MAEVA DOMINA et ses esclaves
UN RÉCIT DE LANLAN, MAÎTRESSE CHINOISE
« Quand slavio, mon vieil esclave français, entre dans Ma chambre, Je suis assise au bord de Mon lit, en train de donner au téléphone Mes
Instructions pour la journée aux employées subalternes qui sont sous Mon Autorité. J’en profite pour les gronder sévèrement en leur disant en quoi elles M’ont mécontentée par leur peu de zèle au
travail et d’empressement à M’obéir et Me satisfaire, par leur manque de discipline et de déférence à Mon Égard, Moi qui suis leur Supérieure dont elles doivent diligemment exécuter les Ordres à
la lettre. Aussitôt qu’il voit que Je ne suis pas disponible pour lui, Mon esclave s’agenouille, vient vers Moi en baissant la tête et en se traînant sur les genoux, puis achève de se prosterner,
le front sur la moquette. Heureuse de son humilité et de sa soumission, Je me sens pleine d’un bienfaisant Orgueil Féminin. Sans même daigner abaisser Mes Yeux sur lui, je sors un Pied de sa
sandalette sur laquelle Je le pose, l’offrant ainsi à la vénération servile de ce vieil homme qui M’appartient et qui montre tant d’ardeur et d’enthousiasme à M’aimer et Me servir. Aussitôt, je
discerne sur le dessus de Mon Pied, à travers les mailles de Mon collant, les lèvres chaudes de Mon asservi et son haleine qui réchauffe Ma Peau. J’aime cela, c’est bon, c’est exaltant ! Je
Me sens très Dominatrice et J’adore exercer Mon Pouvoir sur ce vieux monsieur encore plus que sur Mes collègues masculins qui, au travail, dépendent de Moi. À ce moment, surprise et joyeuse, je
M’aperçois que l’esclave s’empare avec douceur de Mon autre Pied que Je n’ai pas déchaussé et que, le soulevant sans le serrer, avec une grande délicatesse de gestes, il l’élève au-dessus de sa
tête et le pose à la base de son crâne, en signe d’abandon total à Ma Volonté, d’absolu renoncement à sa liberté au profit de la Mienne. Et il est vrai que, grâce à son geste, Je me sens
formidablement libre et forte. Je ne fais rien pour ôter Mes Pieds à l’adoration de Mon esclave, ni celui sur lequel il écrase humblement ses lèvres, ni celui dont la semelle pèse sur sa nuque.
Au contraire, tout en continuant à sermonner Mes inférieures comme si de rien n’était, Je Me vois dans cette sublime position de la Sultane auquel un de Ses nombreux esclaves qui La craignent
tant rend son humble hommage sans qu’Elle y prenne garde, tant il Lui est habituel de voir les serviteurs mâles s’incliner servilement devant Elle et se tuer à la tâche pour tenter de La
contenter. Frissonnante de Fierté, J’abaisse enfin Mes Regards sur le vieil homme prosterné devant Moi, sous Moi, mais lui ne lève pas la tête, il continue de déposer ses baisers de servitude sur
Mon Pied à la Cheville duquel il a réuni ses deux mains, en une douce conque qui la maintient sans la presser...........
Je souris et dis à Mes subalternes qu’elles se mettent immédiatement au travail et que Je les rappellerai pour vérifier ce qu’elles auront fait pour M’être agréables… En même temps que je
raccroche, je change de Pied : celui que baisait passionnément l’esclave réintègre sa sandale et va se poser sur la tête masculine, tandis que l’autre descend et s’offre à son tour aux
baisers d’asservissement. Le sentiment de Puissance, de Grandeur et de Noblesse qui naît alors en moi est si fort qu’il Me noue le Ventre, durcit la pointe de Mes Seins auxquels Je porte Mes
Mains, met des frissons à Mes Reins, fait se hérisser Ma Chair et sourdre une tiède Rosée au creux de Mon Sexe où Je sens chaleur et picotements de Désir. "C’est bien, esclave, dis-je à Mon
fidèle asservi, ta soumission et tes caresses M’ont bien excitée… Ce fut bon, mais il va falloir maintenant que ta vieille langue Me fasse jouir pour de bon !...... » Il ne murmure
qu’une phrase brève : "Oh, merci, Maîtresse !" Je lui flatte les cheveux comme si Je caressais la crinière d’un brave cheval qui M’aurait portée sans se plaindre au galop à travers la
campagne, puis Je Me laisse mollement aller à la renverse sur le lit. L’esclave n’a qu’à redresser son buste pour avancer sa tête sous Ma jupe retroussée, entre Mes Jambes que J’ai ouvertes. Je
Me soulève un instant pour qu’il puisse glisser ses mains à plat, paumes en l’air, sous Ma Croupe. J’aime l’emprisonner ainsi, le tenir à la merci de Mon Plaisir, le savoir rivé à Mon Corps. Sa
bouche qui baise avec délicatesse l’intérieur si doux de Mes Cuisses atteint Ma Vulve. Sa langue agile à laquelle Je dois tant de Bonheurs quotidiens, prend soin de lustrer Ma Toison avant de
lécher les Lèvres de Mon Sexe, l’incitant à s’entrebâiller. Puis elle pénètre délicieusement Ma Fente et y joue un moment, M’arrachant tressaillements et soupirs, avant d’aller
merveilleusement agacer la base de Mon Clitoris dont l’esclave entreprend bientôt de sucer la sensible excroissance. Alors, Me tordant sur Mon lit, Je jouis en criant et en broyant entre Mes
Cuisses tétanisées le visage du vieil homme, tandis que Je sens Mon nectar de Femme Supérieure couler d’abondance dans sa gorge-réceptacle, tant
accueillante…. ….»
Chien slavio, esclave expérimenté et réel
Bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, je Vous suis infiniment reconnaissant d'avoir si vite accepté et publié ce texte qui relate effectivement une expérience vécue... en 2007 à
Paris, et que j'aimerais (sans trop d'espoir) revivre aux Pieds de ma Maîtresse chinoise.
Merci encore.
je Vous aime et Vous lèche les semelles avec gratitude.
chien slavio.
Bonjour Maîtresse MAEVA
Je vous présente mes hommages.
Je vous remercie pour ce nouveau texte de « Slavio » qui comme d’habitude est très bien écrit et très excitant. Slavio a vraiment vécu des moments intenses aux pieds de femmes dominatrices. Il a une vie très riche et j’espère sincèrement qu’il aura encore l’occasion de vivre de tels moments. Car nous, « les vrais esclaves », c’est pour de tels moments que nous vivions… Ces moments là sont notre raison de vivre !!!!
L’illustration du texte est très belle, j’adore vos escarpins, j’admire vos merveilleux orteils si joliment vernis… Quel chanceux ce feet !!!
« Merci d’exister », c’est une expression que j’avais un jour utilisé dans une des nombreuses lettres d’amour que j’avais écris à ma Princesse. Elle avait, été elle aussi,très émue.
Maîtresse MAEVA, je vous remercie d’exister, car sans vous, sincèrement aujourd’hui, je ne serai plus rien… Vous êtes tout pour moi.
Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.
Mes humbles hommages, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA.
je suis toujours heureux de la passion de servitude que Vous déclenchez chez Vos soumis par Votre Beauté, Votre tranquille certitude d'être Supérieure et Votre Autorité
naturelle.
Cette passion, je la ressens très fort, bien entendu mais, à cause de son élan vers Vous, je l'admire encore plus chez paillasson, en enviant comme lui Votre lucky feet
personnel.
Maîtresse bien-aimée, avez-Vous reçu et lu le 10e chapitre de "Ma Femme me prête..." ? Si oui, peut-être ne Vous plaît-il pas ? C'est pourquoi j'hésite à me lancer dans le
11e... Et l'histoire (à "saucissonner") de Belléva en Corse, une expérience pareillement authentique d'esclavage réel mais non dit, Vous déplaît-elle aussi ? Vos critiques me
permettraient d'avancer et de mieux Vous contenter, ce à quoi j'aspire par-dessus tout depuis que je suis en Votre doux Pouvoir.
Bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, Vous êtes vraiment faite pour que nous Vous appartenions, corps et âme ! Nous avons de la chance quand Vous daignez Vous
adresser à nous et Vous souvenir que nous existons. Nous en rendons grâces.
je hais la règle mais adore souffrir sur elle, POUR VOUS.
je Vous lèche humblement les semelles.
Votre vieil esclave, chien slavio, qui serait flatté de recevoir dans sa bouche écartelée toute la pointe de Votre divin Pied !

je suis heureux que Vous ayez réussi à surmonter les difficultés du blog, toujours plus beau et passionnant, essentiellement de par Vos contributions, toujours directes et fortes, qui nous éblouissent tous, nous font ramper à Vos Pieds et nous renvoient à la niche, béats d'admiration et de gratitude.
Merci pour tout, Maîtresse !
Très humblement Vôtre.
chien slavio.
j'espère que le mot mis sur le blog de TITIA D'OR aura l'heur de Vous plaire.
Je sais que je ne suis né que pour servir de mon mieux Vous-Même et les Femmes qui Vous ressemblent et j'ai une conscience aiguë de mon infériorité et de mon insuffisance par rapport à ce que devraient être mes devoirs.
je m'écrase à Vos divins Pieds.
chien slavio.


J'implore votre pardon pour cette impolitesse.
Je suis argos chien d'Ulysse qui choisit de rester aux pieds de Pénélope plutôt que de suivre le Héros.
Servilement.
argos