Jeudi 24 décembre 4 24 /12 /Déc 08:44

J'ai le plaisir de poursuivre la publication de l'histoire de slavio, ça tombe un pic, cet épisode un peu "trash", au milieu des "ron-rons" débiles de Noel, entre la dinde aux hormones et la bûche dégueu dégoulinant de glucose tueur.... joyeux Noel!
PS: Vous remarquerez que j'ai réussi à insérer quelques photos....avec moultes "combines" et détournement du système .... je m'adapte!

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MA FEMME ME PRÊTE À SA SŒUR

Chapitre IX

 

Possédé par une Femme…

 

Maintenant, ma vie d’esclave auprès de ma jolie Belle-Sœur a pris sa vitesse de croisière. À l’exception de la cuisine, dont elle se charge, je fais tout sous son intraitable supervision. Tandis qu’elle se repose ou s’amuse tant et plus, je ne dispose guère que de six heures de sommeil, mais je m’y suis habitué. Larbin, chauffeur, homme de ménage, plongeur, simple pièce de mobilier (repose-pieds et siège improvisé surtout), je dois aussi saisir des textes de lettres, répondre au courrier et au téléphone, envoyer des messages, courir à la poste, faire les commissions, faciliter en tout la vie de ma Maîtresse, veiller à son confort, à son bien-être, à son repos, à ses plaisirs, l’aider à recevoir ses amies et les servir toutes à leur guise. Je n’ai jamais été exploité à ce point. La vie aux pieds de mon Épouse me semble maintenant une sinécure. Mais j’aime ces chaînes volontairement endurées, cette fatigue qui m’écrase et qui me rive à la volonté des Femmes mais que je parviens à transcender.

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J’aime cette existence de totale soumission à la Femme et de renoncement à toute satisfaction autre que celle d’être le meilleur esclave possible pour cette merveilleuse Dame que je commence à aimer presque autant que sa Sœur. Je sens que je suis fait pour cette vie, autant que ma Belle-Sœur (ainsi que nombre de Femmes qui l’ignorent encore) a la Domination dans le sang.

Et puis, il y a les plaisirs physiques, dont ma très sensuelle Belle-Sœur, qui a compris que ma Femme a fait de moi un expert en caresses et qu’elle peut m’utiliser sans crainte, se montre de plus en plus gourmande. Mes doigts, mes lèvres, ma langue, tout lui est bon. Tout la fait jouir. Je la fais jouir aussi avec des godes, avec des bananes même, avec des petits concombres, à sa fantaisie.

Enfin, je la fais jouir avec ma modeste queue, dont elle apprécie la fermeté durable (presque constante même, tant je vis dans un désir frustré permanent). Elle m’en dit du bien, tout en la flattant distraitement après avoir joui de mes préliminaires, et avant de me permettre de la pénétrer pour la mener à un nouvel orgasme. Elle se montre même plus loquace que jamais.

« Tu vois, esclave, je la trouvais insuffisante pour moi, ta petite chose, mais j’avais tort. Ce n’est pas un morceau de reine, c’est vrai, mais elle fait bien son boulot. Elle ne m’a jamais trahie quand j’en avais besoin. Et puis, c’est si commode pour moi d’en avoir une sous la main, prête à me servir dès que l’envie m’en vient ! Car jouir en me faisant caresser, c’est aussi bon que jouir en baisant, et inversement, mais c’est différent. Ma jouissance n’est pas la même. Une queue bien raide, c’est autre chose qu’une langue. Je ne dis pas que c’est forcément meilleur, mais c’est autre chose. Et moi, comme toute Femme je pense, j’aime varier mes sensations. J’en ai même besoin. C’est pour ça que j’aime aussi te prendre à fond. J’aime te sentir t’agiter en moi, travaillant de toutes tes forces à me satisfaire, tout en sachant que tu n’auras sans doute droit à rien d’autre… sauf si je suis bien lunée et te permets de te soulager sur mes chevilles, mes chaussons ou mes chaussures, pour me les lécher ensuite… »

Et moi, d’entendre cela, même si j’ai le ventre transformé en caillou à force de me retenir, je fonds d’amour et de vénération. J’ai plus envie encore de me dévouer entièrement, de faire toujours mieux et davantage pour la joie de ma Propriétaire. Alors, quand ma Belle-Sœur me prend en elle, quand je sens son vagin avaler, dévorer, bouffer mon petit engin aussi raide qu’une matraque de CRS, je baigne moi aussi dans la joie et je me dis : « Jamais un homme libre ne saura aimer une Femme comme un esclave adore la Maîtresse qui se joue de lui, de ses  sensations et de ses sentiments ! »

Alors, m’oubliant tout à fait, ne vivant et ne vibrant plus que pour la Femme que je sers, dont j’appelle la jouissance de toute mon énergie virile, je réussis toujours à donner à ma Belle-Sœur un bon orgasme qui souvent même est fulgurant. Elle dit : « C’est dingue, mais je crois que je jouis plus fort avec toi qu’avec mes amants ou avec des filles, simplement parce que je sais que tu es totalement à moi, que je recevrai tout de toi, et que toi tu n’auras rien de moi !… »

Puis, quand elle a bien joui, quand elle ne réclame plus de plaisir pour l’instant, ma Belle-Sœur se fait essuyer par ma langue, par mes cheveux. Ma salive la lave, lui assouplit et lui nourrit la peau. Je lui apporte à boire et elle dit d’une voix un peu éteinte : « Tu m’as crevée. Je n’en peux plus. Je vais dormir un peu. Et toi ? – Moi, il me reste pas mal de travail, Maîtresse. – C’est bien, vas-y… »

*

J’ai maintes fois remarqué qu’après qu’une Femme a joui à sa suffisance, elle aime à se reposer un bon moment... surtout quand son esclave, plus épuisé encore, doit travailler pour elle. Mon Épouse m’a souvent dit que ce repos lui-même lui est un plaisir de plus, quand moi-même ou un autre de ses partenaires sexuels avons réussi à la mener jusqu’à sa volupté.

« Vous, les hommes que nous utilisons, vous ne pouvez pas comprendre cela car vous n’êtes pas faits pour recevoir le plaisir mais pour essayer de nous le donner. Souvent, quand un mâle a beaucoup donné de plaisir à une Femme, ce qui n’arrive malheureusement pas aussi souvent que vous le prétendez, et après son spasme bref qui s’éteint sans suites, il s’endort de fatigue. Et bonjour ensuite pour le réanimer, alors que nous ne sommes pas encore rassasiées. Même si on ne lui a pas permis d’éjaculer, il dit qu’il se sent vidé et qu’il a besoin de récupérer pour nous honorer de nouveau. Et souvent hélas, pauvres de nous, ce n’est qu’une promesse qu’il n’est pas fichu de tenir, ce qui explique que nous soyons si nombreuses à nous tourner vers les Femmes ou à avoir besoin de plusieurs mâles pour en obtenir notre pleine satisfaction sexuelle… Chez nous autres Femmes, c’est autre chose. Après l’orgasme, nous sentons encore le plaisir se répandre partout dans notre chair. Il est là, il irradie dans notre corps, nous baignons dedans. Nous avons encore les tétons tout durs, notre chatte est encore toute chaude et elle suinte encore sa rosée, notre clitoris reste si sensible que, souvent, il ne supporte plus le moindre effleurement. Si nous nous touchons du plat de la main ou du bout des doigts le ventre ou l’intérieur des cuisses, ou les fesses, ou leur pli, ou nos jambes, nous tressaillons de bien-être. Alors oui, une douce torpeur s’empare de notre être tout entier et, en soupirant d’aise nous nous mettons à sommeiller, mais sans que pour autant disparaissent de nous les impressions sensuelles. Nous les ressentons, nous en jouissons dans notre sommeil même… Mais je perds mon temps avec toi. Vous êtes tellement rudimentaires de tout point de vue que je ne sais pas bien comment t’expliquer ça. Et d’ailleurs, tu n’es pas équipé intellectuellement ni physiquement pour le comprendre. Alors, contente-toi de croire ce que je t’en dis ! »

*

C’est tout cela que je me répète et me remémore alors que les deux amantes, après que je leur ai apporté un grand verre de jus d’oranges et que je les ai lavées de ma bouche, se sont assoupies, blotties dans les bras l’une de l’autre, chevelures épandues autour de leurs jolies têtes, seins dardés et encore frémissants dans le sommeil, indifférentes à l’excitation que peuvent faire naître en moi leurs deux lascives nudités. Et pour le bienheureux esclave que je suis, c’est un bien beau et bien touchant spectacle à contempler dans cette chambre emplie de la discrète senteur de leur union,  mêlée aux émanations de leurs parfums subtils.

Je reste sur mes genoux endoloris à admirer et aimer mes deux Maîtresses.

*

Dès que la jolie Chinoise émerge de son somme, elle se penche sur ma Belle-Sœur et, des lèvres et de la langue, là fait se réveiller à son tour. Elles ont faim ! Elles me réclament une pomme, un café et un verre d’eau. Je cours à la cuisine. « En même temps, apporte-moi mon sac à main », me crie la masseuse, avant de reprendre la bouche de son amante.

Agenouillé près du lit, du côté de ma Belle-Sœur, je pèle les pommes, en ôte le trognon et les pépins, les découpe en quartiers, les leur sers sur des soucoupes. Elles mangent, font glisser les morceaux de fruits avec de l’eau, me réclament le café. Je leurs tends les tasses. Ma Belle-Sœur, par habitude, s’essuie les doigts dans mes cheveux que je dois laver tous les soirs. Voyant cela, la Chinoise m’appelle de son côté, me fait renverser la tête et ouvrir ma bouche. Tout en me triturant longuement des mèches, qu’elle n’hésite pas à tirailler pour s’amuser de mes grimaces, elle laisse filer dans ma gorge de longs filets de bave chaude et gluante dont je me délecte comme d’un miel. Pour finir, elle m’y expédie un gros crachat et je lui murmure : « Merci, Madame ! ».

Comme Dominatrice, je crois qu’elle serait encore pire que ma Belle-Sœur !

« J’ai une surprise pour toi, me dit-elle. Je crois qu’elle va plaire à ta Maîtresse et à moi aussi. Pour toi, je ne sais pas encore. Passe-moi vite mon sac. » Elle l’ouvre et en sort un objet encore très rare à l’époque et difficile à se procurer en France (elle dira plus tard l’avoir fait venir des States par des amis), un godemiché à ceinture ! Je connais la chose par ouï-dire et par des photos cochonnes, mais c’est la première fois que j’en vois une, en vrai. De la façon dont la Chinoise tient l’objet, je ne le vois que partiellement. D’ailleurs, j’ose à peine le regarder, tant je le trouve impressionnant de taille, menaçant.

La Chinoise se lève et m’ordonne de l’aider à ceindre l’engin qu’elle maintient à deux mains devant son sexe. Je tombe à genoux derrière elle pour lui entourer la taille de la ceinture au milieu de laquelle passe la boucle d’une sangle qui se coule entre ses cuisses, se séparant en deux au-dessus de son sexe et de son anus et qui, par-devant se fixe à la base du phallus artificiel pour le maintenir. Une autre sangle, partant du même point, entoure les hanches, assurant une grande fixité à l’ensemble. La croupe de la masseuse, au bout de mon nez, d’une senteur si aphrodisiaque et d’un grain de peau si fin que celle-ci en devient comme transparente, est si tentante que je manque de peu y déposer des baisers, mais je me souviens à temps de la correction que j’ai subie l’autre jour.

Pour l’instant, je crois encore que la Chinoise veut posséder ma Belle-Sœur, mais je suis vite détrompé, quand elle me dit sans préambule : « Mon petit vieux, tu vas sagement t’allonger entre les jambes de ta Maîtresse pour lui brouter le minou comme tu sais le faire, et moi, pendant ce temps, je vais… eh bien, je vais t’enculer ! » Ma Belle-Sœur n’a pas l’air surprise, ce qui me donne à penser que toutes deux se sont mises d’accord, sur mon dos, si l’on peut dire. Du coup, je regarde l’engin qui maintenant se balance de façon agressive sous le ventre de la Chinoise.

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Son diamètre et sa longueur m’avaient bien étonné, mais je m’étais dit que certaines Femmes, et probablement ma Belle-Sœur qui ne parle jamais de mon sexe sans le qualifier de « petit », voire de « ridicule », apprécient les braquemarts de fort calibre. Je m’étais dit aussi que le vagin d’une Femme, qui peut se serrer sur une verge de petite taille, est d’un autre côté incroyablement extensible (puisqu’il permet la naissance !) et que celui de ma Maîtresse avalerait sans problème cette énorme fausse queue.

Quand j’apprends que celle-ci est en fait destinée à me sodomiser, peu s’en faut que je sois saisi de panique. Non : je suis saisi de panique mais je réussis à ne pas trop le montrer. D’ailleurs, la Chinoise ne m’en laisse guère le temps. Tandis que ma Belle-Sœur se couche comme elle était au début, cuisses ouvertes, attendant ma bouche au plus intime d’elle-même, la masseuse, tenant d’une main sa queue en latex souple-dur, très réaliste, avec gland découvert et veines noueuses le long de la tige, s’approche de moi qui suis toujours à genoux et la présente devant mes lèvres.

« Tu vas bien la sucer et la lécher, et surtout bien la mouiller, afin qu’elle entre sans problème dans ton cul, malgré sa taille… » Appuyant sur mes lèvres et me les écartant sous sa pression, le gland force déjà l’entrée de ma bouche que j’ouvre aussi large que je peux. Puis, lentement mais avec puissance et obstination, la Chinoise fait avancer la tige, la retire, garde un moment le bourrelet à l’orée de mes lèvres, me laissant le temps de titiller le faux gland du bout de la langue, puis s’enfonce un peu plus loin, plus ou moins brutalement, revient en arrière, met la queue artificielle de biais contre l’intérieur de mes joues, la pousse contre ma langue qu’elle refoule. Bref, elle s’arrange pour posséder ma bouche de toutes les manières.

Je bave comme un escargot, mais la masseuse me dit que c’est bien, que c’est fait pour ça. Et puis, sans crier gare, une main aux hanches, l’autre serrant ma nuque et me tirant à elle, elle donne un brutal coup de reins qui propulse le gode jusqu’au fond de ma gorge qu’il percute. Cela m’arrache un haut-le-cœur mais, inflexible, ma tourmenteuse maintient le priape en place, à m’en étouffer, à m’en faire pleurer. Je tousse, je pousse des grognements involontaires et bave de plus belle. « C’est parfait, dit ma tortionnaire en riant, tu es un garçon bien facile et bien docile. Une Femme peut t’utiliser comme elle veut. Mais je crois que ça ira. Tu me l’as assez lubrifié. »

Prenant tout son temps, la Chinoise retire alors de ma gorge l’engin tout luisant. J’en suis si soulagé que je lui en bredouille un « Merci, Madame » aussi respectueux que sincère qui semble la ravir et la fait de nouveau sourire. Elle me demande alors si j’ai déjà été sodomisé. Je lui dis que oui, il y a longtemps, à seize ans, par quatre copains de dix-huit ans et plus qui manquaient de filles alors que nous campions en bande, mais je précise aussitôt que leurs sexes étaient loin de valoir celui-ci ! « Tu n’as jamais été possédé par des vrais hommes bien montés, ni avec des godes comme celui-ci ? » poursuit-elle. Pour les hommes, je lui réponds que non, mais que je me suis introduit moi-même à divers moment un goulot de bouteille, un manche de brosse en plastique et un pilon en olivier, mais toutes choses de petit diamètre. Elle rit et ma Belle-Sœur aussi. « Décidément, tu n’es rien qu’un sale petit vicieux ! » conclut ma Maîtresse.

Voyant qu’elles sont d’humeur gaie et qu’elles n’ont pas l’air méchantes, je m’enhardis même à dire : « Excusez-moi, Madame, je ne voudrais pas vous contrarier mais je ne crois pas que ça… que ça puisse entrer. C’est vraiment trop long et surtout trop gros… et je suis très serré. – Mais si, tu vas voir. On va y arriver, ne t’inquiète pas. Il ne faut surtout pas te raidir, résister, mais te laisser aller, t’ouvrir, te ramollir, m’accueillir, me laisser faire ce que je veux, et tu verras, tout ira bien. Tu ne voudrais tout de même pas nous décevoir toutes les deux, alors que tout ça nous amuse beaucoup. Plutôt qu’à la douleur que tu ressentiras forcément, mais peut-être pas aussi forte que ce que tu crains, pense à la joie que tu vas nous donner, au plaisir que nous allons tirer de toi, à la fierté que nous allons ressentir. Offre-nous ta souffrance, si souffrance il y a, comme tu nous offres ton obéissance… Mais ça suffit ! Assez discuté ! Allonge-toi entre les jambes de ta Maîtresse, que je lubrifie le « petit ». »

Avec beaucoup d’adresse, la Chinoise étale sur mon anus et tout autour un gel lubrifiant, lui aussi tiré de son sac et qui possède à ce qu’il me semble un certain effet décontractant et anesthésiant. La tête de côté, je la vois ensuite enfiler un gant de latex à sa main droite et déposer une noix de ce produit sur le bout de ses doigts. Bientôt, son index, suivi de peu du médius et enfin de l’annulaire viennent m’élargir la pastille. Je suis étonné et un peu rassuré de la facilité avec laquelle la Chinoise a fait pénétrer ses phalanges en moi, mais l’angoisse est toujours là : l’engin qui va me pénétrer les entrailles est bien plus gros que trois doigts de Femme, assez déliés, même réunis. Ne va-t-il pas me déchirer, me faire honteusement hurler ?

Apparemment satisfaite, la masseuse arrache ses doigts de mon anus, enlève son gant, puis dispose un gros coussin au bord du lit sur lequel elle me fait plaquer mon ventre, de telle sorte que mon derrière soit soulevé. « Ma chérie, tu veux bien faire glisser un peu ton joli cul vers nous ? suggère-t-elle à ma Belle-Sœur. Amène ta fourche jusqu’à la bouche de l’esclave, qu’il puisse atteindre facilement ta chatte ou ton derrière, ainsi qu’il te plaira... »

Quand j’ai le nez dans la broussaille parfumée et moite de ma Maîtresse, je commence à la lécher et à la sucer ainsi que je le fais d’habitude, avec tact et amour, avec tendresse, ou fougue selon les moments et les réactions de ma Belle-Sœur qui me conseille : « Concentre-toi sur ce que tu me fais, sur le plaisir que tu veux me donner, pense à mon bonheur, rien qu’à mon bonheur, et tu verras, ça entrera mieux par-derrière… »

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Pourtant, quand je sens les mains de la Chinoise se poser sur mes hanches, quand la tête ballottante du gode s’immisce entre mes cuisses, puis remonte entre mes fesses et se dirige peu à peu vers mon anus, conduit vers son objectif par les mouvements de bassin de la masseuse dont le ventre effleure mon cul, je ne peux m’empêcher de paniquer.

Me surprenant, la Chinoise me claque les fesses, plusieurs fois. « Tout doux, tout doux. Ne te raidis pas. Tu es tout contracté. Tu vas voir, une fois le gland entré dans ton cul,  ça va être de la rigolade. Tu vas tout prendre comme un grand, jusqu’au bout, jusqu’à sentir mon ventre contre tes petites couilles dodues… »

Et ma Belle-Sœur, la respiration un peu courte déjà : « Hé, machin, n’en profite pas pour ralentir tes caresses. Je ne sens plus bien ta langue. Tu n’as pas intérêt à me louper, concentre-toi sur Mon plaisir et rien d’autre ! » Elles sont terribles toutes les deux !

Et voici que l’ogive du gode appuie de plus en plus fort sur mon petit trou. D’un énorme effort de volonté, je me force à me distendre, je relâche tous les muscles de mon corps, je me fais tout mou. Et le miracle annoncé a lieu : je viens de sentir le bourrelet du gland franchir mon entrée. Pendant que ma Belle-Sœur se frotte la chatte contre ma bouche, m’incitant ainsi à la lécher plus fort, la Chinoise reste un moment immobile, me laissant le temps de me dilater sur la grosse tige qui ne me possède encore que de quelques centimètres. Elle me griffe le dos en cadence, me frappe en cadence les épaules, les côtes, le cul…

« Tu es dedans, ma chérie ? – Oui, ce fut moins difficile que je ne le pensais. Il s’est bien détendu. J’ai pris comme ça pas mal de mecs qui se sont montrés bien plus durs que lui à la détente. C’est une perle, cet esclave. Drôlement malléable. On en fait exactement ce qu’on veut. Et toi, ma biche, il te suce bien au moins ? – Bien obligé ! Tu crois que je le laisserais me manquer...  de respect ? » Elles poussent un petit rire cristallin, plein de contentement.

Maintenant, la Chinoise passe ses mains sous moi. Elle les fixe durement à la jointure de mes cuisses. Les choses sérieuses commencent, on dirait. Appréhendant ce qui m’attend, je redouble de caresses comme me l’a recommandé ma Belle-Sœur. Mes lèvres, ma langue deviennent encore plus actives et font gémir ma Maîtresse. J’ai même l’idée de glisser mes mains sous ses fesses, et de les rapprocher pour pouvoir lui doigter doucement l’œillet d’un médius puis de l’autre. Elle sursaute et se tortille, signe qu’elle aime.

Ma tactique était bonne : sous la poussée continue et puissante de la kiné dont la force m’étonne, je sens progresser dans mes boyaux le gros mandrin de plastique, sans que cela me fasse vraiment mal. Juste un échauffement à l’entrée. À un moment même, quand la tête du gode a appuyé sur ma prostate, j’ai ressenti une sorte de plaisir diffus, vite dissipé quand le mandrin a pénétré plus avant. Alors, d’un dernier coup de reins et d’une seule coulée irrésistible, la Chinoise me possède de toute la longueur de son engin et me pilonne le derrière. Son ventre claque plusieurs fois contre mes fesses. Je lâche des cris sourds qui traduisent plus de satisfaction et de fierté que de douleur. Sans doute suis-je intimement heureux d’avoir pu, une fois de plus, m’absenter de moi-même pour contenter une Femme en me soumettant sans protester ni me défiler à sa fantaisie.

« Eh bien, tu vois, esclave, c’est pas si terrible de se faire enculer par une Femme ! »


Mais bientôt elle va se taire, sans que je comprenne pourquoi. J’admets qu’elle ait plaisir à me posséder et m’humilier de la sorte, surtout devant son amie, qui elle aussi geint sous mes coups de langue et les caresses de mes doigts, mais d’où lui vient cette jouissance physique que je sens et entends monter en elle ? Ce morceau inanimé, ce faux phallus, ne peut lui transmettre aucune sensation sexuelle. À moins que, l’excitation génitale aidant, ce soit la simple pression de la base sur son sexe qui mette son clitoris en ébullition ?… La vérité est tout autre, car ce que je n’avais pas vu quand je fixais le gode à son corps et que la Chinoise le maintenait devant sa vulve, c’est qu’elle avait déjà introduit dans celle-ci un autre gode, de moindres dimensions, disposé en biais à partir du petit socle central, sur lequel elle s’est « baisée » elle-même tout en me sodomisant ! (Je ne découvrirai cela que plus tard, quand je lui enlèverai son harnachement et quand, ayant sucé longuement la partie qui plongeait dans son vagin et qui porte ses fragances, je nettoierai aussi de ma bouche l’autre partie, à peine souillée par moi, grâce au lavement quotidien que ma Belle-Sœur me force à me donner moi-même, matin, midi et soir.)

Malgré les risques d’hépatite virale – car certains germes pathogènes vivant leur vie dans le colon peuvent être très destructeurs dans la bouche - j’ai malgré tout une chance extraordinaire aujourd’hui. Pendant que la masseuse continue à me ramoner avec vaillance, avec je dois dire une certaine douceur qui me fait littéralement mouiller du cul (ou bien est-ce le gel que je sens sourdre ?), je redouble de caresses sur la motte de ma Belle-Sœur et j’ai bientôt le bonheur rarissime d’entendre et de sentir les deux Femmes venir en même temps à leur jouissance. Tandis que je lape la grande quantité liquide que me donne ma Maîtresse qui m’a empoigné par la tignasse, son amie, qui accélère ses coups de cul, me laboure le dos et le côté des cuisses de ses ongles…

*

Satisfaites, repues de plaisir, nettoyées, rafraîchies d’une orangeade, mes deux Dominatrices se sont quiètement endormies, lovées l’une contre l’autre, presque l’une dans l’autre et je suis retourné à mes occupations d’esclave.

Au réveil, ma Belle-Sœur, laissant se reposer son amie, veut que je lui lise des extraits de L’Art de l’excrétion (en anglais, The ultimate training), un opuscule qu’elle adore, écrit par Astride, une Dominatrice américaine, auteure également de L’Art de l’étouffement et de Puissance du jupon. Et voici sur quel passage je tombe, dans lequel une Femme, après s’être fait donner le spasme sexuel, s’apprête à se soulager dans la bouche d’un esclave qu’elle a fait allonger sur le sol et sur la bouche grand ouverte duquel, arrondissant autour de ses hanches sa robe sous laquelle elle ne porte rien, elle va tout naturellement s’accroupir.

« L’esclave devra également songer au plaisir qu’il donne à sa Déesse. C’est la seconde parmi les choses les plus humiliantes qu’il peut accepter de faire pour elle et, s’il l’aime vraiment, il l’accomplira sans retenue. Il imaginera le sentiment de pouvoir qu’elle éprouve en le voyant, à genoux ou allongé, gisant devant elle, très humblement, ouvrant une bouche qu’elle va utiliser comme pot de chambre.

» Pour la Femme, cette sensation de pouvoir est accrue quand sa vessie se contracte et qu’elle observe son beau liquide doré en train de couler dans la bouche de son esclave, qui continue à l’avaler sans la moindre marque de dégoût sur son visage.

» Voici un homme totalement à sa merci ! Et elle se demande ce qu’il ne ferait pas pour elle quand elle le voit en train de boire avec ravissement son urine, un déchet corporel, comme si c’était un cocktail raffiné.

» Habituellement, quand une Femme lui urine dans la gorge, l’homme doit la prier de se soulager par giclées, afin de ne pas laisser perdre une goutte de ce précieux liquide. »

Notre Chinoise s’est réveillée sans que nous en soyons rendu compte. Elle dit : « C’est drôlement beau ce qu’il vient de lire ! – Oui, chérie, je trouve moi aussi. Mais je ne sais pas si je le ferais. – Et pourquoi donc ? – Ce n’est pas très sain, je trouve. – Oh, tu sais, notre pisse, ce n’est guère que de l’eau, plus ou moins salée, avec quelques autres constituants que ton joli corps, tes reins précieux, ont filtrés, épurés. L’urine de Femmes saines comme nous est un liquide neutre, aseptique… N’oublie pas qu’un peu partout dans le monde, pas mal de gens se soignent en buvant chaque matin un verre de leur propre urine !… ‑ Ah, bon ? Ce n’est pas un truc pour moi, ça. Mais dans ce cas, effectivement ce doit être assez jouissif de forcer un esclave à supporter cela. C’est quand même une sacrée humiliation... quoiqu’il bénéficie d’une enviable compensation : il boit à même une jolie source et il la contemple de près. – Il la contemple… si on veut, parce qu’on peut lui mettre un bandeau, afin de n’en faire qu’une bouche, une vasque, un égout. Et puis, tu sais, j’ai entendu dire que certaines Femmes préfèrent uriner dans un récipient duquel leurs esclaves vont boire leur boisson préférée. Par exemple, on emporte une fiole au restaurant. On dit que c’est un médicament que le mâle doit prendre… et il n’a pas le droit de boire autre chose. – Ça doit être bien amusant. – Oui, et bien excitant aussi pour une Femme dominante. – Ça te plairait qu’on le fasse à mon esclave ? – Ah ça oui, alors ! – Allons, toi, tu as entendu ? Va te mettre en place dans la salle de bains et plus vite que ça ! Tu dois avoir soif depuis le temps que tu salives pour nous ! Toi, tu n’as rien bu, mais nous, oui. Alors, crois-moi, on va t’en donner de notre élixir doré !… »

(À suivre…)

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : BDSM
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