Littérature

Jeudi 17 octobre 4 17 /10 /Oct 16:33

Souvenir estival...(c'était en juillet 2008)

 

 

Saint Malo, ville-corsaire, fortifications de Vauban, moules-frites à l’infini, et foule en liesse. Seule la couleur émeraude de la mer me faisait oublier que j’étais dans ce lieu hyper-touristique en plein mois de juillet, avec le regret opiniâtre de ne pas être en octobre…je déteste le tourisme de masse, feet également. La journée avait été agréable et banale. Nous avions cherché une hypothétique « rue de la soif », nous avons visité un gros bateau de guerre, et, comme n’importe quel connard de base, nous avons fait le tour de la vieille ville en empruntant les remparts, arpenté les ruelles tortueuses et pavées pleine d’histoire et d’histoires. A treize heures, nous avons échoué dans une crêperie un peu à l’écart, plus discrète et surtout moins bruyante. Dans la plupart de ces restaurants standardisés où l’on déguste à la chaîne moules-frites et fruits de mer, les gens se sustentent au « coude à coude », et moi, j’ai besoin de Ma bulle avec feet. Il y a un peu de monde dans la crêperie, j’ai fait tomber Ma fourchette, l’esclave assis face à Moi se précipite pour la ramasser, s’accroupis, Mon pied gauche prend appui sur sa main, et le pied droit se rive à sa bouche, tout se passe très vite, mais feet a embrassé Mon pied en public, il se relève, scrutant la salle avec crainte, a t’il été vu ? L’après midi fut semblable au matin, une longue marche à la trajectoire aléatoire dans le labyrinthe des rues pavées. Chaussée de tongs en cuir, Mes pieds nus commençaient à être sales et échauffés. Mon chien avait soif et tentait de m’orienter vers une sempiternelle terrasse de bistrot hantée d’anglais tonitruants. Sans me préoccuper de ses désidératas, je me suis engagée sur la promenade en bordure de front de mer, il faisait très beau et chaud, la houle était impétueuse et vivante, c’était la marée haute. L’esclave suivait en maugréant, ruminant et grommelant sa frustration, celle de ne pas pouvoir boire une bonne bière au soleil. Je me suis arrêtée, me suis retournée sur lui, amusée. J’ai ôté Mes chaussures au cuir poussiéreux, et du doigt pointé au sol, je lui ai indiqué Mes tongs en cuir afin qu’il les porte. Voulant garder les mains libres pour Me promener, je lui ai confié Mon sac à main et Ma veste polaire, inutile par cette chaleur estivale. Il m’a suivi , portant Mes affaires, deux mètres derrière Moi, marchant pieds nus sur le béton plus ou moins propre, nous croisions des gens, et notamment une jolie femme, la quarantaine épanouie, nous regarda amusée, elle avait compris toute la situation, son regard amusé croisa le Mien, fugace complicité, honte de feet qui ne supporte toujours pas le regard de l’autre sur sa situation, comme s’il en avait honte.

Après environ une heure de marche plutôt rapide, nous étions à Rotheneuf ou Paramé… un nomansland de villas cossues, à l’architecture désuète. Les vagues étaient de plus en plus fortes et passaient par dessus le parapet. Le chien feet était toujours grognon, multipliant intérieurement les raisons de son mécontentement : Pas un bar à l’horizon avec cette soif inextinguible, et après cette longue marche pieds nus, Mes plantes de pieds étaient noires, et lui, de plus en plus obsédé par son hygiène buccale, appréhendait parfois la séance de nettoyage qu’il devait prodiguer à Mes pieds en fin de journée ! Sans compter bien sûr le nettoyage des bottes lorsque c’est de saison ! Qu’à cela ne tienne, j’ai jugé d’un coup qu’il n’était pas de sa condition d’avoir des sautes d’humeur. Que Ma volonté seule faisait LOI, et qu’il devait se soumettre à toutes Mes envies, à tous Mes désirs. J’eu soudain l’envie irrésistible de le mettre à l’épreuve afin de mater la révolte qui couvait dans ce fragile psychisme masculin. Dans une rue parallèle au front de mer, il y avait un joli parc avec des bancs. Les alentours semblaient déserts, mais il était toujours possible qu’il y ait des gens derrière les fenêtres de ces maisons bourgeoises et désuètes. J’ai allumé une cigarette, je l’ai regardé, il était assis à Mes côtés, il se roulait une clope bizarre, il était silencieux et renfrogné.

« Tu as soif ? Oublie-là pour le moment, nous boirons tout à l’heure, et pose cette cigarette ! Qu’attends-tu pour te mettre à genoux et nettoyer un peu Mes pieds ? Tu as vu comme ils sont sales ? Dépêche-toi et obéis ! Exécution ! Aux pieds tout de suite! »…

 

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Il n’a pas hésité trop longtemps, il sait ce qui lui en coûte. Il a posé sa cigarette à peine roulée, a regardé de droite à gauche avec cet air inquiet qui lui va si bien, puis il s’est agenouillé face au banc sur lequel je trônais, les deux genoux ancrés sur la terre pleine de graviers, de petits cailloux qui faisaient mal à la chochotte qui gémissait, espérant peut être que j’allais le plaindre, appeler un taxi, pour aller à une terrasse de bar encore ensoleillée. Son visage était à trente centimètres de Mon pied droit, je le balançais devant ses yeux afin de le rendre dingue, je le rapprochais peu à peu, jouant avec Ma chaussure, pendant que Mon autre pied s’était glissé entre ses jambes bien écartées, et taquinait ses gonades gonflées de désir pur. Il bandait déjà comme un âne, et pourtant la situation publique ne devait pas être facile pour lui !

« Retire la tong avec tes dents ! » ordonnais-je, très transactionnelle. Ensuite, j’ai pressé Mes deux pieds sur son visage moite de sueur. Eux aussi étaient plutôt moites et surtout noirs, maculés d’une couche de poussière mélangée à la moiteur des pieds en plein été, incrustée dans la peau, entre les orteils, sur les talons….

 

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Une horreur…Par de nombreux et longs « va et vient » sur sa bouche, son nez, ses joues, son menton, ses cheveux, je Me suis débarrassée du « plus gros » de cette crasse humide maculant la virginité de Mes Pieds. Son visage peu à peu devenait noir et un peu gluant. Il ne léchait toujours pas, il reculait le moment de le faire, très humilié par la situation, quelqu’un pouvait surgir et le surprendre en cette fâcheuse posture, les pieds étaient vraiment trop sales, il avait envie d’être ailleurs, et pourtant…. Sa bosse était flagrante…. Il fallait qu’il dépasse ses réticences, et j’ai décidé d’user un peu de Ma voix, je sais l’impact qu’elle a sur lui, qu’il adore recevoir des ordres explicitement humiliants, et je ne le fais pas souvent, à son grand regret.

« Tu attends quoi pour lécher ? La marée basse ?!!? » et joignant le geste à la parole, je le gifle de Ma tong, un bon aller-retour sur les joues…. Puis j’ai collé les orteils de Mon pied droit sur son nez, l’emprisonnant entre deux orteils, lui secouant la tête, puis descendirent sur ses lèvres, à l’orée de la bouche soumise, quatre orteils pénétrèrent dans la bouche, se posèrent sur la langue. Vaincu, il se mit à sucer, à l écher avec fougue, comme s’il voulait rattraper le temps perdu. Il suça chaque orteil un par un, insistant particulièrement sur les espaces interdigitaux afin d’ôter toute trace suspecte. Le dégoût initial, de ce fait se transforme en goût…en désir, et selon une métaphore biblique, c’est l’eau transformée en vin. La véritable relation MAITRESSE/esclave transfigure le laid en beau, le sale en propre, le mal en bien, c’est magique, alchimie de l’Eros.

L’endroit semblait désert, mais qui était derrière ces fenêtres borgnes, et se « rinçait l’œil » ? Cela n’avait semble t’il pas trop gêné le chien, trop occupé à nettoyer Mes pieds de sa langue-gant de toilette !

 

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L’érection de feet était manifeste, tendant la toile de son short, j’ai de nouveau glissé Mon pied entre ses deux jambes, titillant sa tige de Mes orteils. Le léchage prit fin après environ vingt bonnes minutes. La crasse s’était déplacée, de Mes pieds, elle était allée sur la langue de feet (bien noire !), sur son visage, dans ses cheveux, mélange de salive, de sueur, de poussière, et de sable…Après avoir essuyé longuement dans ses cheveux Mes pieds enduits de salive, j’ai repoussé feet du pied, et nous avons repris notre périple en sens inverse, Moi, de nouveau pieds nus, cela mit le chien en rage, il  maugréait dans sa barbe, mais nous allions être à notre chambre d’hôtel d’ici une heure de marche. Là-bas, feet sera de nouveau à Ma disposition. Alors, pourquoi se priver du plaisir de marcher pieds nus en regardant les vagues ? Feet, quant à lui rouspétait, répétant qu’il avait soif, parlant de traitement cruel, de barbarie, de crimes nazis, invoquant ses droits (lesquels ?) à se détendre et se désaltérer. Il portait Mes tongs d’une main, de l’autre portait Mon sac à main, Ma petite veste, le visage maculé et luisant, les cheveux humides et hirsute, les yeux rivés sur Mes pas, sur le déroulé gracieux de Mes plantes de pieds sur le bitume, ramassant la poussière pleine de bactéries…. Il marchait ainsi, la tête basse, et deux mètres derrière Moi. De temps en temps, d’un petit claquement de la langue sur les lèvres, je lui signifiais d’accélérer un peu, comme on le ferait avec un cheval, ou un chien… j’ai passé une bonne fin d’après midi à le mater de cette manière. Je sais qu’il redoute certaines humiliations en même temps qu’il les désire au plus profond. Sa quête est difficile : il voudrait sans doute être au plus bas du sous espace, s’incorporer à Mes  semelles, tel un grain de poussière…. Toujours plus bas….

 

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Le doigt pointé indique ta place: sous Mes Pieds!

 

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Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Lundi 11 avril 1 11 /04 /Avr 14:39

FÉTICHISME ET SOUMISSION, XXVI

 

Ma Princesse et Vanessa  continuaient de parler tranquillement sans se soucier de moi. Toujours à genoux, j’entendais leurs voix si chantantes tout en admirant les merveilleux pieds de ces deux superbes créatures qui m’hypnotisaient par leur indescriptible beauté. J’étais littéralement bercé, et même « drogué » par le plaisir que j’éprouvais dans cette contemplation. Je ne pensais qu’à une seule et unique chose : les pieds si tentants de ces deux Déesses qui se balançaient sans cesse devant mon visage, étaient pour moi une irrésistible invitation à les baiser et lécher. J’avais une formidable envie de les honorer des caresses de ma bouche, de ma langue, mais sans en avoir reçu l’autorisation, c’était bien entendu inconcevable.

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Je fus brusquement tiré de ce merveilleux état hypnotique. En effet, la sonnette de l’entrée retentit et c’était bien entendu, Ingrid, la sœur de Vanessa, qui arrivait. J’avoue que je fus surpris qu’elle soit déjà là, elle devait vraiment être pressée de voir un esclave de pieds !

Ma Princesse alla ouvrir, après m’avoir ordonné : « Toi, tu restes à terre, aux pieds de Vanessa ». Je l’entendis saluer Ingrid, que je connaissais pour l’avoir souvent rencontrée lorsque je conduisais ma Princesse au lycée. Ainsi, elle avait déjà pu me voir à plusieurs reprises portant le sac de ma Domina et me pliant à toutes ses volontés. Ingrid n’ignorait pas que j’étais aux petits soins pour ma Princesse. Elle savait que je lui étais plus ou moins soumis mais je pense qu’elle ne s’attendait pas à me voir à genoux à ses pieds.

Ingrid est une jolie Fille. Petite, elle a un joli visage et un regard magnifique, des yeux perçants. Quand je la sentis s’approcher de moi, je n’osai pas me retourner. Elle salua sa sœur en lui faisant la bise puis elle baissa la tête vers moi et me dit simplement « Salut ». Comme toujours, la première chose que j’ai remarquée, ce furent ses chaussures, une très élégante paire de tennis. Elle demanda à sa sœur : « Tu peux m’expliquer ce qui se passe ici et pourquoi je devais venir tout de suite ? ».

Vanessa lui répondit : « Tu connais l’esclave de pieds de mon amie? Eh bien, je lui ai appris à donner des soins professionnels de pédicure. J’avoue que je n’aurais jamais imaginé qu’un homme soit capable de les faire aussi bien. Alors, je me suis dit qu’il fallait absolument que tu voies cela ». Ma Princesse invita alors la nouvelle arrivante à s’asseoir sur le canapé.

J’allais donc maintenant me trouver prosterné non plus devant deux mais trois superbes Femmes. Je n’étais pas sûr de pouvoir résister à une telle excitation et une si grande humiliation. Ma Princesse ne me laissa pas le temps de tergiverser. Elle m’ordonna de servir un café à Ingrid, ce que je m’empressai de faire, sans oublier cette fois-ci de lui proposer du lait et du sucre. Puis, tout naturellement, je repris ma place normale aux pieds de ma Domina. Vanessa lui proposa alors : « Maintenant, je vais lui apprendre à pratiquer le modelage de pied sur Ingrid, si tu es d’accord bien entendu ». Ma Princesse répondit : « Mais oui, je suis parfaitement d’accord. Au contraire, je trouve que c’est une très bonne idée ». Elle m’ordonna aussitôt de déchausser Ingrid. Afin de retirer son lacet, je m’apprêtais à prendre en main le pied droit de celle-ci, quand par réflexe elle me le retira en disant à ma Domina : « Tu sais, moi je ne suis pas habituée à avoir un homme à mes pieds. Je trouve cela gênant et même trop bizarre ». Sa sœur la rassura : « Tu sais, moi quand je suis arrivée, j’ai eu la même réaction que toi mais je t’assure que j’ai vite changé d’avis en voyant son esclave de pieds. Allez laisse-le te déchausser, tu vas faire de lui un homme heureux, et je suis certaine que toi, tu seras encore plus contente ! ». Ma Princesse ajouta : « Allez, laisse-le faire ! » Ingrid ne semblait pas convaincue, mais au bout de quelques instants d’hésitation, elle me tendit son pied droit pour que je le déchausse. Après avoir retiré sa première chaussure, je lui ôtai la deuxième. Elle portait de très jolis bas vraiment sexy. J’ai eu l’autorisation de les lui retirer. J’ai découvert de superbes petits pieds aux jolis et fins orteils vernis d’un bleu très plaisant. Puis Vanessa commença à me donner les premières consignes afin de m’apprendre à réaliser un vrai modelage des pieds.

En esthétique, les professionnels ne parlent pas de massage mais de modelage. C’est une forme particulière de massage faisant appel à des manipulations techniques dont chacune a un effet spécifique sur les différentes parties du pied.

Avant de commencer le modelage, Vanessa nous prévint : « Je vais commencer par lui apprendre à reconnaître les différents types de pieds ». Elle me les a cités un à un :

-         Il y a le pied égyptien dont le gros orteil est plus avancé. (J’ai alors constaté que c’était le cas des pieds de ma Princesse et également de ceux de Lucie.)

-         Il y a le pied grec dont le deuxième orteil est plus avancé. (C’était le cas d’Ingrid.)

-         Il y a le pied carré dont les trois premiers orteils sont de la même longueur, les deux derniers étant plus petits.

-         Il y a les pieds fins caractérisés par leur étroitesse et par des orteils allongés.

-         Enfin, il y a le pied large caractérisé comme son nom l’indique par une largeur importante, avec des orteils courts.

J’adorais écouter ses explications, je buvais ses paroles. Tout ce qui traite des pieds de Femmes m’intéresse au plus haut point. La preuve, c’est que j’ai tout retenu !!!

 

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Lucie poursuivit son explication en parlant des mains. Elle distingua ainsi :

-         Les mains courtes dont la paume est carrée, et dont les doigts sont courts et carrés.

-         Les mains en spatule dont la paume est carrée, mais dont les doigts sont longs et évasés en leur extrémité.

-         Les mains coniques dont la paume est allongée, avec des doigts courts et en forme de cônes.

-         Les mains longues dont la paume est étroite et longue et dont les doigts sont pointus.

-         Les mains hybrides (je trouvai ce nom bizarre), ainsi nommées parce qu’elles combinent plusieurs caractéristiques.

Depuis notre première rencontre, j’ai toujours admiré les mains de ma Princesse, que je trouve magnifiques. Elles font partie de la deuxième catégorie. J’ai eu un peu de mal à retenir tout cela par cœur, mais par la suite ma Princesse m’obligea chaque jour à tout lui réciter à genoux, une méthode bien efficace pour apprendre !!!

Lucie annonça : « Maintenant, nous allons commencer le modelage. » Toujours à genoux devant Ingrid, j’ai écouté les consignes que ma maîtresse d’école me donnait de manière assez autoritaire : « Il faut commencer par une prise de contact. Tu lisses avec tes deux mains, alternativement des orteils aux genoux, des genoux aux orteils. Puis tu lisses simultanément la voûte plantaire et le cou de pied. Ensuite, tu exerces des rotations profondes avec la pulpe de tes deux pouces puis avec le dos des phalangines ». Je sentais Ingrid qui se détendait au fur et à mesure de mes attouchements. Mais moi, contrairement à elle, j’étais de plus en plus stressé car les manœuvres devenaient très compliquées !!!

Lucie poursuivait son cours : « Maintenant, tu fais glisser une main des orteils aux genoux en effectuant au passage une rotation sur le talon. Ensuite, tu vas mobiliser les orteils ». Je m’appliquais à être très précis dans mes gestes car j’étais surveillé de près par Lucie. Elle n’hésitait absolument plus à me reprendre de manière assez dure. De plus, je sentais également sur moi le regard autoritaire de ma Domina.

Lucie continua ses explications : « Et maintenant, tu exerces un mouvement de flexion et d’extension sur tous les orteils. Puis tu étires chacun d’eux. » J’obéissais comme un bon petit toutou. Lucie poursuivit : « Le moment est venu de t’occuper de chaque cheville. Tu la maintiens d’une main et en même temps tu exerces un mouvement de rotation et de flexion du pied ».

J’avoue que, malgré le stress, je prenais de plus en plus de plaisir à dorloter les jolis pieds d’Ingrid. D’ailleurs, je constatais que, malgré la réticence qu’elle avait manifestée au départ, elle commençait à apprécier d’avoir un homme à ses pieds, s’occupant d’eux comme un esclave docile et doux. Lucie reprit : « Maintenant, tu exerces une pression latérale des deux mains sur les bords des pieds, puis tu relâches. Ensuite, tu pétris les deux faces du pied et tu poursuis ce pétrissage en montant sur le mollet ». Ingrid était maintenant complètement détendue, elle s’était d’ailleurs progressivement laissée aller sur le canapé jusqu’à s’y allonger. Moi j’étais plus qu’heureux, j’étais euphorique. Lucie conclut : « Et voilà, c’est déjà terminé. Il ne te reste plus qu’à lisser des orteils aux genoux, en effectuant au passage une rotation des malléoles ».

Je reconnais que je me suis senti beaucoup plus stressé lors de l’apprentissage de ce modelage que pour tout ce que j’avais dû précédemment apprendre. D’ailleurs, Lucie l’avait remarqué car elle observa : « Eh bien, dis donc, ce fut plus laborieux que pour les soins précédents ! ». S’adressant alors à ma Princesse, elle lui dit : « À la décharge de ton esclave de pieds, ce sont des manipulations qui ne sont pas faciles à retenir. Il donc est normal qu’il ne sache pas tout faire correctement dès la première fois. De toute manière, je lui laisse le bouquin, et il faudra qu’il s’entraîne le plus souvent possible pour retenir les diverses actions et l’ordre dans lequel elles doivent intervenir, jusqu’à ce qu’il connaisse tout cela par cœur ». Avec un léger sourire aux lèvres, elle conseilla à ma Maîtresse : « Il ne faut pas que tu lui laisses le choix. Il devra passer des heures à tes pieds, mais je ne pense pas que cela doive te déplaire… ni à lui non plus, n’est-ce pas !… » Lucie me connaissait depuis peu mais elle m’avait parfaitement cerné. Néanmoins, j’appréhendais un peu le fait de devoir apprendre par cœur l’ensemble de ce modelage.

À ce moment, Lucie se tourna vers sa sœur pour lui demander : « Alors, c’est si désagréable pour une Femme d’avoir un homme humble et soumis à ses pieds ?… » Ingrid hésita à peine avant de répondre : « J’avoue qu’au départ j’ai trouvé cela trop bizarre, mais je dois reconnaître qu’au fur et à mesure que l’esclave me donnait ses soins sous tes ordres, j’ai apprécié de plus en plus ce massage. C’est vrai que j’ai trouvé très agréable de voir un homme à genoux à mes pieds en train de s’occuper d’eux avec tant d’attention, mais je n’en reviens toujours pas de le voir aussi soumis !... Au fait, il y a combien de temps qu’il est comme cela à genoux devant vous ? » Lucie regarda sa montre : « Il y aura bientôt quatre heures ! – C’est hallucinant !!! » s’exclama Ingrid. Se tournant alors vers ma Princesse : « Je savais qu’il t’était soumis mais je n’aurais jamais cru que c’était à ce point-là !!!... »

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Après un silence, elle se remit en position assise et s’excusa : « Désolée, ce n’est pas que je ne sois pas bien avec vous et avec lui, au contraire, mais maintenant je dois y aller ». Ayant retenu les leçons du passé, je me suis ainsi adressé à Ingrid : « Madame, je vous remercie de m’avoir fait l’honneur de me laisser masser vos jolis pieds. Maintenant, si vous me le permettez, je vais vous rechausser ». Abaissant sur moi ses jolis yeux au regard un peu dur, elle me répondit : « Mais oui, avec grand plaisir. Remets-moi mes souliers en faisant bien attention à ne pas me faire mal ! ». Ma Princesse rit et fit remarquer : « Je l’ai quand même bien dressé mon petit esclave de pieds, n’est-ce pas les Filles ?… », ce à quoi Lucie répondit : «C’est le moins qu’on puisse dire !!! »

J’ai donc délicatement enfilé ses bas aux pieds d’Ingrid. Puis j’ai bien relâché ses lacets afin de lui enfiler ses chaussures sans difficultés. Quand elle a présenté l’un après l’autre ses pieds, j’ai placé mon index contre son talon pour lui servir de chausse-pied. En me faisant un peu mal, mais ce n’était pas grave, ses jolis petons ont glissé sur mon doigt sans problème. Puis je lui ai serré ses lacets.

Alors qu’Ingrid s’apprêtait à partir, ma Princesse lui demanda : « Attends encore cinq minutes, je voudrais vous montrer une autre utilité de mon esclave de pieds ». Restant assise, elle se tourna vers moi, pointa un index autoritaire vers ses très beaux pieds et me dit ces quelques mots qui me rendent toujours complètement dingue : « AUX PIEDS, ESCLAVE !!! ».

 

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J’ai avancé à quatre pattes vers elle, comme un chien qui rejoint les pieds de sa Maîtresse. Elle me regardait d’un air autoritaire, tout en continuant à désigner impérieusement du doigt ses adorables pieds. Elle me dit de sa voix la plus douce : « Je veux que tu honores mes jolis pieds ». Je savais ce que ma Princesse attendait de moi. J’avoue que j’ai éprouvé une petite hésitation mais elle ne dura qu’une fraction de seconde. Tant pis si deux autres Femmes me regardaient ! Depuis plus de quatre heures passées agenouillé devant ces superbes créatures, j’étais très très excité, trop excité pour résister à un ordre pareil… J’ai baissé ma tête, mes lèvres se sont approchées doucement des magnifiques pieds de ma Domina, puis elles se sont enfin posées sur sa peau si douce.

La suite, vous la connaissez !!! J’ai fait l’amour à ses jolis pieds avec ma bouche.

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J’ai baisé ses sublimes pieds avec amour, désir et dévotion. J’ai sucé chacun de ses orteils que j’ai gardé en bouche pour son plus grand plaisir et le mien. Je me suis allongé par terre comme me l’avait appris la tante Marie pour lécher les superbes plantes de pied de ma Princesse. Ce moment de bonheur absolu dura une trentaine de minutes. J’étais au paradis, j’étais en plein dans le sous-espace.

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 À cette époque, je ne connaissais pas encore cette appellation mais j’étais en train de vivre cet état et c’était très bon. Les trois magnifiques Femmes ne parlaient plus. Un silence pesant régnait désormais dans la pièce. On pouvait entendre le bruit de ma langue en train de lécher les pieds de ma Princesse qui se penchait sur moi pour me regarder faire et devait se sentir très fière, orgueilleuse même, de mon obéissance et de mon adoration. Les deux sœurs m’observaient elles aussi avec beaucoup d’attention, avec néanmoins beaucoup d’étonnement, j’imagine.

Pour me signifier d’arrêter, ma Maîtresse me donna dans le visage un coup de son pied droit, tout en me disant : « Arrête ! Je t’ai accordé ce très beau cadeau car tu as bien travaillé ce matin ». Puis, se tournant vers les deux autres : « Alors, vous en pensez quoi, les Filles ? » Elles sont restées sans dire un mot pendant quelques minutes, au bout desquelles Lucie répondit simplement : « Je n’en reviens pas, mais je dois avouer que cela a l’air vraiment très agréable. – Oh, que oui !!!… » reconnut ma Princesse.

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 Et Ingrid : « Je suis désolée mais il faut vraiment que je file. On en reparlera au lycée car là je ne trouve pas les mots pour dire tout ce que je ressens… ».

Quand Ingrid fut partie, Lucie fit remarquer : « J’espère que le fait de voir ton esclave si soumis amènera ma sœur à changer d’avis sur le comportement de son mec. En tout cas, sache que j’ai passé une très bonne matinée et je peux te dire que moi aussi, j’ai changé d’avis sur les mecs. Ils vont devoir marcher droit maintenant !!! ». Et alors, elles se sont mises à rigoler aux éclats. Lucie s’adressa alors à moi en me donnant le bouquin : « Maintenant, tu dois apprendre tout cela par cœur. Je vais rester en contact avec ta Princesse et si j’ai des mauvais échos de ton travail, gare à toi ! Tu as bien compris, j’espère ?… » Bien entendu, Lucie était ironique mais je pense qu’elle se prenait bien au jeu, car tout cela semblait bien lui plaire. Je lui ai répondu : « Oui Madame. Je ferai tout ce que vous voudrez et ce que ma Princesse m’ordonnera ! ».

Celle-ci, justement, m’ordonna à cet instant : « Maintenant tu ranges tout pendant que je raccompagne Lucie. » J’entendis que ma Domina remerciait chaleureusement son amie pour le temps qu’elle avait consacré à ma formation.

 

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***

Après m’être remémoré cette agréable après-midi à laquelle je repense souvent, je reviens donc à la matinée qui précéda la rencontre de ma Domina et de Clément. Ma Maîtresse a déjeuné tranquillement, tout en profitant du bain de pieds que je lui avais préparé. Puis elle me commanda de lui faire un soin de pieds complet et un modelage. Je me suis exécuté. Ensuite, elle voulut que je lui rase les jambes. Elle me dit que ses jambes et ses pieds, tout devait être parfait pour Clément. J’admirai une fois de plus ses merveilleuses jambes et ses superbes pieds qui me donnaient un désir fou. Je fis glisser lentement le rasoir sur sa sublime peau. J’avais peur d’appuyer et de la blesser. J’étais hypnotisé par les admirables courbes de ses jambes et de ses pieds. Le reste du monde n’existait plus… À la fin, j’ai appliqué une lotion anti-rougeurs, mais cela n’empêcha pas ma Princesse de m’obliger ensuite à lui lécher les jambes pendant au moins trente minutes, afin d’apaiser le feu du rasoir !!! C’était peut-être long et pourtant j’aurais aimé pouvoir prolonger ce moment encore et encore. Ces minutes constituaient pour moi à la fois un moment de bonheur intense et un cruel supplice car je savais qu’au final tout cela serait pour un autre que moi…

Après cela, ma Princesse m’a demandé de la conseiller sur les tenues vestimentaires qu’elle devait choisir pour plaire le plus possible à Clément. Elle a choisi un superbe débardeur noir, une magnifique jupe en jean qui s’arrêtait juste en dessous de ses genoux. Puis elle exigea que je lui enfile de bien belles chaussures à haut talon. Il s’agissait de sandales dont les lanières étaient ornées de brillants. Ma Princesse m’obligea à les nettoyer à genoux à ses pieds pendant qu’elle brossait et peignait ses cheveux. Elle tenait à ce qu’elles soient irréprochables pour Clément. Après avoir contrôlé leur propreté, elle me força à lécher quelques menues taches puis, restant à genoux devant elle, je lui ai enfilé ses sandales dont j’ai refermé la boucle autour de ses chevilles.

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J’ai alors approché mes lèvres pour lui baiser humblement les pieds mais ma Princesse me les retira en me disant : « On verra cela plus tard ». Après avoir s’être mis quelques touches de parfum, elle déclara : « Il est temps que tu partes car Clément ne va plus tarder et je n’ai pas du tout envie qu’il te trouve ici… » J’étais si affreusement triste que j’en avais les larmes aux yeux. Je lui ai fait un petit bisou sur la joue avant de partir, mais elle m’a vite repoussé : « Arrête, idiot ! Tu vas m’enlever mon maquillage ».

Comme ma Princesse était belle ! Je l’avais admirée en train de se maquiller pendant des heures. Elle était magnifique, c’était une vraie Déesse. Je savais que Clément ne pourrait pas résister… et j’étais terriblement peiné. Je suis donc parti à contrecœur et je suis rentré chez moi. Ce jour-là, nous avions justement un repas de famille. À table, j’étais absent et me taisais. Je n’ai pas cessé de penser à ma Princesse et à Clément. J’étais hanté par leur rencontre. Tard dans la soirée, je n’ai pas pu me retenir, j’ai sauté dans ma voiture et je suis allé voir si Clément était rentré chez lui. J’ai vu que son auto n’y était pas et j’ai compris qu’ils étaient encore ensemble. J’ai imaginé ce qu’ils étaient en train de faire. J’en étais malade, je pleurais. J’ai alors décidé d’appeler ma Princesse. Je savais qu’elle serait fâchée mais tant pis. Dès qu’elle eut reconnu ma voix, elle me raccrocha au nez en me hurlant de la laisser tranquille… Je ne vous raconte pas la nuit horrible que j’ai passée.

Le lendemain, toute la bande s’est retrouvée. Clément raconta à tout le monde sa soirée de la veille avec ma Princesse. Devant elle, il nous raconta qu’ils avaient mangé ensemble et qu’après il l’avait raccompagnée. Je savais que cela n’était pas vrai, mais j’ai fait semblant de rien. Nous sommes allés nous promener, faire les magasins. Je remarquais leur comportement à tous les deux, je voyais bien qu’ils cherchaient sans cesse à être proches. Dans les boutiques, ils s’arrangeaient toujours pour s’isoler afin de se retrouver seule à seul. Ils se rapprochaient, je le sentais au fond de moi. Je suis sûr que je n’étais pas le seul à remarquer leur complicité. Le soir, lorsque je me suis retrouvé en tête à tête avec ma Princesse, je lui ai fait part de mes doutes et je lui ai demandé la vérité. Ma Domina est une personne honnête et sincère. Ainsi, elle accepta de m’avouer la vérité, si joyeuse et douce pour elle, si triste et dure et dure pour moi. Ils avaient effectivement mangé ensemble, puis ils avaient cherché un coin tranquille où ils avaient fait l’amour sur la banquette arrière de la voiture…

Lorsque j’ai entendu cela, ce fut exactement comme si on m’avait enfoncé un poignard dans le ventre. Je n’y croyais pas, je ne pouvais pas croire que ma Princesse avait franchi ce pas que je redoutais tant. Je ne voulais pas admettre cette réalité, triste pour moi mais pas pour elle. Cet instant où ma Maîtresse m’a annoncé cette terrible vérité est gravé à vie dans ma mémoire. Je m’en souviendrai toujours. Nous étions comme souvent dans ma voiture garée sur la place principale de notre ville. J’ai mis un moment avant de reprendre mes esprits. Puis ma Princesse me donna cet ordre : « Conduis, je vais t’emmener dans le petit coin tranquille que nous avons trouvé si difficilement… ».

Ce petit coin paisible ne se situait pas bien loin. Je n’ai eu à conduire que quelques minutes. C’était un petit chemin de campagne. Ma Princesse m’ordonna de me garer puis elle me fit sortir. « Cherche partout dans le fossé ! » me commanda-t-elle d’une voix dure. Je lui ai alors demandé ce que je devais chercher. Elle me répondit en rigolant : « C’est à croire que vous êtes tous vierges dans cette bande !!!… Ton pote qui se vantait d’être un Don Juan était encore puceau jusqu’à hier au soir. Il a joui en trente secondes… Il a voulu me faire croire à une précédente aventure avec une fille rencontrée lors d’une soirée. Mais je n’y crois absolument pas. En plus, cette fille en question n’est connue d’aucun de vous. Comme par hasard !!!… Il a jeté son préservatif dans ce fossé pour ne pas que je voie qu’il avait éjaculé. Je veux que tu le retrouves pour me prouver que j’ai raison !». J’étais tellement abasourdi par cette nouvelle que je n’ai même pas protesté. Je me suis exécuté. J’avais l’habitude de lui obéir et j’aimais cela…

 

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J’ai fini par trouver la capote toute fripée. Ma Princesse m’obligea à la ramasser. J’ai de nouveau obéi sans protester. L’ayant en main, j’ai effectivement constaté que Clément avait bel et bien déchargé. Ce fut le moment le plus humiliant de ma vie… Aujourd’hui, je me demande toujours comment j’ai pu en arriver là… Imaginez, depuis quelques mois je fréquente de nouveau Clément. J’évite de repenser à cette scène en sa présence, mais ce moment est toujours dans un coin de ma tête.

Après avoir vécu une soumission si totale aux pieds de ma Princesse, pourquoi tout s’est-il arrêté ?…

Je pense très très souvent à cette phrase que m’a fréquemment répétée Maîtresse MAEVA : «  La Domina arrive lorsque l’esclave est prêt… ».

Il est évident que j’avais trouvé ma place naturelle aux pieds de ma Princesse. J’ai toujours eu l’intime conviction d’être né pour la servir. Je sais que rencontrer sa Domina est une étape très difficile à franchir pour la plupart des soumis. La recherche d’une Maîtresse peut devenir une longue et difficile quête, il faut savoir faire preuve de patience. La vie m’avait offert ce fabuleux cadeau et m’avait permis de rencontrer ma Domina. Il ne se passe pas une journée sans que je me demande pourquoi le sort est venu me reprendre ma Princesse !!!…

Ma vie est un véritable paradoxe. Comme vous le savez, j’ai rencontré ma Princesse à l’âge de 19 ans. J’étais encore un gamin dans ma tête. J’étais loin d’être aussi mûr qu’aujourd’hui. Au moment de notre rencontre, j’étais hanté par mes désirs de soumission et mon fétichisme pour les pieds de Femmes. Mais j’étais complètement perdu, tiraillé entre tous mes désirs que je trouvais bizarres à l’époque et le fait de vouloir être un mec « normal ». Ma Princesse m’a toujours emmené plus loin dans la soumission, mais j’avais toujours cette petite voix dans ma tête qui me demandait de repousser mes désirs. Je n’étais encore pas prêt à être un vrai esclave et à me donner corps et âme à une Femme, dans une soumission absolue à sa volonté.

 

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Bizarrement, c’est après que le drame fut survenu que j’ai réellement pris conscience que l’esclavage pouvait être un véritable mode de vie à part entière. Je pense et j’espère que dans des dizaines d’années, la relation DS sera le mode de vie dominant de notre société. C’est encore loin d’être le cas aujourd’hui, même si je pense que les couples vivant ce type de relation sont de plus en plus nombreux bien que la plupart doivent la vivre en cachette, à cause de notre société trop classique et moraliste. Alors que j’avais perdu ma Princesse, j’errais sur Internet et j’ai découvert plusieurs sites qui m’ont permis d’ouvrir les yeux et de prendre conscience de ma vraie nature et de ce que je désirais réellement. Maîtresse MAEVA m’a mis sur le bon chemin, celui qui me conduira à une soumission absolue :

«  la libération enfin dans l’esclavage… »

Aujourd’hui, je suis prêt à servir une Femme en esclave, à vivre à ses pieds une soumission absolue.

 

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Oui, aujourd’hui, je suis vraiment prêt. J’ai longtemps espéré retrouver ma Princesse mais malheureusement j’ai peur que cet espoir soit vain. Je sais que rien ne sera jamais plus comme avant. Je ne sais pas si la vie m’offrira une deuxième chance de rencontrer une autre Domina, ma future Maîtresse.

L’esclave que je suis est prêt, j’espère que ma Maîtresse ne tardera pas trop…

La vie est courte, je veux pouvoir en profiter, aux pieds d’une Femme.

 

Paillasson ch’ti, esclave totale, sincère, dévoué et fidèle de Maîtresse MAEVA

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Merci à l'excellent site www.underfeet.com pour la dernière photo....un petit emprunt pour varier un peu...

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Samedi 22 janvier 6 22 /01 /Jan 11:07


Merci à over bogue pour la mise en page!

FÉTICHISME ET SOUMISSION, XXV



 



Je reprends ma
monographie où je l’avais arrêtée, c’est-à-dire sur mon immense appréhension
quant au rendez-vous de ma Domina avec Clément.



 



Je n’avais quasiment pas dormi de la nuit. L’image de Clément et de ma
Princesse qui s’embrassaient n’arrêtait pas de passer en boucle dans ma tête.
Je ne pouvais chasser cette vision d’horreur de mon esprit. J’étais vraiment
très triste, complètement abattu !!!

Je me suis levé tôt. Dès 8 heures, j’étais prêt, alors que ma Princesse ne m’attendait qu’une heure plus tard. Au vu de ses exigences à mon égard, il valait mieux pour moi que je ne sois pas en retard ! Clément m’avait promis de passer dans la matinée
mais je ne savais malheureusement pas à quel moment. La chance me sourit, pour
une fois. En effet, à 8 heures et demie, il me téléphona pour me demander
s’il pouvait venir. Je lui dis que je l’attendais. Quand il est arrivé, nous
nous sommes salués comme d’habitude en nous serrant la main et nous avons parlé
sur le pas de ma porte. Je voyais bien qu’il n’était pas du tout à l’aise. Il
m’a dit qu’il avait bien reçu mon texto mais qu’il ne comprenait pas bien… Il
m’a confirmé qu’il avait rendez-vous avec ma Princesse. Je lui ai alors demandé
s’il avait de réels sentiments pour elle. Je lui ai expliqué que j’étais prêt à
m’effacer, mais que je voulais être sûr que ce ne serait pas pour rien. Il m’a
alors fait comprendre qu’il n’était pas amoureux et m’a assuré qu’il parlerait
à ma Domina pour mettre fin à leur flirt. J’avoue que je me sentais très
bizarre. J’étais à la fois rassuré de savoir que Clément allait mettre un terme
à cette relation naissante mais d’un autre côté, je me sentais très mal à aise
vis-à-vis de ma Princesse. Je savais que si elle apprenait que j’avais discuté
avec Clément juste avant leur rencontre, elle entrerait dans une colère noire…

16



À cause de cette
discussion avec Clément, je suis arrivé avec quinze minutes de retard chez ma
Domina. Je savais qu’elle détestait cela car malheureusement j’avais la
mauvaise habitude de n’être pas souvent à l’heure. Ma Princesse qui est une
femme très droite, stricte, était toujours très ponctuelle, aussi
détestait-elle les gens qui ne l’étaient pas, et c’est pourquoi ce côté de ma
personnalité avait vraiment tendance à l’irriter fortement. Quand j’ai sonné et
que ma Princesse est venue m’ouvrir, elle était encore en pyjama. J’ai pensé
qu’elle venait de se lever. Je lui ai dit :
 « Bonjour, ma Princesse » avec un grand sourire
comme à chaque fois. En effet, lorsque je voyais ma Domina, j’avais toujours un
large sourire et les yeux qui pétillaient. J’étais si heureux de la
retrouver !!! Malheureusement, l’attitude de ma Domina était complètement
différente. Bien entendu, elle n’éprouvait pas les mêmes sentiments que moi
mais ce n’était pas l’unique raison qui expliquait sa froideur. Elle tenait
cela de ses parents qui sont froids
 tous les deux.



Elle alla directement se
rasseoir dans sur le canapé. Je me suis excusé pour mon retard. Ma Princesse
m’a simplement répondu :
 « De toute manière, je commence à
être habituée avec toi !!! »
 Bien entendu, elle était
loin de s’imaginer les raisons de mon retard. Si elle les avait sues, j’étais
un esclave fini !!!…

23

Ma Domina me dit :
« 
Va me préparer mon petit déjeuner. Tu me
l’apporteras sur un plateau. Pendant que je déjeunerai, tu me feras couler un
bon bain de pieds avec du produit moussant. Et après, tu masseras mes petits
petons, avant de retirer le vernis de mes ongles pour y mettre un rouge bien
vif. Clément adore cette couleur, ça l’excite… Alors tu as intérêt à
t’appliquer en pensant à lui !!! Comme tu es un vrai empoté, je vais
encore te redire ce que je veux pour déjeuner : tu me prépares du lait
avec du chocolat, des tartines grillées et de la confiture. Tu m’apporteras le
tout sur un plateau
 que tu me présenteras à genoux. EXÉCUTION ».



C’est vrai, je
l’avoue : chez moi, c’est toujours ma mère qui s’est occupée de préparer à
manger. Quand j’ai rencontré ma Princesse, j’étais incapable de faire quoi que
ce soit dans une cuisine, alors qu’au contraire ma Domina avait dû apprendre à
se débrouiller seule depuis toute jeune. Ma Maîtresse était capable de se
préparer un repas, seule, depuis bien longtemps. Ainsi mon incompétence en
cuisine comme pour le ménage lui tapait sur les nerfs. Je me suis donc exécuté.
J’ai apporté le plateau à ma Princesse et me suis agenouillé à ses pieds pour
le lui donner. J’ai préparé son bain de pieds avec beaucoup de mousse,
conformément à ses ordres, et bien sûr j’ai veillé à ce que l’eau soit à bonne
température. J’ai pris une serviette, j’ai apporté la bassine devant elle, puis
j’ai repris ma place naturelle et normale aux divins pieds de ma Domina.



Je regardais ses
magnifiques pieds qui trempaient dans l’eau chaude et savonneuse. J’étais
tellement bien et heureux d’être ainsi agenouillé devant elle !!! À chaque
fois que je me trouvais dans cette posture, cela me plaçait dans un état
euphorique incroyable. Seuls les vrais fétichistes des pieds féminins peuvent
me comprendre et ressentir le grand bonheur que nous donnent de telles
situations.

30

Pour moi, tous ces
moments passés aux sublimes pieds de ma Princesse représentent des moments
uniques, le Nirvana…



Il y avait tellement de
mousse que j’avais du mal à distinguer les petons de ma Princesse… Après avoir
tranquillement déjeuné, ma Domina m’ordonna de reprendre son plateau. Alors que
j’étais à la cuisine en train de tout laver et ranger, elle m’interpella :
 « Alors qu’est-ce que tu fous en cuisine ? Tu feras cela plus
tard, je te veux à mes pieds ! Immédiatement !!! »
. Comme un bon petit toutou bien dressé, je me suis précipité auprès d’elle.
Elle a alors sorti son pied droit de la bassine et me l’a plaqué sur le visage.
Il était encore couvert d’une mousse épaisse. Je n’ai pas résisté à mon envie,
j’ai saisi doucement sa cheville et j’ai commencé à lécher encore et encore son
merveilleux pied. J’avalais la mousse, je léchais avec amour et dévotion, l’eau
glissait lentement sur les orteils. Cette vision était tellement magique que je
n’avais pas pu résister au désir d’honorer ainsi ma Maîtresse, mais comme je
n’avais pas reçu son autorisation, j’ai vraiment cru que j’allais me reprendre
un violent coup de pied dans le visage !!! Mais à mon grand étonnement, ma
Domina se laissa faire. Ainsi, j’ai pu baiser sa peau si douce et la lécher
encore et encore, partout… J’avais le goût vanillé de la mousse dans la bouche,
c’était vraiment super agréable. À la fin, j’avais léché ce pied si mignon avec
une telle passion que je n’ai pas eu besoin de l’essuyer avec la
serviette ! Ma Domina me présenta alors son deuxième pied et me dit :
 « Tu te rends compte du cadeau que je t’offre ? J’espère que tu
me seras reconnaissant pour la générosité dont je fais preuve avec
toi !... »
. J’étais follement heureux mais en même temps je me sentais mal à l’aise
parce que j’avais rencontré Clément en cachette. Après m’avoir offert ce
fabuleux moment, alors que j’étais toujours à genoux, ma Domina me dit :
 « Tu te rappelles, il y a quelques semaines, tu as suivi une formation
un peu spéciale pour apprendre les soins à donner aux pieds des Dames… Eh bien,
maintenant tu vas mettre en pratique ce que tu as appris jour-là. Et tu as
intérêt à t’appliquer ! Je veux que mes pieds soient parfaits pour
Clément. »

209

Avant de vous raconter
la suite, je vais vous narrer cet extraordinaire moment que ma Maîtresse
m’avait permis de vivre quelques semaines auparavant…



Ma Princesse était
vraiment le rayon de soleil de ma vie. Chaque jour, je passais des moments
merveilleux à ses pieds. Elle me surprenait à chaque fois et poussait toujours
au maximum mon fétichisme, comme en ce fameux jour du mois de mai. Cela se
passait quelques semaines avant que Clément et ma Princesse ne se rapprochent
l’un de l’autre…



Ce matin-là, ma
Princesse m’appela pour m’ordonner de venir chez elle pour 10 heures.
C’était un samedi, nous n’avions pas cours et ses parents étaient partis pour
la journée. Je m’étais imaginé une journée classique où nous aurions passé
notre temps à faire les magasins puis, comme toujours, nous aurions continué par
un restaurant et terminé par un bon massage de ses pieds. Mais ce jour-là, ma
Princesse m’avait réservé un programme différent. D’ailleurs, elle m’avertit au
téléphone, en me disant :
 « Tu as intérêt à être à l’heure,
j’ai une surprise pour toi… »
. Lorsque j’ai entendu cette phrase, je me
suis senti à la fois excité mais aussi très stressé, car la dernière fois que
ma Domina avait prononcé de telles paroles, j’avais dû assumer ma honte et
avouer mon secret devant sa tante Marie. J’étais donc très nerveux car je me
demandais vraiment ce que ma Princesse me réservait…

492

Je ne tardai pas à être fixé !!!…



Pour une fois, je suis
arrivé à l’heure chez ma Maîtresse. Comme d’habitude, elle cria pour m’avertir
que je pouvais entrer. Assise sur le canapé, habillée d’un petit débardeur noir
décolleté et d’une très mignonne jupe en jean qui s’arrêtait à ses genoux
ronds, elle était très jolie, comme toujours. Comme toujours aussi, elle était
parfaitement maquillée et un superbe fard à paupières mettait en valeur ses
yeux magnifiques. Ses cheveux bien coiffés étaient brillants et superbement
bouclés. Sincèrement, je trouvais ma Princesse magnifique, avec ses pieds nus
dans ses sandales d’intérieur ! J’étais très étonné de la voir déjà si
apprêtée, car je pensais la trouver encore en pyjama.



Je la saluai gentiment
comme d’habitude. Comme d’ordinaire, elle me répondit« Salut ! »
 puis de son index autoritaire elle me signifia que je devais rejoindre ma
place naturelle, c’est-à-dire à genoux à ses pieds. Je me suis bien entendu
exécuté avec beaucoup de plaisir…



 Copie de DSC01930



Rappelez-vous qu’au tout début de ma relation avec ma Princesse, elle se
plaignait souvent d’avoir mal ou froid aux pieds. J’avais bien entendu profité
de cette merveilleuse occasion pour lui proposer de m’en occuper, car je les
trouvais très jolis. Au début, ma Princesse était gênée et il me fallut la
convaincre de me laisser la dorloter ainsi.



Au début, ces moments bénis ne duraient que quelques minutes puis petit à
petit, je suis resté de plus en plus longtemps à ses pieds. D’abord, ma
Princesse se montrait inquiète pour moi, elle avait peur que ma position soit
inconfortable, elle était gênée que je ne puisse pas suivre la télé. Comme vous
le savez, j’ai fait découvrir à ma Princesse un monde qu’elle ne connaissait
absolument pas. Un monde où la Femme domine sans partage les hommes qui
n’existent que pour la
 servir. Ce qui est sûr,
c’est qu’en quelques mois seulement, ma Princesse avait pris complètement
possession de ce monde. Elle était devenue une impitoyable femme dominatrice
qui m’emmenait toujours plus loin dans la soumission. Ce jour-là, une fois de
plus, ma Princesse m’obligea à me dépasser…



Alors que j’étais à
genoux à ses genoux, elle m’informa qu’elle attendait la sœur de sa meilleure
amie qui est esthéticienne. Elle me dit :
 « Tu es très doué pour les massages de pieds. Mais pour la pose du
vernis, ce n’est pas encore idéal. Je l’ai fait venir pour qu’elle t’apprenne à
faire des soins de pédicure complets, ainsi que de vrais massages comme en
institut ! »
. Je fus très surpris en entendant cela, car je me m’y
attendais absolument pas. J’étais gêné de devoir encore me soumettre devant une
autre personne. Je fis part de mes craintes à ma Domina qui me répondit :
 « Ton plus grand bonheur dans la vie, comme tu me l’as souvent dit,
n’est-il pas de prendre soin de mes jolis pieds et de leur apporter bien-être
total ?… »
 Bien entendu, j’ai répondu que si !
Elle a alors ajouté :
 « Donc, tu veux apporter à mes
délicieux petits pieds les meilleurs soins possibles ?… »
 J’ai encore répondu : « Oui, ma Princesse ! ». Et elle,
aussitôt :
 « Donc, tu dois apprendre auprès
d’une professionnelle ! C’est mon amie Vanessa qui va venir. C’est un
formidable cadeau que je t’offre là et j’espère pour toi que tu sauras t’en
montrer digne
. » J’ai questionné : « Mais elle est au
courant pour mon statut d’esclave ? ‑ Non, mais elle va le
découvrir !… »
 Et c’est à ce moment-là que la sonnette a
retenti…

DSCF5311

Alors que j’allais me
relever, ma Princesse appuya sur mes épaules et me dit « Toi, tu restes
à genoux à ta place !!!
 ». Je me sentais terriblement stressé et
une nouvelle fois tout autant excité !!!



Dans l’entrée, ma
Princesse salua la jeune esthéticienne. J’entendis la petite voix très douce,
très fluette de celle-ci puis par le bruit de ses talons tandis qu’elle
approchait. Je me suis retourné. La première chose que j’ai vue, ce furent ses
superbes pieds merveilleusement vernis d’un superbe bleu ciel. Ses pieds
étaient très bronzés, très fins, superbement mis en valeur par de belles
sandales à talon aux boucles ornées de brillants. Après avoir être resté un
long moment hypnotisé par ses admirables pieds, j’ai levé la tête pour saluer
l’arrivante. Elle portait une jupe fleurie qui laissait voir ses très belles
jambes adorablement hâlées. Elle était très grande, très jolie, et j’avais
l’impression d’être minuscule, à genoux devant elle. J’ai vu sur son visage son
étonnement de me voir dans une telle posture. En me désignant du doigt, ma
Princesse lui dit avec un beau sourire :
 « Je te présente mon esclave de pieds. ». Vanessa s’étonna : « Pardon ??? ». Ma Domina lui
expliqua :
 « Oui, je l’appelle ainsi car il
dorlote mes petits pieds ! Il adore ça et c’est d’ailleurs pour cette
raison que je t’ai demandé de venir. J’aimerais que tu lui apprennes à me faire
des soins de pédicure complets. Si c’est possible, je veux la totale, s’il te
plaît »
. Vanessa, qui semblait incrédule, reprit : « Je t’avoue que je n’ai jamais vu un mec faire ça !!! ‑ Oui, lui répondit ma Maîtresse, je m’en doute, mais tu
verras celui-là est différent des autres ! »
.

DSCF6356

Vanessa est venue
s’asseoir sur le canapé près de ma Princesse qui lui demanda si elle souhaitait

un café. Vanessa répondit que oui. Ma Domina s’adressa alors immédiatement à
moi en ces termes :
 « Tu as entendu ? Sers-nous un
café, dépêche-toi !!! »
.



Je me suis levé pour
aller préparer le café. Je voyais bien que Vanessa était très troublée par tout
cela. Elle dit :
 « Mais tu lui parles toujours comme
ça ??? Et lui il obéit toujours comme un petit toutou ???…
  Oui, répondit ma Domina,comme je te l’ai dit, c’est mon petit
esclave !!! »
.


21

Quand j’ai apporté le
café, ma Princesse me reprit méchamment, en cherchant à m’humilier encore
davantage : « Tu ne demandes pas à mon amie Vanessa si elle
souhaite du sucre ou du lait ?… »
. Vanessa dit que oui, qu’elle
voulait du sucre et du lait, et je me suis empressé de les lui apporter.
J’étais tellement stressé par la situation que j’en avais oublié
l’essentiel : la courtoisie et la serviabilité envers les dames !!!
Vanessa s’est exclamée :
 « Eh bien, dis donc, tu as une sacrée
autorité sur lui !!! »
.



Ma Maîtresse lui
répondit en riant :
 « Tu sais, un homme, il suffit de
savoir le dresser !!! Après il rampe à tes pieds !… 
». Le dialogue suivant
s’instaura alors entre les deux jeunes femmes. Vanessa :
 J’aimerais bien que ma sœur suive tes conseils !…  Princesse : Pourquoi dis-tu cela ? – Vanessa : Tu as déjà rencontré son mec ? C’est un gros macho et je peux te dire
qu’il est loin de ramper à ses pieds ! Au contraire, il la traite comme
une moins que rien !... –
 Princesse : Je vais t’avouer que, moi aussi, j’ai connu des mecs comme ça, car je n’ai
malheureusement pas toujours été la femme autoritaire que je suis aujourd’hui.
Tu sais, j’adore vraiment ta sœur, c’est ma meilleure amie. On ne se connaît
que depuis le début de l’année mais notre amitié est vraiment sincère. Elle
t’en a sûrement parlé, nous sommes dans une classe de merde. Les mecs
n’arrêtent pas de foutre le bordel tous les jours. Franchement, c’est
impossible d’apprendre dans ces conditions-là. Ta sœur est vraiment douée, je
pense qu’elle aura son Bac sans problème malgré la mauvaise ambiance
quotidienne. Mais moi, je n’arrive pas à bien étudier. Tu sais, heureusement
que ta sœur est là, sinon je ne tiendrais pas le coup dans cette classe. J’ai
eu déjà plein de problèmes depuis le début de l’année. Les gars ont même fait
courir une rumeur sur moi. Ça m’a fait beaucoup de mal, j’en ai énormément
pleuré, j’ai même dû en parler au médecin. Ta sœur m’a vraiment aidée à traverser
cette épreuve. D’ailleurs, c’est dans cette période que j’ai rencontré mon
esclave de pieds. Je pense qu’inconsciemment je me suis vengée sur lui… Je
connais le mec de ta sœur, je l’ai vu à quelques reprises, c’est vrai que je ne
l’apprécie pas trop, je n’aime pas sa mentalité mais je ne veux rien dire, car
je ne veux pas perdre l’amitié de ta sœur »
.


484

Vanessa avait
attentivement écouté. Mais tout à coup ma Princesse déclara :« Maintenant,
passons aux choses sérieuses ! Je veux qu’il dorlote mes petits pieds !
‑ Il faut commencer par faire tremper tes pieds,
 fit remarquer Vanessa. Normalement, on le fait dans
une solution antiseptique, mais un bon bain aux huiles essentielles, c’est
aussi bien et tellement plus agréable ! »
. J’étais à genoux
devant les deux femmes depuis un long moment déjà et j’étais complètement
hypnotisé par leurs pieds si jolis… Ma Domina me sortit brutalement de ma
torpeur en me frappant violemment le visage de son pied droit. Elle me
lança :
 « Tu dors, ou quoi ? Tu as
entendu ce qu’a dit Vanessa ? Va vite me préparer un bon bain de
pieds ! »
. Je me suis exécuté et j’ai apporté la bassine après avoir vérifié la
bonne température de l’eau. Ma Princesse laissa tremper ses magnifiques pieds
pendant environ vingt minutes, tandis que je restais à genoux, admirant la
prodigieuse beauté de ces deux femmes qui discutaient comme si de rien n’était…

DSC01931

Vanessa poursuivit son
explication :
 « Comme tu as les ongles vernis, il
faut d’abord  te les démaquiller. Bien entendu, il va commencer par te les
essuyer avec la serviette, puis il va y passer du dissolvant avec un
coton-tige. Le nettoyage doit être parfait, il ne doit plus rester aucune trace
de vernis. »
J’avais installé devant ma Princesse un petit tabouret recouvert d’une
serviette épaisse et douce sur laquelle elle pouvait tranquillement poser ses
jolis pieds. Moi, j’étais à genoux et même complètement prosterné devant ma
Domina. J’avais ma bouche à quelques centimètres de ses admirables pieds. Je
pouvais respirer la merveilleuse odeur des huiles essentielles dont je les
avais massés. J’avais une folle envie de les honorer de ma langue servile, mais
là je ne le pouvais pas, car je devais me concentrer sur mon travail d’homme de
chambre...



Vanessa m’indiqua
alors :
 « Maintenant, tu vas lui couper les ongles.
Tu prends la pince et tu les raccourcis en veillant à les tailler bien carrés.
C’est plus esthétique et c’est aussi plus confortable. Ensuite, tu prendras la
lime et tu la passeras sur les ongles, afin de leur donner une forme
harmonieuse. Pour ne pas les fragiliser, veille à bien effectuer un mouvement
ample et régulier !... »
. J’avoue que je me sentais un peu
angoissé car les consignes de Vanessa étaient précises. J’avais peur de mal
faire, je tremblais même, tellement je craignais ma Domina…



 



Les paroles de Vanessa sont gravées dans ma tête. Je me souviens de ce
jour, de ce cours d’esthétique, comme si c’était hier. Pourtant, il y a déjà
plusieurs années de cela. Je vivais à ce moment-là une époque bénie aux pieds
de la femme que j’aimais et aime encore. Nous étions loin de nous douter du
cauchemar qui nous guettait et surviendrait quelques années plus tard…



Vanessa poursuivit son
cours :
 « Maintenant, tu vas lui polir soigneusement les ongles en effectuant des
mouvements transversaux de va-et-vient sur la surface. Puis tu appliqueras
 soigneusement sur les cuticules de l’huile
fortifiante, toujours avec un coton-tige. Enfin, tu termineras en appliquant
sur chaque ongle cette fine couche de base qui le protégera
»


80 - Copie

Je me suis appliqué,
j’étais extrêmement concentré. J’ai respecté et effectué
chaque étape avec beaucoup de minutie. Vanessa me surveillait
d’ailleurs de près… Elle n’hésitait pas à répéter ses consignes si j’avais le
malheur de ne pas les respecter… Finalement, ma Princesse et Vanessa semblèrent
satisfaites de mon travail, et moi, je me sentis rassuré.



Vanessa dit à son
amie :
 « Tes ongles sont prêts à être vernis, mais avant il va prendre soin de tes
pieds ».
 Puis elle s’adressa à moi : « Maintenant, tu vas appliquer le gommage
sur les deux pieds de ta Maîtresse
. » Quand je me fus de nouveau exécuté, Vanessa m’ordonna : « Il faut que tu le laisses agir environ dix minutes. Pendant ce temps-là,
débarrasse le bain de pieds et prépare le matériel pour la pose du
vernis. »



À son arrivée, Vanessa était très timide. Plutôt gênée de me voir à genoux,
elle n’osait pas vraiment me commander. Mais ces complexes avaient rapidement
disparu et elle s’était mise à me donner des ordres avec une certaine autorité.Comme
quoi, lorsqu’un homme est à genoux devant une Femme, celle-ci prend rapidement
le pouvoir et en tire un plaisir certain …



Au bout de dix minutes,
Vanessa me dit :
 « Maintenant, tu peux retirer le gommage à l’aide de deux éponges imbibées
d’eau tiède. Sois bien vigilant, veille à bien tout retirer. Enfin, tu
appliques une crème protectrice et traitante sur l’ensemble des deux pieds.
Fais bien attention à ne pas oublier la voûte plantaire ni la cheville
. »



En m’observant, Vanessa
fit remarquer à son amie :
 « On voit qu’il est habitué à te masser les pieds, on dirait vraiment qu’il a
fait ça toute sa vie !!! Ce qui me touche le plus, c’est que l’on voit sur
son visage son plaisir d’être à tes pieds
… »



Après un massage
d’environ vingt minutes, pendant lequel Vanessa et ma Princesse avaient discuté
de tout et de rien sans même se préoccuper de moi, Vanessa annonça :
 « Maintenant, nous allons passer à la partie
la plus délicate, la pose du vernis… 
» Elle me recommanda : « Tu prends le flacon de vernis dans le
creux de ta main, en même temps qu’un bâtonnet, pour nettoyer au fur et à
mesure les débordements. Ensuite, tu prends chaque doigt de pied entre pouce et
index et tu appliques bien le vernis sur toute la surface de l’ongle
. »



Je me suis vraiment
appliqué pour satisfaire à la fois ma Princesse et Vanessa. Quand la pose du
vernis fut terminée, Vanessa donna son appréciation :« 
Franchement, je n’aurais jamais cru qu’un mec serait capable de passer
aussi bien du vernis ! À part quelques débordements qu’il a bien nettoyés,
la pose de ton vernis est vraiment réussie. Ton esclave t’a fait de très jolis
pieds !!! »
.



Oh oui, je le confirme : les pieds de ma Princesse étaient vraiment
magnifiques, et je les désirais follement…

Copie (2) de DSCF6305

feet léchait bien, il aimait ça!


Vanessa reprit : « Pour les mains, c’est à peu près le même protocole. – Oh, pour les mains, ça va, je sais le faire moi-même, répondit ma Princesse. Ce que j’aime, c’est le voir à mes
pieds !!!… ‑ Bon, alors ça va. 
Voilà que tu as maintenant des pieds
magnifiques. J’ai appris à ton esclave comment rendre tes pieds parfaitement
beaux ! J’espère qu’il a tout retenu !!! ‑ Oh, il y a
 plutôt intérêt, crois-moi !!! ‑ De toute manière, je lui
laisse le bouquin, il pourra réviser. En tout cas, j’hallucine : jamais je
n’aurais imaginé qu’un homme puisse montrer autant de patience et être aussi
soumis. Je n’en reviens pas ! »
.



Ma Princesse conclut
alors :
 « Je te le répète : il
faut savoir les dresser, après tu en fais ce
 que tu veux !!! ». Puis elle me donna un
petit coup de pied sur la joue et m’ordonna :
 « Sers un verre de Coca à Vanessa. Tu pourrais quand même la remercier
du temps qu’elle t’a consacré, espèce de malpoli !!! »
. J’étais à genoux
devant Vanessa et il était clair qu’une fois de plus ma Princesse avait
vraiment décidé de m’humilier au plus haut point. Vanessa balançait ses magnifiques
pieds juste devant mon nez. Je devais me concentrer pour être capable de lui
parler. J’étais vraiment très très perturbé.



J’ai alors dit, sans
oser l’appeler Vanessa :
 « Madame, je vous remercie du temps
que vous avez consacré à mon apprentissage. Je vous en suis sincèrement et
humblement reconnaissant. »



Puis je leur ai apporté
leurs boissons et, sans rien avoir à boire moi-même, j’ai repris immédiatement
ma place, à genoux devant ces deux merveilleuses femmes. Ce jour-là, une
nouvelle fois, j’étais dans un autre monde. Complètement baigné par les
endorphines, j’étais si bien !!! Je l’avoue : plus j’étais humilié,
plus j’étais heureux.



Puis Vanessa a conseillé
à ma Domina :
 « Maintenant, il faut lui apprendre à
te faire un vrai modelage des pieds. Tu verras, quand c’est bien fait, c’est
super agréable. Jusqu’à maintenant, il te massait les pieds sans connaître la
technique. Tu verras la différence… En revanche, avant de poursuivre, j’ai une
petite faveur à te demander. »
 Ma Princesse lui
répondit :
 « Je t’écoute. Avec le temps que tu
nous as sacrifié, je ne peux rien te refuser !… »
 Vanessa poursuivit donc : « J’aimerais faire
venir ma sœur. Je t’assure, il faut absolument qu’elle voie ton esclave de
pieds comme tu aimes l’appeler. C’est tellement hallucinant. Oh, dis oui, s’il
te plaît !… »



Ma Domina
répondit :
 « Je ne peux pas te le refuser. Non
seulement tu m’as rendu un super service, mais en plus, ça me fait toujours
plaisir de voir ta sœur car je l’adore ! Appelle-la donc. Car bien
entendu, elle peut venir ! Je trouve même que c’est une super
idée !!! »
 Vanessa qui semblait euphorique, devint
enthousiaste :
 « Cool, elle va voir un esclave de
pieds à l’œuvre !!! Sérieux ! Je n’en reviens pas !!! Je n’ai
jamais connu un mec comme celui-là !!... Tu sais, si je veux que ma sœur
voie ton esclave, c’est parce que je n’aime pas du tout le garçon avec qui elle
est. Il est hyper macho. Si tu voyais comme il la traite !!! Je me dis que
si elle voit un homme aussi soumis, aussi attentionné, elle se rendra peut-être
compte qu’elle mérite beaucoup mieux. Qu’est-ce que tu en penses ? »



Ma Princesse
répondit :
 « Oui, je suis d’accord. Tu sais,
avant j’étais comme ta sœur. J’ai connu des mecs qui m’ont traitée de cette
manière. Puis je l’ai rencontré lui et j’ai compris qu’un homme, on pouvait le
dresser. Mais paradoxalement, il a beau m’être complètement soumis, je ne
pourrais pas coucher avec lui, il n’est pas mon genre physiquement. »
 Vanessa fit remarquer : « S’il accepte
cette situation, c’est qu’il n’est pas trop malheureux !!! »
. Ma Princesse
ajouta :
 « Le bonheur d’être à mes pieds lui
suffit entièrement ! »
. À ce moment-là, je n’ai pas pu me
retenir. Comme j’étais toujours à genoux devant ma Domina, j’ai déposé un petit
bisou sur chacun de ses divins pieds.



Vanessa s’écria alors : « Vous êtes
vraiment mignons tous les deux !!! »



La relation de complicité qu’il peut y avoir entre un esclave et sa
Maîtresse est pour moi la plus belle des relations. L’harmonie est alors
parfaite…



 



C’est vrai que j’étais
bien, que j’étais heureux, mais j’avais parfois l’impression d’être considéré
comme une bête de foire. Ce n’est pas toujours agréable. Malheureusement, c’est
l’image que la société renvoie de nous autres, les soumis fétichistes…



Vanessa téléphona à sa
sœur en disant qu’elle devait absolument venir chez son amie car le spectacle
valait vraiment le coup. Voici les paroles qu’elle prononça :« Nous
avons un vrai esclave à nos pieds. Il faut absolument que tu le
voies !!! »



Même si l’idée d’une
troisième personne m’excitait car l’humiliation allait encore être intensifiée,
je me sentais aussi terriblement gêné. J’étais toujours pris entre deux
sentiments : la gêne que je ressentais dans cette situation qui
malheureusement était encore trop inhabituelle dans notre société, d’un côté,
et de l’autre, le bonheur que me donnait cette humiliation intense. Je fus très
rapidement fixé sur mon sort puisque Ingrid, la sœur de Vanessa, accepta
immédiatement de venir…



Je m’attendais à une
humiliation intense, je ne fus pas déçu !!!…



J’ai parfaitement bien retenu ce cours sur la beauté des pieds. De plus, je
possède toujours le bouquin. Il ne manque que le plus important : une
femme qui me ferait l’honneur de me laisser prendre soin de ses jolis pieds…



 



J’aimerais] tellement avoir l’honneur
et le bonheur de prendre soin des Divins Pieds de Maîtresse MAEVA !!!…



Si je crois très fort en cet idéal, peut-être se réalisera-t-il un jour …



 



paillasson ch'ti, esclave total, sincère et dévoué de Maîtresse MAEVA



PS : Dans mon
précédent texte, j’évoquais mon désir et mon besoin de reprendre ma vie en
main. Depuis plusieurs mois, j’ai essayé mais c’est encore plus dur que ce que
je pensais. J’étais tellement en manque d’amour, de tendresse, de soumission…
J’éprouve un manque inimaginable depuis que la vie m’a séparé de ma Princesse.



 A la première
personne qui s’est intéressée à moi, j’avoue que je me suis emballé. Je me suis
mis à imaginer un avenir radieux. Mais j’ai oublié une chose
fondamentale : la personne avec qui je discutais n’était pas ma Princesse…
Je me suis jeté les deux pieds en avant dans cette discussion et je suis une
nouvelle fois tombé de très haut. J’ai fait de grosses erreurs qui ont pour
seuls points positifs de me faire évoluer dans ma vie après ma Princesse.



Aujourd’hui, je sais que
le manque terrible que j’éprouve, chaques jours, ne doit absolument plus me
pousser à faire n’importe quoi comme ces dernières semaines.



Je ne dois pas essayer
de retrouver une vie similaire à celle que je vivais heureux auprès de ma
Princesse car malheureusement cela est impossible, je ne subirais que des
déceptions.



Je dois chercher à
construire, une nouvelle relation, une nouvelle vie qui sera forcément
différente de ma vie précédente…



 



Je ne manquerai pas de
vous tenir informé de l’évolution de ma nouvelle vie…







Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : Soumis & Soumises
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Samedi 25 décembre 6 25 /12 /Déc 10:08



FÉTICHISME ET SOUMISSION, XXV



 



Je reprends ma
monographie où je l’avais arrêtée, c’est-à-dire sur mon immense appréhension
quant au rendez-vous de ma Domina avec Clément.



 



Je n’avais quasiment pas dormi de la nuit. L’image de Clément et de ma
Princesse qui s’embrassaient n’arrêtait pas de passer en boucle dans ma tête.
Je ne pouvais chasser cette vision d’horreur de mon esprit. J’étais vraiment
très triste, complètement abattu !!!



Je me suis levé tôt. Dès
8 heures, j’étais prêt, alors que ma Princesse ne m’attendait qu’une heure
plus tard. Au vu de ses exigences à mon égard, il valait mieux pour moi que je
ne sois pas en retard ! Clément m’avait promis de passer dans la matinée mais
je ne savais malheureusement pas à quel moment. La chance me sourit, pour une
fois. En effet, à 8 heures et demie, il me téléphona pour me demander s’il
pouvait venir. Je lui dis que je l’attendais. Quand il est arrivé, nous nous
sommes salués comme d’habitude en nous serrant la main et nous avons parlé sur
le pas de ma porte. Je voyais bien qu’il n’était pas du tout à l’aise. Il m’a
dit qu’il avait bien reçu mon texto mais qu’il ne comprenait pas bien… Il m’a
confirmé qu’il avait rendez-vous avec ma Princesse. Je lui ai alors demandé
s’il avait de réels sentiments pour elle. Je lui ai expliqué que j’étais prêt à
m’effacer, mais que je voulais être sûr que ce ne serait pas pour rien. Il m’a
alors fait comprendre qu’il n’était pas amoureux et m’a assuré qu’il parlerait
à ma Domina pour mettre fin à leur flirt. J’avoue que je me sentais très
bizarre. J’étais à la fois rassuré de savoir que Clément allait mettre un terme
à cette relation naissante mais d’un autre côté, je me sentais très mal à aise
vis-à-vis de ma Princesse. Je savais que si elle apprenait que j’avais discuté
avec Clément juste avant leur rencontre, elle entrerait dans une colère noire…



À cause de cette
discussion avec Clément, je suis arrivé avec quinze minutes de retard chez ma
Domina. Je savais qu’elle détestait cela car malheureusement j’avais la
mauvaise habitude de n’être pas souvent à l’heure. Ma Princesse qui est une
femme très droite, stricte, était toujours très ponctuelle, aussi
détestait-elle les gens qui ne l’étaient pas, et c’est pourquoi ce côté de ma
personnalité avait vraiment tendance à l’irriter fortement. Quand j’ai sonné et
que ma Princesse est venue m’ouvrir, elle était encore en pyjama. J’ai pensé
qu’elle venait de se lever. Je lui ai dit :
 « Bonjour, ma Princesse » avec un grand sourire
comme à chaque fois. En effet, lorsque je voyais ma Domina, j’avais toujours un
large sourire et les yeux qui pétillaient. J’étais si heureux de la
retrouver !!! Malheureusement, l’attitude de ma Domina était complètement
différente. Bien entendu, elle n’éprouvait pas les mêmes sentiments que moi
mais ce n’était pas l’unique raison qui expliquait sa froideur. Elle tenait
cela de ses parents qui sont froids
 tous les deux.



Elle alla directement se
rasseoir dans sur le canapé. Je me suis excusé pour mon retard. Ma Princesse
m’a simplement répondu :
 « De toute manière, je commence à
être habituée avec toi !!! »
 Bien entendu, elle était
loin de s’imaginer les raisons de mon retard. Si elle les avait sues, j’étais
un esclave fini !!!…



Ma Domina me dit :
« 
Va me préparer mon petit déjeuner. Tu me
l’apporteras sur un plateau. Pendant que je déjeunerai, tu me feras couler un
bon bain de pieds avec du produit moussant. Et après, tu masseras mes petits
petons, avant de retirer le vernis de mes ongles pour y mettre un rouge bien
vif. Clément adore cette couleur, ça l’excite… Alors tu as intérêt à
t’appliquer en pensant à lui !!! Comme tu es un vrai empoté, je vais
encore te redire ce que je veux pour déjeuner : tu me prépares du lait
avec du chocolat, des tartines grillées et de la confiture. Tu m’apporteras le
tout sur un plateau
 que tu me présenteras à genoux. EXÉCUTION ».



C’est vrai, je
l’avoue : chez moi, c’est toujours ma mère qui s’est occupée de préparer à
manger. Quand j’ai rencontré ma Princesse, j’étais incapable de faire quoi que
ce soit dans une cuisine, alors qu’au contraire ma Domina avait dû apprendre à
se débrouiller seule depuis toute jeune. Ma Maîtresse était capable de se
préparer un repas, seule, depuis bien longtemps. Ainsi mon incompétence en
cuisine comme pour le ménage lui tapait sur les nerfs. Je me suis donc exécuté.
J’ai apporté le plateau à ma Princesse et me suis agenouillé à ses pieds pour
le lui donner. J’ai préparé son bain de pieds avec beaucoup de mousse,
conformément à ses ordres, et bien sûr j’ai veillé à ce que l’eau soit à bonne
température. J’ai pris une serviette, j’ai apporté la bassine devant elle, puis
j’ai repris ma place naturelle et normale aux divins pieds de ma Domina.



Je regardais ses
magnifiques pieds qui trempaient dans l’eau chaude et savonneuse. J’étais
tellement bien et heureux d’être ainsi agenouillé devant elle !!! À chaque
fois que je me trouvais dans cette posture, cela me plaçait dans un état
euphorique incroyable. Seuls les vrais fétichistes des pieds féminins peuvent
me comprendre et ressentir le grand bonheur que nous donnent de telles
situations.



Pour moi, tous ces
moments passés aux sublimes pieds de ma Princesse représentent des moments
uniques, le Nirvana…



Il y avait tellement de
mousse que j’avais du mal à distinguer les petons de ma Princesse… Après avoir
tranquillement déjeuné, ma Domina m’ordonna de reprendre son plateau. Alors que
j’étais à la cuisine en train de tout laver et ranger, elle m’interpella :
 « Alors qu’est-ce que tu fous en cuisine ? Tu feras cela plus
tard, je te veux à mes pieds ! Immédiatement !!! »
. Comme un bon petit toutou bien dressé, je me suis précipité auprès d’elle.
Elle a alors sorti son pied droit de la bassine et me l’a plaqué sur le visage.
Il était encore couvert d’une mousse épaisse. Je n’ai pas résisté à mon envie,
j’ai saisi doucement sa cheville et j’ai commencé à lécher encore et encore son
merveilleux pied. J’avalais la mousse, je léchais avec amour et dévotion, l’eau
glissait lentement sur les orteils. Cette vision était tellement magique que je
n’avais pas pu résister au désir d’honorer ainsi ma Maîtresse, mais comme je
n’avais pas reçu son autorisation, j’ai vraiment cru que j’allais me reprendre
un violent coup de pied dans le visage !!! Mais à mon grand étonnement, ma
Domina se laissa faire. Ainsi, j’ai pu baiser sa peau si douce et la lécher
encore et encore, partout… J’avais le goût vanillé de la mousse dans la bouche,
c’était vraiment super agréable. À la fin, j’avais léché ce pied si mignon avec
une telle passion que je n’ai pas eu besoin de l’essuyer avec la
serviette ! Ma Domina me présenta alors son deuxième pied et me dit :
 « Tu te rends compte du cadeau que je t’offre ? J’espère que tu
me seras reconnaissant pour la générosité dont je fais preuve avec
toi !... »
. J’étais follement heureux mais en même temps je me sentais mal à l’aise
parce que j’avais rencontré Clément en cachette. Après m’avoir offert ce
fabuleux moment, alors que j’étais toujours à genoux, ma Domina me dit :
 « Tu te rappelles, il y a quelques semaines, tu as suivi une formation
un peu spéciale pour apprendre les soins à donner aux pieds des Dames… Eh bien,
maintenant tu vas mettre en pratique ce que tu as appris jour-là. Et tu as
intérêt à t’appliquer ! Je veux que mes pieds soient parfaits pour
Clément. »



Avant de vous raconter
la suite, je vais vous narrer cet extraordinaire moment que ma Maîtresse
m’avait permis de vivre quelques semaines auparavant…



Ma Princesse était
vraiment le rayon de soleil de ma vie. Chaque jour, je passais des moments
merveilleux à ses pieds. Elle me surprenait à chaque fois et poussait toujours
au maximum mon fétichisme, comme en ce fameux jour du mois de mai. Cela se
passait quelques semaines avant que Clément et ma Princesse ne se rapprochent
l’un de l’autre…



Ce matin-là, ma
Princesse m’appela pour m’ordonner de venir chez elle pour 10 heures.
C’était un samedi, nous n’avions pas cours et ses parents étaient partis pour
la journée. Je m’étais imaginé une journée classique où nous aurions passé
notre temps à faire les magasins puis, comme toujours, nous aurions continué
par un restaurant et terminé par un bon massage de ses pieds. Mais ce jour-là,
ma Princesse m’avait réservé un programme différent. D’ailleurs, elle m’avertit
au téléphone, en me disant :
 « Tu as intérêt à
être à l’heure, j’ai une surprise pour toi… »
. Lorsque j’ai entendu
cette phrase, je me suis senti à la fois excité mais aussi très stressé, car la
dernière fois que ma Domina avait prononcé de telles paroles, j’avais dû
assumer ma honte et avouer mon secret devant sa tante Marie. J’étais donc très
nerveux car je me demandais vraiment ce que ma Princesse me réservait…



Je ne tardai pas à être fixé !!!…



Pour une fois, je suis
arrivé à l’heure chez ma Maîtresse. Comme d’habitude, elle cria pour m’avertir
que je pouvais entrer. Assise sur le canapé, habillée d’un petit débardeur noir
décolleté et d’une très mignonne jupe en jean qui s’arrêtait à ses genoux ronds,
elle était très jolie, comme toujours. Comme toujours aussi, elle était
parfaitement maquillée et un superbe fard à paupières mettait en valeur ses
yeux magnifiques. Ses cheveux bien coiffés étaient brillants et superbement
bouclés. Sincèrement, je trouvais ma Princesse magnifique, avec ses pieds nus
dans ses sandales d’intérieur ! J’étais très étonné de la voir déjà si
apprêtée, car je pensais la trouver encore en pyjama.



Je la saluai gentiment
comme d’habitude. Comme d’ordinaire, elle me répondit« Salut ! »
 puis de son index autoritaire elle me signifia que je devais rejoindre ma
place naturelle, c’est-à-dire à genoux à ses pieds. Je me suis bien entendu
exécuté avec beaucoup de plaisir…



 



Rappelez-vous qu’au tout début de ma relation avec ma Princesse, elle se
plaignait souvent d’avoir mal ou froid aux pieds. J’avais bien entendu profité
de cette merveilleuse occasion pour lui proposer de m’en occuper, car je les
trouvais très jolis. Au début, ma Princesse était gênée et il me fallut la
convaincre de me laisser la dorloter ainsi.



Au début, ces moments bénis ne duraient que quelques minutes puis petit à
petit, je suis resté de plus en plus longtemps à ses pieds. D’abord, ma
Princesse se montrait inquiète pour moi, elle avait peur que ma position soit inconfortable,
elle était gênée que je ne puisse pas suivre la télé. Comme vous le savez, j’ai
fait découvrir à ma Princesse un monde qu’elle ne connaissait absolument pas.
Un monde où la Femme domine sans partage les hommes qui n’existent que pour la
 servir. Ce qui est sûr, c’est qu’en
quelques mois seulement, ma Princesse avait pris complètement possession de ce
monde. Elle était devenue une impitoyable femme dominatrice qui m’emmenait
toujours plus loin dans la soumission. Ce jour-là, une fois de plus, ma
Princesse m’obligea à me dépasser…



Alors que j’étais à
genoux à ses genoux, elle m’informa qu’elle attendait la sœur de sa meilleure
amie qui est esthéticienne. Elle me dit :
 « Tu es très doué pour les massages de pieds. Mais pour la pose du
vernis, ce n’est pas encore idéal. Je l’ai fait venir pour qu’elle t’apprenne à
faire des soins de pédicure complets, ainsi que de vrais massages comme en
institut ! »
. Je fus très surpris en entendant cela, car je me m’y
attendais absolument pas. J’étais gêné de devoir encore me soumettre devant une
autre personne. Je fis part de mes craintes à ma Domina qui me répondit :
 « Ton plus grand bonheur dans la vie, comme tu me l’as souvent dit,
n’est-il pas de prendre soin de mes jolis pieds et de leur apporter bien-être
total ?… »
 Bien entendu, j’ai répondu que si !
Elle a alors ajouté :
 « Donc, tu veux apporter à mes
délicieux petits pieds les meilleurs soins possibles ?… »
 J’ai encore répondu : « Oui, ma Princesse ! ». Et elle,
aussitôt :
 « Donc, tu dois apprendre auprès d’une
professionnelle ! C’est mon amie Vanessa qui va venir. C’est un formidable
cadeau que je t’offre là et j’espère pour toi que tu sauras t’en montrer digne
. » J’ai
questionné :
 « Mais elle est au courant pour mon
statut d’esclave ? ‑ Non, mais elle va le
découvrir !… »
 Et c’est à ce moment-là que la sonnette a
retenti…



Alors que j’allais me
relever, ma Princesse appuya sur mes épaules et me dit « Toi, tu restes
à genoux à ta place !!!
 ». Je me sentais terriblement stressé et
une nouvelle fois tout autant excité !!!



Dans l’entrée, ma
Princesse salua la jeune esthéticienne. J’entendis la petite voix très douce,
très fluette de celle-ci puis par le bruit de ses talons tandis qu’elle approchait.
Je me suis retourné. La première chose que j’ai vue, ce furent ses superbes
pieds merveilleusement vernis d’un superbe bleu ciel. Ses pieds étaient très
bronzés, très fins, superbement mis en valeur par de belles sandales à talon
aux boucles ornées de brillants. Après avoir être resté un long moment
hypnotisé par ses admirables pieds, j’ai levé la tête pour saluer l’arrivante.
Elle portait une jupe fleurie qui laissait voir ses très belles jambes
adorablement hâlées. Elle était très grande, très jolie, et j’avais
l’impression d’être minuscule, à genoux devant elle. J’ai vu sur son visage son
étonnement de me voir dans une telle posture. En me désignant du doigt, ma
Princesse lui dit avec un beau sourire :
 « Je te présente mon esclave de pieds. ». Vanessa s’étonna : « Pardon ??? ». Ma Domina lui
expliqua :
 « Oui, je l’appelle ainsi car il
dorlote mes petits pieds ! Il adore ça et c’est d’ailleurs pour cette
raison que je t’ai demandé de venir. J’aimerais que tu lui apprennes à me faire
des soins de pédicure complets. Si c’est possible, je veux la totale, s’il te
plaît »
. Vanessa, qui semblait incrédule, reprit : « Je t’avoue que je n’ai jamais vu un mec faire ça !!! ‑ Oui, lui répondit ma Maîtresse, je m’en doute, mais tu
verras celui-là est différent des autres ! »
.



Vanessa est venue
s’asseoir sur le canapé près de ma Princesse qui lui demanda si elle souhaitait
un café. Vanessa répondit que oui. Ma Domina s’adressa alors immédiatement à
moi en ces termes :
 « Tu as entendu ? Sers-nous un
café, dépêche-toi !!! »
.



Je me suis levé pour
aller préparer le café. Je voyais bien que Vanessa était très troublée par tout
cela. Elle dit :
 « Mais tu lui parles toujours comme
ça ??? Et lui il obéit toujours comme un petit toutou ???…
  Oui, répondit ma Domina,comme je te l’ai dit, c’est mon petit
esclave !!! »
.



Quand j’ai apporté le
café, ma Princesse me reprit méchamment, en cherchant à m’humilier encore
davantage : « Tu ne demandes pas à mon amie Vanessa si elle
souhaite du sucre ou du lait ?… »
. Vanessa dit que oui, qu’elle
voulait du sucre et du lait, et je me suis empressé de les lui apporter.
J’étais tellement stressé par la situation que j’en avais oublié
l’essentiel : la courtoisie et la serviabilité envers les dames !!!
Vanessa s’est exclamée :
 « Eh bien, dis donc, tu as une sacrée
autorité sur lui !!! »
.



Ma Maîtresse lui
répondit en riant :
 « Tu sais, un homme, il suffit de
savoir le dresser !!! Après il rampe à tes pieds !… 
». Le dialogue suivant
s’instaura alors entre les deux jeunes femmes. Vanessa :
 J’aimerais bien que ma sœur suive tes conseils !…  Princesse : Pourquoi dis-tu cela ? – Vanessa : Tu as déjà rencontré son mec ? C’est un gros macho et je peux te dire
qu’il est loin de ramper à ses pieds ! Au contraire, il la traite comme
une moins que rien !... –
 Princesse : Je vais t’avouer que, moi aussi, j’ai connu des mecs comme ça, car je n’ai
malheureusement pas toujours été la femme autoritaire que je suis aujourd’hui.
Tu sais, j’adore vraiment ta sœur, c’est ma meilleure amie. On ne se connaît
que depuis le début de l’année mais notre amitié est vraiment sincère. Elle
t’en a sûrement parlé, nous sommes dans une classe de merde. Les mecs
n’arrêtent pas de foutre le bordel tous les jours. Franchement, c’est
impossible d’apprendre dans ces conditions-là. Ta sœur est vraiment douée, je
pense qu’elle aura son Bac sans problème malgré la mauvaise ambiance
quotidienne. Mais moi, je n’arrive pas à bien étudier. Tu sais, heureusement
que ta sœur est là, sinon je ne tiendrais pas le coup dans cette classe. J’ai
eu déjà plein de problèmes depuis le début de l’année. Les gars ont même fait
courir une rumeur sur moi. Ça m’a fait beaucoup de mal, j’en ai énormément
pleuré, j’ai même dû en parler au médecin. Ta sœur m’a vraiment aidée à
traverser cette épreuve. D’ailleurs, c’est dans cette période que j’ai
rencontré mon esclave de pieds. Je pense qu’inconsciemment je me suis vengée
sur lui… Je connais le mec de ta sœur, je l’ai vu à quelques reprises, c’est
vrai que je ne l’apprécie pas trop, je n’aime pas sa mentalité mais je ne veux
rien dire, car je ne veux pas perdre l’amitié de ta sœur »
.



Vanessa avait
attentivement écouté. Mais tout à coup ma Princesse déclara :« Maintenant,
passons aux choses sérieuses ! Je veux qu’il dorlote mes petits
pieds ! ‑ Il faut commencer par faire tremper tes pieds,
 fit remarquer Vanessa. Normalement, on le fait dans
une solution antiseptique, mais un bon bain aux huiles essentielles, c’est
aussi bien et tellement plus agréable ! »
. J’étais à genoux
devant les deux femmes depuis un long moment déjà et j’étais complètement
hypnotisé par leurs pieds si jolis… Ma Domina me sortit brutalement de ma
torpeur en me frappant violemment le visage de son pied droit. Elle me
lança :
 « Tu dors, ou quoi ? Tu as
entendu ce qu’a dit Vanessa ? Va vite me préparer un bon bain de
pieds ! »
. Je me suis exécuté et j’ai apporté la bassine après avoir vérifié la
bonne température de l’eau. Ma Princesse laissa tremper ses magnifiques pieds
pendant environ vingt minutes, tandis que je restais à genoux, admirant la
prodigieuse beauté de ces deux femmes qui discutaient comme si de rien n’était…



Vanessa poursuivit son
explication :
 « Comme tu as les ongles vernis, il
faut d’abord  te les démaquiller. Bien entendu, il va commencer par te les
essuyer avec la serviette, puis il va y passer du dissolvant avec un
coton-tige. Le nettoyage doit être parfait, il ne doit plus rester aucune trace
de vernis. »
J’avais installé devant ma Princesse un petit tabouret recouvert d’une
serviette épaisse et douce sur laquelle elle pouvait tranquillement poser ses
jolis pieds. Moi, j’étais à genoux et même complètement prosterné devant ma
Domina. J’avais ma bouche à quelques centimètres de ses admirables pieds. Je
pouvais respirer la merveilleuse odeur des huiles essentielles dont je les
avais massés. J’avais une folle envie de les honorer de ma langue servile, mais
là je ne le pouvais pas, car je devais me concentrer sur mon travail d’homme de
chambre...



Vanessa m’indiqua
alors :
 « Maintenant, tu vas lui couper les
ongles. Tu prends la pince et tu les raccourcis en veillant à les tailler bien
carrés. C’est plus esthétique et c’est aussi plus confortable. Ensuite, tu
prendras la lime et tu la passeras sur les ongles, afin de leur donner une
forme harmonieuse. Pour ne pas les fragiliser, veille à bien effectuer un
mouvement ample et régulier !... »
. J’avoue que je me sentais un peu
angoissé car les consignes de Vanessa étaient précises. J’avais peur de mal
faire, je tremblais même, tellement je craignais ma Domina…



 



Les paroles de Vanessa sont gravées dans ma tête. Je me souviens de ce
jour, de ce cours d’esthétique, comme si c’était hier. Pourtant, il y a déjà
plusieurs années de cela. Je vivais à ce moment-là une époque bénie aux pieds
de la femme que j’aimais et aime encore. Nous étions loin de nous douter du
cauchemar qui nous guettait et surviendrait quelques années plus tard…



Vanessa poursuivit son
cours :
 « Maintenant, tu vas lui polir soigneusement les ongles en effectuant des
mouvements transversaux de va-et-vient sur la surface. Puis tu appliqueras
 soigneusement sur les cuticules de l’huile
fortifiante, toujours avec un coton-tige. Enfin, tu termineras en appliquant
sur chaque ongle cette fine couche de base qui le protégera
»



Je me suis appliqué,
j’étais extrêmement concentré. J’ai respecté et effectué
chaque étape avec beaucoup de minutie. Vanessa me surveillait
d’ailleurs de près… Elle n’hésitait pas à répéter ses consignes si j’avais le
malheur de ne pas les respecter… Finalement, ma Princesse et Vanessa semblèrent
satisfaites de mon travail, et moi, je me sentis rassuré.



Vanessa dit à son
amie :
 « Tes ongles sont prêts à être vernis, mais avant il va prendre soin de tes
pieds ».
 Puis elle s’adressa à moi : « Maintenant, tu vas appliquer le gommage
sur les deux pieds de ta Maîtresse
. » Quand je me fus de nouveau exécuté, Vanessa m’ordonna : « Il faut que tu le laisses agir environ dix minutes. Pendant ce temps-là,
débarrasse le bain de pieds et prépare le matériel pour la pose du
vernis. »



À son arrivée, Vanessa était très timide. Plutôt gênée de me voir à genoux,
elle n’osait pas vraiment me commander. Mais ces complexes avaient rapidement
disparu et elle s’était mise à me donner des ordres avec une certaine autorité.Comme
quoi, lorsqu’un homme est à genoux devant une Femme, celle-ci prend rapidement
le pouvoir et en tire un plaisir certain …



Au bout de dix minutes,
Vanessa me dit :
 « Maintenant, tu peux retirer le gommage à l’aide de deux éponges imbibées
d’eau tiède. Sois bien vigilant, veille à bien tout retirer. Enfin, tu
appliques une crème protectrice et traitante sur l’ensemble des deux pieds.
Fais bien attention à ne pas oublier la voûte plantaire ni la cheville
. »



En m’observant, Vanessa
fit remarquer à son amie :
 « On voit qu’il est habitué à te masser les pieds, on dirait vraiment qu’il a
fait ça toute sa vie !!! Ce qui me touche le plus, c’est que l’on voit sur
son visage son plaisir d’être à tes pieds
… »



Après un massage
d’environ vingt minutes, pendant lequel Vanessa et ma Princesse avaient discuté
de tout et de rien sans même se préoccuper de moi, Vanessa annonça :
 « Maintenant, nous allons passer à la partie
la plus délicate, la pose du vernis… 
» Elle me recommanda : « Tu prends le flacon de vernis dans le
creux de ta main, en même temps qu’un bâtonnet, pour nettoyer au fur et à
mesure les débordements. Ensuite, tu prends chaque doigt de pied entre pouce et
index et tu appliques bien le vernis sur toute la surface de l’ongle
. »



Je me suis vraiment
appliqué pour satisfaire à la fois ma Princesse et Vanessa. Quand la pose du
vernis fut terminée, Vanessa donna son appréciation :« 
Franchement, je n’aurais jamais cru qu’un mec serait capable de passer
aussi bien du vernis ! À part quelques débordements qu’il a bien nettoyés,
la pose de ton vernis est vraiment réussie. Ton esclave t’a fait de très jolis
pieds !!! »
.



Oh oui, je le confirme : les pieds de ma Princesse étaient vraiment
magnifiques, et je les désirais follement…



Vanessa reprit : « Pour les mains, c’est à peu près le même protocole. – Oh, pour les mains, ça va, je sais le faire moi-même, répondit ma Princesse. Ce que j’aime, c’est le voir à mes
pieds !!!… ‑ Bon, alors ça va. 
Voilà que tu as maintenant des pieds
magnifiques. J’ai appris à ton esclave comment rendre tes pieds parfaitement
beaux ! J’espère qu’il a tout retenu !!! ‑ Oh, il y a
 plutôt intérêt, crois-moi !!! ‑ De toute manière, je lui
laisse le bouquin, il pourra réviser. En tout cas, j’hallucine : jamais je
n’aurais imaginé qu’un homme puisse montrer autant de patience et être aussi
soumis. Je n’en reviens pas ! »
.



Ma Princesse conclut
alors :
 « Je te le répète : il
faut savoir les dresser, après tu en fais ce
 que tu veux !!! ». Puis elle me donna un
petit coup de pied sur la joue et m’ordonna :
 « Sers un verre de Coca à Vanessa. Tu pourrais quand même la remercier
du temps qu’elle t’a consacré, espèce de malpoli !!! »
. J’étais à genoux
devant Vanessa et il était clair qu’une fois de plus ma Princesse avait
vraiment décidé de m’humilier au plus haut point. Vanessa balançait ses
magnifiques pieds juste devant mon nez. Je devais me concentrer pour être
capable de lui parler. J’étais vraiment très très perturbé.




J’ai alors dit, sans
oser l’appeler Vanessa :
 « Madame, je vous remercie du temps
que vous avez consacré à mon apprentissage. Je vous en suis sincèrement et
humblement reconnaissant. »



Puis je leur ai apporté
leurs boissons et, sans rien avoir à boire moi-même, j’ai repris immédiatement
ma place, à genoux devant ces deux merveilleuses femmes. Ce jour-là, une
nouvelle fois, j’étais dans un autre monde. Complètement baigné par les
endorphines, j’étais si bien !!! Je l’avoue : plus j’étais humilié,
plus j’étais heureux.



Puis Vanessa a conseillé
à ma Domina :
 « Maintenant, il faut lui apprendre à
te faire un vrai modelage des pieds. Tu verras, quand c’est bien fait, c’est
super agréable. Jusqu’à maintenant, il te massait les pieds sans connaître la
technique. Tu verras la différence… En revanche, avant de poursuivre, j’ai une
petite faveur à te demander. »
 Ma Princesse lui
répondit :
 « Je t’écoute. Avec le temps que tu
nous as sacrifié, je ne peux rien te refuser !… »
 Vanessa poursuivit donc : « J’aimerais faire
venir ma sœur. Je t’assure, il faut absolument qu’elle voie ton esclave de
pieds comme tu aimes l’appeler. C’est tellement hallucinant. Oh, dis oui, s’il
te plaît !… »



Ma Domina
répondit :
 « Je ne peux pas te le refuser. Non
seulement tu m’as rendu un super service, mais en plus, ça me fait toujours
plaisir de voir ta sœur car je l’adore ! Appelle-la donc. Car bien
entendu, elle peut venir ! Je trouve même que c’est une super
idée !!! »
 Vanessa qui semblait euphorique, devint
enthousiaste :
 « Cool, elle va voir un esclave de
pieds à l’œuvre !!! Sérieux ! Je n’en reviens pas !!! Je n’ai
jamais connu un mec comme celui-là !!... Tu sais, si je veux que ma sœur
voie ton esclave, c’est parce que je n’aime pas du tout le garçon avec qui elle
est. Il est hyper macho. Si tu voyais comme il la traite !!! Je me dis que
si elle voit un homme aussi soumis, aussi attentionné, elle se rendra peut-être
compte qu’elle mérite beaucoup mieux. Qu’est-ce que tu en penses ? »



Ma Princesse
répondit :
 « Oui, je suis d’accord. Tu sais,
avant j’étais comme ta sœur. J’ai connu des mecs qui m’ont traitée de cette
manière. Puis je l’ai rencontré lui et j’ai compris qu’un homme, on pouvait le
dresser. Mais paradoxalement, il a beau m’être complètement soumis, je ne
pourrais pas coucher avec lui, il n’est pas mon genre physiquement. »
 Vanessa fit remarquer : « S’il accepte
cette situation, c’est qu’il n’est pas trop malheureux !!! »
. Ma Princesse
ajouta :
 « Le bonheur d’être à mes pieds lui
suffit entièrement ! »
. À ce moment-là, je n’ai pas pu me
retenir. Comme j’étais toujours à genoux devant ma Domina, j’ai déposé un petit
bisou sur chacun de ses divins pieds.



Vanessa s’écria alors : « Vous êtes
vraiment mignons tous les deux !!! »



La relation de complicité qu’il peut y avoir entre un esclave et sa
Maîtresse est pour moi la plus belle des relations. L’harmonie est alors
parfaite…



 



C’est vrai que j’étais
bien, que j’étais heureux, mais j’avais parfois l’impression d’être considéré
comme une bête de foire. Ce n’est pas toujours agréable. Malheureusement, c’est
l’image que la société renvoie de nous autres, les soumis fétichistes…



Vanessa téléphona à sa
sœur en disant qu’elle devait absolument venir chez son amie car le spectacle
valait vraiment le coup. Voici les paroles qu’elle prononça :« Nous
avons un vrai esclave à nos pieds. Il faut absolument que tu le
voies !!! »



Même si l’idée d’une
troisième personne m’excitait car l’humiliation allait encore être intensifiée,
je me sentais aussi terriblement gêné. J’étais toujours pris entre deux
sentiments : la gêne que je ressentais dans cette situation qui
malheureusement était encore trop inhabituelle dans notre société, d’un côté,
et de l’autre, le bonheur que me donnait cette humiliation intense. Je fus très
rapidement fixé sur mon sort puisque Ingrid, la sœur de Vanessa, accepta
immédiatement de venir…



Je m’attendais à une
humiliation intense, je ne fus pas déçu !!!…



J’ai parfaitement bien retenu ce cours sur la beauté des pieds. De plus, je
possède toujours le bouquin. Il ne manque que le plus important : une
femme qui me ferait l’honneur de me laisser prendre soin de ses jolis pieds…



 



J’aimerais] tellement avoir
l’honneur et le bonheur de prendre soin des Divins Pieds de Maîtresse
MAEVA !!!…



Si je crois très fort en cet idéal, peut-être se réalisera-t-il un jour …



 



paillasson ch'ti, esclave total, sincère et dévoué de Maîtresse MAEVA



PS : Dans mon
précédent texte, j’évoquais mon désir et mon besoin de reprendre ma vie en
main. Depuis plusieurs mois, j’ai essayé mais c’est encore plus dur que ce que
je pensais. J’étais tellement en manque d’amour, de tendresse, de soumission…
J’éprouve un manque inimaginable depuis que la vie m’a séparé de ma Princesse.



 A la première
personne qui s’est intéressée à moi, j’avoue que je me suis emballé. Je me suis
mis à imaginer un avenir radieux. Mais j’ai oublié une chose
fondamentale : la personne avec qui je discutais n’était pas ma Princesse…
Je me suis jeté les deux pieds en avant dans cette discussion et je suis une
nouvelle fois tombé de très haut. J’ai fait de grosses erreurs qui ont pour
seuls points positifs de me faire évoluer dans ma vie après ma Princesse.



Aujourd’hui, je sais que
le manque terrible que j’éprouve, chaques jours, ne doit absolument plus me
pousser à faire n’importe quoi comme ces dernières semaines.



Je ne dois pas essayer
de retrouver une vie similaire à celle que je vivais heureux auprès de ma
Princesse car malheureusement cela est impossible, je ne subirais que des
déceptions.



Je dois chercher à
construire, une nouvelle relation, une nouvelle vie qui sera forcément
différente de ma vie précédente…



 



Je ne manquerai pas de
vous tenir informé de l’évolution de ma nouvelle vie…







Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : Soumis & Soumises
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Samedi 11 décembre 6 11 /12 /Déc 10:14

Cet épisode avait été oublié, retournez en arrière, voire relisez l'intégralité de cette monographie sincère et touchante..... désolée pour l'absence de photos, impossible d'en insérer aujourd'hui, et over-bug voudrait que je renouvelle mon pack Prémium!!!!

 



FÉTICHISME ET SOUMISSION, XXII



Ma Princesse venait de me raser les cheveux. J’étais très en colère car je
tenais énormément à les porter longs. Je regardais par terre et je voyais avec
horreur toutes mes mèches qui gisaient sur le sol. Quand ma Princesse m’a
détaché, je me suis levé de ma chaise. Ma Domina me regarda droit dans les yeux
et me dit d‘une voix toujours très autoritaire : « Mets toi à
genoux et remercie-moi de t’avoir débarrassé de tes cheveux de meuf… »
.
Comme toujours, j’étais très excité par la situation mais, pour la première
fois, mes plus bas instincts de mâle sont réapparus. En effet, je me suis
rebellé, j’ai refusé de céder, je ne me suis pas agenouillé. Ma Princesse
m’ordonna à plusieurs reprises de lui obéir mais je m’obstinais dans mon refus.
Soudainement, elle s’énerva et sans que je m’y attende, elle m’envoya un grand
coup de genou dans le bas-ventre. Je vous rappelle que j’étais toujours nu. Je
ressentis une douleur terrible qui me traversa tout le corps. Il m’était déjà
arrivé de recevoir des chocs dans les « parties », par exemple en
recevant un ballon de foot, mais là le coup de genou avait été d’une rare
violence. La douleur fut terrible, c’était comme si on me plantait des couteaux
dans le ventre. Je me suis retrouvé à genoux… comme le souhaitait ma Princesse.
J’étais plié sous la douleur. Ma Domina était extrêmement en colère. Elle me
dit : « Mais pour qui tu te prends ? Maintenant, tu refuses
de m’obéir ! Je vais t’apprendre la discipline, moi ! »
.

         
   

    

Elle a alors attrapé mon pantalon que j’avais laissé sur le sol. Elle en a
détaché la ceinture et aussitôt j’ai senti les premiers coups s’abattrent sur
mon dos. Tout en me cinglant de violents coups de ceinture, ma Princesse me
répétait encore et encore : « Je vais t’apprendre la discipline,
moi ! »
. Elle était comme dans un état second. Bien entendu,
j’avais toujours rêvé de vivre un tel moment, mais je n’aurais jamais cru que
ma Princesse serait capable de faire une telle chose. C’était beaucoup plus
douloureux que dans mes fantasmes. Après m’avoir fait subir une dizaine de
coups, ma Domina s’arrêta brutalement. Elle jeta la ceinture et partit en
courant vers ma chambre. Je me suis relevé avec beaucoup de mal même si les
douleurs dans mon bas-ventre diminuaient doucement. M’étant remis debout très
difficilement, je me suis tourné pour regarder mon dos dans la glace. La
ceinture y avait laissé de terrible traces rouges et par endroits il y avait
même un peu de sang. Une chose est sûre : je venais de recevoir de cette
jeune Femme ma première correction, ma première vraie leçon de
discipline. Ce dressage avait été très douloureux mais aussi très
excitant. Après avoir surmonté mon étonnement et surtout la douleur, je fus
ravi d’avoir passé ce moment. Soudainement, j’ai entendu ma Princesse qui
pleurait dans la pièce, juste à côté. Je me suis précipité pour la rejoindre.
Elle était assise sur mon lit, elle se tenait le visage et pleurait. Je me suis
naturellement mis à genoux près de ses sublimes pieds nus. La leçon de
discipline que je venais de subir avait eu un effet très positif. En effet, mes
plus bas instincts de mâle avaient disparu, j’étais redevenu un bon petit
toutou bien obéissant. Ma Princesse me dit : « Tu vois ce que tu
me fais faire ? Je n’étais pas comme cela avant de te connaître. J’ai
l’impression que tu fais de moi un monstre. »
. J’étais complètement
prosterné aux pieds de ma Maîtresse qui pleurait. J’étais vraiment abattu de la
voir si mal. Je me sentais vraiment coupable. Je lui dis : « Ne
pleure plus, tu n’as rien fait de mal ! Au contraire, je te remercie pour
la correction que tu m’as infligée. »
. Ma Princesse me répondit :
« T’es dingue ou quoi ? Tu as vu l’état dans lequel j’ai mis ton
dos !!! »
. Je lui ai tout de suite répondu : « Je
t’avais désobéi, tu as bien fait de me corriger, tu m’as remis sur le droit
chemin et je t’en remercie sincèrement. Tu n’es pas un monstre ! Bien au
contraire, tu fais de moi quelqu’un de meilleur. Tu me permets de m’améliorer,
de progresser, de devenir quelqu’un de mieux !!! »
. Ma Domina
remarqua alors : « C’est vrai que malheureusement tu n’as pas reçu
assez de corrections par tes parents et maintenant tu te crois tout permis. Tu
ne connais pas la discipline ! »
.



Ce moment fut très fort et riche en émotions car j’avais découvert que
ma Princesse pouvait faire preuve d’une autorité et d’une dureté
impressionnantes. Elle venait une nouvelle fois de repousser les limites de sa
Domination sur moi. À ce moment-là de notre relation, une question me
hantait : jusqu’où ma Domina était-elle capable d’aller ?...



Ce jour-là, ma Domina était tiraillée entre deux émotions : son
besoin, son désir de me soumettre et son extrême gentillesse. Ainsi, elle
n’acceptait absolument pas la violence qu’elle venait de me faire endurer. Je
suis resté un très long moment à genoux devant ses sublimes pieds. J’essayais
de la rassurer, je lui répétais sans cesse qu’elle avait bien fait de
m’infliger cela, je n’arrêtais pas de la remercier. Je voyais que ma Princesse
reprenait peu à peu le dessus, mais qu’elle avait toujours beaucoup de mal à
accepter ce qu’elle m’avait fait.



Cette journée marqua une transition dans les rapports si spéciaux que
j’entretenais avec ma Princesse. En effet, pour la première fois depuis le
début de notre relation, je venais de me rebeller. Pour la première fois, ma
Princesse semblait regretter la puissance de sa Domination. J’étais donc à
genoux auprès d’elle, j’avais ses merveilleux pieds nus juste à côté de mon
visage. Je ne savais plus quoi faire pour la rassurer. Ne pouvant plus y
résister, j’ai approché doucement ma bouche de ses merveilleux pieds. J’ai posé
mes lèvres sur le dessus de celui de droite et j’ai commencé à le baiser,
lentement mais avec un amour passionné. Sur le coup, ma Domina a retiré son
pied pour me faire comprendre qu’elle ne souhaitait pas que je l’honore. Mais
j’ai insisté, j’ai repris son pied dans mes mains et je lui ai dit : « Je
t’en supplie, laisse-moi te remercier pour la leçon que tu m’as donnée! »
.
J’ai recommencé à baiser le pied de ma Princesse. Elle s’est laissé faire et, s’allongeant
sur le lit, elle s’est détendue et m’a confié ses merveilleux pieds. Je les ai
littéralement couverts de baisers langoureux. J’ai d’abord parcouru de mes
lèvres tout le dessus de son pied, j’ai fait aller ma langue sur toute cette
peau si douce. Puis je me suis allongé par terre et j’ai baisé, léché ses
merveilleuses plantes de pieds, comme la tante Marie m’avait appris à le faire.
J’ai léché amoureusement ses magnifiques talons, je les aurais mangés si
j’avais pu, tellement je les désirais. Puis je me remis à genoux pour sucer
chacun de ses délicieux orteils.



 J’adorais tellement les sentir dans ma bouche ! Je les suçais
doucement, en un mouvement régulier. Ma langue se baladait entre eux avec un
plaisir quasi incontrôlable. À ses nombreux murmures de bien-être qu’elle me
faisait entendre, je savais que ma Princesse était satisfaite, et moi, j’étais
heureux de la savoir comblée. J’ai honoré ses merveilleux pieds pendant
quasiment 45 minutes. Si j’avais pu les lui lécher 24 heures sur 24, je l’aurais
fait, tellement j’étais heureux ! Jamais, je ne me suis senti aussi
bien ! Jamais, je ne me suis senti autant à ma place. Malheureusement, ma
Princesse m’a retiré ses pieds et m’a ordonné de me relever. Ma Domina a alors
vu que ma queue était tendue au maximum, et je me suis attendu à une nouvelle
moquerie. Mais au contraire ma Princesse m’a dit : « Tu ne t’es
pas vidé pour une fois, c’est bien ! Tu commences à savoir te contrôler,
on dirait ! »
. J’ai souri. Ma Maîtresse a repris : « Tu
es vraiment doué pour me lécher les pieds ! C’est si merveilleux que je
m’en lasserais jamais ! »
. Je me rappelle qu’à l’époque, en
entendant cette phrase, je m’étais imaginé en train d’honorer les pieds de ma
Maîtresse tout au long de ma vie… Et j’étais follement heureux à cette pensée. J’étais
loin de m’imaginer que quelques années plus tard, un terrible malheur allait
venir frapper ma Domina et briser soudainement le rêve de toute une vie…



J’étais donc à genoux devant ma Domina. Frottant une main sur mon crâne,
elle me demanda : « Alors, tu t’habitues à ta nouvelle coupe de
cheveux ?…Tu sais, j’ai fait cela pour t’imposer une punition, mais tu
dois savoir que je ne suis pas méchante. Je n’aimais vraiment pas tes longs
cheveux, tu ressemblais trop à une meuf. Sincèrement, tu seras beaucoup mieux
comme cela. Après tout, ta seule raison d’être n'est elle pas de me
plaire ?… »
. J’ai répondu : « Bien sûr, ma
Princesse ! »
. Je lui ai demandé une nouvelle fois pardon pour
mon comportement et ma désobéissance de ces derniers jours. Ma Domina m’a alors
dit : « C’est clair que ces derniers temps tu as vraiment
abusé. Maintenant, j’espère que tu sais à quoi t’attendre. Si tu ne marches pas
comme je veux, je te remettrai aussitôt dans le droit chemin. Aujourd’hui,
c’est vrai que j’ai eu des complexes après t’avoir battu, mais je n’en aurai
pas toujours ! Alors, méfie-toi !!! »
. Ma Princesse m’a
commandé d’aller lui chercher du coton et de l’alcool pour désinfecter mon dos.
Je lui ai dit qu’elle n’avait pas besoin de le faire. Elle m’a répondu : « Je
suis peut-être dure, mais je ne suis pas un monstre, et je ne vais pas te
laisser avec un dos dans un tel état ! »
. Voilà comment était
ma Domina adorée ! Cela la représentait parfaitement : une main de
fer dans un gant de velours…



Je lui ai apporté le coton et le désinfectant et j’ai posé mon ventre
sur ses genoux. Ma Domina a commencé à désinfecter mes plaies. Je devais serrer
les dents car les brûlures étaient atroces. Puis, regardant sa montre, ma
Domina a vu que mes parents n’allaient pas tarder à rentrer. Elle m’a alors
dit : « Tu as vu l’heure ? Tu as intérêt à te dépêcher de te
rhabiller et de nettoyer la salle de bains. Si tes parents rentrent et
découvrent le spectacle, je te laisse imaginer la crise de nerfs qu’ils vont
nous taper ! Allez, au boulot ! Moi, je viendrai tout
contrôler. »
. Bien entendu, j’ai répondu : « Oui ma
Princesse »
, et je me suis exécuté.



Je me suis rhabillé et j’ai commencé à nettoyer la salle de bains. Je l’ai
balayée. Il fallait que je nettoie tout, il ne fallait pas laisser traîner un
seul cheveu. Mes parents, étant très maniaques et très méfiants, auraient
immédiatement découvert la moindre trace suspecte. J’ai mis tous les cheveux
dans un sac en plastique que j’ai emporté avec moi. J’étais toujours aussi triste
de voir ces longues mèches jetées à la poubelle. Néanmoins, la correction que
je venais de subir m’avait clairement remis les idées en place et tant
mieux !!! Ma Princesse est venue vérifier mon travail puis nous sommes
partis avant que mes parents ne rentrent.



Je ne vous raconte pas leurs têtes lorsqu’ils ont découvert ma nouvelle
coiffure, le soir lorsque je suis rentré... Je leur ai dit que j’en avais eu
marre de mes cheveux longs et que, sur un coup de tête, j’avais décidé de tout
raser. Malheureusement, je n’ai jamais été doué pour mentir. Quand je raconte
des craques, cela se lit sur mon visage, et puis j’ai toujours eu les longs
cheveux et je ne m’en suis jamais plaint, au contraire. Mes parents savaient
que j’y étais très attaché. Ils ont bien évidemment compris que ma Princesse
n’était pas étrangère à ce changement brutal d’apparence. Ils s’étaient rendu
compte que j’étais devenu son petit toutou. Ils m’ont dit: « C’est
sûrement elle qui a voulu que tu te rases les cheveux et bien évidemment, tu
lui as obéi. Décidément, cette fille te fait faire vraiment n’importe
quoi ! Tu avais de superbes cheveux et maintenant te voilà bien
arrangé !!! »
. Ils étaient très en colère. Nous étions une
nouvelle fois en désaccord à cause de ma relation particulière avec ma Domina.
Ce que mes parents ignoraient, c’est que par amour pour les sublimes pieds de
ma Maîtresse, j’aurais été capable de faire n’importe quoi.



Ce jour-là, une nouvelle fois, j’ai eu envie de tout leur dire mais j’étais
paralysé par la peur. M’auraient-ils compris, d’ailleurs ?



 Elle et moi avions une relation si complice, j’avais peur que père et
mère me voient différemment. J’avais peur qu’ils se rendent malades en
se disant qu’ils n’avaient pas fait correctement mon éducation. Je ne
voulais pas qu’ils pensent cela. Au contraire, mes parents ont toujours été
formidables avec moi. Simplement, je suis un véritable fétichiste des pieds,
c’est comme cela, on ne peut rien y changer. J’ai pas envie de changer car les
moments que j’ai passé aux pieds de ma Princesse ont été les plus heureux de ma
vie. Seuls les vrais fétichistes peuvent comprendre cela. Ma situation m’a
parfois fait penser au cas d’un garçon qui devrait avouer son homosexualité à
sa famille. J’imagine que c’est un moment très délicat. L’envie de vivre en
esclave aux pieds de la femme que l’on aime est malheureusement actuellement
bien moins connue et reconnue que l’homosexualité, ce qui rend ce secret encore
plus lourd…



Finalement, les choses se tassèrent. Mes parents ne s’habituaient pas à ma
nouvelle coupe de cheveux, moi non plus d’ailleurs… mais nous n’avions pas le
choix. Nous avons eu énormément de chance que mes parents ne découvrent aucun
indice dans la salle de bains car je crois que cela aurait été la goutte d’eau
qui aurait fait déborder le vase. Ils auraient été capables d’aller voir les
parents de ma Domina pour leur expliquer ce qui se passait entre nous.
S'ils avaient fait cela, notre relation aurait été brisée. Les parents de
ma Domina étant très stricts, elle n’aurait plus eu le droit de me
fréquenter. Si mes parents étaient passés à l’acte, sans le savoir ils auraient
brisé la plus belle chose qui me soit arrivée.



Les jours passèrent. Je devais être constamment sur mes gardes avec mes
parents. Je devais faire très attention qu’ils ne découvrent pas l’état de mon
dos. Il est clair qu’ils ne l’auraient pas du tout accepté. Je devais me
montrer extrêmement prudent lorsque je m’asseyais. En effet, je pouvais à peine
m’appuyer mon dos contre le dossier, j’avais beaucoup trop mal. Il faut dire
que ma Princesse avait fait preuve ce jour-là d’une force inouïe. Cela me
faisait entrevoir des moments intenses mais qui me donnaient quelques craintes.
Encore une fois : jusqu’où était-elle capable d’aller ?



Peu à peu, mes blessures guérissaient. Ma Princesse m’apportait
régulièrement des crèmes pour accélérer la cicatrisation. C’était son côté
Domina mère Teresa, un peu comme vous Sublime MAEVA. En tout cas, la correction
m’avait fait beaucoup de bien, je peux vous dire que je filais droit. J’étais
complètement dévoué à ma Princesse, je lui obéissais entièrement, je devançais
même ses désirs et surtout je n’avais plus aucun geste rebelle. D’ailleurs, ma
Maîtresse s’en était rendu compte, elle me disait souvent : « Même
si je suis contre la violence en général, je dois reconnaître que la
correction que je t'ai infligée a été très bénéfique pour ton
comportement. Je retrouve le garçon que j’ai connu au tout début. Un garçon qui
m’est complètement soumis et dévoué. Un garçon sur qui je peux gueuler, même
sans raison. Un garçon qui ne dit rien et qui me demande pardon, même s’il n’a
rien fait. J’aime vraiment quand tu es comme cela ! La correction que je
t’ai donnée a fait entièrement disparaître ton côté rebelle. Je déteste quand
tu me désobéis ou lorsque tu t’énerves! Tu te prends pour qui dans ces
moments-là ? Tu me fais repenser avec horreur aux mecs que j’ai connus
dans le passé. Ton problème, c’est que tu n’as jamais reçu de vraie punition
par tes parents. Alors, c’est moi qui suis obligée de corriger cela. Sache
bien, en tout cas, que même si je n’adore pas te faire souffrir, je n’hésiterai
plus à recommencer si je le juge nécessaire. »
.



Maîtresse MAEVA et beaucoup de lecteurs seront très étonnés d’apprendre que
je me suis comporté avec tant de rébellion. Il faut savoir que derrière le
garçon extrêmement timide, calme et réservé se cache un caractère qui peut être
parfois très fort. Même si dans la vie en général, je m’exprime et m’énerve
très rarement, je n’ai pas non plus tendance à me laisser faire. Ainsi, à cette
époque, j’ai commencé à ressentir les premières contradictions en moi. J’avais
bien entendu mon désir qui me poussait à me soumettre et de l’autre mon
caractère qui me poussait parfois à me rebeller. En fait, je suis un homme tout
simplement et comme tous les autres j’ai en moi ces plus bas instincts de mâle.
J’ai donc dû commencer un véritable combat pour repousser hors de
moi ces plus bas instincts. À l’époque, je n’avais ni la sagesse ni la
maturité que j’ai acquises aujourd’hui. Par moment, je ne savais pas si je
devais me rebeller ou me soumettre.



Aujourd’hui, j’ai parfaitement conscience qu’il faut absolument faire
disparaître les plus bas instincts des mâles afin que les Femmes puissent
profiter pleinement de leur totale soumission et dévotion. Je pense que pour
qu’un homme en arrive à un tel état d’abaissement et de servitude, il doit
absolument être dressé très sévèrement par une Femme.



Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : Soumis & Soumises
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Lundi 18 octobre 1 18 /10 /Oct 19:17

FÉTICHISME ET SOUMISSION, XXIV

   

Un jour d’hiver, il faisait vraiment très froid. Nous n’avions qu’une envie, nous blottir devant un bon feu de cheminée. Avec ce temps glacial, les magnifiques pieds de ma Princesse devaient être gelés et je rêvais de pouvoir les lui réchauffer. Malheureusement ce jour-là, nous n’avons pas eu l’occasion de connaître ce bonheur absolu. C’est en effet en ce triste jour hivernal que la vie de ma Princesse et la mienne basculèrent du paradis à l’enfer.

Il est terrifiant de se rendre compte que la frontière entre le bonheur et le malheur est si mince !

En ce jour, j’ai tout perdu, ma vie, ma Princesse, mon bonheur, mon avenir… J’étais si bien aux pieds de ma Domina chérie depuis tant d’années ! Je me voyais passer toute ma vie à la servir et à honorer ses magnifiques pieds !

 

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Pourquoi la vie est-elle venue nous séparer ? Pourquoi a-t- elle décidé de briser notre bonheur et de nous infliger une telle épreuve ?

Je ne vais pas philosopher sur les raisons de ce malheur. Je me torture souvent avec cela mais je dois vivre avec ce poids chaque jour, je n’ai pas le choix. Je vais vous raconter comment j’ai essayé de gérer au mieux cette épreuve. Paradoxalement, après le drame, j’en ai encore appris sur ma nature profonde d’esclave…

*

Après le drame, le chagrin me rongeait totalement. Je ne me rendais d’ailleurs pas vraiment compte de la réalité du malheur qui avait frappé ma Princesse.

Je pense que le fait de me retrouver soudainement séparé d’elle a décuplé ma passion pour les pieds des Femmes. Je n’arrêtais pas de penser à mon fétichisme, je passais des heures sur le Net sur des sites qui sont consacrés à cette passion. J’éprouvais un tel manque que j’essayais de compenser en admirant des photos de jolis pieds de Femmes. J’étais comme un drogué en plein sevrage…

Mais il faut vraiment que vous sachiez que ma relation avec ma Princesse ne se résumait pas à une relation Maîtresse-esclave. Ce n’était pas uniquement une relation fondée sur mon adoration pour ses jolis pieds. Nous étions devenus un vrai couple, heureux, et nous envisagions même d’avoir des enfants !!! Tout cela pour vous dire le niveau de bonheur que nous avions atteint, ce qui rendit la chute d’autant plus dure !!!

Parfois, je ne suis pas sûr d’avoir vraiment atterri. Il m’arrive d’avoir l’impression de planer, de survoler tout cela. Je me dis que je vais me réveiller, que tout n’est qu’un mauvais cauchemar. Malheureusement, le matin je reviens toujours à cette si dure réalité.

Les années passent, et malheureusement rien ne se passe…

Après trois mois d’errance sur le Net pour essayer de combler le manque et le vide immenses laissés par ma Princesse, j’ai découvert un site qui fut un des premiers tournants de ma vie après le drame. Il m’a mis sur les rails de cette voie où j’avance depuis toujours, celle d’une soumission absolue !!!

Ce fameux site, c’est celui de Madame Elise Sutton, la Suprématie Féminine  !!! (http://suprematiefeminine.over-blog.com)

Voici son texte de présentation :

« Ce site est dédié aux Femmes afin qu'elles sachent qu'elles peuvent vivre autrement. Leurs compagnons ont bien souvent un secret au fond d'eux-mêmes, ou tant de maladresse pour l'avouer... mais ce secret bien compris et intelligemment utilisé pourrait changer votre vie de couple.

Aussi, Mesdames, prenez le temps de lire. De découvrir ce monde qui pourrait être le vôtre si vous ne vous sentez pas totalement épanouie en votre relation.

Et vous messieurs, apprenez à penser à Elles, à les respecter. découvrez que vous pouvez changer votre vie, faire le bonheur de votre couple.

Découvrez ce nouvel art de vivre que nous allons décrire via des questions/réponses ».

Ce site s’appuie sur les théories de Madame Elise Sutton. En France, il est géré par Maîtresse Dana. Lorsque je l’ai découvert et que j’ai lu sa page d’accueil contenant ce préambule, ce fut pour moi une véritable révélation. J’ai compris que ce pourrait être pour moi une incroyable source d’informations et d’inspiration…

Lorsque j’ai commencé à fréquenter ce site, je n’ai plus pu m’arrêter. Il contenait tant d’articles intéressants et d’expériences passionnantes !!! J’apprenais tellement de choses ! Je ne pouvais plus m’empêcher de lire encore et encore tous ces textes grâce auxquels je noyais mon chagrin.

En même temps, j’avais pris l’habitude de discuter sur des tchats. Je pense que pour gérer ce drame, j’avais besoin de parler. Donc je passais des heures tard le soir ou tôt le matin, à m’entretenir avec des Femmes. Je leur disais ma passion pour leurs pieds. La plupart, je dois l’avouer, ne comprenaient pas et trouvaient cela trop bizarre.

Après avoir passé des heures à tchater, j’ai pu garder le contact avec quelques Femmes qui m’avaient donné leur adresse e-mail. C’étaient les rares personnes qui n’avaient pas été choquées lorsque je leur avais évoqué ma passion pour les pieds féminins. Nos contacts se sont limités à quelques échanges… Le manque de ma Princesse me rongeait encore et encore !!! [Maximum trois « ! » et c’est déjà beaucoup.]

Sur le forum de la Suprématie Féminine , j’ai découvert un sujet qui me correspondait parfaitement : « Les pieds, objets de fantasme et de vénération ». Pendant sept mois, je n’ai pas cessé de lire tous les articles. Les plus anciens, comme les nouveaux qui paraissaient régulièrement. Je tenais vraiment à tout lire, je ne voulais pas en perdre une miette.

Après notre drame, je me suis retrouvé bien seul. Depuis plusieurs années, je vivais si heureux aux pieds de ma Princesse ! Nous étions dans notre bulle. Pour diverses raisons que vous avez découvertes [découvert pour découvertes : faute détectée à la relecture !!!] au fur et à mesure de ma monographie, je m’étais éloigné de tous mes amis avec lesquels nous formions une bande si proche depuis mon adolescence.

Il n’y a qu’avec François, mon meilleur ami, que j’ai vraiment gardé un contact régulier. Malheureusement, la vie nous a éloignés géographiquement et j’étais donc bien seul. Je n’avais plus de relation avec Clément. Celle qu’il avait entretenue avec ma Princesse avait complètement fait exploser notre amitié.

J’avais complètement perdu Nicolas de vue et c’est moi qui en étais responsable. Ma Princesse m’avait ordonné de lui tourner le dos et je lui avais bien entendu obéi… Je ne voyais plus Fabrice qui, lui aussi, était parti au loin et avec qui je n’avais plus que quelques rares conversations téléphoniques. Enfin, Michaël faisait sa vie de son côté, et je n’avais plus de nouvelles de lui.

Tout cela, pour vous expliquer qu’il y a quelques années, nous étions vraiment une bande de copains très proches. Puis, il y eut la rencontre avec ma Princesse et ce fut le plus beau jour de ma vie. Bien entendu, cette rencontre a perturbé l’équilibre dans la bande. J’ai commencé à m’éloigner peu à peu de mes amis. Pendant que je passais ma vie aux pieds de ma Princesse, mes copains ont continué à vivre sans moi. Ils ont tous rencontré « l’âme sœur » et trouvé un boulot et un équilibre. Lorsque après plusieurs années, ce terrible drame est survenu, je me suis vraiment retrouvé complètement seul. Je n’avais plus ma Princesse et je me suis rendu compte que j’avais également perdu tous mes amis…

Lorsque j’ai perdu ma Princesse, j’ai tout perdu, mon monde s’est littéralement écroulé. Je ne pouvais plus compter que sur ma famille très proche. C’est cette solitude soudaine qui m’a poussé à passer tant de temps sur les tchats.

Huit mois après le drame, je me suis inscrit pour la première fois sur un site de rencontres. J’avoue qu’à l’époque je ne sais pas vraiment ce que je recherchais. Je pense que c’est ma très grande solitude qui m’avait poussé à m’inscrire.

Le mois d’après, je naviguais toujours sur le Net, m’attardant sur les sites traitant du fétichisme des pieds et de l’asservissement des mâles. Mon besoin de soumission devenait de plus en plus obsédant. J’ai alors découvert le site Sensation SM sur lequel je me suis inscrit, mais cela ne m’a donné l’occasion d’aucune rencontre, peut être tout simplement parce que je n’ai jamais osé franchir le pas…

Toujours en surfant sur le Net, j’ai découvert un site génial que je connaissais très peu. Il s’agit de YouTube. Un jour, j’ai eu l’idée de taper comme recherche « pieds de Femmes » et je n’ai pas été déçu. Il y a un nombre incalculable de vidéos qui montrent tellement bien le fétichisme des pieds, la soumission, le plaisir de lécher les bottes, etc. Un véritable fétichiste des pieds comme moi se régale ‑ encore aujourd’hui d’ailleurs, et plus que jamais ! ‑ avec un tel site…

Il y a des vidéos traitant d’absolument de tous les sujets, et je me suis même inscrit pour avoir accès à certaines d’entre elles… Hum !… Ce fut une découverte très importante pour moi car j’ai pu constater que j’étais loin d’être le seul avoir de tels désirs, de tels besoins. C’était différent que de me contenter de lire des textes puisque là, avec les vidéos, je pouvais aisément m’imaginer à la place du soumis… Puis, toujours dirigé par mon très grand fétichisme des pieds, j’ai découvert le blog d’une Princesse qui mettait simplement en valeur ses jolis pieds, mais qui hélas, n’existe plus (jolis-petits-pieds.over-blog.com

 

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Le 25 février 2009 fut le plus grand tournant de ma vie après le drame. Ce jour-là, en cliquant par hasard sur un lien, j’ai découvert le merveilleux site de Maîtresse MAEVA. J’ai été immédiatement ébloui par l’incroyable beauté des merveilleux pieds de cette Domina. À 11 h 16 exactement, je me suis inscrit à sa newsletter car j’avais immédiatement compris qu’après le site d’Elise Sutton, ce blog deviendrait pour moi une référence ! Je ne savais pas encore qu’il m’apporterait tellement plus…

Je reçois rapidement dans ma boîte mail, les premières newsletters m’informant des nouveaux articles parus sur le site de Maîtresse MAEVA. Ce jour-là, elle nous offrait de merveilleux cadeaux, de magnifiques photos de ses sublimes pieds, dont je suis tombé fou amoureux. Les newsletters se succédaient dans ma boîte. Comme je suis très réactif, je cliquais sur le lien pour admirer les nouvelles photos et les nouveaux articles que j’attendais toujours avec une certaine impatience. À partir de ce moment-là, j’ai délaissé le site de Madame Sutton qui jusque-là était mon préféré. Je l’avais parcouru en entier et j’y avais appris énormément de choses. Notamment, il m’avait permis de mieux comprendre l’utilité d’une frustration importante. Il m’avait même appris à prendre du plaisir à être frustré.

Cependant, les nouveaux articles publié sur ce site étaient de plus en plus rares. Je m’étais également inscrit sur le forum, en tant que soumis à la recherche d’une Maîtresse. Mon manque était tellement important que je recherchais une Femme qui pourrait de nouveau me dominer. J’avais besoin de retrouver ce que j’avais perdu, de me sentir de nouveau sous l’Autorité d’une Femme. Malheureusement, la plupart des Maîtresses qui se manifestaient étaient déjà toutes en possession d’un soumis. Et puis, les sujets abordés étaient tellement nombreux que je n’avais pas le temps de tout lire. Mais enfin, par l’intermédiaire du tchat de Suprématie Féminine, j’ai tout de même souvent eu l’occasion de discuter avec de nombreuses Maîtresses qui m’ont permis d’apprendre beaucoup de choses sur la relation D/s et sur la vraie soumission.

Ensuite, je me suis entièrement consacré au site de Madame MAEVA. Je n’en visitais plus aucun autre. Je ne pensais plus qu’à cette Domina. Elle représentait pour moi la Maîtresse sans toute sa Splendeur. Entre les différentes newsletters, je recevais des avis provenant du site de rencontres sur lequel je m’étais inscrit peu de temps auparavant, mais je ne m’y intéressais plus du tout. Madame MAEVA occupait toutes mes pensées. Je me rappelle qu’au départ, je m’étais baptisé « l’adorateur des pieds de Maîtresse MAEVA ». Je reconnais que ce nom n’était pas très original. Au départ, Elle m’a soupçonné de n’être qu’un soumis fantasmeur qui allait disparaître rapidement du site mais peu à peu, elle a changé d’avis sur moi.

Le 5 mars 2009, Maîtresse MAEVA m’a offert deux fabuleux cadeaux. J’ai eu l’incroyable chance d’être baptisé « paillasson mâle ». De plus, j’ai eu l’honneur de recevoir une merveilleuse vidéo de ses sublimes pieds. Qu’est-ce que j’ai pu me sentir heureux ce soir-là !!!

Depuis le drame (il y avait déjà plus d’un an à ce moment-là), je ne m’étais jamais senti aussi heureux. Pour la première fois depuis ce temps, j’avais enfin l’impression d’appartenir de nouveau à une Femme. Je sais que ce n’était qu’un nom donné afin de m’humilier mais pour moi, c’était très important, je n’étais plus seul. Cette immense vide laissé par ma Princesse était doucement comblé par Madame MAEVA qui prenait peu à peu possession de moi. De plus, ce soir-là, Elle m‘avait fait l’honneur de lire mon tout premier texte.

Le 7 mars 2009, Maîtresse MAEVA m’annonça qu’elle m’acceptait virtuellement à ses divins pieds. Ce jour-là, j’ai éprouvé un immense bonheur car je savais désormais que j’appartenais de nouveau à une Femme extraordinaire. J’en avais tant besoin que j’ai tout de suite adoré son site. En plus, j’aimais beaucoup l’idée de voir un jour mes textes publiés. Après avoir vécu ce terrible drame, j’avais vraiment besoin d’extérioriser tout ce que je ressentais. Je ne pouvais parler à quiconque de ce que je ressentais, les gens n’auraient pas compris mon fétichisme, mon besoin de soumission, pas plus que mon entourage. Personne ne comprenait qu’en perdant ma Princesse, j’avais tout perdu ! J’avais pourtant tellement besoin d’exprimer tout ce que je ressentais que le fait de pouvoir l’écrire a été pour moi une véritable thérapie. D’ailleurs, ce besoin d’écrire s’est fait ressentir très rapidement après le drame.

En effet, plusieurs mois après celui-ci, cette envie, je dirais même ce besoin, d’écrire est clairement apparu. Au départ, je notais en « vrac » toutes les idées qui me passaient par la tête. Puis j’ai commencé à les mettre en forme et finalement cela venait tout seul. Je sais que j’ai de grosses lacunes en orthographe, même si l’écriture de ma monographie m’a permis de progresser dans ce domaine, ce qui est amusant en l’occurrence… En revanche, j’ai toujours eu des facilités pour l’écriture, [« Sans technique un don n’est rien qu’une sale manie » a écrit Brassens. TRAVAILLE et TRAVAILLE ENCORE !] j’ai toujours aimé composer. Ainsi, le jour où je me suis installé devant mon ordinateur, j’ai écrit des pages et des pages à une vitesse assez hallucinante. Je voyais ces pages blanches s’emplir rapidement. C’était toute ma vie qui défilait sur cet écran. J’avais tellement de choses à dire, à raconter. Il y a tellement longtemps que je gardais tout cela en moi sans pouvoir l’exprimer. Ainsi, ce jour-là, j’ai ouvert mes pensées les plus profondes et j’ai écrit absolument toute ma vie !!!

J’avais appelé ce texte : « Comment un homme découvre sa vraie nature : la soumission », parce que j’avais compris beaucoup de choses sur moi-même grâce au site de Madame Elise Sutton. Ce texte était destiné au départ à Maîtresse Dana, car j’avais besoin de connaître l’avis d’une Domina expérimentée sur ma vie et sur mon avenir…

Ma contribution était articulée autour de trois grands axes :

‑ Ma découverte de la soumission et de l'adoration pour les pieds de Femmes.

‑ Mon histoire.

‑ Mon désir profond : l’adoration des pieds des Femmes.

 

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Lorsque Maîtresse MAEVA m’a permis de publier ma monographie, ce fut un soulagement, une thérapie… Je vous remercie, encore, Maîtresse MAEVA !

Lorsque je suis arrivé sur le site de Madame MAEVA, j’étais vraiment un débutant dans la soumission. Même si je venais de passer quatre années merveilleuses aux pieds de ma Princesse, je ne connaissais pas encore la vraie soumission, la soumission absolue. Je restais trop l’esclave de mes désirs. Au départ, j’ai fait la terrible erreur d’être très pressant avec Madame MAEVA. Elle m’a appris qu’un esclave ne doit jamais réclamer, il se doit d’attendre sagement que sa Maîtresse lui accorde ou non ce qu’il demande. Ce fut le premier enseignement que Maîtresse MAEVA m’inculqua. J’ai tellement appris et progressé grâce à Elle !

On peut dire que Maîtresse MAEVA a poursuivi l’éducation que ma Princesse avait commencée qui fut malheureusement si brutalement interrompue.

Le 9 mars 2009, j’ai reçu un nouveau mail de Madame MAEVA qui m’informait que mon texte lui plaisait, ce qui était un immense honneur pour moi. Elle me reprochait mes nombreuses fautes d’orthographe, mais j’étais follement heureux d’apprendre qu’Elle avait l’intention de publier mon texte illustré de ses merveilleuses photos. C’était un honneur absolu pour moi !!!

Le 18 mars 2009, mon premier texte apparut sur le site, illustré de magnifiques photos des divins pieds de Maîtresse MAEVA. Ce fut un immense honneur et un moment de bonheur intense, quelque chose que je n’avais pas ressenti depuis longtemps. Et ce fut le début d’une longue monographie qui est en cours actuellement…

Mon premier texte rencontra un certain succès auprès des lecteurs qui, comme Maîtresse MAEVA elle-même, me réclamaient une suite. Cela me réchauffa le cœur et me donna encore plus ce plaisir d’écrire dont j’avais tellement besoin…

Madame MAEVA est la première personne à qui j’ai pu réellement me confier après le drame. Je lui avais dit mes désirs et besoins les plus profonds et c’était la seule Femme à me connaître totalement, la seule qui pouvait comprendre le manque terrible que je ressentais depuis le drame. Cette relation virtuelle qui débutait avec Elle m’apaisait totalement car elle était pour moi tout à fait réelle et me devenait, au fur et à mesure des jours, indispensable. Et puis, Madame MAEVA avait senti que j’avais besoin d’être de nouveau dominé, que c’était presque vital pour moi. Aussi, Elle me proposa – ou plutôt Elle m’ordonna de contacter Madame Saint-Ange [j’opte pour cette graphie qui, je pense, est la bonne] qui est une Dominatrice expérimentée de la région lyonnaise. J’ai obéi et j’ai donc contacté par mail cette Dame. Bien entendu, depuis plus d’un an, je n’aspirais qu’à une seule et unique chose : être de nouveau dominé par une Femme autoritaire. Malheureusement, je pouvais difficilement me déplacer jusque dans la région lyonnaise. De plus, comme je l’ai déjà expliqué, j’ai toujours eu une relation fusionnelle avec les membres de ma famille, bien que cette proximité et ce réconfort puissent parfois quelque peu me peser… Je ne savais donc pas comment me rendre à Lyon sans éveiller les soupçons de ma famille, surtout que je suis un très mauvais menteur !...

Pour Madame MAEVA, j’étais vraiment prêt à faire tomber tous mes tabous. J’ai même été jusqu’à prendre une photo de moi nu. J’avoue qu’elle était floue mais cette épreuve ne m’était pas facile car j’ai très peu confiance en moi et en mon physique. Mais comme Madame MAEVA avait envie de voir à quoi je ressemblais, elle m’avait demandé une photo. Cela me faisait peur car jusque là très peu de personnes étaient au courant de mon fétichisme et de mon besoin de soumission. Seule ma Princesse me connaissait vraiment. Je craignais que mon secret soit dévoilé, j’étais terrifié à l’idée que des gens, autour de moi, puissent découvrir mes secrets et me juger (certainement de manière négative !). Je me sentais tellement stressé que j’ai envoyé une photo un peu masquée. Je sais que c’était vraiment nul comme idée, mais j’avais horriblement peur de me montrer à visage découvert. Je peux vous dire que je me suis fait remettre à ma place par Maîtresse MAEVA et que je l’avais bien mérité ! Sa première réaction en voyant cette photo fut de me dire que je ressemblais à un gamin de 16 ans alors que j’en avais 24 à l’époque. Mais il est vrai que j’ai un visage qui fait très jeune…

Je continuais de lire les quelques nouveaux articles qui paraissaient sur Suprématie Féminine. J’admirais quelques nouvelles photos sur « jolis petits pieds », mais je passais presque tout mon temps auprès de Madame MAEVA. Elle m’avait même donné l’autorisation de communiquer mes textes au site Suprématie Féminine. Mais j’avoue avoir été déçu car ils n’ont pas rencontré l’intérêt que j’avais senti du côté de Maîtresse MAEVA. Ensuite, je me suis désabonné du site de rencontres auquel je m’étais inscrit. J’en avais marre de recevoir des mails auxquels je ne m’intéressais absolument plus. Je n’étais pas prêt à rencontrer quelqu’un. Je ne pensais qu’à Maîtresse MAEVA, je ne désirais que ses magnifiques pieds. Surtout, j’avais vraiment besoin d’écrire pour extérioriser tout ce que j’avais vécu depuis plusieurs années, pour exprimer cette souffrance si forte que je ressentais depuis le drame.

J’ai fini par suivre les conseils d’un ami qui essayait de me convaincre de rencontrer quelqu’un. Je me suis inscrit sur Meetic, le site de rencontres méga connu. Une première Femme a consulté mon profil et m’a envoyé un message. Étant vraiment en grand manque de tendresse, j’étais fou de joie que quelqu’un s’intéresse à moi. Je me suis rapidement imaginé plein de choses, je me voyais déjà à ses pieds… Malheureusement, elle a choisi quelqu’un d’autre !… J’étais décidément abonné aux déceptions amoureuses. Avant de rencontrer ma Princesse, c’est malheureusement ce que j’avais toujours vécu : déceptions et frustrations…

Il y a un peu plus d’un an, Maîtresse MAEVA a eu cette phrase très juste à laquelle je repense souvent : « Pense à ta vie qui s'écoule. Un jour , il sera trop tard, ta vie sera derrière toi ! ».

 

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Le mardi 31 mars 2009, j’ai eu l’honneur que Maîtresse MAEVA me fasse un superbe cadeau :

« ... pour la jeune recrue méritante et passionnée... j'ai nommé "paillasson mâle"... un soumis prometteur car sincère... »

À cette époque, je vivais des moments de bonheur quotidien. Cela ne m’était plus arrivé depuis les temps bénis passés avec ma Princesse. En effet, le lendemain, Maîtresse MAEVA me fit de nouveau un superbe cadeau. Le mercredi 1er avril 2009, Elle publia le deuxième texte de ma monographie. Ce fut pour moi, un plaisir grandiose.

Dans ses commentaires, Maîtresse MAEVA disait : : « paillasson mâle" ! Tu es autorisé à contacter Maîtresse Saint-Ange [ La Maîtresse l’écrit avec « Saint » et non « Sainte », qui est certainement faux, mais sans le trait d’union. Je crois qu’il le faut.] dans la perspective d'une entrevue (soft ou hard, à ton choix..) Il est nécessaire que tu sortes du virtuel ! ».

Malheureusement, comme je l’ai dit plus haut, Maîtresse Saint-Ange vivait trop loin et je ne pouvais pas me permettre de partir. Mais la principale raison est sans doute que je n’étais pas prêt…

Peu à peu, ma confiance et ma complicité avec Maîtresse MAEVA grandissaient. J’avais en Elle une telle confiance que je lui ai expliqué le drame qui avait frappé ma Princesse. Ma relation avec Elle n’est peut-être que virtuelle mais les bienfaits que j’en tire sont, eux, bel et bien réels.

Le 8 avril 2009, dans un commentaire, Maîtresse MAEVA m’écrivait : « Tu réclames sans cesse d'être rassuré, paillasson. Comme beaucoup de mecs, tu souffres du syndrome "abandonnique"... Je n'ai pas l'intention de te laisser tomber (tomber où?), mais je te rappelle que je t'ai donné trois ordres bien précis, à exécuter dans les trois semaines à venir, et puis, ne me refais pas le coup du "j'habite chez mes parents", ça fait un peu bébé et je ne suis pas ta nurse ... Bonne journée ! »

Maîtresse MAEVA m’avait parfaitement cerné, je me sentais seul. J’avais vraiment l’impression d’avoir été abandonné par ma Princesse. Pourtant, je savais bien que ce n’était pas de sa faute…

Après avoir lu l’intégralité du site Suprématie Féminine, j’avais pris conscience des bienfaits de la frustration pour un individu mâle. Je l’avais connue pendant des années avec ma Princesse, mais je n’avais pas compris que celle-ci pouvait être si agréable…

J’avais à ce moment-là vraiment envie de porter une cage de chasteté. Ma Princesse ne m’avait jamais emmené jusque-là. Ni elle ni moi ne connaissions d’ailleurs l’existence de ces cages. J’avais même eu envie d’en commander une sur Internet et de la porter, afin de pouvoir entrer dans le cheptel de Maîtresse Saint-Ange. Mais comme toujours, vivant chez mes parents, je n’ai jamais osé prendre ce risque. J’ai donc décidé de poursuivre la frustration que ma Princesse m’avait imposée. Je me forçais alors à des périodes de continence de plus en plus longues. Parfois, il y avait des accidents, je l’avoue, mais j’ai réussi à tenir 28 jours sans me donner de jouissance, [Je crois important de le préciser.] malgré l’absence d’une cage de chasteté. J’ai tenu grâce à ce que j’appelle « la cage de l’esprit ». À l’époque, j’aurais voulu que Maîtresse MAEVA prenne le contrôle de mes jouissances, mais Elle l’avait refusé et j’avais compris sa Décision. Bien entendu, puisque je ne portais pas de cage, Maîtresse Saint-Ange refusa de s’occuper de moi.

Maîtresse MAEVA continua de m’accorder l’incroyable honneur de publier mes textes. Semaine après semaine, c’est toute ma vie la plus intime qui défilait sur son magnifique blog. J’ai toujours eu l’impression que chaque texte publié me retirait un poids énorme.

Par ordre de Maîtresse MAEVA et de Maîtresse Saint-Ange, j’ai écrit un récit imaginaire de ma rencontre avec cette dernière. Il n’a jamais été publié, mais peut-être le sera-t-il un jour… En tout cas, une partie de moi a vraiment envie que cette rencontre devienne un jour réalité.

Fin août 2009, j’ai envoyé un mail à Maîtresse MAEVA car j’avais besoin d’exprimer la peine et la tristesse que je ressentais. Je me suis tourné naturellement vers Elle. C’est bien la preuve qu’Elle était devenue une personne très importante et très proche pour moi. Je lui ai donc dit tout ce que j’avais sur le cœur et la dureté du drame que je vis au quotidien.

Quand je relis ce message empli de peine et de tristesse, je me rends compte que plus d’un an après, je suis toujours dans la même tristesse, le même désespoir. Ma situation, ma vie ne se sont  malheureusement pas améliorées.

Maîtresse MAEVA a eu la gentillesse de me répondre. Son message me toucha sincèrement et me fit énormément de bien. Elle me demandait de lui envoyer des photos de ma Princesse. Par respect pour mon ancienne Amie, c’est une chose que d’habitude je refuse, mais j’ai une telle confiance en Maîtresse MAEVA que je lui ai adressé plusieurs photos.

N’ayant pas beaucoup confiance en moi, dès qu’une Femme visitait mon profil sur Meetic, j’avais tendance à m’emballer rapidement… Cela me rassurait que l’on puisse s’intéresser à moi. Mon manque d’affection devenait de plus en plus difficile à supporter. Ainsi je me connectais de plus en plus souvent à ce site, et j’envoyais de plus en plus de messages dans l’espoir de rencontrer une Femme.

Le 12 octobre 2009 fut un nouveau tournant dans ma vie après le drame. En effet, ce jour-là, je découvre que Maîtresse MAEVA a publié un article dans lequel elle nous propose d’obtenir une de ses nombreuses et magnifiques paires de chaussures. Il s’agit de superbes bottines en cuir rouge. Je comprends immédiatement qu’il s’agit là d’une occasion unique. Je sais que je DOIS m’approprier ces bottines, tellement je suis fou amoureux des divins pieds de Maîtresse MAEVA ! Je savais que le fait d’acquérir ses superbes bottines serait pour moi un moyen de me rapprocher de mon Graal. Grâce au site de Maîtresse MAEVA, j’avais découvert le plaisir d’être un lèche-bottes. En effet, c’est une activité servile qui m’a toujours fait fantasmer et dont j’ai toujours rêvé, mais que j’ai malheureusement très peu pratiquée. J’avais vraiment envie de lécher ces belles bottines rouges. J’ai donc très rapidement lancé une enchère qui me garantissait quasiment de les obtenir. Même si je ne suis pas milliardaire, il est clair et net que j’aurais cassé ma tirelire pour en devenir l’heureux propriétaire. Je remercie une nouvelle fois Maîtresse MAEVA de m’avoir permis d’obtenir ce merveilleux cadeau.

J’étais fou d’impatience de les recevoir pour enfin avoir l’incroyable honneur de poser ma langue sur le cuir rouge ! Cependant, comme je vivais toujours dans cette peur que l’on découvre mon secret, je m’étais arrangé pour faire livrer le colis à une autre adresse. Je craignais que mes parents en découvrent le contenu car je ne sais vraiment pas comment j’aurais pu m’en justifier...

 

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Je suis heureux et fier d’être un véritable fétichiste des pieds mais je ne sais pas si je serais capable de l’assumer devant les membres de ma famille… Cela constitue pour moi une grande angoisse qui m’empêche très certainement de réaliser mes fantasmes, du moins en partie.

Maîtresse MAEVA m’avait dit, en parlant de ces superbes bottines rouges : « Elles sont de pointure 38, et qui sait ? Peut-être joueras-tu à Cendrillon et trouveras-tu des Pieds à glisser à l'intérieur, ce qui sera plus attrayant, conviens-en ! »

Malheureusement, je n’ai pas réussi à trouver ma « Cendrillon », bien que je ne perde pas espoir et que je continue de croire qu’un jour je pourrai me mettre à genoux pour enfiler ces superbes bottines aux pieds d’une Femme.

Maîtresse MAEVA m’a même accordé l’immense honneur de m’offrir une de ses anciennes paires de bas utilisés et usagés. Je sais, je ne suis un petit veinard mais hélas je ne l’ai pas toujours été…

J’ai toujours eu la joie de voir que Maîtresse MAEVA s’intéressait sincèrement à ma monographie. Grâce à elle, j’ai même progressé en orthographe. J’avoue que mes premiers textes étaient bourrés de fautes d’orthographe. [Excuse-moi, mais les suivants aussi ET TOUS CONTIENNENT TOUJOURS LES MÊMES ERREURS. Et puis, ils sont farcis de répétitions et d’expressions inutiles comme j’avoue que, qu’on peut presque toutes supprimer. Tu es sincère, jusqu’ici tu étais intéressant, MAIS TU NE TRAVAILLES PAS ASSEZ, tu te laisses aller, tu ne relis pas, tu « n’écris » pas, au sens vrai du terme.] Au fur et à mesure des corrections, je me suis amélioré. Je suis extrêmement reconnaissant à Maîtresse MAEVA d’avoir publié mes nombreux textes. Je sais que mes corrections lui ont pris énormément de temps et je lui en suis sincèrement reconnaissant. Puis « slavio », un nouveau soumis fit une apparition momentanée sur le site et Maîtresse MAEVA lui confia la mission de corriger mes textes, ce qu’il fait toujours d’ailleurs, et je l’en remercie.

Puis le fameux colis est arrivé, soulevant en moi une folle excitation. Je me suis arrangé pour être seul chez moi, bien tranquille. J’ai ouvert le paquet, j’ai découvert la première bottine puis la deuxième. J’ai descendu doucement les fermetures Éclair, j’ai pris les bas dans mes mains. Je les portai à mon nez, je respirai à pleins poumons la merveilleuse odeur des divins pieds de Maîtresse MAEVA. Puis ‑ je n’ai pas pu m’en empêcher ‑, je me suis allongé par terre et je me suis mis à lécher les bottines, encore et encore. Cela dura des heures. Depuis plusieurs mois, j’étais tellement fou amoureux des divins pieds de Maîtresse MAEVA que j’avais vraiment l’impression d’être devant eux, en léchant le cuir rouge de ses bottines.

Quasiment deux ans après le drame, cette journée représente mon plus grand moment de bonheur…

Je ne remercierai jamais assez Maîtresse MAEVA pour cet extraordinaire cadeau. Comme je le lui avais promis, j’ai bien pris soin de ses bottines, jour après jour, avec toujours autant de bonheur et de plaisir !!! Il y aura déjà bientôt un an que je les vénère. Hum, quel délice !…

J’étais tellement accro au site de Maîtresse MAEVA que je suis triste de ne l’avoir découvert que plus d’un an après sa création. J’aurais tellement aimé être présent dès le premier jour. J’ai essayé de rattraper mon retard, j’ai pris des heures et des heures pour parcourir le site de long en large. J’ai conservé très précieusement toutes les merveilleuses photos que Maîtresse MAEVA m’avait donné l’honneur de recevoir et d’admirer… J’en ai enregistré d’autres à partir du site, mais malheureusement je n’ai pas eu l’occasion de le faire pour toutes, avant que le site ne se mette à buguer. Je m’en veux beaucoup de ne pas les avoir toutes enregistrées. Le blog était si riche en photos !...

Pourquoi ce maudit bug est il venu tout gâcher ?! À croire que le malheur me poursuit…

Le lundi 9 novembre 2009, Maîtresse MAEVA publia un article dans lequel elle m’accorda l’incroyable honneur d’expliquer qu’elle avait reçu une offrande de ma part. Depuis plus d’un an, Elle me rendait vraiment heureux, avec tout ce qu’Elle me donnait. J’avais vraiment eu envie de lui faire Plaisir.

Oui, j’ai toujours été comme cela, quand j’aime une personne, j’ai envie de la combler de cadeaux !!! Je me suis ruiné pour ma Princesse mais j’en suis heureux, je ne regrette absolument pas le moindre centime que je lui ai consacré.

Pour Maîtresse MAEVA, j’étais dans le même état d’esprit. En publiant cet article, Elle m’a accordé un immense honneur et j’en suis parfaitement conscient…

Comme illustration, il y avait une photo sur laquelle Maîtresse MAEVA caressait de l’un de ses magnifiques pieds la bouteille de champagne que je lui avais offerte. Cette photo symbole était très importante pour moi. Malheureusement, je n’ai pas pu l’enregistrer avant que le site ne bugue. C’est là un très grand regret. J’aimerais tellement revenir à l’époque où le site fonctionnait parfaitement et où toutes les photos de Maîtresse MAEVA étaient encore bien présentes. Mais on ne peut jamais revenir en arrière et je suis bien placé pour le savoir…

Dans un mail, Maîtresse MAEVA a eu cette phrase si juste : « La vie est souvent cruelle, un pseudo-équilibre qui ressemble au bonheur peut d'un coup basculer dans l'horreur et la peine. »

Fin novembre 2009, j’avais tellement envie de me trouver pour de vrai devant Maîtresse MAEVA que je me suis mis à écrire un récit imaginaire de notre future rencontre. Ce texte plaisait à Maîtresse MAEVA, pourtant il ne fut jamais publié et le rendez-vous n’eut jamais lieu…

À cette époque, Maîtresse MAEVA commençait à juste de titre de se lasser de la torpeur présente sur le blog. En effet, les participations étaient de moins en moins nombreuses, alors que Maîtresse MAEVA continuait toujours de fournir un travail important, afin de nous offrir toujours de beaux articles.

Le jeudi 26 novembre 2009, Maîtresse MAEVA décida de modifier mon nom d’esclave et de m’appeler « paillasson ch’ti ».

Début décembre 2009, pour remercier Maîtresse MAEVA pour tout le bonheur et le bien-être qu’elle m’apporte, j’ai décidé de lui envoyer une offrande.

À cette époque également, le blog commence à buguer. Il devenait impossible pour Maîtresse MAEVA d’y insérer des photos. J’ai alors eu peur qu’Elle ne décide de l’arrêter, comme elle l’avait déjà envisagé à plusieurs reprises. Pour remédier à ce problème, Elle décida alors de créer chez un autre hébergeur un autre blog. Mais il ne lui donna pas satisfaction et il n’y eut que quelques articles d’édités.

Puis nous voici en 2010. Maîtresse MAEVA continue de publier ma monographie, malgré les nombreux bugs du blog. Ma solitude me pousse encore à m’inscrire sur un autre site de rencontres. Malheureusement, il faudrait encore payer pour accéder aux services.

Or, je préfère garder mon argent pour faire Plaisir à ma Maîtresse !!!

Ma messagerie s’emplit de propositions de contacts provenant des différents sites de rencontres auxquels je suis inscrit, mais je ne m’y intéresse toujours pas. Les premiers jours de 2010 passent et l’activité sur le blog reste toujours au plus bas. Maîtresse MAEVA est découragée, ce qui est normal.

Quant à moi, un changement d’état d’esprit se fait peu à peu naturellement, je me détache un peu de ma Princesse et je recommence à vivre pour moi.

En effet, à cette époque, je retrouve une ancienne Amie. Nous passons beaucoup de temps ensemble. Notre relation est purement amicale, même si je ne peux m’empêcher de désirer ses jolis pieds. Nous partageons plein de choses, nous nous confions l’un à l’autre, j’ai un peu l’impression de revivre ce que j’avais vécu des années plus tôt avec ma Princesse. Maîtresse MAEVA ne m’en veut alors pas du tout d’être moins disponible pour le blog. Au contraire, Elle m’encourage à reprendre ma vie en main et à vivre de nouveau dans le réel. J’avoue que cela me fait beaucoup de bien. Imaginez après plus de deux ans d’errance, recommencer doucement à reprendre le cours d’une vie normale…

Pendant plusieurs mois, je reçois peu de nouvelles de Maîtresse MAEVA. Les articles se font rares sur le blog. Maîtresse MAEVA ne publie plus que mes textes, pour me faire plaisir.

Le mercredi 30 juin 2010 est de nouveau un grand tournant dans ma vie après le drame. En effet, ce jour-là, je découvre, encore par hasard, un blog dirigé par une superbe Domina. Il s’agit bien évidemment de celui de Maîtresse KA. Je tombe littéralement sous le charme de ses sublimes pieds. Je m’inscris évidemment à la newsletter et je deviens très vite accro aux superbes pieds de la Maîtresse.

Je continue d’écrire car j’en ai encore besoin et j’ai encore tellement de choses à raconter. Mon besoin de me soumettre en réel devient de plus en plus important. Je m’inscris alors sur un autre site spécialisé dans les rencontres BDSM, mais pour le moment sans résultat.

Suis-je vraiment prêt à franchir le pas ?

Puis, par hasard, encore, je découvre un simple site proposant des annonces de sexe. Il y en a de personnes vivant dans ma région et recherchant des moments coquins. Certaines Femmes recherchent même des soumis, mais elles sont rares.

Je me demande alors pourquoi je n’ai pas pensé plus tôt aux sites de petites annonces !

Cela pourrait me permettre de réaliser certains fantasmes… Je décide donc de passer une demande dans laquelle je dis rechercher des Femmes désirant que je vénère leurs jolis pieds. Je n’ai pas de chance : mon annonce est restée pour le moment sans réponse. Parallèlement à cela, je m’inscris également sur un autre site de rencontres, gratuit celui-ci. Je suis cette fois-ci plus sérieux dans ma recherche et je désire sincèrement rencontrer quelqu’un. Je fais connaissance avec une Femme à laquelle, comme d’habitude, je m’attache très vite. Je m’imagine déjà vivant en couple, mais une partie de moi n’est toujours pas prête à franchir ce cap et à rencontrer cette Femme qui me plaît. J’hésite, j’ai peur. Voilà bientôt trois ans que je suis « caché » derrière mon écran d’ordi, je tremble d’affronter la réalité. Finalement, cette personne préfère que nous restions seulement amis. Et voilà une nouvelle déception, comme d’habitude !!! [Hé, tu ne fais non plus rien pour que ça change ! « J’ai peur, j’ai peur », et « malheureusement », voilà ce que tu répètes à satiété ! Tu es vraiment « caché » !] Je me mets alors à utiliser ce même site pour essayer de parler de mon fétichisme à des Femmes. Je me dis que peut-être l’une d’elles ne sera pas effrayée et acceptera de partager cette passion avec moi. Pourquoi pas ? Mais pour le moment, la plupart ne comprennent pas…

Je continue néanmoins à chercher sérieusement. J’espère que je pourrai rapidement briser cette solitude et peut-être commencer une nouvelle vie…

Si seulement, je pouvais changer les choses d’un coup de baguette magique !... Je changerais le déroulement de ce jour d’hiver qui a transformé à tout jamais ma vie et celle de ma Princesse. Souvent, quand je constate la tristesse de mon existence actuelle, je me mets à rêver de ce qu’elle aurait pu être si seulement le malheur ne nous avait pas frappés. Comme je vous l’ai expliqué, ma Princesse et moi vivions ensemble, nous formions un couple. Même si nous avions parfois des disputes, un lien puissant nous unissait.

Comme vous le savez, ma Princesse avait un très fort caractère. Moi, lorsque nous avons emménagé ensemble, on peut dire que j’ai un peu « pété les plombs ». Je reviendrai plus largement sur cela dans un autre texte. Lorsque nous avons commencé à vivre ensemble, mes mauvais instincts de mâle sont réapparus. Ainsi, j’avais souvent tendance à me rebeller. Bien entendu, ma Princesse n’acceptait pas et ne comprenait pas cette attitude da ma part, moi qui lui avais toujours été si soumis… Aussi, cela donna-t-il lieu parfois à des disputes assez vives.

Je veux que vous sachiez que l’époque où ma Princesse et moi avons vécu ensemble ne se résume absolument pas à ces disputes, et heureusement ! Cette période nous réserva de fabuleux moments de bonheur et c’est l’une des plus belles de ma vie, mais ces disputes représentent pour moi des points noirs dans notre histoire. Je nourris énormément de regrets à leur sujet, car je sais bien que j’en étais responsable. Parfois, lorsque je n’ai pas le moral et que je m’imagine ce qu’aurait pu être notre avenir, je me dis que nous aurions peut-être fini par nous séparer. Mais au fond de moi, je sais que nous étions faits l’un pour l’autre. Je suis sûr que j’aurais fini par comprendre mes erreurs, que je serais devenu un bon esclave, bien soumis, bien obéissant. J’aurais alors supplié ma Princesse jusqu’à ce qu’elle me donne une seconde chance. Nous avions vécu tant de choses tous les deux ! Je suis sûr que ma Princesse ne m’aurait pas abandonné. En revanche, la connaissant, je peux vous dire que j’aurais pu ramper des heures à ses pieds avant qu’elle ne me reprenne. Je peux vous assurer qu’elle m’en aurait fait baver ! Je l’aurais alors demandée en mariage, et aujourd’hui nous aurions peut-être un enfant. Quand je pense au décalage qu’il y a entre ce qu’aurait pu être notre vie et ce qu’elle est aujourd’hui, j’en suis malade. J’ai mal, tellement mal ! Je ne peux absolument rien faire pour changer notre situation actuelle, et c’est tellement injuste.

Je rêve d’avoir une vie belle et équilibrée. Je rêve d’avoir une Femme qui me dominerait sévèrement. Je rêve de trouver un bon travail. Je rêve de vivre avec la Femme que j’aime. Je rêve que le soir en rentrant du travail, je puisse me mettre aux pieds de ma Femme, afin de les lui masser et de la détendre. Je rêve de construire une famille, nombreuse…

J’espère qu’un jour mon rêve (re)deviendra réalité.

Que puis-je faire aujourd’hui ?

Je me retrouve, avec une vingtaine d’années déjà bien dépassées, à être encore puceau !!!

J’avoue que j’en suis vraiment gêné. Par moment, je me demande comment j’ai pu en arriver là. Les années passent tellement vite…

Il y a eu les années qui ont précédé ma rencontre avec ma Princesse. Les années de mon adolescence où je sortais avec mes amis. Les années où nous étions tous célibataires… À ce moment-là, comme je vous l’ai déjà expliqué, j’avais déjà du mal à séduire… Je n’ai jamais été un beau gosse. J’ai toujours eu des difficultés pour attirer les Filles, ma timidité n’a bien entendu rien arrangé. Déjà à l’époque, j’étais un peu jaloux de mes amis qui découvraient tous les uns après les autres leurs « premières fois » et je me sentais frustré. Ces belles années de mon adolescence furent riches en amitiés et en sorties diverses, mais malheureusement elles restèrent toujours sans amour (ou presque).

Il y a eu ma rencontre avec ma Princesse. Comme vous le savez, je suis tombé littéralement fou amoureux de ma Domina. J’ai passé des années merveilleuses à ses pieds. Je ne regrette pas une seule seconde des moments que nous avons passés ensemble. Ces années ont passé tellement vite, trop vite... Lorsque j’ai rencontré ma Princesse, j’ai su immédiatement qu’elle était mon âme sœur. Je sais que cette expression peut paraître parfois bête ou insignifiante, mais lorsque je l’ai rencontrée, cette expression a pris tout son sens… J’ai su qu’elle était la Femme de ma vie, la Femme avec qui je voulais vivre au quotidien et tout partager… J’avais le projet de demander ma Princesse en mariage. Je m’étais imaginé à genoux devant elle pour lui faire une déclaration d’amour passionnée… J’avais imaginé des noces grandioses et très romantiques. Ma Domina aurait été si belle dans une robe de mariée ! Lorsque nous avions évoqué le sujet, ma Princesse n’avait pas semblé vraiment favorable à ce projet, par peur de s’engager, je suppose. Néanmoins, je suis quasiment sûr que j’aurais pu la faire changer d’avis…

J’ai toujours adoré les enfants. Même si j’ai mûri assez tard, l’idée de fonder une famille m’a toujours attiré. Je savais que ma Princesse serait la Mère de mes enfants, j’en avais l’intime conviction… Elle avait, elle aussi, et depuis longtemps, le désir d’être Maman. Ce désir était si présent dans notre couple que nous avions été jusqu’à choisir un prénom de fille et de garçon. J’ai caressé ce bonheur du bout des doigts pendant une année, avant que la vie ne vienne briser l’idéal que je m’étais forgé.

Ma Princesse m’a fait découvrir le fétichisme des pieds et la soumission. Elle m’a permis d’être un esclave épanoui mais pas un homme comblé… En effet, pendant toutes ces années, je suis toujours demeuré fidèle à ma Maîtresse... et je suis donc resté puceau ! Lorsque ma Domina m’a fait l’honneur de dire que nous formions enfin un vrai couple, je fus bien entendu fou de joie. Mais j’ai toujours éprouvé ce manque, cette absence de « sexe ». Même lorsque nous vivions ensemble, ma Princesse m’a toujours imposé une frustration totale. Je sais bien que mon bonheur et mon plaisir étaient de lui faire Plaisir à elle, mais ce manque était toujours présent. Je vous raconterai cela dans un prochain texte.

Puis, il y a eu les années après le drame. Ce terrible jour d’hiver où toute ma vie se brisa. Les jours, les semaines, les années passaient sans que ma vie n’évolue, hélas.

Au départ, l’espoir est très présent, on se dit que la vie va redevenir comme avant, que ce n’est pas possible autrement. Puis peu à peu, la situation devient plus lourde, plus difficile à gérer et à supporter. L’espoir diminue alors lentement. Au début, je ne pensais qu’à ma Princesse. Alors que l’on me conseillait de refaire ma vie, de rencontrer quelqu’un, je ne pouvais me résoudre à cette idée. Je restais fidèle à ma Domina. Je ne me serais plus senti capable de me regarder dans une glace si je l’avais trompée. Les semaines, les années ont continué de passer. C’est notre jeunesse, nos plus belles années qui s’écoulaient alors. Puis, après une si longue attente, cette idée de refaire sa vie, qui paraissait au départ si farfelue et malhonnête, devint plus logique, presque évidente…

Bien entendu, je suis toujours resté fidèle à ma Princesse. Voilà pourquoi, aujourd’hui, je me retrouve encore puceau. Je n’en suis pas fier, mais je n’en suis pas non plus complètement honteux. Je pense qu’une telle fidélité à une Femme est une magnifique preuve d’amour et de don de soi-même.

Depuis le drame, je compare souvent ma vie à celle de mes amis. Ce constat m’attriste, ils sont tous heureux en ménage et moi je me retrouve encore comme une espèce d’adolescent puceau. J’ai l’impression de devoir tout recommencer à zéro. Je suis sûr que mes amis auront bientôt des enfants car nous avons tous l’âge d’en avoir. J’avoue que j’appréhende cette épreuve. Bien entendu, je me réjouirai pour eux mais le décalage entre eux et moi sera alors encore plus criant et cela me fera mal au cœur. Mes amis vont réaliser mon rêve, devenir père, un rêve auquel je vais devoir peut-être renoncer. Imaginez alors que mes amis deviennent pères de famille, tandis que moi j’attends encore ma « première fois » ! Quel décalage hallucinant ! Certains vont rire et se moquer de moi mais je ne leur souhaite jamais de vivre ce que je vis au quotidien depuis maintenant tant d’années…

Que vais-je faire aujourd’hui ?

J’ai besoin de pouvoir de nouveau vivre pleinement mon fétichisme des pieds. Je prends énormément de plaisir à admirer toutes les photos ou vidéos en rapport avec les pieds de Femme. Mais aujourd’hui, je ne veux plus me contenter de fantasmer devant des images. Je veux réellement vivre mon besoin en réel, comme je l’ai vécu pendant plusieurs années aux pieds de ma Princesse. Je veux mettre fin à ces longues années où j’ai dû m’abstenir de mon fétichisme des pieds. Aujourd’hui, je veux que cela change mais comment ?! Il faut que je rencontre une Femme qui accepte mon désir et le comprenne, et qui me permette d’être à ses pieds. Ce n’est malheureusement pas une chose aisée. J’ai déjà pu le constater souvent à mes dépens : les Femmes sont souvent effrayées lorsque je leur parle de mon besoin. Faut-il que je cherche une Femme uniquement pour assouvir ce désir ? Oui, bien entendu, cette idée me plaît mais ne me convainc pas complètement. J’ai sincèrement envie et besoin de retrouver une relation complice et harmonieuse aux pieds d’une Femme. Je ne cherche pas une relation qui se résumerait à quelques heures que je passerais ainsi. Bien entendu, dans un premier temps, c’est certainement, une relation de ce type qui me permettra de soulager mes désirs et besoins, mais ne sera qu’une solution provisoire. Soit, je prendrai contact avec une Dominatrice professionnelle, soit j’arriverai à trouver une Femme « vanille » que je pourrai initier au plaisir d’avoir un homme à ses pieds.

Au plus profond de moi, je souhaite vraiment retrouver une Femme que je pourrais de nouveau aimer et chérir toute ma vie. Bien entendu ma Princesse restera toujours ma Princesse, rien ne pourra briser ce lien qui nous unit. Simplement, notre relation est aujourd’hui bien différente…

J’ai besoin de retrouver une vraie vie de couple qui serait bien entendu fondée sur une relation D/s car ce besoin de soumission est ancré en moi. Mais je ne veux pas que ma vie se limite à cela. J’ai sincèrement envie de fonder une famille. Mais je ne suis pas bête, je sais bien qu’avant de penser à avoir des enfants, il faudrait que je découvre le plaisir de faire l’amour à une Femme !

Même si j’ai un grand complexe vis-à-vis de mon sexe, j’ai vraiment le désir de découvrir le plaisir de l’amour. Alors comment faire ? Mon idéal serait de vivre ma « première fois » avec une Femme que j’aimerais et avec qui je pourrais construire une relation sérieuse. Mais combien d’années encore, vais-je devoir attendre ? En effet, rencontrer la bonne personne, ce n’est pas facile, cela peut prendre du temps. J’avais rencontré la bonne personne mais la vie me l’a reprise. Alors, peut-être que, comme je l’avais envisagé avant de rencontrer ma Princesse, j’irai voir une « Professionnelle » pour qu’elle me fasse découvrir les plaisirs de l’amour.

Aujourd’hui, je me reprends en main. Je recommence peu à peu à avoir des contacts avec tous mes amis que j’avais perdus. Récemment, j’ai renoué avec Nicolas à qui pourtant j’avais tourné le dos. Je revois même Clément. Je ne vais pas dire que la bande s’est reconstituée comme avant, car nous avons tous nos vies aujourd’hui mais une page se tourne et je me dis que c’est peut-être le début, le commencement d’une nouvelle vie…

Aujourd’hui plus que jamais, j’ai conscience que notre existence ne tient qu’à un fil et qu’en une fraction de seconde, nous pouvons perdre tout ce que l’on met tant d’années à construire. Ainsi, sachant que le temps passe si vite et que le bonheur est éphémère, je tiens désormais à profiter au maximum de la vie et de tous ses plaisirs car je sais qu’un jour, il sera trop tard !!!

Alors oui, aujourd’hui, je tiens à avoir le droit à un nouveau départ, je le veux. Mon rêve serait de pouvoir fonder une famille avec une Femme que j’aimerais de tout mon cœur, une Femme qui me dominerait sévèrement. Je veux vivre de nouveau heureux et en harmonie aux pieds d’une Femme.

Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : Soumis & Soumises
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Mercredi 23 juin 3 23 /06 /Juin 12:08

FÉTICHISME ET SOUMISSION, XXIII

 

Ma Princesse et moi avions vraiment renoué une relation très complice et harmonieuse. Malheureusement, une après-midi du mois de juin est venue tout gâcher. Je vais vous la raconter…

Toute la bande s’était réunie chez moi pour regarder un DVD. Nous étions dans ma chambre, tous assis sur mon lit. Ma Princesse s’était installée au fond, juste à côté de Clément. Moi, je me trouvais à l’opposé. Pendant que nous visionnions le DVD, je ne pouvais m’empêcher de regarder ma Domina et d’admirer ses merveilleux pieds gainés de superbes bas qui me permettaient d’entrevoir par transparence la superbe beauté de ses orteils. Ses pieds magnifiques se balançaient lentement, en un mouvement ultra sensuel. Je n’ai quasiment pas suivi le DVD, tellement j’étais complètement hypnotisé par les splendides pieds de ma Domina. Ses ongles étaient vernis d’un rouge foncé que j’adorais et que, la veille, je lui avais appliqué avec amour. Cette après-midi-là, mon pote et ma Princesse semblaient être seuls au monde. Clément n’arrêtait pas de la faire rire, tout en frôlant çà et là ma Domina. Cela me rendait dingue mais je me maîtrisais. Soudainement, j’ai constaté avec horreur qu’un rapprochement s’opérait entre Clément et ma Maîtresse. Ils se tenaient par la main ! Là, c’était trop, je n’ai pas pu contenir toute ma colère et ma jalousie. Je me sentais furieux. Je me suis brusquement levé, avec l’intention de mettre violemment Clément hors de chez moi. Je pense que ma Princesse a compris ce que j’avais en tête, elle a dû le voir sur mon visage. Elle s’est alors levée et m’a dit : « Viens avec moi, nous allons aller chercher à boire. » J’ai obéi et nous sommes donc sortis ensemble de la chambre.

Ma Princesse m’a emmené dans une autre pièce et a fermé la porte. Elle m’a ordonné de me mettre à genoux devant elle. Je me suis exécuté et je me suis trouvé agenouillé aux pieds de ma Domina, tout proche de ses superbes bas que j’admirais et désirais depuis plus d’une heure déjà. Alors, le désir fut trop fort : j’ai courbé le dos et j’ai commencé à baiser le pied droit de ma Princesse. Je ne pouvais m’empêcher d’honorer ses pieds superbes. Mais elle a vite retiré sa jambe et m’a ordonné de relever la tête. À cause de mes cheveux courts, ma Domina ne pouvait plus me tirer par mes mèches comme auparavant. J’ai levé mon visage vers elle, qui me regardait d’une manière terriblement autoritaire. Elle me dit : « Tu as vu à quoi je t’ai réduit ? Tu n’es même plus capable de résister à l’envie d’honorer mes jolis pieds !… »

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J’ai baissé la tête sans rien lui répondre. Ma Princesse a repris : « Je sais ce que tu avais l’intention de faire lorsque tu t’es levé. Je te préviens, si tu fais quoi que ce soit contre Clément, tu ne goûteras plus jamais à mes pieds ! Tu sais que je ne plaisante pas. Tu as déjà passé un week-end totalement sevré de mes jolis pieds, et tu as vu dans quel état je t’ai récupéré ! Je t’ai déjà pardonné beaucoup trop de choses, mais là, si tu interviens dans ma relation avec Clément, je brise définitivement notre relation si particulière. Je ne reviendrai pas en arrière. Tu auras beau te prosterner, me supplier, m’implorer nuit et jour, pendant tout le reste de ta vie, je ne reviendrai pas sur ma décision. Je ferai en sorte que tu me voies en train de me faire honorer les pieds par d’autres hommes, mais je t’assure que toi, tu n’y toucheras plus jamais, que ce soit avec tes mains, avec tes lèvres ou avec ta langue. Sache que tu n’es pas unique. C’est vrai que par ta dévotion, ta soumission envers moi et surtout ton fétichisme de mes pieds, tu m’as fait découvrir un univers que je ne connaissais absolument pas et que j’adore. Mais aujourd’hui, je sais que si je vais sur le net, je n’ai qu’à claquer des doigts pour trouver des tas de gars qui seraient prêts à payer pour me lécher les pieds ! Alors, sache bien que tu es loin d’être unique, ne te crois surtout pas à l’abri. Il y a des tas de types qui se disent soumis mais beaucoup ne font que fantasmer. Si tu veux me prouver que tu es différent des autres et que tu es capable d’une soumission sincère, absolue, tu dois être capable de maîtriser ta colère, ta tristesse et ta jalousie, même si tu me vois dans les bras de Clément. Ton amour, ton désir pour mes jolis pieds doivent être pour toi la plus belle des récompenses. »

 

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J’ai alors coupé ma Domina pour lui demander comment elle avait fait pour faire des recherches sur le net. Car je savais bien qu’elle n’avait pas Internet chez elle. De plus, chez moi nous n’avions pas fait de recherches sur le fétichisme. Elle m’a répondu, très en colère : « Ce n’est là qu’un détail mais pour ta gouverne sache que j’ai été sur Internet chez une copine et que nous avons halluciné quand nous avons découvert le nombre de types prêts à nous lécher les pieds ! » D’une toute petite voix, j’ai alors dit à ma Princesse : « Mais, tu lui as parlé de moi ? » Ma Maîtresse m’a répondu : « Ça te fait flipper que l’on découvre ta vraie nature !... Tu seras bien obligé un jour ou l’autre de la révéler au grand jour. Tu ne connais pas ma copine mais elle, elle connaît ta nature profonde… » J’ai pâli, mais ma Domina a continué : « Il y a quelques minutes, tu viens de baiser  mes jolis pieds pendant quelques secondes. Maintenant, c’est à toi de décider si c’était la dernière fois où non. J’espère pour toi que tu prendras la bonne décision. Je veux que tu sois super gentil avec Clément. À la limite, je veux que tu te soumettes à lui ! Veille à ce que nous manquions de rien. Maintenant, je vais retourner dans la chambre. Toi, tu vas en cuisine et tu nous rapportes à boire. Tu me serviras en premier, puis Clément, et ensuite tu te comporteras comme un bon petit toutou et tout ira bien. Tu m’as bien comprise ? »

J’ai répondu : « Oui ma Princesse ! » J’ai alors baissé la tête pour baiser de nouveau les magnifiques pieds de ma Domina. Mais, une nouvelle fois, elle me les a retirés, en me disant : « On verra ça plus tard ! On verra si tu es un bon lèche-bottes, pour moi et Clément. Pour l’instant, va en cuisine, on a tous soif !»

Je suis remonté avec un plateau pour apporter les verres et le Coca à toute la bande. Lorsque je suis rentré dans ma chambre, j’avais vraiment l’impression d’être un domestique. J’en étais à la fois excité et perturbé. Ma Princesse était complètement renversée dans les bras de Clément. J’en étais malade mais je n’avais pas le choix. Nous avons continué notre après-midi DVD. Ma Princesse et Clément se tenaient de plus en plus proches. Lui n’arrêtait pas de la faire rire, et j’ai même cru qu’ils allaient s’embrasser. Intérieurement, je bouillais, et je devais faire preuve d’un grand self control. Je n’arrêtais pas d’admirer les sublimes pieds de ma Domina, et c’est cela qui me permettait de tenir. Je ne voulais pas perdre le droit et l’honneur d’honorer ses magnifiques pieds. Ce fut l’une des plus longues et des pires après-midi de ma vie. Malheureusement, ce n’était qu’un début.

Comme vous le savez, ma Princesse et moi aimions discuter de tout pendant de longues heures. Ma Domina a souvent évoqué les sentiments qu’elle éprouvait pour Clément. Je me rendais compte qu’elle devenait de plus en plus amoureuse, j’en étais malade mais je ne disais rien. Je l’écoutais, je la conseillais même. Vous imaginez mon état de soumission et de frustration ! Ma Maîtresse me demandait que je lui parle de Clément, elle voulait tout savoir sur lui afin de le séduire. J’avais vraiment beaucoup de mal à supporter cette situation. Le paradoxe est que, comme vous le savez, ma Princesse faisait preuve avec moi d’une sévérité exemplaire, alors que parallèlement ses forts sentiments pour Clément la poussaient à se soumettre, au moins à se rabaisser un peu devant lui. Cela m’était insupportable, j’avais l’impression que ma Princesse recommençait les erreurs du passé lorsqu’elle tombait amoureuse de certains garçons.

En effet, lorsqu’elle était vraiment amoureuse de l’un d’eux, elle perdait plus ou moins le contrôle au profit du garçon. Bien entendu avec moi, le problème ne se posait absolument pas puisque ma Princesse n’éprouvait aucun sentiment pour moi, à part de l’amitié.

Pour Clément, elle se doutait que, comme moi, il était encore puceau. Elle s’était mis en tête d’être la première fille qu’il « posséderait », afin de le rendre accro à elle-même. J’ai essayé plus d’une fois de lui faire comprendre que ce n’était pas du tout une bonne stratégie. Je lui ai assuré que se donner à un garçon était la plus belle chose qu’elle pouvait lui offrir. Ainsi, je lui ai dit qu’elle devait réfléchir, qu’elle devait être sûre de ses sentiments. Je lui ai dit qu’elle devait faire attendre le garçon et que, s’il était vraiment amoureux, il saurait patienter. Je lui ai dit que si elle s’offrait trop vite, cela aurait l’effet inverse. Ma Princesse avait du mal à me croire, elle était aveuglée par sa passion. De plus, elle pensait que je disais tout cela par jalousie. Et oui, c’est vrai, j’étais fou de jalousie mais mes propos étaient sincères : je pense qu’un garçon doit savoir attendre que la fille qu’il désire veuille réellement de lui, et en espérant ce moment faire preuve d’abstinence. Depuis que ma Princesse m’avait imposé une continence totale, en dehors de mes masturbations à ses pieds, jamais je ne m’étais senti aussi bien. En période de privation sexuelle, l’envie sexuelle augmente, les sensations sont décuplées, et c’est merveilleux. Au départ, c’est difficile, il faut apprendre à gérer le désir mais après cela devient délicieux. J’ai commencé à adorer les périodes de continence. Grâce à elles, le désir devient permanent et toujours plus intense, c’est un état d’euphorie quasi permanent, c’est extraordinaire à vivre.

J’essayais vraiment de raisonner ma Princesse sur cette question, mais ce fut difficile. Alors que je pensais lui avoir ouvert les yeux sur le fait de ne surtout pas se donner tout de suite à un garçon, je fus assommé lorsque ma Maîtresse m’informa de ses nouvelles intentions… En effet, ma Princesse me dit ceci : « OK ! Il ne faut pas qu’une fille se donne trop vite à un mec, mais je pense que si je fais une petite gâterie à Clément, il ne pourra plus me résister. » Vous imaginez mon horreur lorsque j’ai entendu ces propos. J’ai toujours trouvé cette pratique tellement dégradante pour la femme ! Cette idée m’était insupportable. J’essayais vraiment de raisonner ma Domina. Je ne comprenais pas comment elle pouvait avoir une telle idée, alors qu’elle était si dure au quotidien avec moi. Elle était complètement influencée et perturbée par ses sentiments. J’essayais vraiment de lui parler mais sans grand succès. Je savais qu’à un moment ou à un autre, ma Princesse commettrait ce que je jugeais irréparable. J’ai tenté d’expliquer à ma Domina que je trouvais vraiment cette pratique dégradante pour la femme. Elle m’a alors expliqué que si la femme est vraiment amoureuse, elle peut ressentir du plaisir, même dans cette pratique. Elle m’a alors reparlé de l’un de ses « ex » dont elle avait été follement amoureuse...

Je me rendais bien compte que ma Princesse devenait de plus en plus amoureuse de Clément. Comme je vous l’ai dit, ce garçon était très comique. Il s’amusait toujours à nous faire rigoler en disant qu’il aimerait recevoir une petite gâterie. J’avais parfaitement conscience que ce qu’il disait sous forme d’humour révélait une véritable envie, un fantasme profond. Je suis certain que ma Princesse elle aussi l’avait parfaitement compris. Mais je la sentais prête à réaliser le fantasme de Clément afin de se le garder. J’avais peur pour elle, j’avais peur que par la suite, elle le regrette et soit de nouveau blessée. Ma Domina avait déjà souffert de tellement de blessures amoureuses qui n’étaient pas complètement cicatrisées. Elle n’avait absolument pas besoin d’une nouvelle déception !…

Cette fameuse après-midi DVD se poursuivit dans ma chambre. J’étais aux petits soins pour ma Princesse… et même pour Clément. Je leur servais à boire, je leur donnais des coussins pour qu’ils soient plus à leur aise. Ils ne se préoccupaient absolument pas de moi, ils étaient de plus en plus proches l’un de l’autre. Je croyais même m’apercevoir que les copains de la bande étaient gênés de l’attitude de Clément et de ma Princesse envers moi. Finalement, l’après-midi se termina. Nous avons tous décidé d’aller manger au restaurant et nous sommes descendus afin de nous rechausser pour partir. Ma Princesse se tenait debout sur l’avant-dernière marche. Devant tous mes amis, elle s’adressa à moi par ces mots : « Va vite me chercher mes bottines et viens me les mettre aux pieds !! » À ce moment-là, tout le monde s’arrêta de parler, l’ambiance joyeuse laissa place à un grand silence glacial. Tout le monde se regardait, nous étions tous comme figés après avoir entendu ces propos. Même Clément semblait avoir perdu son sens de l’humour. Voyant que je ne réagissais pas, ma Domina me dit : « Tu te dépêches ! Je commence a avoir froid aux pieds. » C’est alors seulement que j’ai réagi et que je suis parti chercher les bottines de ma Domina. Les autres sont sortis, me laissant seul aux pieds de ma Princesse. Je l’ai rechaussée. Une fois que je l’eus fait, elle descendit l’escalier et me dit à l’oreille : « Tu les désires ? Alors, tu as intérêt à te tenir à carreau ce soir !! » Puis nous sommes sortis. D’habitude, lorsque nous faisions une sortie, ma Princesse montait toujours dans ma voiture. Mais ce jour-là, elle décida de monter avec Clément. Je n’ai rien pu dire mais cela me fit beaucoup de mal. Pendant toute la route, alors que je suivais Clément et ma Maîtresse, j’étais malade à l’idée qu’ils ne soient que tous les deux dans cette voiture. Je me demandais ce qu’ils pouvaient se dire. J’en étais malade, j’avais les larmes aux yeux. Mes amis s’en étaient rendu compte, l’ambiance dans l’auto était morose. Finalement, nous sommes arrivés au restaurant. Bien entendu, ma Maîtresse s’est installée à côté de Clément. Moi, j’étais juste en face d’elle. Nous avons commandé. Puis par un violent coup de pied dans le tibia, elle m’a fait comprendre que je devais la suivre aux toilettes. Là, ma Domina m’a demandé de lui donner de l’argent. Je lui ai dit que, comme d’habitude, je paierais pour elle. Mais ma Princesse ne voulait surtout pas que Clément se rende compte que je payais à sa place. Je lui ai donc donné des billets puis je lui ai demandé si elle m’autorisait à lui baiser la main. Elle m’autorisa à le lui faire rapidement en disant : « Si ça peut te faire plaisir !… »

Le baise-main était un rituel, une habitude à laquelle j’avais initié ma Princesse afin de lui rendre hommage et afin de lui prouver ma soumission. Les jolies mains de ma Domina étaient à son image : magnifiques. Elle étaient fines, avec de longs doigts et des ongles superbes. Si vous saviez le nombre de fois où j’ai complimenté ma Maîtresse sur la beauté de ses mains ! C’était l’une des rares parties de son corps par rapport à laquelle ma Princesse n’avait aucun complexe. Elle avait conscience que ses mains étaient vraiment jolies, et moi, j’adorais les lui baiser quand je ne pouvais pas poser mes lèvres sur ses jolis pieds.

La soirée au restaurant se passa à l’image de l’après-midi. Clément et ma Princesse paraissaient toujours de plus en plus complices. Quand nous sommes repartis, ma Domina est bien évidemment montée dans la voiture de Clément. Il l’a raccompagnée chez elle, tandis que je les suivais. Quand ils se sont arrêtés devant la maison de ma Princesse, je me suis garé juste derrière eux. Au moment de sortir de la voiture, ma Princesse s’est penchée sur Clément et ils se sont embrassés. Devant ce spectacle, mes larmes se sont mises à couler, naturellement, sur mon visage. Mes amis essayaient de me réconforter. Je savais bien que cela finirait par arriver mais cette vision me faisait tellement mal… Ma Princesse nous adressa un signe puis elle rentra chez elle.

J’étais à peine rentré chez moi complètement démoralisé que je sentis mon portable vibrer. Ma Maîtresse me téléphonait pour me dire : « Mes parents ne sont pas là, ils vont rentrer tard dans la nuit. Ramène-toi chez moi tout de suite, j’ai envie de t’avoir à mes pieds !!! » J’adorais vraiment quand ma Domina me parlait comme cela. Ce genre de mots me rendaient dingue, ils ont toujours eu un impact incroyable sur moi, et ma Princesse le savait bien. J’ai sauté dans ma voiture et en cinq minutes, je suis arrivé chez ma Domina. Elle me fit entrer. Déjà en pyjama, elle s’était démaquillée. Même ainsi, en négligé, sans maquillage, ma Princesse était toujours magnifique. J’admirais sa grande beauté, je l’aimais tellement ! Dès que je fus entré, elle se rassit dans son canapé et me dit : « Va chercher l’huile de massage dans ma chambre !! » Je me suis exécuté. De son index autoritaire et impérieux, ma Princesse m’indiqua son pied droit et m’ordonna : « Masse-moi les pieds. Ils se sont échauffés à cause de mes bottines. Je te veux à mes pieds, mais je ne veux pas t’entendre. Je suis occupée. Et tu as intérêt à être doux et efficace !!!! »

 

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Avant de m’agenouiller devant ma Princesse, j’ai vu qu’elle était occupée à écrire un SMS sur son portable, mais je n’en connaissais ni le destinataire ni le contenu. Immédiatement, je me suis jeté aux merveilleux pieds de ma Domina que j’avais tant désirés pendant toute l’après-midi DVD. J’ai retiré ses pantoufles puis ses superbes bas. Je pouvais enfin poser mes mains sur la peau si douce de ses splendides pieds. J’avais envie de les lui baiser mais je n’en avais pas reçu l’autorisation. Je commençai le massage avec beaucoup de plaisir et d’amour. Mes mains parcoururent les magnifiques pieds de ma Domina, je les lui massais avec une réelle dévotion. Nous respirions la merveilleuse odeur des huiles essentielles. Depuis plus de quarante-cinq minutes, à genoux devant ma Princesse, je lui massais ses splendides et si désirables pieds. Depuis mon arrivée, après m’avoir fait connaître sa volonté, ma Maîtresse ne m’avait plus un seul instant adressé la parole. J’entendais son portable qui bipait, elle n’arrêtait pas d’écrire et de recevoir des textos. Après tout ce temps, ma curiosité a pris le dessus, je n’ai pas pu m’empêcher de relever la tête pour regarder ce que ma Princesse était en train de faire. Osant faire cela, j’ai commis une grave erreur. J’avais à peine relevé la tête, j’avais juste eu le temps d’apercevoir ma Princesse avec son portable en main, lorsque je reçus un violent coup de pied dans le visage, en plein sur le nez. Cela me fit très mal, et j’ai même poussé un petit cri. J’ai vraiment cru que j’allais me mettre à saigner du nez. Puis avec ses deux pieds, ma Maîtresse appuya sur ma nuque afin de me forcer à me prosterner devant elle et à bloquer la tête par terre. J’avais une joue plaquée sur le carrelage froid. Ma Domina me dit : « Tu te permets une nouvelle fois de me désobéir ! Tu te prends pour qui ? Je t’avais dit que je ne voulais pas t’entendre. Je ne t’avais pas non plus autorisé à relever ta tête. Tu as de la chance que tu sois vraiment doué pour les massages de mes pieds et que tu apportes un réel bien-être à mes petits petons, sinon  tu dégagerais vite fait chez toi !!! »

J’ai alors pris la parole pour présenter mes excuses à ma Domina qui me coupa immédiatement en me disant : « Tu as compris ? Je ne veux pas t’entendre ! T’es sourd ou t’es con ?? Mais je vais satisfaire ta curiosité. Depuis tout à l’heure, Clément et moi n’arrêtons pas de nous échanger des textos. D’ailleurs, demain à midi, nous allons manger ensemble et officialiser notre relation. Tu voulais savoir et bien maintenant tu sais !!! » Je suis resté sans réaction, complètement abattu à l’idée que ma Princesse et Clément allaient sortir ensemble sans que je puisse rien faire. Ma Domina me dit : « Remets-moi mes pantoufles, je vais aller au lit. » Bien sûr, je lui ai tout de suite obéi. Ma Princesse se leva alors du canapé et me siffla comme on fait pour un chien, afin de m’indiquer que je devais la suivre. Elle alla dans sa chambre et s’allongea dans son lit. Il n’y avait que ses magnifiques pieds qui dépassaient de la couette. Elle me dit : « Mets-toi à genoux à mes pieds, masse-les-moi jusqu’à ce que je m’endorme, puis va-t’en en claquant la porte. Demain matin, je t’attendrai à 9 heures pile, tu m’aideras à me faire la plus belle possible pour Clément. Réponds juste par oui si tu as compris ! » J’ai alors dit : « Oui, ma Princesse, je suis à toi et je ferai tout ce que tu voudras. » Puis j’ai repris le massage de ses beaux pieds. En moins de quinze minutes, ma Princesse s’était endormie. Je me suis alors relevé, j’ai tiré la couette sur ses jolis pieds pour qu’ils n’attrapent pas froid. Je suis rentré chez moi, complètement malade à l’idée de savoir que le lendemain Clément et ma Princesse allaient manger ensemble.

Depuis notre rencontre, depuis plusieurs mois maintenant, ma Domina et moi même étions constamment ensemble. Nous faisions tout à deux, nous mangions quasiment toujours ensemble. J’avais l’impression que j’allais perdre ma Domina et que Clément allait prendre ma place. Je ne supportais pas cette idée, j’en étais malade. D’ailleurs, je ne suis pas rentré chez moi tout de suite, je suis resté en voiture un moment afin de réfléchir. Je n’étais même pas sûr que Clément était réellement amoureux de ma Princesse. Je savais que je ne devais pas m’en mêler mais il fallait que j’aie une discussion avec Clément. Donc en pleine nuit, je lui ai envoyé un texto pour demander à le voir le lendemain matin. Bien entendu, je n’ai pas eu de réponse avant ce lendemain matin. D’ailleurs, il a dû me prendre pour un fou de lui envoyer un message si tard. Je pense qu’il devait être un peu inquiet à l’idée de me rencontrer. Mais il accepta quand même et promit de passer dans la matinée.

Finalement, je suis parti me coucher, mais j’ai très mal dormi. Je savais qu’une journée très pénible m’attendait…

Mais elle dépassa tout ce que j’avais pu imaginer…

 

paillasson ch'ti, esclave total, sincère et dévoué de Maîtresse MAEVA

Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : Soumis & Soumises
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Mercredi 3 mars 3 03 /03 /Mars 06:48

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Pour la qualité des images, vous vous plaindrez à Erog, de plus, il m'est impossible d'éditer de nouvelles photos, encore un bug.... alors, les photos que je publie sont d'anciennes photos déja éditées, mais la qualité en est altérée, et ces problèmes se surajoutent à mon manque de motivation pour ce blog qui ne m'intéresse plus, et que je maintiens un minimum pour ne pas décevoir la dizaine de vrais fidèles que je connais depuis le début pour certains. La nouvelle orientation de ce blog est la publication de textes que vous m'enverrez, à condition qu'ils me plaisent.... "fétichisme et soumission" est mon texte préféré, alors, bonne lecture!


FÉTICHISME ET SOUMISSION (XXI)


Après cette après-midi de mercredi que nous avions passée chez Madame Marie, ma Princesse et moi étions encore plus liés et complices qu’auparavant. La révélation de mon secret et de toute ma vie d’adolescent nous avait encore rapprochés. Nous étions vraiment bien, nous avions repris notre petite vie habituelle. Je passais des heures à prendre soin des pieds de ma Domina. J’étais heureux.

Le week-end suivant, une situation est venue compliquer cette belle harmonie. Le jeudi soir, j’avais été invité à manger chez les parents de ma Princesse qui recevaient des amis. Comme ma Domina et moi étions toujours ensemble, ils m’avaient très gentiment proposé de venir. La soirée se passa très bien. Vers minuit et demie ma Princesse qui commençait à être fatiguée me demanda de partir pour qu’elle puisse aller se coucher. Mais voilà que ses parents ainsi que leurs amis ont insisté pour que je reste. Ma première erreur fut de leur céder.

Ma Domina est finalement partie se coucher mais je voyais très bien qu’elle était furieuse que je ne lui aie pas obéie. Quand elle se fût absentée, tout le monde me dit que je ne devais surtout pas continuer à me laisser commander. Tous avaient parfaitement remarqué que j’étais fou amoureux de ma Domina et que je lui étais soumis. Ils ont affirmé que je devais réagir, arrêter de céder à tous ses caprices. Ils m’ont dit qu’ils étaient persuadés qu’elle m’aimait aussi. Ils avaient des mots très gentils à mon égard, ils me disaient que nous ferions un très joli couple et que, si je devenais distant, c’est elle qui viendrait vers moi. Pendant près de deux heures, ils n’ont fait que me parler de cela. J’écoutais attentivement, mais je me sentais un peu perdu. Finalement, la soirée se termina et je pus rentrer chez moi.

J’avoue que j’étais un peu inquiet car, sachant que j’avais désobéi à ma Domina, j’appréhendais sa réaction. De plus, ma deuxième erreur fut d’écouter et de croire ce que les gens m’avaient dit. En pensant qu’en agissant comme un mec macho, j’aurais une chance avec ma Princesse, je commettais une grave erreur. Mais je la connaissais encore mal à l’époque…

Le lendemain midi, elle devait venir manger chez moi. Cela arrivait régulièrement quand elle n’avait pas beaucoup de temps pour se restaurer entre les cours. Il s’agissait toujours d’une situation toujours plus ou moins stressante. En effet, la relation que j’entretenais avec ma Princesse était très mal vécue par ma famille. Ainsi, lorsque nous partagions un repas, les rapports étaient toujours plus ou moins tendus entre ma mère et ma Domina. Moi, j’étais au milieu et j’essayais de limiter les dégâts, ce qui n’était pas toujours simple. Ce jour-là, dès que je suis sortie de cours, j'ai couru au lycée chercher ma Maîtresse qui terminait un peu plus tard que moi.

Au matin, lorsque j'étais allé la chercher pour la conduire à son établissement, elle ne m’avait pas dit un mot. Ce midi-là, elle adopta la même attitude. Juste avant que nous rentrions chez moi pour déjeuner, elle me glissa à l’oreille une phrase qui me glaça le sang : « Hier soir avec mes parents, tu as fait ton malin, tu m’as désobéi, tu as refusé de partir. Tu pensais peut-être que je dormais mais j’ai tout écouté. J’ai été écœurée en entendant votre conservation. Si tu penses avoir une chance avec moi en agissant comme un vulgaire macho, tu es vraiment trop con. Tu as été trop loin, j’ai donc pris une décision. Ce soir, je viendrai récupérer toutes mes affaires chez toi et tout sera terminé. »

Je n’ai pas eu le temps de réagir car ma mère est venue nous ouvrir la porte. Pendant le repas, ma Princesse mangeait en me regardant d’un air ironique. J’étais complètement abattu par ce que je venais d’apprendre. Moi qui en temps normal ai un très gros appétit, je n’arrivais à rien avaler ; j’avais une boule dans le ventre, la gorge serrée. Ma mère s’en aperçut et me demanda ce qui se passait. Elle s’était rendu compte qu’il y avait un problème entre nous, que nos relations étaient beaucoup plus tendues que d’habitude. Ma Princesse lui répondit : « Vous n’avez qu’à demander à votre fils. Hier soir, il a fait quelque chose qui m’a déplu. » J’ai dit à ma mère que je n’avais pas envie d’en parler.

Quand il fut l’heure de ramener ma Princesse au lycée, je l’y ai raccompagnée. J’essayai de lui parler de la décision qu’elle venait de prendre. Elle me dit qu’elle n’avait pas le temps de discuter, qu’elle serait en retard en cours et que de toute manière sa décision était prise. Elle me dit : « Tu vas apprendre que tout tes actes ont des conséquences. Quand je pense que tu m'as fait tellement plaisir cette semaine et que tu as tout gâché en te comportant comme hier soir. Le problème avec toi, c’est que tu fais des choses bien, qui me plaisent beaucoup mais que tu finis toujours par tout gâcher d’une manière ou d’une autre. » Elle s'est alors penchée à mon oreille et m’a dit : « En plus d’être un fétichiste des pieds, je ne serais pas étonnée que tu sois maso car tu aimes souffrir. En tout cas, tu as un esprit destructeur. Tu as fait tant d’efforts pour obtenir le droit de t'occuper de mes jolis pieds, d’être mon serviteur et voilà que tu gâches tout ! C’est vraiment dommage, mais tant pis pour toi. Cette après-midi, comme tu n’as pas cours, je veux que tu regroupes l’ensemble de mes affaires. Je les reprendrai ce soir puis nous nous dirons adieu. »

J’en étais malade, j’étais complètement brisé. Je me refusais à perdre ma Domina, ce n’était pas possible. Je n’ai pas préparé ses affaires, je ne voulais pas la laisser me quitter, j’étais complètement dépendant d’elle. Ma mère cherchait à savoir ce qui se passait, elle recommençait à me faire la morale en me disant que cette fille était méchante, qu’elle me faisait souffrir. Elle a même dit : « Si votre relation continue comme cela, je refuserai de la laisser entrer chez nous ».

Tout était en train de se compliquer pour moi, je ne savais plus quoi faire, j’en avais marre. Il était 16 heures 30, il était l’heure d’aller au lycée chercher ma Domina. Ses premières paroles furent pour me demander où étaient ses affaires. J'ai dû alors lui avouer que je ne les avais pas préparées, que je ne voulais pas la perdre. J’ai garé la voiture sur un parking pour discuter. Ma Princesse m’a dit qu’elle avait vraiment souffert en entendant notre conservation de la veille au soir. Elle se plaignait :"Je pensais que tu étais différent des autres garçons, que tu n’étais pas un gros macho qui me ferait souffrir comme tous les autres. Et pourtant, tu as accepté tout ce qu'on t'a dit hier. J’en ai pleuré car tu m’as vraiment peinée et déçue ». Tandis que ma Princesse m’expliquait tout cela, je ne pouvais m’empêcher d’admirer ses jolis pieds, de les désirer, de vouloir leur rendre humblement hommage. 

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Nous étions à la fin du mois de mai et à quelques jours des premières épreuves des examens. Il faisait beau, ma Domina avait donc mis des sandales « pieds nus » qui me permettaient d’admirer ses jolis ongles vernis. Ma Princesse ne tarda à remarquer que je fixais le mouvement si sensuel de ses magnifiques pieds. Elle me dit : « C’est même pas la peine d’y penser ! Tu m’as tellement déçue ! J’ai même pas envie que tu me touches les pieds !… J'ai alors éclaté une nouvelle fois en sanglots. Je lui ai dit que je regrettais sincèrement mon attitude, que j’implorais son pardon. Bien entendu, j’étais sincère mais ma Domina resta néanmoins complètement inflexible. Elle me dit : « C’est beaucoup trop facile ! À chaque fois, tu pleures, tu implores mon pardon. Moi, je suis toujours trop gentille, je te pardonne, je te laisse revenir à mes pieds. T’es un bon petit toutou et tu me sers bien pendant quelques jours, puis tu recommences tes conneries. J’en ai marre. Tu as été trop loin hier soir car outre le fait que tu m'aies désobéi, ce qui n’est déjà pas très glorieux pour quelqu’un qui m’a juré une obéissance absolue, tu m’as fait souffrir par ton comportement. Je ne peux pas passer là-dessus comme cela. Pourtant, je vais être encore trop gentille avec toi. Je vais te laisser un sursis. Je ne vais pas reprendre mes affaires ce soir. Mais maintenant, tu vas me ramener chez moi. » J’osai lui demander : « Alors, on ne passe pas la soirée ensemble ? » Elle me rétorqua : « J’ai vraiment pas envie de te voir plus longtemps… Mais je vais réfléchir. Je t’appellerai ce week-end. Peut-être que ma colère et ma déception auront diminué. On verra bien. En revanche, si je te dis que je veux reprendre mes affaires, cette fois-ci tu me les rapporteras car ma décision sera définitive. J’espère que tu ne m’obligeras pas à aller voir tes parents et à leur dire ton secret !… ».

Très surpris, j’ai demandé à ma Princesse : « Tu serais capable de faire cela ? » Ma Domina me répondit : « Non, je ne suis pas méchante… Mais si tu refuses de me rendre mes affaires, là je n’hésiterai pas une seule seconde. » Je lui ai alors redit que je ne pouvais pas vivre sans elle. Ma Maîtresse me glaça de nouveau le sang en me lançant « Il fallait y penser avant de faire le malin hier soir… Tu as voulu jouer au grand, au macho, à l’homme viril. J’espère que tu t'es fait plaisir… »

Elle s’est alors approchée de moi, pour me parler à l’oreille : « Au fond de toi, tu sais que tu vas toujours finir par revenir en rampant à mes pieds, comme un chien qui revient toujours aux pieds de sa Maîtresse… »

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 Depuis notre rencontre, nous n'étions jamais restés séparés plus de vingt-quatre heures. Ma Domina a poursuivi : « Finalement, je t’appellerai dimanche soir pour te faire connaître ma décision. Je vais profiter de ce week-end pour réviser. Tu verras, le manque va devenir insupportable pour toi. Tu vas être pendant quarante-huit heures sevré de mes jolis pieds, tu ne pourras ni les admirer, ni les toucher, ni les baiser, tu ne pourras que fantasmer… En te rendant compte de ce que tu perds, tu changeras peut-être de comportement. C’est vraiment dommage : tu es quelqu’un de bien, mais il faut toujours en arriver à des mesures radicales pour te faire comprendre les choses, pour te faire changer. »

Je continuai de supplier ma Princesse. Elle me dit : « Ce n’est pas la peine d’insister, cela ne marchera pas, cette fois-ci. Je t’appelle dimanche soir pour te dire ma décision. En attendant, réfléchis bien à ton comportement et essaie de te corriger. Maintenant, ramène-moi tout de suite chez moi. »

Je me suis donc exécuté et ma Princesse est rentrée chez elle. Elle ne s’est même pas retournée vers moi… Pour la première fois depuis notre rencontre, j’allais passer tout un week-end sans elle. J’étais brisé, complètement cassé. J’ai roulé jusqu’à un coin tranquille en campagne où je me suis arrêté pour pleurer, tout seul, comme un gamin. J’étais tellement malheureux, je ne supportais pas l’idée de la perdre. Dans ces moments de désespoir, j’avais des idées noires, alors que dans la vie de tous les jours, je suis quelqu’un qui respire la joie de vivre. J’étais démoralisé. L’idée de perdre ma Princesse m’était insoutenable.

Heureusement, je n’ai jamais laissé ces idées sombres prendre le dessus en commettant l’irréparable !!! Et même, je m'en veux rien que d'y avoir pensé. La vie est un cadeau, un trésor. Je n’avais pas le droit d’imaginer des choses pareilles. Dans ces moments de très grande détresse, je pensais à ma famille, à notre très profonde complicité. Je savais que s’il m’arrivait quelque chose, ils ne le supporteraient pas. C’est cette idée qui en partie m’a permis de ne pas basculer dans le côté sombre. Mais j’étais vraiment très mal à l’idée de perdre ma Princesse.

J’ai passé mon week-end à végéter chez moi, je regardais mon portable toutes les cinq minutes en attendant un coup de téléphone ou un sms de ma Domina. J’essayais bien de me concentrer sur mes révisions mais je n’y arrivais pas. Depuis ma rencontre avec ma Princesse, tous les week-ends nous sortions, tous les samedis nous faisions les magasins et le dimanche, nous allions nous promener. J’avais pris ce rythme, cette habitude. Alors, lorsque soudainement, ce week-end là tout s’est arrêté, j’ai eu beaucoup de mal à le supporter. Avant de connaître ma Princesse, je sortais avec mes amis chaque fin de semaine mais chacun d’entre eux faisait désormais sa vie et je me retrouvais seul. En plus, je n’arrêtais pas de penser à aux magnifiques pieds de ma Princesse, je ne pouvais pas les chasser de ma tête. J’avais besoin de les toucher, de pouvoir les contempler, je n’arrêtais pas de penser à eux. L’image des sublimes pieds de ma Domina me hantait encore et encore.

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Finalement, le dimanche soir, mon portable sonna. J’avais attendu ce coup de fil durant tout le week-end et pourtant je n’osais même pas répondre. J’avais peur de la décision qu’allait m’annoncer ma Princesse. Je savais que je ne supporterais pas une séparation totale. Au bout de trois sonneries, j’ai finalement répondu. Ma Domina avait une voix très autoritaire. Elle commença par me dire bonjour, et je fus un peu rassuré. Puis elle me demanda ce que j’avais fait durant le week-end. Je lui ai avoué que je n’avais fait que penser à elle. J’ai recommencé à lui demander pardon et à la supplier. Elle m’écouta puis elle me coupa : « Ça suffit ! Tu auras l’occasion de me supplier plus tard… Moi, j’ai bien révisé pendant ces deux jours, mais je ne sais pas si cela sera suffisant pour réussir les examens. Comme tu le sais, cette année, j’étais vraiment dans une classe de merde, je ne sais pas si je réussirai à rattraper le retard accumulé pendant l’année. Et toi, as-tu révisé pour tes examens ? » J’ai répondu : « J’ai essayé mais je n’arrivais pas du tout à me concentrer… » Ma Princesse me dit alors : « Je me suis bien calmée depuis vendredi. Je me sens mieux, ma colère est un peu tombée, mais ne crois surtout pas que j’ai tout oublié pour autant. Ce n’est absolument pas le cas. »

Ma Princesse me demanda si le lundi après-midi il y aurait quelqu’un chez moi. Je lui dis que j'aurais la maison pour moi tout seul car mes parents travaillaient. Elle m’ordonna alors de venir la chercher ce jour-là à 14 heures. Je lui ai demandé ce que nous allions faire chez moi. Elle me répondit : « Tu verras ça demain. En attendant, je te conseille de réviser si tu veux réussir à ton examen. »

Elle me dit au revoir et raccrocha.

Premièrement, j’étais soulagé car ma Princesse n’avait pas mis un terme définitif à notre relation, et c’était un immense soulagement pour moi. D’un autre côté, je savais que ma Princesse allait me punir. Elle m’avait demandé si je serais seul chez moi, et cela signifiait qu’elle avait une idée derrière la tête. J’appréhendais le programme qu’elle me réservait, mais dans tous les cas cela ne pouvait pas être pire que la douleur que j’aurais ressentie si ma Domina m’avait définitivement quitté. Désormais, nous étions libres, les cours étaient terminés, nous étions dans la dernière ligne droite avant les examens.

Le lundi, à 14 heures, j’ai garé la voiture devant chez ma Domina. Elle est sortie, portant un petit sac. Je me demandais ce qu’il contenait. Ma Princesse est entrée dans la voiture, nous nous sommes souhaité le bonjour puis elle m’a ordonné : « Allez, vite, on va chez toi !!! » Une fois entrés, d’un geste de son index, elle m’ordonna de lui retirer ses superbes sandales. Dès que ma Domina était entrée dans la voiture, j'avais remarqué qu’elle portait de très jolies chaussures. J'avais admiré ses magnifiques ongles. Je me suis donc exécuté, je me suis agenouillé, j’ai retiré ses sandales, la droite puis la gauche. Ma Princesse est alors montée sur la première marche de l’escalier pour ne pas avoir froid aux pieds sur le carrelage glacial. J’ai profité de ce que j’étais à genoux aux pieds de ma Princesse pour lui demander une nouvelle fois pardon pour mon attitude du jeudi soir. Je l’ai remerciée de ne pas avoir mis fin à notre relation. Je lui ai dit que son absence du week-end avait été pour moi insupportable.

À ce moment-là, ma Princesse a approché son pied droit de mon visage. J’avais ses superbes orteils collés sur ma bouche. J’ai alors commencé à lui lécher les pieds, avec en moi un désir incontrôlable.

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 Ma Maîtresse retira alors son pied et me dit : « J’imagine bien que mes jolis pieds ont dû te manquer atrocement. Depuis notre rencontre, tu n’as jamais passé plus de vingt-quatre heures sans être à mes pieds. Comme tu le dis, j’ai décidé de ne pas mettre un terme à notre relation, mais pour autant tout n’est pas effacé. Allez, suis-moi, on monte ! »

Ma Princesse m’a alors ordonné de placer une chaise dans la salle de bains. Je me suis exécuté, tout en me demandant ce que ma Domina me réservait. Elle m’a demandé de me déshabiller complètement et je lui ai obéi. Puis elle m’ordonna de m’asseoir sur la chaise. Je me suis de nouveau exécuté, et je la vis sortir des vieilles cordes de son sac. Extrêmement surpris, je lui demandai ce qu’elle comptait faire. Elle m’ordonna d’une voix dure et autoritaire de joindre mes mains dans mon dos. J’avais peur mais j’ai encore obéi. Elle m’attacha les poignets dans le dos, de manière très ferme. Je lui demandai à nouveau ce qu’elle comptait faire de moi. J’avais toujours rêvé d’être attaché comme cela, c’est même l’un de mes plus grands fantasmes. Mais lorsque cela devient réalité, c’est très stressant. Je me suis rendu compte qu’à ce moment précis, j’appartenais complètement à ma Domina, j'étais son esclave, elle pouvait faire de moi ce qu’elle voulait, j’étais totalement incapable de me défendre. Ma Domina m’a demandé si j’avais confiance en elle. Je lui ai répondu que je lui faisais totalement confiance, qu’elle était pour moi, une véritable âme sœur, que je savais que c’était elle et aucune autre… (C’est d’ailleurs cette certitude, cette conviction que j’ai toujours eue en moi qui rend vraiment insupportable le drame qui nous touche aujourd’hui.)

Ensuite, ma Princesse a remis sa main dans le sac. Elle en a ressorti une tondeuse à cheveux. Je ne vous explique pas ma stupéfaction en voyant cet appareil. J’ai immédiatement demandé à ma Maîtresse ce qu’elle pensait faire. Elle me répliqua de manière agressive : « T’es con ou tu le fais exprès ? C’est une tondeuse à cheveux, donc je vais te raser le crâne. Je vais te faire une belle boule à zéro… » J’ai toujours porté les cheveux assez longs. D’ailleurs, dans ma jeunesse, j’ai souvent été pris pour une fille à cause de ma chevelure et de mes traits de visage fins. Cela n’a pas toujours été facile à vivre pour moi. Il y a peut-être un lien avec l’homme que je suis devenu aujourd’hui. J’ai toujours adoré avoir les cheveux longs mais cela ne plaisait absolument pas à ma Domina. Elle considérait que les hommes devaient avoir les cheveux courts. D’ailleurs, de nombreuses personnes de sa famille m’avaient au départ pris pour une de ses copines et cela l'avait agacée !

J’ai supplié ma Domina de ne pas me raser les cheveux. Elle s’est assise en face de moi, sur le bord de la baignoire, et elle m’a écouté pendant plus de quinze minutes. Je n’ai pas cessé de l’implorer encore et encore. Je lui ai dit que je ferais absolument tout ce qu’elle m’ordonnerait. Je lui ai redit à quel point j’aimais mes cheveux, je l’ai suppliée de ne pas me les raser. J’avais l’impression que ma Princesse finirait par e montrer clémente avec moi, mais soudainement elle se leva brutalement et me dit : « C’est tellement agréable pour moi d’entendre un garçon me supplier !… Dire qu’il y a quelques jours avec mes parents, tu faisais bien ton malin. Quand je te regarde aujourd’hui, tu me fais vraiment rire. Ah, il est beau, le macho !… Depuis des mois, je ne supporte plus tes cheveux. Je vais te les raser, car je pense que c’est une bonne punition que tu n’es pas près d’oublier. »

Je continuais de supplier ma Princesse, je me débattais sur ma chaise, mais mes mains étaient trop serrées, j’étais incapable de me dégager. Ma Maîtresse a pris la tondeuse en main et l'a approchée de ma tête. Je me suis alors calmé pour que tout se passe au mieux. Elle a commencé à me raser les cheveux, je voyais de longues mèches qui tombaient par terre. J’avais la glace en face de moi, je voyais d’un côté mon crâne rasé, de l’autre mes long cheveux auxquels ma Princesse s’attaqua bientôt. L’opération fut rapide. Ma Princesse ne m’a pas fait une coupe à la Barthez, elle m’a laissé quelques millimètres de cheveux. Bien entendu, je ne les avais jamais eus aussi courts. Ma Domina semblait satisfaite, elle me dit : « Tu seras tout de même beaucoup mieux ainsi. Maintenant, je vais te détacher, tu vas me remercier en te prosternant et en me baisant les pieds, puis tu nettoieras tout. Au fait, tes parents risquent de faire une drôle de tête, tu as intérêt à trouver une explication valable… ».

 

Paillasson ch’ti, esclave virtuel favori de Maîtresse MAEVA

Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : Soumis & Soumises
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Vendredi 19 février 5 19 /02 /Fév 09:18

FÉTICHISME ET SOUMISSION, XX

 

Je suis toujours à genoux aux pieds de ma Princesse et de sa tante Marie. Elles continuent de parler entre elles sans se préoccuper de moi. Elles s’échangent leurs numéros de téléphone. Elles se disent toutes les deux ravies de s’être retrouvées. À l’avenir, elles ont bien l’intention de rester régulièrement en contact. Cette idée me plaît bien…

Ma Domina baisse enfin ses yeux sur moi et d’un geste de la main me fait signe que je peux me relever. Elle fait la bise à sa tante qui nous raccompagne à la porte. Je lui dis « Au revoir, Madame ». Nous retournons à la voiture. Je viens de passer un moment surréaliste et je suis vraiment submergé d’émotion. Je ne peux m’empêcher de repenser à tout ce qui vient de se passer : la révélation de mon secret, l’autorité de Marie face à son jeune domestique et l’adoration des pieds de ma Maîtresse…

Je me sens comme dans un état second. Dans la voiture, alors que je suis sur le point de démarrer, je demande à ma Domina si nous pouvons attendre un peu avant de nous mettre en route. Je lui explique que je ne me sens pas capable de conduire tout de suite, qu’il faut que je me remette un peu de mes émotions. Bien qu’elle ait l’âge de le passer, ma Princesse n’a pas le permis. Conduire lui fait toujours peur et elle ne s’est jamais vraiment investie dans l’obtention de ce papier.

J’ai vraiment eu peur de me faire réprimander par ma Princesse, à cause de ma trop grande émotivité, mais non, au contraire ! Elle me prend dans ses bras, me laisse poser ma tête sur sa poitrine, passe ses mains dans mes cheveux. Elle me dit : « Je suis très fière de toi. Devant ma tante, tu as merveilleusement fait l’amour à mes pieds. C’était génial, j’ai adoré. Je comprends que la découverte de ton secret ne soit pas facile à vivre. Prends le temps de te remettre, je ne suis pas pressée. Je ne veux surtout pas que nous ayons un accident parce que tu ne peux chasser de ta tête l’image de mes jolis  pieds. »

À ce moment-là, je me mets à pleurer à chaude larmes dans les bras de ma Princesse, et je lui dis : « Si tu savais comme je t’aime !… » Elle me répond : « Je le sais bien, mais il ne faut pas te mettre dans un état pareil ! » Je lui dis alors : « L’émotion a été trop forte, j’ai besoin de me relâcher un peu. Tu n’imagines pas à quel point je suis soulagé d’être enfin libéré de ce secret qui me pèse depuis mon adolescence... » Elle murmure, tout en caressant lentement mes cheveux : « Je comprends ! »

Dans les bras de ma Princesse, je suis en train de vivre un moment de tendresse merveilleux. J’ai toujours été quelqu’un d’ultrasensible et là, blotti contre elle, je sanglote vraiment. Même ma Domina, qui en règle générale est toujours très sévère, semble émue de me voir dans un tel état. Elle essaie me consoler. Je ne l’ai jamais vue aussi sensible. Cela m’encourage à lui demander pourquoi elle se montre si dure d’habitude. Elle me répond, comme à chaque fois : « Toi et moi, nous n’avons pas du tout reçu la même éducation. Mes parents ont toujours été très stricts avec moi. De plus, avec toutes les mauvaises expériences que j’ai vécues avec les garçons, je me suis constitué une carapace. J’ai toujours eu un très fort caractère, comme ma mère et comme ma tante Marie que tu connais désormais… Avec le temps, ce caractère n’a fait que se renforcer. Mais tu ne vas t’en plaindre, car tu m’as souvent dit que tu étais attiré par les femmes volontaires, n’est-ce pas mon fétichiste des pieds ?… »

Je décèle dans le ton de voix de ma Princesse une certaine ironie. Après tout, elle a bien le droit de me taquiner, maintenant qu’elle connaît mon secret. Elle poursuit : « Toi, tu as toujours été dorloté par tes parents, tu as toujours vécu dans une véritable bulle. Tu as une relation fusionnelle avec ta mère… même un peu trop à mon goût. » J’écoute attentivement ma Domina car je sais qu’elle a parfaitement raison. D’ailleurs, ma famille a beaucoup de mal à accepter cette relation si spéciale que j’entretiens avec ma Princesse. Notre histoire a déjà été à l’origine de pas mal de conflits et encore ce n’est sûrement qu’un début… Je commence à bien connaître ma Maîtresse, ainsi que sa Maman. C’est vrai qu’elles ont toutes les deux un caractère extrêmement fort, et c’est pourquoi elles ne peuvent éviter d’entrer régulièrement en conflit. Néanmoins, une véritable complicité les lie. Je sais que ma Princesse se confie volontiers à sa Maman. Ainsi, malgré ce qu’elle m’a dit, je m’attends à ce qu’elle avoue à sa mère notre visite chez Marie, car elle a beaucoup de mal à lui cacher des choses.

Ma Domina se demande vraiment pourquoi je pleure ainsi dans ses bras. Je lui dis que ce sont des larmes de joie, que je suis le plus heureux des hommes, prosterné devant ses jolis pieds. Je lui explique qu’il y a des années que je porte ce secret en moi et que la révélation faite par Marie a été une véritable délivrance. À ce moment-là, ma Domina me dit : « J’aimerais que tu me racontes en détail ta vie sexuelle, tes amours depuis que tu es adolescent. Je pense que nous sommes assez proches maintenant. Tu peux me faire confiance, tu peux tout me dire. J’aimerais que tu aies enfin le courage de m’avouer que tu es toujours puceau. Même si j’en ai déjà la certitude, j’aimerais l’entendre de ta bouche. Je t’ai raconté des choses très intimes sur moi, sur ma vie, et j’aimerais que tu fasses la même chose. J’ai tout mon temps. »

Ma Princesse me tient toujours dans ses bras. Je commence alors à lui détailler ma vie depuis le tout début de mon adolescence. Ce jour-là, pour la toute première fois, j’ouvre totalement mon cœur à ma Princesse. Je lui explique absolument tout sur ma vie. Je commence par évoquer les premières attirances que j’ai ressenties pour les pieds de mes enseignantes et dont j’ai parlé au tout début de ma monographie. Maintenant, je peux librement exprimer mon fétichisme des pieds à ma Domina, puisqu’elle connaît mon secret. J’ai vraiment envie de lui expliquer comment ce désir particulier est né en moi. J’insiste sur un moment qui a marqué ma vie : adolescent, j’avais l’habitude de m’allonger sur mon lit pour feuilleter des revues. Un jour, alors que j’en lisais une, en tournant une page je suis tombé nez à nez avec une photo de Lara Fabian où elle avait les pieds nus. Je me souviendrai toujours de ce moment, à l'époque, je ne connaissais même pas encore la masturbation. C’est ce jour-là que j’ai senti le désir monter dans mon bas-ventre. J’étais tout excité, j’ai ressenti des sensations inédites simplement à la vue des jolis  pieds de cette star. Et c’est ce jour-là aussi que j’ai joui de ma première éjaculation. Il m’a fallu être très discret car mes parents étaient dans la pièce juste à côté. C’est un jour qui fut déterminant dans ma vie et dans ma vie sexuelle. Voilà pourquoi je vous parle si souvent de Lara Fabian qui occupe une place si importante dans ma vie. Bien entendu, à partir de là, dès que j’en avais l’occasion, je prenais cette revue et je m’allongeais sur mon lit. En admirant ces beaux pieds nus, je baissais mon pantalon et mon slip pour que ma queue soit en contact direct avec ma couette. Je me frottais ainsi en fantasmant sur ces jolis pieds. Mon désir pour eux était tellement intense qu’il m’arrivait parfois de baiser, de lécher les pages ! Par la suite, je me suis constitué ma petite collection privée dont je vous ai déjà parlé. À chaque fois que je découvrais dans une revue une photo d’une star aux pied nus, je la découpais et la conservais. Ainsi, au fil des mois, je me suis retrouvé avec une bonne dizaine de photos devant lesquelles je fantasmais tous les jours et toujours de la même manière, sur mon lit. Ma petite collection est constituée des pieds de : Angélina Jolie, Michelle Pfeiffer, Liz Hurley, Alyssa Milano (actrice de la série « Charmed »), Flavie Flament, Hélène Ségara, Mélanie Griffith, Jennie Garth (Kelly dans la série « Beverly Hills »), Fran Drescher (série « Une nounou d’enfer »), Jessica Alba, Vanessa Demouy et enfin Tonya Kinzinger (Jessica dans la série « Sous le soleil »).

Il y a une autre photo devant laquelle j’ai souvent fantasmé, c’est celle d’Ophélie Winter. On y voit la star, non pas pieds nus mais chaussée de bottes cuissardes rouges et brillantes. Cela pour vous dire que, très tôt, j’ai eu le désir et le fantasme de devenir un vrai lèche-bottes pour dames. Quand je baisais et léchais cette revue, je rêvais en réalité de baiser et lécher les bottes de cette magnifique jeune femme !

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Bien entendu, je n’ai pas parlé de cela à ma Princesse. Elle venait d’apprendre que j’étais un véritable fétichiste des pieds. J’avais peur que si je lui parlais aussi de mon goût pour les bottes, elle finirait par me prendre pour un fou...

Je n’ai découvert la vraie masturbation que plus tard, en regardant un film… Après la découverte de mon fétichisme des pieds, mon désir de soumission se faisait de plus en plus intense. Une autre fois, toujours par l’intermédiaire d’un film, j’ai découvert le bondage. J’ai immédiatement ressenti le besoin de me sentir attaché, entravé. En l’absence de mes parents, je ne me contentais plus de fantasmer devant les photos de stars aux pieds nus, je prenais des cordes, je m’attachais seul, je m’imaginais des scénarios, je rampais par terre. Bien entendu, en ce temps-là, je n’ai pas non plus parlé de cela à ma Princesse, car je crois que je lui aurais fait peur.

***

Je reviens donc à ce moment de tendresse avec ma Domina… Je continue de lui parler : « Je sais bien que mon fétichisme des pieds peut paraître bizarre. Je sais bien que la plupart des adolescents fantasment devant des revues coquines dans lesquelles on peut voir de superbes femmes nues ou très peu habillées. Je m’en suis acheté quelques-unes de ce genre, surtout pour faire comme mes copains. Je ne dis pas que je n’aime pas admirer une belle femme nue. Au contraire, je suis bien évidemment excité devant une telle vision. Mais irrémédiablement, mes yeux sont attirés par les pieds de ces femmes. Les quelques revues coquines que j’ai achetées, je les ai choisies en fonction des jolis  pieds des dames qu’il y avait en couverture. »

 


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Je vais vous raconter une anecdote dont je n’ai pas parlé à ma Princesse : Un jour, en sortant du lycée, j’ai été en proie à un désir incontrôlable. Je suis allé dans un tabac-presse, car j’avais envie de m’acheter une nouvelle revue coquine. J’étais toujours très gêné d’acheter ce genre de magazine. Cette fois, j’en ai pris un au hasard dans le rayon classé X, sans même regarder la couverture. Je l’ai payé, je l’ai caché sous ma veste et je suis rentré chez moi. Une fois dans ma chambre, j’ai enfin pu découvrir la revue que je venais d’acheter. Et là, j’ai découvert qu’elle ne traitait que d’un seul thème : le fétichisme des pieds. J’étais fou d’excitation ! Il y avait des photos en gros plan de pieds de jolies femmes. J’avais pris cette revue complètement au hasard, au milieu de toutes les autres, et j’étais peut-être tombé sur la seule revue fétichiste ! J’ai toujours vu là un véritable signe du destin…

***

Mais revenons encore à ce moment de tendresse avec Ma Princesse. Elle m’écoute toujours attentivement, j’ai toujours ma tête appuyée à sa poitrine, elle continue de me caresser les cheveux. Je suis bien, en confiance, prêt à tout lui avouer. Je me mets à lui raconter mes amours. Je reconnais qu’avant de la rencontrer, j’ai été à plusieurs reprises attiré par des filles mais qu’elles n’ont jamais voulu de moi. Je rappelle à ma Princesse : « Comme tu le sais, je suis en deuxième année. Il y a quelques mois, lorsque nous nous sommes rencontrés, je n’étais pas particulièrement attiré par une fille de ma classe. En revanche, un ami et moi, nous étions liés d’amitié avec deux filles qui étaient dans une classe inférieure et qui étaient plus jeunes de quelques années. Elles et nous étions vraiment devenus de bons amis, on se voyait entre les cours et en dehors de l’établissement. Nous faisions beaucoup de sorties ensemble, au ciné, au bowling, à la piscine. Mon ami a fini par sortir avec l’une des filles, et moi je dois avouer que j’en pinçais pour l’autre. En fait, j’étais tombé amoureux d’elle dans la cour. Mon ami avait exprès de devenir leur ami à toutes deux afin de me donner une chance. Avant de te connaître, ma Princesse, il y a très peu de filles qui ont vraiment compté pour moi mais celle ci en fait vraiment partie. Plus on se voyait, plus je devenais amoureux. Bien évidemment, je ne suis jamais sorti avec elle. Au final, mon ami a continué de sortir avec sa copine et moi je suis resté sur le carreau, comme j’en avais l’habitude. Pourtant, lorsqu’on était ensemble, je m’arrangeais toujours pour m’approcher d’elle. Même si je n’avais jamais osé le lui dire clairement, je lui avais fait comprendre qu’elle me plaisait. Elle l’avait forcément compris et il était donc clair que je ne l’intéressais pas. Je le comprenais : cette superbe fille qui s’appelait Élise était très très mince, et je n’étais absolument pas son type de garçon. J’ai même dû supporter de la voir sortir avec un gars que je connaissais. Lorsque toi et moi nous sommes rencontrés, ma Princesse, j’étais encore amoureux d’elle. Au début, je la voyais encore de temps en temps, mais peu à peu je l’ai complètement oubliée, et il y a longtemps que je n’ai même plus aucune nouvelle ».

***

Il y a un détail dont je n’ai pas parlé à ma Domina : lorsque j’allais avec cette fille à la piscine, je fantasmais comme un dingue sur ses pieds qui étaient très très jolis. Je les désirais vraiment, je m’imaginais souvent à genoux à ses pieds, en train de la supplier. J’avais envie  de me soumettre à elle, je ne savais pas encore que j’étais sur le point de rencontrer la femme de ma vie, celle qui me prendrait en main et qui me réduirait enfin à l’état d’esclave total…

***

Je continue donc de me raconter à ma Domina : « Dans mes études, je me suis toujours retrouvé dans des classes où les filles étaient largement majoritaires. Je pense que cela a un lien avec l’homme… où plutôt l’esclave que je suis devenu aujourd’hui. J’ai toujours été entouré par des filles, et au fur et à mesure cela n’a fait que renforcer ma soumission aux femmes. Lorsque je t’ai rencontée, j’étais encore une fois dans une classe où les filles étaient plus nombreuses. Forcément, il y en avait que je désirais, mais je savais qu’elles resteraient toujours pour moi de purs fantasmes. Elles étaient beaucoup trop bien pour moi, elles m’étaient inaccessibles. »

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Il y a un autre détail dont je n’ai pas parlé à ma Maîtresse. Je me souviens surtout de deux filles. Pourquoi elles en particulier ? Outre le fait qu’elles faisaient partie des plus jolies de ma classe, il s’agissait de deux très bonnes copines qui étaient toujours ensemble. Et surtout je sentais en elles de véritables dominatrices. Elles avaient toutes les deux un très fort caractère et je suis sûr qu’elles aimaient conduire les mecs à la baguette. Je sentais qu’elles auraient aimé voir un homme se prosterner devant elles, se soumettre à leurs volontés. Elles m’ont souvent fait rêver, je fantasmais sur leurs pieds. Bien entendu, il ne s'est jamais rien passé, je n’ai pas osé franchir le pas. Et durant les deux années où ces deux filles ont été en classe avec moi, je n’ai jamais rien osé tenter…

***

Je continue de parler à ma Domina : « Ce n’était pas facile pour moi d’être toujours dans des classes majoritairement féminines. Il y avait beaucoup de filles que je trouvais jolies mais malheureusement je restais toujours sans copine, j’étais trop timide, je n’étais pas assez bien… J’ai vécu constamment dans la frustration. »

Il y avait les filles avec qui j’aurais vraiment aimé sortir, il y avait celles que j’admirais mais que je savais beaucoup trop belles pour moi, et enfin il y avait celles chez qui je pressentais ce besoin de domination. Il faut bien avouer que ces filles au caractère bien trempé étaient minoritaires, mais il y en avait toujours au moins une dans chacune de mes classes. Ce côté dominatrice m’a toujours attiré comme un aimant.

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Je raconte encore à ma Domina : « Alors que j’étais encore au lycée, je ne connaissais pas encore Élise, c’est une autre fille qui faisait battre mon cœur. Il s’agissait d’Ophélie. Nous étions dans la même classe et je suis vraiment tombé fou amoureux de cette fille. Je tenais vraiment à elle, j’avais vraiment envie de sortir avec elle. Tous mes amis le savaient. J’essayais de passer le plus de temps possible avec elle mais j’étais très timide, ce n’était jamais facile pour moi. En plus, elle était toujours très entourée, elle avait beaucoup d’amis. C’était une fille très très jolie et ses prétendants étaient donc nombreux ! Je l’ai aimée pendant des années en silence, comme toujours au cours de mon adolescence. À l’époque, comme je sortais en boîte avec la bande, j’ai souvent rencontré par hasard Ophélie qui venait dans la même discothèque avec ses amis. Elle me saluait à chaque fois, elle me parlait, elle me souriait, elle m’aimait bien, elle me considérait comme un bon copain. Et il est là, le problème : j’ai toujours été le bon copain, l’ami sympa, mais j’avais des sentiments pour Ophélie qui dépassaient le stade de l’amitié. Alors en bôîte, je passais le plus de temps possible près d’elle , je dansais à côté d’elle, bref j’ai tout fait pour lui faire comprendre que je l’aimais sans jamais oser le lui dire ouvertement. Je pense qu’elle le savait mais malheureusement je ne l’intéressais pas comme petit ami. Et moi, je souffrais en la voyant danser avec d’autres garçons, ce n’était pas facile à vivre. Un ami me poussait même à aller chez elle pour lui déclarer ma flamme, tellement il me voyait amoureux. Malheureusement, il ne s’est jamais rien passé avec Ophélie. Nous avons tous les deux obtenu notre baccalauréat, nous sommes partis pour les études supérieures dans des établissements différents et éloignés l’un de l’autre. Nous nous sommes perdus de vue, puis comme je te l’ai dit, j’ai ensuite rencontré Élise qui a complètement chassé Ophélie de ma tête.

Comme tu sais, ma Princesse, dans toutes mes classes j’étais entouré majoritairement de filles, et bien évidemment, je n’arrêtais pas de fantasmer sur leurs pieds.

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Lorsque j’étais encore assez jeune, autour de 14 ans, j’ai connu des filles qui m’ont plus ou moins maltraité… Certaines se moquaient de moi, de mon physique, de ma manière de parler (ma voix a mué très tard). Je me souviens de l’une d’elles qui s’amusait à me couper les cheveux et il y en avait qui se montraient vraiment très méchantes avec moi. J’étais très timide, effacé, et lorsqu’on m’embêtait, je subissais sans réagir. »

Le pire, c’est que ces filles qui s’acharnaient sur moi, je les désirais, j’aimais leur caractère dominant, la manière dont elles me traitaient, j’aurais aimé leur lécher les pieds… Mais cela, je ne l’ai pas avoué à ma Princesse qui aurait pu s'en offusquer. 

***

Je continue de lui raconter : « Oh oui, pendant au moins deux années, plusieurs filles se sont acharnées sur moi. Il y en a une que je n’oublierai jamais. Je pense que c’est sincèrement la première véritable dominatrice que j’ai rencontrée. Comme je l’ai dit, j’avais 14 ans. Cette fille était magnifique, elle était brune, elle avait les cheveux très noirs, et son regard aussi était très noir. Elle faisait déjà beaucoup plus âgée que 14 ans, alors que moi j’ai longtemps gardé un visage de gamin. Je n’avais jamais rencontré une jolie fille ayant un caractère aussi fort. Elle m’avait pris en grippe, elle était tous les jours sur mon dos. Elle se moquait de mon physique, elle m’attaquait verbalement. Elle allait même jusqu’à me cracher dessus ! Elle s’est acharnée sur moi pendant un an, avant que d’autres prennent la relève mais jamais aussi durement qu’elle. Moi bien entendu, je ne réagissais pas, je subissais. Au contraire, je me soumettais à elle. Je me rappelle que je ramassais ses affaires par terre, que je lui apportais son sac. Ça ne l’empêchait pas de me rigoler au visage, ni de se moquer ouvertement de moi. »

Bien entendu, cette fille me fascinait. Je la considérais comme une vraie Déesse. Je me souviens : pendant les cours, je l’imaginais en train de trôner dans un immense fauteuil, et moi je me voyais en train de ramper devant elle et de déposer des offrandes à ses pieds. Cette image m’a hanté pendant des mois. Je n’avais que 14 ans et pourtant j’aspirais déjà à une soumission absolue…

 

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J’ai plusieurs anecdotes à vous raconter pour vous montrer que la soumission aux femmes et la vénération des pieds féminims ont toujours été présentes en moi. Dans la même classe que cette fille qui me martyrisait, il y en avait une autre qui avait aussi un très fort caractère mais qui n’avait rien de particulier contre moi. Je me souviens d’un jour où, en classe, j’étais assis juste derrière elle. Sans le faire exprès, j’ai fait tomber mon stylo qui a roulé par terre et a terminé sa course contre ses pieds. Je l’ai alors interpellée discrètement et je lui ai demandé si elle pouvait me rendre mon stylo. Elle m’a alors regardé droit dans les yeux et tout naturellement elle m’a dit : « Tu n’as qu’à venir à mes pieds pour le récupérer ! » Je me rappelle ce moment comme si c’était hier, alors que cela remonte à plus de dix ans. Pour la plupart des gens, cela aurait été un détail anodin dans une journée classique, mais cela est resté gravé en moi car déjà à l’époque j’étais un véritable fétichiste des pieds. Cela correspond à la période où je fantasmais sur les pieds de Lara Fabian. Quand j’ai entendu cette fille me dire cela, j’ai été comme paralysé. Je ne savais plus quoi dire, ni quoi faire. Le prof l’a alors interpellée et lui a demandé de se retourner. Elle n’a jamais ramassé mon stylo et le cours s’est terminé. À la fin, alors que tout le monde ramassait ses affaires, je me suis levé, je me mis à genoux sous la table et j’ai attrapé mon stylo qui était là, sous sa table, juste à côté de ses pieds. Elle m’a regardé faire puis elle est partie rejoindre son petit ami en souriant. Ce jour-là, à 14 ans, j’ai connu ma première expérience de fétichiste des pieds. J’y repense souvent, je revois cette fille. Son visage, ses pieds sont gravés à jamais dans ma tête. À l’époque, j’ai beaucoup fantasmé sur cet incident. Je n’arrêtais pas de m’imaginer aux pieds de cette jolie fille. J’avais envie de les lui baiser, de les lui lécher. Elle avait déjà un petit ami, et je m’imaginais en train de lui lécher les pieds pendant qu’elle l’embrassait ! C’est en ce temps-là que je me suis aussi retrouvé en classe avec une fille que j’avais connue en primaire. Déjà très jeunes, nous avions des conversations qui pouvaient laisser prévoir mon avenir d’homme soumis. En effet, alors que nous n'étions que des enfants, je me rappelle que cette fille s’imaginait avec autour d’elle plein de garçons lui obéissant. J’avais supplié cette fille de m’accepter dans ce cercle de garçons imaginaires. Je la suivais partout comme un petit toutou et je faisais ce qu’elle m’ordonnait. Je n’étais qu’un gamin et pourtant, j’avais déjà certains désirs. Lorsque j’ai retrouvé cette fille au collège, cela m’a rappelé les bons souvenirs de l’école primaire…

Je continue de parler à ma Princesse : « Au moment où je me faisais martyriser par certaines filles, je ne connaissais pas encore Ophélie, mais j’avais en tête deux autres filles avec qui je m’étais trouvé en classe l’année précédente. C’est au cours de mes études que j’ai rencontré beaucoup de mes amis.Une année, l’un d’eux était tombé sous le charme de la même fille que moi. Elle était vraiment très belle, elle avait un visage qui pétillait. Elle s’appelait Sabrina. Mon ami et moi étions donc en concurrence pour la séduire, nous n’arrêtions pas d’en parler, c’était à celui qui allait lui offrir le plus beau cadeau. Au final, bien évidemment, aucun de nous deux n’est sorti avec elle, Sabrina était beaucoup trop belle pour nous. Dans la classe, il y avait une Ludivine pour qui j’ai eu aussi un coup de cœur, malheureusement toujours sans succès. Enfin, la toute première fille pour qui j’ai éprouvé des sentiments sincères, c’est Perrine. J’étais encore plus jeune puisque c’était pendant ma première année de collège. Cette fille qui me plaisait énormément m’a suivi au cours de mes études. Au fil du temps, je l’ai vue devenir une adolescente dont j’étais follement amoureux. ».

Lorsque nous allions à la piscine avec l’école, j’admirais ses pieds qui étaient très mignons, avec déjà de très jolis ongles longs. Elle s'asseyait parfois sur le bord du bassin, et pendant que je nageais, elle laissait pendre ses pieds. J’avais une envie folle de les lui baiser. À 13 ans ! Au-delà de cela, c’est la première fille avec qui je me suis imaginé vraiment en couple car je l’aimais beaucoup. Malheureusement, elle est toujours demeurée pour moi un fantasme. Il y a une autre fille qui est restée dans la même classe que moi durant de nombreuses années. Elle n’était pas particulièrement belle mais avait beaucoup de charme. Au long des années, je fantasmais sur ses pieds. Je me souviens d’un scénario que je m’étais imaginé... Elle était dans la cour avec toutes ses copines, et moi j’étais allongé à ses pieds pour les lui embrasser et les lui lécher encore et encore. Et alors, la fille disait à ses amies : « Il vit à mes pieds ! » Ce scénario m’a beaucoup marqué. J’y repense souvent, et aussi à cette fille…

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Enfin, déjà enfant, certaines filles m’ont marqué car elles avaient un tempérament très fort qui m’attirait. Par la suite, j’ai revu certaines d’entre elles au cours de mes études et leur caractère n’avait absolument pas changé. »

***

« Voilà, ma Princesse ! Je t’ai fait un résumé complet de ma vie. Il n’y a que quelques filles que j’ai vraiment aimées de loin et en secret, avant de te connaître : Perrine, Sabrina, Ophélie et Élise. Je ne suis sorti qu’avec une seule fille que j’avais rencontrée en boîte mais cela n’a duré que le temps d’un week-end. C’est tout. »

Ma Princesse me dit alors : « Tu n’aurais pas oublié de me parler de cette fille avec qui tu as connu ta première fois ? » Je lui réponds : « Cette fille a vraiment existé. J’ai été durant de nombreuses années dans sa classe, je l’aimais bien mais il ne s'est absolument rien passé entre nous. J’ai inventé cela car j’étais gêné d’être encore puceau. Aujourd’hui, j’ai décidé de tout te dire. Je te demande pardon de t’avoir menti. Ma Princesse, il n'y a pas qu'à toi que j'ai menti à propos de cette fille, j'ai menti aussi à certains membres de ma famille, j'étais tellement gêné de n'avoir jamais de copine. Maintenant que j’ai 19 ans, je sais que tu es la femme de ma vie. Sincèrement, mon amour, je t'ai parlé de ces quelques filles qui ont compté pour moi. Mais je n'ai jamais été aussi amoureux qu'aujourd'hui. Comme tu le sais, je suis tombé raide dingue de toi dès notre première rencontre. Mes sentiments pour toi sont cent fois plus fort que tout ce que j'ai connu avant et tous les moments que nous partageons ne font que renforcer mes sentiments. Je t'aime ma Princesse, je t'aime de tout mon coeur. Je rêve d’une vie de couple où je pourrais vivre à tes pieds. Je rêve d’avoir des enfants… »

Ma Princesse me remercie d’avoir été aussi honnête avec elle, puis elle me dit : « Maintenant, il est temps que nous rentrions… »

 

Voilà, je vous ai raconté toute mon adolescence.

Aujourd’hui, j’avoue que j’aimerais avoir des nouvelles de toutes ces filles que j’ai connues, que j’ai aimées au cours de mon adolescence. Je vais peut-être m’inscrire sur un site qui permet de retrouver ses anciennes amies de classe. On ne sait jamais, il se pourrait que l’une d’elles soit devenue aujourd’hui, une vraie femme dominatrice qui rêverait de me voir enfin ramper à ses pieds…

Je ne sais pas ce que l’avenir me réserve. J’avais trouvé la femme de ma vie, et  la vie me l’a reprise. Parfois, je me dis que je vais me réveiller, que tout cela n’est qu’un cauchemar, que je vais retrouver ma Princesse mais la réalité finit toujours par me rattraper. Aujourd’hui, encore plus qu’à l’époque j’aspire à une vraie vie de couple. Je rêve d’avoir des enfants. Je ne veux plus vivre dans le fantasme ou dans la frustration. Je sais que ma vie ne sera jamais simple. Je garde la foi, j’espère qu’un jour je ferai une nouvelle rencontre qui fera peut-être prendre un nouveau tournant à ma vie. En attendant, j’ai encore beaucoup de choses à vous raconter…

 

Paillasson ch’ti, esclave virtuel favori de Maîtresse MAEVA

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Jeudi 28 janvier 4 28 /01 /Jan 05:51

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L'introduction du personnage de Marie donne un nouveau "piquant" à cette passionnante autobiographie.... bonne lecture!!!


FÉTICHISME ET SOUMISSION (XIX)

 

Mon fétichisme des pieds ! En une demi-heure seulement, la tante Marie a percé à jour un secret que j’ai préservé pendant 19 ans. Au moment où j’entends ses révélations, la première chose qui me traverse l’esprit est de me demander comment ma Princesse va réagir à cette déclaration plus que surprenante.

Je ne sais pas vraiment ce que ma Domina pense du fétichisme des pieds, mais cette question, primordiale pour moi, je me la suis bien entendu posée à de très nombreuses reprises !!!

Comme vous le savez, j’ai toujours été un très grand fétichiste des pieds. Au tout début de ma relation avec ma Maîtresse, elle a un jour découvert dans mon téléphone portable une photo gênante. En effet, le très grand désir que m’inspirent les pieds des femmes m’a parfois poussé à prendre en photos, dans la rue, ceux que je trouvais jolis et désirables. Un jour, ma Princesse m’a demandé de lui prêter mon portable sur lequel j’avais oublié d’effacer une de ces photos. Quand elle l’a découverte, elle m’a demandé pourquoi j’avais photographié ces pieds de femme.

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Bien que très gêné, j’ai réussi à garder mon sérieux. J’ai menti, j’ai dit que j’avais fait une mauvaise manipulation et que j’avais pris cette photo par erreur. Par chance, ma Princesse m’a cru. Enfin, je pense... Par la suite, je n’ai plus osé photographier des pieds de femmes dans la rue. Tout d’abord parce que ce n’est pas correct et de plus, j’étais tellement souvent aux pieds de ma Maîtresse, que je n’avais plus besoin de fantasmer sur ceux d’autres femmes. Je m’en étais plutôt bien sorti ce jour-là. Néanmoins, ma Maîtresse a prononcé cette phrase troublante : « Tu ne serais pas fétichiste des pieds, par hasard ?… » Je n’ai rien répondu puis nous sommes passés à autre chose. Pour la première fois, ma Princesse venait d’évoquer la possibilité que je puisse fantasmer sur les pieds d’une femme. Et j’ai tout de suite su que ma Domina connaissait ce désir particulier que certains hommes ressentent. J’ai compris qu’elle connaissait le fétichisme des pieds…

La deuxième fois où ce fétichisme est évoqué, nous sommes chez notre ami Clément, dans sa chambre, à l’étage. Le sol est recouvert de moquette et ma Princesse a chaud aux pieds. Elle décide donc de retirer ses superbes sandales à hauts talons maintenues par des lacets qui remontent le long de la jambe. Ces chaussures me rendent dingue, c’est l’une des premières paires que je lui ai offertes, comme je vous l’ai déjà raconté dans un précédent épisode. Ce jour-là, chez Clément, ma Domina retire donc ses chaussures et ses bas. Elle marche pieds nus après avoir déposé ses bas dans ses chaussures qu’elle a laissées près de la porte d’entrée. Pendant toute la soirée, je fantasme sur les pieds de ma Maîtresse. Ils m’affolent. J’aimerais tellement m’agenouiller devant ses divins pieds, comme je le fais dans l’intimité de ma chambre. Mais lorsque nous sommes entre amis, ma Princesse a toujours tendance à se rapprocher de Clément et c’est ce qu’elle fait encore ce sir-là : elle passe encore toute la soirée juste à côté de lui. Parfois même, elle lui caresse discrètement les jambes, spectacle qui me rend jaloux bien que je réussisse à me taire.

Au moment de partir, ma Princesse m’ordonne d’aller lui chercher ses chaussures et de les lui apporter. Dorénavant, elle se gêne plus du tout pour me donner de tels ordres devant mes amis. Ceux-ci ne disent rien mais je suis sûr que derrière mon dos, les conversations doivent aller bon train. Donc, lorsque je rapporte ses superbes chaussures aux pieds de ma Princesse, elle se rend compte qu’il manque l’un de ses bas.

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Pourtant, elle a bien rangé la paire dans ses souliers, j’étais là et je l’ai vu. À part nous, c’est-à-dire notre petite bande d’amis, personne d’autre n’est entré dans la maison. Du coup, ma Domina m’accuse tout de suite d’avoir fait tomber un bas en lui apportant ses chaussures. Elle nous informe de cette perte et nous nous mettons tous à la recherche du bas. Nous regardons partout sans en trouver aucune trace. Mon ami n’a pas d’animaux chez lui, rien n’explique donc la disparition du bas. En fait, il n’y a qu’une seule explication : quelqu’un l’a volontairement pris. Je sais bien que vous pensez tous que l’auteur de ce vol, c’est moi. Ce serait logique puisque je suis un véritable fétichiste des pieds et qu’en plus je fantasme sur les jolis pieds de ma Domina. J’avoue avoir eu cette idée, mais je ne l’ai pas réalisée. Je ne suis pas l’auteur de ce vol.

Ma Princesse nous réunit tous et nous dit : « Quelqu’un de vous a volé mon bas. Il y a un fétichiste des pieds parmi vous ! » Bien entendu, personne ne se dénonce. Ma Maîtresse se voit donc obligée de fourrer dans son sac le seul bas qu'il lui reste et de repartir les jambes nues. Ma Domina et moi avons souvent parlé de cela par la suite. Nous avons souvent cherché à savoir qui dans la bande pouvait être le fétichiste des pieds. Elle n’a jamais eu de doute sur le fait que ce n’était pas moi. En tout cas, elle ne m’a jamais montré qu’elle me soupçonnait. J’étais rassuré : mon secret était toujours bien caché. Les principaux soupçons de ma Maîtresse portaient sur Clément. Comme elle le dit, il semble très attiré par elle. Moi, j’avoue que j’ai du mal à croire qu’il puisse être comme moi, fétichiste des pieds. Je ne peux pas croire non plus que n’importe lequel de mes amis le soit. Je pense que depuis toutes ces années que nous nous connaissons, je l’aurais senti, je l’aurais deviné, surtout que moi, ne l’oublions pas, je le suis et pas qu’un peu !!! J’avoue qu’aujourd’hui, je me demande toujours qui fut le voleur de bas. Ce jour-là chacun de nous, pour une raison ou autre, s’est absenté de la pièce où nous nous trouvions. Je n’ai donc aucun moyen de savoir qui est derrière ce vol. Le bas n’avait évidemment pas disparu tout seul, mais je n’aurai jamais la réponse à ma question. C’est dommage, car je serais très curieux de savoir… 

Quoi qu'il en soit ce jour-là, j’ai reçois la confirmation que ma Princesse connaît l’existence et le sens du fétichisme des pieds. Ma Domina n’a pas Internet chez elle mais elle surfe souvent sur le net, chez des amis et c’est ainsi, je pense, qu’elle a dû découvrir ce penchant que certains hommes ont. Telles sont les deux seules fois où, avant cette fameuse après- midi chez la tante Marie, le fétichisme des pieds a été clairement évoqué par ma Domina.

En entendant l’affirmation de sa tante, ma Princesse lui demande pourquoi elle dit cela. Marie lui répond : « Dès les premières minutes où ton ami a été devant moi, j’ai su qu’il est un véritable fétichiste des pieds. J’ai vu qu’il essayait toujours de retirer son regard de mes sublimes pieds, mais rien à faire : ses yeux étaient irrésistiblement attirés par la vision merveilleuse de mes pieds. Il essayait de se contrôler, il tentait de dissimuler son désir mais il ne le pouvait pas, car cette envie est plus forte que lui. Depuis que je suis assise en face de vous, c’est encore pire pour ce pauvre garçon. Il n’arrive plus du tout à se contrôler ! Si tu savais le nombre de fois où je l’ai surpris en train de baver mentalement sur mes pieds… Le pauvre garçon n’est pas très discret. » Ma Domina reprend : « J’avoue que je suis très très surprise par ce que tu me dis. J’en reste sans voix !… »

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Moi, je me fais tout petit dans mon fauteuil, tellement je suis gêné… mais aussi extrêmement excité. Tout en parlant, Marie n’arrête pas de croiser et de décroiser ses sublimes jambes. Cette vision merveilleuse  me fait penser à la scène de Sharon Stone dans le film « Basic Instinct ». Je vous jure que c’est vrai. Marie est une femme sublime, terriblement sexy et qui dégage une formidable assurance et une confiance totale en elle-même. À mes yeux, cela la rend désirable à souhait. Cette scène avec Sharon Stone, je la connais par cœur. Depuis mon adolescence, je possède la cassette du film. Avant de rencontrer ma Princesse, j’ai souvent passé en boucle la scène où, d’un seul mouvement de jambes, la sublime Sharon Stone déstabilise complètement Michael Douglas et tous les autres policiers. Ce jeu de jambes m’a toujours rendu dingue.

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 Avec Lara Fabian, Sharon Stone fut l’une des stars qui m’ont fait fantasmer dans mon adolescence. Un jour, je vous révèlerai peut-être toutes les vedettes qui font partie de ma petite collection privée…

Marie a parfaitement conscience de son pouvoir sur les hommes. Elle en use et abuse, encore et encore. Je ne sais plus où regarder, mes yeux sont irrésistiblement attirés par ses sublimes pieds et ses magnifiques jambes. Jamais de ma vie, auparavant, je n’ai été autant troublé et déstabilisé par une femme…

Marie, voyant l’étonnement de sa nièce, lui dit : « Tu ne dois pas être choquée par ce que je te dis. Tu sais, le fétichisme des pieds n’est pas une perversion. Au contraire, c’est une bénédiction pour la femme. Pour moi, tous les hommes ont en eux ce fétichisme. Les pieds des femmes ont toujours été des armes de séduction. Mais certains hommes développent beaucoup plus ce désir que d’autres. Je vais te donner un exemple qui va t’aider à mieux comprendre. Chez une femme, la plupart des hommes vont regarder en premier ses seins ou son cul, c’est cela qui va attirer leur désir et les faire bander. Chez un fétichiste des pieds, c’est la même chose, sauf que son désir premier est concentré sur les pieds, c’est aussi simple que cela. Les pieds sont pour le fétichiste l’objet de tous les désirs, de tous les fantasmes. Dans certains cas, ils peuvent même se substituer à l’organe sexuel… »

J’écoute Marie avec attention, elle est en train de nous faire un véritable cours sur le fétichisme des pieds. À l’époque, je n’ai que dix neuf ans et non seulement je ne me sens pas du tout mûr, mais je n’ai pas encore bien conscience de mon fétichisme. Je me suis renseigné sur Internet, mais cela me fait du bien d’entendre la bouche d’une femme telle que Marie parler de cela. J’ai déjà lu beaucoup d’articles sur le fétichisme mais cela m’a toujours semblé virtuel, alors que là j’ai en face de moi une femme qui connaît et aime le sujet. Je commence peu à peu à m’accepter en tant que véritable fétichiste des pieds. Cependant, je suis terrifié à l’idée que mon secret puisse être dévoilé. Depuis tant d’années, je fais toujours tellement attention à rester discret. Mais d’un autre côté, je suis soulagé de pouvoir enfin parler de cela librement à quelqu’un. Je suis soulagé que ma Princesse soit enfin au courant. J’ai si souvent eu envie de tout lui dire, mais sans jamais oser…

Une chose est sûre, Marie est une Dominatrice expérimentée, elle a lu en moi comme dans un livre ouvert. Lorsque nous l’entendons parler du fétichisme, nous voyons bien qu’elle connaît le sujet par cœur. Pendant ce temps, ma Princesse se remet doucement de ses émotions. Après avoir écouté attentivement sa tante, elle dit : « Je comprends mieux maintenant en quoi il est tellement différent de tous les autres mecs que j’ai connus. Je comprends mieux son plaisir, sa dévotion à prendre soin de mes pieds. Tout devient clair maintenant. En fait, je connaissais un peu le fétichisme des pieds, j’en avais entendu parler. Je savais que des hommes étaient attirés par les pieds des femmes, mais je n’avais jamais imaginé ce que cela pouvait être dans la réalité. Je suis bête ! Depuis des mois qu’il passe sa vie à mes pieds, j’aurais dû comprendre, j’aurais dû me douter. Et pourtant, je n’ai jamais fait le rapprochement !... Tu sais, il y a quelques jours, il m’a baisé et léché les pieds pendant une heure entière !

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J’ai halluciné, jamais auparavant un homme ne m’avait fait cela ! Sur le coup, je me suis demandé ce qu’il fabriquait, j’ai cru qu’il avait pété un câble mais très rapidement, je me suis laissé  aller, car c’était merveilleux. » Ma Princesse répète plusieurs fois la même phrase : « Je comprends mieux maintenant ! » S’adressant de nouveau à sa tante, elle lui raconte : « Tu sais, nous avons conclu un pacte d’esclavage. Tu es la seule à qui j’en parle, mais je pense aussi que tu es la seule à pouvoir nous comprendre. Dans ce pacte, il m’a juré une fidélité absolue et une obéissance totale. En échange, j’accepte de le garder à la disposition de mes jolis pieds. Il dit qu’il préfère vivre à mes pieds plutôt que d’être dans les bras d’une autre fille. Il n’arête pas de me le répéter. J’en reviens pas que tu aies deviné cela, alors que tu le connais à peine depuis une demi-heure ! Tu as vraiment beaucoup de choses à m’apprendre et je regrette qu’on soit restées si longtemps sans se voir… » Sa tante lui répond : « Ma chérie, il ne faut pas repenser au passé. Le principal, c’est qu’aujourd’hui on s’est retrouvées. Désormais, tu es majeure et libre de faire ce que tu veux. Je suis très heureuse de t’avoir retrouvée, je n’ai pas d’enfants, c’est un choix personnel mais je t’ai toujours un peu considérée comme ma fille, ce qui a rendu la séparation d’autant plus difficile. Je suis contente de voir que tu prends le chemin de la Domination, tu verras, cest un monde merveilleux qui fera de toi une femme comblée et épanouie. »

Ma Princesse se retourne alors vers moi et, voyant dans quel état je suis me demande : « Ça va ? Tu es tout pâle, on croirait que tu as vu un fantôme… » Je ne réponds pas, je n’arrive même plus à parler, je suis paralysé par tout ce qui vient de se passer. Marie reprend alors la parole en s’adressant à sa nièce :

« Laisse-lui quelques minutes pour se remettre de ses émotions. Tu sais, son fétichisme, c’est un secret qu’il doit protéger depuis son adolescence. C’est toujours un moment difficile pour un homme d’avouer au grand jour ce penchant, mais c’est pourtant indispensable. »

En ce mercredi après midi, il fait très chaud, nous sommes au mois de mai. Ma Princesse s’est chaussée de superbes sandales marron à lanières et à talons. Un partie de ses sublimes pieds est découverte, ainsi que ses merveilleux orteils que j’ai eu l’honneur de vernir en début de semaine d’un marron foncé que j’adore.

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Je suis assis sur le canapé, avec ma Princesse à mes côtés. En face de moi, il y a Marie aux jambes et aux pieds sublimes. J’ose de moins en moins la regarder. Juste à côté de moi, ma Domina me regarde fixement. Elle tend ses jambes et s’amuse à bouger ses pieds et ses délicieux orteils, juste devant mes yeux. Visiblement, elle le fait exprès et je pense qu’elle veut me tester un peu. Maintenant qu’elle connaît toute la vérité, elle veut s’amuser de moi. Elle n’arrête pas de tortiller ses sublimes pieds sous mon regard que je ne peux pas détacher d’eux. Je suis comme envoûté, prisonnier de ce spectacle qui me rend fou. Elle a replié sa jambe gauche sur laquelle elle pose la droite et balance sa chaussure qu’elle tient du bout de ses orteils. Je suis littéralement subjugué par ses sublimes pieds, mes yeux fixent le mouvement de va - et - vient de sa sandale. Ma Maîtresse et Marie me regardent en souriant, je m’en aperçois du coin de l’œil. Puis soudain, le soulier glisse et tombe à terre. Le bruit du talon sur le superbe carrelage brise le silence qui s’est installé dans la pièce. Pendant quelques secondes, nous nous regardons tous. Je ne sais pas quoi faire, je ne sais même plus vraiment où je suis… Mais je reprends rapidement mes esprits et je fais ce qui s’impose dans cette situation. Je me jette aux pieds de ma Domina, je me mets à genoux devant ma Princesse, je ramasse sa sandale puis, de ma main gauche, je saisis doucement son pied droit, en tenant sa chaussure de mon autre main. Tout à coup, au moment où je vais la lui enfiler, Marie se lève et m’attrape par les cheveux. (À cet instant, je me dis en moi-même que ma chevelure, que je porte mi-longue, attire la main des femmes et que décidément elles aiment me tenir par là, ce qui est bien douloureux.) Me tenant donc par les cheveux, Marie me dit, d’une voix dure et très autoritaire : « Je veux que tu honores les jolis pieds de ma nièce. Montre-moi ce que tu sais faire de ta misérable langue ! » Je lève alors ma tête vers ma Domina qui, je le vois à son visage, semble presque aussi étonnée et stupéfaite que moi par l’intervention de sa tante. Elle regarde sa tante avec un tel regard !… Puis elle abaisse ses yeux sur moi et me dit : « Alors, qu'est-ce que tu attends pour obéir à ma tante ? » Je ne demande pas mieux, moi ! Je reprends le pied droit de ma Princesse dans les mains et je commence à le couvrir de longs baisers amoureux. Marie retourne s’asseoir dans son fauteuil, comme pour apprécier le spectacle…

Je baise avec force et dévotion le divin pied droit de ma Princesse. Je passe ma langue sur toute sa peau si douce. Ensuite, je suce un à un ses délicieux orteils. Je lèche même entre les doigts de pied, car je veux montrer à Marie que je suis doué.

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Confortablement installée dans son fauteuil, ma Princesse semble apprécier et se détendre. Je me baisse ensuite pour passer ma langue sur sa merveilleuse plante de pied. Marie se lève alors pour intervenir de nouveau. Cette fois, elle a appuie le talon de sa chaussure droite sur mon torse et me dit : "Allonge toi  par terre, ma nièce va poser son pied sur ton visage , la position sera plus agréable pour toi… et surtout pour elle ! » Je m’exécute, je m’allonge complètement sur le carrelage froid de la salle à manger. Ma Princesse pose alors son pied droit sur mon visage. Je respire à pleins poumons l’odeur merveilleuse de ses sublimes pieds, je lèche la moiteur causée par la chaleur. Je sens de plus en plus le poids de son pied sur mon visage. C’est la première fois que je me retrouve dans cette position. J’adore ! L’humiliation est décuplée par la présence de Marie. C’est peut être bête à dire, mais j’adore les situations humiliantes, je les ai toujours adorées, car elles m’excitent terriblement !!! Ma langue se balade amoureusement des orteils au talon, j’avale des petits morceaux de cuir qui se sont détachés de la chaussure. Quand ma Princesse soulève son pied, c’est un vrai soulagement pour mon nez qui est resté longtemps écrasé, mais la trêve est de courte durée. Quelques secondes plus tard, la sublime plante du pied gauche de ma Maîtresse vient se plaquer violemment sur ma bouche.

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 J’entends la voix de ma Princesse qui me dit : « Allez, au tour de l’autre pied maintenant ! ». Puis j’entends Marie qui s’exclame : « Je t’adore, ma chérie. Tu apprends vite !!! » Une réelle complicité s’est installée entre les deux femmes. Cela m’excite et me terrorise à la fois, car ma Princesse était déjà très stricte avec moi, et maintenant qu’elle est « coachée » par une Dominatrice expérimentée, je dois m’attendre à ce qu’elle m’emmène encore plus loin dans la soumission. C'est la première fois que je vénère à ce point les pieds de ma domina devant une autre personne. La présence de Marie accentue encore mon excitation.

En moins d’une semaine, j’ai appris à « faire l’amour avec ma bouche » aux pieds de ma Princesse. Et sincèrement, je sais que j’ai ainsi passé les deux plus beaux moments de ma vie. Cette époque est pour moi, une période bénie. Plus les jours passent, plus ma Princesse m’emmène loin dans la soumission. Cela se fait rapidement, tellement c’est naturel. Aux pieds de ma Princesse, je suis certain de connaître les plus beaux moments de mon existence. J’ai toujours su que je suis fait pour vivre en esclave total, mais il faut simplement que j’arrive à l’accepter.

Aujourd’hui, je n’ai plus peur de dire que j’ai besoin de vivre aux pieds d’une femme, de passer ma vie à ses pieds. C’est vital pour moi. Je donnerais absolument tout pour revenir à cette merveilleuse époque. Je ne sais pas ce que me réserve l’avenir. Une chose est sûre : je vivrai aux pieds d’une femme car c’est ma vie, tout simplement… Ce sera parfois un long chemin pour moi qui me suis fait peu à peu aux pieds de ma Princesse que j’ai toujours aimée de tout mon être.

Ce jour-là, donc, j’honore de la même manière le pied gauche de ma Maîtresse. Je passe amoureusement ma langue servile sur sa délicieuse plante de pied.

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Puis ma Maîtresse me fait comprendre d’un coup de pied dans le nez que je dois me redresser. De nouveau à genoux devant ma Domina, je rechausse son divin pied. Je continue à baiser ses superbes pieds et ses délicieux orteils. Je me sens tellement bien ! Mon sexe est en feu sous mon boxer. Très discrètement à plusieurs reprises, je lève légèrement mes yeux pour regarder aussi les superbes pieds de Marie qui sont si désirables !!! Une nouvelle fois, je vis un moment formidable, un moment magique et unique, grâce à ma Maîtresse. Alors que je suis en pleine action, j’aimerais encore que ce moment dure pour l’éternité. Ma Princesse me donne une nouvelle fois un coup de pied et me dit : « Maintenant, ça suffit ! Tu as correctement adoré mes jolis pieds. » C’est alors que Marie reprend la parole : « Oui, ma chérie, tu as raison. Ce jeune homme m’a l’air d’être un très bon chien. » Elle se lève de nouveau et me saisit une nouvelle fois par les cheveux. Elle me dit, toujours d’une voix glaciale : « N’oublie pas de remercier ma nièce pour le moment magique qu’elle vient de t’offrir. » Je lève alors mes yeux vers ma Princesse et je lui dis : « Adorer tes sublimes pieds est ce que j’aime le plus au monde. Je te remercie de tout mon cœur de m’offrir ce privilège. » Toujours à genoux, je me tourne alors vers Marie qui se tient debout face à moi. Je lève mes yeux vers son visage et je lui dis : " Madame, je vous remercie de m’avoir soulagé d’un secret qui devenait trop dur à porter. » Marie passe alors sa main dans mes cheveux et me dit : « Tu es un brave garçon, tu as tout pour devenir un merveilleux esclave… » Je souris. De ma vie, je n’ai jamais été aussi heureux qu’à ce moment précis. Marie dit alors à sa nièce : « Ma chérie, si tu savais comme je suis fière de toi ! Tu as déjà fait de ce jeune homme ton esclave. Je n’ai plus grand-chose à t’apprendre. J’aimerais juste te dire encore une règle d’or : N’oublie jamais le pouvoir absolu que tes jolis pieds te procurent sur ce garçon. Garde toujours en mémoire une phrase, ma chérie :

Rien que par tes jolis pieds, tu peux absolument tout obtenir de ce garçon… »

 

 Paillasson ch’ti, esclave virtuel favori de Maîtresse MAEVA

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En bonus immérité, quelques photos.... 


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C'est tout pour aujourd'hui.... prochaine publication après vingt commentaires intelligents et sincères!

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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