MAEVA claqua des doigts et d'un index impérieux, me fit comprendre ainsi qu’Elle me voulait allongé sur le dos, prêt à devenir un vulgaire « pouf ». Pouf, coussin, tapis… comme autant d’anodins objets destinés au confort de son utilisatrice et qui avaient pour Elle une grande importance : n’est ce pas sur un coussin que les reines posaient leurs pieds lorsqu’elles siégeaient sur un trône ? Le remplacer par un homme complaisant est une tentation et devient par là le symbole d’une domination totale, et l'homme complaisant, par ce faire devient un esclave, mais n'est ce pas pas mon désir sincère et profond? Prompt à obéir, je m'allongea nu, le dos sur le carrelage glaçé.
Elle colla les deux pieds moites et plutôt sales sur mon visage, et les frotta longuement sur mes joues, mes lèvres, mon nez, je faisais oeuvre de paillasson, par les nombreux "va et vient" de ses deux pieds nus sur mon visage, Elle se débarassait ainsi de la poussière collée par l'humidité (canicule estivale!il faisait trente degrés!!)...autant dire de la crasse! Mais une crasse transcendée et sublimée, Elle collait à la peau des pieds vénérés, et ce qui pourrait sembler dégradant aux gens normaux et normopathes devient de ce fait félicité...celle du sous espace. Ma langue se déroulait entre chaque orteil, enveloppant ces petites courbes adorables et charnues, insistant sur les zones les plus sales, se déroulant sur les talons, et à chaque coup de langue, la jolie et soyeuse peau rose réapparaissait, c'était du bon boulot, et j'étais fier de moi, assez excité, avec une erection infernale, un vrai pieux dans le pantalon (et je n'en portais pas!) qu'Elle ignorait, à cette période et à juste titre, Elle n'avait pas à rencontrer mon plaisir, ce qui implicitement signifie que cela a maintenant changé, pour mon plus grand bonheur....mais vous n'en saurez- pour l'heure- pas plus.
Et pourtant, l'inattendu vint, l'inédit: Elle glissa son pied droit sur mon ventre et, de Ses divins orteils, viola mon intimité déjà très tendue. Ses ongles me
griffaient un peu mais la douleur était supportable. Son autre pied se riva à ma bouche. Il était un peu humide, d’une saveur épicée et salée, et ma langue, en habituée servile, entra en
action, se glissant entre chaque orteil, sur toute la plante, sur le talon. Elle aimait aussi violer ma bouche de son pied, forçant le passage, je devais ensuite sucer longuement chaque orteil.
De temps en temps, Elle poussait de petits gémissements, et je crois qu’Elle se caressait, mais ma vue se limitait à quelques centimètres carrés de peau blanche et satinée, et d’ongles
vernis. Elle aimait vraiment se faire lécher les pieds et ne s’en privait pas, surtout à l’issue d’une de ses journées
fatiguantes de femme travailleuse et méritante, une vraie et belle femme de quarante ans, libre et autonome, qui ne s'en laissait pas conter par les hommes, Elle les connaissait par coeur, de
même qu'Elle lisait en moi comme dans un livre, Elle savait ce que je désirais, et ce que j'étais prêt à faire pour Elle, afin qu'Elle accepte...qu'Elle accepte de me prendre comme son esclave,
des droits innombrables pour Elle et sur moi, et quant à moi, d'innombrables devoirs, et en récompense, La servir, être Son animal de compagnie pour les week ends. Lorsque j'étais avec
Elle, c'était à Ses pieds.J’étais dévolu à cette tâche, créé pour cette condition, servir et obéir... et dire que j'ai attendu 52 ans pour oser franchir le cap! Mais peut être me fallut
t'il attendre, acquérir un peu de maturité, être sûr de mon choix, mon destin était peut être Maîtresse MAEVA, il me fallait être prêt et provoquer la rencontre...
...et cette rencontre, un jour la raconterai-je sur ce blog, si vous NOUS le demandez gentiment...
MAEVA eu ensuite une conversation animée avec une amie, Domina comme Elle, et c’est moi qui en fit les frais : Elle trépignait, tapait du pied, en désaccord avec son amie sur les modalités de mon dressage...
Les deux pieds ayant été correctement léchés, Elle m’intima l’ordre de lui faire couler un bain... ....(à suivre)
L’eau coulait dans le bain, j'ai rajouté des huiles essentielles, allumé de l’encens, mis de la musique douce et planante, contrôlé la température …un peu trop
chaud…attention…Elle surgit comme de nulle-part, dans mon dos, entièrement nue, souriante. Il aurait été déplacé que je demeure debout en Sa présence, je me suis agenouillé, en position
d'attente, le regard rempant vers Ses orteils aux ongles parfaits, un peu longs, rouges comme le sang et nacrés. Ses pieds s’approchaient de moi, triomphants. J’eu soudain Son nombril à vingt
centimètres de mes yeux, Elle me saisit la nuque d’une poigne insoupçonnée, ancra Ses doigts à des mèches de mes cheveux, et colla ma bouche à Sa vulve rasée, la guidant vers Son orifice sacré,
Elle m’intima l’ordre de La lécher. Je le fis avec zèle et application, plutôt longuement car j’en avais mal aux mâchoires, consécutivement au coup de pied pris ce matin suite à une faute .
En fait, j’avais mal partout, suite au traitement de faveur dont j’étais l’objet depuis ce matin à dix heures: cravache, fouet, piétinement, coups de pieds, giffles de ses pieds nus ou avec sa
tong en cuir, longs cunnilingus..en fait de longs face sitting où Ses fesses incorporaient totalement mon visage, Elle ondulait du bassin et ma langue visitait chaque recoin secret... Elle
eut soudain un orgasme très fort qui m’inonda la bouche, et j'avoue ne pas avoir apprécié mais ce n'est pas Son problème puis, au paroxysme du plaisir, Elle planta Ses ongles dans ma nuque,
lacérant mon cou. Ma langue continuait à œuvrer, soumise, par de longs « va et viens » dans Son humide calice, mon visage d'esclave était trempé de Ses sécrétions intimes, et je
savais qu’Elle considérait cela comme un cadeau . Elle me repoussa du pied comme à un chien pour gravir les trois marches de la vaste baignoire- piscine (j'avais reservé dans un "quatre
étoiles", un luxe naturel pour MAEVA, une petite ruine conjoncturelle pour ma carte bleue!!!).
Elle commença Ses ablutions, rajouta du bain moussant en chantonnant. J’étais toujours à genoux, tête baissée, les mains dans le dos, attentiste, l’air ridicule des vaincus, ou plutôt
des soumis. Que pouvais-je faire d’autre ?
Les minutes s’égrenaient, comme autant de coups de poignards vrillant mes genoux sur le froid carrelage. Elle continuait à m’ignorer, puis, taquine, m’éclaboussa de Son pied, comme pour jouer. Une heure passa ainsi dans le calme, bercé par la musique , ce qui me permit de méditer sur ma condition d'esclave et mon « non-être ». Elle s’était endormie, la pauvre, fatiguée de Sa semaine de travailleuse, de mes fautes dans le service, de mes rebellions et désobéissances... J’étais mal en point, plusieurs ecchymoses au visage, sur la poitrine, et sur le ventre. De nombreux petits cercles rouges constellaient mon corps, le piétinement avait été intensif, Elle ne s'était même pas privé de marcher sur moi avec les talons aiguilles, mon cou avait été griffé jusqu’au sang et cela me cuisait. Mon moral devint soudain assez bas, j’étais dans un sale état, et la soirée ne faisait que commencer ! Et MAEVA, contrairement à moi était une "couche tard"!
Elle daigna émerger de la douce chaleur du bain, je dus La rincer avec la douchette, puis Elle m’intima l’ordre de La sécher avec un peignoir de bain.
A genoux, j’essuyais ensuite Ses jambes et Ses pieds pendant qu’Elle me caressait la tête comme à un Labrador. Depuis quelques temps, Elle avait compris l'impact de Sa voix sur moi, Elle donnait beaucoup d'ordres, je devais obéir immédiatement et sans hésitations.
_ « Va te laver, feet ! Tu t’habilles, et tu viens ! Tu as quinze minutes pour me faire de petites courses! Tu vas acheter un paquet de cigarettes pour moi! Tu passes devant le fleuriste, tant mieux, je sais que tu es plein d'attentions... Tu vas à la pharmacie acheter de la vaseline et une crème hydratante pour mes pieds, tu vas à la patisserie, j'ai envie de tarte aux fraises! Après tu remontes vite, tu vas au bar de l'hôtel et tu reviens aux pieds avec deux coupes de Champagne, ce soir c'est la fête, ça va même être ta fête! Tu as même intérêt à être à la hauteur de mes envies, je ne t'en dis pas plus.». Elle me donna un petit coup de pied au visage qui m'égratigna un peu, Ses ongles de pieds étaient plutôt longs, mon épiderme en savait quelque chose!
Puis Elle disparut dans sa chambre sans doute pour s’habiller pour la soirée.
(à suivre)
CHATIMENTS, SUPPLIQUES, SUPPLICES ET SUPPLICIATIONS
MAEVA pensait à
feet, à celui qui était devenu en si peu de temps Son esclave, « peut être un peu trop vite pensa t’Elle, il n’est pas vraiment prêt, il proteste quand il a trop mal, se plaint…sauf
les deux dernières fois et il n’a jamais utilisé le mot de sécurité, en même temps, quand je le veux, en cinq minutes il le prononce, en me suppliant
d’arrêter…
Je dois vérifier certaines choses, être plus sévère, l’obliger à venir à une soirée SM. Qu’il lèche mes bottes devant d’autres Dominas, et qu’elles sachent qu’il est à moi, et rien qu’à moi…l’idéal serait de le soumettre 24h/24h, et cela pendant une bonne semaine, où il n’aurait qu’un seul souci : me servir comme une DEESSE et endurer mes fantasmes, tous mes caprices, et cela sans aucune limite. Oui, mais quand ? Puis Elle se souvint des quatre jours d’octobre où le soumis était disponible pour Elle et Elle seule. La tentation était grande, celle de le contraindre à un stage de remise à niveau, et cela dans l’intérêt réciproque de leur couple - car ils étaient un couple…- car à l’issue de ce stage, feet devait être beaucoup plus endurant aux tortures, au fouet, plus rapide dans l’exécution des tâches quotidiennes, et d’une façon générale plus soumis.
Elle lui annoncerait ce stage lors de leur prochaine rencontre à Ibis……………………………………………………………………………………………………………………………..
A Ibis, Elle fut cruelle et hautaine, et dans le couloir de l’hôtel, l’obligea à s’aplatir devant Elle et d’embrasser Ses bottes. Il n’y
avait personne, mais quelqu’un pouvait venir et le voir dans cette embarrassante position…
Dans la chambre, feet Lui fit lire ses confessions écrites, avoua ses trois masturbations de la semaine. Avec Sa science consommée de la suggestion sadomasochiste, MAEVA le contraignit d’abord à des exercices d’adoration des pieds et d’équitation, assise sur son dos, Elle l’utilisa pour faire le tour de la chambre, le fouettant de Sa nouvelle cravache, puis lui fit lécher Ses bottes en cuir noir, lui enfonçant le talon dans la bouche, parfois Elle le piétinait, ou l’immobilisait en lui clouant les poignets sous l’arche des talons hauts, Elle lui donna aussi de nombreux coups de pieds dans les côtes.
Elle lui enfonça un plug jusqu’à la garde, lui ordonna de Là déchausser…
Feet Lui lécha longuement les pieds…les ongles vernis étaient écaillés, Elle ne portait pas les anneaux ni la chaînette, les pieds étaient mal entretenus…Confus, l’esclave se mit au travail…de sa langue, puis avec la crème, puis le vernis.
MAEVA s’était endormie…
(à suivre)
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