MAEVA DOMINA et ses esclaves
comment allez-vous ?
Dites-moi, il y a de plus en plus de monde ici !...

Je suis également allé à OWK, mais il y a longtemps déjà...dans les années nonante ... comme j'étais à Prague, j'en ai profité... je pense que c'était les débuts...ce fût un souvenir inoubliable !
La plupart des Dames présentes là-bas à l'heure actuelle ne s’y trouvaient pas encore à cette époque, d'autres n'y sont plus, ou moins régulièrement, mais se sont forgé une réputation au niveau international : Madame Christine, Madame Sarka....
Je pense qu'il existe une différence fondamentale si l'on y va accompagné ou seul. Pour ma part, j'y suis allé avec une amie, dominatrice, elle même accompagnée d'un de ses esclaves, et si j'emploie ce terme, c'est à dessein, vous verrez un peu plus loin pourquoi.
Il existait à l'époque ( je ne sais pas si c'est toujours le cas ) deux "statuts" possibles pour les hommes :
-soit esclave pur et simple, donc soumis à toutes les dames présentes, dans les limites de ce que l'éventuelle Maîtresse en titre veuille bien accepter...
-soit "visiteur", un niveau plus haut, bien que restant en-dessous des niveaux supérieurs appartenant exclusivement à la gent féminine, c’est donc ce statut qui m’était attribué.
Comme j’étais déjà à Prague pour raisons professionnelles, j’allai chercher mon amie Katia, à l’aéroport accompagnée de son esclave qui portait ses valises. Elle était ravissante comme toujours, lui se tenait derrière elle, les yeux baissés, n’osant déposer les valises, même lorsque nous prîmes une boisson à la cafétéria.
Dans un premier temps, ceci me mit mal à l’aise, je dois avouer, même s’il était logique de penser que tout ceci fasse partie d’un scénario savamment orchestré à la demande même de la personne en question ...:-)
Je n’étais pas très chaud quand elle accepta mon invitation en me disant qu’elle serait néanmoins accompagnée, mais que je ne devais pas m’en faire, car “cela ne nous gènerait pas”.
Entre deux gorgées de thé, elle me dit que “slave” l’accompagnait en “stage punitif” et n’aurait pas droit à grand chose de plus que brimades et punitions durant les deux jours qu’elle comptait passer là-bas.
Il dormirait et passerait la plupart de son temps au cachot !!!
“Quant à toi, me dit-elle, si çà t’intéresse, ma chambre est munie d’une cage, tu pourras ainsi veiller son mon sommeil...” elle me dit cela en arborant un merveilleux sourire plein de malice.
Les relations que j’entretenais avec Katia furent toujours teintée d’une certaine ambiguité, en effet, jamais je ne fus l’un de ses “clients”, puisque, au départ, nous étions amants, et que, en toute humilité, je pense l’avoir, dans une certaine mesure, “guidée”, même si je pense qu’elle avait certaines dispositions en la matière...peut-être ai-je, en un sens, servit de “révélateur”.
Nous nous voyions de temps à autre, nous aimions à penser que nous étions “amiants”, terme que nous avions inventé pour nous situer entre amants et amis, comme vous l’aurez certainement compris.
Il arrivait aussi qu’elle me demande, surtout depuis qu’elle pratiquait en “professionnelle”, de passer la nuit à ses côtés, sans rien d’autre à partager que beaucoup de tendresse.
Ce petit aparté pour essayer de vous faire comprendre quelle était la nature de notre relation.
Mais là, en l’occurence, je sentis qu’elle avait envie de “jouer”, c’est le terme que nous employons... L’un de nous pouvait téléphoner à l’autre en lui demandant : “tu as envie de jouer?”... nous savions l’un et l’autre ce que çà signifiait...;-) et là, en l’occurence, je savais qu’elle avait envie de jouer avec moi, même si ce n’était pas clairement formulé.
Je commençais donc à ressentir une certaine excitation, et c’est peu dire...d’autant qu’avant de nous rendre à OWK, nous fîmes un détour par le centre de Prague ou son “slave” comme elle l’appelait fit les frais de plusieurs tenues et d’une paire de bottes magnifiques qu’elle essayait devant moi, me demandant si cela me plaisait, un sourire aux lèvres...question inutile puisqu’elle connaissait parfaitement mes goûts en la matière...
Je ressentais de plus en plus d’excitation, mêlée d’une certaine gène, le slave, derrière nous, de plus en plus chargé, je proposais de porter moi-même quelques paquets, ce qu’elle refusa catégoriquement.
Un peu plus tard, nous arrivâmes donc à OWK tous les trois.
Slave , à la demande de Katia, fût immédiatement pris en charge par Madame Christine, qui lui intimât, après qui lui eut embrassé les bottes, de la suivre pour enfiler sa tenue de prisonnier et le conduire au cachot. Nous nous rendîmes à notre chambre, accompagnés de deux esclaves “maison” prenant le relais de slave pour porter les paquets.
La chambre était spacieuse et très confortable.
Katia congédiât les deux porteurs, nous nous retrouvions seuls.
“Ces bottes sont très jolies, mais elles me font mal” me dit-elle, se couchant sur le lit. Allongée, elle lançait une jambe en l’air après l’autre, admirant les bottes.
Je restais les bras ballants, ne sachant trop que faire, lorsqu’elle me dit : “ qu’attends-tu pour me les enlever et me faire un petit massage des pieds ?”... ( ce qui prouve bien qu’un mâle a tendance à perdre une partie de ses moyens, de ses facultés cérébrales et finesse d’esprit lorsqu’il est confronté à ce genre de situation:-))
Je m’agenouillais devant le lit où je commençais à baisser la fermeture éclair de ses bottes, les enlevant précautionneusement l’une après l’autre, puis je lui massais doucement les pieds.
Les images de la journée défilait devant mes yeux, surtout l’arrivée à OWK qui est vraiment très impressionnante, avec cette grande porte de bois, cet imposant bâtiment ancien, les Maîtresses, esclaves présents, tout concourt à vous faire entrer dans un monde très à part, tenant du rêve pour certains et du cauchemar pour d’autres, monde où les femmes règnent sur les hommes de manière absolue !
C’est un peu le “disney-land” du sm là-bas !...:-) Vous avez beau savoir que tout n’est question que de mise en scène, il est difficile de ne pas être “envahi” par l’émotion, l’impression que finalement, le monde réel a basculé dans celui de vos fantasmes, pour autant, bien enendu, que celui-ci “colle” à cette image.
Me retrouver ainsi aux pieds de Katia, là-bas, créa en moi cette envie de “jouer le jeu à fond” si l’on peut dire, chose assez rare chez moi, qui ai pour habitude (bien involontaire ceci dit) de garder toujours un pied en dehors, telle une petite voix qui se fait entendre “tout ceci n’est qu’un jeu destiné à prendre du plaisir”...
Cette tendance m’a, dans la majorité des cas, conduit à devenir l’ami ... ou l’amant plutôt que le soumis, statut que, tout à fait sincèrement, j’ai toujours eu du mal à “tenir” au jour le jour.
Mais, en l’occurence, tout fût différent ! Même si... enfin, voyons çà un peu plus tard.
Revenons donc à nos moutons : à l’instant, je sentis monter l’envie de me laisser aller à cette partie de moi-même, qui, sans jamais avoir pris le pas sur ma personnalité profonde, fût toujours présente... tout au long de ma vie. J’avais envie, moi aussi, d’être aux pieds, de servir prêt à accepter brimades et punitions... en fait, sans mettre de nom sur cet état, j’approchais du "sous espace”, terme inconnu pour moi à l’époque, bien que parfois (quoique rarement) atteint.
Katia s’en aperçut, elle me connaissait parfaitement.
“Je vais aller faire le tour du propriétaire”, me dit-elle, “et toi, pendant ce temps, tu défais les valises, range tout çà avec soin, surtout les chaussures, il y a un nécessaire à cirer et un fer à repasser, je veux que tout soit impeccable à mon retour !”
Et le fait, justement, que je ne connaisse pas le temps qu’elle mettrait à revenir faisait peser sur moi un certain stress.
Je l’aidais à enfiler une robe ulra moulante, chausser ses escarpins noirs à talons aiguilles, et, tandis que j’étais déjà en train de m’afférer, elle retoucha son maquillage et sortit sans un mot, ni un regard.
Je venais de finir le rangement, repassé deux robes, un chemisier et ciré une paire de bottes lorsqu’elle rentra, elle paraissait plus “joueuse” que jamais. Elle passa l’inspection, et somme toute, paraissant ravie de mon travail, elle me dit qu’elle était invitée par Madame Christine au club (dont j’ai oublié le nom) de l’OWK, pour y participer à une séance punitive de plusieurs esclaves.
A suivre....
Excellent week-end.
Charles.
je me prosterne devant Vous en signe d'allégeance, et Vous présente toutes mes excuses pour poster avec retard mon commentaire de vendredi.
Je souhaite Vous suggerer, en guise de punition et si le jeu Vous en dit, de prendre le contrôle à distance de mes jouissances solitaires pour m'apprendre la ponctualité. Ne plus éjaculer sans votre permission ou celle de ma Reine me rendrait plus soumis.




Un recadrage de votre part était plus que nécessaire, Madame, je cherche trop à contrôler en sous-main et suis trop centré sur moi même. Ce n'est c'est certainement pas à moi de Vous dictez ni même de Vous suggerer un comportement.
Vingt coups de bottes? Plutôt quarante, ce serait le tarif par rapport à Mon agacement matinal, généré par "amabotte"..... j'aurais adoré le voir nu, à quatre pattes, faire plusieurs fois le tour de Mon appartement, avec Moi derrière lui, Bottée et manteau de fourrure (telle Wanda...), entendre le cuir luxueux de Mes Bottes claquer sur la peau servile.....coincidence? Depuis une semaine, j'ai très envie de cela....feet-le-chien n'aura qu'à préparer son postérieur, il sera bientôt rouge, dans quatre petites heures, je M'installe chez lui jusqu'à mardi matin!!!


votre léche semelles aimerai bien vous accompagner,et je serai un chien fidèle.et si vous serez a casablanca soyez les bien venue chez moi,ma tite bouche de chien sera collé avec vos semelles MAITRESSE.