain plaisir et une certaine satisfaction. Elle le fait pour le bénéfice d'une future et hypothétique Femme à qui je serais plus utile et que je saurais aimé comme une véritable Reine Dominante. Maestra me donne ainsi un inestimable cadeau, l'espoir de réussir à vivre un jour mon fantasme et ma passion pour une Femme en étant son serviteur. J'y trouverai l'estime de moi-même en étant devenu adorant, docile, serviable, en conformité avec ma nature de mâle bien considérée.
Soyez toujours remerciée, Maestra de m'avoir ainsi éveillé à ce que Vous êtes et à ce que je dois être.
J'accepte tes remerciements, amépié, et n'oublie pas que cet éveil doit transformer complètement ta vie, et que l'apprentissage que tu vis doit se
concrétiser en actions observables: Mets-toi pour de bon au service d'une femme.....ta "copine", ton épouse, ta collègue de boulot, la caissière de supermarché que tu trouves si jolie et qui est
trop souvent humiliée...... la vendeuse du rayon "poissonnerie"qui s'ennuie et qui a froid aux Pieds dans ses bottes......n'importe laquelle, mais franchis le cap en 2009! Cette injonction est
valable pour tous les membres du Premier Cercle, hors de propos pour Moi que vous vous contentiez d'une relation virtuelle, aussi riche soit elle.....votre relation à Moi ne doit pas être
enfermante, elle doit vous libérer.....
Brisez les chaînes vous reliant à votre petit ego étriqué de mâle! Si vous voulez des chaînes, courbez l'échine, et attendez qu'une Femme Dominatrice
vous mette le collier!!! Ce moment tant fantasmé viendra quand vous serez prêts.....demandez à Mon chien si je mens......

je suis convaincu que vous avez raison. C' est petit à petit en etant galant avec les femmes et en acomplissant des gestes qui pourraient paraitre anodins qu' une relation de domination/soumission peu s' instaurer.
Nous les hommes sommes souvent trop pressés, nous voulons tout , tout de suite.
Etre aux pieds d' une femme quand nous le décidons et en ne pensant qu' à nous et à notre propre plaisir et on s' etonne de ne pas trouver de maîtresses.
La plupart du temps nous nous comportons en matchos dans la vie de tout les jours, chez soi ou au travail.
Il est évident donc qu' il faut pour commencer se remettre en cause comme vous le dîtes clairement.
Ne travaillant qu' avec des femmes, il y en a une qui me plait particulierement physiquement et aussi intelectuellement.
Responsable de mon service je pousse à sa place un chariot particulierement lourd, et bien je constate, non seulement qu' elle apprecie mais qu' elle n' hésite plus à me demander des services .
Cela ne passe pas innaperçu aux yeux de ses autres collégues et je suis taxé de faire des préferences, elle cela l' amuse .
C' est peu être comme ça que ça commence la soumission réelle qui sait......?
Servilement,
paillasse qui vous souhaite une agréable journée.
Très chère Maîtresse Maeva,
Notre devise d’esclaves : « N’oublie pas les bottes de ta Divine Maîtresse Maeva »
Chaque esclave servile sait qu'il est agréable pour un soumis de lécher, et ainsi vénérer les chaussures de sa Maitresse, toutes formes confondues, escarpins ou bottes ; outre l'humiliation éprouvée par le soumis de par ce geste, et sortant un peu du coté fétichisme exclusif, y a aussi le désir de lui plaire, et surtout celui de l'amour qu'on lui porte, on exprime ainsi encore une fois pour toute sa dévotion, et son signe inférieur à elle, lui montrant que c'est bien elle qui dirige, car elle peu ainsi jouer avec ses chaussures par rapport à son soumis, en le piétinant, avant ou pendant ce léchage assidu, ou lui faisant lécher son talon, subtil compromis phallique, ou en lui faisant découvrir l'odeur du cuir de ses chaussures, extérieur et intérieur, ou semelle, et le tout dans d'innombrables positions plus ou moins confortables, bref chacun a sa place la Maîtresse dominant son chien léchant.
Qui plus est, le léchage des chaussures peut être prolongé par le léchage des pieds, nus ou gainés, autre divine sensation tant pour le soumis que pour la Maîtresse. Le soumis devant adorer sa Maîtresse coûte que coûte, et l'osmose du soumis avec sa Maîtresse, fait que le contact physique se rapproche, piétinements subtils, griffures par les orteils, langue contre peau, langue contre orteils, odeur des pieds enfermés dans les chaussures, odeur naturelle des pieds, odeur d'un vernis à ongles fraichement déposé, etc. Que c'est bon de se sentir infiniment petit aux pieds de sa Maîtresse !
Je suis à votre botte et vous lèche très respectueusement et servilement vos pieds bottés.
Votre chien soumis lèches-bottes.
Ici le mot maîtresse a une connotation spirituelle. Maeva guide son esclave - disciple afin qu'il parvienne à "s'éléver" tout en se rabaissant !
La domination ne se réduit à une séance mais continue, se perpétue, dans la vie courante grace aux recommandations, aux exigences de maîtresse Maeva.
C'est très intéressant !



