MAEVA DOMINA et ses esclaves
J'ai le plaisir de publier la suite de cette histoire passionnante.... certaines photos sont d'un format ridicule.....merci à over-bug, 2010 ressemble à 2009, il
n'y a pas de doute!
FÉTICHISME ET SOUMISSION, XVII
Ma Princesse, Lucie et moi avançons dans le couloir. Nous sommes tous les trois assez effrayés par ce qui nous attend dans le salon. Quand nous y arrivons, la maman de ma Domina, sur un ton toujours très autoritaire, nous ordonne de nous asseoir autour de la table. Nous nous exécutons. C’est la mère de ma Princesse qui prend la parole en premier : « Nous devons vous parler de votre comportement de cette après-midi et de ces dernières semaines. Lorsqu’un homme est amoureux, lorsqu’il entoure sa Dulcinée de prévenances, c’est mignon. Un homme qui prend soin des pieds de la femme qu’il aime, c’est très honorable. Mais cette attitude où l’homme fait tout son possible pour satisfaire son amie ne doit pas se transformer en esclavage. Malheureusement, ma fille c’est ce qui est en train d’arriver. Voilà plusieurs mois que tu as rencontré ce garçon formidable. Tu sais qu’il est fou- amoureux de toi et qu’il ferait n’importe quoi pour avoir une chance avec toi. Il est aux petits soins pour toi, il te dorlote. Au départ, lorsque je le voyais prendre soin de tes pieds, j’étais vraiment émue, je trouvais cela formidable. Mais je constate que, plus les jours passent, plus tu deviens dure et méchante avec lui. Je commence à ne plus du tout apprécier l’attitude et les paroles que tu as envers lui. Cette après-midi, ce fut la goutte d’eau qui a fait déborder le vase !!! Ma sœur et moi avons été choquées. »
Sa sœur intervient alors en s’adressant à sa fille, Lucie : « Comment peux-tu te faire masser les pieds par un garçon que tu viens à peine de rencontrer ?! Cela te plaît de l’humilier ? Je ne comprends pas que ta cousine et toi puissiez agir de la sorte. » Lucie ne répond pas. Moi, j’écoute toute cette conversation sans dire un mot, je n’ai qu’une envie : me sauver !!!
La mère de ma Maîtresse reprend la parole. Elle s’adresse à sa fille : « Je vais être franche avec toi, ma petite. Tous les petits amis que tu nous as ramenés jusqu’à maintenant étaient peut-être tous mignons, mais ils n’avaient que cela !!! Là, tu as la chance d’avoir un garçon très gentil, avenant, romantique. Il t’offre des roses, des cadeaux, il t’achète tout ce que tu veux. Il est aux petits soins pour toi. Je ne comprends pas que tu ne voies pas tout cela, mais pour moi, c’est un garçon génial et franchement, crois-moi, tu n’en trouveras pas deux comme lui. Alors, au lieu de le traiter comme un esclave, tu devrais peut-être réfléchir à lui donner une chance… »
Il y a encore cinq minutes, j’avais envie de me sauver, mais j’avoue que je suis très agréablement surpris par les propos de ma peut-être future
« belle-mère ». Je sais qu’elle m’apprécie mais je suis très heureux d’entendre tous ces compliments à mon égard, cela me fait du bien. Ma Princesse répond : « Là, maman, tu
te mêles de mes affaires et vous faites toutes les deux des histoires pour rien. Il a massé les pieds de Lucie juste pour soulager ses maux. Il n’ y a rien d’extraordinaire là-dedans, c’est moi
qui le lui ai demandé. » Puis la sœur de ma belle mère s’adresse à moi : « Pourquoi te laisses-tu traiter ainsi ? Tu aimes être humilié ? » À ce moment-là, je
me sens devenir rouge comme une tomate, je suis horriblement gêné. Je ne sais pas trop quoi répondre, puis je dis simplement : « J’aime ma Princesse de tout mon cœur, je ferais tout
pour elle et je n’ai pas le sentiment d’être humilié, je suis simplement amoureux. » Ma Domina se met alors à me caresser la jambe sous la table avec son pied, tout en me faisant un léger
sourire. Elle est visiblement contente et satisfaite de ma réponse. Puis sa tante parle à nouveau, s’adressant à sa sœur : « Tu fais ce que tu veux avec ta fille, mais moi je ne veux
pas que la mienne prenne cette voie-là. Cela me rappelle trop notre sœur Marie et je ne veux pas qu’elle suive ses traces. Nous allons rentrer chez nous et Lucie évitera de revenir tout de
suite !!! » Je me sens intrigué par la réflexion de la tante. Lucie et ma Princesse elles aussi. Toutes les deux en même temps posent la même question : « C’est quoi, cette
histoire avec notre tante Marie ? » Ma belle-mère explique : « Vous ne connaissez pas bien votre tante Marie car il y a des années que nous ne la voyons plus. Vous ne vous
êtes jamais posé de questions sur elle ? Par exemple, sur le fait qu’elle habite une magnifique et très grande maison alors que nous venons d’une famille très pauvre et que nous devons nous
battre pour nous en sortir ?… » Ma Princesse intervient : « Oui, et alors ? Elle a certainement rencontré un homme très riche. – Oui, c’est cela, répond sa mère. ‑
Eh bien, qu’est-ce que tu vois de choquant là-dedans ! – Rien, mais c’est la manière dont elle se comporte qui est choquante. Notre sœur Marie, dès son adolescence, s’est mise à se
comporter comme toi, ma chère fille. Elle prenait les garçons pour ses larbins, elle les traitait comme des esclaves. Marie est très belle, beaucoup de garçons étaient fous d’elle, elle en
abusait encore et encore !!! Très souvent, lorsque nous rentrions à la maison, nous la découvrions avec un homme à genoux à ses pieds.
Tout comme toi, tu le fais aujourd’hui avec ce pauvre garçon !!! Ensuite, elle a rencontré un chef d’entreprise qui gagnait très bien sa vie. Comme elle l’a toujours fait, elle a rendu cet
homme fou amoureux de sa personne, elle le menait par le bout du nez… Puis ils se sont mariés. Par la suite, nous avons appris qu’elle l’avait obligé à signer un contrat de mariage qui stipule
qu’en cas de divorce, elle garderait la maison et partirait avec une petite fortune. Pour résumer, soit il lui obéit, soit elle le ruine. Le pire ce n’est pas cela, c’est la manière dont elle le
traite, c’est un véritable esclave. Ce pauvre homme travaille toute la journée et elle, elle ne fait rien, à part s’occuper d’elle-même et courir les magasins. Lorsqu’il rentre fatigué le soir,
il doit encore tout faire à la maison. Un jour, nous sommes passées les voir à l’improviste. À cause de notre visite, il n’a pas eu le temps de finir tout le ménage. Je n’ai jamais vu quelqu’un
avoir autant peur. Il tremblait en attendant le retour de sa femme. Il craignait d’être corrigé pour ne pas avoir achevé son travail domestique. Car, en plus, elle le battait. Nous avons été si
choquées ce soir-là que, depuis, nous avons coupé les ponts avec notre sœur Marie. Voilà pourquoi aujourd’hui, ma sœur et moi, sommes si contrariées par votre comportement. Nous ne voulons pas
que vous deveniez toutes les deux comme Marie, ce n’est pas comme cela que nous vous avons éduquées !!! »
Nous restons tous les trois stupéfaits par ce que nous venons d’entendre !!! La tante de ma Domina se lève et dit à sa fille : « Maintenant, nous
y allons. » Nous nous disons au revoir. Quand je salue Lucie, je ne peux m’empêcher de repenser à ses jolis pieds dont j’ai été tellement ravi de prendre soin. Vu le discours que je viens
d’entendre, je sais que malheureusement cela n’est pas près de se reproduire !!! Ma belle-mère répète à sa fille : « Réfléchis bien à tout ce que nous t’avons dit. » Ma
Princesse lui rétorque : « Je ne vais pas sortir avec lui juste pour te faire plaisir… Nous pouvons y aller maintenant ? » Ma belle-mère nous laisse partir. Nous allons dans
la chambre de ma Maîtresse où je me remets à genoux à ses pieds pour la chausser de ses superbes bottines. Voilà : je viens de reprendre place à ses pieds, c’est ma position naturelle.
Quand ma Domina est chaussée, nous disons au revoir à sa mère et nous nous mettons en route pour aller chez moi.
Une fois arrivés, comme d’habitude, je m’agenouille de nouveau pour déchausser ma Princesse, avant de monter dans ma chambre. Le sermon que nous ont fait la mère de ma Domina ainsi que sa sœur n’a pour le moment rien changé. Je suis toujours l’esclave de ma Princesse et ma place est à ses divins pieds. Nous reprenons nos petites habitudes. De toute manière, je n’ai pas envie que cela change, je suis très heureux d’être soumis à ma Maîtresse. Comme souvent, elle s’installe sur mon lit. Je place un coussin dans son dos, je lui allume la télévision. Je lui donne la télécommande dont ma Princesse est devenue la propriétaire. Je n’ai pas besoin de vous préciser que c’est elle qui en toutes circonstances choisit les programmes télé et que, bien entendu, je n’ai rien à dire. J’apporte aussi à ma Princesse un plateau avec un verre de Coca et des chips. Mes parents ne sont pas là, nous sommes donc tranquilles.
En moins d’une semaine, j’ai eu droit à un sermon de la part de mes parents et un autre de ceux de ma Domina. Une chose est sûre, la relation que j’entretiens avec ma Maîtresse ne laisse personne indifférent. Au contraire, tout le monde commence à constater que j’occupe de plus en plus une place d’esclave… Une fois que j’ai apporté son plateau à ma Princesse, elle m’indique de son index autoritaire que je dois reprendre ma place au bout de ses merveilleux pieds. Elle m’ordonne : « Retire-moi mes chaussettes, tu vas encore me masser mes jolis petits pieds. Car lorsque nous étions ensemble, tu t’es plus occupé de ceux de ma cousine que des miens… Alors rattrape-toi maintenant !!! » Je m’exécute, bien évidemment. Je retire ses chaussettes, je prends le tube de crème que j’ai toujours à disposition dans ma chambre et je recommence à lui masser ses merveilleux pieds dont je suis follement amoureux. Je m’applique à mon massage, avec toujours autant de plaisir et de dévouement. Soudain, ma Princesse m’interpelle : « J’ai été très déçue par ton comportement de tout à l’heure ! » Je suis surpris par cette réflexion que je ne comprends pas bien et je lui demandé : « Qu’est-ce que j’ai fait, qui t’a déplu à ce point ? » Ma Domina me répond : « Si tu crois que je n’ai pas remarqué que tu bandais en massant les pieds de Lucie !... Même si ta queue est ridicule, je le vois tout de suite sous ta braguette lorsque tu bandes. Tu vois, cela confirme ce que je pensais des mecs, vous êtes tous pareils, on ne peut pas vous faire confiance. Tu me tiens des beaux discours, tu me fais des déclarations d’amour enflammées, tu me promets un amour éternel. Tu dis que tu n’aimes que moi, que tu ne vois que moi et pourtant tu prends bien du plaisir à masser les pieds de ma propre cousine !... Moi, je t’ai ordonné cela pour t’humilier, pour me venger de ce que tu m’as fait dans la douche… et aussi pour faire plaisir à Lucie. Mais j’ai vraiment été écœurée lorsque j’ai vu que tu y prenais autant de plaisir. En fait, t’es comme tous les autres mecs, t’es incapable de rester fidèle !!! » Je ne sais pas quoi répondre, je ne m’attendais absolument pas à cette remarque. Je tiens les deux magnifiques pieds de ma Princesse dans mes mains. Leurs ongles sont vernis d’un superbe rouge vif. Comme chaque fois que je masse les pieds de ma Domina, j’ai un irrésistible désir de les lui baiser, de les lui lécher.
Au fil des semaines et des mois, je passe de plus en plus de temps aux pieds de ma Maîtresse. J’ai de plus en plus envie de les vénérer avec ma bouche. En ce
moment même, ce désir est encore plus fort que d’habitude. Je suis à genoux, tenant les pieds de ma Princesse dans mes mains. Ma Domina, assise sur le lit, me regarde et attend ma réponse. Je ne
sais que faire… et là, je me lance sans penser aux conséquences. Je cède au désir. J’approche doucement mon visage du pied droit, ma bouche entre en contact avec sa peau si douce que je baise. Je
commence par couvrir tout le dessus du pied de tout petits baisers. Je continue à promener mes lèvres partout de la cheville aux orteils sans oublier la plante. Je veux ainsi montrer, avec
ma bouche, mon adoration pour ces sublimes pieds ! (enfin ! Maeva…) Puis, je cesse de faire de petits bisous, le contact de ma bouche sur le pied se fait de plus en plus insistant. Je
baise avec passion chaque millimètre carré de peau tendre. Ma bouche, ma langue sont constamment en contact avec la chair précieuse. Mes caresses gardent toute leur intensité, je tiens à procurer
à ma Domina une sensation de bien-être absolu, de détente totale. Maintenant, j’approche doucement ma bouche de ses superbes orteils, je les baise avec la même passion. Je les suce un par un. Je
lèche chaque millimètre de peau, je passe ma langue entre les si jolis doigts de pied.
Lorsque j’ai commencé à honorer ainsi les pieds de ma Domina, j’ai été très étonné qu’elle ne réagisse pas violemment. Je l’avoue : je pensais vraiment qu’elle allait me donner un violent
coup de talon au visage. Mais au contraire, lorsque j’ai commencé à déposer les premiers baisers sur ses pieds de reine, j’ai senti qu’elle se détendait, qu’elle se relâchait. Ma Princesse ne m’a
rien dit, elle s’est simplement laissé faire.
Je continue donc de vénérer son merveilleux pied droit. Après m’être occupé du dessus et des orteils, j’ose me baisser, afin de me retrouver sous la plante de
ma Domina que je baise avec douceur. Je sens le corps féminin frémir sous ma caresse. J’entends de petits soupirs de contentement, peut-être même de jouissance. Je finis par honorer le talon, que
je baise lui aussi avec un amour fou et une dévotion totale. Au départ, j’étais stressé, tant j’avais peur de la réaction de ma Maîtresse. Mais au bout de quelques minutes, l’excitation a
complètement pris le dessus et je ne pense plus qu’à une chose : vénérer et honorer de mon mieux ses magnifiques pieds. À ce moment-là, je ne vis plus que pour cet instant magique. Imaginez,
j’ai 19 ans ! Cela fait des années que je rêve de baiser et de lécher les pieds d’une femme et voilà que mon rêve est en train de devenir réalité !… Ce moment est magique, incroyable.
Je me sens l’esprit complètement libre, je suis enfin à ma place, je suis heureux et comblé.
Au moment où je remonte doucement le long de la cheville droite de ma Princesse, elle m’arrête en me disant des paroles que je n’oublierai jamais : « Maintenant, je veux que tu fasses
l’amour avec ta bouche à mon pied gauche, comme tu viens de le faire à mon pied droit. C’est trop bon !!! » Je suis stupéfait par l’expression que ma Princesse a utilisée, mais bien
entendu je me précipite sur son pied gauche. Et je lui fais l’amour avec ma bouche, comme à l’autre.
Depuis ma rencontre avec ma Princesse, je n’ai qu’une envie en tête, qu’un désir : être complètement prosterné devant ses merveilleux pieds et lui prouver ainsi mon amour et mon envie de me soumettre à sa volonté. « Faire l'amour » à ses pieds avec ma bouche : cette expression représente parfaitement ce que je ressens. Ce que je veux dire, c’est que lorsque je me suis imaginé en train de baiser les pieds d’une femme (et Dieu sait que je l’ai souvent fait !), je me suis toujours dit qu’il serait hors de question de me contenter d’y poser quelques bisous. Non ! Je tenais à prouver mon adoration pour ses pieds. Je voulais qu’elle le ressente dans l'intensité et la manière de déposer mes baisers sur sa peau.
C’est pour cela que, maintenant que j’ai commencé à baiser les pieds de ma Maîtresse, je tiens vraiment à lui montrer toute mon adoration pour eux et pour
elle. Je sais que je n’aurai peut-être pas une autre chance et je veux absolument que ce moment de complicité extraordinaire entre ma Princesse et moi soit unique. Jusqu’ici, lorsque j’imaginais
cette scène, j' avais parfois l'impression d'être bizarre ou en tout cas que l'on pourrait me considérer comme tel. Mais en ce moment, je sais que cela n’a rien de bizarre : je suis enfin en
accord total avec moi-même. Avant de découvrir (peut-être) le bonheur de faire l’amour à une femme, je découvre celui de « faire l'amour » avec ma bouche à ses merveilleux pieds. Et
sincèrement, je suis heureux, très heureux, d’avoir découvert ce plaisir-là en premier. Peut-être ne découvrirai-je jamais celui de faire l’amour à une femme. Je ne sais même pas si je serai doué
pour cela avec ma petite queue… Mais en tout cas, je suis comblé de découvrir la joie de vénérer les pieds de ma Princesse. Je vois bien que je suis assez doué pour cela et je ne demande rien de
plus. Être aux pieds d’une femme est pour moi le plus grand des bonheurs. Je ne demande que cela, je suis fait, je suis né pour cela : vivre aux pieds d’une femme, aux pieds de ma
Princesse…
Ce moment dure une heure environ, pendant laquelle ma Princesse se détend et se relaxe. Ses légers soupirs, les petits cris qu’elle pousse sous mes baisers, me rendent encore plus fou
d’excitation. J’ai l’impression que mon sexe va exploser dans mon boxer. Je suis heureux car j’ai évité la question de ma Princesse et surtout j’ai enfin réalisé mon plus grand rêve. Mais tout a
une fin, et lorsque je vais avoir fini d’honorer les pieds de ma Maîtresse, comment va-t-elle réagir ?
J’aimerais avoir vos réponses à cette question.
Paillasson ch’ti, soumis virtuel favori de Maîtresse MAEVA
Je suis heureux de Votre retour. J'espère que Vos vacances ont été très agréables et que pour feet il en a été de même, dans son registre.......
Peut-être nous ferez-Vous la grâce de nous en conter un peu?
De la difficulté de faire cohabiter le monde dit normal et celui de la gynarchie revendiquée. Rencontre d'une goutte d'eau et d'une goutte d'huile, incompatibilité des valeurs. Mais obligation d'accepter les intrusions quotidiennes du monde normé. Solution? Pour vivre heureux vivons cachés?
Je vous présente mes hommages.
Je vous remercie sincèrement de tout mon coeur d'avoir publié la suite de ma monographie. Cela m'apporte toujours un très très grand bonheur.
Je vous remercie également d'avoir repris l'activité sur le blog.
Je vous demande pardon car ces derniers jours, je n'ai pas pu être très présent sur le blog mais dès demai je vais me rattraper.
Vous pouvez compter su moi, Maîtresse MAEVA, je vais être actif sur le blog, j'espère que nous retrouverons une interactivité comm avant.
Maîtresse MAEVA, je suis si heureux de vous retrouver. Pour votre retour, vous m'offrez un fabuleux cadeau en publiant mon texte.
Je vous souhaite une excellente journée.
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.





Bonjour Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Je vous remercie une nouvelle fois d’avoir publié la suite de ma monographie. Comme toujours, vous l’avez illustré de manière parfaite avec vos sublimes photos. Même si certaines photos sont un peu petites, se n’est pas grave, je suis très très heureux. Comme toujours, Maîtresse MAEVA, je vous en remercie et je vous suis extrêmement reconnaissant.
J’adore la première photo où vous êtes installée dans votre canapé. J’admire votre incroyable beauté, votre divin pied m’attire tellement, j’aimerai tellement être agenouillé devant vous…
J’admire vos divins et extraordinaires pieds. Je contemple vos délicieux orteils, vos sublimes plantes de pieds.
J’aimerai tellement être à la place de feet sur la dernière photo…
Maîtresse MAEVA, je vous remercie sincèrement de m’offrir la possibilité de publier ma monographie, c’est un cadeau extraordinaire et unique qui me fait un bien fou…
Je remercie tous les lecteurs pour leurs commentaires.
Je remercie particulièrement Madame Domina Croix Rousse pour son commentaire très gentil et tous ses propos élogieux à mon égard. En effet, Madame, je sais que je suis fait et né pour vivre en esclave. Je n’ai aucuns tabous, je suis prêt à aller très loin dans la soumission, j’ai simplement besoin d’être guidé, contrôlé, dirigé par une femme d’expérience en qui, j’ai toute confiance…
C’est se que Maîtresse MAEVA fait avec moi, à distance…
Maîtresse MAEVA, je travaille actuellement sur la partie 19.
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.



Bonjour Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages
Je tenais de nouveau à remercier Madame Domina Croix Rousse pour ses propos très gentil à mon égard. J’ai parfaitement conscience de l’honneur et du privilège que m’offre cette Maîtresse en me proposant de l’accompagner à OWK.
Je remercie également, Maîtresse MAEVA, pour ses mots très gentils à mon égard. Je n’ai qu’un désir : vivre de nouveau une vie d’esclave en réalité. J’ai besoin d’écrire ma monographie, cela me fait un bien fou et me permet d’aller de l’avant…
Je tenais aussi à dire de nouveau que j’adore vraiment le photos qui illustrent ce texte, vos divins pieds, Divine MAEVA, sont magnifiques !!!!
Chien chien 38 a laissé un commentaire sur lequel je ne m’étalerai pas. Je tiens juste à lui dire que ce type de commentaire est un manque de respect envers moi mais surtout envers notre Divine MAEVA. Ce genre de commentaire n’est pas digne d’un vrai esclave…
Enfin, si Madame Domina Croix Rousse souhaite me contacter, Maîtresse MAEVA peut lui transmettre mon mail, je ne préfère pas l’indiquer sur le blog.
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.






