Vendredi 18 octobre 5 18 /10 /Oct 11:35

J'ai retrouvé ce texte qui date de 2009, il reflète bien ma pensée sur la relation D/s, ce texte se nommait:

 

 Instructions à Mon lèche-bottes 

 

L’esclave agenouillé a levé le doigt pour demander la parole et un geste de la Main Dominatrice l’y a autorisé :

 

« Me permettrez-Vous, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, de me prosterner pour lécher le bout de Vos bottes et leur tige ? Ma salive devrait être bonne pour l’entretien de leur cuir ! »

 

DSCF2079

 

Bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA donne Son Accord. Elle S’installe confortablement dans un bon fauteuil, une revue de Domination Féminine de l’OWK à la main. La semelle de Son Pied gauche, celui-ci étant au repos pour l’instant, est posée sur l’épaule droite de l’esclave, mais tout à l’heure, quand bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA jugera que Sa créature a bien nettoyé et embelli Son Pied droit, Elle présentera le gauche à la bouche servile tandis que Son Pied droit viendra à son tour appuyer son talon sur l’épaule gauche du mâle asservi… Pour éviter à sa belle Domina toute fatigue et contracture inutiles, l’esclave soutient de ses deux mains le Pied qui fait l’objet de ses soins. De temps à autre, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA cesse de lire et abaisse Ses jolis Yeux sur l’esclave pour voir s’il fait correctement son travail qui est humiliant et sale certes, mais tellement utile et plaisant pour Elle, et qui témoigne de Son Pouvoir de Femme et de l’extrême soumission de Son ilote. Elle dit alors de Sa Voix la plus suave :

 

« C’est bien, esclave ! Je vois que tu t’appliques à Me faire de jolies bottes ! Continue ! Ne pense pas à ta fatigue ni à ta peine ! Tire bien ta langue, que je la voie œuvrer ! Car j’adore voir la langue d’un mâle s’activer sur mes bottes, s’y étaler, les mouiller. C’est une vraie Jouissance mentale pour Moi, la source d’un grand Orgueil Féminin, qui se double d’un vrai Plaisir physique, d’une agréable Excitation, et c’est pourquoi ensuite, très souvent, J’exige de recevoir d'un homme Ma Volupté complète… Pense donc à toutes ces bonnes Sensations que tu me donnes, elles t’encourageront à mieux faire. Ta pauvre langue de chien, passe - la donc partout, lentement, largement, en appuyant bien ! Insiste sur les moindres taches, sur les poussières.

 

DSCF5218

 

 S’il le faut, gratte légèrement avec tes dents les petites salissures, sers-toi de tes lèvres pour aspirer cette farine de terre et de boue. Avale tout sans grimace ! Montre-Moi que tu es content de faire ce travail pour Moi, afin que Moi aussi Je sois contente. Passe et repasse plusieurs fois ta bouche et ta langue au même endroit, surtout sur le talon qui est en général plus souillé. Prends-le très profond dans ta bouche, humecte-le bien, suce-le avec respect, humblement, religieusement. N’aie pas peur de recommencer, jusqu’à ce que ce soit parfait. Et le cuir des tiges et des empeignes, mouille-le bien aussi, lèche-le à grands traits, de bas en haut, de Mes Chevilles jusqu’au sommet de Mes bottes, juste sous Mes Genoux, fais-le briller, nourris-le de ta salive qui doit être abondante et y pénétrer comme une crème d’entretien, rends-le encore plus souple, plus agréable à porter, plus doux à Mes Jambes, plus confortable et sain. Lève par instants tes yeux vers Mon Visage. Montre-Moi par tes regards de chien amoureux de sa Maîtresse que tu es désireux de Me servir de toutes tes forces, de toute ta bonne volonté, car cela Me rendra encore plus heureuse de te posséder et plus fière de ce que Je te fais faire, plus pleine de Moi-Même, plus intimement satisfaite de cette humiliation que Je t’impose et à laquelle tu te plies sans rechigner, pour l’amour et le respect de Ma Personne… Cependant, il faut absolument que tu cesses de reluquer hypocritement sous Ma jupe, comme un vulgaire voyeur. Dis-toi que Mes Cuisses, Mon Sexe, toute Mon Intimité de jolie Femme, rien de toutes ces Beautés n'est pas pour toi, pas même pour de simples regards furtifs. Dis-toi que ton désir de Moi ne M’intéresse pas le moins du monde et que tu n’es pas à mes Yeux un être "consommable"... Sinon je serai obligée de te punir sévèrement. Car non seulement tes oeillades offusquent Ma Pudeur de Femme, non seulement J’ai l’impression que tes regards Me salissent, mais tu perds du temps et tu te déconcentres, ce qui fait que tu lèches moins bien Mes bottes, avec moins d’ardeur… En revanche, si Je suis vraiment Satisfaite de ton travail, si tu M’as rendu des bottes comme neuves, tu auras ta récompense et elle sera très belle, crois-Moi. Tu ne devines pas ? Que tu peux être bête ! C’est facile, pourtant. Mais il est vrai que tu n’es qu’un homme… Eh bien, Je te permettrai de lécher aussi Mes semelles !… »

 

DSCF2494

 

Aussitôt, l’esclave, la bouche écrasée sur le cuir des bottes de sa bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, bredouille, la voix tremblante d’émotion et de gratitude :

 

« Oh, merci, divine Maîtresse MAEVA ! Quel honneur me faites-Vous ! Quelle joie me donnez-Vous ! Que Vous êtes généreuse et comme il est bon de Vous appartenir et de vivre en Votre Pouvoir ! »

 

Alors, d’un geste plein de Grâce et de Dignité, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA soulève le Pied que l’esclave achève de soigner. Avec un air d’extase, celui-ci, qui soutient le talon de sa belle et exigeante Domina, voit apparaître devant sa face, comme un bel objet de culte, la semelle grise, tachée, toute grenue de minuscules aspérités de terre, cette semelle qu’il va lécher consciencieusement, avec amour, respect et humilité, sans se soucier de sa propre santé, et à laquelle sa salive va rendre tout l’éclat du neuf.

 

Véritablement émue presque aux larmes de tant de dévouement, de tant d’empressement à Lui être agréable, de tant d’oubli de soi-même, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, Se penche sur Son esclave et lui relève sans rien dire le menton de la pointe de Son Pied. Puis Elle appuie le bout de Sa semelle sur les lèvres asservies. L’esclave comprend immédiatement le Désir de sa chère Domina, il ouvre si grand la bouche que, presque sans avoir à pousser sur Sa Jambe, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA peut y introduire toute l’extrémité de Sa botte, aplatissant et refoulant la langue qui l’humecte par-dessous. Elle demeure un moment ainsi, savourant Son Pouvoir. Elle éprouve une grande Joie, une juste Fierté Féminine à voir se distendre douloureusement les commissures du mâle avili soumises à si rude épreuve, à l'entendre respirer péniblement par le nez dont la remontée de la lèvre supérieure comprime les narines. Elle ressent monter en Son Ventre, dans Ses Reins, à la pointe de Ses Seins, le long de Son Dos et au creux de Ses Cuisses, de délicieuses ondes annonciatrices d’une prochaine Volupté, et déjà les regards de chien fou d’amour et de soumission que Son esclave lève vers Son Visage rayonnant de Déesse Lui sont une véritable Jouissance. Lentement, en frottant durement Sa semelle sur la langue tendue, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA retire Sa botte de la cavité buccale, et dit, sur un ton mutin :

« C'est très bien tout ça, mais Mon autre Pied n’a encore rien eu, le pauvre ! »

 

DSCF5189 - Copie

 

Et aussitôt, remontant à peine l’ourlet de Sa robe, dévoilant et levant gracieusement Son autre Genou, Elle introduit la pointe de Sa seconde botte dans la bouche servile que l’esclave a pris soin de ne pas refermer. Les Yeux au plafond, la Bouche entrouverte, soupirant d’Aise, passant voluptueusement Ses Mains dans Ses Cheveux ou sur Sa Poitrine qui se gonfle et palpite, bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA donne toute l’apparence d’une Femme pleinement heureuse, consciente de Sa Puissance, comblée et ravie d’Elle-Même. Elle murmure plus qu’Elle dit :

 

 

« J’ai déjà dominé, dompté et asservi de nombreux êtres mâles, mais jamais au point de les tenir à Ma Merci comme Je te possède toi. Je vois bien que Je peux faire de toi absolument tout ce que Je veux, tout ce qui passe par Ma jolie Tête. Je comprends que tu n’es plus qu’un prolongement de Moi, de Ma Volonté, de Mes Envies.

 

DSCF3304

 

Et pour une Femme comme Moi, c’est merveilleux... Alors, tu vas courir te laver soigneusement la bouche, te la désinfecter comme il faut avec de l’Hextril et du bicarbonate, te la rincer plusieurs fois et te dépêcher de revenir vers Moi. Car tu M’as trop excitée avec ton bonheur de soumission et maintenant, Je veux que tu Me donnes Mon Plaisir. C’est ton nouveau job, esclave, et Je suis sûre qu’il va te plaire encore davantage. Fais vite. Je suis pressée de jouir !… »

 

pic 081

 

Moins d’une demi-heure plus tard les Cris voluptueux de bien-aimée et vénérée Maîtresse MAEVA, abandonnée dans Son fauteuil en position semi allongée, Son esclave tassé à Ses Pieds, avec la tête enfouie sous la robe de sa belle et sensuelle Domina, les joues serrées entre Ses Cuisses dures et les paumes à plat sous Sa Croupe ronde, retentissent dans l’appartement…

 

Par MAEVA - Publié dans : Souvenirs
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

  • : MAEVA DOMINA et ses esclaves
  • MAEVA DOMINA et ses esclaves
  • :
  • : Blog consacré à la gynarchie, à la relation réelle Maîtresse/esclave, et- au fétichisme sincère et absolu du Pied Féminin...promotion des talents littéraires et picturaux, humour, obsessions diverses.... Contact:maevaslave-mail@yahoo.fr
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Créer un Blog

Recherche

Texte Libre

Derniers Commentaires

Texte Libre

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés