Samedi 11 décembre 6 11 /12 /Déc 10:14

Cet épisode avait été oublié, retournez en arrière, voire relisez l'intégralité de cette monographie sincère et touchante..... désolée pour l'absence de photos, impossible d'en insérer aujourd'hui, et over-bug voudrait que je renouvelle mon pack Prémium!!!!

 



FÉTICHISME ET SOUMISSION, XXII



Ma Princesse venait de me raser les cheveux. J’étais très en colère car je
tenais énormément à les porter longs. Je regardais par terre et je voyais avec
horreur toutes mes mèches qui gisaient sur le sol. Quand ma Princesse m’a
détaché, je me suis levé de ma chaise. Ma Domina me regarda droit dans les yeux
et me dit d‘une voix toujours très autoritaire : « Mets toi à
genoux et remercie-moi de t’avoir débarrassé de tes cheveux de meuf… »
.
Comme toujours, j’étais très excité par la situation mais, pour la première
fois, mes plus bas instincts de mâle sont réapparus. En effet, je me suis
rebellé, j’ai refusé de céder, je ne me suis pas agenouillé. Ma Princesse
m’ordonna à plusieurs reprises de lui obéir mais je m’obstinais dans mon refus.
Soudainement, elle s’énerva et sans que je m’y attende, elle m’envoya un grand
coup de genou dans le bas-ventre. Je vous rappelle que j’étais toujours nu. Je
ressentis une douleur terrible qui me traversa tout le corps. Il m’était déjà
arrivé de recevoir des chocs dans les « parties », par exemple en
recevant un ballon de foot, mais là le coup de genou avait été d’une rare
violence. La douleur fut terrible, c’était comme si on me plantait des couteaux
dans le ventre. Je me suis retrouvé à genoux… comme le souhaitait ma Princesse.
J’étais plié sous la douleur. Ma Domina était extrêmement en colère. Elle me
dit : « Mais pour qui tu te prends ? Maintenant, tu refuses
de m’obéir ! Je vais t’apprendre la discipline, moi ! »
.

         
   

    

Elle a alors attrapé mon pantalon que j’avais laissé sur le sol. Elle en a
détaché la ceinture et aussitôt j’ai senti les premiers coups s’abattrent sur
mon dos. Tout en me cinglant de violents coups de ceinture, ma Princesse me
répétait encore et encore : « Je vais t’apprendre la discipline,
moi ! »
. Elle était comme dans un état second. Bien entendu,
j’avais toujours rêvé de vivre un tel moment, mais je n’aurais jamais cru que
ma Princesse serait capable de faire une telle chose. C’était beaucoup plus
douloureux que dans mes fantasmes. Après m’avoir fait subir une dizaine de
coups, ma Domina s’arrêta brutalement. Elle jeta la ceinture et partit en
courant vers ma chambre. Je me suis relevé avec beaucoup de mal même si les
douleurs dans mon bas-ventre diminuaient doucement. M’étant remis debout très
difficilement, je me suis tourné pour regarder mon dos dans la glace. La
ceinture y avait laissé de terrible traces rouges et par endroits il y avait
même un peu de sang. Une chose est sûre : je venais de recevoir de cette
jeune Femme ma première correction, ma première vraie leçon de
discipline. Ce dressage avait été très douloureux mais aussi très
excitant. Après avoir surmonté mon étonnement et surtout la douleur, je fus
ravi d’avoir passé ce moment. Soudainement, j’ai entendu ma Princesse qui
pleurait dans la pièce, juste à côté. Je me suis précipité pour la rejoindre.
Elle était assise sur mon lit, elle se tenait le visage et pleurait. Je me suis
naturellement mis à genoux près de ses sublimes pieds nus. La leçon de
discipline que je venais de subir avait eu un effet très positif. En effet, mes
plus bas instincts de mâle avaient disparu, j’étais redevenu un bon petit
toutou bien obéissant. Ma Princesse me dit : « Tu vois ce que tu
me fais faire ? Je n’étais pas comme cela avant de te connaître. J’ai
l’impression que tu fais de moi un monstre. »
. J’étais complètement
prosterné aux pieds de ma Maîtresse qui pleurait. J’étais vraiment abattu de la
voir si mal. Je me sentais vraiment coupable. Je lui dis : « Ne
pleure plus, tu n’as rien fait de mal ! Au contraire, je te remercie pour
la correction que tu m’as infligée. »
. Ma Princesse me répondit :
« T’es dingue ou quoi ? Tu as vu l’état dans lequel j’ai mis ton
dos !!! »
. Je lui ai tout de suite répondu : « Je
t’avais désobéi, tu as bien fait de me corriger, tu m’as remis sur le droit
chemin et je t’en remercie sincèrement. Tu n’es pas un monstre ! Bien au
contraire, tu fais de moi quelqu’un de meilleur. Tu me permets de m’améliorer,
de progresser, de devenir quelqu’un de mieux !!! »
. Ma Domina
remarqua alors : « C’est vrai que malheureusement tu n’as pas reçu
assez de corrections par tes parents et maintenant tu te crois tout permis. Tu
ne connais pas la discipline ! »
.



Ce moment fut très fort et riche en émotions car j’avais découvert que
ma Princesse pouvait faire preuve d’une autorité et d’une dureté
impressionnantes. Elle venait une nouvelle fois de repousser les limites de sa
Domination sur moi. À ce moment-là de notre relation, une question me
hantait : jusqu’où ma Domina était-elle capable d’aller ?...



Ce jour-là, ma Domina était tiraillée entre deux émotions : son
besoin, son désir de me soumettre et son extrême gentillesse. Ainsi, elle
n’acceptait absolument pas la violence qu’elle venait de me faire endurer. Je
suis resté un très long moment à genoux devant ses sublimes pieds. J’essayais
de la rassurer, je lui répétais sans cesse qu’elle avait bien fait de
m’infliger cela, je n’arrêtais pas de la remercier. Je voyais que ma Princesse
reprenait peu à peu le dessus, mais qu’elle avait toujours beaucoup de mal à
accepter ce qu’elle m’avait fait.



Cette journée marqua une transition dans les rapports si spéciaux que
j’entretenais avec ma Princesse. En effet, pour la première fois depuis le
début de notre relation, je venais de me rebeller. Pour la première fois, ma
Princesse semblait regretter la puissance de sa Domination. J’étais donc à
genoux auprès d’elle, j’avais ses merveilleux pieds nus juste à côté de mon
visage. Je ne savais plus quoi faire pour la rassurer. Ne pouvant plus y
résister, j’ai approché doucement ma bouche de ses merveilleux pieds. J’ai posé
mes lèvres sur le dessus de celui de droite et j’ai commencé à le baiser,
lentement mais avec un amour passionné. Sur le coup, ma Domina a retiré son
pied pour me faire comprendre qu’elle ne souhaitait pas que je l’honore. Mais
j’ai insisté, j’ai repris son pied dans mes mains et je lui ai dit : « Je
t’en supplie, laisse-moi te remercier pour la leçon que tu m’as donnée! »
.
J’ai recommencé à baiser le pied de ma Princesse. Elle s’est laissé faire et, s’allongeant
sur le lit, elle s’est détendue et m’a confié ses merveilleux pieds. Je les ai
littéralement couverts de baisers langoureux. J’ai d’abord parcouru de mes
lèvres tout le dessus de son pied, j’ai fait aller ma langue sur toute cette
peau si douce. Puis je me suis allongé par terre et j’ai baisé, léché ses
merveilleuses plantes de pieds, comme la tante Marie m’avait appris à le faire.
J’ai léché amoureusement ses magnifiques talons, je les aurais mangés si
j’avais pu, tellement je les désirais. Puis je me remis à genoux pour sucer
chacun de ses délicieux orteils.



 J’adorais tellement les sentir dans ma bouche ! Je les suçais
doucement, en un mouvement régulier. Ma langue se baladait entre eux avec un
plaisir quasi incontrôlable. À ses nombreux murmures de bien-être qu’elle me
faisait entendre, je savais que ma Princesse était satisfaite, et moi, j’étais
heureux de la savoir comblée. J’ai honoré ses merveilleux pieds pendant
quasiment 45 minutes. Si j’avais pu les lui lécher 24 heures sur 24, je l’aurais
fait, tellement j’étais heureux ! Jamais, je ne me suis senti aussi
bien ! Jamais, je ne me suis senti autant à ma place. Malheureusement, ma
Princesse m’a retiré ses pieds et m’a ordonné de me relever. Ma Domina a alors
vu que ma queue était tendue au maximum, et je me suis attendu à une nouvelle
moquerie. Mais au contraire ma Princesse m’a dit : « Tu ne t’es
pas vidé pour une fois, c’est bien ! Tu commences à savoir te contrôler,
on dirait ! »
. J’ai souri. Ma Maîtresse a repris : « Tu
es vraiment doué pour me lécher les pieds ! C’est si merveilleux que je
m’en lasserais jamais ! »
. Je me rappelle qu’à l’époque, en
entendant cette phrase, je m’étais imaginé en train d’honorer les pieds de ma
Maîtresse tout au long de ma vie… Et j’étais follement heureux à cette pensée. J’étais
loin de m’imaginer que quelques années plus tard, un terrible malheur allait
venir frapper ma Domina et briser soudainement le rêve de toute une vie…



J’étais donc à genoux devant ma Domina. Frottant une main sur mon crâne,
elle me demanda : « Alors, tu t’habitues à ta nouvelle coupe de
cheveux ?…Tu sais, j’ai fait cela pour t’imposer une punition, mais tu
dois savoir que je ne suis pas méchante. Je n’aimais vraiment pas tes longs
cheveux, tu ressemblais trop à une meuf. Sincèrement, tu seras beaucoup mieux
comme cela. Après tout, ta seule raison d’être n'est elle pas de me
plaire ?… »
. J’ai répondu : « Bien sûr, ma
Princesse ! »
. Je lui ai demandé une nouvelle fois pardon pour
mon comportement et ma désobéissance de ces derniers jours. Ma Domina m’a alors
dit : « C’est clair que ces derniers temps tu as vraiment
abusé. Maintenant, j’espère que tu sais à quoi t’attendre. Si tu ne marches pas
comme je veux, je te remettrai aussitôt dans le droit chemin. Aujourd’hui,
c’est vrai que j’ai eu des complexes après t’avoir battu, mais je n’en aurai
pas toujours ! Alors, méfie-toi !!! »
. Ma Princesse m’a
commandé d’aller lui chercher du coton et de l’alcool pour désinfecter mon dos.
Je lui ai dit qu’elle n’avait pas besoin de le faire. Elle m’a répondu : « Je
suis peut-être dure, mais je ne suis pas un monstre, et je ne vais pas te
laisser avec un dos dans un tel état ! »
. Voilà comment était
ma Domina adorée ! Cela la représentait parfaitement : une main de
fer dans un gant de velours…



Je lui ai apporté le coton et le désinfectant et j’ai posé mon ventre
sur ses genoux. Ma Domina a commencé à désinfecter mes plaies. Je devais serrer
les dents car les brûlures étaient atroces. Puis, regardant sa montre, ma
Domina a vu que mes parents n’allaient pas tarder à rentrer. Elle m’a alors
dit : « Tu as vu l’heure ? Tu as intérêt à te dépêcher de te
rhabiller et de nettoyer la salle de bains. Si tes parents rentrent et
découvrent le spectacle, je te laisse imaginer la crise de nerfs qu’ils vont
nous taper ! Allez, au boulot ! Moi, je viendrai tout
contrôler. »
. Bien entendu, j’ai répondu : « Oui ma
Princesse »
, et je me suis exécuté.



Je me suis rhabillé et j’ai commencé à nettoyer la salle de bains. Je l’ai
balayée. Il fallait que je nettoie tout, il ne fallait pas laisser traîner un
seul cheveu. Mes parents, étant très maniaques et très méfiants, auraient
immédiatement découvert la moindre trace suspecte. J’ai mis tous les cheveux
dans un sac en plastique que j’ai emporté avec moi. J’étais toujours aussi triste
de voir ces longues mèches jetées à la poubelle. Néanmoins, la correction que
je venais de subir m’avait clairement remis les idées en place et tant
mieux !!! Ma Princesse est venue vérifier mon travail puis nous sommes
partis avant que mes parents ne rentrent.



Je ne vous raconte pas leurs têtes lorsqu’ils ont découvert ma nouvelle
coiffure, le soir lorsque je suis rentré... Je leur ai dit que j’en avais eu
marre de mes cheveux longs et que, sur un coup de tête, j’avais décidé de tout
raser. Malheureusement, je n’ai jamais été doué pour mentir. Quand je raconte
des craques, cela se lit sur mon visage, et puis j’ai toujours eu les longs
cheveux et je ne m’en suis jamais plaint, au contraire. Mes parents savaient
que j’y étais très attaché. Ils ont bien évidemment compris que ma Princesse
n’était pas étrangère à ce changement brutal d’apparence. Ils s’étaient rendu
compte que j’étais devenu son petit toutou. Ils m’ont dit: « C’est
sûrement elle qui a voulu que tu te rases les cheveux et bien évidemment, tu
lui as obéi. Décidément, cette fille te fait faire vraiment n’importe
quoi ! Tu avais de superbes cheveux et maintenant te voilà bien
arrangé !!! »
. Ils étaient très en colère. Nous étions une
nouvelle fois en désaccord à cause de ma relation particulière avec ma Domina.
Ce que mes parents ignoraient, c’est que par amour pour les sublimes pieds de
ma Maîtresse, j’aurais été capable de faire n’importe quoi.



Ce jour-là, une nouvelle fois, j’ai eu envie de tout leur dire mais j’étais
paralysé par la peur. M’auraient-ils compris, d’ailleurs ?



 Elle et moi avions une relation si complice, j’avais peur que père et
mère me voient différemment. J’avais peur qu’ils se rendent malades en
se disant qu’ils n’avaient pas fait correctement mon éducation. Je ne
voulais pas qu’ils pensent cela. Au contraire, mes parents ont toujours été
formidables avec moi. Simplement, je suis un véritable fétichiste des pieds,
c’est comme cela, on ne peut rien y changer. J’ai pas envie de changer car les
moments que j’ai passé aux pieds de ma Princesse ont été les plus heureux de ma
vie. Seuls les vrais fétichistes peuvent comprendre cela. Ma situation m’a
parfois fait penser au cas d’un garçon qui devrait avouer son homosexualité à
sa famille. J’imagine que c’est un moment très délicat. L’envie de vivre en
esclave aux pieds de la femme que l’on aime est malheureusement actuellement
bien moins connue et reconnue que l’homosexualité, ce qui rend ce secret encore
plus lourd…



Finalement, les choses se tassèrent. Mes parents ne s’habituaient pas à ma
nouvelle coupe de cheveux, moi non plus d’ailleurs… mais nous n’avions pas le
choix. Nous avons eu énormément de chance que mes parents ne découvrent aucun
indice dans la salle de bains car je crois que cela aurait été la goutte d’eau
qui aurait fait déborder le vase. Ils auraient été capables d’aller voir les
parents de ma Domina pour leur expliquer ce qui se passait entre nous.
S'ils avaient fait cela, notre relation aurait été brisée. Les parents de
ma Domina étant très stricts, elle n’aurait plus eu le droit de me
fréquenter. Si mes parents étaient passés à l’acte, sans le savoir ils auraient
brisé la plus belle chose qui me soit arrivée.



Les jours passèrent. Je devais être constamment sur mes gardes avec mes
parents. Je devais faire très attention qu’ils ne découvrent pas l’état de mon
dos. Il est clair qu’ils ne l’auraient pas du tout accepté. Je devais me
montrer extrêmement prudent lorsque je m’asseyais. En effet, je pouvais à peine
m’appuyer mon dos contre le dossier, j’avais beaucoup trop mal. Il faut dire
que ma Princesse avait fait preuve ce jour-là d’une force inouïe. Cela me
faisait entrevoir des moments intenses mais qui me donnaient quelques craintes.
Encore une fois : jusqu’où était-elle capable d’aller ?



Peu à peu, mes blessures guérissaient. Ma Princesse m’apportait
régulièrement des crèmes pour accélérer la cicatrisation. C’était son côté
Domina mère Teresa, un peu comme vous Sublime MAEVA. En tout cas, la correction
m’avait fait beaucoup de bien, je peux vous dire que je filais droit. J’étais
complètement dévoué à ma Princesse, je lui obéissais entièrement, je devançais
même ses désirs et surtout je n’avais plus aucun geste rebelle. D’ailleurs, ma
Maîtresse s’en était rendu compte, elle me disait souvent : « Même
si je suis contre la violence en général, je dois reconnaître que la
correction que je t'ai infligée a été très bénéfique pour ton
comportement. Je retrouve le garçon que j’ai connu au tout début. Un garçon qui
m’est complètement soumis et dévoué. Un garçon sur qui je peux gueuler, même
sans raison. Un garçon qui ne dit rien et qui me demande pardon, même s’il n’a
rien fait. J’aime vraiment quand tu es comme cela ! La correction que je
t’ai donnée a fait entièrement disparaître ton côté rebelle. Je déteste quand
tu me désobéis ou lorsque tu t’énerves! Tu te prends pour qui dans ces
moments-là ? Tu me fais repenser avec horreur aux mecs que j’ai connus
dans le passé. Ton problème, c’est que tu n’as jamais reçu de vraie punition
par tes parents. Alors, c’est moi qui suis obligée de corriger cela. Sache
bien, en tout cas, que même si je n’adore pas te faire souffrir, je n’hésiterai
plus à recommencer si je le juge nécessaire. »
.



Maîtresse MAEVA et beaucoup de lecteurs seront très étonnés d’apprendre que
je me suis comporté avec tant de rébellion. Il faut savoir que derrière le
garçon extrêmement timide, calme et réservé se cache un caractère qui peut être
parfois très fort. Même si dans la vie en général, je m’exprime et m’énerve
très rarement, je n’ai pas non plus tendance à me laisser faire. Ainsi, à cette
époque, j’ai commencé à ressentir les premières contradictions en moi. J’avais
bien entendu mon désir qui me poussait à me soumettre et de l’autre mon
caractère qui me poussait parfois à me rebeller. En fait, je suis un homme tout
simplement et comme tous les autres j’ai en moi ces plus bas instincts de mâle.
J’ai donc dû commencer un véritable combat pour repousser hors de
moi ces plus bas instincts. À l’époque, je n’avais ni la sagesse ni la
maturité que j’ai acquises aujourd’hui. Par moment, je ne savais pas si je
devais me rebeller ou me soumettre.



Aujourd’hui, j’ai parfaitement conscience qu’il faut absolument faire
disparaître les plus bas instincts des mâles afin que les Femmes puissent
profiter pleinement de leur totale soumission et dévotion. Je pense que pour
qu’un homme en arrive à un tel état d’abaissement et de servitude, il doit
absolument être dressé très sévèrement par une Femme.



Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : Soumis & Soumises
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Commentaires

Bonjour la mise en page! Vous étiez tous bourrés ou quoi?

commentaire n° :1 posté par : Le bouffon le: 12/12/2010 à 09h23

Tu n'as qu'à t'en prendre à over bug: soit il y a des problèmes de mise en page des textes, soit des problèmes d'insertion de photos! Pour cette raison, je ne paierai plus le prémium qui n'apporte pas grand chose...à par critiquer les autres, tu fais koi dans ta vie, après la taule?

commentaire n° :2 posté par : Maeva Domina le: 12/12/2010 à 19h48

Bonjour Maîtresse MAEVA

Je vous présente mes hommages.

Je vous remercie ainsi que Feet pour la publication de mon texte. J'aurai aimé que les réactions soient plus nombreuses mais il n'est pas trop tard.

Je me prosterne amoureusement devant vos divins pieds

commentaire n° :3 posté par : paillasson ch'ti le: 23/12/2010 à 10h49

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  • : MAEVA DOMINA et ses esclaves
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  • : Blog consacré à la gynarchie, à la relation réelle Maîtresse/esclave, et- au fétichisme sincère et absolu du Pied Féminin...promotion des talents littéraires et picturaux, humour, obsessions diverses.... Contact:maevaslave-mail@yahoo.fr
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