Jeudi 7 janvier 4 07 /01 /Jan 11:32

UN RÉCIT DE LANLAN, MAÎTRESSE CHINOISE

 

« Quand slavio, mon vieil esclave français, entre dans Ma chambre, Je suis assise au bord de Mon lit, en train de donner au téléphone Mes Instructions pour la journée aux employées subalternes qui sont sous Mon Autorité. J’en profite pour les gronder sévèrement en leur disant en quoi elles M’ont mécontentée par leur peu de zèle au travail et d’empressement à M’obéir et Me satisfaire, par leur manque de discipline et de déférence à Mon Égard, Moi qui suis leur Supérieure dont elles doivent diligemment exécuter les Ordres à la lettre. Aussitôt qu’il voit que Je ne suis pas disponible pour lui, Mon esclave s’agenouille, vient vers Moi en baissant la tête et en se traînant sur les genoux, puis achève de se prosterner, le front sur la moquette. Heureuse de son humilité et de sa soumission, Je me sens pleine d’un bienfaisant Orgueil Féminin. Sans même daigner abaisser Mes Yeux sur lui, je sors un Pied de sa sandalette sur laquelle Je le pose, l’offrant ainsi à la vénération servile de ce vieil homme qui M’appartient et qui montre tant d’ardeur et d’enthousiasme à M’aimer et Me servir. Aussitôt, je discerne sur le dessus de Mon Pied, à travers les mailles de Mon collant, les lèvres chaudes de Mon asservi et son haleine qui réchauffe Ma Peau. J’aime cela, c’est bon, c’est exaltant ! Je Me sens très Dominatrice et J’adore exercer Mon Pouvoir sur ce vieux monsieur encore plus que sur Mes collègues masculins qui, au travail, dépendent de Moi. À ce moment, surprise et joyeuse, je M’aperçois que l’esclave s’empare avec douceur de Mon autre Pied que Je n’ai pas déchaussé et que, le soulevant sans le serrer, avec une grande délicatesse de gestes, il l’élève au-dessus de sa tête et le pose à la base de son crâne, en signe d’abandon total à Ma Volonté, d’absolu renoncement à sa liberté au profit de la Mienne. Et il est vrai que, grâce à son geste, Je me sens formidablement libre et forte. Je ne fais rien pour ôter Mes Pieds à l’adoration de Mon esclave, ni celui sur lequel il écrase humblement ses lèvres, ni celui dont la semelle pèse sur sa nuque. Au contraire, tout en continuant à sermonner Mes inférieures comme si de rien n’était, Je Me vois dans cette sublime position de la Sultane auquel un de Ses nombreux esclaves qui La craignent tant rend son humble hommage sans qu’Elle y prenne garde, tant il Lui est habituel de voir les serviteurs mâles s’incliner servilement devant Elle et se tuer à la tâche pour tenter de La contenter. Frissonnante de Fierté, J’abaisse enfin Mes Regards sur le vieil homme prosterné devant Moi, sous Moi, mais lui ne lève pas la tête, il continue de déposer ses baisers de servitude sur Mon Pied à la Cheville duquel il a réuni ses deux mains, en une douce conque qui la maintient sans la presser...........

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Je souris et dis à Mes subalternes qu’elles se mettent immédiatement au travail et que Je les rappellerai pour vérifier ce qu’elles auront fait pour M’être agréables… En même temps que je raccroche, je change de Pied : celui que baisait passionnément l’esclave réintègre sa sandale et va se poser sur la tête masculine, tandis que l’autre descend et s’offre à son tour aux baisers d’asservissement. Le sentiment de Puissance, de Grandeur et de Noblesse qui naît alors en moi est si fort qu’il Me noue le Ventre, durcit la pointe de Mes Seins auxquels Je porte Mes Mains, met des frissons à Mes Reins, fait se hérisser Ma Chair et sourdre une tiède Rosée au creux de Mon Sexe où Je sens chaleur et picotements de Désir. "C’est bien, esclave, dis-je à Mon fidèle asservi, ta soumission et tes caresses M’ont bien excitée… Ce fut bon, mais il va falloir maintenant que ta vieille langue Me fasse jouir pour de bon !...... » Il ne murmure qu’une phrase brève : "Oh, merci, Maîtresse !" Je lui flatte les cheveux comme si Je caressais la crinière d’un brave cheval qui M’aurait portée sans se plaindre au galop à travers la campagne, puis Je Me laisse mollement aller à la renverse sur le lit. L’esclave n’a qu’à redresser son buste pour avancer sa tête sous Ma jupe retroussée, entre Mes Jambes que J’ai ouvertes. Je Me soulève un instant pour qu’il puisse glisser ses mains à plat, paumes en l’air, sous Ma Croupe. J’aime l’emprisonner ainsi, le tenir à la merci de Mon Plaisir, le savoir rivé à Mon Corps. Sa bouche qui baise avec délicatesse l’intérieur si doux de Mes Cuisses atteint Ma Vulve. Sa langue agile à laquelle Je dois tant de Bonheurs quotidiens, prend soin de lustrer Ma Toison avant de lécher les Lèvres de Mon Sexe, l’incitant à s’entrebâiller. Puis elle pénètre délicieusement Ma Fente et y joue un moment, M’arrachant tressaillements et  soupirs, avant d’aller merveilleusement agacer la base de Mon Clitoris dont l’esclave entreprend bientôt de sucer la sensible excroissance. Alors, Me tordant sur Mon lit, Je jouis en criant et en broyant entre Mes Cuisses tétanisées le visage du vieil homme, tandis que Je sens Mon nectar de Femme Supérieure  couler d’abondance dans sa gorge-réceptacle, tant accueillante…. ….»


Chien slavio, esclave expérimenté et réel

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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