MAEVA DOMINA et ses esclaves
Voici la suite tant attendue de cette passionnante histoire.....
FÉTICHISME ET SOUMISSION, XVIII
Nous voici donc, ma Princesse et moi, dans l’intimité de ma chambre. Je suis à ma place naturelle, c’est-à-dire agenouillé devant les divins pieds de ma Domina, auxquels je viens de faire l’amour avec ma bouche pendant une heure. Elle a vraiment apprécié ce moment : j’ai pu l’entendre à ses soupirs de bien-être et à ses cris de joie. J’aimerais continuer encore et encore de lécher et d’adorer ses merveilleux pieds, car je viens sincèrement de passer le plus beau moment de ma vie…
Au bout d’une heure, ma Princesse se penche sur moi et me tire par les cheveux. Je cesse donc de lui vénérer les pieds, je relève la tête pour regarder ma Maîtresse qui me demande : « Pourquoi viens-tu de me faire cela ?… Je vais être honnête avec toi, jamais un garçon ne m’a adorée comme tu viens de le faire. À chaque fois que je sortais avec un garçon, il ne pensait qu’à une seule chose, tu imagines bien laquelle : me faire l’amour et tirer de moi son plaisir. Je n’ai jamais connu de moment tendre où un garçon me prouvait son amour par ses baisers ou ses caresses. Au contraire, j’ai souvent entendu de la part de mes partenaires des reproches lorsque nous échangions des câlins. Bien entendu, cela a accentué mes complexes. Jamais un garçon ne m’a adoré les seins, ni aucune autre partie de mon corps, comme tu viens de le faire pour mes pieds auxquels tu viens de rendre hommage pendant un si long moment ! Je n’en reviens pas de ce que tu viens de me faire !… Je n’ai jamais ressenti de telle sensation, j’ai adoré !!! ».
Je réponds : « Ma Princesse, je ne suis pas comme les autres garçons. Quand je dis que je n’aime que toi, c’est la vérité. C’est vrai, je le
reconnais, je bandais en massant les pieds de Lucie. Elle a de jolis pieds mais je préfère de très loin les tiens. Si je bandais comme cela, c’est parce que tu étais là, juste à côté.
J’admirais tes pieds magnifiques, je savais que tu me surveillais d’un œil autoritaire et c’est cela qui me faisait bander. Cela n’avait strictement rien à voir avec ta cousine. Ma Princesse,
comme je te l’ai si souvent dit, je vais te le redire une nouvelle fois : je n’aime que toi. Je suis sincèrement fou-amoureux de toi. Mon cœur, mon être et mon âme t’appartiennent. Je suis
sincèrement heureux d’être ton serviteur. Je ne sais pas ce que je peux faire pour te prouver mon amour, pour que tu arrêtes d’en douter. Je sais que tu as tellement été déçue dans le passé
que maintenant tu as du mal à te sentir en confiance. Comme je te l’ai déjà dit, je suis prêt à me faire tatouer ton prénom sur le corps pour te prouver mon appartenance. Je suis prêt à tout pour
te prouver mon amour, je me fiche complètement des autres filles, je n’aime que toi, je ne vois que toi. Tu m’as demandé… ou plutôt ordonné… de masser les pieds de Lucie, je l’ai fait, mais il y
a une chose que je ne ferai jamais à une autre que toi : c’est ce que je viens de te faire là. Comme je te l’ai dit, je t’aime à un point que tu n’imagines même pas, j’aime absolument
tout chez toi. Par cette adoration de tes magnifiques pieds, je voulais te prouver tout mon amour. Tu as appelé cela d’une si jolie manière ! Oui, ma Princesse, j’ai fait l’amour à tes
jolis pieds avec ma bouche. En me laissant faire, tu m’as offert le plus beau moment de ma vie, c’était magique et je te remercie ! »
À ce moment, je suis vraiment très ému, je parle d’une voix hésitante, les larmes coulent le long de mes joues. Ma Princesse me regarde en souriant, elle aussi est très émue, je l’ai rarement vue
comme cela. Elle aussi a des larmes dans les yeux et je pense qu’elle est encore toute retournée par les sensations que je viens de lui procurer. Je continue donc ma déclaration
d’amour :
« Ma Princesse, je n’aime que toi et je ne bande que pour toi. Tu es et tu seras toujours la seule et unique femme de ma vie. Je préfère faire l’amour à tes merveilleux pieds avec ma bouche, plutôt que de faire l’amour à une autre femme. » Après m’avoir écouté attentivement, ma Domina me répond : « Tu m’as vraiment procuré des sensations inédites que j’adore. Je ne t’en veux plus, mais ne me dis pas que si une fille magnifique t’allumait et voulait te faire l’amour, tu refuserais, j’ai du mal à y croire ! »
Aussitôt, j’affirme à ma Maîtresse : « Et pourtant, je t’assure que c’est la vérité. » Elle me rétorque alors : « Et si tu avais la
possibilité de faire l’amour avec Lara Fabian, ne me dis pas que tu refuserais !… » Si ma Princesse me dit cela, c’est qu’elle a remarqué qu’il y a plusieurs posters de Lara Fabian dans
ma chambre.
Il est vrai que dans mon adolescence, je fantasmais énormément sur cette star, et surtout sur ses jolis pieds. En effet, j’avais réussi à trouver dans un magazine un poster où elle
apparaissait les pieds nus. Je vous lasse imaginer à quel point je fantasmais…
Je réponds à ma Maîtresse : « Lara Fabian a longtemps été pour un moi, un fantasme, je le reconnais, mais cela était bien avant que je te rencontre. Aujourd’hui, si elle venait vers moi, je la repousserais, il n y’a plus que toi qui comptes ! » Ma Princesse reprend : « Donc, tu serais prêt à rester chaste toute ta vie pour ne faire l’amour qu’à mes jolies pieds ? » Je confirme qu’elle ne se trompe pas. Elle continue : « Même si je sais que tu es bien différent des autres garçons, je reste sceptique quant à ta capacité à repousser les avances d’une belle femme. Je sais bien qu’un puceau a du mal à résister à une jolie dame ! » Je ne réponds pas, mais je remarque que ma Princesse vient une fois de plus d’affirmer sa certitude que je suis encore puceau.
Nous sommes encore tous les deux sur un nuage, nous venons de passer un moment magique. Ma Domina me dit : « Au fait, je t’autorise à aller te nettoyer dans la salle de bains. Je ne t’en veux pas d’avoir éjaculé sans mon accord, j’imagine bien que ce moment a dû être trop excitant pour toi… » Elle a raison, j’ai encore une fois le boxer plein de ma semence. Comment l'a t’elle deviné ? Elle a peut - être ressenti le frisson qui a parcouru mon corps au moment de ma jouissance.
Je lui fais mes excuses et je la remercie pour sa bonté. Ma Princesse me fait remarquer : « Je suis cool avec toi aujourd’hui car chez moi tu as été parfait et tu ne m’as pas déçue. Mais n’en abuse pas, n’oublie jamais que j’attends de toi une obéissance absolue !!! Va te nettoyer et apporte-moi mon sac de cours. Il faut que l’on reprenne les révisions car les examens approchent et si je les loupe, mes parents vont me tuer ! »
Je vais donc chercher le cartable de ma Princesse. Je le lui apporte, mais lorsque je vais m’asseoir à ses côtés sur le lit, elle me repousse violemment de ses
deux mains, en me disant : « Qu'est-ce que tu voulais faire, là ? ». Je lui réponds : « J’allais m’asseoir à côté de toi pour te faire réviser. » Ma Domina me
crie dessus : « Tu te crois où !!! Ta place est à mes jolis pieds !!! Allez, vite, aux
pieds !!! »
Comme je vous l’ai déjà dit, j’adore ce type de phrase qui me rend dingue. Je m’exécute tout de suite. Ma Princesse me montre les cours que je dois lui lire. Je pose le cahier sur le sol. Elle
m’ordonne : « Tu vas continuer de me masser les pieds tout en lisant les leçons. » J’obéis. Je suis de nouveau à genoux devant ma Domina. Je masse avec de la crème hydratante ses
divins pieds, tout en lui faisant la lecture. Cela dure deux bonnes heures, mais je suis tellement heureux d’être aux pieds de ma Princesse !...
Ensuite, elle veut que je la raccompagne, car sa mère lui a demandé de rentrer manger ce soir, sans doute pour qu’elles puissent encore se parler toutes les deux. Moi aussi, je me couche tôt, car la journée a été riche en émotions…
Le samedi suivant, ma Princesse décide d’aller rendre visite à sa tante Marie. Depuis la journée de mercredi, elle n’a pas arrêté de m’en parler… La dernière fois qu’elle a vu sa parente, elle devait avoir aux alentours de dix ans. Sa tante habite à une vingtaine de kilomètres de chez nous, dans un tout petit village. Nous avons trouvé son adresse sur Internet. Ma Princesse est vraiment décidée à lui rendre visite. J’avoue que moi aussi j’ai envie de rencontrer cette dame car, pour la première fois, je vais peut -être rencontrer une Dominatrice expérimentée. Je sens une certaine excitation m’envahir. Bien entendu, ma Maîtresse fait cela en cachette de sa maman.
Samedi, à 14 heures, nous nous mettons donc en route. En moins d’une demi-heure, nous sommes arrivés. Nous avons facilement trouvé la maison, c’est quasiment la plus grande et la plus belle demeure du village. Ma Domina ressent une petite appréhension, elle ne sait pas comment va réagir sa tante Marie. Nous restons un moment dans la voiture, garée en face de la maison. Puis ma Princesse décide d’y aller. Quand elle sonne à la porte, je me tiens juste derrière elle. Nous sommes tous les deux stressés. La porte s’ouvre sur la tante Marie qui reconnaît immédiatement sa nièce et l’invite à entrer.
Je découvre une femme magnifique, la maman de ma Domina n’a pas menti, sa beauté est sublime. Mon regard est irrésistiblement attiré par ses pieds que je trouve eux aussi sublimes. La tante Marie porte de jolies sandales, munies de lanières dorées dans lesquelles sont incorporés des brillants. Je peux admirer ses superbes orteils vernis d’un rouge vif. Elle porte un tailleur qui permet d’admirer ses longues jambes bronzées et sublimes. Elle porte un chemisier blanc qui laisse entrevoir une poitrine généreuse. Elle est superbement maquillée, elle a de jolis cheveux châtains. Elle ressemble beaucoup à la mère de ma Domina. On voit que c’est une femme qui prend énormément soin d’elle-même. C’est vraiment une très belle créature.
Ma Princesse me présente à sa tante qui lui demande si je suis son petit ami. Ma Domina lui répond : « Non, c’est mon meilleur ami mais il est bien plus que cela, c’est mon serviteur… » Avec cette phrase de ma Princesse, le ton est donné…
Sa tante vit vraiment dans une propriété magnifique, elle nous invite à entrer dans la salle à manger. Elle possède de superbes meubles, de très beaux
lustres. Nous nous installons sur le canapé, tandis que Marie s’assied dans un fauteuil, en face de nous et croise ses jambes sublimes. Je dois résister à l’envie irrésistible de fixer
mon regard sur elles pour les d’admirer, ainsi que sur ses merveilleux pieds. Ses jambes étant croisées, sa jupe moulante a tendance à remonter, ce qui me permet d’entrevoir ses magnifiques
cuisses…
Ma Princesse prend la parole, elle explique qu’elle est étonnée que sa tante l'ait reconnue immédiatement après tant d’années de séparation. Marie lui répond : « Tu es encore
plus belle qu’avant. J’ai immédiatement reconnu ton visage et tes magnifiques cheveux. Tu as de l’or sur la tête, et ce que je te dis est sincère. Tu es devenue une jeune fille vraiment
magnifique. Je suis très très heureuse de te revoir... Mais pourquoi aujourd’hui ?… Explique-moi s’il te plaît ».
Ma Princesse lui raconte alors tout : notre rencontre, ma soumission et surtout cette fameuse après-midi de mercredi où sa maman lui a donné les raisons pour lesquelles ses deux soeurs ne la voient plus. Ma Princesse ajoute : « Ma mère m’a toujours dit qu’elle ne te voit plus à cause de problèmes familiaux graves. De la manière dont elle m’a expliqué cela, j’ai cru que tu avais fait des choses horribles. J’étais jeune et je n’ai jamais cherché à comprendre, je le regrette vraiment aujourd’hui…» Sa tante lui répond : « Je t’ai toujours beaucoup aimée, j’ai été très triste de ne plus te voir. Mais j’ai parfaitement compris les raisons qui ont poussé mes soeurs à agir comme cela, et je les respecte !!! ». Après un silence pendant lequel elle regarde tendrement ssa nièce elle reprend : « Mais dis-moi tu n’es pas choquée par ce que ta maman t’a expliqué sur mon mode de vie ? »
Soudain, un jeune homme qui doit avoir notre âge, portant un tablier, entre timidement dans la pièce et dit : « Excusez-moi de vous déranger, Madame, j’ai terminé l’étage. Que voulez-vous que je fasse maintenant, Madame ? » Marie lui répond : « Nettoie donc la cuisine à fond, je passerai te voir plus tard ! » Alors que le jeune homme s’apprête à repartir, elle le rappelle et lui demande d’un ton sévère : « Tu n’aurais pas oublié quelque chose ?… »
Le jeune homme regarde Marie avec un étonnement qui peut se lire sur son visage. Je pense que l’on peut même voir de la peur dans ses yeux. Marie s’énerve tout à coup et crie : « Tu n’as vraiment aucune éducation, tu n’as même pas salué mes invités en entrant dans la pièce. Tu sais pourtant que je suis très stricte sur la politesse. Je veux que tu présentes tes excuses à mes deux invités !!! » Ma Princesse et moi sommes littéralement scotchés sur notre canapé, nous sommes gênée pour ce pauvre garçon. Nous avons la même réaction, nous disons à Marie que ce n’est pas grave, mais elle ne lâche pas le jeune garçon. Il lui obéit et, se tournant vers nous, murmure d’une voix timide : « Je vous demande pardon pour mon impolitesse. » Il présente ensuite ses excuses à Marie. Elle le prévient : « On en reparlera tout à l’heure ! En attendant, va dans la cuisine et mets-toi au travail. Je ne veux plus te voir… » Elle se montre d’une telle dureté avec ce jeune garçon que moi-même je commence à prendre peur car j’ai la confirmation que Marie est bel et bien une femme dominatrice d’une dureté impressionnante. Ma Princesse, elle aussi, semble impressionnée…
La tante nous dit : « Excusez-moi pour cette interruption. C’est mon domestique. C’est un jeune de votre âge mais il manque cruellement d’éducation,
et j’ai horreur de cela… » Ma Princesse lui dit alors : « Tu as une maison magnifique, une immense demeure, ce n’est pas étonnant que tu aies besoin d’un domestique. Mais
il est si rare de voir un homme faire le ménage !!! » Sa tante réplique : « Oui, ma chérie , tu as raison, j’ai beaucoup de mal à trouver un bon personnel masculin pour me
servir. Il y a encore un an et demi, c’est mon mari qui faisait tout pour moi. Il était à ma disposition et entretenait la maison, le soir et le week-end, mais malheureusement il vieillit et ce
rythme n’est plus tenable pour lui. Or, je tiens à lui et ne veux pas qu’il ait trop de soucis de santé. J’ai donc décidé d’engager un domestique à plein temps qui est chargé de s’occuper de
l’entretien complet de la maison et de toutes les autres tâches ménagères. Je le fais souvent travailler jusqu’à dix heures par jour, parfois plus… Mais si le boulot est bien fait, je sais me
montrer généreuse. En revanche, je refuse catégoriquement que ce soit une femme qui vienne faire le ménage et les autres travaux chez moi ! Comme tu le sais désormais, j’ai toujours eu
la conviction que nous autres femmes sommes supérieures aux hommes et que ceux-ci ne sont là que pour nous servir.
Il est donc hors de question que je me fasse servir par une femme, cela me rendrait malade. Je comprends que certaines femmes soient obligées de réaliser de tels travaux si indignes d’elles, et
qu’elles doivent gagner ainsi leur vie, mais pas de ça chez moi ! (Un silence.) Tu sais, les hommes qui cherchent un emploi de domestique au service d’une femme ne sont pas nombreux. Mon
premier serviteur, que j’avais pourtant eu bien du mal à trouver, et qui était bien courageux et infatigable, n’est resté que huit mois à mon service, avant de trouver un autre travail. La
plupart des candidats n’ont tenu qu’une semaine avant d’abandonner, tellement je suis exigeante. Celui-ci, c’est mon deuxième vrai domestique. Je dois reconnaître qu’il ne s’en sort pas trop mal,
mais je dois encore le dresser… »
Ma Princesse reprend la parole, s’adressant à sa tante : « Pour en revenir à ta question, je ne suis absolument pas choquée par ton mode de vie. Au
contraire, tu es un modèle pour moi. Tu sais, j’ai eu beaucoup d’expériences douloureuses avec les garçons. J’ai été amoureuse à plusieurs reprises, j’ai beaucoup donné aux garçons, mais
malheureusement ils en ont souvent abusé. Aujourd’hui, tout est différent grâce à celui-ci. » Ma Princesse me désigne d’un mouvement du pouce. Sa tante lui fait observer : « Moi,
dès l’adolescence, lorsque j’étais encore plus jeune que vous, j’ai eu la chance d’avoir tout de suite beaucoup de succès auprès des garçons, et je me suis rapidement rendu compte que je prenais
du plaisir à les dominer tous. Lorsque mes prétendants tournaient autour de moi, j’aimais de plus en plus les voir se soumettre à ma volonté, les voir m’obéir. J’adorais de plus en plus les voir
s’agenouiller devant moi. J’adorais les voir prendre soin de moi, de mes jolis pieds. J’ai rapidement eu la conviction que les hommes étaient là pour nous servir, nous autres filles, pour
nous obéir et accomplir nos quatre volontés et nos innombrables caprices. C’est pourquoi, depuis lors, j’ai toujours organisé ma vie selon ce principe. »
Nous écoutons Marie très attentivement. Ma Princesse lui dit : « Comme toi, j’aurais aimé comprendre cela à l’âge de seize ans, cela m’aurait évité d’avoir tous ces problèmes avec les
garçons. Enfin, je ne peux pas revenir en arrière, je suis si heureuse d’avoir compris cela aujourd’hui. Malheureusement, je garde toujours un tas de complexes. » Marie paraît très étonnée,
elle dit : « Comment une si jolie jeune fille peut-elle avoir des complexes ? Tu es magnifique, ma chérie ! Comme je te l’ai dit tout à l’heure, tu as de superbes cheveux, de
très jolis yeux. Tu es grande, mince. J’ai remarqué que tu as de très belles mains, de très jolis ongles. Enfin, tu as de très jolis pieds et de beaux orteils vernis. Tu es une
jeune fille magnifique, tu n’as absolument aucune raison d’avoir des complexes ! » Ma Princesse acquiesce en me montrant d’un mouvement du menton : « Oui, c’est
ce qu’il me répète tous les jours. Il me couvre régulièrement de compliments sur mon physique. Je vois bien qu’il est en adoration devant moi. Tout cela me fait du bien mais j’ai tellement
accumulé de complexes depuis plusieurs années que j’ai du mal à prendre le dessus. » Sa tante lui dit alors : « Je vois que ce jeune garçon semble te faire beaucoup de bien. Mais
tu me l’as présenté comme ton serviteur. Pourrais-tu m’en dire un peu plus ? » Sa nièce satisfait aussitôt à sa curiosité : « Oui, je l’ai rencontré par hasard, il y a
plusieurs mois par l’intermédiaire d’un ami commun. Ce garçon est différent de tous ceux que j’ai rencontrés jusqu’à présent. Il est tellement soumis, il est tellement aux petits soins pour moi,
qu’il me dorlote et fait toujours passer mon plaisir bien avant le sien. Et, cerise sur le gâteau, il adore prendre soin de mes jolis pieds, il en est fou ! Et moi, j’adore qu’il s’en
occupe, car je trouve ça agréable et merveilleux ! »
Je suis très intimidé et très gêné par la conversation. Tante Marie dit à sa jolie nièce : « Oh, ma chérie, comme je te comprends ! Les soins qu’un homme donne aux pieds d’une
femme, lorsque c’est bien fait, c’est extraordinaire ! Mon petit mari est très doué aussi pour cette activité. Je ne sais pas si tu le sais, ma chérie, mais ton ami est un véritable
fétichiste des pieds… »
Lorsque j’entends ces quelques mots, je suis sidéré. Comment Marie a-t-elle pu deviner en moi ce penchant, alors qu’elle ne me connaît que depuis une demi-heure ? Comment ma Princesse va-t-elle réagir à cette révélation ?
Paillasson ch’ti, esclave virtuel favori de Maîtresse MAEVA




Bonsoir Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Je vous remercie sincèrement de tout mon cœur pour la publication de mon nouveau texte. Comme d’habitude, cela m’apporte un bonheur immense, une joie sincère et surtout cela m’aide à avancer et à surmonter doucement le drame que ma Princesse et moi avons vécu.
Je suis heureux de savoir que mon histoire vous passionne, c’est très important pour moi. Divine MAEVA, votre avis est primordial pour moi !!!!
Comme toujours, vous avez illustré mon texte de manière parfaite.
J’aime beaucoup la première photo de votre divin pied sous lequel feet est en total prosternation.
La deuxième photo évoque bien entendu l’un de mes plus grands fantasmes d’adolescent :Lara Fabian.
A ce propos, Maîtresse MAEVA, je me permets de vous demander si vous aviez bien reçu par mail la photo de Lara Fabian que je vous avais transmis devant laquelle j’ai fantasmé pendant des années en admirant ces jolis pieds.
Ma photo préféré est la photo 3 où vous me présentez de votre index autoritaire vos divins pieds, cela illustra à merveille l’ordre donné par ma Princesse.
Marie avait des pieds et des chaussures sublimes comme celles de la photo.
J’aime aussi beaucoup la photo où l’homme est complètement prosterné devant la dame qui l’impose une autorité naturelle. Si seulement cette photo pouvait servir de modèle à tous les hommes, le vie et le monde serait tellement plus beau !!!
J’apprécie beaucoup les deux dernières photos où les esclaves lèchent les pieds des dames, ces soumis ont beaucoup de chance !!!
Je tiens aussi à répondre au commentaire de « Luc67 ». Je comprends que le tutoiement puisse choquer. Je suis tout à fait d’accord qu’un esclave doit vouvoyer sa Maîtresse, cela est une preuve indispensable de respect. Je tiens à être absolument sincère dans ma monographie et à décrire les mon histoire exactement comme cela s’est passé. Ma Princesse était une jeune Dominatrice, elle n’a pas exigé le vouvoiement de ma part mais elle savait parfaitement m’imposer le respect de bien d’autres manières.
Je vous remercie sincèrement une nouvelle fois d’avoir publier la suite de ma monographie.
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.
Bonjour Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Je vous ai transmis ce week end par mail, la photo de Lara Fabian dont je vous avais parlé. J’espère que vous réussirez à l’ouvrir. Cette photo symbolise une partie de mon adolescence…
Je vous remercie d’avance.
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.
Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
J’adore la photo trois qui illustre mon texte.
Cette photo sur laquelle vous présentez vos divins pieds de votre superbe doigt autoritaire me rend fou d’amour, de désir et d’excitation.
Je suis ébloui par l’incomparable beauté de votre divin pied et de vos délicieux orteils superbement vernis. J’aimerai tellement être à genoux devant vous à ce moment là.
Je vous remercie d’avance pour cette superbe photo. J’adore !!!
C’est dommage que vous ne réussissiez pas à ouvrir la photo, je ne sais pas comment nous pourrions faire…
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.

Bonjour Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Je remercie tous les lecteurs pour leurs commentaires. Néanmoins, personne n’a tenté de répondre aux deux questions que je pose à la fin du texte. Maîtresse MAEVA connaît déjà la réponse puisque je lui ai transmis la suite mais je pense que notre Divine MAEVA attend vos réponses avant de publier la suite.
Moi aussi, j’aimerai connaître votre avis, je vous remercier d’avance.
Maîtresse MAEVA, je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.
