Partager l'article ! Fétichisme et soumission (XIV): L'étau de la Domination Féminine se ressère d'un cran sur le jeune esclave éperdument amoureux.... Elle va e ...
L'étau de la Domination Féminine se ressère d'un cran sur le jeune esclave éperdument amoureux.... Elle va exiger de lui une
épreuve importante: Celle du regard des autres sur sa propre condition d'esclave.... ce n'est pas facile, vous en conviendrez.... bonne lecture!
J'ai eu quelques difficultés à illustrer cet épisode, j'ai beau avoir 25000 photographies et 500 vidéos, je n'en ai pas ayant un rapport avec ce contexte
particulier de la douche....une lacune à combler...
FÉTICHISME ET SOUMISSION, XIV
Ma Princesse et moi étions sous la douche. Les yeux bandés, j’étais agenouillé sur le côté. Je sentais l’eau qui ruisselait sur mon visage et mon corps nu. Ma Domina m’a ordonné de la savonner. J’étais terriblement excité, ma queue était tendue au maximum. Je pensais que le contact de l’eau me calmerait au moins un peu, mais au contraire j’avais toujours le sexe en feu. Ma Princesse me demanda de tendre mes deux paumes, mains jointes. Elle y a versé du savon liquide et m’a simplement dit : « Maintenant, savonne-moi les jambes. »
J’ai commencé par lui frotter les cuisses, puis je suis descendu doucement en caressant de mes mains savonneuses les sublimes jambes de ma Princesse que je ne pouvais admirer qu'en imagination. Je descendais lentement, le contact de mes mains sur sa peau si douce m'était un délice : c'était la première fois que je caressais les jambes de ma Domina ! Jusqu’alors, je n’avais jamais eu le droit de remonter au-dessus de ses chevilles. D’ailleurs, je n’avais jamais touché les jambes d’une fille auparavant, et si j’avais souvent eu l’honneur d’admirer les sublimes jambes de ma Princesse, jamais non plus je n'avais été autorisé à les effleurer. Ses jambes étaient incroyablement belles. Comme elle-même était grande, elle avait des jambes très longues et élancées. Elles étaient magnifiques, splendides. Leur peau était parfaite et d’une étonnante douceur . J’adorais sincèrement ses jambes et lui avais souvent dit que je les trouvais vraiment divines. Je les connaissais par cœur, tant je les avais admirées. Même si en ce moment, je ne pouvais les voir à cause du masque de nuit que j’avais sur les yeux, il ne m’était pas difficile de les imaginer. Je m’étais approché doucement du corps de ma Princesse pour mieux le savonner. Cela fit que, tout en frottant doucement ses jambes, je sentis mon sexe entrer légèrement en contact avec le bas de l'une d'elles. Comme j’étais agenouillé, mon visage se trouvait en face du derrière de ma Maîtresse. Sans cesser de savonner ces jambes sublimes, je n’ai pu empêcher mes lèvres d'effleurer la peau si douce des fesses de ma Princesse. Je n’ai pu m’empêcher de les baiser avec la plus grande douceur. J’ai eu peur de me faire remettre à ma place, mais au contraire ma Princesse n’a rien dit et m’a laissé faire. Alors, évidemment, j'ai continué à faire courir amoureusement mes lèvres sur ses fesses. Je les couvrais littéralement d'innombrables baisers. Bien sûr, je n'avais eu la chance de voir les fesses de ma Maîtresse et j'avoue que ce jour-là, je me sentais extrêmement frustré d’avoir mon visage quasiment collé au derrière de ma Domina sans pouvoir l’admirer. J’avais envie d’arracher mon masque. Mais je savais pertinemment que si je faisais une telle chose, les conséquences seraient dramatiques pour moi. Je me suis donc retenu et je n’ai rien pu faire d'autre que de continuer à imaginer le corps de ma Domina. C'est une femme vraiment sublime. Je ne dis pas cela uniquement parce que j’en suis éperdument amoureux. C’est la vérité : ma Princesse est d’une beauté à couper le souffle et beaucoup de garçons sont de mon avis.
Même si à l’époque j'avais dû me satisfaire d'imaginer sous ses vêtements les formes délicieuses de son corps, je savais que celui-ci était sublime, à l’image de ses pieds splendides, dont j’étais fou amoureux. Donc, je baisais encore et encore les fesses si douces et voluptueuses de ma Domina. Je les couvrais de baisers langoureux. Pendant ce temps, je continuais de frotter doucement mon sexe sur sa cheville, dans un discret mouvement de va-et-vient. En ne disant rien, ma Princesse m’autorisait à continuer et j’avoue qu’à l’époque, je fus très étonné qu'elle me laisse agir de la sorte. Je savourais pleinement l’incroyable moment que j’étais en train de vivre. Lorsque je m’étais levé ce dimanche matin, je n’avais jamais imaginé que je connaîtrais un moment aussi fabuleux. C’était cela, la magie de ma Princesse : elle arrivait toujours à me surprendre, que ce soit par des délices ou des supplices. Mais j’adorais cela !!! Je continuais de savonner ma Domina, mais j’étais surtout concentré sur les nombreux baisers que je déposais sur ses jolies fesses. Naturellement, en même temps, mes mains approchaient lentement des fesses de ma Maîtresse. J’étais comme irrésistiblement attiré par Elles, j’avais envie d'y poser ma bouche, de les lécher. Cependant, lorsque je suis arrivé vraiment proche de l'ouverture magique, tout près de la porte du bonheur, ma Princesse m’a dit : « Stop ! Je ne suis pas encore prête pour cela. » Je me suis immédiatement arrêté, mais je n’ai pas besoin de vous décrire l’état d’excitation dans lequel j’étais. Je continuais à frotter doucement mon sexe sur sa cheville, cela me faisait un bien fou, je sentais monter le plaisir. Et soudainement, j’ai senti un immense frisson me parcourir tout le corps. Ce fut une jouissance extrême. Je me suis mis à trembler comme une feuille et j'ai su que ma semence indigne s’était répandue. Je fus effrayé d'avoir osé éjaculer sans autorisation sur la jambe et le pied de ma Domina. Au moment où j’ai pris conscience de ce qui venait d’arriver, un violent coup de poing m'a frappé durement le visage. J’ai perdu l’équilibre, ma tête a cogné brutalement contre le mur. Pendant quelques instants, j’ai vu des milliers de points lumineux, j’avais la tête qui tournait. Ma joue me faisait mal et encore plus ma tête. Ma Domina m’a hurlé dessus : « Tu n’es qu’un sale chien dégoûtant, incapable de se tenir correctement. Tu te frottes sur ma jambe comme un chien en chaleur, tu veux me renifler le cul comme un sale clébard et enfin tu décharges sur mon pied !!! Quelle horreur !!! » Puis ma Princesse me saisit violemment une mèche de cheveux, sur laquelle elle tira sans déménagement, pour me forcer à baiser la tête, vers ses superbes pieds. Elle en leva un et l'appuya sur le haut de mon crâne. Ainsi, mon visage était maintenu plaqué sur son autre pied, dont ma semence avait souillé la pureté et que ma Maîtresse voulait que je lèche. Malheureusement, l’eau ruisselante avait déjà nettoyé le pied et la jambe de ma Princesse, et je n’ai rien eu à lécher. J’aurais sincèrement voulu le faire pour réparer mon erreur, et de plus j’aurais aimé vivre une telle humiliation. J’entendais au son de sa voix que ma Maîtresse était vraiment extrêmement en colère. Elle me dit : « T’es vraiment trop con ! Si tu n’avais pas fait l'idiot, j’avais prévu de te faire l’honneur de te permettre de me savonner les seins. Tu aurais pu les prendre dans tes mains pour me les laver !!! T’es qu’un sale chien, incapable de te maîtriser, tu as préféré te masturber contre ma jambe, comme le vieux clébard en chaleur que tu es !!! Non seulement tu m’as désobéi en éjaculant sans mon autorisation, mais en plus tu t’es servi de ma jambe et tu m’as souillée. Tu vas devoir en assumer les conséquences. Maintenant, tu vas te prosterner et me baiser les pieds pendant le reste de ma douche, et bien entendu je ne veux plus t’entendre !!! »
Je me suis donc exécuté. J’avais commis une très grave faute, j’en avais parfaitement conscience. Et je me sentais vraiment frustré, surtout depuis que je
savais que je venais de passer à côté de l’immense privilège de savonner les superbes seins de ma Princesse. Elle avait une fabuleuse poitrine qui lui permettait d’afficher un décolleté qui
rendait dingue tous les garçons. Ses seins n’étaient pas spécialement gros mais tellement bien proportionnés !!! J’en avais vraiment marre d’être incapable de me retenir.
Cependant, la punition que ma Princesse m’avait infligée n’en était pas vraiment une, car lui baiser les pieds était mon rêve le plus cher depuis notre rencontre.
Je n’avais pas tout perdu, bien au contraire ! Le pire, c'était ma douleur à la tête car le choc contre le mur avait était violent, mais j’avais conscience qu’il me fallait souffrir pour ma
Maîtresse et, de plus, lui être reconnaissant de l’immense privilège qu'elle m'octroyait en me permettant de caresser ses pieds de ma bouche. J’étais complètement prosterné à ses pieds, je
n’y voyais toujours rien à cause du masque. Pendant que je baisais amoureusement les pieds de ma Domina, je l’entendais qui continuait sa toilette. Je devinais qu'elle se savonnait les seins puis
les cheveux. L’eau savonneuse coulait sur moi et sur les pieds de ma Princesse que je couvrais de baisers passionnés. Je me sentais au mieux, à part cette vive douleur à la tête qui ne
m’empêchait pas de profiter du fabuleux moment que j’étais en train de vivre.
La douche dura encore une quinzaine de minutes environ, puis ma Princesse me donna un bon coup de pied dans le visage et me dit : « C’est bon,
tu peux te relever. » Alors que j’aurais voulu que ce moment dure toujours, je fus donc obligé d’arrêter de rendre hommage à Ses Pieds. Je me suis relevé lentement en me tenant à la porte de
douche. Avant d’entrer dans la cabine, j’avais posé un de mes peignoirs sur le lavabo. Ma Princesse me dit : « Débrouille-toi pour sortir de la douche sans tomber et présente-moi la
sortie de bain, que je n’attrape pas froid. » Comme je connaissais très bien les lieux, j’ai réussi à sortir en me tenant et sans trébucher. Je me suis emparé du peignoir et l'ai
tendu à ma Princesse. Elle est alors sortie de la douche et a enfilé le vêtement. Elle m’a dit : « Maintenant, tu peux retirer ton masque de nuit. » J’avoue que cela me fit bizarre
tout à coup de n’être plus dans le noir. J’ai pu contempler ma Princesse, si belle avec ses cheveux mouillés. Je l’admirais, je la désirais tellement. Elle m’a dit : « Qu’est-ce que tu
attends ? Frictionne-moi, je vais attraper froid. » Qu'elle était belle, ma Princesse, dans ce peignoir beaucoup trop grand pour elle! J’ai commencé à la frictionner. Je suis
parti de ses épaules, pour descendre tout doucement le long de son corps. Ma Princesse me dit alors : « Je vois que tu bandes une fois de plus comme un fou. » Je me souviendrai
toujours de ce qu’elle m’a dit ensuite : « À défaut d’être endurante, ta petit queue ridicule repars vite !! C’est toujours ça !!! Dommage qu’elle soit à peine plus
grande qu’un clitoris !» Elle ria aux éclats, je n’ai rien répondu et j’ai continué de frictionner ce merveilleux corps à travers le peignoir, afin que ma Maîtresse n’attrape pas froid.
Finalement, je me suis retrouvé une nouvelle fois à genoux devant elle, ma place natuelle. J’ai pris une serviette pour essuyer doucement ses pieds sublimes. J’essuyais chaque orteil, l'un
après l'autre, je passais lentement la serviette entre Eux.
Ma Domina m’a dit : « Maintenant, je vais retirer mon peignoir… Qu’est-ce que tu attends pour dégager de là ? Tu n’espères tout de même pas Me voir toute nue, c’est même pas
le peine d’en rêver ! De toute façon, si un jour je t’offrais ce privilège, ça ne servirait à rien car tu éjaculerais à la seconde même où tu découvrirais mon corps, puisque tu es totalement
incapable de contenir ton tout petit robinet ! C’est bien malheureux… » Je suis donc sorti et j’ai apporté à ma Maîtresse son sac avec ses habits propres. Pendant qu’elle
continuait de se préparer, je suis allé dans une autre pièce pour m’essuyer, car bien entendu, je n’avais pas encore pris le temps de le faire !! Ma Princesse m’a rappelé en me sifflant,
comme on fait pour un chien. Quand je suis arrivé auprès d’elle, j’étais encore tout nu car je n’avais pas osé me rhabiller sans son autorisation. J’ai ouvert la porte de salle de
bains.
Ma Maîtresse portait un débardeur, un jean taille basse qui me permettait de voir un peu son superbe string à paillettes.
Puis, elle se mit à s'occuper de ses cheveux. Elle était extraordinairement belle. Elle m’a dit : « Qu’est-ce que tu fous encore tout nu ? Tu n’espères pas quand même pas avoir droit à ta masturbation dominicale après ce que tu m'as fait !?" Ma Princesse disait cela car elle avait bien vu que je bandais encore très dur. En effet, à la seconde même où j’avais entendu ma Princesse me siffler, mon sexe s’était redressé automatiquement. Les humiliations ont un effet incroyable sur ma libido.
De nouveau, ma Maîtresse était vraiment en colère. Elle m’a hurlé dessus en me disant : « Je te préviens, ça va être abstinence totale au moins pendant quinze jours. Mais tu ne vas pas t’en sortir à si bon compte. Je suis en train de réfléchir au reste de ta punition. Tu m’énerves vraiment, avec ta petite queue minable, tendue comme un arc ! » À ce moment-là, ma Domina m’a attrapé une nouvelle fois par les cheveux. Elle m’a dit : « Viens par ici. Mets-toi à genoux dans la douche. Je vais calmer tes ardeurs... et tu n’as pas intérêt à m’éclabousser. » Elle a pris la douchette et réglé le thermostat sur la température la plus basse. L'eau glaciale a aspergé ma queue, c'était si froid que j’ai eu l’impression d’être brûlé. Je me tortillais, tout en faisant bien attention à ne pas éclabousser ma Princesse. Je l’ai suppliée d’arrêter, en pleurant tellement j'avais atrocement froid. À la fin, ma Maîtresse s'est arrêtée et elle m’a dit : « Va te rhabiller, j’en ai plus que marre de voir ton sexe si ridicule !!! ».
Je peux vous jurer que l’eau glaciale fonctionne parfaitement pour mettre fin immédiatement à toute excitation. Je me suis exécuté, j’ai enfilé de nouveaux
habits, puis je suis retourné voir ma Princesse qui achevait de se maquiller. Elle était vraiment splendide, plus belle et sexy que jamais. Je la désirais follement, je l’aimais de tout mon
cœur !!! Il ne lui restait plus qu’à se sécher les cheveux. Quand elle a eu fini, elle est allée s'allonger sur mon lit. Comme d’habitude, je lui ai placé un coussin pour caler correctement
son dos, afin qu’elle soit le mieux possible. Comme ma Princesse avait faim et soif, je lui ai préparé un plateau avec des chips et du Coca. Elle regardait tranquillement la télévision. Tout
naturellement, je me suis lové contre ses pieds sublimes. Je lui ai demandé une nouvelle fois pardon pour ce qui était arrivé dans la douche. Ma Domina m’a dit : « Tu penses vraiment
que tu vas t’en sortir cette fois-ci avec seulement des excuses ? Comme je te l’ai dit tout à l’heure, tu devras supporter une abstinence totale de quinze jours et n’essaie pas de me
mentir, car tu sais que lorsque tu mens je le vois immédiatement. Mais ce n’est pas tout : j’ai vraiment envie de marquer le coup. Tu dois comprendre que ce que tu as fait est inadmissible.
Et fais-moi confiance, je vais te trouver une punition à la hauteur de ta faute, tu t’en souviendras, crois-moi !… » Elle ponctua Ses dires d’un coup de Pied en pleine figure. Son
sourire moqueur et dur m'a littéralement glacé.
Ma Domina a repris : « En attendant que je trouve, tu vas me masser les Pieds, et je ne veux plus t’entendre !!! ». J’ai passé le reste de l’après-midi à masser ses sublimes
Pieds. J’étais heureux et profitais pleinement du moment. Néanmoins, mes pensées restaient hantées par les paroles de ma Princesse au sujet de la punition qu’elle me préparait. J'avais un peu
peur car je savais désormais que ma Princesse était capable de tout…
J’ai donc terminé l’après-midi aux pieds de ma Domina. Je n’ai plus dit un mot, je ne voulais surtout pas la déranger, pendant qu’elle regardait tranquillement un film. Le soir venu, nous avons mangé dans ma chambre, puis ma Domina m’a demandé de la raccompagner. Elle ne voulait pas se coucher tard afin d'être en forme pour la semaine de révision qui approchait. En effet, nous étions au mois de mai et les premières épreuves du baccalauréat approchaient à grands pas pour ma Princesse.
Nous sommes arrivés devant chez elle. J’allais sortir de la voiture pour lui ouvrir la portière comme toujours, quand, soudain elle a agrippé mon bras et m’a dit : « Attends, il faut que je te dise quelque chose !!... Pendant que tu me massais les pieds, tout au long de la soirée, j’ai beaucoup réfléchi à ta future punition. Et j’ai trouvé. Avant de te l'annoncer, je voudrais te dire que je ne te punis pas par plaisir mais parce que tu dois comprendre que chacun de tes actes a des conséquences. Depuis plusieurs mois que nous sommes si souvent ensemble, tu sais que je commence à bien te connaître. Je t’ai bien observé, j’ai étudié tes relations avec ta famille. Tu es un enfant unique tout comme moi. Mais il y a une très grande différence entre nous. Toi, tu as toujours eu tout ce que tu voulais. Tu es un enfant gâté, tes parents t’ont toujours tout donné et je suis sûr qu’ils ne t’ont jamais puni. Malheureusement, ce n’est pas une bonne éducation, car maintenant tu te crois tout permis, comme cette après-midi dans la douche. Ce type de comportement m’exaspère au plus haut point chez toi . Il est grand temps que je corrige cela. Si tu veux poursuivre notre relation un peu spéciale, tu vas devoir faire encore beaucoup d’efforts et de progrès… »
Je me suis alors permis de demander à ma Maîtresse : « Quelle est la punition que tu me réserves ? » Elle m'a aussitôt répondu : « Eh bien, voici. Mercredi après-midi, l’une des sœurs de ma mère et sa fille qui a notre âge viendront boire le café à la maison. Tu vas me masser les pieds pendant toute l’après-midi, devant ma mère, ma tante et ma cousine. Ce sera une bonne humiliation pour toi, et cela te fera le plus grand bien !!! »
J’ai immédiatement répondu : « Non, je ne peux pas faire cela. Je t’ai déjà massé les pieds devant ta maman, ce ne fut pas facile mais là c’est trop, je refuse !!! » Ma Domina répondit froidement : « OK, monsieur refuse ! Très bien. Je ne vais pas passer la soirée à discuter de cela, car j’ai envie d’aller dormir. Puisque tu refuses de m’obéir, je récupérerai l’intégralité de mes affaires chez toi et notre relation prendra définitivement fin. Réfléchis bien. On dit que la nuit porte conseil. Demain matin, lorsque tu viendras me chercher, si tu me dis que tu acceptes la punition, j’oublierai ton refus de ce soir. Dans le cas contraire, tout sera définitivement terminé entre nous. Et je te préviens : tu pourras ramper devant ma porte pendant des heures, des jours, des mois, tu n'auras plus rien de moi. Tu sais à quel point je peux être têtue. Si je dis que c’est terminé, ce sera définitif !!! Alors, réfléchis bien à ce que tu as à perdre. Sur ce, salut. Je t’attendrai demain matin, à 7 heures 15 comme d’habitude !!! »
Selon vous qu’ai-je décidé ? J’aimerais savoir ce que vous auriez fait à ma place ?
paillasson ch'ti, petit soumis frileux, timoré, fantasmeur et virtuel de Maîtresse MAEVA
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