Vendredi 19 février 5 19 /02 /Fév 09:18

FÉTICHISME ET SOUMISSION, XX

 

Je suis toujours à genoux aux pieds de ma Princesse et de sa tante Marie. Elles continuent de parler entre elles sans se préoccuper de moi. Elles s’échangent leurs numéros de téléphone. Elles se disent toutes les deux ravies de s’être retrouvées. À l’avenir, elles ont bien l’intention de rester régulièrement en contact. Cette idée me plaît bien…

Ma Domina baisse enfin ses yeux sur moi et d’un geste de la main me fait signe que je peux me relever. Elle fait la bise à sa tante qui nous raccompagne à la porte. Je lui dis « Au revoir, Madame ». Nous retournons à la voiture. Je viens de passer un moment surréaliste et je suis vraiment submergé d’émotion. Je ne peux m’empêcher de repenser à tout ce qui vient de se passer : la révélation de mon secret, l’autorité de Marie face à son jeune domestique et l’adoration des pieds de ma Maîtresse…

Je me sens comme dans un état second. Dans la voiture, alors que je suis sur le point de démarrer, je demande à ma Domina si nous pouvons attendre un peu avant de nous mettre en route. Je lui explique que je ne me sens pas capable de conduire tout de suite, qu’il faut que je me remette un peu de mes émotions. Bien qu’elle ait l’âge de le passer, ma Princesse n’a pas le permis. Conduire lui fait toujours peur et elle ne s’est jamais vraiment investie dans l’obtention de ce papier.

J’ai vraiment eu peur de me faire réprimander par ma Princesse, à cause de ma trop grande émotivité, mais non, au contraire ! Elle me prend dans ses bras, me laisse poser ma tête sur sa poitrine, passe ses mains dans mes cheveux. Elle me dit : « Je suis très fière de toi. Devant ma tante, tu as merveilleusement fait l’amour à mes pieds. C’était génial, j’ai adoré. Je comprends que la découverte de ton secret ne soit pas facile à vivre. Prends le temps de te remettre, je ne suis pas pressée. Je ne veux surtout pas que nous ayons un accident parce que tu ne peux chasser de ta tête l’image de mes jolis  pieds. »

À ce moment-là, je me mets à pleurer à chaude larmes dans les bras de ma Princesse, et je lui dis : « Si tu savais comme je t’aime !… » Elle me répond : « Je le sais bien, mais il ne faut pas te mettre dans un état pareil ! » Je lui dis alors : « L’émotion a été trop forte, j’ai besoin de me relâcher un peu. Tu n’imagines pas à quel point je suis soulagé d’être enfin libéré de ce secret qui me pèse depuis mon adolescence... » Elle murmure, tout en caressant lentement mes cheveux : « Je comprends ! »

Dans les bras de ma Princesse, je suis en train de vivre un moment de tendresse merveilleux. J’ai toujours été quelqu’un d’ultrasensible et là, blotti contre elle, je sanglote vraiment. Même ma Domina, qui en règle générale est toujours très sévère, semble émue de me voir dans un tel état. Elle essaie me consoler. Je ne l’ai jamais vue aussi sensible. Cela m’encourage à lui demander pourquoi elle se montre si dure d’habitude. Elle me répond, comme à chaque fois : « Toi et moi, nous n’avons pas du tout reçu la même éducation. Mes parents ont toujours été très stricts avec moi. De plus, avec toutes les mauvaises expériences que j’ai vécues avec les garçons, je me suis constitué une carapace. J’ai toujours eu un très fort caractère, comme ma mère et comme ma tante Marie que tu connais désormais… Avec le temps, ce caractère n’a fait que se renforcer. Mais tu ne vas t’en plaindre, car tu m’as souvent dit que tu étais attiré par les femmes volontaires, n’est-ce pas mon fétichiste des pieds ?… »

Je décèle dans le ton de voix de ma Princesse une certaine ironie. Après tout, elle a bien le droit de me taquiner, maintenant qu’elle connaît mon secret. Elle poursuit : « Toi, tu as toujours été dorloté par tes parents, tu as toujours vécu dans une véritable bulle. Tu as une relation fusionnelle avec ta mère… même un peu trop à mon goût. » J’écoute attentivement ma Domina car je sais qu’elle a parfaitement raison. D’ailleurs, ma famille a beaucoup de mal à accepter cette relation si spéciale que j’entretiens avec ma Princesse. Notre histoire a déjà été à l’origine de pas mal de conflits et encore ce n’est sûrement qu’un début… Je commence à bien connaître ma Maîtresse, ainsi que sa Maman. C’est vrai qu’elles ont toutes les deux un caractère extrêmement fort, et c’est pourquoi elles ne peuvent éviter d’entrer régulièrement en conflit. Néanmoins, une véritable complicité les lie. Je sais que ma Princesse se confie volontiers à sa Maman. Ainsi, malgré ce qu’elle m’a dit, je m’attends à ce qu’elle avoue à sa mère notre visite chez Marie, car elle a beaucoup de mal à lui cacher des choses.

Ma Domina se demande vraiment pourquoi je pleure ainsi dans ses bras. Je lui dis que ce sont des larmes de joie, que je suis le plus heureux des hommes, prosterné devant ses jolis pieds. Je lui explique qu’il y a des années que je porte ce secret en moi et que la révélation faite par Marie a été une véritable délivrance. À ce moment-là, ma Domina me dit : « J’aimerais que tu me racontes en détail ta vie sexuelle, tes amours depuis que tu es adolescent. Je pense que nous sommes assez proches maintenant. Tu peux me faire confiance, tu peux tout me dire. J’aimerais que tu aies enfin le courage de m’avouer que tu es toujours puceau. Même si j’en ai déjà la certitude, j’aimerais l’entendre de ta bouche. Je t’ai raconté des choses très intimes sur moi, sur ma vie, et j’aimerais que tu fasses la même chose. J’ai tout mon temps. »

Ma Princesse me tient toujours dans ses bras. Je commence alors à lui détailler ma vie depuis le tout début de mon adolescence. Ce jour-là, pour la toute première fois, j’ouvre totalement mon cœur à ma Princesse. Je lui explique absolument tout sur ma vie. Je commence par évoquer les premières attirances que j’ai ressenties pour les pieds de mes enseignantes et dont j’ai parlé au tout début de ma monographie. Maintenant, je peux librement exprimer mon fétichisme des pieds à ma Domina, puisqu’elle connaît mon secret. J’ai vraiment envie de lui expliquer comment ce désir particulier est né en moi. J’insiste sur un moment qui a marqué ma vie : adolescent, j’avais l’habitude de m’allonger sur mon lit pour feuilleter des revues. Un jour, alors que j’en lisais une, en tournant une page je suis tombé nez à nez avec une photo de Lara Fabian où elle avait les pieds nus. Je me souviendrai toujours de ce moment, à l'époque, je ne connaissais même pas encore la masturbation. C’est ce jour-là que j’ai senti le désir monter dans mon bas-ventre. J’étais tout excité, j’ai ressenti des sensations inédites simplement à la vue des jolis  pieds de cette star. Et c’est ce jour-là aussi que j’ai joui de ma première éjaculation. Il m’a fallu être très discret car mes parents étaient dans la pièce juste à côté. C’est un jour qui fut déterminant dans ma vie et dans ma vie sexuelle. Voilà pourquoi je vous parle si souvent de Lara Fabian qui occupe une place si importante dans ma vie. Bien entendu, à partir de là, dès que j’en avais l’occasion, je prenais cette revue et je m’allongeais sur mon lit. En admirant ces beaux pieds nus, je baissais mon pantalon et mon slip pour que ma queue soit en contact direct avec ma couette. Je me frottais ainsi en fantasmant sur ces jolis pieds. Mon désir pour eux était tellement intense qu’il m’arrivait parfois de baiser, de lécher les pages ! Par la suite, je me suis constitué ma petite collection privée dont je vous ai déjà parlé. À chaque fois que je découvrais dans une revue une photo d’une star aux pied nus, je la découpais et la conservais. Ainsi, au fil des mois, je me suis retrouvé avec une bonne dizaine de photos devant lesquelles je fantasmais tous les jours et toujours de la même manière, sur mon lit. Ma petite collection est constituée des pieds de : Angélina Jolie, Michelle Pfeiffer, Liz Hurley, Alyssa Milano (actrice de la série « Charmed »), Flavie Flament, Hélène Ségara, Mélanie Griffith, Jennie Garth (Kelly dans la série « Beverly Hills »), Fran Drescher (série « Une nounou d’enfer »), Jessica Alba, Vanessa Demouy et enfin Tonya Kinzinger (Jessica dans la série « Sous le soleil »).

Il y a une autre photo devant laquelle j’ai souvent fantasmé, c’est celle d’Ophélie Winter. On y voit la star, non pas pieds nus mais chaussée de bottes cuissardes rouges et brillantes. Cela pour vous dire que, très tôt, j’ai eu le désir et le fantasme de devenir un vrai lèche-bottes pour dames. Quand je baisais et léchais cette revue, je rêvais en réalité de baiser et lécher les bottes de cette magnifique jeune femme !

FRANCOISEDIVINA-MAEVAF1186.jpg

Bien entendu, je n’ai pas parlé de cela à ma Princesse. Elle venait d’apprendre que j’étais un véritable fétichiste des pieds. J’avais peur que si je lui parlais aussi de mon goût pour les bottes, elle finirait par me prendre pour un fou...

Je n’ai découvert la vraie masturbation que plus tard, en regardant un film… Après la découverte de mon fétichisme des pieds, mon désir de soumission se faisait de plus en plus intense. Une autre fois, toujours par l’intermédiaire d’un film, j’ai découvert le bondage. J’ai immédiatement ressenti le besoin de me sentir attaché, entravé. En l’absence de mes parents, je ne me contentais plus de fantasmer devant les photos de stars aux pieds nus, je prenais des cordes, je m’attachais seul, je m’imaginais des scénarios, je rampais par terre. Bien entendu, en ce temps-là, je n’ai pas non plus parlé de cela à ma Princesse, car je crois que je lui aurais fait peur.

***

Je reviens donc à ce moment de tendresse avec ma Domina… Je continue de lui parler : « Je sais bien que mon fétichisme des pieds peut paraître bizarre. Je sais bien que la plupart des adolescents fantasment devant des revues coquines dans lesquelles on peut voir de superbes femmes nues ou très peu habillées. Je m’en suis acheté quelques-unes de ce genre, surtout pour faire comme mes copains. Je ne dis pas que je n’aime pas admirer une belle femme nue. Au contraire, je suis bien évidemment excité devant une telle vision. Mais irrémédiablement, mes yeux sont attirés par les pieds de ces femmes. Les quelques revues coquines que j’ai achetées, je les ai choisies en fonction des jolis  pieds des dames qu’il y avait en couverture. »

 


FRANCOISEDIVINA-MAEVAF2274.jpg

Je vais vous raconter une anecdote dont je n’ai pas parlé à ma Princesse : Un jour, en sortant du lycée, j’ai été en proie à un désir incontrôlable. Je suis allé dans un tabac-presse, car j’avais envie de m’acheter une nouvelle revue coquine. J’étais toujours très gêné d’acheter ce genre de magazine. Cette fois, j’en ai pris un au hasard dans le rayon classé X, sans même regarder la couverture. Je l’ai payé, je l’ai caché sous ma veste et je suis rentré chez moi. Une fois dans ma chambre, j’ai enfin pu découvrir la revue que je venais d’acheter. Et là, j’ai découvert qu’elle ne traitait que d’un seul thème : le fétichisme des pieds. J’étais fou d’excitation ! Il y avait des photos en gros plan de pieds de jolies femmes. J’avais pris cette revue complètement au hasard, au milieu de toutes les autres, et j’étais peut-être tombé sur la seule revue fétichiste ! J’ai toujours vu là un véritable signe du destin…

***

Mais revenons encore à ce moment de tendresse avec Ma Princesse. Elle m’écoute toujours attentivement, j’ai toujours ma tête appuyée à sa poitrine, elle continue de me caresser les cheveux. Je suis bien, en confiance, prêt à tout lui avouer. Je me mets à lui raconter mes amours. Je reconnais qu’avant de la rencontrer, j’ai été à plusieurs reprises attiré par des filles mais qu’elles n’ont jamais voulu de moi. Je rappelle à ma Princesse : « Comme tu le sais, je suis en deuxième année. Il y a quelques mois, lorsque nous nous sommes rencontrés, je n’étais pas particulièrement attiré par une fille de ma classe. En revanche, un ami et moi, nous étions liés d’amitié avec deux filles qui étaient dans une classe inférieure et qui étaient plus jeunes de quelques années. Elles et nous étions vraiment devenus de bons amis, on se voyait entre les cours et en dehors de l’établissement. Nous faisions beaucoup de sorties ensemble, au ciné, au bowling, à la piscine. Mon ami a fini par sortir avec l’une des filles, et moi je dois avouer que j’en pinçais pour l’autre. En fait, j’étais tombé amoureux d’elle dans la cour. Mon ami avait exprès de devenir leur ami à toutes deux afin de me donner une chance. Avant de te connaître, ma Princesse, il y a très peu de filles qui ont vraiment compté pour moi mais celle ci en fait vraiment partie. Plus on se voyait, plus je devenais amoureux. Bien évidemment, je ne suis jamais sorti avec elle. Au final, mon ami a continué de sortir avec sa copine et moi je suis resté sur le carreau, comme j’en avais l’habitude. Pourtant, lorsqu’on était ensemble, je m’arrangeais toujours pour m’approcher d’elle. Même si je n’avais jamais osé le lui dire clairement, je lui avais fait comprendre qu’elle me plaisait. Elle l’avait forcément compris et il était donc clair que je ne l’intéressais pas. Je le comprenais : cette superbe fille qui s’appelait Élise était très très mince, et je n’étais absolument pas son type de garçon. J’ai même dû supporter de la voir sortir avec un gars que je connaissais. Lorsque toi et moi nous sommes rencontrés, ma Princesse, j’étais encore amoureux d’elle. Au début, je la voyais encore de temps en temps, mais peu à peu je l’ai complètement oubliée, et il y a longtemps que je n’ai même plus aucune nouvelle ».

***

Il y a un détail dont je n’ai pas parlé à ma Domina : lorsque j’allais avec cette fille à la piscine, je fantasmais comme un dingue sur ses pieds qui étaient très très jolis. Je les désirais vraiment, je m’imaginais souvent à genoux à ses pieds, en train de la supplier. J’avais envie  de me soumettre à elle, je ne savais pas encore que j’étais sur le point de rencontrer la femme de ma vie, celle qui me prendrait en main et qui me réduirait enfin à l’état d’esclave total…

***

Je continue donc de me raconter à ma Domina : « Dans mes études, je me suis toujours retrouvé dans des classes où les filles étaient largement majoritaires. Je pense que cela a un lien avec l’homme… où plutôt l’esclave que je suis devenu aujourd’hui. J’ai toujours été entouré par des filles, et au fur et à mesure cela n’a fait que renforcer ma soumission aux femmes. Lorsque je t’ai rencontée, j’étais encore une fois dans une classe où les filles étaient plus nombreuses. Forcément, il y en avait que je désirais, mais je savais qu’elles resteraient toujours pour moi de purs fantasmes. Elles étaient beaucoup trop bien pour moi, elles m’étaient inaccessibles. »

30-10-07-big1.jpg

Il y a un autre détail dont je n’ai pas parlé à ma Maîtresse. Je me souviens surtout de deux filles. Pourquoi elles en particulier ? Outre le fait qu’elles faisaient partie des plus jolies de ma classe, il s’agissait de deux très bonnes copines qui étaient toujours ensemble. Et surtout je sentais en elles de véritables dominatrices. Elles avaient toutes les deux un très fort caractère et je suis sûr qu’elles aimaient conduire les mecs à la baguette. Je sentais qu’elles auraient aimé voir un homme se prosterner devant elles, se soumettre à leurs volontés. Elles m’ont souvent fait rêver, je fantasmais sur leurs pieds. Bien entendu, il ne s'est jamais rien passé, je n’ai pas osé franchir le pas. Et durant les deux années où ces deux filles ont été en classe avec moi, je n’ai jamais rien osé tenter…

***

Je continue de parler à ma Domina : « Ce n’était pas facile pour moi d’être toujours dans des classes majoritairement féminines. Il y avait beaucoup de filles que je trouvais jolies mais malheureusement je restais toujours sans copine, j’étais trop timide, je n’étais pas assez bien… J’ai vécu constamment dans la frustration. »

Il y avait les filles avec qui j’aurais vraiment aimé sortir, il y avait celles que j’admirais mais que je savais beaucoup trop belles pour moi, et enfin il y avait celles chez qui je pressentais ce besoin de domination. Il faut bien avouer que ces filles au caractère bien trempé étaient minoritaires, mais il y en avait toujours au moins une dans chacune de mes classes. Ce côté dominatrice m’a toujours attiré comme un aimant.

FRANCOISEDIVINA-MAEVAF2822.jpg

Je raconte encore à ma Domina : « Alors que j’étais encore au lycée, je ne connaissais pas encore Élise, c’est une autre fille qui faisait battre mon cœur. Il s’agissait d’Ophélie. Nous étions dans la même classe et je suis vraiment tombé fou amoureux de cette fille. Je tenais vraiment à elle, j’avais vraiment envie de sortir avec elle. Tous mes amis le savaient. J’essayais de passer le plus de temps possible avec elle mais j’étais très timide, ce n’était jamais facile pour moi. En plus, elle était toujours très entourée, elle avait beaucoup d’amis. C’était une fille très très jolie et ses prétendants étaient donc nombreux ! Je l’ai aimée pendant des années en silence, comme toujours au cours de mon adolescence. À l’époque, comme je sortais en boîte avec la bande, j’ai souvent rencontré par hasard Ophélie qui venait dans la même discothèque avec ses amis. Elle me saluait à chaque fois, elle me parlait, elle me souriait, elle m’aimait bien, elle me considérait comme un bon copain. Et il est là, le problème : j’ai toujours été le bon copain, l’ami sympa, mais j’avais des sentiments pour Ophélie qui dépassaient le stade de l’amitié. Alors en bôîte, je passais le plus de temps possible près d’elle , je dansais à côté d’elle, bref j’ai tout fait pour lui faire comprendre que je l’aimais sans jamais oser le lui dire ouvertement. Je pense qu’elle le savait mais malheureusement je ne l’intéressais pas comme petit ami. Et moi, je souffrais en la voyant danser avec d’autres garçons, ce n’était pas facile à vivre. Un ami me poussait même à aller chez elle pour lui déclarer ma flamme, tellement il me voyait amoureux. Malheureusement, il ne s’est jamais rien passé avec Ophélie. Nous avons tous les deux obtenu notre baccalauréat, nous sommes partis pour les études supérieures dans des établissements différents et éloignés l’un de l’autre. Nous nous sommes perdus de vue, puis comme je te l’ai dit, j’ai ensuite rencontré Élise qui a complètement chassé Ophélie de ma tête.

Comme tu sais, ma Princesse, dans toutes mes classes j’étais entouré majoritairement de filles, et bien évidemment, je n’arrêtais pas de fantasmer sur leurs pieds.

FRANCOISEDIVINA-MAEVAF3069.jpg

Lorsque j’étais encore assez jeune, autour de 14 ans, j’ai connu des filles qui m’ont plus ou moins maltraité… Certaines se moquaient de moi, de mon physique, de ma manière de parler (ma voix a mué très tard). Je me souviens de l’une d’elles qui s’amusait à me couper les cheveux et il y en avait qui se montraient vraiment très méchantes avec moi. J’étais très timide, effacé, et lorsqu’on m’embêtait, je subissais sans réagir. »

Le pire, c’est que ces filles qui s’acharnaient sur moi, je les désirais, j’aimais leur caractère dominant, la manière dont elles me traitaient, j’aurais aimé leur lécher les pieds… Mais cela, je ne l’ai pas avoué à ma Princesse qui aurait pu s'en offusquer. 

***

Je continue de lui raconter : « Oh oui, pendant au moins deux années, plusieurs filles se sont acharnées sur moi. Il y en a une que je n’oublierai jamais. Je pense que c’est sincèrement la première véritable dominatrice que j’ai rencontrée. Comme je l’ai dit, j’avais 14 ans. Cette fille était magnifique, elle était brune, elle avait les cheveux très noirs, et son regard aussi était très noir. Elle faisait déjà beaucoup plus âgée que 14 ans, alors que moi j’ai longtemps gardé un visage de gamin. Je n’avais jamais rencontré une jolie fille ayant un caractère aussi fort. Elle m’avait pris en grippe, elle était tous les jours sur mon dos. Elle se moquait de mon physique, elle m’attaquait verbalement. Elle allait même jusqu’à me cracher dessus ! Elle s’est acharnée sur moi pendant un an, avant que d’autres prennent la relève mais jamais aussi durement qu’elle. Moi bien entendu, je ne réagissais pas, je subissais. Au contraire, je me soumettais à elle. Je me rappelle que je ramassais ses affaires par terre, que je lui apportais son sac. Ça ne l’empêchait pas de me rigoler au visage, ni de se moquer ouvertement de moi. »

Bien entendu, cette fille me fascinait. Je la considérais comme une vraie Déesse. Je me souviens : pendant les cours, je l’imaginais en train de trôner dans un immense fauteuil, et moi je me voyais en train de ramper devant elle et de déposer des offrandes à ses pieds. Cette image m’a hanté pendant des mois. Je n’avais que 14 ans et pourtant j’aspirais déjà à une soumission absolue…

 

FRANCOISEDIVINA-MAEVAF3148.jpg

J’ai plusieurs anecdotes à vous raconter pour vous montrer que la soumission aux femmes et la vénération des pieds féminims ont toujours été présentes en moi. Dans la même classe que cette fille qui me martyrisait, il y en avait une autre qui avait aussi un très fort caractère mais qui n’avait rien de particulier contre moi. Je me souviens d’un jour où, en classe, j’étais assis juste derrière elle. Sans le faire exprès, j’ai fait tomber mon stylo qui a roulé par terre et a terminé sa course contre ses pieds. Je l’ai alors interpellée discrètement et je lui ai demandé si elle pouvait me rendre mon stylo. Elle m’a alors regardé droit dans les yeux et tout naturellement elle m’a dit : « Tu n’as qu’à venir à mes pieds pour le récupérer ! » Je me rappelle ce moment comme si c’était hier, alors que cela remonte à plus de dix ans. Pour la plupart des gens, cela aurait été un détail anodin dans une journée classique, mais cela est resté gravé en moi car déjà à l’époque j’étais un véritable fétichiste des pieds. Cela correspond à la période où je fantasmais sur les pieds de Lara Fabian. Quand j’ai entendu cette fille me dire cela, j’ai été comme paralysé. Je ne savais plus quoi dire, ni quoi faire. Le prof l’a alors interpellée et lui a demandé de se retourner. Elle n’a jamais ramassé mon stylo et le cours s’est terminé. À la fin, alors que tout le monde ramassait ses affaires, je me suis levé, je me mis à genoux sous la table et j’ai attrapé mon stylo qui était là, sous sa table, juste à côté de ses pieds. Elle m’a regardé faire puis elle est partie rejoindre son petit ami en souriant. Ce jour-là, à 14 ans, j’ai connu ma première expérience de fétichiste des pieds. J’y repense souvent, je revois cette fille. Son visage, ses pieds sont gravés à jamais dans ma tête. À l’époque, j’ai beaucoup fantasmé sur cet incident. Je n’arrêtais pas de m’imaginer aux pieds de cette jolie fille. J’avais envie de les lui baiser, de les lui lécher. Elle avait déjà un petit ami, et je m’imaginais en train de lui lécher les pieds pendant qu’elle l’embrassait ! C’est en ce temps-là que je me suis aussi retrouvé en classe avec une fille que j’avais connue en primaire. Déjà très jeunes, nous avions des conversations qui pouvaient laisser prévoir mon avenir d’homme soumis. En effet, alors que nous n'étions que des enfants, je me rappelle que cette fille s’imaginait avec autour d’elle plein de garçons lui obéissant. J’avais supplié cette fille de m’accepter dans ce cercle de garçons imaginaires. Je la suivais partout comme un petit toutou et je faisais ce qu’elle m’ordonnait. Je n’étais qu’un gamin et pourtant, j’avais déjà certains désirs. Lorsque j’ai retrouvé cette fille au collège, cela m’a rappelé les bons souvenirs de l’école primaire…

Je continue de parler à ma Princesse : « Au moment où je me faisais martyriser par certaines filles, je ne connaissais pas encore Ophélie, mais j’avais en tête deux autres filles avec qui je m’étais trouvé en classe l’année précédente. C’est au cours de mes études que j’ai rencontré beaucoup de mes amis.Une année, l’un d’eux était tombé sous le charme de la même fille que moi. Elle était vraiment très belle, elle avait un visage qui pétillait. Elle s’appelait Sabrina. Mon ami et moi étions donc en concurrence pour la séduire, nous n’arrêtions pas d’en parler, c’était à celui qui allait lui offrir le plus beau cadeau. Au final, bien évidemment, aucun de nous deux n’est sorti avec elle, Sabrina était beaucoup trop belle pour nous. Dans la classe, il y avait une Ludivine pour qui j’ai eu aussi un coup de cœur, malheureusement toujours sans succès. Enfin, la toute première fille pour qui j’ai éprouvé des sentiments sincères, c’est Perrine. J’étais encore plus jeune puisque c’était pendant ma première année de collège. Cette fille qui me plaisait énormément m’a suivi au cours de mes études. Au fil du temps, je l’ai vue devenir une adolescente dont j’étais follement amoureux. ».

Lorsque nous allions à la piscine avec l’école, j’admirais ses pieds qui étaient très mignons, avec déjà de très jolis ongles longs. Elle s'asseyait parfois sur le bord du bassin, et pendant que je nageais, elle laissait pendre ses pieds. J’avais une envie folle de les lui baiser. À 13 ans ! Au-delà de cela, c’est la première fille avec qui je me suis imaginé vraiment en couple car je l’aimais beaucoup. Malheureusement, elle est toujours demeurée pour moi un fantasme. Il y a une autre fille qui est restée dans la même classe que moi durant de nombreuses années. Elle n’était pas particulièrement belle mais avait beaucoup de charme. Au long des années, je fantasmais sur ses pieds. Je me souviens d’un scénario que je m’étais imaginé... Elle était dans la cour avec toutes ses copines, et moi j’étais allongé à ses pieds pour les lui embrasser et les lui lécher encore et encore. Et alors, la fille disait à ses amies : « Il vit à mes pieds ! » Ce scénario m’a beaucoup marqué. J’y repense souvent, et aussi à cette fille…

FRANCOISEDIVINA-MAEVAF3350.jpg

Enfin, déjà enfant, certaines filles m’ont marqué car elles avaient un tempérament très fort qui m’attirait. Par la suite, j’ai revu certaines d’entre elles au cours de mes études et leur caractère n’avait absolument pas changé. »

***

« Voilà, ma Princesse ! Je t’ai fait un résumé complet de ma vie. Il n’y a que quelques filles que j’ai vraiment aimées de loin et en secret, avant de te connaître : Perrine, Sabrina, Ophélie et Élise. Je ne suis sorti qu’avec une seule fille que j’avais rencontrée en boîte mais cela n’a duré que le temps d’un week-end. C’est tout. »

Ma Princesse me dit alors : « Tu n’aurais pas oublié de me parler de cette fille avec qui tu as connu ta première fois ? » Je lui réponds : « Cette fille a vraiment existé. J’ai été durant de nombreuses années dans sa classe, je l’aimais bien mais il ne s'est absolument rien passé entre nous. J’ai inventé cela car j’étais gêné d’être encore puceau. Aujourd’hui, j’ai décidé de tout te dire. Je te demande pardon de t’avoir menti. Ma Princesse, il n'y a pas qu'à toi que j'ai menti à propos de cette fille, j'ai menti aussi à certains membres de ma famille, j'étais tellement gêné de n'avoir jamais de copine. Maintenant que j’ai 19 ans, je sais que tu es la femme de ma vie. Sincèrement, mon amour, je t'ai parlé de ces quelques filles qui ont compté pour moi. Mais je n'ai jamais été aussi amoureux qu'aujourd'hui. Comme tu le sais, je suis tombé raide dingue de toi dès notre première rencontre. Mes sentiments pour toi sont cent fois plus fort que tout ce que j'ai connu avant et tous les moments que nous partageons ne font que renforcer mes sentiments. Je t'aime ma Princesse, je t'aime de tout mon coeur. Je rêve d’une vie de couple où je pourrais vivre à tes pieds. Je rêve d’avoir des enfants… »

Ma Princesse me remercie d’avoir été aussi honnête avec elle, puis elle me dit : « Maintenant, il est temps que nous rentrions… »

 

Voilà, je vous ai raconté toute mon adolescence.

Aujourd’hui, j’avoue que j’aimerais avoir des nouvelles de toutes ces filles que j’ai connues, que j’ai aimées au cours de mon adolescence. Je vais peut-être m’inscrire sur un site qui permet de retrouver ses anciennes amies de classe. On ne sait jamais, il se pourrait que l’une d’elles soit devenue aujourd’hui, une vraie femme dominatrice qui rêverait de me voir enfin ramper à ses pieds…

Je ne sais pas ce que l’avenir me réserve. J’avais trouvé la femme de ma vie, et  la vie me l’a reprise. Parfois, je me dis que je vais me réveiller, que tout cela n’est qu’un cauchemar, que je vais retrouver ma Princesse mais la réalité finit toujours par me rattraper. Aujourd’hui, encore plus qu’à l’époque j’aspire à une vraie vie de couple. Je rêve d’avoir des enfants. Je ne veux plus vivre dans le fantasme ou dans la frustration. Je sais que ma vie ne sera jamais simple. Je garde la foi, j’espère qu’un jour je ferai une nouvelle rencontre qui fera peut-être prendre un nouveau tournant à ma vie. En attendant, j’ai encore beaucoup de choses à vous raconter…

 

Paillasson ch’ti, esclave virtuel favori de Maîtresse MAEVA

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
Ecrire un commentaire - Voir les 20 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

  • : MAEVA DOMINA et ses esclaves
  • MAEVA DOMINA et ses esclaves
  • :
  • : Blog consacré à la gynarchie, à la relation réelle Maîtresse/esclave, et- au fétichisme sincère et absolu du Pied Féminin...promotion des talents littéraires et picturaux, humour, obsessions diverses.... Contact:maevaslave-mail@yahoo.fr
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Créer un Blog

Recherche

Texte Libre

Derniers Commentaires

Texte Libre

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés