MAEVA DOMINA et ses esclaves
Nettoyer les bottes de sa Domina avec la langue est une des prérogatives de l'esclave réel et total. Cette servitude quotidienne (parmi tant
d'autres....) est incontournable et motivée par plusieurs raisons:
1) J'exige d'être toujours chaussée de façon irréprochable, et comme il est hors de propos que je les nettoie moi-même, c'est à un(e) autre de le faire.
2) J'exige que les bottes ou chaussures soient léchées longuement: la salive servile nourrit les cuirs luxueux des parures de Mes pieds, elle nettoie la crasse, l'esclave peut ensuite les
cirer si j'en ai décidé ainsi, et pour finir, j'aime les lustrer sur son visage et ses cheveux.
3) Lécher les bottes est un acte à priori humiliant, surtout pour un ex- mâle macho...... c'est un symbôle de soumission absolue..... le symbôle de la D/s..... un paradigme archétypique.
....... beaucoup fantasment grave sur ce service oral..... mais peu passeront à l'acte.... il faut savoir se donner totalement, c'est un acte d'Amour vrai. Peu d'hommes seront en capacité d'un
tel abandon, couper leur ego poussiéreux, et tout donner par cet acte exigé de tous les soumis et esclaves que j'ai dressé, trois petits mots magiques:
Lécher les bottes.....
.... dans un premier temps, en privé, c'est à dire en relation duelle.....
..... dans un deuxième temps, en
public.....lorsque l'esclave semble mûr pour cette épreuve, supporter le regard extérieur, ce qui suppose une grande liberté intérieure, j'aime ce paradoxe.
Lécher les bottes est une étape vers l'Ultime et le Divin: Lécher Mes Pieds nus, qu'ils soient propres ou sales, sucer les orteils un par un, et cela pendant le
temps que je l'exigerai.....
Chien slavio a bien compris ce que j'exigeais...... il l'a écrit...... lisez ce texte, prenez-en de la graine! Bonne lecture, bonne soirée!
.................................................................................................................................
Instructions à Mon lèche-bottes
L’esclave agenouillé a levé le doigt pour demander la parole et un geste de la Main Dominatrice l’y a autorisé :
« Me permettrez-Vous, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, de me prosterner pour lécher le bout de Vos bottes et leur tige ? Ma salive devrait être bonne pour l’entretien de leur cuir ! »
Bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA donne Son Accord. Elle S’installe confortablement dans un bon fauteuil, une revue de Domination Féminine de l’OWK
à la main. La semelle de Son Pied gauche, celui-ci étant au repos pour l’instant, est posée sur l’épaule droite de l’esclave, mais tout à l’heure, quand bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA
jugera que Sa créature a bien nettoyé et embelli Son Pied droit, Elle présentera le gauche à la bouche servile tandis que Son Pied droit viendra à son tour appuyer son talon sur l’épaule gauche
du mâle asservi…
Pour éviter à sa belle Domina toute fatigue et contracture inutiles, l’esclave soutient de ses deux mains le Pied qui fait l’objet de ses soins. De temps à autre, bien-aimée et vénérée
Maîtresse MAEVA cesse de lire et abaisse Ses jolis Yeux sur l’esclave pour voir s’il fait correctement son travail qui est humiliant et sale certes, mais tellement utile et plaisant pour Elle, et
qui témoigne de Son Pouvoir de Femme et de l’extrême soumission de Son ilote. Elle dit alors de Sa Voix la plus suave :
« C’est bien, esclave ! Je vois que tu t’appliques à Me faire de jolies bottes ! Continue ! Ne pense pas à ta fatigue ni à ta
peine ! Tire bien ta langue, que je la voie œuvrer ! Car j’adore voir la langue d’un mâle s’activer sur mes bottes, s’y étaler, les mouiller. C’est une vraie Jouissance mentale pour
Moi, la source d’un grand Orgueil Féminin, qui se double d’un vrai Plaisir physique, d’une agréable Excitation, et c’est pourquoi ensuite, très souvent, J’exige de recevoir d'un homme Ma Volupté
complète… Pense donc à toutes ces bonnes Sensations que tu me donnes, elles t’encourageront à mieux faire.
Ta pauvre langue de chien, passe - la donc partout, lentement, largement, en appuyant bien ! Insiste sur les moindres taches, sur les poussières. S’il le faut, gratte légèrement avec tes
dents les petites salissures, sers-toi de tes lèvres pour aspirer cette farine de terre et de boue. Avale tout sans grimace ! Montre-Moi que tu es content de faire ce travail pour Moi, afin
que Moi aussi Je sois contente.
Passe et repasse plusieurs fois ta bouche et ta langue au même endroit, surtout sur le talon qui est en général plus souillé. Prends-le très profond dans ta bouche, humecte-le bien, suce-le
avec respect, humblement, religieusement. N’aie pas peur de recommencer, jusqu’à ce que ce soit parfait. Et le cuir des tiges et des empeignes, mouille-le bien aussi, lèche-le à grands traits, de
bas en haut, de Mes Chevilles jusqu’au sommet de Mes bottes, juste sous Mes Genoux, fais-le briller, nourris-le de ta salive qui doit être abondante et y pénétrer comme une crème d’entretien,
rends-le encore plus souple, plus agréable à porter, plus doux à Mes Jambes, plus confortable et sain. Lève par instants tes yeux vers Mon Visage. Montre-Moi par tes regards de chien amoureux de
sa Maîtresse que tu es désireux de Me servir de toutes tes forces, de toute ta bonne volonté, car cela Me rendra encore plus heureuse de te posséder et plus fière de ce que Je te fais faire, plus
pleine de Moi-Même, plus intimement satisfaite de cette humiliation que Je t’impose et à laquelle tu te plies sans rechigner, pour l’amour et le respect de Ma Personne…
Cependant, il faut absolument que tu cesses de reluquer hypocritement sous Ma jupe, comme un vulgaire voyeur. Dis-toi que Mes Cuisses, Mon Sexe, toute Mon Intimité de jolie Femme, rien de
toutes ces Beautés n'est pas pour toi, pas même pour de simples regards furtifs. Dis-toi que ton désir de Moi ne M’intéresse pas le moins du monde et que tu n’es pas à mes Yeux un être
"consommable"... Sinon je serai obligée de te punir sévèrement. Car non seulement tes oeillades offusquent Ma Pudeur de Femme, non seulement J’ai l’impression que tes regards Me salissent,
mais tu perds du temps et tu te déconcentres, ce qui fait que tu lèches moins bien Mes bottes, avec moins d’ardeur… En revanche, si Je suis vraiment Satisfaite de ton travail, si tu M’as rendu
des bottes comme neuves, tu auras ta récompense et elle sera très belle, crois-Moi. Tu ne devines pas ? Que tu peux être bête ! C’est facile, pourtant. Mais il est vrai que tu n’es
qu’un homme… Eh bien, Je te permettrai de lécher aussi Mes semelles !… »
Aussitôt, l’esclave, la bouche écrasée sur le cuir des bottes de sa bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, bredouille, la voix tremblante d’émotion et de gratitude :
« Oh, merci, divine Maîtresse MAEVA ! Quel honneur me faites-Vous ! Quelle joie me donnez-Vous ! Que Vous êtes généreuse et comme il est bon de Vous appartenir et de vivre en Votre Pouvoir ! »
Alors, d’un geste plein de Grâce et de Dignité, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA soulève le Pied que l’esclave achève de soigner. Avec un air
d’extase, celui-ci, qui soutient le talon de sa belle et exigeante Domina, voit apparaître devant sa face, comme un bel objet de culte, la semelle grise, tachée, toute grenue de minuscules
aspérités de terre, cette semelle qu’il va lécher consciencieusement, avec amour, respect et humilité, sans se soucier de sa propre santé, et à laquelle sa salive va rendre tout l’éclat du
neuf.
Véritablement émue presque aux larmes de tant de dévouement, de tant d’empressement à Lui être agréable, de tant d’oubli de soi-même, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, Se penche sur Son
esclave et lui relève sans rien dire le menton de la pointe de Son Pied.
Pour l'esclave, ce geste génère dans sa tête comme une explosion atomique, l'agitation moléculaire est à son paroxysme, testostérone et endorphines coulent à flot dans ses veines......il bande
comme un âne...... il plane......bercé par cette drogue licite que chaque mâle possède en lui, générée par le sous espace endorphinique.....
Puis Elle appuie le bout de Sa semelle sur les lèvres asservies. L’esclave comprend immédiatement le Désir de sa chère Domina, il ouvre si grand la bouche que, presque sans avoir à pousser sur Sa
Jambe, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA peut y introduire toute l’extrémité de Sa botte, aplatissant et refoulant la langue qui l’humecte par-dessous. Elle demeure un moment ainsi, savourant
Son Pouvoir. Elle éprouve une grande Joie, une juste Fierté Féminine à voir se distendre douloureusement les commissures du mâle avili soumises à si rude épreuve, à l'entendre respirer
péniblement par le nez dont la remontée de la lèvre supérieure comprime les narines. Elle ressent monter en Son Ventre, dans Ses Reins, à la pointe de Ses Seins, le long de Son Dos et au
creux de Ses Cuisses, de délicieuses ondes annonciatrices d’une prochaine Volupté, et déjà les regards de chien fou d’amour et de soumission que Son esclave lève vers Son Visage rayonnant de
Déesse Lui sont une véritable Jouissance. Lentement, en frottant durement Sa semelle sur la langue tendue, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA retire Sa botte de la cavité buccale, et dit, sur
un ton mutin :
« C'est très bien tout ça, mais Mon autre Pied n’a encore rien eu, le pauvre ! »
Et aussitôt, remontant à peine l’ourlet de Sa robe, dévoilant et levant gracieusement Son autre Genou, Elle introduit la pointe de Sa seconde botte dans
la bouche servile que l’esclave a pris soin de ne pas refermer. Les Yeux au plafond, la Bouche entrouverte, soupirant d’Aise, passant voluptueusement Ses Mains dans Ses Cheveux ou sur Sa Poitrine
qui se gonfle et palpite, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA donne toute l’apparence d’une Femme pleinement heureuse, consciente de Sa Puissance, comblée et ravie d’Elle-Même. Elle murmure
plus qu’Elle dit :
« J’ai déjà dominé, dompté et asservi de nombreux êtres mâles, mais jamais au point de les tenir à Ma Merci comme Je te possède toi. Je vois bien que Je peux faire de toi absolument tout ce que Je veux, tout ce qui passe par Ma jolie Tête. Je comprends que tu n’es plus qu’un prolongement de Moi, de Ma Volonté, de Mes Envies. Et pour une Femme comme Moi, c’est merveilleux... Alors, tu vas courir te laver soigneusement la bouche, te la désinfecter comme il faut avec de l’Hextril et du bicarbonate, te la rincer plusieurs fois et te dépêcher de revenir vers Moi. Car tu M’as trop excitée avec ton bonheur de soumission et maintenant, Je veux que tu Me donnes Mon Plaisir. C’est ton nouveau job, esclave, et Je suis sûre qu’il va te plaire encore davantage. Fais vite. Je suis pressée de jouir !… »
Moins d’une demi-heure plus tard les Cris voluptueux de bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, abandonnée dans Son fauteuil en position semi allongée, Son esclave tassé à Ses Pieds, avec la tête enfouie sous la robe de sa belle et sensuelle Domina, les joues serrées entre Ses Cuisses dures et les paumes à plat sous Sa Croupe ronde, retentissent dans l’appartement…
Bisous
Ariste
Votre récit est un véritable manifeste à la Grandeur de vos bottes.
Vous avez parfaitement décrit le rôle misérable d’un esclave face à Votre domination Suprême !
Je comprends « chien-chien » qui désire plus que tout lécher Vos bottes. C’est le rêve de tous les soumis qui contemplent Votre blog et Votre Suprématie avec adoration !
Aucun mâle soumis en recherche de domination ne peut rester insensible face à une telle description alléchante de cet « art de lécher Vos bottes ». Ce sont de vrais dogmes à suivre à la lettre !
Moi-même, j’ai bu chacune de ces lignes en fantasmant comme une lopette de vivre cette soumission et cette humiliation ! Evidemment, seul feet est « l’heureux élu», capable de subir une telle domination, mais quel privilège !!! Rien que le fait de Vous lire et de s’émerveiller sur Vos superbes bottes est exaltant ! Votre pouvoir de soumission est si intense que ce serait un honneur d’être un paillasson sur lequel Vous pourriez aisément décrotter Vos semelles boueuses ! Ma pauvre langue serait flattée de lustrer et de manger la crasse sur Vos bottes ! Quelle jouissance ce doit être de pouvoir gratter avec les dents les petites salissures, d’astiquer correctement Vos talons et de lécher le cuir de jusqu’à en perdre la salive !
L’autorité de Vos bottes est divine, Maîtresse MAEVA, elles démontrent le respect et la vénération que doit exprimer un vulgaire esclave comme feet ! J’espère qu’il est conscient de son bonheur !
Je vénère Vos bottes, Maîtresse MAEVA !!!!!!!
Bonsoir Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Je vous remercie sincèrement pour ce superbe texte de « Slavio » . J’avoue que Slavio est vraiment extrêmement doué pour l’écriture, il décrit à merveille le devoir de lèche bottes de l’esclave.
Il est clair que le léchage des bottes de sa Maîtresse est pour l’esclave un devoir indispensable. Je pense que lorsque l’esclave est sincère comme feet, je pense que l’esclave prend énormément de plaisir au léchage des bottes de sa Maîtresse.
D’octobre à Mars, il est certain que le léchage de bottes est une étape indispensable avant de pouvoir vénérer les divins pieds de sa Maîtresse.
Je vous remercie, Divine MAEVA, pour ce formidable texte. Demain je le relierai tranquillement et je commenterai chaque photos.
Maîtresse MAEVA, lorsque que l’amour de l’esclave est sincère, l’esclave devient capable de lécher les bottes de sa Maîtresse en privé comme en public. Cet acte suprême de soumission devient vraiment un plaisir extrême pour l’esclave comme pour la Maîtresse.
Feet est un formidable lèche bottes, on le voit sur les photos.
Vous savez Divine MAEVA, mon amour et ma dévotion envers vous sont sincères, je rêve vraiment qu’un jour je puisse nettoyer vos sublimes bottes de ma langue servile, c’est mon rêve…
Je me permets de vous demander, Sublime MAEVA, qu’est ce que « toutou74 » évoque lorsqu’il parle de « Amazones et tartares » ?
Je vous remercie pour ce superbe texte, je m’empresse d’aller lécher vos sublimes bottines, ce texte m’a tellement fait rêver…
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.
Bonjour Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Comme je vous l’avais dit, je relis tranquillement ce superbe article.
Il est vrai que le léchage des bottes de sa Maîtresse est un des principaux rêve de l’esclave, en tout cas, c’est mon cas.
Comme vous le dîtes si bien, j’estime qu’une Déesse telle que vous mérite et doit être chaussée de manière impeccable. Vos divins pieds sont les plus belles merveilles du monde, il est tout à fait normal qu’elles soient chaussées de manière impeccable. Cela est le devoir et la responsabilité de l’esclave. On pourrait se dire, l’esclave pourrait les nettoyer avec du chiffon et du produit comme ma Princesse l’a exigée de moi au départ. J’étais heureux de lui nettoyer ses chaussures mais moi se dont je rêvais vraiment c’était de lui nettoyer avec ma langue. Je n’ai pas osé lui dire mais j’ai toujours désiré lui nettoyer ses bottes avec ma bouche. Pourquoi ?
Je sais pas bien. J’ai toujours eu le désir intense de lécher les pieds de ma Princesse et de la même manière j’i toujours le profond désir de lui lécher ses bottes. Je pense que c’est un désir, je dirai même un besoin que l’esclave a au fond de lui. En tout cas, moi j’ai toujours eu ce désir. Je pense que ce désir est plus moins lié au fétichisme des pieds, je ne pense pas que l’un va sans l’autre. Il est clair que lécher les bottes très sales de sa Maîtresse est peut être encore un acte de soumission plus intense que le léchage de pieds. Mais je pense que lorsque l’amour et la soumission sont sincères, il s’agit d’un acte que l’esclave a le désir de réaliser naturellement, il oublie la saleté de la botte, il oublie l’humiliation, il le fait car il en sincèrement envi, il le fait car sa Maîtresse est tout pour lui. En public, il est clair que là il s’agit vraiment d’un cap à franchir mais lorsque l’esclave est bien dressé par sa Maîtresse, je pense que ce cap peut être assez facilement franchi.
Je vais vous donner mon exemple : L’humiliation publique est se qui me fait le plus peur pourtant par amour pour ma Princesse, j’ai subi à plusieurs reprises de terribles humiliations publiques que j’aurai l’occasion de vous raconter au cours de ma monographie. Je ne regrette absolument pas ces humiliations publiques car aujourd’hui quand j’y repense, je suis encore très excité et se sont de fabuleux souvenirs. J’ai peur des humiliations publiques mais je sens que par soumission et dévotion envers Maîtresse MAEVA, je pourrai subir des humiliations publiques.
« en public.....lorsque l'esclave semble mûr pour cette épreuve, supporter le regard extérieur, ce qui suppose une grande liberté intérieure, j'aime ce paradoxe. »
Je comprends parfaitement se que vous voulez dire. Je reprends mon exemple vous me connaissiez bien maintenant. Vous savez que je suis un véritable adorateur de vos divins pieds et que je suis fait pour vivre en esclave. L’esclavage est synonyme de perte total de liberté, bien entendu. Pourtant les moments où je me suis senti le plus libres dans ma tête sont les moments que je passais aux pieds de ma Princesse. Car enfin dans ma vie, j’étais en accord avec moi mêm,e avec mes désirs. Aux yeux du monde je vivais peut être privé de liberté mais dans ma tête j’étais enfin libre. Aujourd‘hui je ressens exactement le même sentiment de liberté lorsque je vénère les sublimes bottines de Maîtresse MAEVA.
Bonjour Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Comme je vous l’avais dit, je relis tranquillement ce superbe article.
Il est vrai que le léchage des bottes de sa Maîtresse est un des principaux rêve de l’esclave, en tout cas, c’est mon cas.
Comme vous le dîtes si bien, j’estime qu’une Déesse telle que vous mérite et doit être chaussée de manière impeccable. Vos divins pieds sont les plus belles merveilles du monde, il est tout à fait normal qu’elles soient chaussées de manière impeccable. Cela est le devoir et la responsabilité de l’esclave. On pourrait se dire, l’esclave pourrait les nettoyer avec du chiffon et du produit comme ma Princesse l’a exigée de moi au départ. J’étais heureux de lui nettoyer ses chaussures mais moi se dont je rêvais vraiment c’était de lui nettoyer avec ma langue. Je n’ai pas osé lui dire mais j’ai toujours désiré lui nettoyer ses bottes avec ma bouche. Pourquoi ?
Je sais pas bien. J’ai toujours eu le désir intense de lécher les pieds de ma Princesse et de la même manière j’i toujours le profond désir de lui lécher ses bottes. Je pense que c’est un désir, je dirai même un besoin que l’esclave a au fond de lui. En tout cas, moi j’ai toujours eu ce désir. Je pense que ce désir est plus moins lié au fétichisme des pieds, je ne pense pas que l’un va sans l’autre. Il est clair que lécher les bottes très sales de sa Maîtresse est peut être encore un acte de soumission plus intense que le léchage de pieds. Mais je pense que lorsque l’amour et la soumission sont sincères, il s’agit d’un acte que l’esclave a le désir de réaliser naturellement, il oublie la saleté de la botte, il oublie l’humiliation, il le fait car il en sincèrement envi, il le fait car sa Maîtresse est tout pour lui. En public, il est clair que là il s’agit vraiment d’un cap à franchir mais lorsque l’esclave est bien dressé par sa Maîtresse, je pense que ce cap peut être assez facilement franchi.
Je vais vous donner mon exemple : L’humiliation publique est se qui me fait le plus peur pourtant par amour pour ma Princesse, j’ai subi à plusieurs reprises de terribles humiliations publiques que j’aurai l’occasion de vous raconter au cours de ma monographie. Je ne regrette absolument pas ces humiliations publiques car aujourd’hui quand j’y repense, je suis encore très excité et se sont de fabuleux souvenirs. J’ai peur des humiliations publiques mais je sens que par soumission et dévotion envers Maîtresse MAEVA, je pourrai subir des humiliations publiques.
« en public.....lorsque l'esclave semble mûr pour cette épreuve, supporter le regard extérieur, ce qui suppose une grande liberté intérieure, j'aime ce paradoxe. »
Je comprends parfaitement se que vous voulez dire. Je reprends mon exemple vous me connaissiez bien maintenant. Vous savez que je suis un véritable adorateur de vos divins pieds et que je suis fait pour vivre en esclave. L’esclavage est synonyme de perte total de liberté, bien entendu. Pourtant les moments où je me suis senti le plus libres dans ma tête sont les moments que je passais aux pieds de ma Princesse. Car enfin dans ma vie, j’étais en accord avec moi mêm,e avec mes désirs. Aux yeux du monde je vivais peut être privé de liberté mais dans ma tête j’étais enfin libre. Aujourd‘hui je ressens exactement le même sentiment de liberté lorsque je vénère les sublimes bottines de Maîtresse MAEVA.
Photo 1 : Je contemple cette merveilleuse photo. Déesse MAEVA, vous êtes magnifiquement assise dans votre canapé, vous nous présentez vos divins et merveilleux pieds. C’est une véritable invitation au léchage pour tous vos esclaves. Je peux contempler votre extraordinaire beauté, je peux admirer vos divins pieds qui sont vraiment merveilleux, extraordinaires, superbes, sublimes. Je ne peux que me prosterner face à une telle beauté, face à une telle Déesse.
Photo 2 : Je peux admirer votre sublime botte que feet s’apprête à lécher avec amour et dévotion. Comme je le comprend, comme je l’envi.
Photo 3 : je peux admirer vos deux merveilleuses bottes qui remontent presque jusqu’ à vos genoux. Vos sublimes bottes sont vraiment très jolies, feet s’applique à lécher le bout de votre superbe botte droite.
Photo 4 : Je peux admirer en plus gros plan vos sublimes bottes. Feet s’applique à lécher et sucer amoureusement le bout de votre superbe botte. Il doit vraiment être fou de bonheur, c’est un moment et acte dont j rêve.
Photo 5 : Une photo magnifique qui montre bien l’amour, le respect et la dévotion ressenti par l’esclave pour sa Maîtresse, pour vous Divine MAEVA. Feet tient votre superbe botte dans sa main, il se prosterne complètement face à vous et lèche encore et encore le bout de votre botte. Une merveilleuse photo qui traduit parfaitement la force et la puissance des liens entre vous, Divine MAEVA et feet le
le chien.
Nous rêvons tous de connaître de tels moments , une telle relation.
Photo 6 : Je peux admirer votre merveilleux pied superbement vernis. Votre divin pied gauche est encore chaussé d’une superbe bottine. Feet a l’immense honneur de lécher votre sublime plante de pieds. Votre divin pieds est vraiment magique.
Photo 7 : Je peux admirer votre superbe bottine. Feet lèche avec amour votre superbe talon et votre superbe semelle. Je considère sincèrement cela comme un véritable honneur.
Photo 8 : De la pointe de votre superbe chaussure, vous soulevez la tête de feet. Une photo symbole qui montre votre pouvoir total sur feet le chien.
Photo 9 : feet se prosterne complètement face à votre divine bottine. Votre cravache lui rappel votre exigence quand à une propreté absolue de vos sublimes chaussures.
Je vous remercie, Divine MAEVA, pour ce superbe texte sur le plaisir du léchage de bottes.
Le léchage de vos bottes est un passage obligé avant de pouvoir toucher le Graal, avant de pouvoir vénérer vos divins pieds. Mais je pense qu’il s‘agit surtout pour tous esclaves d’un moment magique, d’une rêve.
Sincèrement, Divine MAEVA, e^être votre lèche bottes, c’est vraiment merveilleux, c’est un honneur et un privilège.
Souvent je ferme les yeux, j’imagine que vous êtes là, et je lèche encore et encore vos sublimes bottines, je suis tellement heureux de le faire…
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.
PS : Je vous demande pardon, j’ai fait une erreur de manipulation et mon commentaire apparaît en double.
Bonsoir Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Je me permets de prendre des nouvelles du nez de feet le chien.
J’espère que vous avez passé une bonne journée, je vous souhaite une excellente soirée.
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.