Littérature

Mercredi 27 janvier 3 27 /01 /Jan 18:13

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Chien slavio est depuis quelques années l'objet soumis d'une jeune Maîtresse chinoise magnifique, hautaine et très sévère, malheureusement pour lui, il la voit peu.... il m'a communiqué ce texte rédigé par Elle, inutile de vous dire que je partage complètement son point de vue: Un esclave sert aussi de réceptacle à notre agressivité, à notre mal de vivre, moi-même, il m'arrive d'utiliser Mon chien feet comme défouloir. Le mois dernier, je roulais entre Chambéry et Annecy. Je crève (pas moi, un pneu! ), j'ai attendu 35 minutes au bord de la route avant qu'un mec me propose de changer ma roue! Le soir même, c'est feet le chien qui a supporté ma rage, il a reçu 35 coups de cravache sur le cul, le dos, les épaules, les joues, je ne faisais pas semblant, au 15 ème coup, reçu en plein visage (mais un esclave a t'il vraiment un visage?), il m'a supplié d'arrêter, mais j'ai été inflexible: 35 coups de cravache non frimés pour les 35 minutes au bord de cette route désolante, à cause de l'égoisme des mecs! Je vous souhaite une bonne lecture de cet excellent texte, vécu et authentique.... et vrai, comme tout ce qui a été écrit dans ce blog déserté et que je vais moi-même déserter si votre torpeur hivernale continue! C'est en cessant pendant quinze jours toute activité sur le site (grève totale et sauvage: Plus d'articles, plus de photos, aucune réponse aux commentaires qui, en ces circonstances redeviendraient nombreux!), c'est par une nouvelle grève, disais-je que je vais exorciser Ma colère en ce jour de janvier glacial!





COMMENT JE PASSE MA COLÈRE....

par MAÎTRESSE LANLAN

(en mission à Paris...)

 

Ma journée n’a pas été bonne. Elle a même été carrément exécrable. Un de Mes inférieurs, ayant mal compris Mes Ordres, a fait n’importe quoi. Ma coiffeuse attitrée a raté Mon brushing. Mon masseur était malade. Un amant avec qui Je devais passer un bon moment à l’hôtel s’est décommandé à la dernière minute, sa Femme étant rentrée de voyage plus tôt que prévu. J’ai filé un bas fantaisie d’une paire toute neuve offerte par Mon esclave. Mon mari ne M’a pas appelée de Pékin pour me donner des nouvelles de Mon fils. Je Me suis cassé un Ongle en ouvrant une boîte de Coca. Mon portable ne tient plus la charge et, en plus, Mes Règles semblent vouloir débarquer avec un peu d’avance, ce qui me donne mal au ventre…

Comme Je pensais faire l’amour à l’hôtel et me faire ramener ensuite chez moi par le jules, J’ai dit à Mon esclave slavio de rester à la maison et de travailler pour Moi en M’attendant, au lieu de Me mener en voiture comme Je l’exige d’habitude. Du coup, comme aucun taxi n’arrive (on se demande d’ailleurs s’il est vrai qu’il en existe à Paris), Je dois prendre le métro qui, comme de juste, est bondé !…

Seule consolation : un beau jeune homme à l’air tendre et soumis me cède aussitôt sa place avec un beau sourire, laissant debout un bon paquet de vieillards que nous narguons tous les deux ! Il reste debout près de Moi, appuyé au dossier de Mon siège, et je crois bien que ses yeux se baladent de la pointe de Mes bottines à Mes Genoux entre lesquels Ma robe se creuse… quand ils ne plongent pas dans Mon décolleté. Mais cet hommage silencieux n’est pas pour Me déplaire. Je Me dis même que si J’avais le temps, voilà un tendron que je saurais domestiquer à Mon usage, car après tout un seul esclave (surtout un vieux comme Mon Français), c’est trop peu pour une belle jeune Femme comme Moi, décidée à profiter de tout ce que la vie peut Lui apporter d’agréable et de bon…

Quand Je rentre, un peu trempée car il s’est mis à pleuvioter, Je suis d’une Humeur massacrante. Mon esclave le sent tout de suite. Sitôt refermée la porte d’entrée, il s’empresse de M’aider à Me mettre à l’aise, puis sitôt Mon manteau accroché au perroquet de l’entrée, il se prosterne promptement pour baiser et lécher Mes bottillons en signe de soumission et de bienvenue.

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Mais, Moi qui aime tant d’habitude ce genre de salutations serviles, Je n’ai pas ce soir la Tête à les supporter. Le plantant là, le front au sol, Je cours au salon et Me laisse tomber dans Mon fauteuil préférée en lui gueulant dessus : « Viens Me les retirer, imbécile, au lieu de vouloir y user ta langue ! » Agenouillé devant Moi, il Me déchausse prestement ...

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...et, comme il est très attentif à ce qui M’arrive, il se rend compte que, sous Mes bas, Mes Pieds sont gelés.

Alors, les rassemblant tendrement entre ses deux grandes mains chaudes qu’il referme à peine sur eux, il se penche dessus et se met à les tiédir de son haleine, tout en Me les pétrissant avec une infinie tendresse. En temps ordinaire, ce genre d’attention et d’hommage soumis Me plaît énormément. J’en raffole. Souvent même, cette servitude affichée me fait mouiller. Mais ce soir, Je ne supporte rien, tout m’agace. Et il faut que quelqu’un paie pour ces contrariétés-là !

Quelqu’un ? Ce ne peut être que Mon esclave et Je sais qu’il a bien deviné ce qui plane sur sa tête, le malheureux. Ce n’est pas que Je le batte souvent, car ce n’est pas trop « Mon truc », comme on dit en France. Bien sûr, il reçoit de temps en temps des beignes et des coups de pied, parfois même des coups de Ma cravache, si elle Me tombe sous la Main au moment voulu, mais c’est seulement quand Je suis vraiment fâchée contre lui, parce qu’il M’a mal servie, qu’il a commis une maladresse, mal exécuté un de Mes Ordres… ou bien parce qu’il n’a réussi qu’à me donner un tout petit Orgasme de rien du tout par ses caresses digitales et buccales ou le maniement d’un gode ou d’un sex toy…

Mais là, ce n’est pas contre lui que Je suis en boule. Je suis furieuse contre le monde entier. Et même contre Moi. Seulement, comme Je n’ai que lui sous la Main, c’est lui qui va payer, il le faut bien pour que Je retrouve ce Calme et cette Sérénité qui Me sont habituels.

Et, tout à coup, Je sais ce que Je veux, ce dont J’ai Envie, ce qui va Me faire infiniment Plaisir et M’amener à oublier toutes Mes déconvenues de la journée.

Je lui ordonne sèchement : « Allons vite dans Ma chambre ! » Je vois, à l’œil réjoui de Mon esclave, qu’il interprète mal Mon Ordre. C’est comme si Je l’entendais se dire :« Maîtresse est à cran. Elle veut Se détendre en jouissant sous mes doigts, mes lèvres et ma langue, car la Volupté l’apaise et La fait dormir. Eh bien, je vais tout faire pour qu’Elle jouisse comme il faut, et après tout ira mieux pour Elle et tout rentrera dans l’ordre… »

C’est pourquoi il a l’air si surpris lorsque Je lui commande de se mettre à genoux, les reins contre Mon lit, ses mollets sous le sommier, et de renverser son buste en arrière, le dos sur le matelas, les épaules bien à plat, les bras écartés du corps.

Cependant, Me connaissant, il se trompe encore sur Mes Intentions. De nouveau, J’entends fonctionner les pauvres rouages de sa petite tête de mâle rudimentaire : « Maîtresse veut m’imposer un de ces  face sittings qu’Elle adore m’infliger. Eh bien, je vais subir cela, pour l’amour d’Elle, tout en La caressant de mon mieux, afin qu’Elle soit contente et oublie les ennuis qu’Elle a manifestement endurés aujourd’hui, même si je ne sais pas de quoi il s’agit… » .

C’est touchant parfois, un esclave pareil qui se fait tant de bile pour sa Maîtresse et qui cherche à La contenter avec ses pauvres ressources de soumis. Mais il n’y est encore pas ! C’est vrai que J’aime souvent Me poser sur son visage, avec Mes Fesses nues, ou en repoussant simplement sur le côté Ma petite culotte mini, mini, et accueillir sa langue… en Me tortillant un peu pour la recevoir là où Je la veux, et ressentir des Plaisirs subtils tout en le sentant, lui, suffoquer passivement sous le poids de Mes Chairs.

Mais ce soir, Je n’ai aucune Envie de ses caresses. Au contraire, Je crois qu’elles Me porteraient sur les Nerfs. Non, ce que Je veux, c’est tout bonnement qu’il étouffe pour de bon sous Mes Fesses, sans Me caresser, qu’il devienne un coussin ordinaire pour Mon beau Derrière et que, privé d’air et de mouvement, il en bave un bon coup et paie par sa souffrance… pour les autres, pour tout ce qui M’a contrariée.

Lui tournant royalement le Dos, et M’appuyant un moment à son torse, Je M’assieds tout simplement sur son vilain museau, sans remonter du tout Ma longue robe de soie noire, dont Je sais que le tissu souple va lui coller aux narines à chaque fois qu’il tentera d’inspirer, et Me réjouissant déjà de ce lent supplice qu’il devra endurer sans se plaindre, pour le simple bonheur et la chance de Me ramener à de meilleurs Sentiments…

Pour passer le temps encore plus agréablement, J’appelle Ma meilleure Amie de Paris et Me mets à discuter avec Elle, de tout et de rien, de l’amour, des mecs et de ce qu’on peut en faire, de la soirée cinéma que Nous avons prévue pour demain soir…

Mais les Dominatrices, même aguerries comme Moi, sont parfois dépassées Elles-Mêmes par Leurs propres Désirs. Tout en téléphonant, J’entends sous moi la pénible respiration de Mon esclave qui ne fait rien pour se dérober, qui ne tente pas de tourner la tête ni de Me soulever, qui se contente d’agiter faiblement ses mains et de souffrir en silence ou presque, n’émettant que de faibles plaintes qui me parviennent très étouffées. Il n’existe plus que comme un objet qui est à Moi et dont Je Me sers à Ma Convenance…

Je n’avais aucune idée de Jouissance en tête quand Je Me suis assise. Cependant, l’haleine oppressée de Mon vieil ilote caresse et excite Mon Intimité à travers le tissu. Je ne suis pas assise depuis cinq minutes sur ce front, ce nez, ces joues, cette bouche que, malgré Moi, Je sens Mon Sexe s’humidifier de façon prometteuse et un très inattendu Désir de jouir surgir en Moi, M’échauffant tout le Corps, faisant s’ériger la pointe de Mes Seins et Me donnant la chair de poule. La Voix déjà changée, Je dis à Ma correspondante : « Excuse-Moi, Ma chérie, mais il faut que Je te quitte, J’ai une urgence !… »

         L’urgence, c’est Mon Plaisir, évidemment, et Elle doit bien le deviner car Elle Me répond : « Amuse-Toi bien, ma Chérie !… ». Je La remercie et m’installe confortablement sur la figure de Mon esclave car lui, là-dessous, plongé, disparu dans le sous-espace total, il est là pour Me le donner, Mon Plaisir, puisque Je le veux.

         Alors, Je Me soulève un bref instant, juste le temps de trousser jusqu’à Mes Hanches Ma longue robe noire. L’esclave, habitué à Mes Exigences et à Mes Caprices, sait maintenant ce que Je désire. Levant une main, il écarte tout de suite Mon mignon petit slip, noir lui aussi. Je Me rassieds vite, vite. Et aussitôt, ce vieil homme que je viens de martyriser se met à Me lécher et à Me sucer avec un art diabolique, une connaissance intuitive (et expérimentale !) de ce qui Me plaît le plus, de ce qui Me fait le plus d’effet…

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Entraîné (et amoureux) comme il l’est, il me caresse à la perfection. Et Moi, comme J’ai déjà les Nerfs à fleur de Peau et que Je Me sens chaude comme jamais, Je jouis assez vite, très longtemps et très fort, Me trémoussant et poussant des geignements qui sont comme des pleurs de Joie Féminine.

Après ce Spasme reconstituant, Me voici enfin calmée, réconfortée de tous Mes petits malheurs, en paix avec Moi-Même et le reste du monde. Par pure Jouissance de goûter encore un moment Mon délicieux et libre Sadisme Féminin, juste pour jouir encore de ses derniers râles de suffocation, Je reste encore un long moment tranquillement appesantie sur le visage avili, Me faisant plus lourde encore en levant Mes Pieds, sans que Mon esclave réagisse davantage.

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L’idée (purement gratuite) qu’il pourrait mourir, là, sous Moi, par Moi, pour Moi, écrasé par Mon Corps voluptueux, juste pour Mon Amusement, Me donne un long frisson d’Aise et de Bonheur.

Quand enfin, Je daigne Me lever, quel visage il a, le pauvre ! Tout rouge, tout fripé, les yeux larmoyants, l’air réjoui et ahuri à la fois.

J’éclate de rire et lui dis, entre deux éclats : « Va vite faire couler Mon bain, Mon bon vieux chien-slavio, et reviens tout de suite Me déshabiller ! » Il Me portera nue dans ses bras fatigués, jusque dans la baignoire...

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Désolée.... ce n'est pas Maîtresse Lanlan, ce n'est que MOI !!!!

...mais déjà Je M’imagine alanguie dans l’eau tiède et mousseuse, Me laissant aller en toute Quiétude, les Yeux fermés, les Mains derrière Ma Nuque ou Me caressant tendrement les Seins, Mes Cheveux épandus sur Mes Épaules de bel ivoire, Mes Cuisses nonchalamment écartées, M’offrant toute, très belle, très pleine de Moi-Même et très attirante, Me livrant sans scrupule aux soins experts et doux du vieillard qui M’appartient et sur qui J’ai tous les Droits. Pour le rendre dingue, je sortirai un Pied et le poserai, altier, sur le bord de la baignoire, et il le lèchera longuement en poussant de petits gémissements de plaisir.....


Je ne regrette qu’une chose. Comme à un moment J’ai eu soif, Je Me suis dit que, la prochaine fois, Je lui ferai tenir un verre d’eau dans l’une de ses mains. Ou pourquoi pas, dans les deux ?… Avec un peu d’invention et de fantaisie, une Maîtresse qui règne sur un homme peut toujours améliorer Son propre Confort.

Ah, c’est tout de même rudement utile un esclave bien dressé !…

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Vendredi 15 janvier 5 15 /01 /Jan 09:43

Voici la suite tant attendue de cette passionnante histoire.....

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FÉTICHISME ET SOUMISSION, XVIII

 

Nous voici donc, ma Princesse et moi, dans l’intimité de ma chambre. Je suis à ma place naturelle, c’est-à-dire agenouillé devant les divins pieds de ma Domina, auxquels je viens de faire l’amour avec ma bouche pendant une heure. Elle a vraiment apprécié ce moment : j’ai pu l’entendre à ses soupirs de bien-être et à ses cris de joie. J’aimerais continuer encore et encore de lécher et d’adorer ses merveilleux pieds, car je viens sincèrement de passer le plus beau moment de ma vie…

 

Au bout d’une heure, ma Princesse se penche sur moi et me tire par les cheveux. Je cesse donc de lui vénérer les pieds, je relève la tête pour regarder ma Maîtresse qui me demande : « Pourquoi viens-tu de me faire cela ?… Je vais être honnête avec toi, jamais un garçon ne m’a adorée comme tu viens de le faire. À chaque fois que je sortais avec un garçon, il ne pensait qu’à une seule chose, tu imagines bien laquelle : me faire l’amour et tirer de moi son plaisir. Je n’ai jamais connu de moment tendre où un garçon me prouvait son amour par ses baisers ou ses caresses. Au contraire, j’ai souvent entendu de la part de mes partenaires des reproches lorsque nous échangions des câlins. Bien entendu, cela a accentué mes complexes. Jamais un garçon ne m’a adoré les seins, ni aucune autre partie de mon corps, comme tu viens de le faire pour mes pieds auxquels tu viens de rendre hommage pendant un si long moment ! Je n’en reviens pas de ce que tu viens de me faire !… Je n’ai jamais ressenti de telle sensation, j’ai adoré !!! ».

Je réponds : « Ma Princesse, je ne suis pas comme les autres garçons. Quand je dis que je n’aime que toi, c’est la vérité. C’est vrai, je le reconnais, je bandais en massant les pieds de Lucie. Elle a de jolis pieds mais je préfère de très loin les tiens. Si je bandais comme cela, c’est parce que tu étais là, juste à côté. J’admirais tes pieds magnifiques, je savais que tu me surveillais d’un œil autoritaire et c’est cela qui me faisait bander. Cela n’avait strictement rien à voir avec ta cousine. Ma Princesse, comme je te l’ai si souvent dit, je vais te le redire une nouvelle fois : je n’aime que toi. Je suis sincèrement fou-amoureux de toi. Mon cœur, mon être et mon âme t’appartiennent. Je suis sincèrement heureux d’être ton serviteur. Je ne sais pas ce que je peux faire pour te prouver mon amour, pour que tu arrêtes d’en douter. Je sais que tu as tellement été déçue dans le passé que maintenant tu as du mal à te sentir en confiance. Comme je te l’ai déjà dit, je suis prêt à me faire tatouer ton prénom sur le corps pour te prouver mon appartenance. Je suis prêt à tout pour te prouver mon amour, je me fiche complètement des autres filles, je n’aime que toi, je ne vois que toi. Tu m’as demandé… ou plutôt ordonné… de masser les pieds de Lucie, je l’ai fait, mais il y a une chose que je ne ferai jamais à une autre que toi : c’est ce que je viens de te faire là. Comme je te l’ai dit, je t’aime à un point que tu n’imagines même pas, j’aime absolument tout chez toi. Par cette adoration de tes magnifiques pieds, je voulais te prouver tout mon amour. Tu as appelé cela d’une si jolie manière ! Oui, ma Princesse, j’ai fait l’amour à tes jolis pieds avec ma bouche. En me laissant faire, tu m’as offert le plus beau moment de ma vie, c’était magique et je te remercie ! »


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À ce moment, je suis vraiment très ému, je parle d’une voix hésitante, les larmes coulent le long de mes joues. Ma Princesse me regarde en souriant, elle aussi est très émue, je l’ai rarement vue comme cela. Elle aussi a des larmes dans les yeux et je pense qu’elle est encore toute retournée par les sensations que je viens de lui procurer. Je continue donc ma déclaration d’amour : 

«  Ma Princesse, je n’aime que toi et je ne bande que pour toi. Tu es et tu seras toujours la seule et unique femme de ma vie. Je préfère faire l’amour à tes merveilleux pieds avec ma bouche, plutôt que de faire l’amour à une autre femme. » Après m’avoir écouté attentivement, ma Domina me répond : « Tu m’as vraiment procuré des sensations inédites que j’adore. Je ne t’en veux plus, mais ne me dis pas que si une fille magnifique t’allumait et voulait te faire l’amour, tu refuserais, j’ai du mal à y croire ! »

Aussitôt, j’affirme à ma Maîtresse : « Et pourtant, je t’assure que c’est la vérité. » Elle me rétorque alors : « Et si tu avais la possibilité de faire l’amour avec Lara Fabian, ne me dis pas que tu refuserais !… » Si ma Princesse me dit cela, c’est qu’elle a remarqué qu’il y a plusieurs posters de Lara Fabian dans ma chambre.

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Il est vrai que dans mon adolescence, je fantasmais énormément sur cette star, et surtout sur ses jolis pieds. En effet, j’avais réussi à trouver dans un magazine un poster où elle apparaissait les pieds nus. Je vous lasse imaginer à quel point je fantasmais…

Je réponds à ma Maîtresse : « Lara Fabian a longtemps été pour un moi, un fantasme, je le reconnais, mais cela était bien avant que je te rencontre. Aujourd’hui, si elle venait vers moi, je la repousserais, il n y’a plus que toi qui comptes ! » Ma Princesse reprend : « Donc, tu serais prêt à rester chaste toute ta vie pour ne faire l’amour qu’à mes jolies pieds ? » Je confirme qu’elle ne se trompe pas. Elle continue : « Même si je sais que tu es bien différent des autres garçons, je reste sceptique quant à ta capacité à repousser les avances d’une belle femme. Je sais bien qu’un puceau a du mal à résister à une jolie dame ! » Je ne réponds pas, mais je remarque que ma Princesse vient une fois de plus d’affirmer sa certitude que je suis encore puceau.

Nous sommes encore tous les deux sur un nuage, nous venons de passer un moment magique. Ma Domina me dit : « Au fait, je t’autorise à aller te nettoyer dans la salle de bains. Je ne t’en veux pas d’avoir éjaculé sans mon accord, j’imagine bien que ce moment a dû être trop excitant pour toi… » Elle a raison, j’ai encore une fois le boxer plein de ma semence. Comment l'a t’elle  deviné ? Elle a peut - être ressenti le frisson qui a parcouru mon corps au moment de ma jouissance.

Je lui fais mes excuses et je la remercie pour sa bonté. Ma Princesse me fait remarquer : « Je suis cool avec toi aujourd’hui car chez moi tu as été parfait et tu ne m’as pas déçue. Mais n’en abuse pas, n’oublie jamais que j’attends de toi une obéissance absolue !!! Va te nettoyer et apporte-moi mon sac de cours. Il faut que l’on reprenne les révisions car les examens approchent et si je les loupe, mes parents vont me tuer ! »

Je vais donc chercher le cartable de ma Princesse. Je le lui apporte, mais lorsque je vais m’asseoir à ses côtés sur le lit, elle me repousse violemment de ses deux mains, en me disant : « Qu'est-ce que tu voulais faire, là ? ». Je lui réponds : « J’allais m’asseoir à côté de toi pour te faire réviser. » Ma Domina me crie dessus : « Tu te crois où !!! Ta place est à mes jolis pieds !!! Allez, vite, aux pieds !!! »


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Comme je vous l’ai déjà dit, j’adore ce type de phrase qui me rend dingue. Je m’exécute tout de suite. Ma Princesse me montre les cours que je dois lui lire. Je pose le cahier sur le sol. Elle m’ordonne : « Tu vas continuer de me masser les pieds tout en lisant les leçons. » J’obéis. Je suis de nouveau à genoux devant ma Domina. Je masse avec de la crème hydratante ses divins pieds, tout en lui faisant la lecture. Cela dure deux bonnes heures, mais je suis tellement heureux d’être aux pieds de ma Princesse !...

Ensuite, elle veut que je la raccompagne, car sa mère lui a demandé de rentrer manger ce soir, sans doute pour qu’elles puissent encore se parler toutes les deux. Moi aussi, je me couche tôt, car la journée a été riche en émotions…

 

Le samedi suivant, ma Princesse décide d’aller rendre visite à sa tante Marie. Depuis la journée de mercredi, elle n’a pas arrêté de m’en parler… La dernière fois qu’elle a vu sa parente, elle devait avoir aux alentours de dix ans. Sa tante habite à une vingtaine de kilomètres de chez nous, dans un tout petit village. Nous avons trouvé son adresse sur Internet. Ma Princesse est vraiment décidée à lui rendre visite. J’avoue que moi aussi j’ai envie de rencontrer cette dame car, pour la première fois, je vais peut -être rencontrer une Dominatrice expérimentée. Je sens une certaine excitation m’envahir. Bien entendu, ma Maîtresse fait cela en cachette de sa maman.

Samedi, à 14 heures, nous nous mettons donc en route. En moins d’une demi-heure, nous sommes arrivés. Nous avons facilement trouvé la maison, c’est quasiment la plus grande et la plus belle demeure du village. Ma Domina ressent une petite appréhension, elle ne sait pas comment va réagir sa tante Marie. Nous restons un moment dans la voiture, garée en face de la maison. Puis ma Princesse décide d’y aller. Quand elle sonne à la porte, je me tiens juste derrière elle. Nous sommes tous les deux stressés. La porte s’ouvre sur la tante Marie qui reconnaît immédiatement sa nièce et l’invite à entrer.

Je découvre une femme magnifique, la maman de ma Domina n’a pas menti, sa beauté est sublime. Mon regard est irrésistiblement attiré par ses pieds que je trouve eux aussi sublimes. La tante Marie porte de jolies sandales, munies de lanières dorées dans lesquelles sont incorporés des brillants. Je peux admirer ses superbes orteils vernis d’un rouge vif. Elle porte un tailleur qui permet d’admirer ses longues jambes bronzées et sublimes. Elle porte un chemisier blanc qui laisse entrevoir une poitrine généreuse. Elle est superbement maquillée, elle a de jolis cheveux châtains. Elle ressemble beaucoup à la mère de ma Domina. On voit que c’est une femme qui prend énormément soin d’elle-même. C’est vraiment une très belle créature.

Ma Princesse me présente à sa tante qui lui demande si je suis son petit ami. Ma Domina lui répond : « Non, c’est mon meilleur ami mais il est bien plus que cela, c’est mon serviteur… » Avec cette phrase de ma Princesse, le ton est donné…

Sa tante vit vraiment dans une propriété magnifique, elle nous invite à entrer dans la salle à manger. Elle possède de superbes meubles, de très beaux lustres.  Nous nous installons sur le canapé, tandis que Marie s’assied dans un fauteuil, en face de nous et croise ses jambes sublimes. Je dois résister à l’envie irrésistible de fixer mon regard sur elles pour les d’admirer, ainsi que sur ses merveilleux pieds. Ses jambes étant croisées, sa jupe moulante a tendance à remonter, ce qui me permet d’entrevoir ses magnifiques cuisses…

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Ma Princesse prend la parole, elle explique qu’elle est étonnée que sa tante l'ait reconnue immédiatement après tant d’années de séparation. Marie lui  répond : « Tu es encore plus belle qu’avant. J’ai immédiatement reconnu ton visage et tes magnifiques cheveux. Tu as de l’or sur la tête, et ce que je te dis est sincère. Tu es devenue une jeune fille vraiment magnifique. Je suis très très heureuse de te revoir... Mais pourquoi aujourd’hui ?… Explique-moi s’il te plaît ».

Ma Princesse lui raconte alors tout : notre rencontre, ma soumission et surtout cette fameuse après-midi de mercredi où sa maman lui a donné les raisons pour lesquelles ses deux soeurs ne la voient plus. Ma Princesse ajoute : « Ma mère m’a toujours dit qu’elle ne te voit plus à cause de problèmes familiaux graves. De la manière dont elle m’a expliqué cela, j’ai cru que tu avais fait des choses horribles. J’étais jeune et je n’ai jamais cherché à comprendre, je le regrette vraiment aujourd’hui…» Sa tante lui répond : « Je t’ai toujours beaucoup aimée, j’ai été très triste de ne plus te voir. Mais j’ai parfaitement compris les raisons qui ont poussé mes soeurs à agir comme cela, et je les respecte !!! ». Après un silence pendant lequel elle regarde tendrement ssa nièce elle reprend : « Mais dis-moi tu n’es pas choquée par ce que ta maman t’a expliqué sur mon mode de vie ? »

 

Soudain, un jeune homme qui doit avoir notre âge, portant un tablier, entre timidement dans la pièce et dit : « Excusez-moi de vous déranger, Madame, j’ai terminé l’étage. Que voulez-vous que je fasse maintenant, Madame ? » Marie lui répond : « Nettoie donc la cuisine à fond, je passerai te voir plus tard ! » Alors que le jeune homme s’apprête à repartir, elle le rappelle et lui demande d’un ton sévère : « Tu n’aurais pas oublié quelque chose ?… »

Le jeune homme regarde Marie avec un étonnement qui peut se lire sur son visage. Je pense que l’on peut même voir de la peur dans ses yeux. Marie s’énerve tout à coup et crie : « Tu n’as vraiment aucune éducation, tu n’as même pas salué mes invités en entrant dans la pièce. Tu sais pourtant que je suis très stricte sur la politesse. Je veux que tu présentes tes excuses à mes deux invités !!! » Ma Princesse et moi sommes littéralement scotchés sur notre canapé, nous sommes gênée pour ce pauvre garçon. Nous avons la même réaction, nous disons à Marie que ce n’est pas grave, mais elle ne lâche pas le jeune garçon. Il lui obéit et, se tournant vers nous, murmure d’une voix timide : « Je vous demande pardon pour mon impolitesse. » Il présente ensuite ses excuses à Marie. Elle le prévient : « On en reparlera tout à l’heure ! En attendant, va dans la cuisine et mets-toi au travail. Je ne veux plus te voir… » Elle se montre d’une telle dureté avec ce jeune garçon que moi-même je commence à prendre peur car j’ai la confirmation que Marie est bel et bien une femme dominatrice d’une dureté impressionnante. Ma Princesse, elle aussi, semble impressionnée…

La tante nous dit : « Excusez-moi pour cette interruption. C’est mon domestique. C’est un jeune de votre âge mais il manque cruellement d’éducation, et j’ai horreur de cela… » Ma Princesse lui dit alors : « Tu as une maison magnifique, une immense demeure, ce n’est pas étonnant que tu aies besoin d’un domestique. Mais il est si rare de voir un homme faire le ménage !!! » Sa tante réplique : « Oui, ma chérie , tu as raison, j’ai beaucoup de mal à trouver un bon personnel masculin pour me servir. Il y a encore un an et demi, c’est mon mari qui faisait tout pour moi. Il était à ma disposition et entretenait la maison, le soir et le week-end, mais malheureusement il vieillit et ce rythme n’est plus tenable pour lui. Or, je tiens à lui et ne veux pas qu’il ait trop de soucis de santé. J’ai donc décidé d’engager un domestique à plein temps qui est chargé de s’occuper de l’entretien complet de la maison et de toutes les autres tâches ménagères. Je le fais souvent travailler jusqu’à dix heures par jour, parfois plus… Mais si le boulot est bien fait, je sais me montrer généreuse. En revanche, je refuse catégoriquement que ce soit une femme qui vienne faire le ménage et les autres travaux chez moi ! Comme tu le sais désormais, j’ai toujours eu la conviction que nous autres femmes sommes supérieures aux hommes et que ceux-ci ne sont là que pour nous servir.

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Il est donc hors de question que je me fasse servir par une femme, cela me rendrait malade. Je comprends que certaines femmes soient obligées de réaliser de tels travaux si indignes d’elles, et qu’elles doivent gagner ainsi leur vie, mais pas de ça chez moi ! (Un silence.) Tu sais, les hommes qui cherchent un emploi de domestique au service d’une femme ne sont pas nombreux. Mon premier serviteur, que j’avais pourtant eu bien du mal à trouver, et qui était bien courageux et infatigable, n’est resté que huit mois à mon service, avant de trouver un autre travail. La plupart des candidats n’ont tenu qu’une semaine avant d’abandonner, tellement je suis exigeante. Celui-ci, c’est mon deuxième vrai domestique. Je dois reconnaître qu’il ne s’en sort pas trop mal, mais je dois encore le dresser… »

Ma Princesse reprend la parole, s’adressant à sa tante : « Pour en revenir à ta question, je ne suis absolument pas choquée par ton mode de vie. Au contraire, tu es un modèle pour moi. Tu sais, j’ai eu beaucoup d’expériences douloureuses avec les garçons. J’ai été amoureuse à plusieurs reprises, j’ai beaucoup donné aux garçons, mais malheureusement ils en ont souvent abusé. Aujourd’hui, tout est différent grâce à celui-ci. » Ma Princesse me désigne d’un mouvement du pouce. Sa tante lui fait observer : « Moi, dès l’adolescence, lorsque j’étais encore plus jeune que vous, j’ai eu la chance d’avoir tout de suite beaucoup de succès auprès des garçons, et je me suis rapidement rendu compte que je prenais du plaisir à les dominer tous. Lorsque mes prétendants tournaient autour de moi, j’aimais de plus en plus les voir se soumettre à ma volonté, les voir m’obéir. J’adorais de plus en plus les voir s’agenouiller devant moi. J’adorais les voir prendre soin de moi, de mes jolis pieds. J’ai rapidement eu la conviction que les hommes étaient là pour nous servir, nous autres filles, pour nous obéir et accomplir nos quatre volontés et nos innombrables caprices. C’est pourquoi, depuis lors, j’ai toujours organisé ma vie selon ce principe. »


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Nous écoutons Marie très attentivement. Ma Princesse lui dit : « Comme toi, j’aurais aimé comprendre cela à l’âge de seize ans, cela m’aurait évité d’avoir tous ces problèmes avec les garçons. Enfin, je ne peux pas revenir en arrière, je suis si heureuse d’avoir compris cela aujourd’hui. Malheureusement, je garde toujours un tas de complexes. » Marie paraît très étonnée, elle dit : « Comment une si jolie jeune fille peut-elle avoir des complexes ? Tu es magnifique, ma chérie ! Comme je te l’ai dit tout à l’heure, tu as de superbes cheveux, de très jolis yeux. Tu es grande, mince. J’ai remarqué que tu as de très belles mains, de très jolis ongles. Enfin, tu as de très jolis pieds et de beaux orteils vernis. Tu es une jeune fille magnifique, tu n’as absolument aucune raison d’avoir des complexes ! » Ma Princesse acquiesce en me montrant d’un mouvement du menton : « Oui, c’est ce qu’il me répète tous les jours. Il me couvre régulièrement de compliments sur mon physique. Je vois bien qu’il est en adoration devant moi. Tout cela me fait du bien mais j’ai tellement accumulé de complexes depuis plusieurs années que j’ai du mal à prendre le dessus. » Sa tante lui dit alors : « Je vois que ce jeune garçon semble te faire beaucoup de bien. Mais tu me l’as présenté comme ton serviteur. Pourrais-tu m’en dire un peu plus ? » Sa nièce satisfait aussitôt à sa curiosité : « Oui, je l’ai rencontré par hasard, il y a plusieurs mois par l’intermédiaire d’un ami commun. Ce garçon est différent de tous ceux que j’ai rencontrés jusqu’à présent. Il est tellement soumis, il est tellement aux petits soins pour moi, qu’il me dorlote et fait toujours passer mon plaisir bien avant le sien. Et, cerise sur le gâteau, il adore prendre soin de mes jolis pieds, il en est fou ! Et moi, j’adore qu’il s’en occupe, car je trouve ça agréable et merveilleux ! »

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Je suis très intimidé et très gêné par la conversation. Tante Marie dit à sa jolie nièce : « Oh, ma chérie, comme je te comprends ! Les soins qu’un homme donne aux pieds d’une femme, lorsque c’est bien fait, c’est extraordinaire ! Mon petit mari est très doué aussi pour cette activité. Je ne sais pas si tu le sais, ma chérie, mais ton ami est un véritable fétichiste des pieds… »

Lorsque j’entends ces quelques mots, je suis sidéré. Comment Marie a-t-elle pu deviner en moi ce penchant, alors qu’elle ne me connaît que depuis une demi-heure ? Comment ma Princesse va-t-elle réagir à cette révélation ?

 

Paillasson ch’ti, esclave virtuel favori de Maîtresse MAEVA

 

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Jeudi 7 janvier 4 07 /01 /Jan 11:32

UN RÉCIT DE LANLAN, MAÎTRESSE CHINOISE

 

« Quand slavio, mon vieil esclave français, entre dans Ma chambre, Je suis assise au bord de Mon lit, en train de donner au téléphone Mes Instructions pour la journée aux employées subalternes qui sont sous Mon Autorité. J’en profite pour les gronder sévèrement en leur disant en quoi elles M’ont mécontentée par leur peu de zèle au travail et d’empressement à M’obéir et Me satisfaire, par leur manque de discipline et de déférence à Mon Égard, Moi qui suis leur Supérieure dont elles doivent diligemment exécuter les Ordres à la lettre. Aussitôt qu’il voit que Je ne suis pas disponible pour lui, Mon esclave s’agenouille, vient vers Moi en baissant la tête et en se traînant sur les genoux, puis achève de se prosterner, le front sur la moquette. Heureuse de son humilité et de sa soumission, Je me sens pleine d’un bienfaisant Orgueil Féminin. Sans même daigner abaisser Mes Yeux sur lui, je sors un Pied de sa sandalette sur laquelle Je le pose, l’offrant ainsi à la vénération servile de ce vieil homme qui M’appartient et qui montre tant d’ardeur et d’enthousiasme à M’aimer et Me servir. Aussitôt, je discerne sur le dessus de Mon Pied, à travers les mailles de Mon collant, les lèvres chaudes de Mon asservi et son haleine qui réchauffe Ma Peau. J’aime cela, c’est bon, c’est exaltant ! Je Me sens très Dominatrice et J’adore exercer Mon Pouvoir sur ce vieux monsieur encore plus que sur Mes collègues masculins qui, au travail, dépendent de Moi. À ce moment, surprise et joyeuse, je M’aperçois que l’esclave s’empare avec douceur de Mon autre Pied que Je n’ai pas déchaussé et que, le soulevant sans le serrer, avec une grande délicatesse de gestes, il l’élève au-dessus de sa tête et le pose à la base de son crâne, en signe d’abandon total à Ma Volonté, d’absolu renoncement à sa liberté au profit de la Mienne. Et il est vrai que, grâce à son geste, Je me sens formidablement libre et forte. Je ne fais rien pour ôter Mes Pieds à l’adoration de Mon esclave, ni celui sur lequel il écrase humblement ses lèvres, ni celui dont la semelle pèse sur sa nuque. Au contraire, tout en continuant à sermonner Mes inférieures comme si de rien n’était, Je Me vois dans cette sublime position de la Sultane auquel un de Ses nombreux esclaves qui La craignent tant rend son humble hommage sans qu’Elle y prenne garde, tant il Lui est habituel de voir les serviteurs mâles s’incliner servilement devant Elle et se tuer à la tâche pour tenter de La contenter. Frissonnante de Fierté, J’abaisse enfin Mes Regards sur le vieil homme prosterné devant Moi, sous Moi, mais lui ne lève pas la tête, il continue de déposer ses baisers de servitude sur Mon Pied à la Cheville duquel il a réuni ses deux mains, en une douce conque qui la maintient sans la presser...........

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Je souris et dis à Mes subalternes qu’elles se mettent immédiatement au travail et que Je les rappellerai pour vérifier ce qu’elles auront fait pour M’être agréables… En même temps que je raccroche, je change de Pied : celui que baisait passionnément l’esclave réintègre sa sandale et va se poser sur la tête masculine, tandis que l’autre descend et s’offre à son tour aux baisers d’asservissement. Le sentiment de Puissance, de Grandeur et de Noblesse qui naît alors en moi est si fort qu’il Me noue le Ventre, durcit la pointe de Mes Seins auxquels Je porte Mes Mains, met des frissons à Mes Reins, fait se hérisser Ma Chair et sourdre une tiède Rosée au creux de Mon Sexe où Je sens chaleur et picotements de Désir. "C’est bien, esclave, dis-je à Mon fidèle asservi, ta soumission et tes caresses M’ont bien excitée… Ce fut bon, mais il va falloir maintenant que ta vieille langue Me fasse jouir pour de bon !...... » Il ne murmure qu’une phrase brève : "Oh, merci, Maîtresse !" Je lui flatte les cheveux comme si Je caressais la crinière d’un brave cheval qui M’aurait portée sans se plaindre au galop à travers la campagne, puis Je Me laisse mollement aller à la renverse sur le lit. L’esclave n’a qu’à redresser son buste pour avancer sa tête sous Ma jupe retroussée, entre Mes Jambes que J’ai ouvertes. Je Me soulève un instant pour qu’il puisse glisser ses mains à plat, paumes en l’air, sous Ma Croupe. J’aime l’emprisonner ainsi, le tenir à la merci de Mon Plaisir, le savoir rivé à Mon Corps. Sa bouche qui baise avec délicatesse l’intérieur si doux de Mes Cuisses atteint Ma Vulve. Sa langue agile à laquelle Je dois tant de Bonheurs quotidiens, prend soin de lustrer Ma Toison avant de lécher les Lèvres de Mon Sexe, l’incitant à s’entrebâiller. Puis elle pénètre délicieusement Ma Fente et y joue un moment, M’arrachant tressaillements et  soupirs, avant d’aller merveilleusement agacer la base de Mon Clitoris dont l’esclave entreprend bientôt de sucer la sensible excroissance. Alors, Me tordant sur Mon lit, Je jouis en criant et en broyant entre Mes Cuisses tétanisées le visage du vieil homme, tandis que Je sens Mon nectar de Femme Supérieure  couler d’abondance dans sa gorge-réceptacle, tant accueillante…. ….»


Chien slavio, esclave expérimenté et réel

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mercredi 6 janvier 3 06 /01 /Jan 10:19


J'ai le plaisir de publier la suite de cette histoire passionnante.... certaines photos sont d'un format ridicule.....merci à over-bug, 2010 ressemble à 2009, il n'y a pas de doute!

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FÉTICHISME ET SOUMISSION, XVII

 

Ma Princesse, Lucie et moi avançons dans le couloir. Nous sommes tous les trois assez effrayés par ce qui nous attend dans le salon. Quand nous y arrivons, la maman de ma Domina, sur un ton toujours très autoritaire, nous ordonne de nous asseoir autour de la table. Nous nous exécutons. C’est la mère de ma Princesse qui prend la parole en premier : « Nous devons vous parler de votre comportement de cette après-midi et de ces dernières semaines. Lorsqu’un homme est amoureux, lorsqu’il entoure sa Dulcinée de prévenances, c’est mignon. Un homme qui prend soin des pieds de la femme qu’il aime, c’est très honorable. Mais cette attitude où l’homme fait tout son possible pour satisfaire son amie ne doit pas se transformer en esclavage. Malheureusement, ma fille c’est ce qui est en train d’arriver. Voilà plusieurs mois que tu as rencontré ce garçon formidable. Tu sais qu’il est fou- amoureux de toi et qu’il ferait n’importe quoi pour avoir une chance avec toi. Il est aux petits soins pour toi, il te dorlote. Au départ, lorsque je le voyais prendre soin de tes pieds, j’étais vraiment émue, je trouvais cela formidable. Mais je constate que, plus les jours passent, plus tu deviens dure et méchante avec lui. Je commence à ne plus du tout apprécier l’attitude et les paroles que tu as envers lui. Cette après-midi, ce fut la goutte d’eau qui a fait déborder le vase !!! Ma sœur et moi avons été choquées. »

Sa sœur intervient alors en s’adressant à sa fille, Lucie : « Comment peux-tu te faire masser les pieds par un garçon que tu viens à peine de rencontrer ?! Cela te plaît de l’humilier ? Je ne comprends pas que ta cousine et toi puissiez agir de la sorte. » Lucie ne répond pas. Moi, j’écoute toute cette conversation sans dire un mot, je n’ai qu’une envie : me sauver !!!

La mère de ma Maîtresse reprend la parole. Elle s’adresse à sa fille : « Je vais être franche avec toi, ma petite. Tous les petits amis que tu nous as ramenés jusqu’à maintenant étaient peut-être tous mignons, mais ils n’avaient que cela !!! Là, tu as la chance d’avoir un garçon très gentil, avenant, romantique. Il t’offre des roses, des cadeaux, il t’achète tout ce que tu veux. Il est aux petits soins pour toi. Je ne comprends pas que tu ne voies pas tout cela, mais pour moi, c’est un garçon génial et franchement, crois-moi, tu n’en trouveras pas deux comme lui. Alors, au lieu de le traiter comme un esclave, tu devrais peut-être réfléchir à lui donner une chance… »

Il y a encore cinq minutes, j’avais envie de me sauver, mais j’avoue que je suis très agréablement surpris par les propos de ma peut-être future « belle-mère ». Je sais qu’elle m’apprécie mais je suis très heureux d’entendre tous ces compliments à mon égard, cela me fait du bien. Ma Princesse répond : « Là, maman, tu te mêles de mes affaires et vous faites toutes les deux des histoires pour rien. Il a massé les pieds de Lucie juste pour soulager ses maux. Il n’ y a rien d’extraordinaire là-dedans, c’est moi qui le lui ai demandé. » Puis la sœur de ma belle mère s’adresse à moi : « Pourquoi te laisses-tu traiter ainsi ? Tu aimes être humilié ? » À ce moment-là, je me sens devenir rouge comme une tomate, je suis horriblement gêné. Je ne sais pas trop quoi répondre, puis je dis simplement : « J’aime ma Princesse de tout mon cœur, je ferais tout pour elle et je n’ai pas le sentiment d’être humilié, je suis simplement amoureux. » Ma Domina se met alors à me caresser la jambe sous la table avec son pied, tout en me faisant un léger sourire. Elle est visiblement contente et satisfaite de ma réponse. Puis sa tante parle à nouveau, s’adressant à sa sœur : « Tu fais ce que tu veux avec ta fille, mais moi je ne veux pas que la mienne prenne cette voie-là. Cela me rappelle trop notre sœur Marie et je ne veux pas qu’elle suive ses traces. Nous allons rentrer chez nous et Lucie évitera de revenir tout de suite !!! » Je me sens intrigué par la réflexion de la tante. Lucie et ma Princesse elles aussi. Toutes les deux en même temps posent la même question : « C’est quoi, cette histoire avec notre tante Marie ? » Ma belle-mère explique : « Vous ne connaissez pas bien votre tante Marie car il y a des années que nous ne la voyons plus. Vous ne vous êtes jamais posé de questions sur elle ? Par exemple, sur le fait qu’elle habite une magnifique et très grande maison alors que nous venons d’une famille très pauvre et que nous devons nous battre pour nous en sortir ?… » Ma Princesse intervient : « Oui, et alors ? Elle a certainement rencontré un homme très riche.  – Oui, c’est cela, répond sa mère. ‑ Eh bien, qu’est-ce que tu vois de choquant là-dedans ! – Rien, mais c’est la manière dont elle se comporte qui est  choquante. Notre sœur Marie, dès son adolescence, s’est mise à se comporter comme toi, ma chère fille. Elle prenait les garçons pour ses larbins, elle les traitait comme des esclaves. Marie est très belle, beaucoup de garçons étaient fous d’elle, elle en abusait encore et encore !!! Très souvent, lorsque nous rentrions à la maison, nous la découvrions avec un homme à genoux à  ses pieds.
 
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Tout comme toi, tu le fais aujourd’hui avec ce pauvre garçon !!! Ensuite, elle a rencontré un chef d’entreprise qui gagnait très bien sa vie. Comme elle l’a toujours fait, elle a rendu cet homme fou amoureux de sa personne, elle le menait par le bout du nez… Puis ils se sont mariés. Par la suite, nous avons appris qu’elle l’avait obligé à signer un contrat de mariage qui stipule qu’en cas de divorce, elle garderait la maison et partirait avec une petite fortune. Pour résumer, soit il lui obéit, soit elle le ruine. Le pire ce n’est pas cela, c’est la manière dont elle le traite, c’est un véritable esclave. Ce pauvre homme travaille toute la journée et elle, elle ne fait rien, à part s’occuper d’elle-même et courir les magasins. Lorsqu’il rentre fatigué le soir, il doit encore tout faire à la maison. Un jour, nous sommes passées les voir à l’improviste. À cause de notre visite, il n’a pas eu le temps de finir tout le ménage. Je n’ai jamais vu quelqu’un avoir autant peur. Il tremblait en attendant le retour de sa femme. Il craignait d’être corrigé pour ne pas avoir achevé son travail domestique. Car, en plus, elle le battait. Nous avons été si choquées ce soir-là que, depuis, nous avons coupé les ponts avec notre sœur Marie. Voilà pourquoi aujourd’hui, ma sœur et moi, sommes si contrariées par votre comportement. Nous ne voulons pas que vous deveniez toutes les deux comme Marie, ce n’est pas comme cela que nous vous avons éduquées !!! »

Nous restons tous les trois stupéfaits par ce que nous venons d’entendre !!! La tante de ma Domina se lève et dit à sa fille : « Maintenant, nous y allons. » Nous nous disons au revoir. Quand je salue Lucie, je ne peux m’empêcher de repenser à ses jolis pieds dont j’ai été tellement ravi de prendre soin. Vu le discours que je viens d’entendre, je sais que malheureusement cela n’est pas près de se reproduire !!! Ma belle-mère répète à sa fille : « Réfléchis bien à tout ce que nous t’avons dit. » Ma Princesse lui rétorque : « Je ne vais pas sortir avec lui juste pour te faire plaisir… Nous pouvons y aller maintenant ? » Ma belle-mère nous laisse partir. Nous allons dans la chambre de ma Maîtresse où je me remets à genoux à ses pieds pour la chausser de ses superbes bottines. Voilà : je viens de reprendre place à ses pieds, c’est ma position naturelle.

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Quand ma Domina est chaussée, nous disons au revoir à sa mère et nous nous mettons en route pour aller chez moi.

Une fois arrivés, comme d’habitude, je m’agenouille de nouveau pour déchausser ma Princesse, avant de monter dans ma chambre. Le sermon que nous ont fait la mère de ma Domina ainsi que sa sœur n’a pour le moment rien changé. Je suis toujours l’esclave de ma Princesse et ma place est à ses divins pieds. Nous reprenons nos petites habitudes. De toute manière, je n’ai pas envie que cela change, je suis très heureux d’être soumis à ma Maîtresse. Comme souvent, elle s’installe sur mon lit. Je place un coussin dans son dos, je lui allume la télévision. Je lui donne la télécommande dont ma Princesse est devenue la propriétaire. Je n’ai pas besoin de vous préciser que c’est elle qui en toutes circonstances choisit les programmes télé et que, bien entendu, je n’ai rien à dire. J’apporte aussi à ma Princesse un plateau avec un verre de Coca et des chips. Mes parents ne sont pas là, nous sommes donc tranquilles.

En moins d’une semaine, j’ai eu droit à un sermon de la part de mes parents et un autre de ceux de ma Domina. Une chose est sûre, la relation que j’entretiens avec ma Maîtresse ne laisse personne indifférent. Au contraire, tout le monde commence à constater que j’occupe de plus en plus une place d’esclave… Une fois que j’ai apporté son plateau à ma Princesse, elle m’indique de son index autoritaire que je dois reprendre ma place au bout de ses merveilleux pieds. Elle m’ordonne  : « Retire-moi mes chaussettes, tu vas encore me masser mes jolis petits pieds. Car lorsque nous étions ensemble, tu t’es plus occupé de ceux de ma cousine que des miens… Alors rattrape-toi maintenant !!! » Je m’exécute, bien évidemment. Je retire ses chaussettes, je prends le tube de crème que j’ai toujours à disposition dans ma chambre et je recommence à lui masser ses merveilleux pieds dont je suis follement amoureux. Je m’applique à mon massage, avec toujours autant de plaisir et de dévouement. Soudain, ma Princesse m’interpelle : « J’ai été très déçue par ton comportement de tout à l’heure ! » Je suis surpris par cette réflexion que je ne comprends pas bien et je lui demandé : « Qu’est-ce que j’ai fait, qui t’a déplu à ce point ? » Ma Domina me répond : « Si tu crois que je n’ai pas remarqué que tu bandais en massant les pieds de Lucie !... Même si ta queue est ridicule, je le vois tout de suite sous ta braguette lorsque tu bandes. Tu vois, cela confirme ce que je pensais des mecs, vous êtes tous pareils, on ne peut pas vous faire confiance. Tu me tiens des beaux discours, tu me fais des déclarations d’amour enflammées, tu me promets un amour éternel. Tu dis que tu n’aimes que moi, que tu ne vois que moi et pourtant tu prends bien du plaisir à masser les pieds de ma propre cousine !... Moi, je t’ai ordonné cela pour t’humilier, pour me venger de ce que tu m’as fait dans la douche… et aussi pour faire plaisir à Lucie. Mais j’ai vraiment été écœurée lorsque j’ai vu que tu y prenais autant de plaisir. En fait, t’es comme tous les autres mecs, t’es incapable de rester fidèle !!! » Je ne sais pas quoi répondre, je ne m’attendais absolument pas à cette remarque. Je tiens les deux magnifiques pieds de ma Princesse dans mes mains. Leurs ongles sont vernis d’un superbe rouge vif. Comme chaque fois que je masse les pieds de ma Domina, j’ai un irrésistible désir de les lui baiser, de les lui lécher.

Au fil des semaines et des mois, je passe de plus en plus de temps aux pieds de ma Maîtresse. J’ai de plus en plus envie de les vénérer avec ma bouche. En ce moment même, ce désir est encore plus fort que d’habitude. Je suis à genoux, tenant les pieds de ma Princesse dans mes mains. Ma Domina, assise sur le lit, me regarde et attend ma réponse. Je ne sais que faire… et là, je me lance sans penser aux conséquences. Je cède au désir. J’approche doucement mon visage du pied droit, ma bouche entre en contact avec sa peau si douce que je baise. Je commence par couvrir tout le dessus du pied de tout petits baisers. Je continue à promener mes lèvres partout de la cheville aux orteils sans oublier la plante. Je veux ainsi montrer, avec ma bouche, mon adoration pour ces sublimes pieds ! (enfin ! Maeva…) Puis, je cesse de faire de petits bisous, le contact de ma bouche sur le pied se fait de plus en plus insistant. Je baise avec passion chaque millimètre carré de peau tendre. Ma bouche, ma langue sont constamment en contact avec la chair précieuse. Mes caresses gardent toute leur intensité, je tiens à procurer à ma Domina une sensation de bien-être absolu, de détente totale. Maintenant, j’approche doucement ma bouche de ses superbes orteils, je les baise avec la même passion. Je les suce un par un. Je lèche chaque millimètre de peau, je passe ma langue entre les si jolis doigts de pied.

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Lorsque j’ai commencé à honorer ainsi les pieds de ma Domina, j’ai été très étonné qu’elle ne réagisse pas violemment. Je l’avoue : je pensais vraiment qu’elle allait me donner un violent coup de talon au visage. Mais au contraire, lorsque j’ai commencé à déposer les premiers baisers sur ses pieds de reine, j’ai senti qu’elle se détendait, qu’elle se relâchait. Ma Princesse ne m’a rien dit, elle s’est simplement laissé faire.

Je continue donc de vénérer son merveilleux pied droit. Après m’être occupé du dessus et des orteils, j’ose me baisser, afin de me retrouver sous la plante de ma Domina que je baise avec douceur. Je sens le corps féminin frémir sous ma caresse. J’entends de petits soupirs de contentement, peut-être même de jouissance. Je finis par honorer le talon, que je baise lui aussi avec un amour fou et une dévotion totale. Au départ, j’étais stressé, tant j’avais peur de la réaction de ma Maîtresse. Mais au bout de quelques minutes, l’excitation a complètement pris le dessus et je ne pense plus qu’à une chose : vénérer et honorer de mon mieux ses magnifiques pieds. À ce moment-là, je ne vis plus que pour cet instant magique. Imaginez, j’ai 19 ans ! Cela fait des années que je rêve de baiser et de lécher les pieds d’une femme et voilà que mon rêve est en train de devenir réalité !… Ce moment est magique, incroyable. Je me sens l’esprit complètement libre, je suis enfin à ma place, je suis heureux et comblé.

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Au moment où je remonte doucement le long de la cheville droite de ma Princesse, elle m’arrête en me disant des paroles que je n’oublierai jamais : « Maintenant, je veux que tu fasses l’amour avec ta bouche à mon pied gauche, comme tu viens de le faire à mon pied droit. C’est trop bon !!! » Je suis stupéfait par l’expression que ma Princesse a utilisée, mais bien entendu je me précipite sur son pied gauche. Et je lui fais l’amour avec ma bouche, comme à l’autre.

Depuis ma rencontre avec ma Princesse, je n’ai qu’une envie en tête, qu’un désir : être complètement prosterné devant ses merveilleux pieds et lui prouver ainsi mon amour et mon envie de me soumettre à sa volonté. « Faire l'amour » à ses pieds avec ma bouche : cette expression représente parfaitement ce que je ressens. Ce que je veux dire, c’est que lorsque je me suis imaginé en train de baiser les pieds d’une femme (et Dieu sait que je l’ai souvent fait !), je me suis toujours dit qu’il serait hors de question de me contenter d’y poser quelques bisous. Non ! Je tenais à prouver mon adoration pour ses pieds. Je voulais qu’elle le ressente dans l'intensité et la manière de déposer mes baisers sur sa peau.

C’est pour cela que, maintenant que j’ai commencé à baiser les pieds de ma Maîtresse, je tiens vraiment à lui montrer toute mon adoration  pour eux et pour elle. Je sais que je n’aurai peut-être pas une autre chance et je veux absolument que ce moment de complicité extraordinaire entre ma Princesse et moi soit unique. Jusqu’ici, lorsque j’imaginais cette scène, j' avais parfois l'impression d'être bizarre ou en tout cas que l'on pourrait me considérer comme tel. Mais en ce moment, je sais que cela n’a rien de bizarre : je suis enfin en accord total avec moi-même. Avant de découvrir (peut-être) le bonheur de faire l’amour à une femme, je découvre celui de « faire l'amour » avec ma bouche à ses merveilleux pieds. Et sincèrement, je suis heureux, très heureux, d’avoir découvert ce plaisir-là en premier. Peut-être ne découvrirai-je jamais celui de faire l’amour à une femme. Je ne sais même pas si je serai doué pour cela avec ma petite queue… Mais en tout cas, je suis comblé de découvrir la joie de vénérer les pieds de ma Princesse. Je vois bien que je suis assez doué pour cela et je ne demande rien de plus. Être aux pieds d’une femme est pour moi le plus grand des bonheurs. Je ne demande que cela, je suis fait, je suis né pour cela : vivre aux pieds d’une femme, aux pieds de ma Princesse…

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Ce moment dure une heure environ, pendant laquelle ma Princesse se détend et se relaxe. Ses légers soupirs, les petits cris qu’elle pousse sous  mes baisers, me rendent encore plus fou d’excitation. J’ai l’impression que mon sexe va exploser dans mon boxer. Je suis heureux car j’ai évité la question de ma Princesse et surtout j’ai enfin réalisé mon plus grand rêve. Mais tout a une fin, et lorsque je vais avoir fini d’honorer les pieds de ma Maîtresse, comment va-t-elle réagir ?

J’aimerais avoir vos réponses à cette question.


Paillasson ch’ti, soumis virtuel favori de
Maîtresse MAEVA

Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : Soumis & Soumises
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Jeudi 24 décembre 4 24 /12 /Déc 08:44

J'ai le plaisir de poursuivre la publication de l'histoire de slavio, ça tombe un pic, cet épisode un peu "trash", au milieu des "ron-rons" débiles de Noel, entre la dinde aux hormones et la bûche dégueu dégoulinant de glucose tueur.... joyeux Noel!
PS: Vous remarquerez que j'ai réussi à insérer quelques photos....avec moultes "combines" et détournement du système .... je m'adapte!

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MA FEMME ME PRÊTE À SA SŒUR

Chapitre IX

 

Possédé par une Femme…

 

Maintenant, ma vie d’esclave auprès de ma jolie Belle-Sœur a pris sa vitesse de croisière. À l’exception de la cuisine, dont elle se charge, je fais tout sous son intraitable supervision. Tandis qu’elle se repose ou s’amuse tant et plus, je ne dispose guère que de six heures de sommeil, mais je m’y suis habitué. Larbin, chauffeur, homme de ménage, plongeur, simple pièce de mobilier (repose-pieds et siège improvisé surtout), je dois aussi saisir des textes de lettres, répondre au courrier et au téléphone, envoyer des messages, courir à la poste, faire les commissions, faciliter en tout la vie de ma Maîtresse, veiller à son confort, à son bien-être, à son repos, à ses plaisirs, l’aider à recevoir ses amies et les servir toutes à leur guise. Je n’ai jamais été exploité à ce point. La vie aux pieds de mon Épouse me semble maintenant une sinécure. Mais j’aime ces chaînes volontairement endurées, cette fatigue qui m’écrase et qui me rive à la volonté des Femmes mais que je parviens à transcender.

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J’aime cette existence de totale soumission à la Femme et de renoncement à toute satisfaction autre que celle d’être le meilleur esclave possible pour cette merveilleuse Dame que je commence à aimer presque autant que sa Sœur. Je sens que je suis fait pour cette vie, autant que ma Belle-Sœur (ainsi que nombre de Femmes qui l’ignorent encore) a la Domination dans le sang.

Et puis, il y a les plaisirs physiques, dont ma très sensuelle Belle-Sœur, qui a compris que ma Femme a fait de moi un expert en caresses et qu’elle peut m’utiliser sans crainte, se montre de plus en plus gourmande. Mes doigts, mes lèvres, ma langue, tout lui est bon. Tout la fait jouir. Je la fais jouir aussi avec des godes, avec des bananes même, avec des petits concombres, à sa fantaisie.

Enfin, je la fais jouir avec ma modeste queue, dont elle apprécie la fermeté durable (presque constante même, tant je vis dans un désir frustré permanent). Elle m’en dit du bien, tout en la flattant distraitement après avoir joui de mes préliminaires, et avant de me permettre de la pénétrer pour la mener à un nouvel orgasme. Elle se montre même plus loquace que jamais.

« Tu vois, esclave, je la trouvais insuffisante pour moi, ta petite chose, mais j’avais tort. Ce n’est pas un morceau de reine, c’est vrai, mais elle fait bien son boulot. Elle ne m’a jamais trahie quand j’en avais besoin. Et puis, c’est si commode pour moi d’en avoir une sous la main, prête à me servir dès que l’envie m’en vient ! Car jouir en me faisant caresser, c’est aussi bon que jouir en baisant, et inversement, mais c’est différent. Ma jouissance n’est pas la même. Une queue bien raide, c’est autre chose qu’une langue. Je ne dis pas que c’est forcément meilleur, mais c’est autre chose. Et moi, comme toute Femme je pense, j’aime varier mes sensations. J’en ai même besoin. C’est pour ça que j’aime aussi te prendre à fond. J’aime te sentir t’agiter en moi, travaillant de toutes tes forces à me satisfaire, tout en sachant que tu n’auras sans doute droit à rien d’autre… sauf si je suis bien lunée et te permets de te soulager sur mes chevilles, mes chaussons ou mes chaussures, pour me les lécher ensuite… »

Et moi, d’entendre cela, même si j’ai le ventre transformé en caillou à force de me retenir, je fonds d’amour et de vénération. J’ai plus envie encore de me dévouer entièrement, de faire toujours mieux et davantage pour la joie de ma Propriétaire. Alors, quand ma Belle-Sœur me prend en elle, quand je sens son vagin avaler, dévorer, bouffer mon petit engin aussi raide qu’une matraque de CRS, je baigne moi aussi dans la joie et je me dis : « Jamais un homme libre ne saura aimer une Femme comme un esclave adore la Maîtresse qui se joue de lui, de ses  sensations et de ses sentiments ! »

Alors, m’oubliant tout à fait, ne vivant et ne vibrant plus que pour la Femme que je sers, dont j’appelle la jouissance de toute mon énergie virile, je réussis toujours à donner à ma Belle-Sœur un bon orgasme qui souvent même est fulgurant. Elle dit : « C’est dingue, mais je crois que je jouis plus fort avec toi qu’avec mes amants ou avec des filles, simplement parce que je sais que tu es totalement à moi, que je recevrai tout de toi, et que toi tu n’auras rien de moi !… »

Puis, quand elle a bien joui, quand elle ne réclame plus de plaisir pour l’instant, ma Belle-Sœur se fait essuyer par ma langue, par mes cheveux. Ma salive la lave, lui assouplit et lui nourrit la peau. Je lui apporte à boire et elle dit d’une voix un peu éteinte : « Tu m’as crevée. Je n’en peux plus. Je vais dormir un peu. Et toi ? – Moi, il me reste pas mal de travail, Maîtresse. – C’est bien, vas-y… »

*

J’ai maintes fois remarqué qu’après qu’une Femme a joui à sa suffisance, elle aime à se reposer un bon moment... surtout quand son esclave, plus épuisé encore, doit travailler pour elle. Mon Épouse m’a souvent dit que ce repos lui-même lui est un plaisir de plus, quand moi-même ou un autre de ses partenaires sexuels avons réussi à la mener jusqu’à sa volupté.

« Vous, les hommes que nous utilisons, vous ne pouvez pas comprendre cela car vous n’êtes pas faits pour recevoir le plaisir mais pour essayer de nous le donner. Souvent, quand un mâle a beaucoup donné de plaisir à une Femme, ce qui n’arrive malheureusement pas aussi souvent que vous le prétendez, et après son spasme bref qui s’éteint sans suites, il s’endort de fatigue. Et bonjour ensuite pour le réanimer, alors que nous ne sommes pas encore rassasiées. Même si on ne lui a pas permis d’éjaculer, il dit qu’il se sent vidé et qu’il a besoin de récupérer pour nous honorer de nouveau. Et souvent hélas, pauvres de nous, ce n’est qu’une promesse qu’il n’est pas fichu de tenir, ce qui explique que nous soyons si nombreuses à nous tourner vers les Femmes ou à avoir besoin de plusieurs mâles pour en obtenir notre pleine satisfaction sexuelle… Chez nous autres Femmes, c’est autre chose. Après l’orgasme, nous sentons encore le plaisir se répandre partout dans notre chair. Il est là, il irradie dans notre corps, nous baignons dedans. Nous avons encore les tétons tout durs, notre chatte est encore toute chaude et elle suinte encore sa rosée, notre clitoris reste si sensible que, souvent, il ne supporte plus le moindre effleurement. Si nous nous touchons du plat de la main ou du bout des doigts le ventre ou l’intérieur des cuisses, ou les fesses, ou leur pli, ou nos jambes, nous tressaillons de bien-être. Alors oui, une douce torpeur s’empare de notre être tout entier et, en soupirant d’aise nous nous mettons à sommeiller, mais sans que pour autant disparaissent de nous les impressions sensuelles. Nous les ressentons, nous en jouissons dans notre sommeil même… Mais je perds mon temps avec toi. Vous êtes tellement rudimentaires de tout point de vue que je ne sais pas bien comment t’expliquer ça. Et d’ailleurs, tu n’es pas équipé intellectuellement ni physiquement pour le comprendre. Alors, contente-toi de croire ce que je t’en dis ! »

*

C’est tout cela que je me répète et me remémore alors que les deux amantes, après que je leur ai apporté un grand verre de jus d’oranges et que je les ai lavées de ma bouche, se sont assoupies, blotties dans les bras l’une de l’autre, chevelures épandues autour de leurs jolies têtes, seins dardés et encore frémissants dans le sommeil, indifférentes à l’excitation que peuvent faire naître en moi leurs deux lascives nudités. Et pour le bienheureux esclave que je suis, c’est un bien beau et bien touchant spectacle à contempler dans cette chambre emplie de la discrète senteur de leur union,  mêlée aux émanations de leurs parfums subtils.

Je reste sur mes genoux endoloris à admirer et aimer mes deux Maîtresses.

*

Dès que la jolie Chinoise émerge de son somme, elle se penche sur ma Belle-Sœur et, des lèvres et de la langue, là fait se réveiller à son tour. Elles ont faim ! Elles me réclament une pomme, un café et un verre d’eau. Je cours à la cuisine. « En même temps, apporte-moi mon sac à main », me crie la masseuse, avant de reprendre la bouche de son amante.

Agenouillé près du lit, du côté de ma Belle-Sœur, je pèle les pommes, en ôte le trognon et les pépins, les découpe en quartiers, les leur sers sur des soucoupes. Elles mangent, font glisser les morceaux de fruits avec de l’eau, me réclament le café. Je leurs tends les tasses. Ma Belle-Sœur, par habitude, s’essuie les doigts dans mes cheveux que je dois laver tous les soirs. Voyant cela, la Chinoise m’appelle de son côté, me fait renverser la tête et ouvrir ma bouche. Tout en me triturant longuement des mèches, qu’elle n’hésite pas à tirailler pour s’amuser de mes grimaces, elle laisse filer dans ma gorge de longs filets de bave chaude et gluante dont je me délecte comme d’un miel. Pour finir, elle m’y expédie un gros crachat et je lui murmure : « Merci, Madame ! ».

Comme Dominatrice, je crois qu’elle serait encore pire que ma Belle-Sœur !

« J’ai une surprise pour toi, me dit-elle. Je crois qu’elle va plaire à ta Maîtresse et à moi aussi. Pour toi, je ne sais pas encore. Passe-moi vite mon sac. » Elle l’ouvre et en sort un objet encore très rare à l’époque et difficile à se procurer en France (elle dira plus tard l’avoir fait venir des States par des amis), un godemiché à ceinture ! Je connais la chose par ouï-dire et par des photos cochonnes, mais c’est la première fois que j’en vois une, en vrai. De la façon dont la Chinoise tient l’objet, je ne le vois que partiellement. D’ailleurs, j’ose à peine le regarder, tant je le trouve impressionnant de taille, menaçant.

La Chinoise se lève et m’ordonne de l’aider à ceindre l’engin qu’elle maintient à deux mains devant son sexe. Je tombe à genoux derrière elle pour lui entourer la taille de la ceinture au milieu de laquelle passe la boucle d’une sangle qui se coule entre ses cuisses, se séparant en deux au-dessus de son sexe et de son anus et qui, par-devant se fixe à la base du phallus artificiel pour le maintenir. Une autre sangle, partant du même point, entoure les hanches, assurant une grande fixité à l’ensemble. La croupe de la masseuse, au bout de mon nez, d’une senteur si aphrodisiaque et d’un grain de peau si fin que celle-ci en devient comme transparente, est si tentante que je manque de peu y déposer des baisers, mais je me souviens à temps de la correction que j’ai subie l’autre jour.

Pour l’instant, je crois encore que la Chinoise veut posséder ma Belle-Sœur, mais je suis vite détrompé, quand elle me dit sans préambule : « Mon petit vieux, tu vas sagement t’allonger entre les jambes de ta Maîtresse pour lui brouter le minou comme tu sais le faire, et moi, pendant ce temps, je vais… eh bien, je vais t’enculer ! » Ma Belle-Sœur n’a pas l’air surprise, ce qui me donne à penser que toutes deux se sont mises d’accord, sur mon dos, si l’on peut dire. Du coup, je regarde l’engin qui maintenant se balance de façon agressive sous le ventre de la Chinoise.

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Son diamètre et sa longueur m’avaient bien étonné, mais je m’étais dit que certaines Femmes, et probablement ma Belle-Sœur qui ne parle jamais de mon sexe sans le qualifier de « petit », voire de « ridicule », apprécient les braquemarts de fort calibre. Je m’étais dit aussi que le vagin d’une Femme, qui peut se serrer sur une verge de petite taille, est d’un autre côté incroyablement extensible (puisqu’il permet la naissance !) et que celui de ma Maîtresse avalerait sans problème cette énorme fausse queue.

Quand j’apprends que celle-ci est en fait destinée à me sodomiser, peu s’en faut que je sois saisi de panique. Non : je suis saisi de panique mais je réussis à ne pas trop le montrer. D’ailleurs, la Chinoise ne m’en laisse guère le temps. Tandis que ma Belle-Sœur se couche comme elle était au début, cuisses ouvertes, attendant ma bouche au plus intime d’elle-même, la masseuse, tenant d’une main sa queue en latex souple-dur, très réaliste, avec gland découvert et veines noueuses le long de la tige, s’approche de moi qui suis toujours à genoux et la présente devant mes lèvres.

« Tu vas bien la sucer et la lécher, et surtout bien la mouiller, afin qu’elle entre sans problème dans ton cul, malgré sa taille… » Appuyant sur mes lèvres et me les écartant sous sa pression, le gland force déjà l’entrée de ma bouche que j’ouvre aussi large que je peux. Puis, lentement mais avec puissance et obstination, la Chinoise fait avancer la tige, la retire, garde un moment le bourrelet à l’orée de mes lèvres, me laissant le temps de titiller le faux gland du bout de la langue, puis s’enfonce un peu plus loin, plus ou moins brutalement, revient en arrière, met la queue artificielle de biais contre l’intérieur de mes joues, la pousse contre ma langue qu’elle refoule. Bref, elle s’arrange pour posséder ma bouche de toutes les manières.

Je bave comme un escargot, mais la masseuse me dit que c’est bien, que c’est fait pour ça. Et puis, sans crier gare, une main aux hanches, l’autre serrant ma nuque et me tirant à elle, elle donne un brutal coup de reins qui propulse le gode jusqu’au fond de ma gorge qu’il percute. Cela m’arrache un haut-le-cœur mais, inflexible, ma tourmenteuse maintient le priape en place, à m’en étouffer, à m’en faire pleurer. Je tousse, je pousse des grognements involontaires et bave de plus belle. « C’est parfait, dit ma tortionnaire en riant, tu es un garçon bien facile et bien docile. Une Femme peut t’utiliser comme elle veut. Mais je crois que ça ira. Tu me l’as assez lubrifié. »

Prenant tout son temps, la Chinoise retire alors de ma gorge l’engin tout luisant. J’en suis si soulagé que je lui en bredouille un « Merci, Madame » aussi respectueux que sincère qui semble la ravir et la fait de nouveau sourire. Elle me demande alors si j’ai déjà été sodomisé. Je lui dis que oui, il y a longtemps, à seize ans, par quatre copains de dix-huit ans et plus qui manquaient de filles alors que nous campions en bande, mais je précise aussitôt que leurs sexes étaient loin de valoir celui-ci ! « Tu n’as jamais été possédé par des vrais hommes bien montés, ni avec des godes comme celui-ci ? » poursuit-elle. Pour les hommes, je lui réponds que non, mais que je me suis introduit moi-même à divers moment un goulot de bouteille, un manche de brosse en plastique et un pilon en olivier, mais toutes choses de petit diamètre. Elle rit et ma Belle-Sœur aussi. « Décidément, tu n’es rien qu’un sale petit vicieux ! » conclut ma Maîtresse.

Voyant qu’elles sont d’humeur gaie et qu’elles n’ont pas l’air méchantes, je m’enhardis même à dire : « Excusez-moi, Madame, je ne voudrais pas vous contrarier mais je ne crois pas que ça… que ça puisse entrer. C’est vraiment trop long et surtout trop gros… et je suis très serré. – Mais si, tu vas voir. On va y arriver, ne t’inquiète pas. Il ne faut surtout pas te raidir, résister, mais te laisser aller, t’ouvrir, te ramollir, m’accueillir, me laisser faire ce que je veux, et tu verras, tout ira bien. Tu ne voudrais tout de même pas nous décevoir toutes les deux, alors que tout ça nous amuse beaucoup. Plutôt qu’à la douleur que tu ressentiras forcément, mais peut-être pas aussi forte que ce que tu crains, pense à la joie que tu vas nous donner, au plaisir que nous allons tirer de toi, à la fierté que nous allons ressentir. Offre-nous ta souffrance, si souffrance il y a, comme tu nous offres ton obéissance… Mais ça suffit ! Assez discuté ! Allonge-toi entre les jambes de ta Maîtresse, que je lubrifie le « petit ». »

Avec beaucoup d’adresse, la Chinoise étale sur mon anus et tout autour un gel lubrifiant, lui aussi tiré de son sac et qui possède à ce qu’il me semble un certain effet décontractant et anesthésiant. La tête de côté, je la vois ensuite enfiler un gant de latex à sa main droite et déposer une noix de ce produit sur le bout de ses doigts. Bientôt, son index, suivi de peu du médius et enfin de l’annulaire viennent m’élargir la pastille. Je suis étonné et un peu rassuré de la facilité avec laquelle la Chinoise a fait pénétrer ses phalanges en moi, mais l’angoisse est toujours là : l’engin qui va me pénétrer les entrailles est bien plus gros que trois doigts de Femme, assez déliés, même réunis. Ne va-t-il pas me déchirer, me faire honteusement hurler ?

Apparemment satisfaite, la masseuse arrache ses doigts de mon anus, enlève son gant, puis dispose un gros coussin au bord du lit sur lequel elle me fait plaquer mon ventre, de telle sorte que mon derrière soit soulevé. « Ma chérie, tu veux bien faire glisser un peu ton joli cul vers nous ? suggère-t-elle à ma Belle-Sœur. Amène ta fourche jusqu’à la bouche de l’esclave, qu’il puisse atteindre facilement ta chatte ou ton derrière, ainsi qu’il te plaira... »

Quand j’ai le nez dans la broussaille parfumée et moite de ma Maîtresse, je commence à la lécher et à la sucer ainsi que je le fais d’habitude, avec tact et amour, avec tendresse, ou fougue selon les moments et les réactions de ma Belle-Sœur qui me conseille : « Concentre-toi sur ce que tu me fais, sur le plaisir que tu veux me donner, pense à mon bonheur, rien qu’à mon bonheur, et tu verras, ça entrera mieux par-derrière… »

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Pourtant, quand je sens les mains de la Chinoise se poser sur mes hanches, quand la tête ballottante du gode s’immisce entre mes cuisses, puis remonte entre mes fesses et se dirige peu à peu vers mon anus, conduit vers son objectif par les mouvements de bassin de la masseuse dont le ventre effleure mon cul, je ne peux m’empêcher de paniquer.

Me surprenant, la Chinoise me claque les fesses, plusieurs fois. « Tout doux, tout doux. Ne te raidis pas. Tu es tout contracté. Tu vas voir, une fois le gland entré dans ton cul,  ça va être de la rigolade. Tu vas tout prendre comme un grand, jusqu’au bout, jusqu’à sentir mon ventre contre tes petites couilles dodues… »

Et ma Belle-Sœur, la respiration un peu courte déjà : « Hé, machin, n’en profite pas pour ralentir tes caresses. Je ne sens plus bien ta langue. Tu n’as pas intérêt à me louper, concentre-toi sur Mon plaisir et rien d’autre ! » Elles sont terribles toutes les deux !

Et voici que l’ogive du gode appuie de plus en plus fort sur mon petit trou. D’un énorme effort de volonté, je me force à me distendre, je relâche tous les muscles de mon corps, je me fais tout mou. Et le miracle annoncé a lieu : je viens de sentir le bourrelet du gland franchir mon entrée. Pendant que ma Belle-Sœur se frotte la chatte contre ma bouche, m’incitant ainsi à la lécher plus fort, la Chinoise reste un moment immobile, me laissant le temps de me dilater sur la grosse tige qui ne me possède encore que de quelques centimètres. Elle me griffe le dos en cadence, me frappe en cadence les épaules, les côtes, le cul…

« Tu es dedans, ma chérie ? – Oui, ce fut moins difficile que je ne le pensais. Il s’est bien détendu. J’ai pris comme ça pas mal de mecs qui se sont montrés bien plus durs que lui à la détente. C’est une perle, cet esclave. Drôlement malléable. On en fait exactement ce qu’on veut. Et toi, ma biche, il te suce bien au moins ? – Bien obligé ! Tu crois que je le laisserais me manquer...  de respect ? » Elles poussent un petit rire cristallin, plein de contentement.

Maintenant, la Chinoise passe ses mains sous moi. Elle les fixe durement à la jointure de mes cuisses. Les choses sérieuses commencent, on dirait. Appréhendant ce qui m’attend, je redouble de caresses comme me l’a recommandé ma Belle-Sœur. Mes lèvres, ma langue deviennent encore plus actives et font gémir ma Maîtresse. J’ai même l’idée de glisser mes mains sous ses fesses, et de les rapprocher pour pouvoir lui doigter doucement l’œillet d’un médius puis de l’autre. Elle sursaute et se tortille, signe qu’elle aime.

Ma tactique était bonne : sous la poussée continue et puissante de la kiné dont la force m’étonne, je sens progresser dans mes boyaux le gros mandrin de plastique, sans que cela me fasse vraiment mal. Juste un échauffement à l’entrée. À un moment même, quand la tête du gode a appuyé sur ma prostate, j’ai ressenti une sorte de plaisir diffus, vite dissipé quand le mandrin a pénétré plus avant. Alors, d’un dernier coup de reins et d’une seule coulée irrésistible, la Chinoise me possède de toute la longueur de son engin et me pilonne le derrière. Son ventre claque plusieurs fois contre mes fesses. Je lâche des cris sourds qui traduisent plus de satisfaction et de fierté que de douleur. Sans doute suis-je intimement heureux d’avoir pu, une fois de plus, m’absenter de moi-même pour contenter une Femme en me soumettant sans protester ni me défiler à sa fantaisie.

« Eh bien, tu vois, esclave, c’est pas si terrible de se faire enculer par une Femme ! »


Mais bientôt elle va se taire, sans que je comprenne pourquoi. J’admets qu’elle ait plaisir à me posséder et m’humilier de la sorte, surtout devant son amie, qui elle aussi geint sous mes coups de langue et les caresses de mes doigts, mais d’où lui vient cette jouissance physique que je sens et entends monter en elle ? Ce morceau inanimé, ce faux phallus, ne peut lui transmettre aucune sensation sexuelle. À moins que, l’excitation génitale aidant, ce soit la simple pression de la base sur son sexe qui mette son clitoris en ébullition ?… La vérité est tout autre, car ce que je n’avais pas vu quand je fixais le gode à son corps et que la Chinoise le maintenait devant sa vulve, c’est qu’elle avait déjà introduit dans celle-ci un autre gode, de moindres dimensions, disposé en biais à partir du petit socle central, sur lequel elle s’est « baisée » elle-même tout en me sodomisant ! (Je ne découvrirai cela que plus tard, quand je lui enlèverai son harnachement et quand, ayant sucé longuement la partie qui plongeait dans son vagin et qui porte ses fragances, je nettoierai aussi de ma bouche l’autre partie, à peine souillée par moi, grâce au lavement quotidien que ma Belle-Sœur me force à me donner moi-même, matin, midi et soir.)

Malgré les risques d’hépatite virale – car certains germes pathogènes vivant leur vie dans le colon peuvent être très destructeurs dans la bouche - j’ai malgré tout une chance extraordinaire aujourd’hui. Pendant que la masseuse continue à me ramoner avec vaillance, avec je dois dire une certaine douceur qui me fait littéralement mouiller du cul (ou bien est-ce le gel que je sens sourdre ?), je redouble de caresses sur la motte de ma Belle-Sœur et j’ai bientôt le bonheur rarissime d’entendre et de sentir les deux Femmes venir en même temps à leur jouissance. Tandis que je lape la grande quantité liquide que me donne ma Maîtresse qui m’a empoigné par la tignasse, son amie, qui accélère ses coups de cul, me laboure le dos et le côté des cuisses de ses ongles…

*

Satisfaites, repues de plaisir, nettoyées, rafraîchies d’une orangeade, mes deux Dominatrices se sont quiètement endormies, lovées l’une contre l’autre, presque l’une dans l’autre et je suis retourné à mes occupations d’esclave.

Au réveil, ma Belle-Sœur, laissant se reposer son amie, veut que je lui lise des extraits de L’Art de l’excrétion (en anglais, The ultimate training), un opuscule qu’elle adore, écrit par Astride, une Dominatrice américaine, auteure également de L’Art de l’étouffement et de Puissance du jupon. Et voici sur quel passage je tombe, dans lequel une Femme, après s’être fait donner le spasme sexuel, s’apprête à se soulager dans la bouche d’un esclave qu’elle a fait allonger sur le sol et sur la bouche grand ouverte duquel, arrondissant autour de ses hanches sa robe sous laquelle elle ne porte rien, elle va tout naturellement s’accroupir.

« L’esclave devra également songer au plaisir qu’il donne à sa Déesse. C’est la seconde parmi les choses les plus humiliantes qu’il peut accepter de faire pour elle et, s’il l’aime vraiment, il l’accomplira sans retenue. Il imaginera le sentiment de pouvoir qu’elle éprouve en le voyant, à genoux ou allongé, gisant devant elle, très humblement, ouvrant une bouche qu’elle va utiliser comme pot de chambre.

» Pour la Femme, cette sensation de pouvoir est accrue quand sa vessie se contracte et qu’elle observe son beau liquide doré en train de couler dans la bouche de son esclave, qui continue à l’avaler sans la moindre marque de dégoût sur son visage.

» Voici un homme totalement à sa merci ! Et elle se demande ce qu’il ne ferait pas pour elle quand elle le voit en train de boire avec ravissement son urine, un déchet corporel, comme si c’était un cocktail raffiné.

» Habituellement, quand une Femme lui urine dans la gorge, l’homme doit la prier de se soulager par giclées, afin de ne pas laisser perdre une goutte de ce précieux liquide. »

Notre Chinoise s’est réveillée sans que nous en soyons rendu compte. Elle dit : « C’est drôlement beau ce qu’il vient de lire ! – Oui, chérie, je trouve moi aussi. Mais je ne sais pas si je le ferais. – Et pourquoi donc ? – Ce n’est pas très sain, je trouve. – Oh, tu sais, notre pisse, ce n’est guère que de l’eau, plus ou moins salée, avec quelques autres constituants que ton joli corps, tes reins précieux, ont filtrés, épurés. L’urine de Femmes saines comme nous est un liquide neutre, aseptique… N’oublie pas qu’un peu partout dans le monde, pas mal de gens se soignent en buvant chaque matin un verre de leur propre urine !… ‑ Ah, bon ? Ce n’est pas un truc pour moi, ça. Mais dans ce cas, effectivement ce doit être assez jouissif de forcer un esclave à supporter cela. C’est quand même une sacrée humiliation... quoiqu’il bénéficie d’une enviable compensation : il boit à même une jolie source et il la contemple de près. – Il la contemple… si on veut, parce qu’on peut lui mettre un bandeau, afin de n’en faire qu’une bouche, une vasque, un égout. Et puis, tu sais, j’ai entendu dire que certaines Femmes préfèrent uriner dans un récipient duquel leurs esclaves vont boire leur boisson préférée. Par exemple, on emporte une fiole au restaurant. On dit que c’est un médicament que le mâle doit prendre… et il n’a pas le droit de boire autre chose. – Ça doit être bien amusant. – Oui, et bien excitant aussi pour une Femme dominante. – Ça te plairait qu’on le fasse à mon esclave ? – Ah ça oui, alors ! – Allons, toi, tu as entendu ? Va te mettre en place dans la salle de bains et plus vite que ça ! Tu dois avoir soif depuis le temps que tu salives pour nous ! Toi, tu n’as rien bu, mais nous, oui. Alors, crois-moi, on va t’en donner de notre élixir doré !… »

(À suivre…)

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : BDSM
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Mercredi 16 décembre 3 16 /12 /Déc 22:24

Je ne peux pas attendre, même sans images (merci overbog...), je publie la suite de la monographie de "paillasson ch'ti", cela devient de plus en plus excitant, et j'espère que la source de cette inspiration, fondée sur des évènements réels, vécus, et assumés (et ce n'est pas rien!), j'espère qu'elle dure encore au moins une bonne vingtaine d'épisodes, un jour, il faudra bien écrire le mot "fin"à cette autobiographie D/s, souhaitons que cela l'aide dans son travail de deuil..... "paillasson ch'ti est une personne sincère et belle, il mérite un peu de bonheur dans sa vie, et il est tout jeune, à défaut d'être tout neuf..... il a déja beaucoup vécu.... je réalise que ces fragments autobiographiques pourraient faire l'objet d'un livre, d'un bon livre.... écrit avec le sang ("Ecris avec ton sang et tu sauras que le sang est esprit" F.N.)
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FÉTICHISME ET SOUMISSION, XVI

 

Je suis à genoux devant les pieds sublimes de ma Princesse et je les tiens dans mes mains. Je continue de les lui masser, encore et encore, avec dévotion et toujours autant de plaisir !!!

En même temps, je ne peux m’empêcher d’admirer les superbes bottes noires à haut talon de Lucie, la cousine de ma Domina. J’ai conscience que cela n’est peut-être pas correct mais je n’arrête pas d’imaginer les pieds de Lucie à l’intérieur. J’ai remarqué que ses bottes sont sales, et j’ai envie de les lui nettoyer, de les cirer, mieux : Je rêve de pouvoir les nettoyer de ma langue, j’ai envie de la sensation du cuir sous ma langue, mais cela demeure un fantasme, même avec ma Maîtresse, je n’ai pas encore réalisé ce rêve de soumission absolue.

 Il m’est impossible de ne pas rêver aux pieds de Lucie, tant je suis persuadé qu’ils sont très jolis. J'aspire à les tenir dans mes mains. Je suis pourtant comblé aux pieds de ma Maîtresse et j’ai conscience  que ce n’est pas bien de penser à ceux d’une autre femme. Mais depuis que Lucie a demandé à ma Princesse de me prêter à elle, je n’ai qu’un désir, c’est que ma Domina dise « Oui ».

Je ne vais pas tarder à avoir la réponse. Lucie continue d’insister auprès de ma Maîtresse. Elle lui dit : « Allez, s’il te plaît, j’ai trop envie qu’il me masse les pieds ! Juste une fois !... Cela a l’air tellement agréable !!! » Ma Princesse hésite, elle répond à sa cousine : « Tu sais que j’ai horreur de prêter mes affaires !!! Alors te confier mon esclave de pieds attitré… Franchement, je ne suis pas chaude. »

Lucie fait une drôle de tête, elle est stupéfaite par ce qu’elle vient d’entendre et s'exclame : « Tu l’as appelé ton esclave de pieds !? » Moi aussi, je suis très étonné, mais surtout très heureux, de la manière dont ma Princesse parle de moi. C’est la première qu’elle m’appelle ainsi, et j’adore, au point que mon petit zizi devient presque grand, il se dresse, tant cette appellation est excitante et convient parfaitement à mes ambitions : « esclave de pieds ! Non ! Esclave de Ses Pieds Divins ! »À l’époque, j’avais déjà lu cette expression sur internet. J’avais immédiatement su, au fond de moi, que ce terme me correspondait à merveille. D’ailleurs, rien que d’imaginer que l’on puisse m’appeler comme cela suffisait à me déclencher une érection. J’avoue que je n’aurais jamais imaginé qu’un jour ma Maîtresse m’appellerait de la sorte. C’était incroyable, car en ces temps-là, plus les jours passaient et plus tous mes rêves et mes fantasmes se réalisaient les uns après les autres. C’était comme si ma Princesse pouvait lire dans mes pensées, dans mes désirs. C’était vraiment inouï !!!

Devant ces deux jolies filles, je suis à la fois humilié et excité au plus haut point. Je me sens de plus en plus serré dans mon slip. Ma Princesse répond à sa cousine : « Pourquoi fais-tu cette tête ? Ce nom lui convient parfaitement. Comme tu as toujours été super- cool avec moi, comme tu as toujours été là lorsque j’avais des problèmes avec les mecs, et dieu sait que j’en ai eu, je vais te rendre la pareille. Juste pour une fois, je vais te prêter mon esclave de pieds. Mais avant, il va nettoyer tes bottes, car elles sont toutes sales. Moi, c’est quotidiennement qu’il nettoie les miennes !!! » Lorsque j’entends cela, je suis aux anges. Rappelez-vous qu’au départ, cette après-midi devait être terrible pour moi. Finalement, non seulement l’humiliation s’est plutôt bien passée mais j’apprécie même de plus en plus la présence de Lucie. J’avais le fantasme de lui nettoyer ses bottes et de lui masser doucement les pieds. Ma Princesse vient de dire « Oui » à sa cousine et mon fantasme va donc devenir réalité !!! La terrible après-midi se transforme en après-midi de rêve !!!

Ma Domina ouvre un tiroir de sa table de nuit, elle prend un chiffon et du cirage. Elle me jette le tout au visage et m’ordonne : « Maintenant, nettoie les bottes de ma cousine !!! » Mon rêve aurait été parfait si ma Princesse m’avait ordonné de nettoyer ces bottes de ma langue servile, mais il ne faut pas trop en demander, je suis déjà tellement heureux ainsi…

Je lâche donc les pieds de ma Domina et je me tourne légèrement vers Lucie. Je vais porter mes mains sur ses bottes quand ma Princesse m’inflige un violent coup de pied dans le nez. Elle me dit : « Avant de commencer, demande à ma cousine l’autorisation de nettoyer ses bottes ! » Lucie s'étonne : « Mais pourquoi es-tu aussi violente avec lui ? Tu lui as fait mal avec ton coup de pied ! » Ma Maîtresse la rassure : « Ne t’inquiète pas, ma chère cousine, il est habitué. Recevoir des coups de Pieds de moi est son bonheur. Regarde la belle marque qu’il a sur la joue. C’est un souvenir d’une après-midi où il m’a désobéi. »

Je me tourne vers Lucie, je lève la tête vers son visage, je lui demande humblement l’autorisation de nettoyer ses bottes. Elle me regarde, les yeux grand ouverts, me sourit et me répond, d’une voix douce et ultra sensuelle : «Oui, je t’y autorise.» Maintenant, c’est sur les bottes de Lucie que je me concentre. Elles sont assez sales et je m’applique à les frotter doucement, pour en enlever toute la boue. Puis, quand j’ai retiré le plus gros de la saleté, je m’apprête à cirer ces superbes bottes. C’est alors que Lucie me donne un petit coup avec la pointe de sa botte sur le menton et me dit : "Cesse de nettoyer mes bottes. J’ai trop envie que tu me masses les pieds. » Ma Princesse lui fait observer : « Eh bien, ma chère cousine, je vois que tu apprends vite !!! » Je me mets tout de suite en devoir de retirer les superbes bottes de Lucie. J’ouvre d’abord doucement la fermeture à glissière de la botte droite que je retire ensuite d’un mouvement sec. Lucie porte de très jolis bas à motifs. Quand je lui ai retiré sa seconde botte, elle m’ordonne : « Retire-moi mes bas, maintenant ! » Je commence par dénuder la jambe droite, puis l'autre, et je découvre alors les merveilleux pieds de la cousine. Je ne me suis pas trompé, ils sont vraiment très beaux. Comme c’est une fille très mince, ses pieds eux aussi sont très fins, d’une très jolie forme. Sa peau est très blanche, très douce aussi. Elle a de magnifiques orteils, longs et fins, ses ongles sont superbes et pointus, vernis d’un joli bleu. Je suis extrêmement excité à la vue de ces pieds, aussi beaux que désirables. Je prends le tube de crème et je commence à les masser. Comme sa cousine, Lucie a les pieds très froids. Je m’applique à les lui pétrir avec dévotion, car je veux à tout prix montrer à Lucie à quel point je peux être doué. Je l’entends d’ailleurs dire à sa cousine : « C’est vraiment merveilleux ! Je ne sais pas comment j’ai fait pour rester plus de vingt ans sans connaître cette magnifique sensation ! Ton esclave me réchauffe les pieds et me fait un bien fou ! » Je lève alors la tête vers elle, je la regarde, un très large sourire éclaire son visage. Je regarde aussi ma Domina qui me surveille d’un œil autoritaire et d’un air très strict !!! Lucie doit se sentir vraiment euphorique, car je me souviens d’avoir entendu ma Princesse lui dire : « Calme-toi Lucie, ou tu vas finir par jouir !… Et elles vont t’entendre à côté !!! »

Puis ma Princesse approche un pied nu de celui de sa cousine. J’adore cette merveilleuse vision : j’ai devant les yeux, les divins pieds nus de ma Princesse et ceux de sa superbe cousine Lucie ! J’adore cette vision fabuleuse !!! En fait, ma Princesse compare ses pieds à ceux de sa cousine. Je ne vous l’ai jamais dit, mais ma Maîtresse a toujours eu de très gros complexes quant à ses pieds. Au départ de notre relation, lors des premières fois où ma Princesse s’était plainte d’avoir froid aux pieds, je lui avais bien évidemment proposé de les lui réchauffer. À l’époque, ma Domina avait hésité, mais elle avait fini par accepter et elle m’avait avoué par la suite qu’elle avait toujours eu de gros complexes relativement à ses pieds. Elle ne les avait jamais trouvés « beaux ». Bien sûr, c’était complètement faux, car ils étaient magnifiques. Malheureusement, elle était hantée par de nombreux complexes, et le plus important concernait justement ses pieds. La première fois que j’avais eu l’immense honneur de pouvoir les admirer, je lui avais dit naturellement que je les trouvais splendides. C’est là qu’elle m’avait avoué son complexe. Je l’avais alors assurée qu’il n’y avait aucune raison qu’elle ait un tel complexe car ses pieds étaient vraiment merveilleux. Je lui ai dit que je les adorais, qu’ils n’étaient ni trop minces, ni trop gros et qu’ils avaient une forme parfaite. Je lui ai dit que ses orteils étaient très jolis et bien proportionnés, que sa peau était douce et lisse, que ses orteils étaient sublimes. Dès cette première fois, ma Princesse avait été très émue par ce que je disais de ses divins pieds. Elle m’avait dit : « C’est la première fois qu’un garçon me fait autant de compliments. En tout cas, aucun homme ne m’en a jamais fait le moindre sur mes pieds. D’ailleurs, pour être honnête, je ne suis pas habituée aux compliments en général. » Dès le départ, ma Princesse avait été très étonnée par l’amour et l’adoration sincère que je vouais à ses pieds sublimes. À chaque fois que je m’occupais d’eux, je lui répétais ces compliments sincères. Finalement, petit à petit, ma Princesse a réussi à prendre confiance en la beauté de ses pieds et au fil du temps, elle a compris le pouvoir qu’ils pouvaient avoir sur moi. Elle commençait à comparer ses pieds à ceux de ses amies et à ceux des filles, dans la rue. Elle se rendait compte que les siens étaient en effet très jolis. Ma Princesse a eu du mal à l’accepter mais j’étais sincèrement heureux d’avoir réussi à lui enlever ce complexe injustifié. Pour moi, c’était une petite victoire, un véritable bonheur. J’aurais aimé que ma Princesse puisse voir ses divins pieds avec mes yeux : elle aurait immédiatement perçu leur incroyable beauté. Un jour, ma Domina m’a même dit : « Depuis un moment, j’observe les pieds de ma mère. J’ai constaté qu’ils sont très jolis. Et j’ai remarqué aussi que les miens ressemblent beaucoup aux siens. Elle m’a transmis la beauté de ses pieds. » Lorsque ma Maîtresse m’a dit cela, j’ai vraiment eu envie d’admirer les pieds de sa maman…

Mais revenons-en à cette merveilleuse après-midi. Ma Princesse, qui tient ses pieds à côté de ceux de Lucie, dit à sa cousine : « Tu as de très jolis pieds, ils sont plus minces que les miens. » Lucie lui répond : « Toi aussi, tu en as de très jolis. » Et ma Domina acquiesce : « Oui, je sais. J’ai longtemps eu un complexe là-dessus, mais c’est terminé. Lorsque j’ai vu l’amour et le désir que mon esclave éprouve pour mes pieds, j’ai compris qu’ils devaient être très jolis. »

Ma Princesse et Lucie continuent de se parler, elles caressent leurs pieds les uns contre les autres, tout doucement, dans un mouvement ultra sensuel. Je suis follement excité devant ce spectacle extraordinaire. Ma Princesse demande alors à Lucie : « Ces jolis ongles que tu as, tu te les vernis toi-même ? » Lucie lui répond : « Bien sûr !!! » Ma Princesse lui rétorque aussitôt : « Moi, je ne vais certainement plus me plier en quatre pour faire cela ! J’ai mon esclave de pieds à ma disposition !!! » J’adore entendre la voix autoritaire de ma Princesse prononcer cette expression « esclave de pieds ». Cela me rend dingue. Lucie fait observer : « Oui, tu as vraiment beaucoup de chance ! »

Je continue toujours de masser encore et encore les pieds de Lucie. Je masse ses talons, ses chevilles, ses plantes. Je suis aux anges. Mes mains glissent doucement sur cette peau si douce. En même temps, j’admire les pieds de ma Domina, Je passe vraiment un moment magique, je voudrais que ce moment dure pour l’éternité. Ma Princesse s’amuse à caresser de ses divins pieds ceux de sa cousine. Ce spectacle est magnifique, je suis excité au plus haut point. Ma Maîtresse caresse aussi mes mains de ses pieds tandis que je continue à masser ceux de sa cousine. Je relève souvent la tête pour regarder ma Princesse et Lucie.

La cousine semble toujours aux anges, elle a un large sourire. Ma Maîtresse paraît beaucoup moins gaie. Elle échange parfois des sourires avec Lucie, mais sans grande conviction. Je l’observe discrètement et m’aperçois qu’elle me fixe en permanence. Elle fait les yeux noirs, ce qui veut dire que la situation commence à l’agacer. Il y a un vrai fossé entre l’état euphorique de Lucie et l’air sérieux de ma Princesse. Le fait que celle-ci ait approché ses divins pieds de ceux de Lucie, le fait qu’elle me caresse les mains avec ses plantes sont une manière, je pense, de me rappeler que c’est à elle et à Ses merveilleux Pieds que j’appartiens.

À l’époque, c’est ainsi que j’ai interprété cette scène, et plus j’y réfléchis, plus je suis sûr que c’est le message que ma Princesse voulait me faire passer. Moi, j’étais dans un état second, à genoux devant deux filles sublimes aux pieds magnifiques. Le fait que ma Maîtresse m’avait prêté à sa cousine, devant elle-même, rendait l’atmosphère encore plus excitante. Je vivais vraiment un moment extraordinaire et j’aurais sincèrement aimé qu’il dure toujours. J’étais tellement bien que j’avais oublié qu’il y avait la mère de ma Maîtresse et sa tante juste à côté. Et malheureusement, ce fabuleux moment fut brusquement interrompu.

Soudainement, j’entends la porte de la chambre s’ouvrir dans mon dos. Je n’ose pas me retourner mais je sais qu’il s’agit des deux dames. Je regarde alors ma Princesse et Lucie qui elles aussi fixent la porte, avec une certaine crainte dans leur regard. Puis j’entends la voix autoritaire de la mère de ma Domina qui s'étonne : « Mais, qu’est-ce qui se passe ici ? » Lucie n’ose pas répondre, elle est presque aussi gênée que moi. Néanmoins, je continue  toujours de lui masser les pieds. C’est ma Princesse qui répond à sa mère : « Lucie avait mal et froid aux pieds, notre copain les lui masse, tout simplement ! »

J’entends alors une autre voix. C’est celle de la tante. Je n’ose pas me retourner, je n’ose pas affronter leur regard à toutes les deux. La mère de Lucie s'écrie : « C’est n’importe quoi !!! Je veux que tu remettes tes bas et que tu viennes immédiatement dans le salon ! ». Puis sa sœur ajoute : « Venez tous les trois vous asseoir dans le salon. Il faut qu’on parle sérieusement !! ». Ma Princesse tente bien de discuter mais sa mère est une femme autoritaire et dure. Elle répond à sa fille sur un ton extrêmement sec : « Ne discute pas !!! » Puis les deux femmes repartent vers le salon. J’entends le bruit de leurs talons sur le carrelage. Je dois avouer que ce bruit strident a le don de m’exciter. Ma Princesse s’énerve alors. Elle m’ordonne de remettre les bas et les bottes de Lucie. Je m’exécute, j’enfile ses bas à la cousine puis je lui remets ses bottes. Je suis très stressé, je ne veux pas affronter le regard des deux femmes dans le salon. Malheureusement, je sais que je n’ai pas le choix.

Je suis sur le point de me relever quand Lucie passe ses mains dans mes cheveux et me remercie pour le bien fou que je lui ai procuré. Mais ma Domina l’interrompt et dit : « Tu dois apprendre une règle d’or. Tu n’as jamais à remercier ton esclave. Le bien-être qu’il te procure n’est qu’un devoir pour lui, c’est un service qu’il te doit. Tu ne dois jamais le remercier, au contraire, c’est lui qui doit te remercier de l’honneur que tu lui fais en le laissant te servir. » Puis ma Maîtresse se retourne vers moi et m’ordonne : « Allez, je veux t’entendre remercier ma cousine pour l’honneur qu’elle t’a offert en te permettant d'honorer ses divins pieds !!! » Je suis toujours à genoux devant ma Princesse et Lucie qui se sont mises debout. Je relève la tête. Lucie porte ses superbes bottes, ma Princesse est en pantoufles. Je parais tout petit et ridicule à genoux devant ces deux superbes Déesses. Je m’exécute donc. Je tourne mon visage vers Lucie et je lui dis : « Lucie, je te remercie de m’avoir donné l’immense honneur de pouvoir masser tes superbes pieds et d’en prendre soin. » Lucie sourit, elle est encore stupéfaite de mon comportement si soumis. Elle remercie sa cousine d’avoir bien voulu me prêter à elle. Elles continuent de parler tranquillement, quand soudain nous entendons la voix stricte de la mère de ma Domina : « Venez ici immédiatement ! Nous devons parler… »

Nous nous dirigeons donc tous les trois vers le salon. Je pense que nous avons tous le même sentiment. Nous nous demandons ce qui nous attend…

 

Paillasson ch’ti , esclave virtuel favori deMaîtresse MAEVA

 


Merci à overblog pour l'insertion d'une photo, même si elle est minuscule et placée à l'arrache! 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mardi 8 décembre 2 08 /12 /Déc 09:55

Un moment difficile pour notre jeune apprenti-esclave: Il se confronte au regard extérieur, et ce regard est normatif, un homme digne de ce nom ne se prêterais pas à des situations où il est en posture d'infériorité! Bien sûr, ils n'y comprennent rien, les normopathes!  Ils ne peuvent comprendre l'infinie volupté d'être complètement soumis aux caprices d'une femme! Le regard de la cousine est tout autre, c'est un regard d'envie et la situation est très excitante pour le jeune paillasson humain! Comme vous le verrez, l'épisode s'arrête sur une question: Je vous demande expréssément d'y répondre. Le jeune paillasson ch'ti fait vivre le site de ses contributions, la moindre des choses serait d'être un peu plus réactif, ou je transforme ce blog en "new letters" pour Mes chiens favoris, il ne sont pas très nombreux, ceux qui donnent et qui réagissent!




FÉTICHISME ET SOUMISSION, XV

 

Je suis rentré chez moi dans un état pitoyable, tant sur le plan physique que mental. J’avais sur le crâne une énorme bosse causée par l’impact contre le mur de la douche. J’avais également, sur la joue gauche, la marque laissée par la bague de ma Princesse lorsqu’elle m’avait infligé  un énorme coup de poing, toujours dans la douche.

En rentrant chez moi, je pensais pouvoir me coucher et réfléchir tranquillement à la décision que je devais prendre. Mais ma soirée n’était pas encore terminée, mes parents, qui n’étaient pas couchés, m’attendaient. Je me suis dit que j’étais loin d’être au bout de mes peines…

J’ai essayé d’éviter la discussion avec eux mais, cette fois-ci, je n’ai pas réussi à m’y dérober. Vraiment en colère, ils m’ont ordonné de venir m’asseoir dans la cuisine. Ils m’ont dit qu’ils avaient retrouvé de longs cheveux dans la douche et qu’ils avaient compris que ma Princesse était venue s’en servir. Ils étaient très fâchés que cela se soit fait dans leur dos, sans leur autorisation. Ils m’ont dit qu’elle n’avait pas à se laver chez eux puisqu’elle n’était même pas ma petite amie. Profitant de la situation, ils ont enchaîné en me faisant la morale. Ils m’ont dit : « Personne ne comprend la relation que vous entretenez depuis plusieurs mois. Cette fille n’est même pas ta petite amie et pourtant tu dépenses des petites fortunes pour elle. Tu sais que le banquier nous a téléphoné car il est très étonné des nombreux mouvements que tu opères sur ton compte depuis plusieurs semaines. En plus, cette fille se moque de toi, elle te traite comme son larbin. Nous ne comprenons pas que tu acceptes d’être ainsi manipulé. Elle se sert de toi, mais quand elle aura trouvé un autre garçon, elle te laissera tomber. Nous ne voulons pas que tu souffres. Tu devrais essayer de trouver une fille qui t’aime. »

J’écoutais car je n’avais pas le choix. Mais intérieurement, je bouillais, je ne supportais pas d’entendre parler de la sorte de ma Princesse. Mes parents étaient incapables de comprendre la relation si particulière que j’entretenais avec elle. Aujourd’hui, avec le recul, je comprends leur réaction. Elle est normale pour des parents qui souhaitent protéger leur fils. De plus, mes parents ne connaissaient absolument rien à une relation DS. Lorsqu’ils ont eu terminé leur sermon, je leur ai fait mes excuses pour la douche et je leur ai dit que cela ne se reproduirait pas. Cette soirée était vraiment terrible. Je devais faire face à un ultimatum impérieusement fixé par ma Maîtresse et je devais en plus supporter cette réunion avec mes parents. Après ces excuses, je n’avais plus qu’une hâte : rejoindre vite ma chambre pour réfléchir. Mais ma mère ni mon père ne voulaient pas encore me lâcher. Ma mère m’a demandé : « Comment t’es-tu fait cette marque sur la joue ? ». Il s’agissait évidemment de la trace laissée par la bague de ma Princesse lorsqu’elle m’avait frappé au visage. Bien entendu, je ne pouvais pas dire la vérité. J’ai donc raconté qu’en entrant dans ma voiture, je m’étais cogné contre le coin de la portière. J’ai bien vu que mes parents ne me croyaient pas. Avant de me laisser regagner ma chambre, ils m’ont dit : «  Cette fille est vraiment méchante avec toi. Réagis, s’il te plaît. »

Je suis allé m’allonger. Cette discussion m’avait saoulé. Pour le moment, je n’avais pas le temps de réfléchir à ce que voulaient mes parents. Je devais me concentrer sur l’ultimatum imposé par ma Maîtresse. Soit j’acceptais de lui masser les pieds devant sa mère, sa tante et sa cousine, soit elle mettait définitivement fin à notre relation. Je connaissais bien son caractère, maintenant. Je savais que je n’arriverais pas à la faire changer d’avis. Et moi, je ne pouvais pas imaginer ma vie sans elle, je ne pouvais pas vivre sans ma Domina. Rien que d’y penser me rendait malade. J’avais une terrible boule dans le ventre. D’un autre côté, j’imaginais cette scène où je devrais être à genoux devant ces trois personnes, en train de masser les pieds de ma Princesse. Devant sa maman, je l’avais déjà fait plusieurs fois, cela ne me posait plus aucun problème !!!

Mais lorsque je me figurais les deux autres femmes en train de me regarder, j’avais vraiment peur. Je me sentais d’avance très gêné et pourtant je dois avouer que la pensée d’une telle scène m’excitait malgré tout. Mais je savais bien qu’il y a une grande différence entre les fantasmes et la réalité. Réaliser ses fantasmes n’est pas toujours facile, j’ai déjà pu le constater à mes dépens. Je n’arrêtais pas de retourner la situation dans tous les sens dans ma tête. Soit je dépassais une nouvelle fois mes peurs et ma gêne, soit je perdais ma Princesse. Finalement, j’ai décidé de me soumettre une nouvelle fois à ma Domina. Je ne pouvais pas me résoudre à la perdre, je ne l’aurais pas supporté !!! J’ai passé une très mauvaise nuit, je ne cessais pas d’anticiper ce moment. J’appréhendais la réaction de la tante et de la cousine !!!

***

Le lundi matin, comme tous les jours, à 7 h 15, j’attends ma Princesse devant son domicile. Comme chaque matin, je porte son sac et lui ouvre la portière. Elle me dit : « Salut ! Alors, qu’as-tu décidé ? » Je constate que ma Domina n’a pas oublié l’ultimatum puisque c’est la première chose dont elle me parle. Je lui réponds : « Oui, je vais t’obéir et faire ce  que tu me demandes. » Ma Maîtresse sourit : « C’est très bien ! Tu es devenu raisonnable, comme je m’en doutais. Eh bien, j’ai hâte d’être à mercredi, nous allons bien nous amuser. » Elle me dit cela avec un sourire moqueur et inquiétant. Je souris moi aussi, mais au fond de moi, je suis terrorisé.

Le début de semaine se passe normalement. Cependant, plus nous approchons de mercredi, plus je me sens terrifié, tétanisé de peur et d’appréhension.

Et voilà ! Nous sommes mercredi. À midi, quand je raccompagne ma Princesse chez elle, elle m’ordonne : « Je t’attends pour 15 h 30. Tu vas pouvoir dorloter mes petits pieds que tu aimes tant !! »

Bien sûr, j’arrive pile à l’heure fixée par ma Domina. C’est sa mère qui m’ouvre. Elle me dit : « Je ne savais pas que tu venais prendre le café avec nous, mais c’est très bien. » Ma Princesse arrive alors et rectifie : « Non, maman, il ne vient pas pour le café mais pour être à mes pieds ! » J’adore ce genre de phrase qui a le don de me rendre fou d’excitation, ce que ma Princesse a compris, je pense.

En revanche, sa mère ne comprend pas, je le vois sur son visage. Elle demande « Que veux-tu dire ? » à sa fille qui lui répond : « C’est bien simple. J’ai très mal aux pieds, et cette après-midi, pendant que nous recevrons, il va me masser les pieds. » La maman, incrédule, s’étonne : « Devant tout le monde ? –Mais oui, bien sûr, maman ! » La dame se tourne alors vers moi et m’interroge : « Tu vas vraiment faire cela ? » Comme je n’ai pas le choix, je lui réponds : « Mais oui, Madame… » Cela l’agace et elle crie : « Mais enfin, c’est n’importe quoi, tu vas être ridicule !!! » Puis elle se retourne vers sa fille pour lui dire : « Et toi, tu ne peux pas attendre ce soir pour te faire masser les pieds ? ‑ Mais non, maman. Et de plus, tu verras, il sera très heureux de le faire !!! » Me faisant alors face, elle m’interroge du regard. Une fois de plus, je n’ai pas le choix. J’affirme à sa mère : « Oui madame, je vous assure que je suis très heureux de faire cela à votre fille. » Mais elle en a assez et s’écrie : « Vous me fatiguez tous les deux avec vos histoires ! » S’adressant à moi sur un ton ironique, elle me prévient : « Après tout, si tu as envie de te ridiculiser, c’est ton choix !!! »

Je suis extrêmement gêné et stressé. Je n’ai qu’une envie : me sauver. Pour moi qui suis si timide de nature, c’est terrible à supporter. Mais je dois rester, je ne peux pas partir. Ma Princesse me tient en laisse et je n’ai d’autre choix que de lui obéir. Elle s’installe alors dans le canapé et m’ordonne : « Va me préparer un bain de pieds à l’eau savonneuse et apporte un gant. Tu vas me savonner doucement les pieds avant de me les masser. » Je regarde discrètement sa mère qui prépare les tasses à café. Je jette un œil à la pendule. Elle indique 15 h 55. Je sais que les deux autres femmes ne vont plus tarder à arriver. Mon cœur bat à un rythme effréné, je transpire de crainte, je suis nerveux. J’ai tellement peur que, paradoxalement, je sens à travers mon boxer et mon jean, mon excitation devenir de plus en plus forte.

J’arrive donc aux pieds de ma Princesse avec la bassine d’eau tiède que je pose devant le canapé. Je retire alors les bottes de ma Domina, puis ses chaussettes. Ma Maîtresse, qui a bien vu que je ne vais pas bien, me chuchote à l’oreille : « Calme-toi, tout va bien se passer. Tu vas voir, ça va être génial. » En disant ces mots, elle trempe doucement ses divins pieds dans le bain tiède, d’un mouvement très sensuel que j’adore. J’admire ses pieds sublimes et je suis terriblement excité !!! La situation me fait fantasmer: j'ai envie de sentir Son Pied Adoré sur ma nuque, qu'Elle me plonge la tête dans la bassine!



Justement à ce moment-là, la sonnette de l’entrée retentit. Mon sang se glace. La mère de ma Princesse va ouvrir. Les femmes se souhaitent le bonjour puis j’entends une petite voix qui s’exclame : « Eh bien, ma cousine, je vois que l’on s’occupe bien de toi !!! » Je suis paralysé, je n’ose pas me retourner. J’ai ma main droite enfoncée dans un gant de toilette et de la gauche, je soutiens le pied droit de ma Princesse. La cousine, qui se prénomme Lucie, s’approche. Elle fait la bise à ma Domina puis elle se tourne vers moi. Elle me dit « Salut ! » avec un sourire qui traduit à la fois son étonnement et son ironie à la vue de ma position. Je quitte alors quelques instants des yeux les merveilleux pieds de ma Princesse, afin de regarder sa cousine et de la saluer à mon tour. Je découvre une très jolie fille brune, devant qui je m’incline timidement, ne pouvant m’empêcher de regarder les superbes bottes noires qu’elle porte.



Rien à faire : dans toutes les situations, mon  fétichisme prend toujours le dessus. Puis la tante de ma Princesse vient à son tour près de moi. Elle nous salue, sa nièce et moi. Encore plus intimidé que par sa fille, je lui dis un «  Bonjour Madame » presque inaudible.

Puis cette dame va s’asseoir à table avec la maman de ma Princesse, tandis que Lucie est reste assise sur le canapé, à côté de ma Domina. J’entends la maman de Lucie demander : « Alors, on peut m’expliquer ce qui se passe ici ? » Sa sœur lui répond tout naturellement : « Eh bien, ce garçon est fou amoureux de ma fille, et elle, elle est capable d’exiger de lui n’importe quoi, comme tu en as actuellement la preuve sous les yeux. » L’autre acquiesce aussitôt : « Eh bien, c’est vrai, il doit être sacrément fou amoureux ! » Puis elles se retournent et ne se préoccupent plus de moi, ce  qui est un premier soulagement pour moi. Tous les yeux féminins ne sont plus rivés sur ma position. Il n’y a plus que Lucie, tout près de moi, qui continue de me regarder fixement. Pendant que je continue de savonner les sublimes pieds de ma Domina, sa cousine l’interroge : « Alors, explique-moi tout ! Cela fait longtemps qu’on ne s’est plus vues, et je constate que tu as appris à mater les garçons ! –Ah, ça oui, tu peux le dire. Je ne suis plus la fille que tu as connue il n’y a pas si longtemps, et qui pleurait dans tes bras à cause de toutes les misères que les garçons lui causaient. Aujourd’hui, c’est moi qui tiens les rênes !!! » Lucie qui a attentivement écouté sa cousine, lui demande alors : « C’est ton petit ami, lui ? »

Ma Princesse se met alors à rire aux éclats et répond : « Tu plaisantes, j’espère ?... Je sais que cela fait un moment qu’on ne s’est plus vues, mais tout de même... Tu crois vraiment que mes goûts quant aux mecs ont tellement changé en si peu de temps ?



Lui, il est génial pour être à mes pieds et s’en occuper, mais certainement rien de plus. Je ne pourrais jamais sortir avec un gars comme lui. En revanche, pour ce qui est des soins de mes pieds, c’est un véritable dieu. » Lucie paraît de plus en plus étonnée. Je le vois bien car je relève parfois discrètement la tête pour observer ses réactions. Elle dit à ma Princesse : « Franchement, j’hallucine ! Tu as bien changé en quelques mois !... – Oui, je crois. Ma rencontre avec ce garçon a été pour moi une véritable révélation. Il m’a fait découvrir des plaisirs, des sensations que je ne connaissais pas. Les soins de pieds, c’est tellement agréable que je ne pourrais plus m’en passer. Et, il n’y a pas que cela… ‑ Mais qu’est-il donc exactement pour toi, alors ? ‑ C’est mon meilleur ami, et il est à mon service pour son plus grand plaisir. » De son pied droit tout humide, ma Princesse me donne un coup sur la joue...



 ...et m’ordonne : « D’ailleurs, dis toi-même à ma jolie cousine à quel point tu es heureux d’être à mes pieds. » Je suis atrocement gêné de cette situation, de ma position. Je sais que Lucie me regarde attentivement, je sais aussi que la mère de ma Princesse et sa sœur peuvent tout entendre. Je réponds à ma jeune Maîtresse avec mon cœur : « Oh, oui. C’est un honneur et un bonheur pour moi de pouvoir prendre soin des pieds de ma Princesse. » Lucie s’exclame aussitôt : « Comme c’est mignon !!! » Mais notre conversation commence à exaspérer la mère de ma Domina. D’un ton agacé, elle dit à sa fille : « Soit vous venez normalement à table, prendre le café, soit vous allez dans ta chambre. J’en ai marre de vous voir là et d’entendre toutes vos bêtises !!! ». Ma Princesse m’ordonne alors de lui essuyer les pieds dans la serviette que j’ai préparée. Puis elle dit à sa cousine : « Viens, on va dans ma chambre puisqu’ici on dérange !!! » Je m’empresse donc d’essuyer amoureusement les sublimes pieds de ma Domina, puis de lui enfiler ses chaussons. Ma Maîtresse et sa cousine vont dans la chambre. Je range la bassine, le gant et la serviette puis je rejoins les deux jeunes filles. Toutes deux tranquillement installées sur le lit, elles sont en train de discuter. Lorsque j’entre, ma Princesse me regarde sans rien dire. Elle se contente de pointer un index autoritaire vers ses divins pieds. Je referme vite la porte derrière moi et me mets à genoux devant ma Domina. Lucie lui dit alors : « Tu l’as vraiment bien dressé ! Tu n’as même plus besoin de parler pour qu’il t’obéisse. C’est formidable… » Ma Princesse m’ordonne « Maintenant, fais-moi un bon massage des pieds. Montre à Lucie comme tu es doué pour t’occuper des pieds d’une fille… »Je suis très heureux de ces compliments sur mes qualités de masseur de pieds féminins que me fait ma Maîtresse. Saisissant le tube de crème, je commence à masser Ses Sublimes Pieds.



Le fait de savoir que Lucie était là, juste à côté de nous, et qu’elle m’observe, m’excite encore plus que d’habitude. J’ai vraiment envie de faire de mon mieux pour prouver à la cousine que je suis réellement doué dans ce domaine. Je m’applique donc à masser encore et encore, avec dévotion, les merveilleux pieds de ma Princesse que j’aime et désire de tout mon cœur, de tout mon être. Pendant ce temps, ma Maîtresse et sa cousine discutent tranquillement. Lucie cherche à en savoir plus, car son étonnement est profond. Elle dit à ma Princesse : « La dernière fois que l’on s’est vues, tu étais avec un gars, mais tu étais malheureuse. Explique-moi ce  qui s’est passé depuis !… ‑ Eh bien, ce gars dont tu parles m’en a fait voir de toutes les couleurs. J’étais amoureuse de lui, j’étais bête. J’aurais tout fait pour le garder, mais cela ne l’a pas empêché d’aller voir ailleurs. Finalement, il m’a quittée et j’ai été très malheureuse. Depuis le début de l’année, je me suis liée d’amitié avec un gars de ma classe. Un jour, il m’a invitée à une soirée avec ses amis. Il s’agit de toute une bande de copains super cool. D’ailleurs, on sort ensemble tout les week-ends. Ici, à mes pieds, tu vois l’un d’eux. Il m’a dit qu’il était tombé fou- amoureux de moi dès le premier soir. Depuis, nous nous sommes liés d’une sincère amitié. Ce garçon est bien différent des autres. Il fait passer mon plaisir et mon bien-être bien avant les siens. La seule chose qui compte pour lui est de pouvoir prendre soin de ma chère personne. Par amour pour moi, il est prêt à renoncer à beaucoup de choses, car la seule qui est essentielle pour lui, c’est d’être à mes pieds. Regarde comme il est heureux en ce moment !!! » Je relève doucement la tête et fais un grand sourire car c’est vrai, je suis réellement fou de bonheur de pouvoir être aux pieds de ma Princesse. J’ai vraiment réussi à me détendre et la présence de Lucie ne me gêne quasiment plus. Je la regarde qui reste bouche bée en entendant le discours de sa cousine, à qui elle déclare : « En effet, c’est vraiment un garçon différent des autres. Moi, on ne m’a jamais massé les pieds. Je dois dire qu’en voyant le dévouement de ce garçon qui te le fait, je t’envie sincèrement, ma chère cousine. Moi aussi, j’aimerais trouver un gars comme lui, un mec qui prenne soin de mes pieds, qui se consacre à mon bien-être sans rien me demander en échange. J’en ai marre de ces garçons qui ne pensent qu’à une chose : le sexe. Mais je ne sais pas où je pourrais trouver une perle rare, comme lui. Aurais-tu un conseil à me donner ? » Ma Princesse lui répond : « D’abord, tu dois faire preuve d’une extrême autorité avec les mecs.
Un garçon, c’est comme un chien : il a besoin d’être dressé !!! » Lucie paraît un peu choquée par ce propos : « C’est tout de même très dur ce que tu dis… Comparer un homme à un chien !... » Ma Maîtresse lui répond aussitôt : « J’aurais pensé comme toi il y a peu, mais regarde aujourd’hui où j’en suis… »

Lucie confirme : « Tu as raison, je ne peux pas dire le contraire. » Puis elle poursuit : « Je peux te demander une faveur ?… S’il te plaît ma cousine, j’aimerais qu’il me masse un peu les pieds, à moi aussi. Juste pour goûter à ce plaisir que je ne connais absolument pas !… »

Lorsque j’entends cela, mon excitation augmente encore d’un cran. Je m’imagine déjà en train de pétrir les pieds de la jolie Lucie sous le regard autoritaire et dominateur de ma Princesse. Cette scène m’excite déjà. Mes tabous, ma gêne du départ ont complètement disparu, j’ai vraiment envie de découvrir les pieds de Lucie, j’ai vraiment envie de les lui masser, à défaut de les lécher...



Je ne pense même plus à sa maman qui est dans la pièce, juste à côté. Néanmoins, je sais que ma Princesse est très exclusive. Si elle adore me voir à ses pieds, si elle adore que je les lui masse, si elle aime m’humilier devant d’autres personnes, jamais encore elle ne m’a ordonné de masser les pieds d’une autre fille. Je sais que ma Princesse est assez jalouse, et c’est d’ailleurs pour cela que dans le pacte d’esclavage, elle m’a fait lui promettre une fidélité absolue. Je sais que ma Domina aime avoir ce privilège que les autres femmes n’ont pas, c’est-à-dire avoir un homme à ses pieds. Pour toutes ces raisons, j’ai de sérieux doute sur la réponse qu’elle va faire à sa cousine. Va-t-elle accéder, ou non, à sa demande ?…

J’aimerais avoir l’avis de notre Divine MAEVA et des lecteurs. Selon vous, ma Princesse va-t-elle dire oui ou non ? Va-t-elle me garder pour elle uniquement ou au contraire, va-t-elle me « prêter » à sa cousine afin de m’humilier davantage ?

J’attends vos réponses…

 

Paillasson ch’ti, petit soumis frileux, timoré, fantasmeur et virtuel de Maîtresse MAEVA

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mercredi 2 décembre 3 02 /12 /Déc 18:50

L'étau de la Domination Féminine se ressère d'un cran sur le jeune esclave éperdument amoureux.... Elle va exiger de lui une épreuve importante: Celle du regard des autres sur sa propre condition d'esclave.... ce n'est pas facile, vous en conviendrez.... bonne lecture!



J'ai eu quelques difficultés à illustrer cet épisode, j'ai beau avoir 25000 photographies et 500 vidéos, je n'en ai pas ayant un rapport avec ce contexte particulier de la douche....une lacune à combler...

FÉTICHISME ET SOUMISSION, XIV

 

Ma Princesse et moi étions sous la douche. Les yeux bandés, j’étais agenouillé sur le côté. Je sentais l’eau qui ruisselait sur mon visage et mon corps nu. Ma Domina m’a ordonné de la savonner. J’étais terriblement excité, ma queue était tendue au maximum. Je pensais que le contact de l’eau me calmerait au moins un peu, mais au contraire j’avais toujours le sexe en feu. Ma Princesse me demanda de tendre mes deux paumes, mains jointes. Elle y a versé du savon liquide et m’a simplement dit :  « Maintenant, savonne-moi les jambes. »

J’ai commencé par lui frotter les cuisses, puis je suis descendu doucement en caressant de mes mains savonneuses les sublimes jambes de ma Princesse que je ne pouvais admirer qu'en imagination. Je descendais lentement, le contact de mes mains sur sa peau si douce m'était un délice : c'était la première fois que je caressais les jambes de ma Domina ! Jusqu’alors, je n’avais jamais eu le droit de remonter au-dessus de ses chevilles. D’ailleurs, je n’avais jamais touché les jambes d’une fille auparavant, et si j’avais souvent eu l’honneur d’admirer les sublimes jambes de ma Princesse, jamais non plus je n'avais été autorisé à les effleurer. Ses jambes étaient incroyablement belles. Comme elle-même était grande, elle avait des jambes très longues et élancées. Elles étaient magnifiques, splendides. Leur peau était parfaite et d’une étonnante douceur . J’adorais sincèrement ses jambes et lui avais souvent dit que je les trouvais vraiment divines. Je les connaissais par cœur, tant je les avais admirées. Même si en ce moment, je ne pouvais les voir à cause du masque de nuit que j’avais sur les yeux, il ne m’était pas difficile de les imaginer. Je m’étais approché doucement  du corps de ma Princesse pour mieux le savonner. Cela fit que, tout en frottant doucement ses jambes, je sentis mon sexe entrer légèrement en contact avec le bas de l'une d'elles. Comme j’étais agenouillé, mon visage se trouvait en face du derrière de ma Maîtresse. Sans cesser de savonner ces jambes sublimes, je n’ai pu empêcher mes lèvres d'effleurer la peau si douce  des fesses de ma Princesse. Je n’ai pu m’empêcher de les baiser avec la plus grande douceur. J’ai eu peur de me faire remettre à ma place, mais au contraire ma Princesse n’a rien dit et m’a laissé faire. Alors, évidemment, j'ai continué à faire courir amoureusement mes lèvres sur ses fesses. Je les couvrais littéralement d'innombrables baisers. Bien sûr, je n'avais eu la chance de voir les fesses de ma Maîtresse et j'avoue que ce jour-là, je me sentais extrêmement frustré d’avoir mon visage quasiment collé au derrière de ma Domina sans pouvoir l’admirer. J’avais envie d’arracher mon  masque. Mais je savais pertinemment que si je faisais une telle chose, les conséquences seraient dramatiques pour moi. Je me suis donc retenu et je n’ai rien pu faire d'autre que de continuer à imaginer le corps de ma Domina. C'est une femme vraiment sublime. Je ne dis pas cela uniquement parce que j’en suis éperdument amoureux. C’est la vérité : ma Princesse est d’une beauté à couper le souffle et beaucoup de garçons sont de mon avis.

Même si à l’époque j'avais dû me satisfaire d'imaginer sous ses vêtements les formes délicieuses de son corps, je savais que celui-ci était sublime, à l’image de ses pieds splendides, dont j’étais fou amoureux. Donc, je baisais encore et encore les fesses si douces et voluptueuses de ma Domina. Je les couvrais de baisers langoureux. Pendant ce temps, je continuais de frotter doucement mon sexe sur sa cheville, dans un discret mouvement de va-et-vient. En ne disant rien, ma Princesse m’autorisait à continuer et j’avoue qu’à l’époque, je fus très étonné qu'elle me laisse agir de la sorte. Je savourais pleinement l’incroyable moment que j’étais en train de vivre. Lorsque je m’étais levé ce dimanche matin, je n’avais jamais imaginé que je connaîtrais un moment aussi fabuleux. C’était cela, la magie de ma Princesse : elle arrivait toujours à me surprendre, que ce soit par des délices ou des supplices. Mais j’adorais cela !!! Je continuais de savonner ma Domina, mais j’étais surtout concentré sur les nombreux baisers que je déposais sur ses jolies fesses. Naturellement, en même temps, mes mains approchaient lentement des fesses  de ma Maîtresse. J’étais comme irrésistiblement attiré par Elles, j’avais envie d'y poser ma bouche, de les lécher. Cependant, lorsque je suis arrivé vraiment proche de l'ouverture magique, tout près de la porte du bonheur, ma Princesse m’a dit : « Stop ! Je ne suis pas encore prête pour cela. » Je me suis immédiatement arrêté, mais je n’ai pas besoin de vous décrire l’état d’excitation dans lequel j’étais. Je continuais à frotter doucement mon sexe sur sa cheville, cela me faisait un bien fou, je sentais monter le plaisir. Et soudainement, j’ai senti un immense frisson me parcourir tout le corps. Ce fut une jouissance extrême. Je me suis mis à trembler comme une feuille et j'ai su que ma semence indigne s’était répandue. Je fus effrayé d'avoir osé éjaculer sans autorisation sur la jambe et le pied de ma Domina. Au moment où j’ai pris conscience de ce qui venait d’arriver, un violent coup de poing m'a frappé durement le visage. J’ai perdu l’équilibre, ma tête a cogné brutalement contre le mur. Pendant quelques instants, j’ai vu des milliers de points lumineux, j’avais la tête qui tournait. Ma joue me faisait mal et encore plus ma tête. Ma Domina m’a hurlé dessus : « Tu n’es qu’un sale chien dégoûtant, incapable de se tenir correctement. Tu te frottes sur ma jambe comme un chien en chaleur, tu veux me renifler le cul comme un sale clébard et enfin tu décharges sur mon pied !!! Quelle horreur !!! » Puis ma Princesse me saisit violemment une mèche de cheveux, sur laquelle elle tira sans déménagement, pour me forcer à baiser la tête, vers ses superbes pieds. Elle en leva un et l'appuya sur le haut de mon crâne. Ainsi, mon visage était maintenu plaqué sur son autre pied, dont ma semence avait souillé la pureté et que ma Maîtresse voulait que je lèche. Malheureusement, l’eau ruisselante avait déjà nettoyé le pied et la jambe de ma Princesse, et je n’ai rien eu à lécher. J’aurais sincèrement voulu le faire pour réparer mon erreur, et de plus j’aurais aimé vivre une telle humiliation. J’entendais au son de sa voix que ma Maîtresse était vraiment extrêmement en colère. Elle me dit : « T’es vraiment trop con ! Si tu n’avais pas fait l'idiot, j’avais prévu de te faire l’honneur de te permettre de me savonner les seins. Tu aurais pu les prendre dans tes mains pour me les laver !!! T’es qu’un sale chien, incapable de te maîtriser, tu as préféré te masturber contre ma jambe, comme le vieux clébard en chaleur que tu es !!! Non seulement tu m’as désobéi en éjaculant sans mon autorisation, mais en plus tu t’es servi de ma jambe et tu m’as souillée. Tu vas devoir en assumer les conséquences. Maintenant, tu vas te prosterner et me baiser les pieds pendant le reste de ma douche, et bien entendu je ne veux plus t’entendre !!! »

Je me suis donc exécuté. J’avais commis une très grave faute, j’en avais parfaitement conscience. Et je me sentais vraiment frustré, surtout depuis que je savais que je venais de passer à côté de l’immense privilège de savonner les superbes seins de ma Princesse. Elle avait une fabuleuse poitrine qui lui permettait d’afficher un décolleté qui rendait dingue tous les garçons. Ses seins n’étaient pas spécialement gros mais tellement bien proportionnés !!! J’en avais vraiment marre d’être incapable de me retenir. Cependant, la punition que ma Princesse m’avait infligée n’en était pas vraiment une, car lui baiser les pieds était mon rêve le plus cher depuis notre rencontre.



Je n’avais pas tout perdu, bien au contraire ! Le pire, c'était ma douleur à la tête car le choc contre le mur avait était violent, mais j’avais conscience qu’il me fallait souffrir pour ma Maîtresse et, de plus, lui être reconnaissant de l’immense privilège qu'elle m'octroyait en me permettant de caresser ses pieds de ma bouche. J’étais complètement prosterné à ses pieds, je n’y voyais toujours rien à cause du masque. Pendant que je baisais amoureusement les pieds de ma Domina, je l’entendais qui continuait sa toilette. Je devinais qu'elle se savonnait les seins puis les cheveux. L’eau savonneuse coulait sur moi et sur les pieds de ma Princesse que je couvrais de baisers passionnés. Je me sentais au mieux, à part cette vive douleur à la tête qui  ne m’empêchait pas de profiter du fabuleux moment que j’étais en train de vivre.

La douche  dura encore une quinzaine de minutes environ, puis ma Princesse me donna un bon coup de pied dans le visage et me dit : « C’est bon, tu peux te relever. » Alors que j’aurais voulu que ce moment dure toujours, je fus donc obligé d’arrêter de rendre hommage à Ses Pieds. Je me suis relevé lentement en me tenant à la porte de douche. Avant d’entrer dans la cabine, j’avais posé un de mes peignoirs sur le lavabo. Ma Princesse me dit : « Débrouille-toi pour sortir de la douche sans tomber et présente-moi la sortie de bain, que je n’attrape pas froid. » Comme je connaissais très bien les lieux, j’ai réussi à sortir en me tenant et sans trébucher. Je me suis emparé du peignoir et l'ai tendu à ma Princesse. Elle est alors sortie de la douche et a enfilé le vêtement. Elle m’a dit : « Maintenant, tu peux retirer ton masque de nuit. » J’avoue que cela me fit bizarre tout à coup de n’être plus dans le noir. J’ai pu contempler ma Princesse, si belle avec ses cheveux mouillés. Je l’admirais, je la désirais tellement. Elle m’a dit : « Qu’est-ce que tu attends ? Frictionne-moi, je vais attraper froid. » Qu'elle était belle, ma Princesse, dans ce peignoir beaucoup trop grand pour elle! J’ai commencé à la frictionner. Je suis parti de ses épaules, pour descendre tout doucement le long de son corps. Ma Princesse me dit alors : « Je vois que tu bandes une fois de plus comme un fou. » Je me souviendrai toujours de ce qu’elle m’a dit ensuite : « À défaut d’être endurante, ta petit queue ridicule repars vite !! C’est toujours ça !!! Dommage qu’elle soit à peine plus grande qu’un clitoris !» Elle ria aux éclats, je n’ai rien répondu et j’ai continué de frictionner ce merveilleux corps à travers le peignoir, afin que ma Maîtresse n’attrape pas froid. Finalement, je me suis retrouvé une nouvelle fois à genoux devant elle, ma place natuelle. J’ai pris une serviette pour essuyer doucement ses pieds sublimes.  J’essuyais chaque orteil, l'un après l'autre, je passais lentement la serviette entre Eux.



Ma Domina m’a dit : « Maintenant, je vais retirer mon peignoir… Qu’est-ce que tu attends pour dégager de là ? Tu n’espères tout de même pas Me voir  toute nue, c’est même pas le peine d’en rêver ! De toute façon, si un jour je t’offrais ce privilège, ça ne servirait à rien car tu éjaculerais à la seconde même où tu découvrirais mon corps, puisque tu es totalement incapable de contenir ton tout petit robinet ! C’est bien malheureux… » Je suis donc sorti et j’ai apporté à ma Maîtresse son sac avec ses habits propres. Pendant qu’elle continuait de se préparer, je suis allé dans une autre pièce pour m’essuyer, car bien entendu, je n’avais pas encore pris le temps de le faire !! Ma Princesse m’a rappelé en me sifflant, comme on fait pour un chien. Quand je suis arrivé auprès d’elle, j’étais encore tout nu car je n’avais pas osé me rhabiller sans son autorisation. J’ai ouvert la porte de salle de bains.

 

Ma Maîtresse portait un débardeur, un jean taille basse qui me permettait de voir un peu son superbe string à paillettes.

 

 Puis, elle se mit à s'occuper de ses cheveux.  Elle était extraordinairement belle. Elle m’a dit : « Qu’est-ce que tu fous encore tout nu ? Tu n’espères pas quand même pas avoir droit à ta masturbation dominicale après ce que tu m'as fait !?" Ma Princesse disait cela car elle avait bien vu que je bandais encore très dur. En effet, à la seconde même où j’avais entendu ma Princesse me siffler, mon sexe s’était redressé automatiquement. Les humiliations ont un effet incroyable sur ma libido.

 

De nouveau, ma Maîtresse était vraiment en colère. Elle m’a hurlé dessus en me disant : « Je te préviens, ça va être abstinence totale au moins pendant quinze jours. Mais tu ne vas pas t’en sortir à si bon compte. Je suis en train de réfléchir au reste de ta punition. Tu m’énerves vraiment, avec ta petite queue minable, tendue comme un arc ! » À ce moment-là, ma Domina m’a attrapé une nouvelle fois par les cheveux. Elle m’a dit : « Viens par ici. Mets-toi à genoux dans la douche.  Je vais calmer tes ardeurs... et tu n’as pas intérêt à m’éclabousser. » Elle a pris la douchette et réglé le thermostat sur la température la plus basse. L'eau glaciale a aspergé ma queue, c'était si froid que j’ai eu l’impression d’être brûlé. Je me tortillais, tout en faisant bien attention à ne pas éclabousser ma Princesse. Je l’ai suppliée d’arrêter, en pleurant tellement j'avais atrocement froid. À la fin, ma Maîtresse s'est arrêtée et elle m’a dit : « Va te rhabiller, j’en ai plus que marre de voir ton sexe si ridicule !!! ».

 

Je peux vous jurer que l’eau glaciale fonctionne parfaitement pour mettre fin immédiatement à toute excitation. Je me suis exécuté, j’ai enfilé de nouveaux habits, puis je suis retourné voir ma Princesse qui achevait de se maquiller. Elle était vraiment splendide, plus belle et sexy que jamais. Je la désirais follement, je l’aimais de tout mon cœur !!! Il ne lui restait plus qu’à se sécher les cheveux. Quand elle a eu fini, elle est allée s'allonger sur mon lit. Comme d’habitude, je lui ai placé un coussin pour caler correctement son dos, afin qu’elle soit le mieux possible. Comme ma Princesse avait faim et soif, je lui ai préparé un plateau avec des chips et du Coca. Elle regardait tranquillement la télévision. Tout naturellement, je me suis lové contre ses pieds sublimes. Je lui ai demandé une nouvelle fois pardon pour ce qui était arrivé dans la douche. Ma Domina m’a dit : « Tu penses vraiment que tu vas t’en sortir cette fois-ci avec seulement des excuses ? Comme je te l’ai dit tout à l’heure, tu devras supporter une abstinence totale de quinze jours et n’essaie pas de me  mentir, car tu sais que lorsque tu mens je le vois immédiatement. Mais ce n’est pas tout : j’ai vraiment envie de marquer le coup. Tu dois comprendre que ce que tu as fait est inadmissible. Et fais-moi confiance, je vais te trouver une punition à la hauteur de ta faute, tu t’en souviendras, crois-moi !… » Elle ponctua Ses dires d’un coup de Pied en pleine figure. Son sourire moqueur et dur m'a littéralement glacé.




Ma Domina a repris : «  En attendant que je trouve, tu vas me masser les Pieds, et je ne veux plus t’entendre !!! ». J’ai passé le reste de l’après-midi à masser ses sublimes Pieds. J’étais heureux et profitais pleinement du moment. Néanmoins, mes pensées restaient hantées par les paroles de ma Princesse au sujet de la punition qu’elle me préparait. J'avais un peu peur car je savais désormais que ma Princesse était capable de tout…

J’ai donc terminé l’après-midi aux pieds de ma Domina. Je n’ai plus dit un mot, je ne voulais surtout pas la déranger, pendant qu’elle regardait tranquillement un film. Le soir venu, nous avons mangé dans ma chambre, puis ma Domina m’a demandé de la raccompagner. Elle ne voulait pas se coucher tard afin d'être en forme pour la semaine de révision qui approchait. En effet, nous étions au mois de mai et les premières épreuves du baccalauréat approchaient à grands pas pour ma Princesse.

Nous sommes arrivés devant chez elle. J’allais sortir de la voiture pour lui ouvrir la portière comme toujours, quand, soudain elle a agrippé mon bras et m’a dit : « Attends, il faut que je te dise quelque chose !!... Pendant que tu me massais les pieds, tout au long de la soirée, j’ai beaucoup réfléchi à ta future punition. Et j’ai trouvé. Avant de te l'annoncer, je voudrais te dire que je ne te punis pas par plaisir mais parce que tu dois comprendre que chacun de tes actes a des conséquences. Depuis plusieurs mois que nous sommes si souvent ensemble, tu sais que je commence à bien te connaître. Je t’ai bien observé, j’ai étudié tes relations avec ta famille. Tu es un enfant unique tout comme moi. Mais il y a une très grande différence entre nous. Toi, tu as toujours eu tout ce que tu voulais. Tu es un enfant gâté, tes parents t’ont toujours tout donné et je suis sûr qu’ils ne t’ont jamais puni. Malheureusement, ce n’est pas une bonne éducation, car maintenant tu te crois tout permis, comme cette après-midi dans la douche. Ce type de comportement m’exaspère au plus haut point chez toi . Il est grand temps que je corrige cela. Si tu veux poursuivre notre relation un peu spéciale, tu vas devoir faire encore beaucoup d’efforts et de progrès… »

Je me suis alors permis de demander à ma Maîtresse : « Quelle est la punition que tu me réserves ? » Elle m'a aussitôt répondu : « Eh bien, voici. Mercredi après-midi, l’une des sœurs de ma mère et sa fille qui a notre âge viendront boire le café à la maison. Tu vas me masser les pieds pendant toute l’après-midi, devant ma mère, ma tante et ma cousine. Ce sera une bonne humiliation pour toi, et cela te fera le plus grand bien !!!  »

J’ai immédiatement répondu : « Non, je ne peux pas faire cela. Je t’ai déjà massé les pieds devant ta maman, ce ne fut pas facile mais là c’est trop, je refuse !!! » Ma Domina répondit froidement : « OK, monsieur refuse ! Très bien. Je ne vais pas passer la soirée à discuter de cela, car j’ai envie d’aller dormir. Puisque tu refuses de m’obéir, je récupérerai l’intégralité de mes affaires chez toi et notre relation prendra définitivement fin. Réfléchis bien. On dit que la nuit porte conseil. Demain matin, lorsque tu viendras me chercher, si tu me dis que tu acceptes la punition, j’oublierai ton refus de ce soir. Dans le cas contraire, tout sera définitivement terminé entre nous. Et je te préviens : tu pourras ramper devant ma porte pendant des heures, des jours, des mois, tu n'auras plus rien de moi. Tu sais à quel point je peux être têtue. Si je dis que c’est terminé, ce sera définitif !!! Alors, réfléchis bien à ce que tu as à perdre. Sur ce, salut. Je t’attendrai demain matin, à 7 heures 15 comme d’habitude !!! »

Selon vous qu’ai-je décidé ? J’aimerais savoir ce que vous auriez fait à ma place ?

 

paillasson ch'ti, petit soumis frileux, timoré, fantasmeur et virtuel de Maîtresse MAEVA

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Samedi 28 novembre 6 28 /11 /Nov 07:38

Voici la suite du très bon texte du chien slavio, votre professeur émérite en orthographe!


Chapitre VIII

  Une masseuse chinoise qui aime à dominer…

Tout en parlant avec ma Femme (« Excuse-moi un instant, ma chérie… »), ma Belle-Sœur me fait signe de reposer l’écouteur en place puis rejette le drap. Voyant qu’elle veut sortir du lit, je m’empresse de lui avancer son fauteuil préféré. Sans lâcher le téléphone, elle dégage une jambe puis l’autre. Le temps que je me hâte de lui enfiler ses babouches et de m’incliner pour y poser humblement mes lèvres, elle se dresse devant moi qui suis à genoux, dans ma position naturelle. La nuisette que seul un nœud de ruban tient fermée sous les seins, bien visibles et bien fermes dans leur crémeuse opulence, est entrouverte juste devant mes yeux, dévoilant le bombé doré du ventre et le triangle d’amour moussu. Je sens sur mon visage la chaleur de la peau et mes narines palpitent à son odeur tiède, derrière laquelle je perçois celle du sexe, plus musquée.

Cédant à une irrésistible impulsion, je me penche et dépose un baiser, un seul, de nature plus religieuse qu’érotique, en plein centre de la toison délicieusement parfumée qui me chatouille le nez. Ma Belle-Sœur pousse un « Oh ! » scandalisé en même temps que son poing droit m’atteint à la tempe puis qu’elle me décoche un violent coup de pied qui rate de peu mon entrejambe et me meurtrit l’intérieur de la cuisse. « Pour qui tu te prends, espèce de… ? » grogne-t-elle sans achever sa phrase et en se laissant tomber sur son siège avant de reprendre la conversation.

« Oh rien ! Je viens juste de corriger ton mari. (…) Il m’a manqué de respect. (…) Non, pas du tout, mais il m’a baisé la foufoune sans mon autorisation. Tu te rends compte du toupet ? Mais l’incident est clos. Où en étions-nous déjà ? »

Ma Belle-Sœur et ma Femme vont encore se parler longuement. Aux réponses que j’entends, je devine qu’il est question de l’amant, de moi, de la vie ici et là-bas, des multiples plaisirs auxquels mon Épouse bien-aimée s’adonne avec son Adonis friqué, cet étalon performant que je ne peux m’empêcher d’envier et de détester… Je continue de soutenir l’appareil et dois même changer de main, tellement mon bras s’est ankylosé.

Sur un signe de ma Belle-Sœur, je me mets à croupetons au sol, face à elle. Elle lève ensemble ses jambes en un très gracieux mouvement qui me révèle fugacement la beauté fulgurante de ses cuisses et de la jointure de ses fesses, et pose la semelle de ses babouches sur mes épaules. Quelle merveille ! Quelle belle absence de rancune de la part de ma Maîtresse ! Et quelle situation pour moi ! Tout le splendide panorama de son intimité s’ouvre devant moi, moins troublant que découvert en catimini sous une robe ou une jupe, mais bien émoustillant tout de même… jusqu’au moment où ma Belle-Sœur interrompt de nouveau la conversation. (« Attends encore, ma chérie, il faut que je neutralise ton mari. Il m’agace à me zieuter le cul !… ») Elle saisit sur son chevet sa boîte de boules Quiès. « Approche tes oreilles ! » Elle me les obture. « Ouvre ta bouche en grand ! » Elle s’empare d’un des bas que je lui ai ôtés à son coucher, le roule dans sa main en laissant légèrement dépasser le pied qui pendra sous mon menton, le pousse du bout de ses doigts, tout rêche sur ma langue, vers la fond de ma gorge qui en goûte la saveur, tandis que mon nez en savoure la fragrance. Puis elle prend le bandeau pour les yeux, cadeau d’une compagnie aérienne, qu’elle porte quelquefois au lit pour mieux se reposer et qui gisait sur l’accoudoir du fauteuil. « Penche-toi, esclave ! » J’obéis. Elle me plaque le bandeau sur les yeux.



En un instant, de par la souveraine volonté d’une Femme qui se sert de moi comme d’un repose-pieds, je suis devenu sourd, muet et aveugle ! C’en est fini de ma vision préférée. Il est temps, je crois, que je comprenne qu’ici et maintenant je ne suis pas un voyeur, mais rien qu’un meuble quand ma Belle-Sœur en décide ainsi. Deux tapes sèches des pieds sur mes épaules me font savoir que je dois baisser celles-ci. Je devais les tenir trop haut pour le bon confort de ma Maîtresse… C’est une posture très pénible à tenir longtemps, mais, de nouveau immergé dans le sous-espace, je ne tiens pas à passer pour un mauvais meuble. Obéissant et heureux d’obéir, je me tasse sur moi-même et fais le dos rond.

*

Il est neuf heures et demie environ. Dans la vaste pièce que ma Belle-Sœur appelle le dressing, je suis occupé au repassage quand ma Maîtresse, l’air rayonnant, surgit à une heure où je la croyais encore au lit, dormant comme un ange. Immédiatement, fer posé sur son support, je suis à genoux, les lèvres sur ses sandales d’intérieur, en guise de bonjour muet. « Relève-toi, esclave. Tu vois ce meuble pliant rangé contre le mur ? C’est mon lit de massage. Tu vas pousser ta table à repasser sur le côté et me déplier ce lit ici, en plein milieu. Vers onze heures, ma masseuse, qui me sert aussi de manucure et de pédicure, sonnera et tu iras l’accueillir. As-tu compris ? –Oui, Maîtresse. » Je tombe à nouveau à genoux et lève la main droite, index dressé. « Parle ! – Maîtresse, votre kiné sait-elle que je suis votre esclave ? ‑ Non, mais tu feras comme si elle le savait. » J’ai compris. Ma Belle-Sœur, ne me laissant pas le temps de lui baiser les pieds, quitte la pièce en me disant : « Laisse tomber le repassage pour l’instant. Tu le finiras quand tu m’auras fait déjeuner, car je retourne me coucher et tu vas me servir mon petit déjeuner. »

Comme il m’a été ordonné, j’installe la table de massage moelleusement capitonnée de ma Maîtresse puis cours à la cuisine préparer le plateau de son premier repas. Le lui apporter ; m’agenouiller près de son lit ; lui maintenir le plateau bien à plat et bien immobile ; malgré mes yeux baissés, réussir à contempler ma Propriétaire de si près, presque à frôler sa chair ; baigner dans son atmosphère parfumée ; voir le plaisir manifeste qu’elle prend à manger et à boire ; enfin, deviner à sa mine réjouie la joie qu’elle éprouve à être servie ; voilà un des meilleurs moments de ma journée de servitude, l’un des plus gratifiants.

Et puis, j’ai un espoir secret. Une fois rassasiée, une fois qu’elle m’a fait pencher ma tête vers elle pour s’essuyer les doigts dans mes cheveux, il n’est pas rare que ma Belle-Sœur réclame à ma langue ce que, d’après Françoise Hardy, elle appelle son « premier bonheur du jour ».

Alors, plateau vite déposé sur la moquette épaisse, j’ai le droit de me glisser sous le drap de ma Déesse et d’avancer mon buste entre ses jambes qu’elle fait passer par-dessus mes épaules, bien à l’aise, ses talons calés dans mon dos. Je l’imagine fermant ses jolis yeux, dégageant ses seins de la nuisette et du drap pour pouvoir se les caresser et les sentir se gonfler et raidir leurs pointes sous ses paumes et entre ses doigts, croisant pour le moment ses mains sous sa nuque après avoir étalé sa chevelure sur l’oreiller bien gonflé qui soutient bien ses épaules, se laissant couler avec délectation dans un abandon total qui explique le soupir de bien-être que j’entends fuser de ses lèvres…

Alors, lèvres de ma bouche ventousées à celles de son sexe, paumes glissées à plat sous ses fesses rondes et fermes, je la suce avec amour, je la lèche avec ferveur,  jusqu’à ce qu’elle crie son plaisir en me broyant les joues entre ses cuisses.




Ce matin-là, c’est encore ce qui se produit pour la plus grande jubilation de ma Dominatrice et mon plus grand contentement d’esclave. Satisfaite, repue de cette première volupté, ma Belle-Sœur se soulève en creusant ses reins, puis remue ses hanches et ses fesses pour s’essuyer la vulve et ses alentours parmi mes cheveux, comme tout à l’heure ses doigts, avant de me repousser du pied. « Sors de là. Va finir ton repassage et laisse-moi me reposer. Ne me réveille surtout pas avant que tu entendes sonner. Allez, ouste ! Du balai !… »

Je sors, emportant le plateau.

*

Il est onze heures passées de quinze minutes quand retentit le carillon de l’entrée. Mon repassage est terminé depuis un moment et je suis agenouillé dans mon réduit, à brosser les vêtements de ma Belle-Sœur – vestes, blousons, chapeaux et manteaux… ‑ que j’étale pour ce faire sur une table basse. Au premier tintement, j’abandonne mon travail, réveille doucement ma Maîtresse en osant à peine lui effleurer l’épaule, et cours à l’entrée.

Une mignonne petite Chinoise un peu grassouillette, très blonde de peau mais très brune de cheveux et de sourcils, apparaît, souriant à belles dents. Elle porte une robe imprimée à motifs floraux, très gaie, largement échancrée sur sa poitrine bien meublée, assez évasée du bas, plutôt courte et d’un tissu très mobile (le genre de vêtement féminin que le voyeur impénitent que je suis adore). Des bottillons rouges montent jusque sous ses genoux gainés de noir qu’elle a bien ronds et bien jolis.

Je vois tout cela en un clin d’œil, bien sûr, car sitôt la porte repoussée, me conduisant comme si je me trouvais devant une Domina, je tombe à genoux et me prosterne pour poser mes lèvres sur le pied des bottines. J’entends un « Oh, mais qu’est-ce que c’est ? » prononcé d’une voix chantante et à peine nasalisée, presque sans accent… sans cependant que cet étonnement se traduise par un retrait des pieds, ce qui est bon signe chez une Femme.

Une porte s’ouvre dans le hall. Ma Maîtresse vient d’entrer. Je vois près de mon visage qui touche presque le plancher Ses sandales, Ses beaux ongles vernis d’un rouge foncé, l’ourlet flottant de Son déshabillé. J'ai une envie irrésistible de lécher les sompueux orteils, mais je m'abstiens, je n'en ai pas reçu l'ordre.



 Les deux Femmes s’enlacent. Certains bruits que je connais bien maintenant m’apprennent qu’au-dessus de moi elles se baisent à pleines bouches et à langue que veux-tu. Leurs baisers et leurs caresses durent plusieurs minutes car ma Belle-Sœur aime prendre son temps quand elle aime une Femme.

N’ayant pas reçu d’ordre contraire, je continue à écraser ma bouche sur les bottines… non sans lever de temps à autre mes yeux sous la robe de la visiteuse qui a de jolies jambes et de jolies cuisses mais porte malheureusement un collant sous le gousset duquel, au carrefour des cuisses dodues, se devine une sage petite culotte blanche.

« Qu’est-ce que c’est que ce drôle de monsieur, chez toi, ma toute belle ? » demande la jolie kiné quand les bouches féminines se déprennent enfin. « Eh bien, l’état civil te dirait que c’est le mari de ma Sœur, mais moi je peux t’apprendre quelque chose de bien mieux : comme tu le vois sans doute, c’est tout simplement mon esclave ! ‑ Ton esclave ! (Comme si cela lui était déjà devenu naturel, la Chinoise, qui s’écarte de ma Maîtresse et se penche sur moi, présente son autre pied à mes hommages serviles.) Et c’est pour ça qu’il me baise les bottes avec autant d’entrain ? ‑ Oui, ma chère, et pour peu que tu en manifestes l’envie, il pourra te les lécher aussi ! – Formidable ! Je peux ? Vraiment ? ‑  Mais oui, puisque je te le dis ! ‑ Alors, ça c’est extra. Je n’en reviens pas. Ça a l’air si facile… Mais attends un peu. Je vais m’asseoir une minute. J’ai fait plein de massages à des vieilles ce matin, et je suis vannée. »

Les deux Femmes, se tenant par la taille et se regardant avec amour, se dirigent vers le salon. Je les suis à genoux. Ma Belle-Sœur se laisse choir dans un fauteuil, la kiné dans celui qui lui fait face. Je suis déjà à ses pieds. « Eh bien, lèche, mon bon toutou, puisqu’il paraît que tu es fait pour ça ! » Ma Belle-Sœur rit. « Tu t’y mets vite, dis donc ! ‑ Oh, moi, tu sais, dès qu’il s’agit de rabattre leur caquet aux hommes, je ne me le fais pas dire deux fois ! Alors, tu parles, en voir un qui me lèche les bottes, c’est un vrai régal ! »

Voulant que ce joli petit bout de Femme se réjouisse un maximum, je tire ma langue autant que je peux, pour qu’elle lui soit bien visible, ce qui, je l’ai maintes fois remarqué, augmente le plaisir et le sentiment d’orgueil de la Femme qui se fait rendre cette sorte d’hommage. Je la passe bien à plat, bien mouillée et bien lentement sur les tiges, les empeignes, les talons, tentant de sourire malgré le goût âcre du cirage ou du produit d’entretien dont le cuir est imprégné.



Je ne lève pas les yeux mais je sens le regard de la visiteuse s’attarder sur ma nuque. Je pense qu’elle jubile et me demande si elle n’est pas en train d’humidifier sa si sage petite culotte.

Les deux Femmes jasent comme si de rien n’était pendant que je me pèle la langue. Ma Belle-Sœur apprend à son amie qu’en réalité je suis l’esclave de sa Sœur qui m’a prêté à elle parce qu’elle se la coule douce au Canada avec un jeune amant qui la fait jouir comme une reine. « Et tu sais quoi ? Hier, elle m’a appris au téléphone qu’elle se trouve si bien là-bas tous les deux, qu’il se montre si amoureux d’elle et qu’il lui donne tant de plaisir, qu’elle lui a demandé de prolonger leur séjour d’une quinzaine. Comme il a terminé son travail sur place et qu’il est fou d’elle, il a accepté ! ‑ Ça veut dire que tu vas disposer de celui-là pendant deux semaines de plus ? ‑ Eh oui ! ‑ Eh bien, ma cochonne, tu peux dire que tu as une sacrée chance, toi… Et moi, j’espère qu’on va se revoir bientôt ! Au fait, c’est quand notre prochaine séance de kiné ? »

C’est ainsi que j’apprends abruptement que je vais jouer malgré moi les prolongations en tant qu’esclave de ma Belle-Sœur qui, jusque-là, n’avait pas cru utile de m’en informer, étant donné que mon avis n’est d’aucune importance. En suis-je peiné ? Oui, un peu parce que ma Femme, la Dame à qui j’appartiens vraiment et pour toujours, la Tsarine à qui j’ai abandonné ma vie, me manque cruellement. En même temps, conscient que sa Sœur se comporte avec moi de façon plus rude, j’ai la consolation de me dire que, grâce à sa sévérité sans faille, je vais revenir à ma Sultane, la plus douce, la plus compréhensive des Dominas, meilleur esclave que je n’étais, plus aimant encore s’il se peut, plus dévoué, plus attentionné et sans doute plus efficace…

« Allons, toi, arrête de faire le clébard sur mes bottes. Tu es un bon chien. C’était bien bon, mais à la niche, maintenant ! Il faut que je m’occupe de ta chère Patronne… »

*

Pendant que la petite Chinoise triture avec une fermeté mêlée de tendresse les chairs de ma Belle-Sœur, allongée et à demi assoupie sur le lit de massage, n’ayant pas reçu d’ordre et ayant achevé mes tâches, je ne trouve rien de mieux à faire que de rester agenouillé près de la table. La masseuse abaisse sur moi un regard à la fois dur et rigolard. « Approche-toi un peu plus, là, sur ma droite, au bout de ma main. Oui, très bien ! Ne bouge plus. Maintenant, rejette ta tête en arrière et reste comme ça en tenant ta bouche ouverte aussi large que tu peux. Je suis certaine que je vais en avoir l’usage. »

Effectivement, l’usage en vient vite. Les petits bourrelets de crasse qu’en faisant rouler la peau sous ses doigts la masseuse extrait des pores de ma Belle-Sœur (qui n’est pourtant pas avare de douches, j’en sais quelque chose car c’est moi qui les lui donne) finissent dans ma bouche, tout comme les tampons démaquillants enduits de produits de beauté et de laits assouplissants spécifiques. « Tu n’es pas forcé de tout avaler », me dit en riant la jolie Chinoise. « Mais je dois avouer que tu me fais une poubelle très commode. Ah, ta Patronne a bien raison de dire qu’un homme peut être utile à un tas de choses pour une Femme pourvu qu’elle apprenne à s’en servir ! »

En fait, je trie ce que je reçois. Si je garde à l’intérieur de mes joues les cotons en me promettant de les recracher plus tard aux ordures, je m’empresse en revanche d’avaler avec gratitude les petites saletés, les peaux mortes et même quelques poils qui me viennent de ma Maîtresse. Ne fais-je pas la même chose quand je passe ma langue entre ses orteils après un long lèche-vitrines ou une balade en sandalettes un peu longue à la campagne ?



Et quand à sa toilette elle me donne à manger les rognures d’ongles que je lui coupe ou ce que je retire d’en dessous au bout de la lime ? Et quand elle me force à lécher la pierre ponce avec laquelle je lui ai frotté les coudes, ou encore, lorsqu' Elle prend un bain de Pieds prolongé dans la cuvette prévue à cet effet, et que je dois ensuite boire l'eau alors qu'Elle déguste un excellent champagne?

Pendant que je lui donne sa douche, une fois massée, ointe, pétrie, assainie et apaisée par les mains expertes de son amie, ma Belle-Sœur lui demande si elle a encore des visites à faire l’après-midi. La réponse est non, elle est libre. « Alors, si tu veux bien, on va manger ensemble et après on s’amusera. Est-ce que ça te dit ? ‑ Oh que oui ! Mais il sait cuisiner, celui-là ? ‑ Pas du tout. C’est son plus grave défaut. Il est nul. Tout ce qu’il sait faire c’est éplucher, préparer ce qu’on lui dit, servir, débarrasser, faire la plonge et ranger. ‑ Ce n’est déjà pas si mal pour un simple bonhomme ! Si les Chinois savaient faire ça, les Chinoises seraient plus heureuses. ‑ Ça te dirait qu’il nous fasse des sandwiches au jambon et au fromage, avec des fruits et un bon café ? ‑ Vendu comme ça. Et on aura plus de temps pour nous faire des folies au dodo. »

« Tu as entendu, esclave ? Alors qu’est-ce que tu attends pour filer à la cuisine ? » Tandis que je sors, je les vois se tomber dans les bras l’une de l’autre, ma Belle-Sœur entièrement nue, l’autre encore habillée. Seins contre seins, les mains au sommet des fesses de la partenaire, les voilà reparties à se bouffer la langue et à échanger haleines et salives, en gémissant à petits cris enamourés prometteurs de Volupté Féminine…

J’apporte le plateau avec deux sandwiches pour chacune, un « pot » (lyonnais) de côtes du Rhône, des poires, des prunes et une bouteille Thermos de café fort, des tasses, des verres, des couverts, des serviettes.

« Apporte vite une robe d’intérieur et des chaussons à mon amie et déshabille-la ! », m’ordonne ma Belle-Sœur. Agenouillé devant la jolie petite Chinoise rondelette qui reste assise, je lui ôte ses bottines, puis les chaussettes qu’elle porte en dessous, non sans baiser les unes et les autres. Elle se lève et se tourne, me regarde de là-haut, moi qui suis en bas, à Ses Pieds. Elle promène Son Pied nu, un peu moite... sur mon dos, sur mes fesses, sur le visage.Je descends la glissière de sa robe que je lui enlève avec précaution, sans oublier d’y poser mes lèvres, et ensuite je procède de même avec le collant que je déroule jusqu’aux pieds sans presque toucher la peau de la Femme ni accrocher les mailles (ma Belle-Sœur exige que j’aie toujours les ongles coupés ras : « C’est plus doux quand tu me caresses intimement et c’est mieux aussi pour mes affaires fragiles… »). Un baiser à l’entrejambe du collant, puis quand je les enlève, un autre au fond de chaque bonnet du soutien-gorge, et un dernier, pétri de davantage de recueillement encore, à la bande épaisse du joli petit slip, cette bande ouatée qui caresse tendrement le sexe de la Femme et reçoit ses précieuses émanations…

 « Il fait toujours ça ? » demande la kiné qui apparaît nue et sans la moindre gêne devant moi qui suis retombé sur mes rotules. « Quoi, ça ? ‑ Baiser religieusement tout ce qu’il nous enlève ? ‑ Oui, c’est un rite que ma  Sœur lui a imposé depuis le début de leur mariage. Elle prétend que ça maintient le mâle dans le respect de la Femme puisque même ses vêtements doivent être honorés, ennoblis qu’ils ont été par le contact avec son corps. Et je pense qu’elle a raison. ‑ Je le crois aussi. Mais il ne baise pas notre peau ? – Si, mais jamais de sa propre initiative ! L’autre jour, figure-toi que j’ai été obligée de le battre parce que, à genoux devant moi qui sortais du lit en nuisette, il avait osé me poser un baiser sur la chatte ! ‑ Oh, ce n’était pas bien grave, ni bien désagréable, et ça devait partir d’un bon sentiment de sa part. ‑ Peut-être, mais c’est grave quand même car c’est une privauté qu’un esclave ne doit jamais se permettre, dont il ne doit même pas avoir l’idée. Notre peau, il doit même craindre de lui faire sentir ses mains. Tu comprends, nous devons rester pour lui des Déesses littéralement intouchables. En revanche, si à toi il te vient une envie de recevoir baisers et caresses, là où tu veux, quand tu veux et de la manière que tu veux, il est là pour te les donner aussi longtemps que tu le désires. Ses mains, ses lèvres, sa langue, sa gorge sont à toi, comme tout le reste de sa personne, pour l’usage qu’il te plaît d’en faire. Mais sur ton ordre seulement. Sinon, tu sais, ces esclaves mâles se croient tout permis et bientôt ils réclameraient le droit de te faire l’amour ! ‑ Tu ne baises pas avec lui ? ‑ Je ne le faisais pas, pour ne pas déroger… et aussi parce qu’il n’a pas une bite terrible, mais une copine m’a persuadée que j’avais tort et, depuis, je m’en sers aussi pour faire l’amour parce qu’il bande rudement bien et me laisse tout le temps de venir. Mais lui, je ne le laisse pas jouir, bien sûr. ‑ C’est dingue ! Qu’est-ce que ça me plairait ! ‑ Ah, tu vois, toi aussi. Je crois que toute Femme normalement constituée aspire à ça : dominer un ou plusieurs hommes et en faire ce qu’elle veut pour en tirer toute sorte de plaisirs et d’avantages. »

*

Les deux Femmes mangent et boivent sans rien me proposer. Je reste à genoux à côté d’elles, prêt à répondre à leurs moindres ordres, mais trop occupées d’elles-mêmes, elles me laissent en paix. Sans trop oser les regarder en face, j’admire à la dérobée leur beauté, si différente de l’une à l’autre, mais aussi captivantes l’une que l’autre, l’une ronde et brune, l’autre élancée et blonde, l’une à la peau merveilleusement cuivrée, l’autre bronzée au soleil et aux UV. Ni l’une ni l’autre ne fait mine de cacher sa nudité. Y a-t-il un homme dans la salle ?

Elles interrompent parfois leur maigre repas pour se prendre la bouche en se caressant les seins, le dos, les hanches, et je crois bien qu’elles se donnent la becquée, qu’elles échangent de la nourriture mêlée de salive… C’est beau et émouvant à voir. J’en oublie ma faim et ma soif.


Mon site a été arbitrairement classé "X", alors je ne vais pas me géner, au risque d'énerver notre anachorète de service!

« Allez, du vent, débarrasse-moi tout ça, et rejoins-nous dans la chambre. » Je suis déjà à la porte lorsque la Chinoise ajoute, à voix très forte : « Et reviens-nous à poil et la queue au garde-à-vous, sinon gare ! » Puis, elle se ravise : « Oh, excuse-moi, chérie, je fais comme si j’étais chez moi, comme si ce type était à moi. ‑ Mais tu as bien raison. Et quand tu es chez moi, il est à toi autant qu’à moi. L’essentiel est qu’il nous serve bien et qu’il nous satisfasse toutes les deux. Pas vrai, esclave ? » Je me contente de m’incliner très bas en me tournant vers Elles sans lever les yeux, ressentant encore la sensation délicieuse de Son Pied nu sur moi... sensation éphémère, nostalgique, je n'ai pas eu l'opportunité de les lécher, de prendre Ses orteils en bouche, mille fois hélas!

 




Quand je reviens très peu de temps après, les deux Femmes se font l’amour avec tendresse. Ma Belle-Sœur est passivement allongée sur le dos, genoux légèrement remontés, cuisses ouvertes, et la Chinoise, en biais sur elle, son joli postérieur exposé à mes regards, promène sa bouche des lèvres de ma Maîtresse à ses seins, à son cou, à ses yeux, à ses cheveux, tout en lui doigtant le minou de ses phalanges expertes. Un instant, la Chinoise se retourne. « Oh, mais c’est bien raide, tout ça ! Je pourrais accrocher mon chapeau à sa petite bite ! », s’exclame-t-elle en riant. Et ma Belle-Sœur : « Occupe-toi donc de moi, pas de lui. Et toi, reste debout devant le lit, les mains sur la tête, et regarde-nous nous donner notre plaisir. » Je suis en position quand la Chinoise toussote : « Tu ne l’autoriserais pas plutôt à me lécher entre les fesses ? J’adore ça ! – Bon, si tu veux… » Déjà, je suis à plat ventre sur le lit, je me glisse entre les cuisses de la masseuse qui vient de les écarter. À deux mains, sans aucune brusquerie, j’ouvre son délicieux derrière, je fais apparaître le fond de ce vallon de chair incroyablement délicate et douce, d’un ocre très clair, je le contemple un instant avant d’oser y porter ma langue, j’admire la joliesse du petit œillet serré qui se niche là, bien au chaud, enjolivé d’un très fin duvet châtain qui doit être fort doux sous les lèvres . Mais le cul de la Chinoise frémit, elle remue ses hanches, elle s’impatiente.

Alors, lentement, posément, avec application, je vais lécher cette raie adorable, vers le haut, vers le bas, en mesurant ma salive, mouillant la peau secrète de la Chinoise mais pas trop, faisant exprès de ne pas même effleurer les bords de sa pastille anale que je vois pourtant palpiter, appelant ma caresse. Les fesses de la masseuse frémissent et je sens bien que mes attouchements lui plaisent. Entre ses cuisses, je vois s’immiscer sa main gauche (je suppose que, de l’autre, elle continue de masturber ma Belle-Sœur) et je comprends qu’elle va se toucher, elle aussi, et chercher sa propre jouissance. Puis, elle soulève un instant ses reins et pousse son beau cul vers mon visage, comme pour me dire de ne plus finasser.



Je distingue les geignements de plus en plus forts de ma Belle-Sœur de ceux, plus discrets mais non moins éloquents de son amante que je suis fier de contribuer à provoquer par mon inlassable travail lingual. Et très vite, sans que je cesse de faire aller et venir ma langue dans le cul gourmand de la masseuse, tout chaud et tout lubrifié de ma salive,  j’entends et sens les deux Femmes jouir au-dessus de moi, dans leur univers de beauté, de pouvoir et de pleine liberté, ma Belle-Sœur des caresses de sa kiné et celle-ci de l’œuvre de ma bouche et de celle de ses propres doigts.



C’est le premier orgasme de ces Dames supra-sensuelles. Ce ne sera pas le dernier ni peut-être le meilleur.

(À suivre…)

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Jeudi 26 novembre 4 26 /11 /Nov 09:11

J'ai le plaisir de publier la suite de la longue monographie de Mon chien virtuel, "paillasson ch'ti" (nouveau nom, je baptise et débaptise comme je l'entends!).... notre jeune ami n'aspire plus à être l'esclave de Celle qu'il nomme "sa Princesse",  il est son esclave, et sa soumission monte en crescendo....c'est passionnant!



FÉTICHISME ET SOUMISSION, XIII

 

 

Comme je vous l’ai expliqué, au début de ma monographie, j’ai rencontré ma Princesse par l’intermédiaire d’un de mes amis, et je suis tombé immédiatement sous Son Charme…

Voici une lettre authentique que ma Maîtresse m’a écrite quelques jours après notre rencontre. Je vous la fais partager.

« Voilà, je suis en cours avec Fabrice et je m’emmerde. Du coup, je t’écris ce mot. Ton texto d’hier m’a fait super plaisir et il m’a touchée !! C’était gentil ! Je suis super contente de vous connaître, toi et tes amis, et de vous avoir comme copains. Je le répète tout le temps : je vous adore… Si, si ! C’est vrai, je pense à toi et à tous les autres de la bande. J’ai hâte que ce soit les vacances car ça va être trop cool pour moi… Enfin, c’est ce que j’espère !! Déjà, j’ai envie de passer un bon week-end, ce serait déjà ça !! Bon, je vais te laisser pour cette fois.

À plus. Bisous

PS : Dans la bande : toi, tu es le garçon super gentil, super prévenant. Il y a ton meilleur pote, le beau gosse. Il y a aussi Nicolas, le déconneur, qui a un fort caractère. Il y a Fabrice, un peu saoulant mais qu’on adore. Il y a Michael le complexé et enfin Clément le rigolo. Vous êtes mes amis et je suis heureuse de vous avoir rencontrés. »

 

Voici la lettre que je lui ai écrite en réponse.

« Il est 20 heures, je T’ai raccompagnée, il y a à peine 45 minutes et Tu me manques déjà !!

Je n’ai plus l’habitude d’être chez moi à cette heure-là. Je ne cesse de penser à Toi. Tout d’abord, Ta lettre m’a fait super plaisir. Tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureux de T’avoir rencontrée. D’ailleurs, je ne remercierai jamais assez Fabrice de T’avoir mise sur ma route. Je crois qu’on a vraiment de la chance d’avoir tous nos amis !! C’est vrai que, parfois, il y a de petites crises entre garçons mais j’espère qu’il n’y en aura jamais entre Toi et moi !! Tu sais que je Te considère et Te considérerai toujours comme beaucoup plus qu’une Amie, je n’aime et je n’aimerai personne comme je T’aime Toi. Je serai toujours là pour Toi, je ne demande qu’une chose, c’est que Tu sois heureuse et que je puisse longtemps admirer Ton si joli sourire. J’espère que le rayon de soleil que Tu es pour moi continuera longtemps d’éclairer mon existence… J’espère que nous ne laisserons jamais la vie nous séparer car je ne sais pas comment je ferais sans Toi. D’ailleurs, je ne sais pas comment j’ai fait jusqu’à maintenant !!

Si je pouvais retirer d’un coup de baguette magique tous ceux qui Te font des misères, je le ferais, mais je ne suis pas encore magicien. En revanche, je veillerai toujours sur Toi comme sur un Trésor inestimable.

Bisous. »

 

« Je serai toujours là pour Toi » ‑ « J’espère que nous ne laisserons jamais la vie nous séparer car je ne sais pas comment je ferais sans Toi » ‑ « Je veillerai toujours sur Toi comme sur un Trésor inestimable. »

Ces phrases prennent tout leur sens aujourd’hui, lorsque l’on sait ce qui est arrivé à ma Princesse. Il y a quatre ans, lorsque j’ai écrit cette lettre, j’étais loin d’imaginer ce que la vie nous réservait, et pourtant ces phrases semblent prémonitoires…

 

Ma Princesse et moi avions de plus en plus nos petites habitudes. Conformément au pacte d’esclavage que j’avais accepté, j’obéissais en permanence aux ordres de ma Domina. Je me masturbais tous les mercredis et les dimanches, étendu devant Ses superbes Pieds, dans ma chambre.



Non....je déconne... elle ressemble plus à cela:



 En dehors de l’intimité qui nous réunissait là, nous sortions régulièrement avec ma bande d’amis. Au fur et à mesure de ces sorties, j’ai constaté un rapprochement entre ma Princesse et l’un de mes amis. Il s’agissait de Clément. C’était un garçon très comique et très communicatif. Dès la première soirée, j’avais constaté que ma Domina et lui s’entendaient très bien. Par la suite, je n’y ai pas prêté attention plus que cela. Comme je vous l’ai décrit, au début de notre rencontre, ma Princesse avait jeté son dévolu sur un autre de mes amis. Il s’agissait de Nicolas. Comme vous le savez, par respect pour notre amitié, il avait refusé de « sortir » avec ma Domina. En revanche, j’allais bientôt me rendre compte que Clément n’avait pas le même sens de la solidarité amicale. Je me rappelle parfaitement la première fois où j’ai vraiment commencé à être jaloux de lui. C’était un samedi où nous avions été invités par Nicolas à passer  toute l’après-midi chez lui. Ma Domina S’était faite très belle, comme toujours. Elle portait un débardeur qui mettait en valeur Sa si jolie Poitrine. Une superbe jupe permettait d’admirer Ses Jambes magnifiques. Et le plus beau : ma Princesse était chaussée de ces merveilleuses sandales blanches que nous avions achetées ensemble dans un magasin de Lille. Ma Domina m’avait demandé de venir La prendre chez elle après le déjeuner. Comme souvent, je L’ai observée pendant qu’Elle Se préparait. Je La désirais tellement ! Ma Maîtresse aimait me demander de La conseiller sur ce qu’Elle devait mettre pour être vraiment sexy. J’adorais les sandales blanches que j’avais achetées pour Elle. Je Lui ai donc conseillé  de les porter ce jour-là. Elle fut d’accord avec mon choix. Ma Princesse me dit : « Mais avant, tu vas Me mettre du vernis à ongles, ce sera bien plus joli. Commence par Me faire un bon massage de Mes Pieds pendant que J’achève de Me maquiller. Estime-toi heureux que Je choisisse ces chaussures, elles sont neuves, tu n’as donc pas à Me les nettoyer ! ».

Je me suis immédiatement exécuté. Je me suis mis à genoux et j’ai commencé le massage de Ses divins Pieds. Cela dura une trentaine de minutes, puis ma Domina me dit : « Maintenant il est temps d’appliquer le vernis. » Ma princesse en avait choisi un, de couleur marron, avec des reflets dorés. Je l’ai tout de suite adoré. Je me suis appliqué au maximum pour Lui vernir les Ongles de Pieds correctement, puis pour le sécher j’ai soufflé doucement sur les Orteils.



 Ma Maîtresse S’est déclarée satisfaite de mon travail. Je L’ai chaussée et nous nous sommes mis en route. En conduisant, je devais faire très attention, je ne pouvais m’empêcher de regarder, d’admirer les délicieux Pieds de ma Princesse dans ces superbes chaussures. J’étais tellement fou des Pieds de ma Domina ! Dans mon esprit, je me disais : « Tu dois patienter jusqu’à demain avant de pouvoir te masturber enfin devant les superbes Pieds de ta Princesse. »

Nous sommes arrivés chez mon ami. Toute la bande était déjà réunie. Lors de cette après-midi, j’ai vraiment constaté un réel rapprochement entre Clément et ma Maîtresse. Il n’arrêtait pas de La faire rire. À un moment, nous avons envoyé un ballon sur le toit. Clément s’est alors proposé de faire la courte échelle à ma Princesse pour qu’Elle puisse le récupérer. Je voyais mon pote la tenir par les Jambes, j’observais ses mains posées sur la Peau de ma Domina et ses yeux baladeurs sous Sa jupe… J’étais fou de jalousie. Puis ma Domina est redescendue, mon pote a commencé à Lui parler de Ses jolies chaussures. Il Lui en faisait des compliments en prenant Ses Pieds dans ses mains. J’observais toute cette scène et me sentais malade de voir mon ami caresser les Pieds de ma Maîtresse. J’entendais ma Princesse dire : « Oui, moi aussi J’adore ces chaussures, Je me suis fait plaisir en les achetant. » J’avais envie de dire « C’est moi qui les Lui ai offertes. ». Mais je devais me taire et subir ce spectacle qui me faisait si mal. Je savais que cette conduite était inhérente à mon nouveau statut d’esclave. Mon pote et ma Domina ne se sont plus quittés de la soirée. Clément est un garçon bien différent de moi. Il n’est pas timide, il est super rigolo. Dans notre bande, c’était le clown de service. Cet aspect de sa personnalité plaisait vraiment à ma Princesse qui rigolait aux éclats avec lui. De plus, Clément était bien plus beau gosse que moi...



... et au contraire de moi, il était mince. Lors de la soirée, ma Maîtresse et Clément se sont allongés tous les deux sur le canapé. Mon copain n’arrêtait pas de La taquiner et de La faire rire. Je voyais bien qu’un rapprochement s’effectuait entre eux. Toute la soirée, j’ai assisté à ce genre de scène, j’en étais malade, j’étais fou de jalousie. Je ne pouvais rien faire, je devais faire semblant que tout allait bien. J’aurais dû me douter que cela allait arriver. En effet, dès la première soirée, le courant était très bien passé entre ma Domina et mon ami, quand nous avions invité ma Princesse par l’intermédiaire de Fabrice. Ce premier soir-là, c’est moi normalement qui devais reconduire ma future Domina chez elle. Malheureusement, j’avais trop fait la fête avec mes amis, j’avais trop bu et j’étais incapable de prendre le volant. Mon ami, lui, a encore une qualité que je n’ai pas : il ne boit pas d’alcool. C’est donc lui qui a raccompagné ma Princesse à ma place. Il est clair que, dès le départ, j’étais parti sur de mauvaises bases et qu’au contraire mon ami, lui, avait marqué des points auprès d’Elle.

Pour en revenir à notre soirée, tout le monde s’était super bien amusé… à part moi, bien entendu. Tout le temps, j’ai admiré les superbes Pieds de ma Princesse dans ces sandales blanches que j’adorais et sur lesquelles je désirais tellement poser mes lèvres.



 Pendant toute notre petite fête, je n’ai pas pu m’empêcher de regarder mon ami qui n’arrêtait pas de toucher les Pieds de ma Maîtresse.



J’étais dingue de jalousie. Plus que tout au monde, je désirais rendre hommage à ses splendides Pieds. J’étais excité, je savais que je devais patienter sagement jusqu’au lendemain pour avoir le droit, comme tous les dimanches, de me masturber devant ces superbes Pieds.

Finalement, la soirée se termina au milieu de la nuit. Mon ami qui ne buvait pas, nous ramena. Il déposa en premier ma Princesse puis ce fut mon tour. Je fus rassuré que la relation ne soit pas allée plus loin ce soir-là entre mon ami et ma Domina. Mais au fond de moi, je me doutais que cela allait finir par arriver. Cela semblait inévitable et je l’appréhendais…

Le lendemain, ma Princesse me contacta comme à son habitude par « texto ». Elle me demanda une nouvelle fois si j’étais seul chez moi. Mes parents sortaient régulièrement le dimanche, j’avais donc une nouvelle fois la maison pour moi seul. J’ai donc répondu « Oui », mais avec crainte. La dernière fois que ma Princesse m’avait posé cette question, Elle m’avait annoncé Son Désir de me voir me masturber à ses divins Pieds. Alors, cette fois-ci, je me demandais ce qu’Elle m’avait préparé. Sachant que Sa Domination sur moi était de plus en plus forte, je savais qu’Elle était dorénavant capable de tout. J’ai été chercher ma Princesse chez Elle. Elle était prête, mai j’ai remarqué qu’Elle n’était ni maquillée ni coiffée. J’étais très étonné qu’Elle veuille sortir comme cela. Ma Princesse m’a ordonné d’aller directement chez moi. Lorsque nous y sommes arrivés, mes parents n’étaient pas là. Je me suis tout de suite mis à genoux pour déchausser ma Princesse. Quand nous sommes montés, Elle m’a dit : « Je vais utiliser ta salle de bains, une bonne douche va me détendre… Il y a longtemps que j’ai envie d’utiliser ta salle de bains, mais quand tes parents sont là, ce n’est pas possible, ils piqueraient encore une fois une crise... Une bonne douche va me faire beaucoup de bien. On va d’ailleurs y mettre un peu de piment. » Je connaissais ce regard malicieux de ma Princesse, je savais qu’Elle me réservait une surprise... Elle m’a dit : « Tu auras le droit à ta masturbation dominicale après Ma douche. Au fait, hier soir tu as fait la gueule toute la soirée, tout le monde l’a vu, tu devais être fou de jalousie. Mais Je suis tout de même contente de toi, tu as su te maîtriser. » Puis nous sommes allés dans la salle de bains. Ma Princesse m’a ordonné de me déshabiller. Maintenant, je n’avais plus trop de problèmes pour le faire et je me suis exécuté. Je devenais coutumier du fait de me retrouver nu devant ma Domina. J’étais donc à genoux nu devant Elle dans la salle de bains. J’ai commencé par retirer les chaussettes de ma Princesse. J’ai à nouveau découvert Ses merveilleux Pieds, que je désirais, qui m’excitaient tellement.



 Depuis la veille, j’étais déjà fou d’excitation, j’avais eu du mal à patienter jusqu'au dimanche pour me masturber et là, je devais encore attendre ! C’était dur. Je tenais les Pieds nus de ma Domina dans mes mains. J’ai commencé par les Lui masser, mais Ma Maîtresse m’a dit : « Non ! Pas tout de suite ! » Elle a pris son sac et en a sorti un masque de nuit. Elle m’a dit : « Je vais te le mettre sur les yeux. C’est un bandeau que J’utilise la nuit pour dormir paisiblement dans le noir. Tu vas venir avec Moi dans la douche et tu vas t’occuper de moi, mais il est hors de question que tu Me voies toute nue. » J’étais donc à genoux , tout nu devant ma Princesse. Elle m’a posé le masque sur les yeux. Il était très efficace, je ne voyais absolument plus rien. Ma Domina m’a pris les mains et les a posées sur Sa Taille. Elle m’a dit : « Maintenant, retire Mon pantalon. » J’ai tâtonné pour trouver le bouton du haut, je l’ai défait, puis j’ai commencé à descendre la glissière de la braguette. C’était la première fois que je déshabillais une Fille. J’étais terriblement excité. J’ai fait descendre tout doucement le pantalon le long des superbes Jambes de ma Domina. Puis Elle m’a dit : « Retire-moi Mon string, maintenant. » Je sentais mes mains trembler tandis qu’elles montaient le long de Ses Jambes. Ma Princesse S’en est rendu compte et m’a demandé : « Pourquoi trembles-tu comme une feuille ? C’est la première fois que tu retires la culotte d’une Fille ?! Ah non, c’est vrai, tu m’as dit que tu n’étais pas puceau !… » Puis Elle S’est mise à rire aux éclats. J’étais de plus en plus excité. Je sentais mon sexe être de plus en plus sous pression. J’ai attrapé peur, je me suis dit en moi-même : « Je crains de pas réussir à résister à l’excitation. » Je tenais mes mains de chaque côté du string. Je le descendais doucement. J’imaginais le Sexe de ma Domina qui se trouvait là, à quelques centimètres de mon visage, sans que malheureusement je ne puisse le voir ni le toucher, ni l’embrasser et le lécher. Ma Domina était surdouée pour me mettre dans des situations terriblement excitantes et surtout frustrantes. Ma Maîtresse m’a alors dit : « Relève-toi et retire-Moi Mon chemisier. » Là encore, bien évidemment, c’était la première fois que cela m’arrivait. J’ai ouvert les uns après les autres tous les boutons de ln chemise. J’imaginais la superbe Poitrine de ma Domina qui commençait peu à peu à apparaître, mais malheureusement je ne pouvais que l’imaginer. Enfin, ma Maîtresse m’a dit : « Retire-Moi Mon soutien-gorge, maintenant. » Là, ce fut le pire, car je n’avais jamais fait cela pour une Femme. En plus, d’avoir les yeux bandés rendait la chose encore plus difficile. Je savais que, pour la plupart des soutiens-gorge, la fermeture se trouve à l’arrière. J’essayais de la repérer, je la sentais sous mes doigts mais j’étais incapable de l’ouvrir. J’essayais encore et encore, mais je n’y arrivais pas. Ma Princesse ne tarda pas à S’agacer et me dit : « T’es vraiment bon à rien. Un homme qui est incapable de dégrafer le soutien-gorge d’une Femme n’est pour moi qu’un moins que rien. T’es bon que pour me masser les Pieds !!… Allons, il est temps d’aller dans la douche maintenant. » Ma Domina désirait depuis longtemps Se doucher chez moi. J’avais la chance d’avoir des parents bien plus aisés que les Siens. Nous avions une toute nouvelle douche, avec un système multi-jets, et ma Maîtresse avait envie d’en profiter. Nous devions le faire en cachette de mes parents car ceux-ci n’auraient pas été d’accord. Déjà qu’ils n’aimaient pas beaucoup ma Princesse, ils n’auraient jamais accepté qu’une Fille, qui n’était même pas ma petite Amie, prenne une douche chez eux. Nous sommes entrés dans la cabine. Ma Domina dut me tenir pour que je ne tombe pas. Elle m’ordonna de m’installer sur le côté. Là, il y avait un petit rebord sur lequel je me suis mis à genoux. Ma Princesse a ouvert le robinet, je sentais l’eau chaude ruisseler sur mon corps. Mon sexe était tendu au maximum, j’avais par moment l’impression qu’il allait exploser, tellement mon excitation était forte. C’est à ce moment que ma Domina me dit : Maintenant, tu vas Me savonner… ». Je vivais un moment magique, un de mes fantasmes se réalisait, mais j’avais peur, je craignais d’éjaculer prématurément, j’appréhendais de ne pas être à la hauteur…

 

paillasson ch'ti, petit soumis frileux, timoré, fantasmeur et chien virtuel de Maîtresse MAEVA

 

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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