MAEVA DOMINA et ses esclaves
J'ai puni notre nouvel ami "visiteur" cette semaine, et si vous suivez correctement les commentaires, vous vous en souviendrez, et de plus, je
l'ai puni par jeu, la "punition" étant de regarder en boucle une vidéo de Mes Pieds (une séance de léchage/nettoyage de fin de journée par le chien..) et cela, agenouillé, nu, devant son
écran, et pendant une heure......"visiteur" a obéi comme l'esclave authentique qu'il est, je dirais même un esclave nostalgique...... cette expérience l'a inspiré......jugez-en, vous les
"endormis".....j'apprécie beaucoup.....non seulement ce qui s'est passé entre nous, s'inscrivant dans une relation Dominante/dominé, et ce que cela a généré,
ce très beau texte , bien rédigé et authentique....."visiteur" aurait sa place parmi nous, après tout, vous n'êtes plus que quatre......il y a des épurations qui se font toutes seules....... en
attendant, et sans même lui demander, je l'ai baptisé ce jour, "visiteur" ne signifie plus rien, lui qui devient un acteur du site, et non des moindres. A partir de ce jour, il portera le nom
ridicule de " chien gégé", je veux qu'il s'y tienne, même si je sais que ce nom ne va pas lui plaire, mais le baptème qui a une haute valeur symbôlique, le nom qui vous est attribué, cet ensemble
de rites ne sont pas destinés à flatter votre ego......et si l'un d'entre vous aimait trop son pseudo, je ferai diligence pour le remplacer par un nom bien ridicule et humiliant....ça fait partie
du jeu.....si c'est un jeu, c'est un jeu sérieux comme le plaisir......
Une punition peu ordinaire....
Maestra MAEVA m'avait puni. Je récoltais les fruits d'une parole un peu présomptueuse de ma part. 14h58 indiquait la pendule de l'ordi. J'étais à genoux sur le plancher de chêne, j'enclenchai la vidéo. J'avais mis en fond musical la Moldau de Smetana, puisqu'il est beaucoup question de tchèques ici, mais j'entendais clairement la douce voix de Maestra parler de récompense. C'en était une, en effet, une grande ; pour feet...Je m'efforçais de faire travailler mon imagination, me projetant à la place de feet. Feet, justement, je suis un peu comme lui, moi, je n'aime pas les hommes. Alors cette bouche, cette langue d'un autre se délectant de ces si jolis pieds féminins, ça m'agaçait. Ca me rappelait...
Elle s'était longuement fait lécher, avait pris du plaisir sur sa bouche, je dus passer après....
Son nectar était mêlé du goût d'une salive inconnue, froide, celle de « l'autre ». Le dégoût me submergeait, je ne pus réprimer un mouvement de recul, léger mais qu'elle perçut
parfaitement. Deux violents coups de cravache sur mon dos et mes bras entravés me ramenèrent immédiatement à la réalité. Elle s'arc-bouta et se pressa plus fort sur ma bouche. Alors je compris.
Je la remerciai mentalement de son geste qui m'aidait à me replacer là d'où je n'aurais jamais dû m'éloigner, ma place d'esclave. Obéir, servir.
15h20. Les genoux commencent à devenir douloureux, je bouge un peu, fléchit un peu les jambes, me redresse pour relancer la vidéo toutes les minutes. Soixante fois verrais-je donc ce pied que je désire de plus en plus. Mon esprit s'évade parfois, pour calmer mon excitation, mon désespoir de ne voir tout cela que virtuellement mais la douleur, bien réelle, se rappelle à moi. Alors, pour l'oublier, je reviens bien vite à ces images. J'essaie d'imaginer les sensations, les goûts, les parfums. Je ressens presque sur mes lèvres le velouté de cette peau, sur ma langue les arômes de ces orteils et de leurs interstices secrets. J'éprouve au fond de moi cette docilité d'obéir à leurs injonctions et d'offrir ma poitrine à leurs fantaisies. Je rêve et mon sexe se manifeste à nouveau.
15h42. J'ai craqué, j'ai baissé mon pantalon, activé ma main.
15h48. Je commence à avoir très mal. Je déplace mes genoux le moins possible et même fléchir les cuisses me soulage peu. Ma douleur doit avoir un sens, sinon je ne la supporterai pas. Je pense à Maestra, à qui je n'appartiens hélas pas mais qui est une Maîtresse qui m'a donné un ordre. Je me concentre sur l'image de son pied, j'obéis à son pied. Ce pied qui à la fin de la vidéo se plante, comme un fanion sur un sommet vaincu, dans la marque d'appartenance de ce bienheureux esclave.
15h58. Ces dix dernières minutes ont été très dures, mais j'ai tenu et je suis heureux d'avoir pu offrir, même virtuellement, tout cela à Maestra MAEVA
Chien gégé, le 24/01/09...... jour de mon baptème en Maevacratie......


Pour Vous obéir, je répondrai désormais au nom de chien gégé

Comme Vous le dites, le baptème a une haute valeur symbolique que je reconnais. Vous appartenir réellement est impossible, je le regrette amèrement, mais par ce baptème, Vous me permettez de me sentir quand-même un peu à Vous.
Merci Maestra MAEVA
Mistress Clo