MAEVA DOMINA et ses esclaves

Merci Maestra pour ce rappel.
Bonne nuit.Les photos précédantes mon vaiment exité.
tout est dit dans cette superbe photo
je baise vos divines bottes



Cette photo me fait penser à ces petites consoles dans l’entrée où l’on vide ses poches en arrivant à la maison. Les objets usuels que l’on prend dans son sac pour aller faire les courses. Des menottes, des pinces, un martinet de poche, d’où peut bien venir M, où peut-elle bien aller ? Peut-être au marché aux esclaves ? Pour remplacer le dernier, congédié vers son ancien espace. Ce merveilleux marché qui n’existe que dans le fabuleux pays de Gynarchie où toutes les femmes sont belles et excitantes et tous les hommes dépourvus de brioche et dévoués à la suprématie féminine. Un marché où l’on amène son petit martinet préféré pour tester un peu l’animal, et pour fouetter le puni de service que les commerçantes, pour attirer les clientes, suspendent en échantillon de longues heures durant à l’entrée de la boutique. Les menottes pour ramener l’esclave à la maison comme stipulé par le règlement qui interdit la divagation de chiens sans entraves. Et les pinces, bien sur, pour qu’il ne s’imagine pas qu’il part en colonie de vacances.
Je vois que les neurones ne se secouent pas trop sur mon énigme. Je donne un autre indice : l’auteur n’était pas un tendre et je suis sur qu’il avait des fantasmes sm refoulés.


