MAEVA DOMINA et ses esclaves
J'ai le plaisir de publier la suite de la monographie du jeune "paillasson", rien de spectaculaire-marchand dans cette histoire, ce qui explique le peu de réactions, mais Moi, je me fous de
l'audimat, je vis à contre courant de l'idéologie dominante, et je publierai cette histoire vraie jusqu'au bout, même si "paillasson" dérange certains d'entre vous.... posez-vous la
question, les intolérants: Qu'est ce qui résonne en vous et qui ressemble si étrangement à "paillasson"?
ALSO SPRACH MAEVA
DOMINA......
FÉTICHISME ET SOUMISSION, VIII
Comme je vous l’ai déjà dit, ma Princesse et moi avions de très longues conversations. Un jour, au cours d’un de ces entretiens intimes, Elle m'avait dit :
« Les garçons M’ont fait tellement de mal avant toi ! J'ai vraiment l'impression que Je Me venge sur toi. Tu n'y es pour rien, mais tu prends pour les autres !! »
Ma Princesse m’avait expliqué en détail toutes ses anciennes relations. J’adorais discuter des heures et des heures avec Elle. Les moments où Elle me racontait Ses précédentes aventures n’étaient pas pour moi des plus agréables. Pourtant, je buvais littéralement Ses paroles.
je me souviens d’une des premières longues conversations que nous avions eues. Nous étions sortis en discothèque avec mon groupe d’amis. Il devait être dans les quatre heures du matin. C’est moi qui conduisais, j’avais raccompagné mes trois amis chez eux. je suis donc resté seul avec ma Princesse. Elle m’avait dit qu’elle n’avait pas envie de rentrer tout de suite. Aussi me suis-je garé dans un coin tranquille pour que nous puissions discuter.
je me souviens parfaitement de tout. Ce soir-là, ma Princesse portait une jupe, des collants et des escarpins. Elle était sublime et je l’avais d’ailleurs admirée et désirée durant toute la soirée. Comme Elle avait tout le temps dansé, lorsque nous fûmes seuls, Elle m’avoua qu’Elle avait très mal aux Pieds. je lui répondis alors qu’Elle devrait retirer Ses chaussures.
Aussitôt, ma Princesse, qui était assisse sur le siège passager, se tourna vers moi et étendit Ses Jambes sur les miennes. Elle portait de magnifiques
bottes noires à haut talon.
Elle n’eut pas besoin de me donner un ordre : j’avais parfaitement compris ce que je devais faire. J’ai défait la fermeture à glissière de la botte gauche que j’ai doucement descendue
le long de Sa Jambe gainée d’un superbe collant. Puis j’ai fait de même pour retirer la botte droite. J’ai posé mes mains autour de Ses Pieds. Elle m’a alors dit :
« Tu sens comme Mes Pieds sont tout humides et brûlants ? J’ai eu chaud ce soir, J’ai tellement dansé !! »
J’entourais les Pieds de ma Princesse avec mes deux mains. J’adorais sentir leur contact humide et chaud sur mes paumes. Soudain, Elle remonta Ses Pieds vers ma figure et Elle les posa sur mon visage, comme Elle aimait parfois le faire. Elle me dit alors, mi-sérieuse, mi-plaisantant :
« Alors, ils doivent sentir bons, Mes Pieds, après cette longue soirée ! »
Cela ne dura que quelques secondes durant lesquelles j’ai respiré à pleins poumons la senteur merveilleuse des superbes Pieds de ma Princesse. Cette odeur divine, je la connaissais parfaitement, car je m’endormais toutes les nuits en la respirant grâce aux socquettes que je Lui avais dérobées.
Ce soir-là cependant, lorsque je sentis le contact des Pieds gainés de ma Princesse sur mon visage, je fus pris d’un désir incontrôlable. J’avais envie
de lécher, de baiser amoureusement Ses Orteils à travers le collant.
D’ailleurs, en cet instant, je me sentais prêt à craquer. j’ai failli commencer à Lui honorer les Pieds sans rien dire mais, juste à ce moment-là, ma Princesse retira Ses Pieds de mon
visage.
je ne sais pas si Elle avait vu ce que je m’apprêtais à faire. Pour moi, il y a plusieurs hypothèses. Soit Elle ne s’était rendu compte de rien, soit Elle ne désirait pas que je vénère Ses Pieds à ce moment-là, soit encore Elle voulait continuer à me priver pour augmenter ma soumission.
C’est alors qu’Elle m’a ordonné de lui masser les Pieds, en me disant tout simplement :
« J’ai tellement dansé ce soir, Je ne sens plus Mes Pieds, masse-les-Moi !! »
je me suis fait un plaisir de les Lui masser, comme d’habitude. Il faut dire que j’étais déjà extrêmement excité car j’avais désiré ma Princesse et Ses sublimes Pieds tout au long de la soirée. je L’avais vue danser de manière tellement sexy, tellement provocante, sous les regards allumés de tous les garçons !
J’avais l’habitude de masser les Pieds nus de ma Princesse mais ce soir-là, à cause du collant, mon massage était moins efficace. D’ailleurs, Elle ne tarda pas à s’en rendre compte, car Elle me dit :
« Je ne sens rien, ce n’est pas agréable, il faut Me retirer Mon collant. »
Ma Princesse descendit Elle-même Son sous-vêtement jusqu’à Ses Genoux, mais c’est moi qui finis de le Lui retirer. je me revois en train de le baisser doucement le long des Jambes de ma Princesse, puis par-dessus ses Chevilles et, enfin, l’ôter de Ses Pieds.
Ma Princesse a des Jambes sublimes. Elles sont longues et proportionnées de manière parfaite. Leur Peau est merveilleusement douce. Ce moment fut magique pour moi. Ce geste était tellement symbolique qu’il est gravé dans ma mémoire. j’ai posé mes mains sur les Pieds humides de ma Princesse, et j’ai pu enfin commencer un massage de qualité. je voyais que ma Princesse appréciait ce que je Lui faisais car Elle commençait à s’endormir.
Moi, j’étais loin de m’endormir, j’étais trop excité. Ma Princesse avait Ses Pieds posés sur ma braguette pendant que je les Lui massais. Mon excitation était à son maximum. Soudain, Elle me dit d’une Voix ensommeillée qu’Elle commençait à avoir froid. C’est vrai qu’il faisait pas chaud dehors, et comme nous étions à l’arrêt le chauffage ne fonctionnait pas. j’ai tout de suite enlevé ma veste et je l’ai étalée sur les Jambes de ma Princesse, puis je me suis aussi débarrassé de mon pull et l’ai étendu sur Ses Épaules pour La réchauffer.
je me rappelle que ma Princesse fut touchée par cette attention. Elle me dit :
« Mais toi, tu vas te geler, en tee-shirt ! »
je lui ai aussitôt répondu :
« Ce n’est pas grave. Ça ne compte pas. Le principal, c’est que toi, tu n’aies pas froid. »
Ma Princesse a souri et j’ai poursuivi le massage avec toujours autant de plaisir et de désir.
Nous avons continué à discuter. Ma Princesse m’expliquait toutes les histoires qu’elle avait vécues précédemment. Elle avait connu plusieurs histoires, dont une qui l’avait énormément marquée. Ensuite, Elle avait eu des aventures avec pas mal d’hommes. Au fil des conversations, Elle m’expliqua tout en détail, suscitant en moi envie et jalousie (que je me gardai bien de Lui montrer !).
Juste avant de me rencontrer, ma Princesse sortait d’une histoire assez difficile. Tout en parlant, Elle me regardait en train de lui masser les Pieds avec amour et dévotion. Elle souriait en voyant mon dévouement et mon application à faire de mon mieux. Elle me dit :
« Je n’ai jamais rencontré un garçon comme toi. Tu Me traites vraiment comme une Princesse et c’est très agréable pour Moi. »
je lui ai répondu :
« Tu es ma Princesse ! Tu mérites tout ce qu’il y a de mieux et je Te serai toujours entièrement dévoué. »
Alors, Elle me dit :
« Il se fait tard, il est temps de rentrer maintenant. Mes Pieds vont beaucoup mieux. »
Elle me demanda de Lui remettre Ses bottes sans Lui enfiler Son collant, qu’Elle n’avait plus envie de porter. je L’ai donc rechaussée. Ma Princesse avait encore froid, bien qu’Elle eût toujours mon pull et ma veste sur Elle. Tout à coup, Elle s’approcha de moi et me fit un petit bisou. je n’arrivais pas à croire ce que j’étais en train de vivre. je L’avais désirée depuis le premier jour mais je m’étais fait à l’idée que rien n’était possible entre nous. Et pourtant, ce soir-là, ma Princesse m’embrassa à plusieurs reprises.
Il ne s’agissait pas de longs baisers car ma Princesse n’aimait pas cela. C’était des petits bisous. je me rappelle qu’Elle me permit de La baiser
partout sur le Visage. je Lui ai baisé les Lèvres, je Lui ai baisé le Cou, les Joues, les Oreilles. Elle fermait Ses Yeux. Elle se laissait aller. je Lui baisai le Nez, les Cheveux et les
Paupières en Lui disant :
« je T’aime, si tu savais comme je T’aime !… ».
Cet instant magique dura quelques minutes. Ce fut pour moi un moment inoubliable qui se termina trop rapidement. En effet, ma Princesse me demanda de La raccompagner chez Elle car Elle était trop
fatiguée. j’ai donc redémarré la voiture et je L’ai reconduite à Son domicile.
Avant de sortir de la voiture, ma Princesse m’a accordé un dernier petit bisou et m’a demandé si Elle pouvait conserver mon pull, car elle voulait garder mon odeur près d’Elle pendant la nuit. j’ai trouvé cela extrêmement « romantique ». je me sentais vraiment touché et comblé de bonheur. je ne connaissais alors ma Princesse que depuis quelques mois. Ce soir-là, c’était la première fois qu’Elle se montrait ainsi face à moi. Jusque-là, Elle m’avait toujours affirmé que je n’avais aucune chance avec Elle. Même si parfois, ma Princesse m’avait semblé sensible à certains de mes « gestes », Elle ne m’avait jamais donné l’impression que je pouvais espérer avoir la moindre chance.
Ainsi, cette nuit fut pour moi un moment merveilleux auquel je n’osais même plus rêver. Il faut que vous sachiez que ma Princesse est une Femme vraiment extraordinaire. Il est vrai qu’Elle est extrêmement autoritaire comme j’ai pu vous le décrire depuis le début de ma monographie. Mais derrière ce besoin de Domination, il y a une Femme qui a énormément souffert, une Femme d’une immense bonté.
je veux absolument que sous sachiez que, même si ma Princesse m’a emmené très loin dans la soumission, c’est une Femme qui a un très grand Cœur. C’est
une Femme qui méritait vraiment une vie de Princesse, et moi, depuis le premier jour, j’ai le sentiment d’être né pour Lui appartenir et La servir.
Depuis plus d’un an maintenant, il ne se passe pas une seule seconde sans que je sois rongé par ce qui est arrivé à ma Princesse. je me devais de La servir toute ma vie, je me devais de La
protéger et j’ai échoué dans mon devoir. Aujourd’hui, j’essaie de continuer à La servir d’une autre manière…
je vais revenir à cette merveilleuse nuit où ma Princesse m’a accordé cet extraordinaire moment de bonheur. Lorsque je suis rentré chez moi, je me suis déshabillé et je me suis rendu compte que j’avais éjaculé dans mon boxer. je ne suis pas fier de dire cela mais c’est la vérité. L’excitation avait été trop forte pour que j’aie pu retenir mon plaisir.
je vous ai dit précédemment que lorsque j’étais pour un long moment avec ma Princesse, j’avais toujours « la rosée du désir ». Ce jour-là, j’avais franchi un cap. L’instant où j’avais retiré le collant de ma Princesse, celui où je Lui avais massé les Pieds et enfin le dernier où nous avions flirté, tout cela avait rendu mon excitation incontrôlable.
je dois vous expliquer que tout ce qui m’arrivait avec ma Princesse était nouveau pour moi. je n’avais quasiment aucune expérience avec les
Filles. À dix-neuf ans, ce moment magique était le premier. Comme je vous l’ai déjà expliqué, je ne savais pratiquement rien du Sexe Féminin. Vers l’âge de seize ans, j’étais gêné de ne pas avoir
de petites amies. j’avais inventé une histoire avec une Fille qui habitait mon quartier. j’avais souvent été amoureux mais je ne réussissais jamais à séduire Celle pour qui j’avais des
sentiments. je pense que je devais être beaucoup trop timide et je n’étais malheureusement pas « un beau gosse ».
Vers l’âge de dix-huit ans, peu avant de rencontrer ma Princesse, j’ai eu ma première vraie histoire avec une Fille. Elle fut très courte mais, comme toutes les premières fois, elle est très
importante pour moi. j’étais sorti en discothèque avec mes amis et la soirée fut bien alcoolisée. C’est vraiment bête mais j’étais tellement timide à l’époque que je buvais pour oublier mes
inhibitions et pour ainsi oser aborder les Filles. Vers la fin de la soirée, alors que la piste commençait à se vider, je m’y suis élancé. je dansais n’importe comment, j’étais sur les nerfs. Il
y avait deux Filles qui dansaient sur la piste, une blonde et une brune. je me suis mis à les prendre toutes les deux par le cou et à danser avec elles. Il est bien évident que dans mon état
normal, je n’aurais jamais fait une chose pareille. Mais l’alcool change tout. je tiens d’ailleurs à préciser tout de suite qu’avec le recul et la maturité, je me suis bien rendu compte que
l’alcool n’est jamais une bonne solution. Au contraire, il ne peut apporter que des ennuis.
Ce soir-là, j’ai eu beaucoup de chance car les Filles auraient pu très mal prendre mon geste et me donner une baffe. Mais au contraire, j’ai réussi à
les faire rire. Peu à peu, j’ai senti que le courant passait beaucoup mieux avec la Brune. Nous sommes sortis pour discuter. Nous avons échangé nos numéros. Cette Fille me plaisait beaucoup, et
je me rappelle bien que déjà, je regardais et désirais ses pieds.
Vous me direz : rien d’étonnant à cela !
Finalement, j’ai revu cette Fille plusieurs fois et je lui ai payé un verre à plusieurs reprises. Mais contrairement à cette fameuse soirée, je n’étais plus sous l’emprise de l’alcool, j’étais retombé dans mon état normal. J’étais de nouveau timide, mon grand défaut. Cette Fille et moi avons passé de nombreux moments ensemble, dans ma voiture, sans que j’ose tenter quoi que ce fût. Un soir, avec mes amis, je suis passé la voir. Nous avons discuté comme d’habitude puis soudainement elle m’a embrassé sur la bouche.
Vers l’âge de dix-huit ans et demi, c’était pour moi la première fois. je n’oublierai jamais ce baiser, je n’oublierais jamais le contact de ses lèvres sur les miennes, ni le goût de sa langue et de sa salive.
j’étais tellement exalté et heureux en partant que mes amis avaient même dû me dire d’être prudent. Ils s’étaient rendu compte que j’étais sur mon petit nuage. Imaginez ! Dix-huit ans que j’attendais de pouvoir embrasser enfin une Fille !…
Ce soir-là et la nuit qui suivit, j’étais aux anges. je m’étais imaginé un tas de choses, je me voyais déjà en train d’enlacer amoureusement cette Fille. je me voyais déjà en train de lui embrasser les pieds. Le lendemain soir, nous devions normalement retourner à la discothèque où nous nous étions rencontrés quelques jours auparavant. Finalement, en un simple appel, elle me dit qu’elle avait bien réfléchi et que ça ne marcherait pas entre nous, qu’il fallait tout arrêter là.
je suis tombé de haut, de très haut. je m’étais peut-être imaginé trop de choses. Mais après dix-huit ans d’attente, il est normal que je me sois emballé trop vite. Finalement, après son coup de fil, j’ai décidé d’aller la voir. Mon meilleur ami a vu que j’allais vraiment mal. Il m’a d’ailleurs dit :
« Fais bien attention sur la route. »
je suis arrivé chez elle , elle n’était pas là. j’ai considéré cela comme un signe et nous nous sommes plus jamais reparlé. Après dix-huit ans d’attente et de fantasmes, je n’ai eu droit qu’à un petit baiser et cela pendant une nuit où je m’étais imaginé heureux en couple !
je suis très rapidement revenu à la réalité. j’ai recommencé à fantasmer, je n’ai quasiment toujours fait que cela. j’ai donc replongé dans ma vie ordinaire, faite de fantasmes et de frustrations, jusqu’au jour où, quelques mois plus tard, j’ai enfin rencontré ma Princesse.
Vous comprenez mieux maintenant pourquoi ce moment passé dans la voiture avec ma Princesse fut si important pour moi…
Paillasson (mâle ?), petit gamin fantasmeur, timoré, impatient, illettré et soumis de Maîtresse MAEVA.
Bonjour Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Je vous remercie sincèrement de tout mon être de publier la suite de ma monographie. Vous m’apportez comme à chaque fois un immense bonheur. Vous n’imaginez pas à quel point cela me fait plaisir de voir mon histoire publié sur votre fabuleux site. Dans cette vie difficile, vous m’apportez sincèrement un soutien et une aide essentielle.
Je vous remercie aussi pour tous les mots très gentils que vous avez à mon égard, je vous remercie de vous opposer à mes détracteurs et de poursuivre la publication de ma monographie.
Je continu d’écrire mon histoire avec le cœur, cela me fait du bien, cela me replonge dans une époque bénie.
Je vous suis extrêmement reconnaissant, divine MAEVA.
Comme toujours, le texte est merveilleusement illustré par vos superbes photos, il y a même une touche d’humour !!
Je remercie aussi « Slavio » qui corrige mes textes.
J’espère que ce texte suscitera d’autres réactions que l’ennui de notre ami « le bouffon ».
Maîtresse MAEVA, je me permets de vous demander le résultat du concours de la photo 9 d ‘hier ?
Bonsoir Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Je vous remercie une nouvelle fois pour la publication de mon texte, vous m’apportez tellement de bonheur !!
Je suis vraiment heureux d’avoir trouvé la bonne réponse à la photo 9.
Sachez, Maîtresse MAEVA, qu’il ne s’agit absolument pas de chance. Je prends ces concours très au sérieux car j’estime qu’un esclave doit être capable de reconnaître les pieds de sa maîtresse, pour moi cela est indispensable.
Depuis plusieurs mois, j’admire vos divins pieds chaque jours plusieurs heures. Je commence à bien les connaître pour mon plus grand plaisir. J’ai d’abord reconnu vos splendides pieds puis j’ai cherché les pieds de votre fille. J’ai constaté que les pieds de la dame du milieu étaient ceux qui ressemblaient le plus aux votres donc j’ai supposé qu’il s’agissait de ceux de votre fille.
Si je peux choisir, Maîtresse MAEVA, j’aimerai une vidéo de vos divins pieds.
Je vous remercie de faire preuve de tant de bonté à mon égard, je ferai toujours le maximum pour vous !!
j'avais pas vu le concours, je Vous prie de bien vouloir pardonner le corniaud que je suis. A la place, je remuais des pierres, comme un forçat...
je suis un peu embêté car dans l'un des chapitres de "Ma Femme me prête...", je voulais faire allusion à une séance au cinéma où la Belle-Soeur de Lyon fait mettre son esclave à quatre pattes dans la travée et l'utilise, pour sa commodité et son plaisir, de plusieurs façons. (j'ai vécu cela à Madrid avec Ariette : au départ, c'était à mon instigation, mais Ariette, si elle n'était pas une vraie Dominatrice, n'était pas contrariante dès lors qu'elle était sûre d'être la bénéficiaire de mes initiatives et qu'il s'agissait pour elle de passer un bon moment et de tirer profit de ma soumission spontanée ; elle m'a par la suite avoué y avoir pris un grand plaisir... augmenté par la crainte d'être surpris.)
Bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, m'autorisez-vous quand même à intégrer cet épisode dans mon texte ?
Je vais maintenant Vous souhaiter la bonne nuit, en espérant qu'elle Vous apportera repos, plaisir et rêves agréables.
Je Vous prie de croire en mon affectueuse soumission... et en mes genoux meurtris.
chien slavio.
Divine Maeva,
Ce doit être un véritable honneur de pourvoir être soumis et humilier comme un chien à vos pieds !
Il va s’en dire qu’en admirant la première photo, je m’imagine en train de ramper lamentablement jusqu’à vos pieds en attendant vos ordres.
Comment résister à l’excitation intense de pouvoir retirer vos bottes et plonger son nez à l’intérieur pour inhaler le fumet encore chaud qui doit s'en dégager après une longue soirée à danser. Rien que ce parfum odorant et envoûtant me donnerait l’envie de nettoyer vos bottes comme il se doit !
Et que dire de vos sublimes pieds nylonnés qui doivent, eux aussi, laissé échapper des effluves excitants et paradisiaques.
Devant un tel spectacle, un bon soumis doit savoir prendre sa place de paillasson et accueillir avec respect vos pieds divins sur son visage!
Je vous invite d’ailleurs à jeter un œil sur mon blog : http://domfootfetish.blogs.fr
Vous y trouverez de nombreux récit écris par mes soins sur la domination d’une maîtresse dressant un jeune esclave…
Je suis certain que ces histoires vous plairons.
Je me prosterne devant vous en vous remerciant de cette belle suprématie que vous incarnez !
Baronesslave, à votre service.