MAEVA DOMINA et ses esclaves
Bien-aimée et révérée Maîtresse MAEVA, parmi toutes les photos, plus splendides et alléchantes les unes que les autres, dont Vous parsemez Votre blog, toutes pour la plus grande Gloire de la Féminitude, celle-ci, parue récemment, m’a vivement interpellé, excité, ébloui, fasciné…
j’ai eu envie de commenter celle-ci, à Votre Intention, afin de montrer (ou de rappeler) à tous que le contenu « dominateur » d’une image de Femme n’a rien à voir avec une quelconque pornographie.
Quelle photo pourrait être plus « innocente » que celle-ci, plus dépourvue de toute perversité ?
Pourtant, je crois pour ma part que, bien que ne s’agissant pas de Vous (mais ce pourrait être Vous !) cette vue contient en raccourci l’essentiel
de la Domination physique et spirituelle qu’une Femme libérée, sûre d’Elle, et d’une Sexualité épanouie, exerce sur nous, sans Se avoir à Se donner d’autre peine que d’être belle, et
égocentrique… Et d’aimer nous dominer pour en tirer Plaisirs et Avantage.
En effet, que voit-on sur cette image ?
Rien ou presque.
Mais que ne laisse-t-elle deviner ? Quels rêves asservis ne fait-elle pas éclore dans nos âmes soumises ?-
Une jeune Conductrice (de 25 à 30 ans ?) S’apprête à quitter Son auto.
La roue arrière étant proche de celle de devant, il s’agit probablement d’un luxueux et coûteux coupé sport.
Cette Blonde est riche ou possède un amant qui l’est, ou des « money slaves ».
La portière avant gauche de Sa voiture est ouverte.
On ne voit pas qui l’a ouverte, pas même sa main.
Sans doute, celui-là même qui maintenant la tient pour la Femme.
Probablement un soumis, un esclave peut-être, dont la vue n’a pas d’importance.
Le serviteur est en tenue de chauffeur, quoique pour cette fois la Femme ait désiré prendre Elle-Même le volant.
Il s’incline humblement devant la Femme, sa casquette à la main, sans avoir l’audace de lever les yeux vers Elle.
À moins qu’il ne soit agenouillé sur le gravier ou le ciment, la face tournée vers le sol.
On ne voit pas le Visage de la Conductrice, mais on le devine beau.
Rien qu’à Ses Cheveux, volontairement coiffés avec désinvolture, on devine que la Femme est belle.
Rien qu’à Son majestueux port de Tête, on La sait volontaire, autoritaire, exigeante, dure parfois avec ceux qui La servent, sûre de Son Prestige, de Son Attirance et de Sa Supériorité.
On suppose qu’Elle apprécie de voir les mâles s’humilier à Ses Pieds, se précipiter pour Lui faciliter toutes choses, obéir instantanément au moindre de
Ses Ordres, au plus inattendu de Ses Caprices.
La Femme a jeté hors de la voiture, sans doute en un mouvement de grande harmonie, Sa Jambe gauche, finement gainée.
Devant ce beau tableau, tout soumis se plaît à faire porter à cette Femme blonde de jolis bas à large couronne, bien tendus par de larges jarretelles froncées, noires ou peut-être rouges, ourlées de ténue dentelle blanche.
Car tout est précieux en cette Femme, tout est luxe et volupté en Elle.
Sa Jambe droite est encore à l’intérieur, ce qui crée un écartement de Ses Genoux du plus érotique effet.
Ce vide aimanté tire l’œil et le garde.
Les Genoux sont ronds, parfaits, ils accrochent la lumière.
La Jambe que l’on aperçoit au premier plan offre un galbe très pur.
Le Pied est magnifiquement cambré dans l’escarpin à haut talon qui brille, irréprochable.
Sans doute un esclave a-t-il dû lécher longuement le soulier et sa semelle, sucer son talon.
Peut-être celui qui maintient la portière. Peut-être un autre. Car cette Femme a forcément à Son Service tout un cheptel mâle.
La Cheville est déliée, elle appelle le baiser de servitude, d’abandon et de renoncement.
Au-dessus des Genoux, la bouche attirante de la jupe courte et noire, tendue d’une Cuisse à l’autre, laisse découvrir à l’arrière-plan le second Genou.
Les Cuisses, dont on voit le début, promettent d’être larges, fermes, puissantes, aptes à broyer entre elles un visage masculin pendant la caresse buccale.
Elles promettent aussi de s’épanouir en une Croupe ronde et dure sous la jupe strictement ajustée, ces doux globes qui eux aussi aiment les caresses en tout genre et qui dansent lors la marche, dans la rue ou dans les salons, faisant se retourner tous les hommes, de désir ; toutes les Femmes, d’envie.
Les Cuisses sont écartées, sans que la Femme Se soucie de ce qu’Elle donne à voir de Sa Beauté intime.
Le regard d’un esclave n’est pas un regard d’homme, ce n’est pas un regard.
Et celui de tout passant ne pourrait être qu’admiratif et respectueux.
La Femme est légèrement penchée vers l’extérieur de Sa voiture qu’Elle S’apprête à quitter.
Elle regarde au-devant d’Elle, voyant peut-être approcher un amant qu’Elle a convoqué ici, près d’un hôtel de grand choix, et dont Elle attend qu’il sache Lui donner tout Son Plaisir.
On ne voit pas le mouvement qui va suivre, mais on le devine.
La jolie Femme va pivoter lentement sur Ses admirables Fesses.
Son Genou droit va se lever.
Sa Jambe droite, sans chercher à se réunir à l’autre, va sortir à son tour.
Ce pivotement va faire légèrement remonter la jupe le long des Cuisses qu’un observateur bien placé (l’esclave qui tient la portière s’il ose lever les yeux en bravant la semonce ou la punition ? Un passant chanceux ? L’amant qui arrive ?) va pouvoir contempler, et même un peu par en dessous, sur toute leur désirable longueur satinée jusqu’au sommet du bas, plus sombre sur la couronne, de crème dorée au-dessus, de part et d’autre de ce qu’on voit de jarretelles, jusqu’à la troublante Intimité Féminine, tiède, et délicieusement odorante, peut-être moite déjà, plus devinée que vue dans la pénombre du vêtement, sous le triangle de la petite culotte qui se bombe sur le bijou qu’elle protège et orne…
Et chaque homme (encore) libre voudrait être l’amant qui arrive et va honorer de toute la force de son amour et de son désir cette somptueuse Créature.
Et chacun de nous, les soumis, voudrait être l’esclave qui tient la portière.
À deux genoux...
esclave chien slavio, le jeudi 5 novembre 2009.
Bonjour Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Je félicite notre ami « slavio » car son texte est vraiment splendide.
Je suis un peu jaloux de toi « slavio » car tu as l’honneur et le privilège d’obtenir les félicitations publiques de MAESTRA MAEVA. En plus, notre Divine MAEVA, t’autorise le cas échéant à lécher ses merveilleuses bottines boueuses. Tu as vraiment de la chance car il s’agit là d’un véritable honneur. Je plaisante lorsque je dis que je suis « jaloux », « slavio » mérite ces félicitations car ses textes sont toujours passionnants.
C’est vrai que cette Sublime photo inspire le rêve pour tous les esclaves mâles !!!
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.
Toi aussi je te félicite pour ton texte, seulement, il y a une facilité avec slavio, il m'envoie un texte, je le lis, je le publie, il n'y a pas de corrections, hormis certains passages qui parfois me déplaisent et que je supprime, parfois je rajoute une phrase ou deux, je l'ai déja fait avec tes textes......je suis assez perfectionniste pour les textes, et je suis souvent consternée du niveau zéro de l'écriture, quand par hasard je me perds dans des sites SM.....
Je remercie avec humilité bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA pour Son incomparable Gentillesse et Son Indulgence*... et je remercie aussi mon confrère en servitude, paillasson
mâle, à qui je dis que je suis flatté d'être virtuellement autorisé à lécher les bottes de notre Sublime Maîtresse, mais que cela (hélas pour moi) restera virtuel. Et puis aussi : j'apprécie ses
textes pour la sincère soumission aux Femmes qu'ils expriment et pour la profonde et constante admiration qu'il éprouve pour Elles ; pour le dévouement sans bornes qui est le sien devant les
Exigences d'une jeune et belle Déesse qui trouve Son PLaisir à user et abuser de Son Pouvoir sur lui ; pour l'abandon de toute prétention machiste (ou simplement masculine) dont il fait
preuve dès que Sa Sultane paraît et dit "Je veux !".
Je me jette aux pieds de notre divine Maîtresse et serais honoré de lécher Ses semelles :
esclave chien slavio.
(*) Juste un infime détail : le mot symbole s'écrit sans accent circonflexe. Je demande pardon à notre Incomparable Dominatrice pour ma cuistrerie, mais je ne l'exerce
ici que pour obéir à Son Goût du Perfectionnisme.
Bonsoir Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Je vous remercie, Divine MAEVA, ainsi que « slavio » pour tous les mots gentils que vous avez à mon égard.
J’ai vraiment l’impression d’avoir vraiment progressé sur la voie de l’esclave absolu depuis que je suis devenu votre esclave virtuel.
Je progresse sincèrement depuis que je vous appartiens. Je vous en remercie sincèrement, Sublime MAEVA. Je vais toujours continuer à faire le maximum pour continuer à progresser et être le meilleur esclave possible.
Je sais que je ne dois pas avoir la grosse tête, cela est interdit à un esclave qui par définition sera toujours un être inférieur quoi qu’il fasse. J’en ai parfaitement conscience.
Je sais, Sublime MAEVA, que vous serez me remette à ma place, si un jour, je m’égare, j’ai besoin de sentir votre autorité, je suis heureux ainsi et je vous en remercie.
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.
Avec mon dévouement et mon humble respect :
esclave chien slavio.
Une des choses qui m'épatent (qui me peinent) dans le monde actuel (et il y en a à foison !), c'est que tout un chacun veut des carrelages ajustés au petit poil, des menuiseries parfaitement ajustées, des bagnoles qui ne fuient pas, des jardins sans une "mauvaise" herbe, des appareils photographiques sans défaut, etc., alors que dans le même temps tout le monde ou presque se fout comme de sa première couche-culotte de ce que la langue, le premier, le principal de nos modes d'expression et de communication, soit bancale, mal foutue, sale sur elle, biscornue et mal vêtue. L'autre jour, à Clermont, une gigantesque affiche annonçait des "soldes géantes", alors que dans ce cas, c'est "géants" qu'il aurait fallu. Un document de mathématique très intéressant reçu sur Internet
écrivait vingt fois le mot
J'ai longtemps récrit (ou réécrit), tout en les retouchant le moins possible, des lettres de lecteurs et lectrices pour une revue coquine. Je me suis aperçu qu'à force d'erreurs, certains et certaines arrivaient à écrire... le contraire de ce qu'ils ou elles voulaient dire ! Tout cela me fait le même effet qu'à un maçon un mur tout fissuré, mal jointoyé et qui penche, prêt à se casser la gueule, ou une série de fausses notes à un musicien... Cela dit, de tous ceux que j'ai pu survoler, Votre blog est, et de loin, le plus "pur" quant à la langue et je Vous en félicite et Vous en remercie. En fait, par respect et admiration de Vous, je le voudrais (particulièrement dans Vos propres textes) presque exempt de toute scorie. D'où mes remarques qui n'attaquent personne. Cela ne me met évidemment pas à l'abri de certaines bourdes et j'en ai commis ici même pour ma plus grande honte. Mais comment un simple esclave pourrait-il être parfait ?
Vous seule, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, pouvez y prétendre.
Bien respectueusement Vôtre :
esclave chien slavio.
Ton texte est excellent, chien slavio, je te félicite publiquement, et si tu étais présent, je t'accorderais le privilège de lécher mes bottines à talons, plutôt boueuses, c'est saisonnier!