Mercredi 16 décembre 3 16 /12 /Déc 22:24

Je ne peux pas attendre, même sans images (merci overbog...), je publie la suite de la monographie de "paillasson ch'ti", cela devient de plus en plus excitant, et j'espère que la source de cette inspiration, fondée sur des évènements réels, vécus, et assumés (et ce n'est pas rien!), j'espère qu'elle dure encore au moins une bonne vingtaine d'épisodes, un jour, il faudra bien écrire le mot "fin"à cette autobiographie D/s, souhaitons que cela l'aide dans son travail de deuil..... "paillasson ch'ti est une personne sincère et belle, il mérite un peu de bonheur dans sa vie, et il est tout jeune, à défaut d'être tout neuf..... il a déja beaucoup vécu.... je réalise que ces fragments autobiographiques pourraient faire l'objet d'un livre, d'un bon livre.... écrit avec le sang ("Ecris avec ton sang et tu sauras que le sang est esprit" F.N.)
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FÉTICHISME ET SOUMISSION, XVI

 

Je suis à genoux devant les pieds sublimes de ma Princesse et je les tiens dans mes mains. Je continue de les lui masser, encore et encore, avec dévotion et toujours autant de plaisir !!!

En même temps, je ne peux m’empêcher d’admirer les superbes bottes noires à haut talon de Lucie, la cousine de ma Domina. J’ai conscience que cela n’est peut-être pas correct mais je n’arrête pas d’imaginer les pieds de Lucie à l’intérieur. J’ai remarqué que ses bottes sont sales, et j’ai envie de les lui nettoyer, de les cirer, mieux : Je rêve de pouvoir les nettoyer de ma langue, j’ai envie de la sensation du cuir sous ma langue, mais cela demeure un fantasme, même avec ma Maîtresse, je n’ai pas encore réalisé ce rêve de soumission absolue.

 Il m’est impossible de ne pas rêver aux pieds de Lucie, tant je suis persuadé qu’ils sont très jolis. J'aspire à les tenir dans mes mains. Je suis pourtant comblé aux pieds de ma Maîtresse et j’ai conscience  que ce n’est pas bien de penser à ceux d’une autre femme. Mais depuis que Lucie a demandé à ma Princesse de me prêter à elle, je n’ai qu’un désir, c’est que ma Domina dise « Oui ».

Je ne vais pas tarder à avoir la réponse. Lucie continue d’insister auprès de ma Maîtresse. Elle lui dit : « Allez, s’il te plaît, j’ai trop envie qu’il me masse les pieds ! Juste une fois !... Cela a l’air tellement agréable !!! » Ma Princesse hésite, elle répond à sa cousine : « Tu sais que j’ai horreur de prêter mes affaires !!! Alors te confier mon esclave de pieds attitré… Franchement, je ne suis pas chaude. »

Lucie fait une drôle de tête, elle est stupéfaite par ce qu’elle vient d’entendre et s'exclame : « Tu l’as appelé ton esclave de pieds !? » Moi aussi, je suis très étonné, mais surtout très heureux, de la manière dont ma Princesse parle de moi. C’est la première qu’elle m’appelle ainsi, et j’adore, au point que mon petit zizi devient presque grand, il se dresse, tant cette appellation est excitante et convient parfaitement à mes ambitions : « esclave de pieds ! Non ! Esclave de Ses Pieds Divins ! »À l’époque, j’avais déjà lu cette expression sur internet. J’avais immédiatement su, au fond de moi, que ce terme me correspondait à merveille. D’ailleurs, rien que d’imaginer que l’on puisse m’appeler comme cela suffisait à me déclencher une érection. J’avoue que je n’aurais jamais imaginé qu’un jour ma Maîtresse m’appellerait de la sorte. C’était incroyable, car en ces temps-là, plus les jours passaient et plus tous mes rêves et mes fantasmes se réalisaient les uns après les autres. C’était comme si ma Princesse pouvait lire dans mes pensées, dans mes désirs. C’était vraiment inouï !!!

Devant ces deux jolies filles, je suis à la fois humilié et excité au plus haut point. Je me sens de plus en plus serré dans mon slip. Ma Princesse répond à sa cousine : « Pourquoi fais-tu cette tête ? Ce nom lui convient parfaitement. Comme tu as toujours été super- cool avec moi, comme tu as toujours été là lorsque j’avais des problèmes avec les mecs, et dieu sait que j’en ai eu, je vais te rendre la pareille. Juste pour une fois, je vais te prêter mon esclave de pieds. Mais avant, il va nettoyer tes bottes, car elles sont toutes sales. Moi, c’est quotidiennement qu’il nettoie les miennes !!! » Lorsque j’entends cela, je suis aux anges. Rappelez-vous qu’au départ, cette après-midi devait être terrible pour moi. Finalement, non seulement l’humiliation s’est plutôt bien passée mais j’apprécie même de plus en plus la présence de Lucie. J’avais le fantasme de lui nettoyer ses bottes et de lui masser doucement les pieds. Ma Princesse vient de dire « Oui » à sa cousine et mon fantasme va donc devenir réalité !!! La terrible après-midi se transforme en après-midi de rêve !!!

Ma Domina ouvre un tiroir de sa table de nuit, elle prend un chiffon et du cirage. Elle me jette le tout au visage et m’ordonne : « Maintenant, nettoie les bottes de ma cousine !!! » Mon rêve aurait été parfait si ma Princesse m’avait ordonné de nettoyer ces bottes de ma langue servile, mais il ne faut pas trop en demander, je suis déjà tellement heureux ainsi…

Je lâche donc les pieds de ma Domina et je me tourne légèrement vers Lucie. Je vais porter mes mains sur ses bottes quand ma Princesse m’inflige un violent coup de pied dans le nez. Elle me dit : « Avant de commencer, demande à ma cousine l’autorisation de nettoyer ses bottes ! » Lucie s'étonne : « Mais pourquoi es-tu aussi violente avec lui ? Tu lui as fait mal avec ton coup de pied ! » Ma Maîtresse la rassure : « Ne t’inquiète pas, ma chère cousine, il est habitué. Recevoir des coups de Pieds de moi est son bonheur. Regarde la belle marque qu’il a sur la joue. C’est un souvenir d’une après-midi où il m’a désobéi. »

Je me tourne vers Lucie, je lève la tête vers son visage, je lui demande humblement l’autorisation de nettoyer ses bottes. Elle me regarde, les yeux grand ouverts, me sourit et me répond, d’une voix douce et ultra sensuelle : «Oui, je t’y autorise.» Maintenant, c’est sur les bottes de Lucie que je me concentre. Elles sont assez sales et je m’applique à les frotter doucement, pour en enlever toute la boue. Puis, quand j’ai retiré le plus gros de la saleté, je m’apprête à cirer ces superbes bottes. C’est alors que Lucie me donne un petit coup avec la pointe de sa botte sur le menton et me dit : "Cesse de nettoyer mes bottes. J’ai trop envie que tu me masses les pieds. » Ma Princesse lui fait observer : « Eh bien, ma chère cousine, je vois que tu apprends vite !!! » Je me mets tout de suite en devoir de retirer les superbes bottes de Lucie. J’ouvre d’abord doucement la fermeture à glissière de la botte droite que je retire ensuite d’un mouvement sec. Lucie porte de très jolis bas à motifs. Quand je lui ai retiré sa seconde botte, elle m’ordonne : « Retire-moi mes bas, maintenant ! » Je commence par dénuder la jambe droite, puis l'autre, et je découvre alors les merveilleux pieds de la cousine. Je ne me suis pas trompé, ils sont vraiment très beaux. Comme c’est une fille très mince, ses pieds eux aussi sont très fins, d’une très jolie forme. Sa peau est très blanche, très douce aussi. Elle a de magnifiques orteils, longs et fins, ses ongles sont superbes et pointus, vernis d’un joli bleu. Je suis extrêmement excité à la vue de ces pieds, aussi beaux que désirables. Je prends le tube de crème et je commence à les masser. Comme sa cousine, Lucie a les pieds très froids. Je m’applique à les lui pétrir avec dévotion, car je veux à tout prix montrer à Lucie à quel point je peux être doué. Je l’entends d’ailleurs dire à sa cousine : « C’est vraiment merveilleux ! Je ne sais pas comment j’ai fait pour rester plus de vingt ans sans connaître cette magnifique sensation ! Ton esclave me réchauffe les pieds et me fait un bien fou ! » Je lève alors la tête vers elle, je la regarde, un très large sourire éclaire son visage. Je regarde aussi ma Domina qui me surveille d’un œil autoritaire et d’un air très strict !!! Lucie doit se sentir vraiment euphorique, car je me souviens d’avoir entendu ma Princesse lui dire : « Calme-toi Lucie, ou tu vas finir par jouir !… Et elles vont t’entendre à côté !!! »

Puis ma Princesse approche un pied nu de celui de sa cousine. J’adore cette merveilleuse vision : j’ai devant les yeux, les divins pieds nus de ma Princesse et ceux de sa superbe cousine Lucie ! J’adore cette vision fabuleuse !!! En fait, ma Princesse compare ses pieds à ceux de sa cousine. Je ne vous l’ai jamais dit, mais ma Maîtresse a toujours eu de très gros complexes quant à ses pieds. Au départ de notre relation, lors des premières fois où ma Princesse s’était plainte d’avoir froid aux pieds, je lui avais bien évidemment proposé de les lui réchauffer. À l’époque, ma Domina avait hésité, mais elle avait fini par accepter et elle m’avait avoué par la suite qu’elle avait toujours eu de gros complexes relativement à ses pieds. Elle ne les avait jamais trouvés « beaux ». Bien sûr, c’était complètement faux, car ils étaient magnifiques. Malheureusement, elle était hantée par de nombreux complexes, et le plus important concernait justement ses pieds. La première fois que j’avais eu l’immense honneur de pouvoir les admirer, je lui avais dit naturellement que je les trouvais splendides. C’est là qu’elle m’avait avoué son complexe. Je l’avais alors assurée qu’il n’y avait aucune raison qu’elle ait un tel complexe car ses pieds étaient vraiment merveilleux. Je lui ai dit que je les adorais, qu’ils n’étaient ni trop minces, ni trop gros et qu’ils avaient une forme parfaite. Je lui ai dit que ses orteils étaient très jolis et bien proportionnés, que sa peau était douce et lisse, que ses orteils étaient sublimes. Dès cette première fois, ma Princesse avait été très émue par ce que je disais de ses divins pieds. Elle m’avait dit : « C’est la première fois qu’un garçon me fait autant de compliments. En tout cas, aucun homme ne m’en a jamais fait le moindre sur mes pieds. D’ailleurs, pour être honnête, je ne suis pas habituée aux compliments en général. » Dès le départ, ma Princesse avait été très étonnée par l’amour et l’adoration sincère que je vouais à ses pieds sublimes. À chaque fois que je m’occupais d’eux, je lui répétais ces compliments sincères. Finalement, petit à petit, ma Princesse a réussi à prendre confiance en la beauté de ses pieds et au fil du temps, elle a compris le pouvoir qu’ils pouvaient avoir sur moi. Elle commençait à comparer ses pieds à ceux de ses amies et à ceux des filles, dans la rue. Elle se rendait compte que les siens étaient en effet très jolis. Ma Princesse a eu du mal à l’accepter mais j’étais sincèrement heureux d’avoir réussi à lui enlever ce complexe injustifié. Pour moi, c’était une petite victoire, un véritable bonheur. J’aurais aimé que ma Princesse puisse voir ses divins pieds avec mes yeux : elle aurait immédiatement perçu leur incroyable beauté. Un jour, ma Domina m’a même dit : « Depuis un moment, j’observe les pieds de ma mère. J’ai constaté qu’ils sont très jolis. Et j’ai remarqué aussi que les miens ressemblent beaucoup aux siens. Elle m’a transmis la beauté de ses pieds. » Lorsque ma Maîtresse m’a dit cela, j’ai vraiment eu envie d’admirer les pieds de sa maman…

Mais revenons-en à cette merveilleuse après-midi. Ma Princesse, qui tient ses pieds à côté de ceux de Lucie, dit à sa cousine : « Tu as de très jolis pieds, ils sont plus minces que les miens. » Lucie lui répond : « Toi aussi, tu en as de très jolis. » Et ma Domina acquiesce : « Oui, je sais. J’ai longtemps eu un complexe là-dessus, mais c’est terminé. Lorsque j’ai vu l’amour et le désir que mon esclave éprouve pour mes pieds, j’ai compris qu’ils devaient être très jolis. »

Ma Princesse et Lucie continuent de se parler, elles caressent leurs pieds les uns contre les autres, tout doucement, dans un mouvement ultra sensuel. Je suis follement excité devant ce spectacle extraordinaire. Ma Princesse demande alors à Lucie : « Ces jolis ongles que tu as, tu te les vernis toi-même ? » Lucie lui répond : « Bien sûr !!! » Ma Princesse lui rétorque aussitôt : « Moi, je ne vais certainement plus me plier en quatre pour faire cela ! J’ai mon esclave de pieds à ma disposition !!! » J’adore entendre la voix autoritaire de ma Princesse prononcer cette expression « esclave de pieds ». Cela me rend dingue. Lucie fait observer : « Oui, tu as vraiment beaucoup de chance ! »

Je continue toujours de masser encore et encore les pieds de Lucie. Je masse ses talons, ses chevilles, ses plantes. Je suis aux anges. Mes mains glissent doucement sur cette peau si douce. En même temps, j’admire les pieds de ma Domina, Je passe vraiment un moment magique, je voudrais que ce moment dure pour l’éternité. Ma Princesse s’amuse à caresser de ses divins pieds ceux de sa cousine. Ce spectacle est magnifique, je suis excité au plus haut point. Ma Maîtresse caresse aussi mes mains de ses pieds tandis que je continue à masser ceux de sa cousine. Je relève souvent la tête pour regarder ma Princesse et Lucie.

La cousine semble toujours aux anges, elle a un large sourire. Ma Maîtresse paraît beaucoup moins gaie. Elle échange parfois des sourires avec Lucie, mais sans grande conviction. Je l’observe discrètement et m’aperçois qu’elle me fixe en permanence. Elle fait les yeux noirs, ce qui veut dire que la situation commence à l’agacer. Il y a un vrai fossé entre l’état euphorique de Lucie et l’air sérieux de ma Princesse. Le fait que celle-ci ait approché ses divins pieds de ceux de Lucie, le fait qu’elle me caresse les mains avec ses plantes sont une manière, je pense, de me rappeler que c’est à elle et à Ses merveilleux Pieds que j’appartiens.

À l’époque, c’est ainsi que j’ai interprété cette scène, et plus j’y réfléchis, plus je suis sûr que c’est le message que ma Princesse voulait me faire passer. Moi, j’étais dans un état second, à genoux devant deux filles sublimes aux pieds magnifiques. Le fait que ma Maîtresse m’avait prêté à sa cousine, devant elle-même, rendait l’atmosphère encore plus excitante. Je vivais vraiment un moment extraordinaire et j’aurais sincèrement aimé qu’il dure toujours. J’étais tellement bien que j’avais oublié qu’il y avait la mère de ma Maîtresse et sa tante juste à côté. Et malheureusement, ce fabuleux moment fut brusquement interrompu.

Soudainement, j’entends la porte de la chambre s’ouvrir dans mon dos. Je n’ose pas me retourner mais je sais qu’il s’agit des deux dames. Je regarde alors ma Princesse et Lucie qui elles aussi fixent la porte, avec une certaine crainte dans leur regard. Puis j’entends la voix autoritaire de la mère de ma Domina qui s'étonne : « Mais, qu’est-ce qui se passe ici ? » Lucie n’ose pas répondre, elle est presque aussi gênée que moi. Néanmoins, je continue  toujours de lui masser les pieds. C’est ma Princesse qui répond à sa mère : « Lucie avait mal et froid aux pieds, notre copain les lui masse, tout simplement ! »

J’entends alors une autre voix. C’est celle de la tante. Je n’ose pas me retourner, je n’ose pas affronter leur regard à toutes les deux. La mère de Lucie s'écrie : « C’est n’importe quoi !!! Je veux que tu remettes tes bas et que tu viennes immédiatement dans le salon ! ». Puis sa sœur ajoute : « Venez tous les trois vous asseoir dans le salon. Il faut qu’on parle sérieusement !! ». Ma Princesse tente bien de discuter mais sa mère est une femme autoritaire et dure. Elle répond à sa fille sur un ton extrêmement sec : « Ne discute pas !!! » Puis les deux femmes repartent vers le salon. J’entends le bruit de leurs talons sur le carrelage. Je dois avouer que ce bruit strident a le don de m’exciter. Ma Princesse s’énerve alors. Elle m’ordonne de remettre les bas et les bottes de Lucie. Je m’exécute, j’enfile ses bas à la cousine puis je lui remets ses bottes. Je suis très stressé, je ne veux pas affronter le regard des deux femmes dans le salon. Malheureusement, je sais que je n’ai pas le choix.

Je suis sur le point de me relever quand Lucie passe ses mains dans mes cheveux et me remercie pour le bien fou que je lui ai procuré. Mais ma Domina l’interrompt et dit : « Tu dois apprendre une règle d’or. Tu n’as jamais à remercier ton esclave. Le bien-être qu’il te procure n’est qu’un devoir pour lui, c’est un service qu’il te doit. Tu ne dois jamais le remercier, au contraire, c’est lui qui doit te remercier de l’honneur que tu lui fais en le laissant te servir. » Puis ma Maîtresse se retourne vers moi et m’ordonne : « Allez, je veux t’entendre remercier ma cousine pour l’honneur qu’elle t’a offert en te permettant d'honorer ses divins pieds !!! » Je suis toujours à genoux devant ma Princesse et Lucie qui se sont mises debout. Je relève la tête. Lucie porte ses superbes bottes, ma Princesse est en pantoufles. Je parais tout petit et ridicule à genoux devant ces deux superbes Déesses. Je m’exécute donc. Je tourne mon visage vers Lucie et je lui dis : « Lucie, je te remercie de m’avoir donné l’immense honneur de pouvoir masser tes superbes pieds et d’en prendre soin. » Lucie sourit, elle est encore stupéfaite de mon comportement si soumis. Elle remercie sa cousine d’avoir bien voulu me prêter à elle. Elles continuent de parler tranquillement, quand soudain nous entendons la voix stricte de la mère de ma Domina : « Venez ici immédiatement ! Nous devons parler… »

Nous nous dirigeons donc tous les trois vers le salon. Je pense que nous avons tous le même sentiment. Nous nous demandons ce qui nous attend…

 

Paillasson ch’ti , esclave virtuel favori deMaîtresse MAEVA

 


Merci à overblog pour l'insertion d'une photo, même si elle est minuscule et placée à l'arrache! 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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