maevaslave

Bonjour Maîtresse MAEVA

 

Je vous présente mes hommages.

 

C’est une superbe photo. Le trucage est impeccable.

Symboliquement, cette photo est très forte car elle montre la grandeur et l’immense beauté de votre divin pied face au misérable esclave. Même un peu sale, votre divin pied reste le plus merveilleux et l’esclave est insignifiant face à une telle beauté. L’esclave est prisonnier de son désir et ne vit que pour le bien être et le nettoyage de votre superbe pied.

 

Cette photo est merveilleuse car elle démontre parfaitement se qu’un esclave ressent face à une femme, une déesse telle que vous. Je sais que je suis né pour être votre esclave de pied, je me sens ridicule face à vous.

 

Que j’aimerai être ce petit être qui nettoie votre divin pied avec sa langue servile.

La photo nous permet  aussi d’admirer que vous êtes une femme superbe.

 

Je me prosterne amoureusement devant votre divin pied.

Bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, tout me fascine, dans Vos textes, dans Vos photos, mais celle de ces dernières où l'on voit Vos belles Cuisses croisées gainées d'une jolie résille me touche particulièrement.
je comprends que feet-le-chien tienne à demeurer Votre seul esclave et qu'il est prêt à mordre tout autre soumis qui se présenterait.
Cet après-midi (si j'arrive à entrer dans ma voiture), j'irai en ville chercher un anti-inflammatoire qui, je l'espère, me soulagera le dos et permettra à mes genoux de retrouver la règle exécrée mais supportée pour l'amour de Vous.
je comptais ce matin avancer (et peut-être terminer) le chapitre VI, mais j'ai été sollicité par beaucoup d'autres choses (notamment, recherche sur Internet pour la maladie de ma Femme et consultation du forum des malades) et je n'ai rien pu faire.
je sens d'ailleurs une désaffection de Votre part pour ce récit, mais Vous m'avez ordonné d'écrire 10 chapitres et, pour ne pas Vous désobliger, je les écrirai.
Votre humble caniche rend hommage à Votre Beauté et se courbe sous Votre Pouvoir.
                                                                                                       chien slavio.
De Marguerite Duras (dans Les petits chevaux de Tarquinia) : "Tout le monde a le droit de souffrir comme il l'entend." Et : "Elle qui n'est pas menteuse, elle peut mentir. (...) Elle qui n'est pas méchante, elle peut être féroce."

Bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, la dernière image est impressionnante : un Caprice de la belle Domina et l'homme-insecte est écrabouillé par Son Pied, peut-être même sans qu'Elle S'en rende compte, malgré les efforts de l'esclave pour Lui plaire et La servir ! C'est exactement ce que nous sommes, infimes et insignifiants devant Vous, nous qui Vous appartenons et vivons, de près ou de loin, dans Votre Lumière !
je sais que je n'ai aucun droit à me plaindre de Votre silence, et je ne m'en plains d'ailleurs pas. Simplement, quant à la continuation de "Ma Femme me prête...", ce mutisme m'inquiète un peu. C'est peut-être voulu et bon pour moi, mais j'ai l'impression d'être tombé en disgrâce... si toutefois j'ai jamais été en grâce auprès de Vous !
Quoi qu'il en soit, j'espère, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, que Vous passez un excellent week-end de détente, de repos et de plaisirs, entourée des soins diligents de Votre bienheureux feet-le-chien.
Vivent les Femmes ! Vivement la Gynarchie !
Avec mes lèvres humblement posées sur la pointe de Vos bottes :
                                                                                                  chien slavio.