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.... au fouet, à la cravache, avec les talons-aiguilles, pour quel motif? Si Moi, je ne le sais pas, lui, il le sait: péché originel du mâle qui domina
trop longtemps la femme?Les photos ci-jointes illustrent la nouvelle inversion historique, l'homme soumis à la Femme Dominante, le nouvel ordre des choses....
...quant au fouet, c'est comme l'amour, c'est de l'amour, cela nécessite des préliminaires, faire glisser le fouet en cuir tressé telle une vipère blackmamba, sur le dos, entre les fesses, puis
le faire claquer à ses oreilles....cette attente est délicieusement cruelle pour lui, il a peur, peur d'avoir mal, peur de sa peur, ce que les psychopathologistes nomment la phobophobie.....mais
il connait déja bien la brûlure insidieuse du blackmamba, il le craint, et paradoxalement il le veut.....il le désire, il aime souffrir par Moi, mais il voudrait être plus résistant, il rêve
d'être marqué au fer rouge, un grand M majuscule sur le cul....
Lorsque Mon esclave est puni et quelle qu'en soit la raison, l'attente du chatiment a un impact psychologique terrible. Je passe parfois du temps à lui décrire les tortures et
humiliations qu'il va subir. Agenouillé, la tête basse, entravé, et les yeux bandés, il sait que Ma cravache va s'abattre sur sur lui, il sait aussi qu'il recevra de nombreux coups de
bottes..... il attend, dans l'angoisse du premier coup.... il a peur...peur d'avoir mal....
...cette attente constitue la première partie de la punition, et j'aime la faire durer afin que monte son angoisse....
.... j'aime aussi le déconcerter, s'attendant à un coup de cravache, il reçoit un formidable coup de pied au cul..... ou vice-versa....
.....tout cela provoque en Moi une prise de conscience: cet esclave est choyé, depuis trop longtemps il vit avec Moi comme un "coq en pâte", il est grand temps de
le chatier....motif? En cherchant bien, il y a bien quelques négligences cumulées, mais de toute façon, dois-je me justifier? Certainement, non. J'ai le droit de le fouetter sans raison, juste
pour Mon bon plaisir.... et lui rappeller sa place, son statut, son rôle.
Maeva fit lentement glisser le fouet en cuir entre ses jambes, sur son dos, ces préliminaires précédaient le chatiment, l'esclave était sur des charbons
ardents, condamné à quinze coups de fouet, il savait qu'il allait avoir très mal....
....agenouillé au coin, les poignets enchaînés, la flagellation du chien fut entourée d'un cérémonial qui ne fut pas sans lui déplaire.....Suivez la
flèche rouge!!!
L'attente fut longue et angoissante, les premiers coups de cravache sur les fesses furent succédés par des coups très cinglants du fouet blackmamba,
alternés par de nombreux coups de pieds au cul....
....l'esclave demanda pardon pour ses fautes, pardon d'être imparfait et encore perfectible...MAEVA DOMINA le laissa agenouillé durant une demi heure,
pendant laquelle Elle dégustait une coupe de Mum rosé...Mutine, de la pointe d'une botte, Elle lui taquinait les organes génitaux par d'irrésistibles "va-et-vient", l'esclave était au comble de
la folie adorante, il aurait à ce moment tout accepté de la Domina....
... puis d'un claquement de doigts, le fit se prosterner devant Elle, la beauté bottée. Elle posa Son pied sur la nuque soumise et l'écrasa longuement
tout en téléphonant à une amie. Ce geste symbolique marquait son absolution, montrant ainsi Son pardon à l'esclave désobéissant....
... feet la déchaussa, Elle l'autorisa à lui lécher les pieds... il était vraiment pardonné...
Il ne vous plait pas, cet article, pour qu'il n'y ait aucun commentaire?
Le marquage des corps
.Si vous êtes un habitué de MAEVASLAVE et
attentif, vous ne pouvez ignorer que feet-le-chien a une marque sous l’épaule gauche. Elle est devenue permanente, car entretenue à chacune de nos rencontres, et cela
depuis de nombreux mois, pour l’essentiel par l’action efficace de Mes talons aiguilles, sans omettre les pinces, les aiguilles, ma panoplie offre un grand éventail d’outils pour marquer, martyriser, et mortifier la chair servile.
Cette marque est un palliatif, un ersatz, elle remplace - pour l’heure – une vraie jolie marque au fer rouge, un M majuscule, par exemple. J’ai demandé à Mon chien de se renseigner sur cette pratique, il semble difficile de trouver un opérateur compétent, de plus, il faut savoir que c’est très douloureux, il faut en outre veiller aux risques toujours possibles d’infection pendant la phase de cicatrisation : il s’agit quand même d’une brûlure au troisième degré ! Je ne suis pas comme certaines Dominas irresponsables, je prends soin de Mon chien, je me sens responsable de sa santé tant physique que mentale.
Dans les communautés traditionnelles, le marquage corporel est souvent le signe d’un rite de passage d’un état à un autre, ou d’un changement de statut et de rôle. Feet, devenant Mon esclave, a aspiré naturellement à avoir cette marque dans sa chair, représentation symbolique d’une relation devenue vitale pour lui, et signe d’une re – naissance…de même qu’il fut rassuré en signant le contrat et ses annexes.
L’action d’être marqué, avec la nouvelle opportunité d’être re – marqué, repéré comme esclave dans cette société de gagneurs, cela transcende la douleur supportée par la marque laissée, Ma marque, Mon label.
Cela saigne, cicatrise, et saigne à nouveau, éternelle marque qui saigne, signant de son sang l’acte d’esclavage, l’intention profonde de soumission servile.
Mes talons sont
sans pitié, j’aurais tant préféré le fer rouge qu’il ne peut attendre aucune indulgence des futurs piétinements de la marque, il faut qu'elle se voit.
Enfin, la marque
corporelle est la preuve de son asservissement à Ma Loi.
Elle souligne l’intensité du lien entre nous…symbolisant l'éternel piétinement, notre mode de relation privilégié.
Adorateur
inconditionnel de Mes pieds, il doit souffrir par Mes pieds, c'est la rançon à payer...
Qu’en pensez-vous ?
Quelles sont vos propositions et
suggestions ?
MAEVA
... et cette fois pour de bon, mais j'avais oublié de publier pour une communauté, il ne faut pas faire de jaloux....en attendant, ce site prend
bien du temps et de l'énergie, il plonge aussi dans une forme d'addiction, tant pour les créateurs que pour certains visiteurs déja bien "accros"....nous aussi, nous avons du mal à décrocher.
Allez, bisous, à demain....
Samedi, je l'ai tenu dans le noir, tel un aveugle, pendant deux bonnes heures. Il se guidait à Ma voix et à la tension de la laisse, recevant de temps
en temps un coup de pied, une gifle de la cravache, ou demeurait agenouillé, réceptif, en attente de quelque chose d'inattendu, d'imprévisible.... parfois, Mes orteils frôlaient sa bouche, le
rendant dingue de désir...
Sur ces petits films, lorsque je lui ordonne de me déchausser, il s'attend à lécher Mes pieds, il n'aspire qu'à ça depuis trop longtemps.... imaginez sa surprise lorsqu'il est ainsi
giflé...
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