maevaslave

...au stade oral de la petite enfance? L'esclave tète l'orteil vénéré avec un plaisir non dissimulé. Ce qui motiverait le désir de soumission serait la possibilité de lacher prise, de retrouver l'innocence originelle de l'enfance, à l'abri sous les Pieds Adulés de la Terra Mater, Déesse de toute chose, de la fertilité, et de l'Eros triomphant?

.... du sous espace: feet-le-chien est dans une phase de soumission adorante, après avoir longuement titillé sa bouche de la pointe de Ma sandale, Mon talon effilé se vrille, s'enfonce, pénètre les deux couches de la peau, le sang n'est pas loin....subjugué et transcendé par la douleur (bien qu'anesthésiée en partie par les endorphines du sous espace), son plaisir est infini, sa soumission totale, absolue, sans rémission. A ce moment précis où il s'abandonne tant qu'il ne s'appartient plus, il voudrait mourir sous Mes pieds, il sait qu'il Me doit tout, que je suis sa créatrice, qu'il est Ma chose, Mon jouet de plaisir, Mon valet de pied, Mon esclave servile et zélé. Je lui ai donné la possibilité du bonheur, un bonheur dans l'esclavage.... le sous espace, c'est plaisir et douleur mélés, l'un alimentant l'autre, tel le yin et le yang de la cosmogonie taoiste. Sur la photo (illustrant un bain de soleil sur le balcon), il ne se dérobe pas au talon si cruel, au contraire, il s'en rapproche, faisant peser une partie de son poids, pendant que Mon talon tourne, pivote, se visse dans la chair servile....il a mal, il voudrait avoir encore plus mal, souffrir par Mes pieds est pour lui consécration, et pour décupler son élan, cet Eros primal, Mon autre pied caresse sa tige érigée par de longs "va-et-vient", c'est aussi une excellente façon de le préparer à me servir d'objet sexuel, d'être absorbé en Moi. En l'occurence, la relation MAITRESSE / esclave joue son rôle de miroir révélateur, si feet me révéla à un fétichisme de Mes pieds que j'ignorais en Moi, je lui ai révélé son masochisme, bien qu'il soit peu résistant à certaines douleurs où Mes pieds ne sont pas convoqués, ainsi, si je le fouette ou le cravache, il doit embrasser Mes pieds à chaque coup en disant "Merci, chère MAEVA", par ce rituel servile, il en parvient à oublier la brûlure du fouet blackmamba ou la douleur brève et agaçante de la cravache-main. Sur la photo, vous remarquerez l'expression extatique de son visage....

Quatre jours au Cap d'Agde, ce haut lieu libertin, symbole européen des sexualités alternatives. En ce lieu où chacun se met en scène dans un éternel spectacle, rien ne choque, c'est plutôt convivial, il y a de très belles tenues, de très belles femmes aussi.... je suis très fatiguée, donc aujourd'hui sera un jour avec service minimum. Voici juste quelques photos illustrant la vie de feet pendant ces quatre jours au Cap.... J'imagine qu'il va encore susciter des jalousies...

Nous sommes arrivés depuis deux heures environ, Mon esclave feet a déchargé les nombreux bagages de la voiture à l'appartement. Il a du faire quatre aller-retour, je lui ai interdit de prendre l'ascenseur, nous étions au quatrième, ça lui a fait du bien de se dépenser, j'aime le voir en baver, les mains encombrées de bagages, pendant que je déguste un cocktail qu'il m'a préparé. Sur cette photo, il a une consigne particulière: rester à genoux au bout de Mon transat et Me lécher les pieds pendant que je me fait bronzer....

Voici la vue qu'avait Mon chien, lequel passait beaucoup de temps, nu, sur le sol, à Mes pieds... Aimez-vous ces nouvelles chaussures? Le talon est cette fois vraiment redoutable!

Très pratique et agréable, un esclave de pieds!

Mes pieds étaient très sales en cette fin de journée. Je lui fis remarquer, et il me proposa:"Dois-je Vous faire un bain de pieds et Vous les laver avant d'aller dîner?"
Transactionnelle et un peu hautaine, j'ai inspecté Mes plantes de pieds, l'ai regardé lui, nu et agenouillé devant Moi, en attente...
J'ai répondu: "Non, tu les nettoies avec la langue, dessous, dessus, entre les orteils, tu as une demi heure, pendant ce temps, je vais téléphoner..."

Sa langue fit office de gant de toilette, l'esclave pourtant zélé à lécher éprouva des difficultés à nettoyer la crasse accumulée et incrustée dans la peau veloutée de Mes pieds. A l'issue des trentes minutes de léchage, il restait une zone encore sale sur le talon. Je l'ai cravaché, lui  ai donné des gifles de Mes pieds, le griffa avec les ongles des orteils...ce fut sa fête! Il fut contraint de lécher encore un bon quart d'heure pour obtenir un résultat satisfaisant....sa langue était noire,  cela m'amusa, je l'ai appelé"chow-chow"....

L'humiliation le submergeait, il s'en délectait, vautré dans le sous espace un peu amniotique, maternel, sécurisant...

Ce séjour commençait avec de bonnes augures....