Vendredi 19 février 5 19 /02 /Fév 09:18

FÉTICHISME ET SOUMISSION, XX

 

Je suis toujours à genoux aux pieds de ma Princesse et de sa tante Marie. Elles continuent de parler entre elles sans se préoccuper de moi. Elles s’échangent leurs numéros de téléphone. Elles se disent toutes les deux ravies de s’être retrouvées. À l’avenir, elles ont bien l’intention de rester régulièrement en contact. Cette idée me plaît bien…

Ma Domina baisse enfin ses yeux sur moi et d’un geste de la main me fait signe que je peux me relever. Elle fait la bise à sa tante qui nous raccompagne à la porte. Je lui dis « Au revoir, Madame ». Nous retournons à la voiture. Je viens de passer un moment surréaliste et je suis vraiment submergé d’émotion. Je ne peux m’empêcher de repenser à tout ce qui vient de se passer : la révélation de mon secret, l’autorité de Marie face à son jeune domestique et l’adoration des pieds de ma Maîtresse…

Je me sens comme dans un état second. Dans la voiture, alors que je suis sur le point de démarrer, je demande à ma Domina si nous pouvons attendre un peu avant de nous mettre en route. Je lui explique que je ne me sens pas capable de conduire tout de suite, qu’il faut que je me remette un peu de mes émotions. Bien qu’elle ait l’âge de le passer, ma Princesse n’a pas le permis. Conduire lui fait toujours peur et elle ne s’est jamais vraiment investie dans l’obtention de ce papier.

J’ai vraiment eu peur de me faire réprimander par ma Princesse, à cause de ma trop grande émotivité, mais non, au contraire ! Elle me prend dans ses bras, me laisse poser ma tête sur sa poitrine, passe ses mains dans mes cheveux. Elle me dit : « Je suis très fière de toi. Devant ma tante, tu as merveilleusement fait l’amour à mes pieds. C’était génial, j’ai adoré. Je comprends que la découverte de ton secret ne soit pas facile à vivre. Prends le temps de te remettre, je ne suis pas pressée. Je ne veux surtout pas que nous ayons un accident parce que tu ne peux chasser de ta tête l’image de mes jolis  pieds. »

À ce moment-là, je me mets à pleurer à chaude larmes dans les bras de ma Princesse, et je lui dis : « Si tu savais comme je t’aime !… » Elle me répond : « Je le sais bien, mais il ne faut pas te mettre dans un état pareil ! » Je lui dis alors : « L’émotion a été trop forte, j’ai besoin de me relâcher un peu. Tu n’imagines pas à quel point je suis soulagé d’être enfin libéré de ce secret qui me pèse depuis mon adolescence... » Elle murmure, tout en caressant lentement mes cheveux : « Je comprends ! »

Dans les bras de ma Princesse, je suis en train de vivre un moment de tendresse merveilleux. J’ai toujours été quelqu’un d’ultrasensible et là, blotti contre elle, je sanglote vraiment. Même ma Domina, qui en règle générale est toujours très sévère, semble émue de me voir dans un tel état. Elle essaie me consoler. Je ne l’ai jamais vue aussi sensible. Cela m’encourage à lui demander pourquoi elle se montre si dure d’habitude. Elle me répond, comme à chaque fois : « Toi et moi, nous n’avons pas du tout reçu la même éducation. Mes parents ont toujours été très stricts avec moi. De plus, avec toutes les mauvaises expériences que j’ai vécues avec les garçons, je me suis constitué une carapace. J’ai toujours eu un très fort caractère, comme ma mère et comme ma tante Marie que tu connais désormais… Avec le temps, ce caractère n’a fait que se renforcer. Mais tu ne vas t’en plaindre, car tu m’as souvent dit que tu étais attiré par les femmes volontaires, n’est-ce pas mon fétichiste des pieds ?… »

Je décèle dans le ton de voix de ma Princesse une certaine ironie. Après tout, elle a bien le droit de me taquiner, maintenant qu’elle connaît mon secret. Elle poursuit : « Toi, tu as toujours été dorloté par tes parents, tu as toujours vécu dans une véritable bulle. Tu as une relation fusionnelle avec ta mère… même un peu trop à mon goût. » J’écoute attentivement ma Domina car je sais qu’elle a parfaitement raison. D’ailleurs, ma famille a beaucoup de mal à accepter cette relation si spéciale que j’entretiens avec ma Princesse. Notre histoire a déjà été à l’origine de pas mal de conflits et encore ce n’est sûrement qu’un début… Je commence à bien connaître ma Maîtresse, ainsi que sa Maman. C’est vrai qu’elles ont toutes les deux un caractère extrêmement fort, et c’est pourquoi elles ne peuvent éviter d’entrer régulièrement en conflit. Néanmoins, une véritable complicité les lie. Je sais que ma Princesse se confie volontiers à sa Maman. Ainsi, malgré ce qu’elle m’a dit, je m’attends à ce qu’elle avoue à sa mère notre visite chez Marie, car elle a beaucoup de mal à lui cacher des choses.

Ma Domina se demande vraiment pourquoi je pleure ainsi dans ses bras. Je lui dis que ce sont des larmes de joie, que je suis le plus heureux des hommes, prosterné devant ses jolis pieds. Je lui explique qu’il y a des années que je porte ce secret en moi et que la révélation faite par Marie a été une véritable délivrance. À ce moment-là, ma Domina me dit : « J’aimerais que tu me racontes en détail ta vie sexuelle, tes amours depuis que tu es adolescent. Je pense que nous sommes assez proches maintenant. Tu peux me faire confiance, tu peux tout me dire. J’aimerais que tu aies enfin le courage de m’avouer que tu es toujours puceau. Même si j’en ai déjà la certitude, j’aimerais l’entendre de ta bouche. Je t’ai raconté des choses très intimes sur moi, sur ma vie, et j’aimerais que tu fasses la même chose. J’ai tout mon temps. »

Ma Princesse me tient toujours dans ses bras. Je commence alors à lui détailler ma vie depuis le tout début de mon adolescence. Ce jour-là, pour la toute première fois, j’ouvre totalement mon cœur à ma Princesse. Je lui explique absolument tout sur ma vie. Je commence par évoquer les premières attirances que j’ai ressenties pour les pieds de mes enseignantes et dont j’ai parlé au tout début de ma monographie. Maintenant, je peux librement exprimer mon fétichisme des pieds à ma Domina, puisqu’elle connaît mon secret. J’ai vraiment envie de lui expliquer comment ce désir particulier est né en moi. J’insiste sur un moment qui a marqué ma vie : adolescent, j’avais l’habitude de m’allonger sur mon lit pour feuilleter des revues. Un jour, alors que j’en lisais une, en tournant une page je suis tombé nez à nez avec une photo de Lara Fabian où elle avait les pieds nus. Je me souviendrai toujours de ce moment, à l'époque, je ne connaissais même pas encore la masturbation. C’est ce jour-là que j’ai senti le désir monter dans mon bas-ventre. J’étais tout excité, j’ai ressenti des sensations inédites simplement à la vue des jolis  pieds de cette star. Et c’est ce jour-là aussi que j’ai joui de ma première éjaculation. Il m’a fallu être très discret car mes parents étaient dans la pièce juste à côté. C’est un jour qui fut déterminant dans ma vie et dans ma vie sexuelle. Voilà pourquoi je vous parle si souvent de Lara Fabian qui occupe une place si importante dans ma vie. Bien entendu, à partir de là, dès que j’en avais l’occasion, je prenais cette revue et je m’allongeais sur mon lit. En admirant ces beaux pieds nus, je baissais mon pantalon et mon slip pour que ma queue soit en contact direct avec ma couette. Je me frottais ainsi en fantasmant sur ces jolis pieds. Mon désir pour eux était tellement intense qu’il m’arrivait parfois de baiser, de lécher les pages ! Par la suite, je me suis constitué ma petite collection privée dont je vous ai déjà parlé. À chaque fois que je découvrais dans une revue une photo d’une star aux pied nus, je la découpais et la conservais. Ainsi, au fil des mois, je me suis retrouvé avec une bonne dizaine de photos devant lesquelles je fantasmais tous les jours et toujours de la même manière, sur mon lit. Ma petite collection est constituée des pieds de : Angélina Jolie, Michelle Pfeiffer, Liz Hurley, Alyssa Milano (actrice de la série « Charmed »), Flavie Flament, Hélène Ségara, Mélanie Griffith, Jennie Garth (Kelly dans la série « Beverly Hills »), Fran Drescher (série « Une nounou d’enfer »), Jessica Alba, Vanessa Demouy et enfin Tonya Kinzinger (Jessica dans la série « Sous le soleil »).

Il y a une autre photo devant laquelle j’ai souvent fantasmé, c’est celle d’Ophélie Winter. On y voit la star, non pas pieds nus mais chaussée de bottes cuissardes rouges et brillantes. Cela pour vous dire que, très tôt, j’ai eu le désir et le fantasme de devenir un vrai lèche-bottes pour dames. Quand je baisais et léchais cette revue, je rêvais en réalité de baiser et lécher les bottes de cette magnifique jeune femme !

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Bien entendu, je n’ai pas parlé de cela à ma Princesse. Elle venait d’apprendre que j’étais un véritable fétichiste des pieds. J’avais peur que si je lui parlais aussi de mon goût pour les bottes, elle finirait par me prendre pour un fou...

Je n’ai découvert la vraie masturbation que plus tard, en regardant un film… Après la découverte de mon fétichisme des pieds, mon désir de soumission se faisait de plus en plus intense. Une autre fois, toujours par l’intermédiaire d’un film, j’ai découvert le bondage. J’ai immédiatement ressenti le besoin de me sentir attaché, entravé. En l’absence de mes parents, je ne me contentais plus de fantasmer devant les photos de stars aux pieds nus, je prenais des cordes, je m’attachais seul, je m’imaginais des scénarios, je rampais par terre. Bien entendu, en ce temps-là, je n’ai pas non plus parlé de cela à ma Princesse, car je crois que je lui aurais fait peur.

***

Je reviens donc à ce moment de tendresse avec ma Domina… Je continue de lui parler : « Je sais bien que mon fétichisme des pieds peut paraître bizarre. Je sais bien que la plupart des adolescents fantasment devant des revues coquines dans lesquelles on peut voir de superbes femmes nues ou très peu habillées. Je m’en suis acheté quelques-unes de ce genre, surtout pour faire comme mes copains. Je ne dis pas que je n’aime pas admirer une belle femme nue. Au contraire, je suis bien évidemment excité devant une telle vision. Mais irrémédiablement, mes yeux sont attirés par les pieds de ces femmes. Les quelques revues coquines que j’ai achetées, je les ai choisies en fonction des jolis  pieds des dames qu’il y avait en couverture. »

 


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Je vais vous raconter une anecdote dont je n’ai pas parlé à ma Princesse : Un jour, en sortant du lycée, j’ai été en proie à un désir incontrôlable. Je suis allé dans un tabac-presse, car j’avais envie de m’acheter une nouvelle revue coquine. J’étais toujours très gêné d’acheter ce genre de magazine. Cette fois, j’en ai pris un au hasard dans le rayon classé X, sans même regarder la couverture. Je l’ai payé, je l’ai caché sous ma veste et je suis rentré chez moi. Une fois dans ma chambre, j’ai enfin pu découvrir la revue que je venais d’acheter. Et là, j’ai découvert qu’elle ne traitait que d’un seul thème : le fétichisme des pieds. J’étais fou d’excitation ! Il y avait des photos en gros plan de pieds de jolies femmes. J’avais pris cette revue complètement au hasard, au milieu de toutes les autres, et j’étais peut-être tombé sur la seule revue fétichiste ! J’ai toujours vu là un véritable signe du destin…

***

Mais revenons encore à ce moment de tendresse avec Ma Princesse. Elle m’écoute toujours attentivement, j’ai toujours ma tête appuyée à sa poitrine, elle continue de me caresser les cheveux. Je suis bien, en confiance, prêt à tout lui avouer. Je me mets à lui raconter mes amours. Je reconnais qu’avant de la rencontrer, j’ai été à plusieurs reprises attiré par des filles mais qu’elles n’ont jamais voulu de moi. Je rappelle à ma Princesse : « Comme tu le sais, je suis en deuxième année. Il y a quelques mois, lorsque nous nous sommes rencontrés, je n’étais pas particulièrement attiré par une fille de ma classe. En revanche, un ami et moi, nous étions liés d’amitié avec deux filles qui étaient dans une classe inférieure et qui étaient plus jeunes de quelques années. Elles et nous étions vraiment devenus de bons amis, on se voyait entre les cours et en dehors de l’établissement. Nous faisions beaucoup de sorties ensemble, au ciné, au bowling, à la piscine. Mon ami a fini par sortir avec l’une des filles, et moi je dois avouer que j’en pinçais pour l’autre. En fait, j’étais tombé amoureux d’elle dans la cour. Mon ami avait exprès de devenir leur ami à toutes deux afin de me donner une chance. Avant de te connaître, ma Princesse, il y a très peu de filles qui ont vraiment compté pour moi mais celle ci en fait vraiment partie. Plus on se voyait, plus je devenais amoureux. Bien évidemment, je ne suis jamais sorti avec elle. Au final, mon ami a continué de sortir avec sa copine et moi je suis resté sur le carreau, comme j’en avais l’habitude. Pourtant, lorsqu’on était ensemble, je m’arrangeais toujours pour m’approcher d’elle. Même si je n’avais jamais osé le lui dire clairement, je lui avais fait comprendre qu’elle me plaisait. Elle l’avait forcément compris et il était donc clair que je ne l’intéressais pas. Je le comprenais : cette superbe fille qui s’appelait Élise était très très mince, et je n’étais absolument pas son type de garçon. J’ai même dû supporter de la voir sortir avec un gars que je connaissais. Lorsque toi et moi nous sommes rencontrés, ma Princesse, j’étais encore amoureux d’elle. Au début, je la voyais encore de temps en temps, mais peu à peu je l’ai complètement oubliée, et il y a longtemps que je n’ai même plus aucune nouvelle ».

***

Il y a un détail dont je n’ai pas parlé à ma Domina : lorsque j’allais avec cette fille à la piscine, je fantasmais comme un dingue sur ses pieds qui étaient très très jolis. Je les désirais vraiment, je m’imaginais souvent à genoux à ses pieds, en train de la supplier. J’avais envie  de me soumettre à elle, je ne savais pas encore que j’étais sur le point de rencontrer la femme de ma vie, celle qui me prendrait en main et qui me réduirait enfin à l’état d’esclave total…

***

Je continue donc de me raconter à ma Domina : « Dans mes études, je me suis toujours retrouvé dans des classes où les filles étaient largement majoritaires. Je pense que cela a un lien avec l’homme… où plutôt l’esclave que je suis devenu aujourd’hui. J’ai toujours été entouré par des filles, et au fur et à mesure cela n’a fait que renforcer ma soumission aux femmes. Lorsque je t’ai rencontée, j’étais encore une fois dans une classe où les filles étaient plus nombreuses. Forcément, il y en avait que je désirais, mais je savais qu’elles resteraient toujours pour moi de purs fantasmes. Elles étaient beaucoup trop bien pour moi, elles m’étaient inaccessibles. »

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Il y a un autre détail dont je n’ai pas parlé à ma Maîtresse. Je me souviens surtout de deux filles. Pourquoi elles en particulier ? Outre le fait qu’elles faisaient partie des plus jolies de ma classe, il s’agissait de deux très bonnes copines qui étaient toujours ensemble. Et surtout je sentais en elles de véritables dominatrices. Elles avaient toutes les deux un très fort caractère et je suis sûr qu’elles aimaient conduire les mecs à la baguette. Je sentais qu’elles auraient aimé voir un homme se prosterner devant elles, se soumettre à leurs volontés. Elles m’ont souvent fait rêver, je fantasmais sur leurs pieds. Bien entendu, il ne s'est jamais rien passé, je n’ai pas osé franchir le pas. Et durant les deux années où ces deux filles ont été en classe avec moi, je n’ai jamais rien osé tenter…

***

Je continue de parler à ma Domina : « Ce n’était pas facile pour moi d’être toujours dans des classes majoritairement féminines. Il y avait beaucoup de filles que je trouvais jolies mais malheureusement je restais toujours sans copine, j’étais trop timide, je n’étais pas assez bien… J’ai vécu constamment dans la frustration. »

Il y avait les filles avec qui j’aurais vraiment aimé sortir, il y avait celles que j’admirais mais que je savais beaucoup trop belles pour moi, et enfin il y avait celles chez qui je pressentais ce besoin de domination. Il faut bien avouer que ces filles au caractère bien trempé étaient minoritaires, mais il y en avait toujours au moins une dans chacune de mes classes. Ce côté dominatrice m’a toujours attiré comme un aimant.

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Je raconte encore à ma Domina : « Alors que j’étais encore au lycée, je ne connaissais pas encore Élise, c’est une autre fille qui faisait battre mon cœur. Il s’agissait d’Ophélie. Nous étions dans la même classe et je suis vraiment tombé fou amoureux de cette fille. Je tenais vraiment à elle, j’avais vraiment envie de sortir avec elle. Tous mes amis le savaient. J’essayais de passer le plus de temps possible avec elle mais j’étais très timide, ce n’était jamais facile pour moi. En plus, elle était toujours très entourée, elle avait beaucoup d’amis. C’était une fille très très jolie et ses prétendants étaient donc nombreux ! Je l’ai aimée pendant des années en silence, comme toujours au cours de mon adolescence. À l’époque, comme je sortais en boîte avec la bande, j’ai souvent rencontré par hasard Ophélie qui venait dans la même discothèque avec ses amis. Elle me saluait à chaque fois, elle me parlait, elle me souriait, elle m’aimait bien, elle me considérait comme un bon copain. Et il est là, le problème : j’ai toujours été le bon copain, l’ami sympa, mais j’avais des sentiments pour Ophélie qui dépassaient le stade de l’amitié. Alors en bôîte, je passais le plus de temps possible près d’elle , je dansais à côté d’elle, bref j’ai tout fait pour lui faire comprendre que je l’aimais sans jamais oser le lui dire ouvertement. Je pense qu’elle le savait mais malheureusement je ne l’intéressais pas comme petit ami. Et moi, je souffrais en la voyant danser avec d’autres garçons, ce n’était pas facile à vivre. Un ami me poussait même à aller chez elle pour lui déclarer ma flamme, tellement il me voyait amoureux. Malheureusement, il ne s’est jamais rien passé avec Ophélie. Nous avons tous les deux obtenu notre baccalauréat, nous sommes partis pour les études supérieures dans des établissements différents et éloignés l’un de l’autre. Nous nous sommes perdus de vue, puis comme je te l’ai dit, j’ai ensuite rencontré Élise qui a complètement chassé Ophélie de ma tête.

Comme tu sais, ma Princesse, dans toutes mes classes j’étais entouré majoritairement de filles, et bien évidemment, je n’arrêtais pas de fantasmer sur leurs pieds.

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Lorsque j’étais encore assez jeune, autour de 14 ans, j’ai connu des filles qui m’ont plus ou moins maltraité… Certaines se moquaient de moi, de mon physique, de ma manière de parler (ma voix a mué très tard). Je me souviens de l’une d’elles qui s’amusait à me couper les cheveux et il y en avait qui se montraient vraiment très méchantes avec moi. J’étais très timide, effacé, et lorsqu’on m’embêtait, je subissais sans réagir. »

Le pire, c’est que ces filles qui s’acharnaient sur moi, je les désirais, j’aimais leur caractère dominant, la manière dont elles me traitaient, j’aurais aimé leur lécher les pieds… Mais cela, je ne l’ai pas avoué à ma Princesse qui aurait pu s'en offusquer. 

***

Je continue de lui raconter : « Oh oui, pendant au moins deux années, plusieurs filles se sont acharnées sur moi. Il y en a une que je n’oublierai jamais. Je pense que c’est sincèrement la première véritable dominatrice que j’ai rencontrée. Comme je l’ai dit, j’avais 14 ans. Cette fille était magnifique, elle était brune, elle avait les cheveux très noirs, et son regard aussi était très noir. Elle faisait déjà beaucoup plus âgée que 14 ans, alors que moi j’ai longtemps gardé un visage de gamin. Je n’avais jamais rencontré une jolie fille ayant un caractère aussi fort. Elle m’avait pris en grippe, elle était tous les jours sur mon dos. Elle se moquait de mon physique, elle m’attaquait verbalement. Elle allait même jusqu’à me cracher dessus ! Elle s’est acharnée sur moi pendant un an, avant que d’autres prennent la relève mais jamais aussi durement qu’elle. Moi bien entendu, je ne réagissais pas, je subissais. Au contraire, je me soumettais à elle. Je me rappelle que je ramassais ses affaires par terre, que je lui apportais son sac. Ça ne l’empêchait pas de me rigoler au visage, ni de se moquer ouvertement de moi. »

Bien entendu, cette fille me fascinait. Je la considérais comme une vraie Déesse. Je me souviens : pendant les cours, je l’imaginais en train de trôner dans un immense fauteuil, et moi je me voyais en train de ramper devant elle et de déposer des offrandes à ses pieds. Cette image m’a hanté pendant des mois. Je n’avais que 14 ans et pourtant j’aspirais déjà à une soumission absolue…

 

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J’ai plusieurs anecdotes à vous raconter pour vous montrer que la soumission aux femmes et la vénération des pieds féminims ont toujours été présentes en moi. Dans la même classe que cette fille qui me martyrisait, il y en avait une autre qui avait aussi un très fort caractère mais qui n’avait rien de particulier contre moi. Je me souviens d’un jour où, en classe, j’étais assis juste derrière elle. Sans le faire exprès, j’ai fait tomber mon stylo qui a roulé par terre et a terminé sa course contre ses pieds. Je l’ai alors interpellée discrètement et je lui ai demandé si elle pouvait me rendre mon stylo. Elle m’a alors regardé droit dans les yeux et tout naturellement elle m’a dit : « Tu n’as qu’à venir à mes pieds pour le récupérer ! » Je me rappelle ce moment comme si c’était hier, alors que cela remonte à plus de dix ans. Pour la plupart des gens, cela aurait été un détail anodin dans une journée classique, mais cela est resté gravé en moi car déjà à l’époque j’étais un véritable fétichiste des pieds. Cela correspond à la période où je fantasmais sur les pieds de Lara Fabian. Quand j’ai entendu cette fille me dire cela, j’ai été comme paralysé. Je ne savais plus quoi dire, ni quoi faire. Le prof l’a alors interpellée et lui a demandé de se retourner. Elle n’a jamais ramassé mon stylo et le cours s’est terminé. À la fin, alors que tout le monde ramassait ses affaires, je me suis levé, je me mis à genoux sous la table et j’ai attrapé mon stylo qui était là, sous sa table, juste à côté de ses pieds. Elle m’a regardé faire puis elle est partie rejoindre son petit ami en souriant. Ce jour-là, à 14 ans, j’ai connu ma première expérience de fétichiste des pieds. J’y repense souvent, je revois cette fille. Son visage, ses pieds sont gravés à jamais dans ma tête. À l’époque, j’ai beaucoup fantasmé sur cet incident. Je n’arrêtais pas de m’imaginer aux pieds de cette jolie fille. J’avais envie de les lui baiser, de les lui lécher. Elle avait déjà un petit ami, et je m’imaginais en train de lui lécher les pieds pendant qu’elle l’embrassait ! C’est en ce temps-là que je me suis aussi retrouvé en classe avec une fille que j’avais connue en primaire. Déjà très jeunes, nous avions des conversations qui pouvaient laisser prévoir mon avenir d’homme soumis. En effet, alors que nous n'étions que des enfants, je me rappelle que cette fille s’imaginait avec autour d’elle plein de garçons lui obéissant. J’avais supplié cette fille de m’accepter dans ce cercle de garçons imaginaires. Je la suivais partout comme un petit toutou et je faisais ce qu’elle m’ordonnait. Je n’étais qu’un gamin et pourtant, j’avais déjà certains désirs. Lorsque j’ai retrouvé cette fille au collège, cela m’a rappelé les bons souvenirs de l’école primaire…

Je continue de parler à ma Princesse : « Au moment où je me faisais martyriser par certaines filles, je ne connaissais pas encore Ophélie, mais j’avais en tête deux autres filles avec qui je m’étais trouvé en classe l’année précédente. C’est au cours de mes études que j’ai rencontré beaucoup de mes amis.Une année, l’un d’eux était tombé sous le charme de la même fille que moi. Elle était vraiment très belle, elle avait un visage qui pétillait. Elle s’appelait Sabrina. Mon ami et moi étions donc en concurrence pour la séduire, nous n’arrêtions pas d’en parler, c’était à celui qui allait lui offrir le plus beau cadeau. Au final, bien évidemment, aucun de nous deux n’est sorti avec elle, Sabrina était beaucoup trop belle pour nous. Dans la classe, il y avait une Ludivine pour qui j’ai eu aussi un coup de cœur, malheureusement toujours sans succès. Enfin, la toute première fille pour qui j’ai éprouvé des sentiments sincères, c’est Perrine. J’étais encore plus jeune puisque c’était pendant ma première année de collège. Cette fille qui me plaisait énormément m’a suivi au cours de mes études. Au fil du temps, je l’ai vue devenir une adolescente dont j’étais follement amoureux. ».

Lorsque nous allions à la piscine avec l’école, j’admirais ses pieds qui étaient très mignons, avec déjà de très jolis ongles longs. Elle s'asseyait parfois sur le bord du bassin, et pendant que je nageais, elle laissait pendre ses pieds. J’avais une envie folle de les lui baiser. À 13 ans ! Au-delà de cela, c’est la première fille avec qui je me suis imaginé vraiment en couple car je l’aimais beaucoup. Malheureusement, elle est toujours demeurée pour moi un fantasme. Il y a une autre fille qui est restée dans la même classe que moi durant de nombreuses années. Elle n’était pas particulièrement belle mais avait beaucoup de charme. Au long des années, je fantasmais sur ses pieds. Je me souviens d’un scénario que je m’étais imaginé... Elle était dans la cour avec toutes ses copines, et moi j’étais allongé à ses pieds pour les lui embrasser et les lui lécher encore et encore. Et alors, la fille disait à ses amies : « Il vit à mes pieds ! » Ce scénario m’a beaucoup marqué. J’y repense souvent, et aussi à cette fille…

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Enfin, déjà enfant, certaines filles m’ont marqué car elles avaient un tempérament très fort qui m’attirait. Par la suite, j’ai revu certaines d’entre elles au cours de mes études et leur caractère n’avait absolument pas changé. »

***

« Voilà, ma Princesse ! Je t’ai fait un résumé complet de ma vie. Il n’y a que quelques filles que j’ai vraiment aimées de loin et en secret, avant de te connaître : Perrine, Sabrina, Ophélie et Élise. Je ne suis sorti qu’avec une seule fille que j’avais rencontrée en boîte mais cela n’a duré que le temps d’un week-end. C’est tout. »

Ma Princesse me dit alors : « Tu n’aurais pas oublié de me parler de cette fille avec qui tu as connu ta première fois ? » Je lui réponds : « Cette fille a vraiment existé. J’ai été durant de nombreuses années dans sa classe, je l’aimais bien mais il ne s'est absolument rien passé entre nous. J’ai inventé cela car j’étais gêné d’être encore puceau. Aujourd’hui, j’ai décidé de tout te dire. Je te demande pardon de t’avoir menti. Ma Princesse, il n'y a pas qu'à toi que j'ai menti à propos de cette fille, j'ai menti aussi à certains membres de ma famille, j'étais tellement gêné de n'avoir jamais de copine. Maintenant que j’ai 19 ans, je sais que tu es la femme de ma vie. Sincèrement, mon amour, je t'ai parlé de ces quelques filles qui ont compté pour moi. Mais je n'ai jamais été aussi amoureux qu'aujourd'hui. Comme tu le sais, je suis tombé raide dingue de toi dès notre première rencontre. Mes sentiments pour toi sont cent fois plus fort que tout ce que j'ai connu avant et tous les moments que nous partageons ne font que renforcer mes sentiments. Je t'aime ma Princesse, je t'aime de tout mon coeur. Je rêve d’une vie de couple où je pourrais vivre à tes pieds. Je rêve d’avoir des enfants… »

Ma Princesse me remercie d’avoir été aussi honnête avec elle, puis elle me dit : « Maintenant, il est temps que nous rentrions… »

 

Voilà, je vous ai raconté toute mon adolescence.

Aujourd’hui, j’avoue que j’aimerais avoir des nouvelles de toutes ces filles que j’ai connues, que j’ai aimées au cours de mon adolescence. Je vais peut-être m’inscrire sur un site qui permet de retrouver ses anciennes amies de classe. On ne sait jamais, il se pourrait que l’une d’elles soit devenue aujourd’hui, une vraie femme dominatrice qui rêverait de me voir enfin ramper à ses pieds…

Je ne sais pas ce que l’avenir me réserve. J’avais trouvé la femme de ma vie, et  la vie me l’a reprise. Parfois, je me dis que je vais me réveiller, que tout cela n’est qu’un cauchemar, que je vais retrouver ma Princesse mais la réalité finit toujours par me rattraper. Aujourd’hui, encore plus qu’à l’époque j’aspire à une vraie vie de couple. Je rêve d’avoir des enfants. Je ne veux plus vivre dans le fantasme ou dans la frustration. Je sais que ma vie ne sera jamais simple. Je garde la foi, j’espère qu’un jour je ferai une nouvelle rencontre qui fera peut-être prendre un nouveau tournant à ma vie. En attendant, j’ai encore beaucoup de choses à vous raconter…

 

Paillasson ch’ti, esclave virtuel favori de Maîtresse MAEVA

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Commentaires

Bonjour Maîtresse MAEVA

 

Je vous présente mes hommages.

 

J’étais justement connecté à votre magnifique blog lorsque j’ai découvert que vous aviez publié un nouvel article.

Je me suis précipité pour le regarder et c’est avec grand plaisir que je découvre que vous publiez la suite de ma monographie.

Tout d’abord, je tenais à vous remercier sincèrement de nous donner la chance de profiter de deux articles en deux jours.

Plus personnellement, je tenais une nouvelle fois à vous dire merci pour la publication de la suite de ma monographie. Comme toujours, cela me fait beaucoup de bien, cela me remplit de bonheur pour ma journée.

Maîtresse MAEVA, je vous suis sincèrement reconnaissant de tout mon être !!!

 

Ce texte est un peu différend des autres. Je reviens sur toute ma jeunesse, j’y décris toutes les expériences qui m’ont fait devenir peu à peu l’homme que je suis aujourd’hui…

J’espère que ce texte plaira aux lecteurs et que les commentaires seront nombreux !!!!

 

Maîtresse MAEVA, je vous remercie également pour les illustrations qui comme toujours sont parfaites !!!!

 

Maîtresse MAEVA, je tenais à vous poser une question : Comme vous me l’aviez autorisé, j’ai écris un commentaire sur le blog de Maîtresse Nancy dans lequel je me suis présenté.

Maîtresse Nancy me donne l’honneur de m’accepter comme esclave virtuel à ses pieds.

Je sais que je vous appartiens Maîtresse MAEVA et j’en suis très heureux. Je tenais à savoir si vous acceptiez que je devienne l’esclave virtuel de Maîtresse Nancy ?

Maîtresse Nancy a mis sur son blog un service aux enchères : Le plus offrant aura le droit de nettoyer de sa langue une de ses paires de chaussures très sales. J’ai bien envi de participer au concours mais je ne le ferai jamais sans votre autorisation. Puis je participer à cette enchère ?

Je ne suis pas là pour faire le mouchard néanmoins j’ai remarqué que plusieurs de vos esclaves virtuels font parti des esclaves virtuels de Maîtresse Nancy. S’ils n’ont pas demandé votre permission au préalable, je trouve qu’il s’agit d’un manque de respect envers vous…

 

Maîtresse MAEVA, vous pourriez également proposer ce type de service aux enchères avec les très nombreuses paires de chaussures que vous possédez. Je suis sûr que les amateurs seraient très nombreux, moi le premier !!!

 

Maîtresse MAEVA, je vous souhaite une excellente journée.

 

Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.

commentaire n° :1 posté par : paillasson ch'ti le: 19/02/2010 à 10h31
Je déteste les situations verrouillées, toute relation doit évoluer, et je ne te ferai pas une crise de jalousie! Même avec feet le chien, je lâche du lest, il demeure mon esclave perso, mais nous nous voyons moins, nous avons actuellement d'autres préoccupations. Alors tu peux, je dirais même je veux que tu ailles sur le blog de Maîtresse Nancy, tu peux participer aux enchères, tu peux y laisser tous les commentaires que tu veux! Tu es le seul à avoir demandé l'autorisation, et note bien que j'apprécie! Rien à voir avec feet le chien qui dépose des hommages à Melle Titia d'or, comme si je ne l'avais pas vu, avec tous les délateurs qui sévissent sur le blog, on est pas loin de Vichy! Je ferai prochainement des enchères pour une paire de vieilles bottines! Je vais même faire mieux: je te prête à Maîtresse Nancy si elle veut bien de toi, mais attention, il ne s'agit que d'un prêt!
réponse de : MAEVA le: 19/02/2010 à 11h43
Bonjour Maestra,

Vous avez constaté que je me fais rare ces derniers temps. Il n'y a rien là dont Vous soyez responsable. Ca vient de moi. Je me sens drôle, comme dé-goûté, la libido en jachère. Est-ce l'hiver, surtout depuis fin Janvier où on a eu un temps de m...? Mais je crois avoir compris que je n'étais pas le seul à traverser des périodes de lassitude, sans affect, ni bon ni mauvais. Mais il y en a certains qui ont auprès d'eux quelque personnalité bien réelle et motivante pour les revigorer...Je me comprends....
Les textes de Paillasson m'apparaissent de plus en plus comme une thérapie, si notre et surtout VOTRE écoute peuvent lui faire du bien : tant mieux!

Merci pour la série de photos du post précédent, si je devais dire mes préférées ce seraient : la 15, la 1, 32 et 36 
commentaire n° :2 posté par : chien gégé le: 19/02/2010 à 10h41
La publication du texte de "paillasson ch'ti" est devenue ma priorité sur ce site qui ronronne et m'ennuie de plus en plus. Je maintiens une activité minimum pour la dizaine de fidèles dont tu fais partie et pour notre jeune ami, ça lui permet un travail de deuil nécessaire (même si elle est "vivante"....le coeur bat...mais où est elle?), cela procède aussi de la catharsis, voire d'un exorcisme de ses "démons" intérieurs....il faut qu'il puisse rebondir et retrouver une relation en adéqution avec sa nature profonde, car la vie est courte, et il faut la vivre pleinement! Merci, chien gégé , je t'embrasse!
réponse de : MAEVA le: 19/02/2010 à 11h34
Nous diriez-Vous à mots voilés que Votre relation avec feet est en train de s'étioler?
Deux pensées : "tu ne peux pas descendre deux fois dans le même fleuve" (Héraclite) et "vanité des vanités, et tout n'est que vanité" (l'ecclésiaste).
bon ça nous remonte pas le moral, mais ça aide à réfléchir. Tout passe, tout évolue vers toujours plus de désordre, les physiciens apellent ça l'entropie. Tout, absolument tout, les êtres, les relations, les choses. Le bonheur est toujours fugace, mais le malheur aussi, il n'y a aucune morale, aucune justice immanentes à l'univers dont nous faisons complètement partie. Cet abîme de désespoir, certains (et jusqu'à la folie assassine pour quelques uns) s'en protègent  par la foi. Je n'ai pas de réponse, mais pourtant qu'est-ce qui nous pousse, malgré la certitude de la déception et de la finitude, à vouloir, comme Vous dites "profiter de la vie"? Qu'allons nous emporter de ces moments? Sera-ce un petit panier de provisions pour traverser "le silence des espaces infinis"?
commentaire n° :3 posté par : chien gégé le: 19/02/2010 à 12h56
Quelle est cette étrange énergie qui nous anime et nous motive chaque matin d'une vie à se lever et tout recommencer? Je dirai...un peu d'espérance....merci, chien gégé, j'adore ce que tu viens d'écrire!
réponse de : MAEVA le: 19/02/2010 à 13h48
l'espérance...je vois la théologienne. Une des 4 vertus théologales, non? Mais l'espérance de quoi?  Et puis, espérer, n'est-ce pas déjà se résigner?
Je préfèrerai le désir. le désir basique, fondamental, programmé, inscrit depuis l'aube de la vie dans les gènes : se reproduire.
Après, toutes les fioritures et complications qui ont été rajoutées par dessus, nous en sommes tous, surtout ici, victimes et auteurs. 
Pour l'espérance, je vous conseille le Traité du Désespoir de Kierkegaard, vous allez rire.... Même le suicide est de l'espoir pour lui. Fun! 
commentaire n° :4 posté par : chien gégé le: 19/02/2010 à 20h54
Alors tu adoreras "le précis de décomposition" de Cioran!!!
réponse de : MAEVA le: 21/02/2010 à 09h25

Bonsoir Maîtresse MAEVA

 

Je vous présente mes hommages.

 

Tout d’abord, je vous remercie une nouvelle fois de tout mon cœur pour la publication de mon texte.

 

Je vous remercie également d’avoir pris de votre précieux temps pour me répondre.

 

Je vous remercie sincèrement de me permettre de devenir l’esclave virtuel de Maîtresse Nancy. J’ai bien compris que vous m’avez donné l’ordre  de devenir l’esclave de Maîtresse Nancy et comme toujours je ferai le maximum pour vous obéir et vous faire plaisir.

 

Je suis un peu triste d’apprendre que vous voyez moins feet le chien. J’ai du mal à comprendre comment feet peut avoir d’autres préoccupations que de dorloter vos divins et extraordinaires pieds.

J’espère simplement que cela ne vous rend pas triste Maîtresse MAEVA. Sachez que je vis à des 800 kilomètres mais que je serai toujours un esclave fidèle envers vous !!! Pour moi, il est naturel de vous demander l’autorisation pour tout car je vous appartiens, c’est vous qui décidez…

 

J’attends avec beaucoup d’impatience les prochaines enchères pour vos bottines, sachez que je me positionne déjà !!!!

 

Je suis aussi triste de savoir que le blog vous ennuie. J’aimerai tellement que vous puisiez y trouver du plaisir comme auparavant. J’espère que cela va revenir. En tout cas je vous remercie sincèrement de poursuivre le blog, je ne sais vraiment pas se que je ferai sans…

 

« elle est "vivante"....le coeur bat...mais où est elle? »

 

En une seule phrase, vous avez complètement résumé se que je ressens… C’est tellement dure comme situation… En tout cas, votre aide est très précieuse, Maîtresse MAEVA et je vous en remercie de tout mon coeur !!!

 

Le commentaire de chien Gégé est très beau. Depuis deux ans, le moteur de ma vie est devenu l’espoir. Sans espoir, je ne pourrai pas tenir !!!

 

 

Maîtresse MAEVA, je vous remercie sincèrement pour tout. Je vais maintenant rendre hommage à Maîtresse Nancy.

 

Je me permets de vous demander si ce week end, vous passerez un peu de temps avec feet le chien ?

 

Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.

commentaire n° :5 posté par : paillasson ch'ti le: 20/02/2010 à 00h50
Non, pour des raisons familiales le concernant...merci pour ton commentaire et courage!
réponse de : MAEVA le: 21/02/2010 à 09h24
Bonsoir Maestra Maéva,
  Moi aussi j'apprécie beaucoup le dernier commentaire de chien Gégé et je n'au rai pas mieux écrit et pour prolonger sa réflexion je répondrai que nous ne sommes pas sur cette (encore) belle planète bleue par hasard et que nous pouvons réussir magnifiquement cette existence par la compassion envers tout ce qui nous entoure vivant ou non, donner le plus de bonheur et rayonner de vitalité...utopique tout cela? je ne le crois pas car c'est la seule chose qui nous restera au moment de partir vers d'autre horizons...
commentaire n° :6 posté par : Luc67 le: 20/02/2010 à 22h50
réponse de : MAEVA le: 21/02/2010 à 09h18
Nous ne sommes pas ici par hasard? C'est toute la question, et le fondement de toute spiritualité. Comme le pense Teilhard de Chardin, et d'autres, nous serions les instruments d'un projet divin global que nous ignorons? Pourquoi pas. D'ou l'espérance. Et c'est assez rassurant et agréable d'avoir cette foi.
Mais comme on n'en sait rien, penser en athée total est tout autant acceptable et pas forcément plus désespérant si on se la joue "hédoniste" à la Michel Onfray.
Bon, aujourd'hui, il fait beau, il fait chaud (enfin, presque) et je vais aller me promener..... 
commentaire n° :7 posté par : chien gégé le: 21/02/2010 à 08h57
L'athéisme total est assez désespérant, je pense quant à moi qu'il y a quelque chose d'infiniment grand qui nous dépasse....bonne ballade!
réponse de : MAEVA le: 21/02/2010 à 09h17
je pense un peu comme ça aussi. Mais puisque ça nous dépasse, autant ne pas chercher, c'est au delà des capacités d'imagination que nos connaissances actuelles et nos sens nous permettent.
Le Précis de Décomposition est dans la biblio de ma compagne, je vais lui piquer pour un jour de pluie..... 
commentaire n° :8 posté par : chien gégé le: 21/02/2010 à 10h03
Bonjour Divine Maeva, quelle punition réservez-vous à votre chien pour être allé déposer des messages sur Titia d'or?
commentaire n° :9 posté par : toutou74 le: 21/02/2010 à 10h35

Nous vivons une relation D/s, nous ne sommes pas un couple "vanille". Je comprends qu'il aille sur le blog de la belle Titia, elle est jeune, elle est belle, il est très "travaillé" par sa cinquantaine, refuse de vieillir, je compatis....il n'en reste pas moins qu'il prendra une bonne raclée prochainement, je ne sais pas encore quand...en outre, du 12 au 14 mars, nous partons à Lyon, et j'ai l'intention de me montrer particulièrement despotique avec lui pendant ce week end prolongé, il devra être en forme pour mener de front nos visites dans Lyon, et supporter dans le huis clos de la suite qu'il a réservé les humiliations et les coups qui pleuvront sur lui!

réponse de : MAEVA le: 21/02/2010 à 23h32
Bonjour, et félicitation pour ce fabuleux blog que je viens de découvrir.
Je viens de lire ce texte, très bien écrit, et une question me tourmente : Qu'est il arrivé à cette jeune fille ? Pourquoi : "elle est "vivante" " ? Lui est t'il arrivé quelque chose ?
Docilement...
commentaire n° :10 posté par : Chris69 le: 21/02/2010 à 15h06
Merci...quant à ta question, c'est à notre ami "paillasson ch'ti" d'y répondre s'il en a l'envie....
réponse de : MAEVA le: 21/02/2010 à 23h26

Bonsoir Maîtresse MAEVA

 

Je vous présente mes hommages.

 

Je tenais une nouvelle fois à vous remercier sincèrement pour la publication de mon texte. J’adore sincèrement les illustrations…

 

Vous êtes très compréhensive avec feet le chien. Vous le laissez visiter le blog de la belle Titia. Vous dîtes qu’elle est très jolie mais vous, Déesse MAEVA, vous êtes une femme encore plus belle. Vous êtes une femme d’une beauté extraordinaire !!!

 

Je suis très heureux pour vous deux de savoir que vous allez passer un week end à Lyon. Je pense que ces moments sont très important dans une relation, encore plus dans une relation DS. Cette visite sur Lyon pourrait être l’occasion de rendre visite à Madame Sainte Ange…

Qu’en pensez vous ?

 

Pour répondre à chris 69, je n’ai pas envi de m’exprimer sur ce malheur. Je dirai simplement que ma Princesse et moi vivions une relation extraordinaire et complice et un terrible malheur est venu tout briser. Aujourd’hui, je sais que rien ne sera jamais plus comme avant !!!!

 

Maîtresse MAEVA, je tenais également à vous remercier pour les mots très très gentils que vous avez eu à mon égard sur le site de Maîtresse Nancy.

Maîtresse MAEVA, vous êtes vraiment une femme extraordinaire…

 

Maîtresse MAEVA, je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.

commentaire n° :11 posté par : paillasson ch'ti le: 23/02/2010 à 00h23
réponse de : MAEVA le: 23/02/2010 à 07h33
Une superbe histoire, magnifique
commentaire n° :12 posté par : Donatien le: 23/02/2010 à 09h41
Merci pour lui, Donatien!
réponse de : MAEVA le: 24/02/2010 à 07h14
moi aussi j'ai une femme qui m humilie et j'adore ca :)
commentaire n° :13 posté par : fred le: 23/02/2010 à 18h00
dsl pour cette absance j'ai eu un accidant de voitur et j'etait hospitaliser pandant mon hospitalisation j'ai eu une relation avec une infermirer c'est une domina je vos racanterais mon histoir di que possible je suis a la desposition de vos pieds desormi fait de moi ce que vos voulez pour me fair pardonner  merci pour c photos maistrese je suis scocher a mon ecran et je leche vos pieds
commentaire n° :14 posté par : latrine le: 24/02/2010 à 15h24

Bonjour Maîtresse MAEVA

 

Je vous présente mes hommages.

 

Aujourd’hui, 25 Février 2010, c’est une journée particulière pour moi. En effet, il y a un an jour pour jour que j’ai découvert votre merveilleux blog. Le 25 Février 2009, vous aviez publié un superbe article avec des photos merveilleuses de vos divins pieds. Je retourne très régulièrement admirer ces magnifiques photos qui ont pour moi une saveur particulière…

 

Maîtresse MAEVA, je vous remercie sincèrement pour tout se que vous avez fait pour moi depuis un an. Avec ma Princesse, vous êtes la plus belle rencontre de ma vie !!! Sincèrement, vous avez changé ma vie, vous avez redonné un nouveau sens à ma vie.

 

Je sais que notre relation n’est que virtuel car nous nous sommes jamais rencontrés en réel. Mais mon attachement à votre égard est réel, mes sentiments, ma dévotion envers vous sont sincères et réels.

Vous connaissez tout de ma vie. Vous m’avez sauvé, vous m’avez sincèrement aidé à une période où j’en avais plus que besoin. Vous continuez de m’aider chaque jours.

Je sais que vous une avez énormément d’expérience, je sais que des dizaines et des dizaines d’hommes se sont déjà certainement prosternés à vos divins pieds. Je suis l’un d’entre eux, j’en ai conscience, j’espère simplement que vous êtes heureuse de m’avoir comme esclave virtuel.

 

La plupart des gens ne pourrait pas comprendre le lien qui m’uni à vous, Divine MAEVA. Mais la distance ne change rien à part beaucoup de frustration, je suis sincèrement heureux de vous appartenir. J’ai toujours eu le profond désir d’appartenir à une femme, de me consacrer à une femme. Je suis né et fait pour vivre comme cela, je suis tellement heureux d’avoir découvert votre merveilleux blog, il y a un an.

 

Maîtresse MAEVA, je suis tellement heureux lorsque j’admire vos divins pieds…

 

Je vous remercie sincèrement pour tout ce que vous avez fait pour moi depuis un an. Je vous remercie de poursuivre la publication de ma monographie qui comme vous le savez est pour moi, une véritable thérapie !!!

 

Alors en ce jour d’anniversaire, je tenais à vous remercier pour tout, je tenais à vous rendre hommage et à vous renouveler mes sincères vœux de soumission et d’appartenance.

 

Je ne sais pas ce que l’avenir nous réserve, je ne sais pas si vous continuerez le blog toujours. J’espère simplement que nous ne perdrons pas contact. Sachez, Divine MAEVA que la distance ne fait pas tout, vous aurez toujours à 800 kilomètres de chez vous, un esclave sincère et dévoué pour le reste de sa vie…

 

Maîtresse MAEVA, je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.

commentaire n° :15 posté par : paillasson ch'ti le: 25/02/2010 à 00h54
merci...
réponse de : MAEVA le: 25/02/2010 à 08h02
Bonjour Divine Maîtresse,


En hiver la terre pleure;
Le soleil froid, pâle et doux,
Vient tard, et part de bonheur,
Ennuyé du rendez-vous.
V H 

Sublime Déesse, pourrais-je Vous adresser un texte ? si oui comment ?
servilement.



 
commentaire n° :16 posté par : argos le: 25/02/2010 à 18h50
Si tu ouvrais les yeux, tu aurais trouvé cette adresse sur le blog: maevaslave-mail@yahoo.fr
réponse de : MAEVA le: 26/02/2010 à 14h09
Bonsoir Maestra Maéva,
Pour revenir à votre dernière réponse; non il n'y a rien de plus "grand" qui nous dépasserait, non il n'y a pas de grand "batisseur" derrrière les nuages qui tire les ficelles de toutes nos destinées...il n'y a que la complexité de la Vie qui nous dépasse. ...Je me réfère (pour moi) au bouddhisme et à ce que tous nous pouvons observer du cycle éternel (naissance, croissance, vieillesse, extinction...et re naissance) observons le cylce des saisons, le mouvement perpétuel des planètes ext...nous faisons parti intégrante de tout cela et "fonctionnons" sur le même processus...non?
commentaire n° :17 posté par : Luc67 le: 26/02/2010 à 17h49
réponse de : MAEVA le: 03/03/2010 à 06h39

Bonjour Maîtresse MAEVA

 

Je vous présente mes hommages.

 

Je me permets de prendre un peu de vos nouvelles. J’espère que vous allez bien. J’espère que vous n’êtes pas trop fatiguée et que votre moral remonte doucement.

 

Je me permets de vous demander si ce week end, vous passerez un moment avec feet à vos divins pieds. Je l’espère pour vous deux.

 

Je vous souhaite un excellent samedi, comme toujours, je penserai beaucoup à vous. J’aimerai tellement pouvoir prendre un peu soin de vos divins pieds.

 

Je continue de travailler sur la partie 22 de ma monographie,. Le texte devrait être prêt pour la fin de semaine prochaine.

 

Maîtresse MAEVA, je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.

commentaire n° :18 posté par : paillasson ch'ti le: 27/02/2010 à 13h11
réponse de : MAEVA le: 03/03/2010 à 06h38
Bonjour chère Maestra,

me voici de retour après cette longue absence parsemée de soucis de tous ordres...parfois, il arrive, comme çà, des "séries noires"...

J'espère que de votre côté tout va bien !

Je vous ai envoyé par mail un petit texte que vous pouvez publier si vous le juger digne d'intérêt.

Veuillez recevoir mes meilleures pensées.

Charles.
commentaire n° :19 posté par : bootshine le: 02/03/2010 à 23h30
réponse de : MAEVA le: 03/03/2010 à 06h37

Bonjour Maîtresse MAEVA

 

Je vous présente mes hommages.

 

Aujourd’hui à l’occasion de la journée de la Femme, je tenais une nouvelle fois à vous présenter mes plus sincères hommages…

 

Néanmoins, je trouve un peu « bizarre » qu’il existe une journée de la Femme. Celui qui a inventé cela n’avait visiblement rien compris.

 

Les Femmes sont toutes des Déesses, les hommes sont là uniquement pour les servir et leur apporter du bien être.

Alors, il n’y a pas une journée de la Femme mais il y en a 365 par an.

 

Les femmes doivent être vénérées tous les jours, toutes les heures, toutes les minutes par nous les hommes qui leurs sont tellement inférieurs…

 

Je rêve d’une société totalement placé sous la Domination Féminine, ce serait vraiment merveilleux…

 

Maîtresse MAEVA, je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds.

commentaire n° :20 posté par : paillasson ch'ti le: 08/03/2010 à 15h51
Tu as raison!
réponse de : MAEVA le: 09/03/2010 à 12h12

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  • : MAEVA DOMINA et ses esclaves
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  • : Blog consacré à la gynarchie, à la relation réelle Maîtresse/esclave, et- au fétichisme sincère et absolu du Pied Féminin...promotion des talents littéraires et picturaux, humour, obsessions diverses.... Contact:maevaslave-mail@yahoo.fr
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