Partager l'article ! Ma femme me prête à sa soeur (VIII): Voici la suite du très bon texte du chien slavio, votre professeur émérite en orthographe! Chapi ...
Une masseuse chinoise qui aime à dominer…
Tout en parlant avec ma Femme (« Excuse-moi un instant, ma chérie… »), ma Belle-Sœur me fait signe de reposer l’écouteur en place puis rejette
le drap. Voyant qu’elle veut sortir du lit, je m’empresse de lui avancer son fauteuil préféré. Sans lâcher le téléphone, elle dégage une jambe puis l’autre. Le temps que je me hâte de lui enfiler
ses babouches et de m’incliner pour y poser humblement mes lèvres, elle se dresse devant moi qui suis à genoux, dans ma position naturelle. La nuisette que seul un nœud de ruban tient fermée sous
les seins, bien visibles et bien fermes dans leur crémeuse opulence, est entrouverte juste devant mes yeux, dévoilant le bombé doré du ventre et le triangle d’amour moussu. Je sens sur mon visage
la chaleur de la peau et mes narines palpitent à son odeur tiède, derrière laquelle je perçois celle du sexe, plus musquée.
Cédant à une irrésistible impulsion, je me penche et dépose un baiser, un seul, de nature plus religieuse qu’érotique, en plein centre de la toison délicieusement parfumée qui me chatouille le nez. Ma Belle-Sœur pousse un « Oh ! » scandalisé en même temps que son poing droit m’atteint à la tempe puis qu’elle me décoche un violent coup de pied qui rate de peu mon entrejambe et me meurtrit l’intérieur de la cuisse. « Pour qui tu te prends, espèce de… ? » grogne-t-elle sans achever sa phrase et en se laissant tomber sur son siège avant de reprendre la conversation.
« Oh rien ! Je viens juste de corriger ton mari. (…) Il m’a manqué de respect. (…) Non, pas du tout, mais il m’a baisé la foufoune sans mon autorisation. Tu te rends compte du toupet ? Mais l’incident est clos. Où en étions-nous déjà ? »
Ma Belle-Sœur et ma Femme vont encore se parler longuement. Aux réponses que j’entends, je devine qu’il est question de l’amant, de moi, de la vie ici et là-bas, des multiples plaisirs auxquels mon Épouse bien-aimée s’adonne avec son Adonis friqué, cet étalon performant que je ne peux m’empêcher d’envier et de détester… Je continue de soutenir l’appareil et dois même changer de main, tellement mon bras s’est ankylosé.
Sur un signe de ma Belle-Sœur, je me mets à croupetons au sol, face à elle. Elle lève ensemble ses jambes en un très gracieux mouvement qui me révèle
fugacement la beauté fulgurante de ses cuisses et de la jointure de ses fesses, et pose la semelle de ses babouches sur mes épaules. Quelle merveille ! Quelle belle absence de rancune de la
part de ma Maîtresse ! Et quelle situation pour moi ! Tout le splendide panorama de son intimité s’ouvre devant moi, moins troublant que découvert en catimini sous une robe ou une jupe,
mais bien émoustillant tout de même… jusqu’au moment où ma Belle-Sœur interrompt de nouveau la conversation. (« Attends encore, ma chérie, il faut que je neutralise ton mari. Il m’agace à me
zieuter le cul !… ») Elle saisit sur son chevet sa boîte de boules Quiès. « Approche tes oreilles ! » Elle me les obture. « Ouvre ta bouche en grand ! »
Elle s’empare d’un des bas que je lui ai ôtés à son coucher, le roule dans sa main en laissant légèrement dépasser le pied qui pendra sous mon menton, le pousse du bout de ses doigts, tout rêche
sur ma langue, vers la fond de ma gorge qui en goûte la saveur, tandis que mon nez en savoure la fragrance. Puis elle prend le bandeau pour les yeux, cadeau d’une compagnie aérienne, qu’elle
porte quelquefois au lit pour mieux se reposer et qui gisait sur l’accoudoir du fauteuil. « Penche-toi, esclave ! » J’obéis. Elle me plaque le bandeau sur les yeux.
En un instant, de par la souveraine volonté d’une Femme qui se sert de moi comme d’un repose-pieds, je suis devenu sourd, muet et aveugle ! C’en est fini de ma vision préférée. Il est temps,
je crois, que je comprenne qu’ici et maintenant je ne suis pas un voyeur, mais rien qu’un meuble quand ma Belle-Sœur en décide ainsi. Deux tapes sèches des pieds sur mes épaules me font savoir
que je dois baisser celles-ci. Je devais les tenir trop haut pour le bon confort de ma Maîtresse… C’est une posture très pénible à tenir longtemps, mais, de nouveau immergé dans le sous-espace,
je ne tiens pas à passer pour un mauvais meuble. Obéissant et heureux d’obéir, je me tasse sur moi-même et fais le dos rond.
*
Il est neuf heures et demie environ. Dans la vaste pièce que ma Belle-Sœur appelle le dressing, je suis occupé au repassage quand ma Maîtresse, l’air rayonnant, surgit à une heure où je la croyais encore au lit, dormant comme un ange. Immédiatement, fer posé sur son support, je suis à genoux, les lèvres sur ses sandales d’intérieur, en guise de bonjour muet. « Relève-toi, esclave. Tu vois ce meuble pliant rangé contre le mur ? C’est mon lit de massage. Tu vas pousser ta table à repasser sur le côté et me déplier ce lit ici, en plein milieu. Vers onze heures, ma masseuse, qui me sert aussi de manucure et de pédicure, sonnera et tu iras l’accueillir. As-tu compris ? –Oui, Maîtresse. » Je tombe à nouveau à genoux et lève la main droite, index dressé. « Parle ! – Maîtresse, votre kiné sait-elle que je suis votre esclave ? ‑ Non, mais tu feras comme si elle le savait. » J’ai compris. Ma Belle-Sœur, ne me laissant pas le temps de lui baiser les pieds, quitte la pièce en me disant : « Laisse tomber le repassage pour l’instant. Tu le finiras quand tu m’auras fait déjeuner, car je retourne me coucher et tu vas me servir mon petit déjeuner. »
Comme il m’a été ordonné, j’installe la table de massage moelleusement capitonnée de ma Maîtresse puis cours à la cuisine préparer le plateau de son premier repas. Le lui apporter ; m’agenouiller près de son lit ; lui maintenir le plateau bien à plat et bien immobile ; malgré mes yeux baissés, réussir à contempler ma Propriétaire de si près, presque à frôler sa chair ; baigner dans son atmosphère parfumée ; voir le plaisir manifeste qu’elle prend à manger et à boire ; enfin, deviner à sa mine réjouie la joie qu’elle éprouve à être servie ; voilà un des meilleurs moments de ma journée de servitude, l’un des plus gratifiants.
Et puis, j’ai un espoir secret. Une fois rassasiée, une fois qu’elle m’a fait pencher ma tête vers elle pour s’essuyer les doigts dans mes cheveux, il n’est pas rare que ma Belle-Sœur réclame à ma langue ce que, d’après Françoise Hardy, elle appelle son « premier bonheur du jour ».
Alors, plateau vite déposé sur la moquette épaisse, j’ai le droit de me glisser sous le drap de ma Déesse et d’avancer mon buste entre ses jambes qu’elle fait passer par-dessus mes épaules, bien à l’aise, ses talons calés dans mon dos. Je l’imagine fermant ses jolis yeux, dégageant ses seins de la nuisette et du drap pour pouvoir se les caresser et les sentir se gonfler et raidir leurs pointes sous ses paumes et entre ses doigts, croisant pour le moment ses mains sous sa nuque après avoir étalé sa chevelure sur l’oreiller bien gonflé qui soutient bien ses épaules, se laissant couler avec délectation dans un abandon total qui explique le soupir de bien-être que j’entends fuser de ses lèvres…
Alors, lèvres de ma bouche ventousées à celles de son sexe, paumes glissées à plat sous ses fesses rondes et fermes, je la suce avec amour, je la lèche
avec ferveur, jusqu’à ce qu’elle crie son plaisir en me broyant les joues entre ses cuisses.
Ce matin-là, c’est encore ce qui se produit pour la plus grande jubilation de ma Dominatrice et mon plus grand contentement d’esclave. Satisfaite, repue de cette première volupté, ma Belle-Sœur
se soulève en creusant ses reins, puis remue ses hanches et ses fesses pour s’essuyer la vulve et ses alentours parmi mes cheveux, comme tout à l’heure ses doigts, avant de me repousser du pied.
« Sors de là. Va finir ton repassage et laisse-moi me reposer. Ne me réveille surtout pas avant que tu entendes sonner. Allez, ouste ! Du balai !… »
Je sors, emportant le plateau.
*
Il est onze heures passées de quinze minutes quand retentit le carillon de l’entrée. Mon repassage est terminé depuis un moment et je suis agenouillé dans mon réduit, à brosser les vêtements de ma Belle-Sœur – vestes, blousons, chapeaux et manteaux… ‑ que j’étale pour ce faire sur une table basse. Au premier tintement, j’abandonne mon travail, réveille doucement ma Maîtresse en osant à peine lui effleurer l’épaule, et cours à l’entrée.
Une mignonne petite Chinoise un peu grassouillette, très blonde de peau mais très brune de cheveux et de sourcils, apparaît, souriant à belles dents. Elle porte une robe imprimée à motifs floraux, très gaie, largement échancrée sur sa poitrine bien meublée, assez évasée du bas, plutôt courte et d’un tissu très mobile (le genre de vêtement féminin que le voyeur impénitent que je suis adore). Des bottillons rouges montent jusque sous ses genoux gainés de noir qu’elle a bien ronds et bien jolis.
Je vois tout cela en un clin d’œil, bien sûr, car sitôt la porte repoussée, me conduisant comme si je me trouvais devant une Domina, je tombe à genoux et me prosterne pour poser mes lèvres sur le pied des bottines. J’entends un « Oh, mais qu’est-ce que c’est ? » prononcé d’une voix chantante et à peine nasalisée, presque sans accent… sans cependant que cet étonnement se traduise par un retrait des pieds, ce qui est bon signe chez une Femme.
Une porte s’ouvre dans le hall. Ma Maîtresse vient d’entrer. Je vois près de mon visage qui touche presque le plancher Ses sandales, Ses beaux ongles
vernis d’un rouge foncé, l’ourlet flottant de Son déshabillé. J'ai une envie irrésistible de lécher les sompueux orteils, mais je m'abstiens, je n'en ai pas reçu l'ordre.
Les deux Femmes s’enlacent. Certains bruits que je connais bien maintenant m’apprennent qu’au-dessus de moi elles se baisent à pleines bouches et à langue que veux-tu. Leurs baisers et
leurs caresses durent plusieurs minutes car ma Belle-Sœur aime prendre son temps quand elle aime une Femme.
N’ayant pas reçu d’ordre contraire, je continue à écraser ma bouche sur les bottines… non sans lever de temps à autre mes yeux sous la robe de la visiteuse qui a de jolies jambes et de jolies cuisses mais porte malheureusement un collant sous le gousset duquel, au carrefour des cuisses dodues, se devine une sage petite culotte blanche.
« Qu’est-ce que c’est que ce drôle de monsieur, chez toi, ma toute belle ? » demande la jolie kiné quand les bouches féminines se déprennent enfin. « Eh bien, l’état civil te dirait que c’est le mari de ma Sœur, mais moi je peux t’apprendre quelque chose de bien mieux : comme tu le vois sans doute, c’est tout simplement mon esclave ! ‑ Ton esclave ! (Comme si cela lui était déjà devenu naturel, la Chinoise, qui s’écarte de ma Maîtresse et se penche sur moi, présente son autre pied à mes hommages serviles.) Et c’est pour ça qu’il me baise les bottes avec autant d’entrain ? ‑ Oui, ma chère, et pour peu que tu en manifestes l’envie, il pourra te les lécher aussi ! – Formidable ! Je peux ? Vraiment ? ‑ Mais oui, puisque je te le dis ! ‑ Alors, ça c’est extra. Je n’en reviens pas. Ça a l’air si facile… Mais attends un peu. Je vais m’asseoir une minute. J’ai fait plein de massages à des vieilles ce matin, et je suis vannée. »
Les deux Femmes, se tenant par la taille et se regardant avec amour, se dirigent vers le salon. Je les suis à genoux. Ma Belle-Sœur se laisse choir dans un fauteuil, la kiné dans celui qui lui fait face. Je suis déjà à ses pieds. « Eh bien, lèche, mon bon toutou, puisqu’il paraît que tu es fait pour ça ! » Ma Belle-Sœur rit. « Tu t’y mets vite, dis donc ! ‑ Oh, moi, tu sais, dès qu’il s’agit de rabattre leur caquet aux hommes, je ne me le fais pas dire deux fois ! Alors, tu parles, en voir un qui me lèche les bottes, c’est un vrai régal ! »
Voulant que ce joli petit bout de Femme se réjouisse un maximum, je tire ma langue autant que je peux, pour qu’elle lui soit bien visible, ce qui, je
l’ai maintes fois remarqué, augmente le plaisir et le sentiment d’orgueil de la Femme qui se fait rendre cette sorte d’hommage. Je la passe bien à plat, bien mouillée et bien lentement sur les
tiges, les empeignes, les talons, tentant de sourire malgré le goût âcre du cirage ou du produit d’entretien dont le cuir est imprégné.
Je ne lève pas les yeux mais je sens le regard de la visiteuse s’attarder sur ma nuque. Je pense qu’elle jubile et me demande si elle n’est pas en train d’humidifier sa si sage petite
culotte.
Les deux Femmes jasent comme si de rien n’était pendant que je me pèle la langue. Ma Belle-Sœur apprend à son amie qu’en réalité je suis l’esclave de sa Sœur qui m’a prêté à elle parce qu’elle se la coule douce au Canada avec un jeune amant qui la fait jouir comme une reine. « Et tu sais quoi ? Hier, elle m’a appris au téléphone qu’elle se trouve si bien là-bas tous les deux, qu’il se montre si amoureux d’elle et qu’il lui donne tant de plaisir, qu’elle lui a demandé de prolonger leur séjour d’une quinzaine. Comme il a terminé son travail sur place et qu’il est fou d’elle, il a accepté ! ‑ Ça veut dire que tu vas disposer de celui-là pendant deux semaines de plus ? ‑ Eh oui ! ‑ Eh bien, ma cochonne, tu peux dire que tu as une sacrée chance, toi… Et moi, j’espère qu’on va se revoir bientôt ! Au fait, c’est quand notre prochaine séance de kiné ? »
C’est ainsi que j’apprends abruptement que je vais jouer malgré moi les prolongations en tant qu’esclave de ma Belle-Sœur qui, jusque-là, n’avait pas cru utile de m’en informer, étant donné que mon avis n’est d’aucune importance. En suis-je peiné ? Oui, un peu parce que ma Femme, la Dame à qui j’appartiens vraiment et pour toujours, la Tsarine à qui j’ai abandonné ma vie, me manque cruellement. En même temps, conscient que sa Sœur se comporte avec moi de façon plus rude, j’ai la consolation de me dire que, grâce à sa sévérité sans faille, je vais revenir à ma Sultane, la plus douce, la plus compréhensive des Dominas, meilleur esclave que je n’étais, plus aimant encore s’il se peut, plus dévoué, plus attentionné et sans doute plus efficace…
« Allons, toi, arrête de faire le clébard sur mes bottes. Tu es un bon chien. C’était bien bon, mais à la niche, maintenant ! Il faut que je m’occupe de ta chère Patronne… »
*
Pendant que la petite Chinoise triture avec une fermeté mêlée de tendresse les chairs de ma Belle-Sœur, allongée et à demi assoupie sur le lit de massage, n’ayant pas reçu d’ordre et ayant achevé mes tâches, je ne trouve rien de mieux à faire que de rester agenouillé près de la table. La masseuse abaisse sur moi un regard à la fois dur et rigolard. « Approche-toi un peu plus, là, sur ma droite, au bout de ma main. Oui, très bien ! Ne bouge plus. Maintenant, rejette ta tête en arrière et reste comme ça en tenant ta bouche ouverte aussi large que tu peux. Je suis certaine que je vais en avoir l’usage. »
Effectivement, l’usage en vient vite. Les petits bourrelets de crasse qu’en faisant rouler la peau sous ses doigts la masseuse extrait des pores de ma Belle-Sœur (qui n’est pourtant pas avare de douches, j’en sais quelque chose car c’est moi qui les lui donne) finissent dans ma bouche, tout comme les tampons démaquillants enduits de produits de beauté et de laits assouplissants spécifiques. « Tu n’es pas forcé de tout avaler », me dit en riant la jolie Chinoise. « Mais je dois avouer que tu me fais une poubelle très commode. Ah, ta Patronne a bien raison de dire qu’un homme peut être utile à un tas de choses pour une Femme pourvu qu’elle apprenne à s’en servir ! »
En fait, je trie ce que je reçois. Si je garde à l’intérieur de mes joues les cotons en me promettant de les recracher plus tard aux ordures, je
m’empresse en revanche d’avaler avec gratitude les petites saletés, les peaux mortes et même quelques poils qui me viennent de ma Maîtresse. Ne fais-je pas la même chose quand je passe ma langue
entre ses orteils après un long lèche-vitrines ou une balade en sandalettes un peu longue à la campagne ?
Et quand à sa toilette elle me donne à manger les rognures d’ongles que je lui coupe ou ce que je retire d’en dessous au bout de la lime ? Et quand elle me force à lécher la pierre ponce
avec laquelle je lui ai frotté les coudes, ou encore, lorsqu' Elle prend un bain de Pieds prolongé dans la cuvette prévue à cet effet, et que je dois ensuite boire l'eau alors
qu'Elle déguste un excellent champagne?
Pendant que je lui donne sa douche, une fois massée, ointe, pétrie, assainie et apaisée par les mains expertes de son amie, ma Belle-Sœur lui demande si elle a encore des visites à faire l’après-midi. La réponse est non, elle est libre. « Alors, si tu veux bien, on va manger ensemble et après on s’amusera. Est-ce que ça te dit ? ‑ Oh que oui ! Mais il sait cuisiner, celui-là ? ‑ Pas du tout. C’est son plus grave défaut. Il est nul. Tout ce qu’il sait faire c’est éplucher, préparer ce qu’on lui dit, servir, débarrasser, faire la plonge et ranger. ‑ Ce n’est déjà pas si mal pour un simple bonhomme ! Si les Chinois savaient faire ça, les Chinoises seraient plus heureuses. ‑ Ça te dirait qu’il nous fasse des sandwiches au jambon et au fromage, avec des fruits et un bon café ? ‑ Vendu comme ça. Et on aura plus de temps pour nous faire des folies au dodo. »
« Tu as entendu, esclave ? Alors qu’est-ce que tu attends pour filer à la cuisine ? » Tandis que je sors, je les vois se tomber dans les bras l’une de l’autre, ma Belle-Sœur entièrement nue, l’autre encore habillée. Seins contre seins, les mains au sommet des fesses de la partenaire, les voilà reparties à se bouffer la langue et à échanger haleines et salives, en gémissant à petits cris enamourés prometteurs de Volupté Féminine…
J’apporte le plateau avec deux sandwiches pour chacune, un « pot » (lyonnais) de côtes du Rhône, des poires, des prunes et une bouteille Thermos de café fort, des tasses, des verres, des couverts, des serviettes.
« Apporte vite une robe d’intérieur et des chaussons à mon amie et déshabille-la ! », m’ordonne ma Belle-Sœur. Agenouillé devant la jolie petite Chinoise rondelette qui reste assise, je lui ôte ses bottines, puis les chaussettes qu’elle porte en dessous, non sans baiser les unes et les autres. Elle se lève et se tourne, me regarde de là-haut, moi qui suis en bas, à Ses Pieds. Elle promène Son Pied nu, un peu moite... sur mon dos, sur mes fesses, sur le visage.Je descends la glissière de sa robe que je lui enlève avec précaution, sans oublier d’y poser mes lèvres, et ensuite je procède de même avec le collant que je déroule jusqu’aux pieds sans presque toucher la peau de la Femme ni accrocher les mailles (ma Belle-Sœur exige que j’aie toujours les ongles coupés ras : « C’est plus doux quand tu me caresses intimement et c’est mieux aussi pour mes affaires fragiles… »). Un baiser à l’entrejambe du collant, puis quand je les enlève, un autre au fond de chaque bonnet du soutien-gorge, et un dernier, pétri de davantage de recueillement encore, à la bande épaisse du joli petit slip, cette bande ouatée qui caresse tendrement le sexe de la Femme et reçoit ses précieuses émanations…
« Il fait toujours ça ? » demande la kiné qui apparaît nue et sans la moindre gêne devant moi qui suis retombé sur mes rotules. « Quoi, ça ? ‑ Baiser religieusement tout ce qu’il nous enlève ? ‑ Oui, c’est un rite que ma Sœur lui a imposé depuis le début de leur mariage. Elle prétend que ça maintient le mâle dans le respect de la Femme puisque même ses vêtements doivent être honorés, ennoblis qu’ils ont été par le contact avec son corps. Et je pense qu’elle a raison. ‑ Je le crois aussi. Mais il ne baise pas notre peau ? – Si, mais jamais de sa propre initiative ! L’autre jour, figure-toi que j’ai été obligée de le battre parce que, à genoux devant moi qui sortais du lit en nuisette, il avait osé me poser un baiser sur la chatte ! ‑ Oh, ce n’était pas bien grave, ni bien désagréable, et ça devait partir d’un bon sentiment de sa part. ‑ Peut-être, mais c’est grave quand même car c’est une privauté qu’un esclave ne doit jamais se permettre, dont il ne doit même pas avoir l’idée. Notre peau, il doit même craindre de lui faire sentir ses mains. Tu comprends, nous devons rester pour lui des Déesses littéralement intouchables. En revanche, si à toi il te vient une envie de recevoir baisers et caresses, là où tu veux, quand tu veux et de la manière que tu veux, il est là pour te les donner aussi longtemps que tu le désires. Ses mains, ses lèvres, sa langue, sa gorge sont à toi, comme tout le reste de sa personne, pour l’usage qu’il te plaît d’en faire. Mais sur ton ordre seulement. Sinon, tu sais, ces esclaves mâles se croient tout permis et bientôt ils réclameraient le droit de te faire l’amour ! ‑ Tu ne baises pas avec lui ? ‑ Je ne le faisais pas, pour ne pas déroger… et aussi parce qu’il n’a pas une bite terrible, mais une copine m’a persuadée que j’avais tort et, depuis, je m’en sers aussi pour faire l’amour parce qu’il bande rudement bien et me laisse tout le temps de venir. Mais lui, je ne le laisse pas jouir, bien sûr. ‑ C’est dingue ! Qu’est-ce que ça me plairait ! ‑ Ah, tu vois, toi aussi. Je crois que toute Femme normalement constituée aspire à ça : dominer un ou plusieurs hommes et en faire ce qu’elle veut pour en tirer toute sorte de plaisirs et d’avantages. »
*
Les deux Femmes mangent et boivent sans rien me proposer. Je reste à genoux à côté d’elles, prêt à répondre à leurs moindres ordres, mais trop occupées d’elles-mêmes, elles me laissent en paix. Sans trop oser les regarder en face, j’admire à la dérobée leur beauté, si différente de l’une à l’autre, mais aussi captivantes l’une que l’autre, l’une ronde et brune, l’autre élancée et blonde, l’une à la peau merveilleusement cuivrée, l’autre bronzée au soleil et aux UV. Ni l’une ni l’autre ne fait mine de cacher sa nudité. Y a-t-il un homme dans la salle ?
Elles interrompent parfois leur maigre repas pour se prendre la bouche en se caressant les seins, le dos, les hanches, et je crois bien qu’elles se
donnent la becquée, qu’elles échangent de la nourriture mêlée de salive… C’est beau et émouvant à voir. J’en oublie ma faim et ma soif.
Mon site a été arbitrairement classé "X", alors je ne vais pas me géner, au risque d'énerver notre anachorète de service!
« Allez, du vent, débarrasse-moi tout ça, et rejoins-nous dans la chambre. » Je suis déjà à la porte lorsque la Chinoise ajoute, à voix très forte : « Et reviens-nous à poil
et la queue au garde-à-vous, sinon gare ! » Puis, elle se ravise : « Oh, excuse-moi, chérie, je fais comme si j’étais chez moi, comme si ce type était à moi. ‑ Mais tu as bien
raison. Et quand tu es chez moi, il est à toi autant qu’à moi. L’essentiel est qu’il nous serve bien et qu’il nous satisfasse toutes les deux. Pas vrai, esclave ? » Je me contente de
m’incliner très bas en me tournant vers Elles sans lever les yeux, ressentant encore la sensation délicieuse de Son Pied nu sur moi... sensation éphémère, nostalgique, je n'ai pas eu
l'opportunité de les lécher, de prendre Ses orteils en bouche, mille fois hélas!
Quand je reviens très peu de temps après, les deux Femmes se font l’amour avec tendresse. Ma Belle-Sœur est passivement allongée sur le dos, genoux légèrement remontés, cuisses ouvertes, et la
Chinoise, en biais sur elle, son joli postérieur exposé à mes regards, promène sa bouche des lèvres de ma Maîtresse à ses seins, à son cou, à ses yeux, à ses cheveux, tout en lui doigtant le
minou de ses phalanges expertes. Un instant, la Chinoise se retourne. « Oh, mais c’est bien raide, tout ça ! Je pourrais accrocher mon chapeau à sa petite bite ! »,
s’exclame-t-elle en riant. Et ma Belle-Sœur : « Occupe-toi donc de moi, pas de lui. Et toi, reste debout devant le lit, les mains sur la tête, et regarde-nous nous donner notre
plaisir. » Je suis en position quand la Chinoise toussote : « Tu ne l’autoriserais pas plutôt à me lécher entre les fesses ? J’adore ça ! – Bon, si tu veux… » Déjà,
je suis à plat ventre sur le lit, je me glisse entre les cuisses de la masseuse qui vient de les écarter. À deux mains, sans aucune brusquerie, j’ouvre son délicieux derrière, je fais apparaître
le fond de ce vallon de chair incroyablement délicate et douce, d’un ocre très clair, je le contemple un instant avant d’oser y porter ma langue, j’admire la joliesse du petit œillet serré qui se
niche là, bien au chaud, enjolivé d’un très fin duvet châtain qui doit être fort doux sous les lèvres . Mais le cul de la Chinoise frémit, elle remue ses hanches, elle
s’impatiente.
Alors, lentement, posément, avec application, je vais lécher cette raie adorable, vers le haut, vers le bas, en mesurant ma salive, mouillant la peau
secrète de la Chinoise mais pas trop, faisant exprès de ne pas même effleurer les bords de sa pastille anale que je vois pourtant palpiter, appelant ma caresse. Les fesses de la masseuse
frémissent et je sens bien que mes attouchements lui plaisent. Entre ses cuisses, je vois s’immiscer sa main gauche (je suppose que, de l’autre, elle continue de masturber ma Belle-Sœur) et je
comprends qu’elle va se toucher, elle aussi, et chercher sa propre jouissance. Puis, elle soulève un instant ses reins et pousse son beau cul vers mon visage, comme pour me dire de ne plus
finasser.
Je distingue les geignements de plus en plus forts de ma Belle-Sœur de ceux, plus discrets mais non moins éloquents de son amante que je suis fier de contribuer à provoquer par mon inlassable
travail lingual. Et très vite, sans que je cesse de faire aller et venir ma langue dans le cul gourmand de la masseuse, tout chaud et tout lubrifié de ma salive, j’entends et sens les deux
Femmes jouir au-dessus de moi, dans leur univers de beauté, de pouvoir et de pleine liberté, ma Belle-Sœur des caresses de sa kiné et celle-ci de l’œuvre de ma bouche et de celle de ses propres
doigts.
C’est le premier orgasme de ces Dames supra-sensuelles. Ce ne sera pas le dernier ni peut-être le meilleur.
(À suivre…)
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