Littérature

Jeudi 30 avril 4 30 /04 /Avr 10:07

J'ai le plaisir de publier un magnifique texte de notre ami Charles alias "bootshine", ce texte sollicite le double registre du cerveau humain, à la fois l'émotion pure, (car l'histoire est très belle, et les situations intéressantes..), mais il suscite aussi un désir de réflexion, car il pose de bonnes questions sur cette relation duelle un peu particulière entre une femme et un homme, et notamment dans la véritable relation D/s où l'homme accepte de se mettre vraiment à nu, désarmé et vulnérable..... et puis, comment et pourquoi se rencontre t'on? Il n'y a pas de lois à l'alchimie de la vraie rencontre, c'est irrationnel. Je vous souhaite une bonne lecture de ce texte qu'il faudrait savoir savourer comme un excellent cru (du style Pernand Vergelesse 1983...), il faudrait même avoir la particularité des bovidés...... celle de ruminer.....



Je l'avais tout de suite remarquée dans la foule, je croisais  son regard lorsque je quittais  les loges pour revenir dans la salle, le concert ayant pris fin, elle esquissa un sourire, je pensai que c'était plutôt bon signe.

Tout de noir vêtue, elle avait cet air altier qui m'attire irrésistiblement... J'ai toujours eu une espèce de radar pour repérer une fille au caractère dominant; à première vue, elle en était une...

Je lui rendis son sourire, la fixant du regard...
Et comme le hasard fait parfois bien les choses, nous nous trouvâmes à discuter avec une bande d'amis communs.

Je me rapprochais insensiblement d'elle, l'air de rien, puis engageais la conversation, de la manière la plus banale qui soit, avait-elle aimé le concert, quel monde ce soir etc... le genre de propos anodins, tout juste bons à meubler en attendant mieux.

Son sourire était charmant, tout autant que sa conversation, elle devait avoir une dizaine d'années de plus que moi ... en fétichiste averti, je remarquai ses jolies chaussures à talons hauts, ce qui finit de me faire craquer. Je sentais mon cœur battre un peu plus vite et décidais de passer à la vitesse supérieure.



J'ai toujours détesté me retrouver dans le genre de situation où mon "statut d'artiste" serait censé servir d'appât ou d'atout de séduction, dans toutes mes histoires un peu sérieuses, dans un premier temps, mes compagnes ignoraient mon métier, certainement  la crainte de ne pas être aimé, apprécié, pour ce que je suis vraiment, ne pas "fausser le jeu".

Une règle d'or également, ne jamais mélanger mon job avec ma vie privée. Mais là, une fois n'est pas coutume, l'occasion était trop belle ! Puis vu les circonstances, je n'avais pas vraiment le choix.

Elle était attachée de presse, cherchait du boulot dans le secteur, je lui proposais donc de discuter de tout çà un de ces soirs tranquillement en allant manger un morceau, elle accepta avec enthousiasme.

Je décidai de m'éclipser sur cette bonne résolution, car j'étais fatigué et peu à même d'engager une conversation intéressante, de plus, nous étions sans arrêt dérangés par l'une ou l'autre de nos connaissances.

Avant de partir, je lui pris la main pour y déposer un baiser, je savourai vivement ce premier touché, elle aussi eut l'air d'apprécier ce geste auquel elle réagit très naturellement, encore un bon point me dis-je.

Nous nous téléphonâmes dès le lendemain pour fixer rendez-vous.

J'arrivai le premier dans ce restaurant, j'eus le temps de m'installer confortablement en ayant pris soin de choisir une table un peu à l'écart, histoire de tenter de créer une atmosphère un tant soit peu intime entre nous dans ce lieu public, l'endroit était agréable, la lumière légèrement tamisée, les tables pas trop proches les unes des autres.

Lorsqu'elle arriva, je faillis tomber à la renverse, l'attrait éprouvé l'autre soir était bien en dessous de celui que je ressentis à ce moment là, j'en avais le souffle coupé.

Parfois quelque chose arrive, un moment où tout "bascule", sans que l'on sache exactement pourquoi, ni comment.

Mais çà arrive ! On le sait.... on le sent.

Elle portait une paire de gants de cuir noir qu'avant toute chose elle ôta d'un geste élégant pour les déposer sur le bord de la table.

Coquetterie d'un autre temps qui, tout au long du repas, attirait irrésistiblement mon regard, rêverie fétichiste qu'imaginer ses mains recouvertes de cuir glisser sur ma peau nue.

J'essayais de dissimuler ces regards de biais, mais je crois que dès le premier instant, elle sut lire dans mes pensées.

En général, les femmes décodent les émotions, les expressions... un visage... plus vite et mieux que les hommes, elle, tout particulièrement.

La vérité est que par la suite, elle m'apprit à dire les choses, à transformer ce genre de pensée en mots, en phrases.

En cela, elle fit mon éducation.


Nous parlions de tout et rien, l'essentiel n'était cependant pas là, mais à  un autre niveau, plus subtil, fait de regards et d'émotions... du désir qui s'installe... de ses promesses.

Tout à ses propos exquis, la chaleur de sa voix, la profondeur de son regard, j'entendais  ses mots parfois sans les comprendre.

Lorsque j'y repense à présent, j'ai l'impression de contempler une photo de moi-même délavée par le temps, tout en me demandant si c'était vraiment moi.

Son visage à elle me revient en mémoire étrangement flou, à tel point que je me demande si elle a vraiment existé, si tout cela ne fait pas partie d'un rêve.

La lumière tamisée descendait en pente douce du plafond, créait un mur, une ligne de lumière entre nous qu'il me tardait de franchir.

La patience... en cela aussi elle fit mon éducation... d'abord pour la conquérir, ensuite pour la posséder, bien que ce terme ne reflète que peu la réalité des choses... aurais-je plutôt envie de dire.........    
pour qu'elle veuille enfin accepter de me posséder, moi.


Je me souviens les interminables soirées menotté au radiateur de son placard à chaussures, à l'attendre, tandis qu'elle s'amusait au dehors avec des amis.

Au début, dans ces cas là, elle me confiait une liste de tâches à accomplir en son absence... souvent des tâches ménagères, à réaliser selon un rituel précis, comme laver ses dessous à la main, ou cirer ses chaussures agenouillé dans un coin. Mais par la suite, elle préférait me laisser méditer,  selon ses propres termes... ou alors, encore elle rendait cette attente plus inconfortable encore par différents procédés, comme couper le chauffage ou m'obliger à tenir au niveau de mon visage, pendant toute la soirée, l'une de ses paires de bottes.

Parfois, lorsqu'elle rentrait, elle me laissait encore un peu "méditer" seul dans mon coin, parfois encore, elle venait immédiatement m'observer, un sourire aux lèvres, sans prendre la peine d'ôter ne fût-ce que sa veste. C'était pour moi un moment de pur bonheur, je nageais dans le sous-espace, admirant cette adorable créature inaccessible...



Très souvent, elle me donnait la fessée, moi allongé au  travers de ses jambes, le pantalon sur les genoux, précédait l'annonce : "je vais devoir te fesser, prépare-toi!". Je devais alors invariablement répéter le même rituel : déboucler ma ceinture, abaisser mon pantalon sur les chevilles, puis m'agenouiller, les yeux fixant le sol, souvent elle me laissait ainsi quelques minutes, prenant le temps d'enfiler les gants de cuir rouge qu'elle réservait à cet effet, "pour avoir un point de repère sur la couleur de tes fesses" avait-elle dit d'un air ironique.



Je me demandai parfois si elle était sadique... mais bien sûr elle l'était... un jour elle me fouetta jusqu'au sang, l'excitation à son comble.
Au début, elle invoquait quelque raison, motif de punition, même plus par la suite, car seul son plaisir comptait.

Puis vint la chasteté, elle s'était procuré une ceinture qu'elle me faisait  porter, d'abord, lorsqu'elle était absente, pour éviter que je fasse des "bêtises", puis de plus en plus souvent par la suite. Elle me l'avait offert lors d'un repas au restaurant, m'ordonnant d'aller aux toilettes la poser de suite.

Elle avait fait de moi son jouet, elle m'appelait d'ailleurs Ken, en dérision, évoquant la poupée barbie.



Ma créativité, mon ardeur à autre chose qu'à la servir diminuait de jour en jour, non qu'elle me l'impose, mais je me sentais de moins en moins exister à part d'elle.

Un jour elle m'annonça sa décision de mettre fin à notre relation, "autant pour toi que pour moi" me dit-elle, si je sentais confusément quelque raison dans ses propos, je me sentis "basculer" dans le vide...

Je ressentis alors aussi une formidable excitation, quel paradoxe !

Je ne la suppliai pas, j'acceptai sa décision, ayant appris à lui obéir en tous point.



Et même si toujours je restais conscient que c'était là la seule issue à cette relation destructrice, mais oh combien exaltante, je me maudis, sombrais dans tout ce que l'homme peut avoir inventé comme substance pour oublier... pour s'évader...

Je me sentis entouré d'obscurité, une obscurité si profonde que la nature jamais ne la connaît, en aucun lieu, seule l'âme humaine peut l'éprouver, car elle est sans fin.

Plusieurs mois plus tard, lorsque je me sentis "sevré", délivré de toute dépendance, elle revint vers moi," j'ai fait une erreur" avoua-t-elle.

Je n'ai pas voulu reprendre cette relation, jamais, mais devrais-je dire que je n'ai pas pu, toujours maintenant,  il est rare qu'il passe une semaine sans qu'ELLE me téléphone.

Comme j'évoquais le fait qu'elle était seule depuis un moment, elle me dit simplement : "je l'attends"..............................

Comment nous choisissons-nous ? La vérité est que nous nous croisons, nous étreignons, puis nous quittons, allant chacun notre chemin. Loin de démystifier la magie de l'amour, mais sans éluder la question des névroses "complémentaires"... qui ne durent jamais qu'un temps, avec comme seule issue l'ennui, la fuite.... ou la mort...

Que ce ne soit pas faute d'y avoir pensé, je n'y ai décelé aucune règle, aucune loi...

Je pris la résolution de ne plus jamais m'ouvrir autant à une femme de ce côté de ma personnalité, je forçais même un peu dans l'autre sens.

Dire que je n'ai pris aucun plaisir en me coupant de cette partie de moi-même serait mentir, mais toujours il m'a manqué quelque chose... telle une sensation de vide...

Je pense à présent que ce temps est révolu...

Parfois quelque chose arrive, un moment de "bascule", sans que l'on sache exactement pourquoi, ni comment.

Mais çà arrive ! On le sait.... on le sent.

Charles, le 22 avril 2009.

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Lundi 27 avril 1 27 /04 /Avr 11:34

Pour relever le niveau, j'ai le plaisir de publier un nouveau texte de "chien gégé". J'espère que vous l'apprécierez à sa valeur, c'est comme toujours très bien écrit, et son talent narratif nous emmène très loin, du côté des limites du SM, un sujet brûlant d'actualité si je ne me trompe.....



La soirée avait été très ordinaire. Le couple, fort aimable au demeurant,  était assez indéfinissable. La dame présentée comme dominatrice mais se révélant effacée et complètement inactive, le monsieur se disant soumis mais plus simplement maso et soucieux de relations sexuelles. Ils avaient invité Maîtresse pour le week-end et, bien sur, j'avais été toléré si je m'en tenais au rôle de chauffeur et de chevalier servant de la Dame. Si Maîtresse s'activait avec le monsieur et paraissait par moments s'amuser des fantaisies qu'il lui proposait, je supputais davantage une attitude de politesse plutôt que de réel entrain. Pour ma part, après avoir effectué le service domestique habituel, je m'ennuyais ferme aux pieds de la Dame totalement absente et atone. Tant et si bien que lorsqu'elle me proposa une cigarette, je l'acceptai. Mal m'en prit. Maîtresse se leva d'un bond, laissant planté là, ahuri, le monsieur assis sur son gode. Elle me saisit par le collier, me jeta à quatre pattes et m'expédia une volée de coups de cravache bien sentis qui ne cessa que quand celle-ci se brisa net. Pour une fois, je fus bien heureux du made in China ! D'un coup de pied aux fesses, Elle m'indiqua le chemin de la chambre.



 Là, Elle m'allongea au pied du lit, les poignets attachés au collier, les chevilles entravées et repartit rejoindre nos hôtes en m'ayant au passage durement et consciencieusement écrasé les couilles sous ses semelles. Avant de franchir la porte, Elle se retourna et me jeta une couverture encore toute pliée.

Je parvins à force de contorsions à la déplier et m'en couvrir sommairement. Je percevais les bruits et les voix provenant du salon où la soirée continuait  sur un registre apparemment un peu plus agité. Seul dans cette chambre, à une heure trop prématurée pour avoir sommeil, je commençais à me lamenter sur ce week-end qui s'annonçait mal et à trouver ridicule cette situation. Finalement, je me mis à rêvasser et à sommeiller. M'étais-je endormi ? La porte s'ouvrit et la lumière gicla. Maîtresse venait se coucher. Seule. Elle commença à se déshabiller mais s'interrompit aux sous-vêtements et, me dardant de son regard sévère, vint me nouer son foulard sur les yeux. Je l'entendis fourrager un moment, de-ci de-là, sortir, revenir, puis se glisser sous la couette. Je commençais à me re-installer pour la nuit quand je sentis ses pieds bousculer la couverture et venir se poser l'un sur ma bouche, l'autre sur mon sexe.


 Enfin, il se passait quelque chose d'intéressant pour moi. Je m'appliquai à lécher avec douceur son pied qui portait les parfums d'une journée d'été tandis que mon sexe gonflait douloureusement dans sa cage aidé par les mouvements de ses orteils autour de mes couilles. Mais rapidement, Elle me retira ce plaisir, son pied gauche rejoignant le droit dans le tourment de mon sexe. Je suis bien sûr qu'Elle adorait ce genre de supplice car, entre mes gémissements, je percevais de petits bruits mouillés très révélateurs. Devinait-Elle la sensation terrible de ce phallus prêt à éclater et qui ne peut s'ériger, la douleur de la compression surpassée par moments par celle d'une peau qui se pince entre un anneau et le fer, qu'une contraction calculée parvient à dégager mais qu'un simple mouvement  de son pied déplace brutalement ? Cette sensation d'impuissance offerte, d'appartenance acceptée, de soumission totale du plus intime de soi ?

Enfin, son souffle se fit régulier et quand ses talons glissèrent de mes cuisses, je pus me pelotonner à nouveau et retrouver le sommeil.

Je me réveillai au matin dans cet équipage. N'ayant rien que je puisse faire, tenu au silence, longtemps j'écoutai le chant d'un merle heureux du soleil qui brillait au dehors. Je trompais ainsi l'oisiveté de ces matinées, lendemains de soirées où les lève-tôt tournent en rond en attendant que veuillent bien émerger les couche- tard. Des bruits de vaisselle percèrent la porte de notre chambre et Maîtresse se réveilla. Elle bougea dans son lit et je sentis sa main qui glissait sur mon ventre et reprenait son supplice favori. Puis, quand Elle me sentit bien en forme, Elle se retourna et vint s'accroupir sur mon visage, sans un mot. Bien sûr, c'était sa toilette intime qu'Elle attendait de ma bouche, toilette nécessaire et que j'accomplis en goûtant pleinement ce plaisir d'esclave.

-         Tu passes à la douche et tu vas aider au petit-déjeuner ! me dit-Elle en me délivrant.

 Nous nous retrouvâmes à trois, Elle portait sa mini de cuir, ses escarpins noirs, un chemisier blanc et s'était soigneusement maquillée en brune fatale, le monsieur et moi dans la nudité des esclaves. Il nous apprit que la Dame avait dû s'absenter pour faire des courses et ne reviendrait pas avant l'après-midi. Le traquenard se confirmait. Mais cela n'eut l'air de gêner en rien Maîtresse. Aussitôt la table desservie, Elle parut pleine de dynamisme et nous convoqua aussi sec au salon. Elle nous fit mettre à genoux devant un fauteuil et renversa le sac à malices sur le tapis. Menottes, pinces, plugs, cravaches, baillons, Elle puisait dans ces jouets comme une enfant impatiente un soir de Noël. Nous eûmes droit à subir tous les essais qu'Elle eut envie de faire Elle m'avait menotté et posé des pinces et s'occupait surtout du monsieur dont la résistance à  la douleur qui était d'évidence supérieure à la mienne la fascinait.



 Après l'avoir tourmenté un bon moment, Elle me fit approcher en me tirant par les pinces, ce qui me fit hurler et déclencha un sourire condescendant sur la face de l'autre. Elle me le fit remarquer d'ailleurs, me traitant de chochotte. Il dut se prosterner, fesses en l'air, et me saisissant fermement au collier, Elle m'approcha encore plus le visage de ces fesses. Puis Elle prit un plug énorme et l'encula lentement en me répétant : « regarde, regarde bien ! » Les coups d'œil qu'Elle me lançait en disaient long sur ses intentions à mon égard. Jamais je ne pourrai supporter un tel objet, excepté les plugs de taille raisonnable qu'Elle m'imposait parfois, mon anus était vierge de toute pénétration. Je commençais à paniquer, me faisait le regard le plus suppliant que je pouvais. Mais Elle avait préparé bien pire !

Quand Elle l'eut bien sodomisé, que le monsieur commençait à s'exciter, Elle le fit lever, face à Elle, lui flatta un peu le sexe qui s'érigea aussitôt et lui ordonna de la baiser là, comme ça. Il ne se fit pas prier. Mais, assez vite, Elle l'interrompit et lui dit :

-        " Tu veux quoi ? Sa bouche ? Son cul ?"

-        " Son cul."

Je sursautai. Sous la surprise, mon cœur fit un bond et mon souffle se bloqua. Sans attendre, Elle m'ordonna de m'agenouiller à l'envers sur le fauteuil et de bien cambrer mes fesses. Comme je n'allais pas assez vite à son goût et craignant peut-être que l'autre ne perdit sa forme olympique, Elle saisit une cravache et activa la manœuvre avec quelques coups bien placés. Je respirais mal, j'étais terrorisé. Maîtresse avait décidé cela de longue date, je le savais mais espérais toujours qu'Elle finirait par y renoncer, laisser tomber. Mais là, Elle montrait qu'Elle était vraiment Maîtresse. Les coups de cravache, les coups de pied pleuvaient sur mon cul, je n'avais pas le temps de tergiverser, forcé d'obéir, de tendre mes fesses. Puis Elle vint se placer derrière le dossier et saisit mes pinces. Elle me maintint ainsi, tirant et tournant les pinces à me faire crier. Le souffle court d'appréhension, mes sens que je voulais tendus vers mon cul ne percevaient plus que le martyre de mes tétons et c'est ainsi que je sentis l'objet s'enfoncer en moi sans trop de douleur.

Quand il se retira, Elle me lâcha et le questionna :

-Ca y est ?

-Bien à fond.

Voilà, c'était fait, une sensation bizarre m'envahit. J'aurais espéré la honte, mais non, au contraire, la fierté. Une fierté discrète, intérieure, mêlée à ce délicieux sentiment d'appartenance totale que recherchent tous les soumis.


(chien gégé, avril 2009)

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mercredi 22 avril 3 22 /04 /Avr 19:34

La suite du texte de notre jeune ami "paillasson mâle", allongé sur le divan, il nous livre ses souvenirs, ceux qui ont déterminés sa vie naissante (il est très jeune)..... j'aime bien ce texte, il est dans la continuité des débuts, et toujours dans une tonalité sincère, mais, n'étant pas "ceinture noire de langue française", notre paillasson est lent à écrire, il lui faut du temps pour arriver à quelque chose d'acceptable.... et Maeva, très Mère Théresa, malgré son extrème lassitude et ses doutes, passe du temps à reformuler, affiner, corriger......dont acte, alors, bonne lecture!!!



Fétichisme et soumission masculine (III)

 

Je me rappelle, au début de mon amitié avec ma Princesse, lorsque j'allais chez elle, je lui dérobais régulièrement des chaussettes.

C'était une envie irrésistible. J'avais tellement de désir pour les pieds de ma Princesse. Quand j'étais chez elle, j'apercevais des chaussettes traînant par-ci par-là. Je savais qu'il s'agissait des siennes, je les reconnaissais. Alors je cédais à la tentation sous la puissance de ce désir fou, et je prenais les chaussettes. Je ne vous dis pas la montée d'adrénaline que je ressentais en moi à ce moment là. Si ma Princesse m'avait vu, j'étais foutu. Comment aurai-je pu lui expliquer que ses chaussettes étaient dans ma poche ? Il n'y avait pas d'autres explications possibles que la vérité. Cela revenait à lui avouer mon fétichisme pour les pieds et mon adoration pour les siens. Comment l'aurait elle pris ?

Heureusement je ne me suis jamais fait prendre.

 Je crois même que par moment, j'ai aussi pris par erreur des chaussettes à ma belle mère. Sans le savoir, une relation démarrait avec ma belle mère...

 En effet, ma belle mère portait des chaussettes similaires à celles de ma Princesse.

 Je désirais tellement les pieds de ma Princesse, je dormais avec

les chaussettes de ma Princesse près de mon visage, c'était mon doudou, j'étais en pleine régression. J'avais besoin de sentir l'odeur de ses merveilleux pieds près de mon visage.

Ainsi, toutes les nuits, je m'endormais avec les chaussettes de ma Princesse contre mon nez. Je reconnaissais l'odeur de ma Princesse et cette divine odeur me transportait et me faisait rêver. De plus, lorsque ma Princesse laissait ses chaussures chez moi, je m'allongeais par terre et léchais ses chaussures en imaginant des scénarios, tels que des humiliations publiques, par lesquels je devais nettoyer Ses souliers devant d'autre personnes que je ne connaissais pas.



J'imaginais que ma Princesse m'ordonnait de me mettre  à genoux nu, afin de lécher ses bottes en cuir, c'est d'ailleurs ce que je faisais en cachette. J'ai tellement pris de plaisir à nettoyer les chaussures de ma Princesse avec ma langue.



 Lorsque ma Princesse chaussait de nouveau ses chaussures, elle était loin de s'imaginer que je les avais nettoyé avec ma langue. Enfin je pense, à moins que ma Princesse avait tout compris et le faisait exprès...

(JE CROIS QUE OUI.....MAEVA BELLISSIMA)

Vous devez avoir raison, mais à ce jour, je n'ai pas la réponse, et peut être ne l'aurais-je jamais, Ma Princesse dort depuis longtemps, telle la Belle au bois dormant......

Ma Princesse et moi devenions au fur et à mesure de plus en plus amis et complices. D'ailleurs nous ne pouvions plus nous quitter. Je faisais vraiment tout pour être le meilleur chevalier servant possible pour ma Princesse qui m'en demandait toujours plus.

Nous allions très régulièrement dans les magasins.. Nous allions dans les magasins d'esthétiques. Nous regardions ensemble par exemple les différents vernis à ongles. Ma Princesse me demandait quelle était ma couleur préférée ? Elle me disait «  Quelle couleur de vernis préfère- tu ? Après tout, c'est normal que je te demande ton avis puisque c'est toi qui va le mettre !! »



Ma princesse était très exigeante. Il fallait que le vernis soit posé de manière impeccable. C'est toute une technique que ma Princesse m'avait fait apprendre. D'abord je devais lui retirer le vernis précédent avec le dissolvant puis il fallait mettre un produit sur chaque ongle pour les rendre plus brillant. Enfin je devais placer les écarteurs d'orteils et vernir chaque ongle. J'étais à genoux devant elle, j' étais même allongé. Je voulais être le plus précis possible car si j'avais le malheur de déborder, ma Princesse me violentait.
(OUI, COMMENT ? TU POURRAIS LE RACONTER !!!! )
Je voulais tellement faire bien, j'étais tellement excité !!!

Je me souviens un jour, ma Princesse m'a demandé de me mettre à genoux et après lui  avoir vernis les ongles, elle m'a demandé de souffler sur son vernis pour le faire sécher. Je me sentais tellement humilié mais justement tellement bien dans cette situation. C'est comme pour les massages de pieds, par moment j'aurais voulu rester assis pour masser les pieds de ma Princesse, mais celle -ci a toujours voulu que je me mette à genoux. Je pense que ma Princesse voulait insister sur le fait de m'humilier à genoux à ses pieds, que c'était la posture adéquate.

Je me souviens d'une fois ou nous étions au restaurant, ma Princesse évoquait la fin de soirée, qu'elle avait envie de s'installer dans le fauteuil, ce soir pour regarder la télé. Je lui ai demandé ou j'allais me mettre, ma Princesse m'a répondu : « toi bien évidemment à mes pieds!!! »



J'étais tellement heureux de cette réponse, j'étais tellement bien aux pieds de ma Princesse, ma place est aux pieds d'une femme!!

Il est évident et je suis parfaitement conscient, qu'une femme peut faire de moi son esclave grâce au pouvoir que ses pieds peuvent avoir sur moi. Les pieds des femmes ont une telle attraction sur moi que cela suffit à me rendre vulnérable, enclin à accepter l'esclavage. C'est pour cela que j'utilise l'expression suivante : "Ses merveilleux pieds ont fait de moi un esclave ». Pendant quatre années, ce sont les pieds de ma Princesse qui m'ont amené à l'esclavage, aujourd'hui ce sont les divins pieds de Maîtresse MAEVA qui font de moi son "esclave virtuel", mais sincère, même si je ne suis qu'un petit fantasmeur qui ne parvient pas à vivre en phase avec ma nature profonde, être esclave d'une femme dominatrice. Je promets de changer avant que MAEVA BELLISSIMA se lasse de moi.....



Cette expression d'esclave virtuel, je ne la partage qu'avec vous, bien évidemment.

En fait, avant Maîtresse MAEVA, il y a deux femmes qui m'ont rendu esclave grâce à la beauté de leurs pieds, ma Princesse et ma belle mère.

Au départ, ma Princesse était vraiment très étonnée de voir mon si grand plaisir, mon dévouement à prendre soin de ses pieds. Je la remerciais à chaque fois de me donner l'honneur de m'occuper de ses pieds. Elle ne comprenait pas bien mais appréciait de plus en plus. Bien évidemment, elle ne savait pas qu'il y avait des années que je rêvais de faire cela. Elle n'était pas au courant de tous les fantasmes ou scénarios que j'avais imaginé en voyant les pieds de certaines femmes.

D'ailleurs, avant que je rencontre ma Princesse, les pieds d'une femme ont déterminé ma vie à jamais, on n'échappe pas à son destin, et aujourd'hui, j'ai encore du désir pour les pieds de cette femme. Je vais vous raconter :

« Je me souviens, lorsque j'avais  15 ans, donc bien avant de rencontrer ma Princesse, mon désir pour les pieds de femme était  bien affirmé. J'allais régulièrement chez la coiffeuse, celle-ci était une femme d'une trentaine d'années vraiment magnifique. Elle se chaussait souvent de claquettes où je pouvais voir ses magnifiques pieds vernis. Elle avait un petit tatouage sur le pied,  j'étais en admiration comme captivé par ses pieds.



 Je désirais tellement ses pieds que j'avais envisagé de lui avouer mon secret et de lui demandais de pouvoir les embrasser. J'ai souvent imaginé avouer mon secret pour enfin pouvoir assouvir mon profond désir. Je voyais cette coiffeuse tous les mois pendant des années. C'est avec cette personne que pour la première fois de ma vie, j'ai été le plus proche de tout avouer. En effet, une certaine complicité s'était installée entre nous. Sincèrement ses pieds étaient magiques. Sa peau semblait parfaite, bronzée, ses ongles toujours vernis de manière impeccable et puis ce tatouage sur le pied me rendait « fou ». Pour que vous vous rendiez bien compte de la beauté de ses pieds, je vais faire une comparaison. Sincèrement, les pieds de Maîtresse MAEVA, sont les pieds les plus jolis que j'ai vu de ma vie que se soit en réel ou en photo. Pour moi, les pieds de Maîtresse MAEVA sont parfaits, ceux de la coiffeuse s'en approchaient.



Il y avait une petite réserve dans le salon, je m'étais imaginé qu'après lui avoir tout avoué, nous irions dans la réserve ou je pourrais lui embrasser fougueusement les pieds.

 

J'imaginais même être l'esclave du salon de coiffure. Ainsi je m'occuperais des pieds des clientes pendant la coupe.

C'est d'ailleurs, un fantasme qui me fait toujours vibrer. Etre dans un salon de coiffure et embrasser les pieds de toutes les femmes pendant leurs coupes. Je suis conscient que cela est difficilement réalisable.

Pour en revenir à la coiffeuse, pendant qu'elle me coupait les cheveux, j'ai souvent eu sur le bout de la langue le départ de mes aveux. Mais malheureusement j'ai toujours renoncé aux derniers moments, je n'ai jamais osé.

Ainsi je n'ai fait qu'admirer la splendeur de ses pieds qui ont vraiment marqué mon adolescence. Je ne serais jamais sa réaction si j'avais eu le courage de tout lui dire. »

Je me souviens, au début, lorsque j'étais avec ma Princesse et que nous discutions, j'étais souvent très excité. Je sentais la bosse dans mon pantalon, rien qu'en parlant, je désirais tellement ma Princesse. Je ne vais pas dire que j'avais des éjaculations mais en tout cas très souvent j'avais du liquide qui provenait de mon sexe , celui annonçant que l'on est excité. Moi j'appelle cela, « la rosée du désir ». C'était incroyable, l'effet que ma Princesse pouvait avoir sur moi.

Sa présence, le fait pour moi de la voir, de voir ses pieds nus ou chaussés suffisaient à déclencher « la rosée du désir ».

 D'ailleurs les amis de ma Princesse, s'étaient tous rendu compte du pouvoir que celle-ci avait sur moi.. Ils lui disaient que lorsque je la regardais, j'étais en admiration devant elle, que mon regard rampait sous Ses Pieds, et c'était vrai....

 

(à suivre)

 

 

paillasson mâle, petit soumis fantasmeur et virtuel de Maîtresse MAEVA

PS: Si je signe "petit soumis fantasmeur", c'est parce que je suis conscient de n'être pour l'heure rien d'autre, je n'ai pas le droit de m'auto-proclamer esclave, même virtuel. Je jure d'obéir pour de bon à Maestra, et de rencontrer Mme Saint Ange pour vivre une vraie séance de soumission aux Pieds..... je sais aussi que je recevrai une bonne raclée bien méritée, à la demande de Maestra..... je sais qu'Elles communiquent entre Elles, qu'Elles sont complices, alors j'ai intérêt à obéir, à me soumettre à la Loi des Dominas du Sud-est, moi, petit soumis du Nord....
J'ai déja beaucoup de chances qu'Elles acceptent de s'occuper de moi....


J'en prends acte, soumis, je te laisse tout le mois de mai pour aller au bout de tes obsessions, si tu joues le parjure, adieu et bon vent! Avec les autres, la lie du blog, ceux que j'ai viré (ou qui sont partis tous seuls) parce qu'ils Me decevaient......
Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Vendredi 17 avril 5 17 /04 /Avr 08:40
..... de caniche allan..... allongé sur Mon divan, il nous livre des souvenirs d'enfance qui seront des déterminants dans sa vie amoureuse avec les femmes....



Ma vie d'adorateur de pieds féminins a commencé lorsque j'avais environ 12 ans. Je jouais avec mes cousines pendant un été long et chaud. Le perdant avait un « gage » et il (ou elle) devait respecter absolument cette partie du jeu. Ma cousine préférée D. portait des sandales du genre tongs.



 Elle était plus âgée que moi (15 ou 16 ans). A cette époque, je ne me représentais pas du tout ce que pouvait être le fétichisme et l'adoration du pied féminin. A un moment de la journée, D. gagna au jeu contre moi et m'imposa un gage de son choix. Elle exigea que j'embrasse et lèche ses pieds en public. Ses pieds étaient poussiéreux et humides de transpiration. Je tentai d'échapper à cette terrible humiliation, mais les autres cousines firent alliance avec D. et me lièrent pieds et mains en me maintenant sur le sol poussiéreux. D. retira ses sandales et posa la plante d'un pied sur ma figure....


(...)particulièrement sur ma bouche exerçant une forte pression. Son regard était différent exprimant le triomphe. Elle était victorieuse et le montrait bien. Je fus forcé d'obéir, je n'avais pas d'autre choix. Je commençai à lécher lentement la plante de son pied et je cherchai à respirer le peu d'air qui m'était accessible car la pression de son pied ne diminuait que pendant quelques secondes. D. se fichait éperdument de mes difficultés. Elle en riait même avec plaisir. Dans le même temps, je sentis mon sexe devenir plus dur, plus grand. Je ne comprenais pas bien ce qui se passait, j'étais très naïf. Je compris peu après que je venais de vivre ma première véritable érection mêlant plusieurs sensations, plaisir, humiliation, extase...

Je revis souvent ma cousine D. qui avait parfaitement perçu mon trouble lorsqu'elle écrasait ma bouche avec son pied. Chaque fois que nous nous sommes revus, dès que nous étions seuls, elle m'attirait vers sa chambre et m'ordonnait de devenir son serviteur. « Stupide gamin, tu dois obéir, tu ne dois t'adresser à moi qu'en étant à genoux quand je t'en donne la permission ou l'ordre, tu es mon esclave, mon serviteur, ma carpette si je le veux ». Je m'agenouillais immédiatement, la nommais « Maîtresse, Votre Altesse, Votre Majesté », je rampais devant Elle...



 ... et quand elle le décidait, je devais embrasser, lécher ses pieds nus si beaux. Nous eûmes cette relation durant quelques années, mais la vie nous a séparés et elle s'est mariée et expatriée.

(caniche allan, avril 2009)

Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : Soumis & Soumises
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Dimanche 12 avril 7 12 /04 /Avr 10:15

..... à Son esclave, un bon texte plutôt suggestif du dernier soumis virtuel recruté, j'ai nommé notre ami "caniche allan"...... j'aime bien ce texte, comme quoi la réalité est en phase avec la fiction, sachant que ce qui est décrit dans ce texte est vécu par Mon chien feet..... Bonne lecture, et à la semaine prochaine!



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Lettre de la Déesse à Son esclave

 

En vérité, j'adore lorsque toi, « caniche allan », ma propriété, Mon chien, j'adore quand tu adores Mes Pieds et que tu montres ta dévotion servile en suçant Mes orteils, inlassablement, avec plaisir et volupté, comme une fellation. Je veux te voir prendre mes orteils dans ta bouche lentement. J'aime avoir chaque orteil adoré individuellement et tous les orteils ensemble (les deux pieds en même temps, et si possible l'un sur l'autre ).
Je veux placer mon pied gauche sur ton visage, alors que tu es sur le plancher et que je m'assieds dans un fauteuil ou sur le bord du lit. Je place mon pied droit sur ton sexe d'esclave et je le piétine avec mes orteils. Je piétine aussi tes testicules gonflées de désir, esclave, chien !


Je vais glisser mon pied dans ton cul, placer mon gros orteil à l'entrée de celui-ci.. Je veux que sur mon ordre tu dilates et ouvres ton fondement offert, esclave, ainsi mon orteil pourra s'y loger à l'intérieur. Je fléchirais mon orteil ainsi tu pourras le sentir racler les parois de ton intimité. Je le ferai plusieurs fois, pour le plaisir de te voir gigoter comme un ver, au bout de Mon Pied qui te viole ......tu dois faire un double deuil : celui de ta liberté, celle de ton intimité, tu es un objet qui m'appartient , tu n'as plus de raison propre à toi, tu dois obéir en tout, et je ferai ce que je veux de toi; et si je vis dans le luxe, et toi dans le dénuement complet, dans la poussière, et sous Mes bottes qui te piétinent, tu embrasseras avec passion ces même bottes pour Me remercier du temps que je daigne passer avec toi, larve mâle!



Je t'ordonnerai également de laver mes pieds à l'eau claire et tiède, dans une bassine et ensuite de boire cette eau bénite jusqu'à la dernière goutte et me remercier pour ce cadeau désaltérant, sale chien. Tu ne pourras pas dire que je ne prends pas soin de ta santé!



Je veux que tu restes au pied du lit adorant Mes Pieds quand je me repose. Je veux que tu me réveilles avec tes lèvres et ta langue en embrassant, en léchant et en suçant Mes Pieds ( les plantes, le talon, lentement, tendrement, voluptueusement, et chaque orteil devra être sucé individuellement).
Je m'assiérais dans un confortable fauteuil en regardant la télévision ou en lisant, alors que tu seras à genoux puis prosterné à quatre pattes. Je placerai Mes Pieds sur ton visage, et je les frotterai avec vigueur, surtout lorsqu'ils sont moites, en fin de journée. Je t'utiliserai comme pouf. Tu es ma chose, un objet, un meuble voué à mon confort.


Quand j'arrive à la maison, je veux que tu te mettes à genoux à Mes Pieds, que tu embrasses Mes bas, que tu suces Mes Orteils encore revêtus des bas, que tu prennes Mes Orteils ainsi revêtus dans ta bouche d'esclave. Tu retireras alors mes bas lentement avec tes dents. Tu me les donneras. J'en attacherai un autour de ton cou comme deuxième collier, et enfoncerai l'autre profondément dans ta bouche. Je veux que tu limes les ongles de mes pieds et que tu en avales les résidus, de même que tu dois avaler les peaux mortes de mes Pieds précieux après le gommage.... « Avales ! Ceci est Mon corps ! »
Je veux que tu sois à genoux devant moi avec une bouteille de champagne Mumm rosé et que tu me serves une coupe humblement, les yeux rampant vers tes Maîtres: Mes Pieds. Je plongerai mes orteils dans la coupe (« je veux une coupe, pas une flûte de champagne, capisco, schiavo ? »), puis tu verseras le champagne sur mes orteils jusqu'à ce qu'ils en soient inondés , tu auras le droit de lécher en guise d'apéritif. Auparavant, tu m'auras servi une autre coupe de ce champagne afin que je le déguste en te regardant lécher le velouté humide et capiteux de Mes Pieds. J'espère que tu en seras humilié, sale chien d'esclave.
Je veux que tu fasses ton thé en utilisant Mes bas sales, portés exprès pendant une semaine. Ce sera ton infusion spéciale, encore un cadeau que je te fais, chien!
Rappelle-toi, carpette, tu M'APPARTIENS POUR TOUJOURS ! Ne me déçois jamais, car les sévices que je t'infligerai seraient insupportables, je sais être cruellement impitoyable avec les esclaves désobéissants, et encore plus avec les petits joueurs fantasmeurs .



Écoute bien, caniche allan, Ma propriété, Mon chien, Mon valet, je vais prendre un peu de repos. Tu vas te placer nu au pied du lit auquel je vais t'attacher et tu vas adorer mes Pieds Divins. Je veux que tu lèches lentement et doucement les plantes merveilleuses de mes pieds sales en fin de journée, je n'ai pas pris de douche, je veux qu'ils soient nettoyés de ta langue. Puis le dessus, embrassant chaque parcelle de Mes Pieds, plusieurs fois. Quand je serai reposée, tu lècheras entre mes orteils, cet espace secret, réservé aux initiés, là où la peau est fine et tendre, où se cachent souvent de petits résidus de saleté accumulée, tu lècheras aussi les ongles de mes orteils. Tu prendras dans ta bouche tous les orteils (oui, tous, je l'ordonne chien !), de mon pied gauche, tu avaleras Mon Pied jusqu'à ce que Mes ongles te grattent la gorge, je veux accéder à tous tes orifices, tu ne peux rien me refuser, et violer ton corps est Mon plaisir. Tandis que je pénétrerai ta bouche, je serai assise sur le bord du lit et placerai Mon Pied droit sur ta gorge, puis sur ton sexe, mes orteils écraseront alors tes testicules. Une fois que tu te rendras bien compte que je suis belle et bien ta DÉESSE ÉTERNELLE, UNIQUE, EXCLUSIVE, OMNIPOTENTE, INTRUSIVE, CRUELLE, ABUSIVE ET TOUTE-PUISSANTE, j'enlèverai mes orteils des testicules et je me préparerai à nouveau pour violer ton cul de soumis. Tu devras écarter tes fesses et être bien cambré (« Attention à la cravache ! »). J'introduirai doucement mon gros orteil luisant de ta salive de chien, puis tous ceux que je pourrai afin que tu ressentes bien que tu es à Moi. Une fois à l'intérieur, je fléchirai mes orteils... et cela plusieurs fois. Tu crieras de douleur et de joie en même temps, et tu me remercieras de te posséder ainsi, et tu banderas comme un âne en rut....

A présent, nous allons passer à autre chose ; je t'ordonne de te coucher sur le plancher sur le dos. Je m'assieds au bord du lit et place mon pied gauche sur ton visage... j'y transfère tout mon poids afin de t'écraser le nez, de meurtrir tes lèvres. J'aime t'écraser sous Mes Pieds, sentir cette chair servile palpiter sous Mes charmants orteils.....



.... deux de Mes Orteils (le second et le troisième) enfoncés profondément dans tes narines tandis que Ma plante de Pied couvre complètement ta bouche et que je place Mon Pied droit sur ta gorge contrôlant ainsi ta respiration, afin que tu comprennes que tu ne vis que parce que je le veux bien.
J'ai sur toi le droit de vie et de mort, je suis ta Créatrice et toi tu es Ma créature, tu Me dois tout...... car je t'ai un jour accordé le droit de vivre en conformité avec ta nature profonde d'esclave......

A bientôt, chien !

 

(caniche allan, avril 2009)

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 10:05

J'ai le plaisir de publier la suite de la  monographie de "paillasson mâle" qui nous raconte ses premiers émois fétichistes, et comment peu à peu, il en est arrivé à la soumission...... un texte émouvant, vrai, agréable à lire, et sincère......

Comment un homme découvre et accepte sa vraie nature : La soumission....

 

Je n'ai eu que très peu de petites amies,  j'étais sûrement trop timide. Je n'étais pas quelqu'un de solitaire ou de non sociable. Au contraire, pendant toutes mes années d'études, j'ai toujours eu beaucoup d'amis, nous sortions énormément.

 Nous parlions de filles comme tous les adolescents. Je devais faire semblant d'avoir les mêmes centres d'intérêts que mes amis, par exemple "les seins". Il est vrai que les adolescents parlent beaucoup de cela entre eux. Je ne vais pas dire que je n'ai pas d'attirance pour les seins des femmes, ce serait faux ; mais je dois avouer que mes yeux sont attirés immédiatement par les pieds ou la manière dont est chaussée une femme.


 C'est une pulsion irrésistible, c'est plus fort que moi. Là encore je ne pouvais pas en parler. Le plus dur est de ne pas pouvoir parler librement de ce que l'on ressent. En effet, la société nous a tellement inculqué des « modèles ». Lorsque nous sortons un peu de ces normes dominantes, nous sommes toujours caractérisés de "bizarres", de « tordus », voire de pervers. Ainsi je n'ai parlé à personne de mon désir si profond pour les pieds de femmes. A l'époque, j'ai fini par me demander si je n'avais pas un problème. Je me posais les questions suivantes : « Pourquoi es tu- attiré par les pieds des femmes? » » Pourquoi rêve tu- d'être dominé ? » Je ne comprenais pas et je n'avais personne pour m'aider. Mes amis étaient pour la plupart de "beaux gosses" qui enchaînaient les conquêtes. Ils ont connu leurs premières fois. Comme eux, moi je voulais souvent "sortir" avec telle ou telle fille mais souvent trop timide, je ne faisais rien ou alors la réponse était « non ». Voila pourquoi, je suis arrivé à l'âge de 19 ans en ayant quasiment aucune expérience, que des rêves et des fantasmes. Ce fut une souffrance personnelle importante.

Avec mes amis, nous sortions en boîte de nuit, je les voyais draguer des filles.  Je restais toujours sur le côté. J'ai vécu avec mes amis leurs premières fois.

Ils m'en parlaient et je ressentais de la jalousie, j'étais frustré.  D'ailleurs juste avant ma rencontre avec ma Princesse, j'avais réellement envisagé d' aller voir une professionnelle pour découvrir les plaisirs de l'amour.


Petit emprunt au site strapon Jane.....

.....Mais là encore, mes vrais besoins m'ont toujours rattrapé.  Je me disais « je vais plutôt lui demander si elle acceptera que je lui embrasse les pieds ».Voila, le début de mon histoire, de mon adolescence à mes 19 ans, j'étais en façade un jeune comme tous les autres avec beaucoup d'amis. Je sortais, seul bémol, je n'avais pas de petites amies. Mais en silence, je nourrissais mon irrésistible désir pour les Pieds Féminins si beaux, si apétissants, si émouvants..... et mon  besoin de soumission qui en est la conséquence directe.




 Je réfléchissais aussi à aller voir une dominatrice professionnelle. Tous les sites Internet présentaient des Maîtresses sur Paris, elles étaient beaucoup trop éloignées pour moi.


Hommage à Maîtresse Elsa, Dominatrice professionnelle de haut niveau...... le coût de ses honoraires  exclut les smicarts...

.....J'essayais de rencontrer éventuellement quelqu'un sur les tchats mais mes rencontres ne furent pas concluantes. De plus je savais qu'avec les rencontres virtuelles, il faut être bien prudent. Je me disais toujours : « si je trouve une fille ou une femme qui accepte que je lui embrasse les pieds, après elle connaîtra mon identité et mon secret » et ceci me fait peur toujours à l'heure actuelle. J'ai eu deux ou trois correspondantes Internet, souvent des femmes plus mûres qui n'étaient pas choquées par mon adoration pour les pieds, qui trouvaient cela mignon et qui acceptaient d'en parler un peu par mail.

 Mais je n' en ai jamais vraiment parlé avec quelqu'un.  J'ai toujours eu une attirance pour les femmes mûres car je pense qu'inconsciemment je me dis : " si la femme est plus mûre que l'homme, elle sera naturellement dominatrice et prendra le dessus ». De plus, je me dis « une femme mûre apprécierait peut être plus qu'une femme de mon âge d'avoir un petit jeune à ses pieds. » Cela est évidemment resté de l'ordre du fantasme comme malheureusement énormément de choses. Je me souviens lorsque j'allais chez des amis, plusieurs fois j'ai vu leur mère occupées à mettre du vernis à ongles sur leurs jolis pieds. J'étais sous le charme, je n'avais qu'une envie, me jeter à leurs pieds. Je me souviens aussi que lorsque j'allais à la piscine avec les amis, je regardais les pieds des femmes et je rêvais. Lorsque j'allais à la plage avec mes parents, je voyais énormément de pieds de femmes, je rêvais de pouvoir les embrasser. J'étais tellement excité par la vue de tous ces pieds de femmes autour de moi, je devais me retenir.


Je devais aller dans l'eau pour calmer mon excitation, tout ces pieds de femmes autour de moi me rendaient « fou ».

J'étais frustré, d'une frustration cruelle. Cette situation résume parfaitement  mon adolescence. J'ai toujours eu énormément de fantasmes mais malheureusement je n'ai eu que cela.

A l'âge de 19 ans, je rencontre une fille dont je tombe littéralement amoureux dès le premier jour.

Nous lions peu à peu une amitié de plus en plus solide. Très rapidement, après avoir avoué mes sentiments, ma Princesse me dit que je ne suis pas son genre et qu'elle préfère me garder comme ami. Peu à peu je me rabaisse intérieurement en me disant que je ne suis pas assez bien pour elle. Je me dis en moi-même : «  je vais essayer de la servir du mieux possible, d'être attentionné pour lui rendre la vie le plus agréable possible, ce qui comptera sera son plaisir, le mien doit être de servir. » ou encore : « A défaut de pouvoir être son petit ami, je vais essayer d'être son chevalier servant, d'être un serviteur dévoué. » Ce sont des mots qui sont venus à moi naturellement, d'ailleurs à l'époque,  j'emploie même ces termes dans les lettres d'amour que je lui écris. Je lui dis tout cela, je lui dis que pour moi, elle est vraiment une Princesse et donc qu'elle mérite une vraie vie de Princesse. Il est vrai que mes propos ou mon attitude l'étonnent, car elle n'avait jamais rencontré quelqu'un comme moi. Mais cela ne la choque pas, au contraire, elle apprécie de pouvoir être traitée comme une vraie Princesse et de pouvoir libérer son caractère très fort. Elle commence par me réprimander pour n'importe quelle raison. Elle aime me voir m'écraser devant elle et lui demander systématiquement pardon. Naturellement, j'ai été attiré dès le départ par ma Princesse car je n'avais jamais auparavant rencontré une fille avec un caractère aussi fort.

J'essais alors d'être le  plus attentionné possible avec elle, tout se faisait naturellement. Je me rappelle même qu'elle m'a dit : » J'ai l'impression d'être une Princesse avec toi. » Elle était beaucoup plus expérimentée que moi et n'avait pas l'habitude de ce genre de comportement. Elle avait été habituée au comportement machiste habituel des hommes. Je lui ouvrais la portière de la voiture, portais ses sacs, je me pliais à toutes ses volontés, à tous ses caprices.



Mais ceci n'était pas un calcul de ma part, cela venait naturellement de moi, de ma nature profonde faite de servilité à l'égard des Femmes. Elle était d'un caractère très fort, je ne la contrariais jamais et m'excusais immédiatement pour chacune de mes erreurs. Je me souviens que les premiers mois  furent vraiment  très intenses en soumission. 


En effet, pour ma part, il y avait des années que je rêvais d'être dominé, et pour sa part il y avait des années que son côté dominante était resté frustré.  Lors de notre rencontre, je dirais qu'il y a eu un déclic et quelques détails ont fait que nous nous sommes rapprochés naturellement. Lorsque j'ai adopté cette attitude de servitude, ma Princesse m'a dominé naturellement de plus en plus chaques  jour. Mes premiers devoirs de soumis étaient de porter son sac, de porter tous ses achats que je réglais bien évidemment.

Je lui  ouvrais la portière, l'aidais à mettre son manteau, rangeais ses affaires, faisais ses devoirs et surtout j'acceptais de me faire réprimander régulièrement. D'ailleurs, elle était parfaitement consciente de tout ceci puisque je me rappelle d'un jour où elle m'a dit : " Tu as vu comme je t'ai maté!!!". Je ne pouvais que confirmer. De toute manière, tout le monde s'était rendu compte qu'elle me dirigeait à sa convenance. Ma famille a souvent tenté de me raisonner mais en vain, je la désirais tellement, c'était elle et aucune autre, je lui appartenais. Sa famille aussi s'était rendu compte de la situation, son père essayait bien de lui dire de ne pas abuser mais sans aucun changement de sa part, fort heureusement pour nous deux.... Sa mère, par contre, était  naturellement une Femme dominante, elle ne disait rien et appréciait en silence que sa fille ait enfin compris comment il faut "dresser" (je reprends la ses propres termes) un homme. 

Aujourd'hui avec le recul, je comprends que lorsque j'ai rencontré ma Princesse, je l'ai élevé au rang de Déesse dans mon inconscient, ainsi je me considérais comme son chevalier servant.

Et c'est tout naturellement que je me suis soumis à tous ses désirs et maintenant que j'y réfléchis, plus j'étais soumis et plus elle devenait dominatrice.

Bien évidemment, de mon adolescence à cette rencontre déterminante, je ne rêvais que d' une seule chose : être aux pieds d'une femme. Avant ma rencontre avec ma Princesse, je n'avais eu que très peu d'aventures, j'étais donc toujours « puceau » lorsque j'ai rencontré ma Princesse.
(à suivre)



Prochainement, si Maîtresse MAEVA, me l'accorde, je vous raconterai comment ma Princesse a utilisé une frustration sexuelle extrêmement stricte afin de me faire ramper à ses pieds...

paillasson mâle, esclave virtuel de MAEVA DOMINA (avril 2009)


 


C'est accordé, "paillasson mâle", nous attendons tous la suite de cette passionnante histoire de vie......
Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Lundi 30 mars 1 30 /03 /Mars 10:49

L'ambiance est glauque et noire dans ce dernier texte de notre ami "chien gégé". Avec son talent habituel, il nous emmène du côté des "limites" de la relation MAITRESSE/esclave. J'espère qu'il sera apprécié à sa juste valeur, ou alors c'est à désespérer de tout... ... Bonne lecture, bonne semaine à tous!



OBSCURITE



Obscurité, un carré de jour pâle qui s'est peu à peu éteint. Il doit être près de 21heures, maintenant. Et l'attente. Dehors, quelqu'un agite des clés, grincement de portes, le voisin rentre sa voiture. Animation de trois minutes. La pénombre s'est établie, je perçois mieux l'odeur douceâtre de moisi qui emplit cette cave. Une odeur indéfinissable de vieux cartons, de terre humide, et, en y prêtant attention, d'urine. Forcément, ce n'est pas la première fois que je me retrouve enfermé ici et j'ai dû, déjà, m'y soulager. Elle m'a amené ici vers huit heures, après que je l'aie aidée à se préparer. Dim-up, jupette, décolleté de chasse et peintures de guerre, je n'en pouvais plus de la désirer.

  • - "Alors, esclave, tu bandes?" et elle tapotait cruellement ma cage.

Pour descendre les escaliers communs, elle m'accorda de passer un pantalon et un t-shirt que je dus retirer à nouveau une fois dans la cave. Les chaînes et les cadenas étaient restés en place depuis mon dernier séjour forcé ici. Depuis qu'elle avait un amant initié ni à la gynarchie ni aux jeux pervers elle préférait, disait-elle, m'enfermer pour le cas où il lui prendrait l'envie de le ramener à la maison. Ma prétention à lui représenter que je pourrais aussi bien me tenir tranquille dans la chambre du fond avait fait long feu.

Fort heureusement, le voyait-elle assez rarement et je supputais que leur liaison ne durerait que ce que durent les roses.

En attendant, je me retrouvais une fois de plus enchaîné nu dans le noir, mal assis sur la terre battue. Evidemment, elle s'était arrangée pour que je ne puisse pas m'allonger. Si j'étirais une jambe, l'autre se retrouvait tirée en arrière, si je m'appuyais sur le coude droit, le coude gauche se tordait douloureusement. Et ce plug, qu'elle m'avait férocement enfoncé dans l'anus, s'il n'était généralement pas douloureux, était toujours gênant et m'empêchait de garder tranquillement les rares positions pas trop inconfortables qu'à force d'efforts j'arrivais à trouver.

Quand, par chance dans mes gigotages, le souci de soulager mes misérables membres se trouve provisoirement oublié, mes pensées alors reviennent vers elle, elle et l'autre.

Maintenant il fait bien nuit, 22 heures ? Sont-ils toujours au restaurant, jouant ce jeu merveilleux de la séduction ? Sont-ils allés faire un tour sur la Prom', promeneurs parmi les autres, elle, cible de tous les regards. Lui prend-il la main ? Non, pas ça, pas sa main ! L'embrasse-t-il sur ses lèvres ? Mon cœur s'affole, des fourmis s'agitent dans mon estomac. Et pourtant je sais bien que tout à l'heure ils seront ensemble dans un lit. Pour accepter,  il ne me reste que la certitude d'être ici à ma place, celle qu'elle a décidé d'assigner à son esclave. Son esclave. Là est ma consolation : lui appartenir, obéir, servir, subir. Pour que j'aie le privilège dissimulé d'être le véritable créancier de son plaisir.


Photo empruntée au blog "la carpette" (voir Mes liens)


..... Mes pensées errent, de ci de là, revenant toujours vers elle, eux, mon imagination s'appliquant à me faire souffrir dans une sorte d'auto-sadisme incontrôlable. Une porte claque la haut, bruit de pas, la lumière sous la porte : la voilà ! Mais non, les pas s'arrêtent. On manœuvre une autre serrure, espoir déçu. A nouveau le noir. Les bruits étouffés des voitures sur le parking se font de plus en plus rares. On entend moins souvent l'eau circuler dans les canalisations qui alimentent l'immeuble et qui,  tout à l'heure, apportaient un peu d'animation. Attendre. Je m'essaie à quelque exercice de méditation, vite contrariée par quelque courbature. Alors il faut bouger, déplacer un peu un genou, une main. Et repenser à elle. Attendre. J'ai fini par pisser sous moi, je n'en pouvais plus. C'était un peu chaud quand ça a coulé sous mon mollet, maintenant la terre imbibée est froide à mes cuisses. Attendre.


J'ai dû m'assoupir, à-demi, un bruit m'a réveillé. Des talons qui claquent, la lumière, la serrure qui craque. Elle est là, enfin, resplendissante. Ma récompense : sa beauté, son bonheur. Elle a déverrouillé les deux cadenas. Je n'ai pas demandé l'autorisation, tant pis si je suis puni, je me suis précipité à ses pieds pour les baiser.


"chien gégé" (mars 2009)
Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mercredi 18 mars 3 18 /03 /Mars 09:30

Un bon texte de "paillasson mâle", dernier soumis virtuel accepté..... il y a là un réel  et sincère fétichisme des pieds Féminins, lequel entraîne un goût immodéré pour la soumission, l'humiliation, l'obéissance..... aux Pieds..... Alors se pose la question récurrente, déja abordée, mais jamais approfondie, il ne faut pas l'escamoter. Sur ce site, vous n'ètes pas là que pour vous "rincer l'oeil", je veux des échanges, je veux des gens qui pensent par eux-mêmes, des gens qui réfléchissent un peu. Les soumis ne pensent qu'à "ça"..... qu'est ce que ça recouvre, ce "ça" énigmatique? Serait-ce le pôle pulsionnel de notre personnalité, le côté obscur, désirant et délirant? Nous allons aborder les aléas, les torsions, les tensions, les subtilités de la psyché masculine: fétichisme des Pieds, fragmentation des corps, modalités de la jouissance, quête du plaisir, recherche initiatique d'un inaccessible Graal..... Ecoutons les pratiques, les aveux sincères, tout ce qui pousse un homme à se soumettre à une Autre, et comment il le vit, pour se sentir exister..... Merci pour ton texte, "paillasson mâle", il va être lu mondialement, alors, que cela ne te donne pas trop "la grosse tête", concentre-toi plutôt sur la suite, et sur ton perfectionnement en orthographe..... tu fais dès lors partie intégrante des collaborateurs de ce site magnifique......Maevaslave.....


Fétichisme et soumission

Texte auto biographique 

Depuis mon adolescence,  je me suis rendu compte que j'ai une attirance très forte pour les pieds féminins. Par exemple, quand je vois une femme qui porte des chaussures qui permettent d'entrevoir les pieds,  je ne peux plus les quitter des yeux, je suis tout simplement sous le charme des pieds des femmes.

A l'adolescence, les garçons commencent à acheter des revues mais moi tout ce qui m'attirait à cet âge là, c'était des photos où l'on pouvait voir les pieds d'une femme. C'est cela qui m'a toujours fait fantasmer. Je me rappelle que j'imaginais des scénarios dans ma tête où la femme m'obligeait à me mettre à ses pieds et où je les (lui) embrassais.

 Donc dès mon adolescence je rêvais d'être dominé mais à ce moment là, je ne comprenais pas encore tout. Je me rappelle bien que lorsque j'ai commencé à avoir mes premiers désirs, lorsque la testostérone a commencé à envahir mon corps, j'avais des érections dingues, et cela est toujours arrivé lorsque j'apercevais les pieds d'une femme.

J'ai longtemps nourri cette passion et ce rêve d'être aux pieds d'une femme, en silence bien sûr, car il est difficile de parler de cela à quelqu'un. Je me souviens de plusieurs institutrices que j'ai eu au collège, en fait ce qui est gravé dans ma mémoire, c'est leurs merveilleux pieds et le désir si intense que je ressentais lorsque je les regardais. Je me souviens de l'une d'entre elle qui était professeur de français, en hiver elle portait des collants. Pendant le cours, elle sortait régulièrement ses pieds de ses chaussures, j'étais complètement fasciné, j'apercevais ses sublimes pieds, je devinais leurs formes à travers les collants, je rêvais de les embrasser. Pendant le cours, elle frottait très régulièrement ses pieds les uns contre les autres, j'étais hypnotisé par cette vision, j'avais beaucoup de difficultés à me concentrer sur le cours. Je devais être certainement le seul élève à remarquer les mouvements effectués par les pieds de l'institutrice et surtout je devais être le seul à ressentir un désir quasi incontrôlable en regardant les pieds de la professeur de français. En été, elle portait des claquettes,  je pouvais admirer ses talons, je ne quittais pas ses pieds des yeux et rêvais de lui lécher la moindre parcelle de ses pieds. Je me rappelle que la nuit, je l'imaginais assise dans un fauteuil avec des hommes soumis à ses pieds

 ....dont moi, tout ceci a marqué profondément ma psyché. La preuve est que je m'en souviens très bien pourtant ceci remonte a des années déjà. Je devais avoir 14 ans peut être, mon désir de soumission était déjà là en moi et il ne fît que grandir. J'avais d'autres professeurs très sévères, j'imaginais qu'elles m'obligeaient à me mettre à genoux et à leurs embrasser les pieds en signe de soumission. J'avais une institutrice très sexy qui faisait toujours pendre ses chaussures au bout de ses pieds, j'avoue que c'était vraiment très difficile de résister. Pendant des heures et des heures, j'ai admiré ce magnifique spectacle. En effet, cette institutrice avait vraiment pris pour habitude de suspendre à son pied nu sa chaussure. J'étais complètement fasciné par cette vision, j'étais transporté dans un autre monde. Pendant ses instants, je vivais au rythme da sa chaussure qui se balançait régulièrement au bout de ses sublimes pieds. Le reste du monde n'existait plus, je ne savais plus où j'étais.


 La seule et unique chose qui comptait pour moi pendant ces moments là était ce merveilleux spectacle. Je ne m'en lassais jamais. Je me souviens du profond désir que je ressentais et que je devais maîtriser. Puis soudainement, j'entendais mon nom et là je devais revenir à la réalité. L'institutrice m'interrogeait mais moi j'étais dans  un autre monde. Je pense que certaines de mes professeurs ont du s'apercevoir que je regardais avec insistance leurs pieds mais il n' y a jamais eu de suite. Tous ces moments restent ancrés dans ma mémoire. Au delà de la terrible frustration que je ressens de ne jamais avoir pu vivre pleinement mes désirs fétichistes, ces moments sont des souvenirs merveilleux à jamais. Ces visions de leurs merveilleux pieds induisent une relation secrète et virtuelle d'une pédagogue aux pieds magnifiquement sensuels et d'un élève véritable adorateur de ses pieds. D'ailleurs le fait d'y repenser, je suis de nouveau submergé par les émotions et le désir. Je me souviens qu'au collège, j'ai aussi beaucoup fantasmé sur les pieds de deux femmes qui étaient « CPE ». Le désir que je ressentais pour leurs pieds était décuplé par la fonction dominante qu'elles tenaient et qui leur donnait une autorité naturelle. L'autorité, la domination, voila des termes qui ont toujours résonnés en moi, des termes qui m'ont toujours paru naturels. J'ai énormément fantasmé en imaginant des situations ou ces deux « CPE » profitaient de leur autorité pour m'obliger à me mettre à leurs pieds et à leur obéir. Là encore, ces souvenirs sont gravés dans ma tête. A de nombreuses reprises dans ma vie, j'ai eu envie de tout avouer à une femme où de me jeter à ses pieds tant le désir était profond. La peur des conséquences m'a toujours freiné. Je me souviens aussi d'une camarade de classe qui était extrêmement dominatrice et qui me maltraitait un peu, j'imaginais des scénarios ou je me prosternais à ses pieds, où je les nettoyais de ma langue.


J'ai découvert la soumission, et notamment le bondage à travers des films, lorsque j'étais seul, je m'attachais et imaginais que ma maîtresse me dominait. Etre attaché, voila aussi une situation de rêve, car par exemple lorsque qu'un esclave est à genoux, menotté les mains dans le dos, devant sa maîtresse qui trône dans un fauteuil, il lui appartient réellement, il se retrouve sans défense, il devient vulnérable, il est objet.

 La maîtresse peut faire alors faire de lui se qu'elle veut, cela doit être un sentiment de soumission vraiment intense. Je rêve toujours d'atteindre un tel sentiment de soumission, mais j'ai toujours été conscient qu'il fallait réaliser cela avec une personne en qui j'aurai  entièrement confiance, je me donnerai alors corps et âme.

 Je me suis toujours masturbé en regardant des revues montrant des pieds de femme ou en imaginant des scénarios de domination. Comme je vous l'ai déjà dis, cette envie, ce besoin d'être dominé, a commencé dès mon adolescence.    J'ai rapidement compris que je n'avais pas vraiment les mêmes centres d'intérêts que mes amis. Je dois dire que très jeune, j'ai vraiment eu des fantasmes de domination très dure. Je rêvais d'être attaché par des chaînes, dans des positions humiliantes et scabreuses, d'être fouetté jusqu'au sang, je rêvais de boire l'urine de ma maîtresse. Je dois dire que ceci me fît me poser des questions sur moi même, car à ce moment là, je ne connaissais pas l'existence des douches dorées par exemple. Je l'ai découvert sur Internet par la suite, je me disais « ce n'est pas normal de penser à de telles choses », j'allais même jusqu'à imaginer lécher le cul de ma maîtresse après son passage au toilette. J'avais envie d'être souillé, dégradé, humilié à l'extrême. Ce sont des choses qui me venaient naturellement dans la tête et je dois le dire, qui existaient vraiment en moi. Lorsque j'ai eu une connexion Internet, j'ai pu mieux découvrir la soumission à travers les différents sites de « maîtresses professionnelles » ou avec des sites parlant du fétichisme pour les pieds féminins.

J'essayais d'aller sur des tchats pour parler de mes envies mais la plupart des femmes sont effrayées et mettent fin à la discussion. Ce qu'il y a de plus terrible, c'est d'avoir des envies, désirs, besoins et de ne pouvoir en parler à personne. Parler de ceci à sa famille est vraiment très délicat et il est vrai que confier un tel secret à quelqu'un n'est pas évident car il faut avoir une immense confiance en la personne. Je vous ouvre mon cœur aujourd'hui et pour la première fois.

 

Puis j'ai rencontré ma Princesse et j'ai vécu ma première expérience en tant qu'esclave de pieds :

J'ai pu réaliser l'un de mes rêves car ma Princesse avait souvent mal aux pieds. J'ai commencé un jour par lui masser les pieds et ceci devint de plus en plus régulier. Pour mon plus grand plaisir, j'ai passé des heures à ses pieds en lui massant et même en faisant de la manucure. J'ai vraiment passé des heures et des heures aux pieds de ma Princesse et ce temps consacré à Ses Pieds Divins est vraiment le plus beau moment de ma vie. Ma Princesse regardait la TV, moi je me mettais à genoux devant elle et lui massais les pieds. Ma Princesse me disait parfois « ce n'est pas grave si tu vois pas la TV? »

Je lui répondais « j'adore m'occuper de tes pieds ». D'ailleurs à chaque fois, je la remerciais de me donner l'honneur, le privilège d'être à ses pieds. Au début, elle ne comprit pas trop mais après elle prit l'habitude de me voir à ses pieds. Je me souviens d'énormément de moments où ma Princesse avait froid aux pieds. Je me faisais alors un plaisir de me mettre à genoux et de lui réchauffer avec mes mains. Je me rappelle d'une fois ou nous étions chez moi, ma Princesse avait froid aux pieds, j'étais complètement prosterné à ses pieds pour lui réchauffer. Soudain, nous avons entendu ma mère qui était juste à côté, il n'y avait que la porte fermée qui nous séparait. J'étais tellement stressé que ma mère ouvre la porte et me découvre dans une telle posture, mais je ne pouvais pas quitter les pieds de ma Princesse car j'étais à ma place et je ne m'étais jamais senti aussi bien.

Je me souviens que ma Princesse m'a dit " si ta mère te voyait comme cela!" sur un ton ironique. Ce souvenir est extrêmement présent dans ma tête, car pour la première fois de ma vie, je n'ai pas cédé face à la peur d'être découvert dans une telle situation, j'ai assumé mon désir. J'étais tellement bien à ses pieds, je ne me suis jamais senti aussi bien et aussi à ma place que lorsque j'étais aux pieds de ma Princesse. D'ailleurs à chaque fois que je retourne dans cette pièce chez mes parents, j'y pense. Ma Princesse m'avait aussi éduqué pour mon plus grand plaisir à lui retirer et remettre ses chaussures et chaussettes. Par exemple lorsque nous arrivions quelque part, elle me présentait ses pieds, ça voulait dire : "met toi à genoux et retire mes chaussures!" Lorsqu'il fallait les remettre c'était pareil, j'adorais ces moments, j'étais si heureux!! Ma Princesse m'avait fait apprendre une technique pour retirer et mettre ses chaussures de la manière la plus agréable possible.

Ces moments permirent aussi à ma Princesse de m'humilier. Je devais lui retirer ou remettre ses chaussures devant mes parents, devant sa maman, au magasin de chaussures ou encore refaire son lacet à genoux dans la rue devant tout le monde. D'ailleurs j'adorais aller au magasin de chaussures avec ma Princesse. J'adorais voir ma Princesse enfiler toutes ces belles chaussures. Cela me faisait encore plus désirer ses pieds. Car je suis un vrai fétichiste des pieds comme vous avez pu le remarquer au fil de ces lignes. J'adore les chaussures car je trouve qu'elles permettent de mettre  en valeur les pieds des femmes et les rendent si désirable. Les bottes, l'hiver, je rêve de les nettoyer avec ma langue


 .....ou alors, l'été, les sandalettes. Ce qui me rend complètement vulnérable et que ma Princesse pourrait utiliser contre moi, se sont des pieds vernis dans une petite sandalette avec semelle compensée ou l'on aperçoit les orteils, là je fonds.

Je vous raconterais très vite la suite de mon histoire si Maîtresse MAEVA me l'accorde.

 

                                                                           paillasson mâle

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Vendredi 13 mars 5 13 /03 /Mars 08:23

..... il me semble que beaucoup d'entre vous sont des connaisseurs, et qu'ils attendent la suite de cette magnifique et excitante histoire..... notre ami nommé "un fan" (changer ce pseudo d'urgence....) semble s'être engagé dans une aventure littéraire au long fleuve, il y aura vraisemblablement au minimum sept épisodes, "fan" a dépassé ses réticences initiales et découvre le plaisir d'être publié mondialement , ce qui induit sans doute un renforcement d'ego chez lui, j'espère que sa compagne saura corriger ce défaut..... Bonne lecture à toutes et à tous.....



(...) Après m'être garé dans une rue parallèle pas trop près du domicile de ma belle sœur qui depuis était devenu un peu plus que cela, je passais par derrière et m'annonçais avec un texto comme convenu.

J'attendis un instant pour qu'elle vienne m'ouvrir et à la vue du spectacle qu'elle m'offrait une fois encore je ne pus qu'apprécier. Après qu'elle ce soit effacée pour me laisser passer je rentrais dans la maison en tombant à genoux pour la saluer comme il se doit. Sans plus de mots elle  tourna les talons et se dirigeait déjà vers le salon pour se laisser tomber sur un fauteuil qui avait tout d'un trône, je la suivais sur les genoux et c'est dans la même position que je pris place devant elle.

Tout cela n'était qu'un jeu entre nous mais elle prenait son rôle vraiment à cœur, et elle savait que dans ces moments là, moi même je me laissais aller et rien de tout ce qui se passerait n'entamerait  nos relations familiales.

Tout en me lançant son plus beau sourire elle avança  vers moi son pied chaussé d'une superbe  mule à talon, je connaissais bien cette paire là c'était le premier cadeau que je lui avais fais


quelques temps après le début de cette relation très spéciale entre nous. Il s'agissait de mules à pompons avec des talons pas très hauts mais elle s'y sentait à l'aise et elle savait tout l'effet qu'il provoquaient sur moi. Je m'inclinais pour y déposer un baiser et d'un geste plus qu'explicite,  elle me fit comprendre que pour embrasser la deuxième mule il fallait que je m'incline encore d'avantage car elle  laissait sont pied posé au sol.

Après les salutations d'usages elle me désigna le petit panier que je connaissais déjà car c'est dans celui ci que se trouvait les papiers pliés en quatre où était écrit les différents scénarios auquel on jouait à chacun de nos rendez vous. Je la soupçonnais de savoir à l'avance le scénario choisi en y mettant une seule option en fonction de ses envies du jour.

Le tirage du jour fut « Maîtresse et son valet » et je vis à son sourire que cela tombait bien car la maison nécessitait bien un petit ménage. Je lui enfilais donc une paire de bottines

 car elle ne comptait pas me déranger dans ma besogne et décidait de sortir prendre un café chez une amie pendant que je remettais de l'ordre chez elle. Si ma compagne savait que je faisais le ménage chez d'autres alors que chez nous je n'étais pas plus tenté que ça par tout ce qui était taches ménagères. Je m'empressais de réussir au mieux ma mission car je ne voulais pas décevoir ma « Maîtresse » à son retour. Comme j'avais accompli mon devoir dans les temps je pris l'initiative de vérifier dans son meubles à chaussures si aucune paire ne nécessitait un nettoyage car je savais qu'elle appréciait énormément avoir des chaussures toujours impeccable.  A son retour elle pénétra dans la maison sans prendre soin de s'essuyer les pieds sans aucun égard pour le travail que j'avais fais en son absence et je savais bien que tout cela n'était pas par hasard mais toujours calculer pour me signifier son autorité sur moi. Je m'empressais de lui retire les bottines à près y avoir déposé un baiser  sur chacune et j'allais lui enfiler ses mules quand elle me dit qu'avant elle voulait je lui masse les pieds pour les détendre car les bottines les avait meurtri pendant sa petite escapade...



Chose que fis immédiatement sans me faire prier. Elle semblait apprécier le traitement que je lui prodiguais et elle se laissais aller bien enfoncée sur son fauteuil. Quand elle fut satisfaite elle me le fit comprendre d'un claquement de doigts. Je lui passais ensuite ses mules aux pieds



 et je la suivis dans la maison pour l'inspection, elle apprécia le travail car je n'eu  aucune critique. Avant de me congédier elle me montra dans une revue une paire de superbes escarpins noir à talons métal et ma mission consistait à les lui trouver pour son prochain cadeau.


( à suivre... )

Sondage d'opinion: D'une façon générale, y a t'il trop d'illustrations par rapport au texte? Réponses exigées....
Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Jeudi 12 mars 4 12 /03 /Mars 10:48

Tout arrive à qui sait attendre, notre ami nommé "un fan"s'est décidé à publier une suite à son histoire tant attendue, la relation qu'il vit avec sa belle soeur qui a fait un grand saut qualitatif, c'est le moins que l'on puisse dire.....c'est très suggestif, bien écrit, il y a beaucoup de fautes d'orthographe mais je ne les corrige plus, ça finit par me lasser...... alors, les auteurs désormais s'arrangeront avec la honte, tout sera publié, y compris les fautes! Merci encore à "fan"pour ce bon texte, j'espère qu'il appréciera mes illustrations personnelles.....


(...)Je n'eus pas à attendre très longtemps car avant même la nouvelle année je recevais déjà des les premières directives de ma première Maîtresse. Il s'agissait en fait d'un texto qui me demandais si j'étais toujours intéressé par la confection de son meuble à chaussures, je n'allais pas me dégonfler et en même temps je ne le souhaitais pas du tout. Je répondis donc par l'affirmative et nous nous sommes mis d'accord pour un rendez vous au plus tôt. Quand je vis pour la première fois son impressionnante collection de chaussures

 j'ai eu du mal à cacher ma surprise et à son sourire pétillant je vis aussi qu'elle remarqua mon émotion. En fait ce n'était pas un meubles de rangement qu'il lui fallait mais plutôt une pièce entière. Elle me montra donc une pièce qui lui servait de débarras et qui une fois débarrassée de l'inutile et bien aménagée avec des étagères ferait tout à fait l'affaire. Elle annonça sans me demander mon avis bien entendu que comme je ne n'avais rien d'autre à faire à ce moment là je pouvais déjà commencer l'aménagement dans la foulée et pour me motiver d'avantage elle m'autorisa à lui retirer ses escarpins qui selon elle la faisaient souffrir et que je pouvais choisir moi même la paire de chaussures plus confortable que je devais lui enfiler à la place, mais comme je commençais déjà à la connaître un peu je m'aperçu que le choix qu'elle m'offrait serait très dirigé et qu'en fait j'allais lui enfiler la paire qu'elle aurait elle même choisie. Le choix se porta donc sur une superbe paire de mules qui à mes yeux n'avait rien de bien confortable vu la hauteur impressionnante des talons.


Une fois la pièce débarrassée, balayée et récurée par mes soins elle me proposa un rafraîchissement dans le salon avant d'attaquer la suite. Quand j'arrivais dans son salon elle trônait dans un fauteuil les jambes croisées, elle m'envoya chercher un plateau dans la cuisine avec les boissons,  je le posais sur la table basse près d'elle et elle m'indiqua d'un geste un pouf ou je pouvais m'asseoir. Une fois encore elle marquait là toute la différence de niveau qu'il y avait entre nous. Tout en discutant de tout et de rien avec moi elle faisait balancer sa superbe mule aux bout de son pied....


 ...et chaque fois que celle ci était à deux doigt de chuter d'un geste assuré elle rétablissait l'équilibre, moi je n'attendais qu'une chose, c'était de voir sa superbe chaussure tomber à terre pour pouvoir m'approcher un peu plus de ces pieds divins qui m'envoûtaient de plus en plus. Enfin ! la chute inespérée arriva et comme je me précipitais pour ramasser l'objet de mes désir d'un claquement de doigt elle m'arrêta net et je compris très vite que je devais attendre son ordre pour satisfaire ma pulsion. Elle m'expliqua  alors comment faire, je devait et seulement quand elle en aurait décidé le moment, me saisir de sa chaussure avec la bouche ....

et la lui enfiler sans l'aide de mes mains. Cette opération aurait pu être simple mais il faut dire qu'elle ne m'aidait pas beaucoup dans ma démarche voir même elle mettait un malin plaisir à me rendre la chose plus difficile encore. Nous avons passé ainsi un bon moment, je la chaussais tant bien que mal et à chaque fois d'un geste précis elle envoyait sa mule à l'autre bout de la pièce et au claquement de doigt je me précipitais pour la récupérer dans ma bouche et la rapporter auprès d'elle.


La fin de ma mission principale c'est à dire la confection de son meuble à chaussure dut être remise à un autre jour puisque je devais filer avant l'arrivé de son homme, mais je savais bien que ce n'était que parti remise et que bientôt je reviendrais finir ce travail et sûrement satisfaire encore d'autres de ses caprices. 
( à suivre...)

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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