Mercredi 3 mars 3 03 /03 /Mars 06:48

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Pour la qualité des images, vous vous plaindrez à Erog, de plus, il m'est impossible d'éditer de nouvelles photos, encore un bug.... alors, les photos que je publie sont d'anciennes photos déja éditées, mais la qualité en est altérée, et ces problèmes se surajoutent à mon manque de motivation pour ce blog qui ne m'intéresse plus, et que je maintiens un minimum pour ne pas décevoir la dizaine de vrais fidèles que je connais depuis le début pour certains. La nouvelle orientation de ce blog est la publication de textes que vous m'enverrez, à condition qu'ils me plaisent.... "fétichisme et soumission" est mon texte préféré, alors, bonne lecture!


FÉTICHISME ET SOUMISSION (XXI)


Après cette après-midi de mercredi que nous avions passée chez Madame Marie, ma Princesse et moi étions encore plus liés et complices qu’auparavant. La révélation de mon secret et de toute ma vie d’adolescent nous avait encore rapprochés. Nous étions vraiment bien, nous avions repris notre petite vie habituelle. Je passais des heures à prendre soin des pieds de ma Domina. J’étais heureux.

Le week-end suivant, une situation est venue compliquer cette belle harmonie. Le jeudi soir, j’avais été invité à manger chez les parents de ma Princesse qui recevaient des amis. Comme ma Domina et moi étions toujours ensemble, ils m’avaient très gentiment proposé de venir. La soirée se passa très bien. Vers minuit et demie ma Princesse qui commençait à être fatiguée me demanda de partir pour qu’elle puisse aller se coucher. Mais voilà que ses parents ainsi que leurs amis ont insisté pour que je reste. Ma première erreur fut de leur céder.

Ma Domina est finalement partie se coucher mais je voyais très bien qu’elle était furieuse que je ne lui aie pas obéie. Quand elle se fût absentée, tout le monde me dit que je ne devais surtout pas continuer à me laisser commander. Tous avaient parfaitement remarqué que j’étais fou amoureux de ma Domina et que je lui étais soumis. Ils ont affirmé que je devais réagir, arrêter de céder à tous ses caprices. Ils m’ont dit qu’ils étaient persuadés qu’elle m’aimait aussi. Ils avaient des mots très gentils à mon égard, ils me disaient que nous ferions un très joli couple et que, si je devenais distant, c’est elle qui viendrait vers moi. Pendant près de deux heures, ils n’ont fait que me parler de cela. J’écoutais attentivement, mais je me sentais un peu perdu. Finalement, la soirée se termina et je pus rentrer chez moi.

J’avoue que j’étais un peu inquiet car, sachant que j’avais désobéi à ma Domina, j’appréhendais sa réaction. De plus, ma deuxième erreur fut d’écouter et de croire ce que les gens m’avaient dit. En pensant qu’en agissant comme un mec macho, j’aurais une chance avec ma Princesse, je commettais une grave erreur. Mais je la connaissais encore mal à l’époque…

Le lendemain midi, elle devait venir manger chez moi. Cela arrivait régulièrement quand elle n’avait pas beaucoup de temps pour se restaurer entre les cours. Il s’agissait toujours d’une situation toujours plus ou moins stressante. En effet, la relation que j’entretenais avec ma Princesse était très mal vécue par ma famille. Ainsi, lorsque nous partagions un repas, les rapports étaient toujours plus ou moins tendus entre ma mère et ma Domina. Moi, j’étais au milieu et j’essayais de limiter les dégâts, ce qui n’était pas toujours simple. Ce jour-là, dès que je suis sortie de cours, j'ai couru au lycée chercher ma Maîtresse qui terminait un peu plus tard que moi.

Au matin, lorsque j'étais allé la chercher pour la conduire à son établissement, elle ne m’avait pas dit un mot. Ce midi-là, elle adopta la même attitude. Juste avant que nous rentrions chez moi pour déjeuner, elle me glissa à l’oreille une phrase qui me glaça le sang : « Hier soir avec mes parents, tu as fait ton malin, tu m’as désobéi, tu as refusé de partir. Tu pensais peut-être que je dormais mais j’ai tout écouté. J’ai été écœurée en entendant votre conservation. Si tu penses avoir une chance avec moi en agissant comme un vulgaire macho, tu es vraiment trop con. Tu as été trop loin, j’ai donc pris une décision. Ce soir, je viendrai récupérer toutes mes affaires chez toi et tout sera terminé. »

Je n’ai pas eu le temps de réagir car ma mère est venue nous ouvrir la porte. Pendant le repas, ma Princesse mangeait en me regardant d’un air ironique. J’étais complètement abattu par ce que je venais d’apprendre. Moi qui en temps normal ai un très gros appétit, je n’arrivais à rien avaler ; j’avais une boule dans le ventre, la gorge serrée. Ma mère s’en aperçut et me demanda ce qui se passait. Elle s’était rendu compte qu’il y avait un problème entre nous, que nos relations étaient beaucoup plus tendues que d’habitude. Ma Princesse lui répondit : « Vous n’avez qu’à demander à votre fils. Hier soir, il a fait quelque chose qui m’a déplu. » J’ai dit à ma mère que je n’avais pas envie d’en parler.

Quand il fut l’heure de ramener ma Princesse au lycée, je l’y ai raccompagnée. J’essayai de lui parler de la décision qu’elle venait de prendre. Elle me dit qu’elle n’avait pas le temps de discuter, qu’elle serait en retard en cours et que de toute manière sa décision était prise. Elle me dit : « Tu vas apprendre que tout tes actes ont des conséquences. Quand je pense que tu m'as fait tellement plaisir cette semaine et que tu as tout gâché en te comportant comme hier soir. Le problème avec toi, c’est que tu fais des choses bien, qui me plaisent beaucoup mais que tu finis toujours par tout gâcher d’une manière ou d’une autre. » Elle s'est alors penchée à mon oreille et m’a dit : « En plus d’être un fétichiste des pieds, je ne serais pas étonnée que tu sois maso car tu aimes souffrir. En tout cas, tu as un esprit destructeur. Tu as fait tant d’efforts pour obtenir le droit de t'occuper de mes jolis pieds, d’être mon serviteur et voilà que tu gâches tout ! C’est vraiment dommage, mais tant pis pour toi. Cette après-midi, comme tu n’as pas cours, je veux que tu regroupes l’ensemble de mes affaires. Je les reprendrai ce soir puis nous nous dirons adieu. »

J’en étais malade, j’étais complètement brisé. Je me refusais à perdre ma Domina, ce n’était pas possible. Je n’ai pas préparé ses affaires, je ne voulais pas la laisser me quitter, j’étais complètement dépendant d’elle. Ma mère cherchait à savoir ce qui se passait, elle recommençait à me faire la morale en me disant que cette fille était méchante, qu’elle me faisait souffrir. Elle a même dit : « Si votre relation continue comme cela, je refuserai de la laisser entrer chez nous ».

Tout était en train de se compliquer pour moi, je ne savais plus quoi faire, j’en avais marre. Il était 16 heures 30, il était l’heure d’aller au lycée chercher ma Domina. Ses premières paroles furent pour me demander où étaient ses affaires. J'ai dû alors lui avouer que je ne les avais pas préparées, que je ne voulais pas la perdre. J’ai garé la voiture sur un parking pour discuter. Ma Princesse m’a dit qu’elle avait vraiment souffert en entendant notre conservation de la veille au soir. Elle se plaignait :"Je pensais que tu étais différent des autres garçons, que tu n’étais pas un gros macho qui me ferait souffrir comme tous les autres. Et pourtant, tu as accepté tout ce qu'on t'a dit hier. J’en ai pleuré car tu m’as vraiment peinée et déçue ». Tandis que ma Princesse m’expliquait tout cela, je ne pouvais m’empêcher d’admirer ses jolis pieds, de les désirer, de vouloir leur rendre humblement hommage. 

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Nous étions à la fin du mois de mai et à quelques jours des premières épreuves des examens. Il faisait beau, ma Domina avait donc mis des sandales « pieds nus » qui me permettaient d’admirer ses jolis ongles vernis. Ma Princesse ne tarda à remarquer que je fixais le mouvement si sensuel de ses magnifiques pieds. Elle me dit : « C’est même pas la peine d’y penser ! Tu m’as tellement déçue ! J’ai même pas envie que tu me touches les pieds !… J'ai alors éclaté une nouvelle fois en sanglots. Je lui ai dit que je regrettais sincèrement mon attitude, que j’implorais son pardon. Bien entendu, j’étais sincère mais ma Domina resta néanmoins complètement inflexible. Elle me dit : « C’est beaucoup trop facile ! À chaque fois, tu pleures, tu implores mon pardon. Moi, je suis toujours trop gentille, je te pardonne, je te laisse revenir à mes pieds. T’es un bon petit toutou et tu me sers bien pendant quelques jours, puis tu recommences tes conneries. J’en ai marre. Tu as été trop loin hier soir car outre le fait que tu m'aies désobéi, ce qui n’est déjà pas très glorieux pour quelqu’un qui m’a juré une obéissance absolue, tu m’as fait souffrir par ton comportement. Je ne peux pas passer là-dessus comme cela. Pourtant, je vais être encore trop gentille avec toi. Je vais te laisser un sursis. Je ne vais pas reprendre mes affaires ce soir. Mais maintenant, tu vas me ramener chez moi. » J’osai lui demander : « Alors, on ne passe pas la soirée ensemble ? » Elle me rétorqua : « J’ai vraiment pas envie de te voir plus longtemps… Mais je vais réfléchir. Je t’appellerai ce week-end. Peut-être que ma colère et ma déception auront diminué. On verra bien. En revanche, si je te dis que je veux reprendre mes affaires, cette fois-ci tu me les rapporteras car ma décision sera définitive. J’espère que tu ne m’obligeras pas à aller voir tes parents et à leur dire ton secret !… ».

Très surpris, j’ai demandé à ma Princesse : « Tu serais capable de faire cela ? » Ma Domina me répondit : « Non, je ne suis pas méchante… Mais si tu refuses de me rendre mes affaires, là je n’hésiterai pas une seule seconde. » Je lui ai alors redit que je ne pouvais pas vivre sans elle. Ma Maîtresse me glaça de nouveau le sang en me lançant « Il fallait y penser avant de faire le malin hier soir… Tu as voulu jouer au grand, au macho, à l’homme viril. J’espère que tu t'es fait plaisir… »

Elle s’est alors approchée de moi, pour me parler à l’oreille : « Au fond de toi, tu sais que tu vas toujours finir par revenir en rampant à mes pieds, comme un chien qui revient toujours aux pieds de sa Maîtresse… »

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 Depuis notre rencontre, nous n'étions jamais restés séparés plus de vingt-quatre heures. Ma Domina a poursuivi : « Finalement, je t’appellerai dimanche soir pour te faire connaître ma décision. Je vais profiter de ce week-end pour réviser. Tu verras, le manque va devenir insupportable pour toi. Tu vas être pendant quarante-huit heures sevré de mes jolis pieds, tu ne pourras ni les admirer, ni les toucher, ni les baiser, tu ne pourras que fantasmer… En te rendant compte de ce que tu perds, tu changeras peut-être de comportement. C’est vraiment dommage : tu es quelqu’un de bien, mais il faut toujours en arriver à des mesures radicales pour te faire comprendre les choses, pour te faire changer. »

Je continuai de supplier ma Princesse. Elle me dit : « Ce n’est pas la peine d’insister, cela ne marchera pas, cette fois-ci. Je t’appelle dimanche soir pour te dire ma décision. En attendant, réfléchis bien à ton comportement et essaie de te corriger. Maintenant, ramène-moi tout de suite chez moi. »

Je me suis donc exécuté et ma Princesse est rentrée chez elle. Elle ne s’est même pas retournée vers moi… Pour la première fois depuis notre rencontre, j’allais passer tout un week-end sans elle. J’étais brisé, complètement cassé. J’ai roulé jusqu’à un coin tranquille en campagne où je me suis arrêté pour pleurer, tout seul, comme un gamin. J’étais tellement malheureux, je ne supportais pas l’idée de la perdre. Dans ces moments de désespoir, j’avais des idées noires, alors que dans la vie de tous les jours, je suis quelqu’un qui respire la joie de vivre. J’étais démoralisé. L’idée de perdre ma Princesse m’était insoutenable.

Heureusement, je n’ai jamais laissé ces idées sombres prendre le dessus en commettant l’irréparable !!! Et même, je m'en veux rien que d'y avoir pensé. La vie est un cadeau, un trésor. Je n’avais pas le droit d’imaginer des choses pareilles. Dans ces moments de très grande détresse, je pensais à ma famille, à notre très profonde complicité. Je savais que s’il m’arrivait quelque chose, ils ne le supporteraient pas. C’est cette idée qui en partie m’a permis de ne pas basculer dans le côté sombre. Mais j’étais vraiment très mal à l’idée de perdre ma Princesse.

J’ai passé mon week-end à végéter chez moi, je regardais mon portable toutes les cinq minutes en attendant un coup de téléphone ou un sms de ma Domina. J’essayais bien de me concentrer sur mes révisions mais je n’y arrivais pas. Depuis ma rencontre avec ma Princesse, tous les week-ends nous sortions, tous les samedis nous faisions les magasins et le dimanche, nous allions nous promener. J’avais pris ce rythme, cette habitude. Alors, lorsque soudainement, ce week-end là tout s’est arrêté, j’ai eu beaucoup de mal à le supporter. Avant de connaître ma Princesse, je sortais avec mes amis chaque fin de semaine mais chacun d’entre eux faisait désormais sa vie et je me retrouvais seul. En plus, je n’arrêtais pas de penser à aux magnifiques pieds de ma Princesse, je ne pouvais pas les chasser de ma tête. J’avais besoin de les toucher, de pouvoir les contempler, je n’arrêtais pas de penser à eux. L’image des sublimes pieds de ma Domina me hantait encore et encore.

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Finalement, le dimanche soir, mon portable sonna. J’avais attendu ce coup de fil durant tout le week-end et pourtant je n’osais même pas répondre. J’avais peur de la décision qu’allait m’annoncer ma Princesse. Je savais que je ne supporterais pas une séparation totale. Au bout de trois sonneries, j’ai finalement répondu. Ma Domina avait une voix très autoritaire. Elle commença par me dire bonjour, et je fus un peu rassuré. Puis elle me demanda ce que j’avais fait durant le week-end. Je lui ai avoué que je n’avais fait que penser à elle. J’ai recommencé à lui demander pardon et à la supplier. Elle m’écouta puis elle me coupa : « Ça suffit ! Tu auras l’occasion de me supplier plus tard… Moi, j’ai bien révisé pendant ces deux jours, mais je ne sais pas si cela sera suffisant pour réussir les examens. Comme tu le sais, cette année, j’étais vraiment dans une classe de merde, je ne sais pas si je réussirai à rattraper le retard accumulé pendant l’année. Et toi, as-tu révisé pour tes examens ? » J’ai répondu : « J’ai essayé mais je n’arrivais pas du tout à me concentrer… » Ma Princesse me dit alors : « Je me suis bien calmée depuis vendredi. Je me sens mieux, ma colère est un peu tombée, mais ne crois surtout pas que j’ai tout oublié pour autant. Ce n’est absolument pas le cas. »

Ma Princesse me demanda si le lundi après-midi il y aurait quelqu’un chez moi. Je lui dis que j'aurais la maison pour moi tout seul car mes parents travaillaient. Elle m’ordonna alors de venir la chercher ce jour-là à 14 heures. Je lui ai demandé ce que nous allions faire chez moi. Elle me répondit : « Tu verras ça demain. En attendant, je te conseille de réviser si tu veux réussir à ton examen. »

Elle me dit au revoir et raccrocha.

Premièrement, j’étais soulagé car ma Princesse n’avait pas mis un terme définitif à notre relation, et c’était un immense soulagement pour moi. D’un autre côté, je savais que ma Princesse allait me punir. Elle m’avait demandé si je serais seul chez moi, et cela signifiait qu’elle avait une idée derrière la tête. J’appréhendais le programme qu’elle me réservait, mais dans tous les cas cela ne pouvait pas être pire que la douleur que j’aurais ressentie si ma Domina m’avait définitivement quitté. Désormais, nous étions libres, les cours étaient terminés, nous étions dans la dernière ligne droite avant les examens.

Le lundi, à 14 heures, j’ai garé la voiture devant chez ma Domina. Elle est sortie, portant un petit sac. Je me demandais ce qu’il contenait. Ma Princesse est entrée dans la voiture, nous nous sommes souhaité le bonjour puis elle m’a ordonné : « Allez, vite, on va chez toi !!! » Une fois entrés, d’un geste de son index, elle m’ordonna de lui retirer ses superbes sandales. Dès que ma Domina était entrée dans la voiture, j'avais remarqué qu’elle portait de très jolies chaussures. J'avais admiré ses magnifiques ongles. Je me suis donc exécuté, je me suis agenouillé, j’ai retiré ses sandales, la droite puis la gauche. Ma Princesse est alors montée sur la première marche de l’escalier pour ne pas avoir froid aux pieds sur le carrelage glacial. J’ai profité de ce que j’étais à genoux aux pieds de ma Princesse pour lui demander une nouvelle fois pardon pour mon attitude du jeudi soir. Je l’ai remerciée de ne pas avoir mis fin à notre relation. Je lui ai dit que son absence du week-end avait été pour moi insupportable.

À ce moment-là, ma Princesse a approché son pied droit de mon visage. J’avais ses superbes orteils collés sur ma bouche. J’ai alors commencé à lui lécher les pieds, avec en moi un désir incontrôlable.

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 Ma Maîtresse retira alors son pied et me dit : « J’imagine bien que mes jolis pieds ont dû te manquer atrocement. Depuis notre rencontre, tu n’as jamais passé plus de vingt-quatre heures sans être à mes pieds. Comme tu le dis, j’ai décidé de ne pas mettre un terme à notre relation, mais pour autant tout n’est pas effacé. Allez, suis-moi, on monte ! »

Ma Princesse m’a alors ordonné de placer une chaise dans la salle de bains. Je me suis exécuté, tout en me demandant ce que ma Domina me réservait. Elle m’a demandé de me déshabiller complètement et je lui ai obéi. Puis elle m’ordonna de m’asseoir sur la chaise. Je me suis de nouveau exécuté, et je la vis sortir des vieilles cordes de son sac. Extrêmement surpris, je lui demandai ce qu’elle comptait faire. Elle m’ordonna d’une voix dure et autoritaire de joindre mes mains dans mon dos. J’avais peur mais j’ai encore obéi. Elle m’attacha les poignets dans le dos, de manière très ferme. Je lui demandai à nouveau ce qu’elle comptait faire de moi. J’avais toujours rêvé d’être attaché comme cela, c’est même l’un de mes plus grands fantasmes. Mais lorsque cela devient réalité, c’est très stressant. Je me suis rendu compte qu’à ce moment précis, j’appartenais complètement à ma Domina, j'étais son esclave, elle pouvait faire de moi ce qu’elle voulait, j’étais totalement incapable de me défendre. Ma Domina m’a demandé si j’avais confiance en elle. Je lui ai répondu que je lui faisais totalement confiance, qu’elle était pour moi, une véritable âme sœur, que je savais que c’était elle et aucune autre… (C’est d’ailleurs cette certitude, cette conviction que j’ai toujours eue en moi qui rend vraiment insupportable le drame qui nous touche aujourd’hui.)

Ensuite, ma Princesse a remis sa main dans le sac. Elle en a ressorti une tondeuse à cheveux. Je ne vous explique pas ma stupéfaction en voyant cet appareil. J’ai immédiatement demandé à ma Maîtresse ce qu’elle pensait faire. Elle me répliqua de manière agressive : « T’es con ou tu le fais exprès ? C’est une tondeuse à cheveux, donc je vais te raser le crâne. Je vais te faire une belle boule à zéro… » J’ai toujours porté les cheveux assez longs. D’ailleurs, dans ma jeunesse, j’ai souvent été pris pour une fille à cause de ma chevelure et de mes traits de visage fins. Cela n’a pas toujours été facile à vivre pour moi. Il y a peut-être un lien avec l’homme que je suis devenu aujourd’hui. J’ai toujours adoré avoir les cheveux longs mais cela ne plaisait absolument pas à ma Domina. Elle considérait que les hommes devaient avoir les cheveux courts. D’ailleurs, de nombreuses personnes de sa famille m’avaient au départ pris pour une de ses copines et cela l'avait agacée !

J’ai supplié ma Domina de ne pas me raser les cheveux. Elle s’est assise en face de moi, sur le bord de la baignoire, et elle m’a écouté pendant plus de quinze minutes. Je n’ai pas cessé de l’implorer encore et encore. Je lui ai dit que je ferais absolument tout ce qu’elle m’ordonnerait. Je lui ai redit à quel point j’aimais mes cheveux, je l’ai suppliée de ne pas me les raser. J’avais l’impression que ma Princesse finirait par e montrer clémente avec moi, mais soudainement elle se leva brutalement et me dit : « C’est tellement agréable pour moi d’entendre un garçon me supplier !… Dire qu’il y a quelques jours avec mes parents, tu faisais bien ton malin. Quand je te regarde aujourd’hui, tu me fais vraiment rire. Ah, il est beau, le macho !… Depuis des mois, je ne supporte plus tes cheveux. Je vais te les raser, car je pense que c’est une bonne punition que tu n’es pas près d’oublier. »

Je continuais de supplier ma Princesse, je me débattais sur ma chaise, mais mes mains étaient trop serrées, j’étais incapable de me dégager. Ma Maîtresse a pris la tondeuse en main et l'a approchée de ma tête. Je me suis alors calmé pour que tout se passe au mieux. Elle a commencé à me raser les cheveux, je voyais de longues mèches qui tombaient par terre. J’avais la glace en face de moi, je voyais d’un côté mon crâne rasé, de l’autre mes long cheveux auxquels ma Princesse s’attaqua bientôt. L’opération fut rapide. Ma Princesse ne m’a pas fait une coupe à la Barthez, elle m’a laissé quelques millimètres de cheveux. Bien entendu, je ne les avais jamais eus aussi courts. Ma Domina semblait satisfaite, elle me dit : « Tu seras tout de même beaucoup mieux ainsi. Maintenant, je vais te détacher, tu vas me remercier en te prosternant et en me baisant les pieds, puis tu nettoieras tout. Au fait, tes parents risquent de faire une drôle de tête, tu as intérêt à trouver une explication valable… ».

 

Paillasson ch’ti, esclave virtuel favori de Maîtresse MAEVA

Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : Soumis & Soumises
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