Partager l'article ! Pour la "rentrée" du blog.....: ..... un texte de feet qui date d'un an......le second rôle qu'il est a bien le droit à un peu d'expression... ...
..... un texte de feet qui date d'un an......le second rôle qu'il est a bien le droit à un peu d'expression.....
J’avais travaillé toute la journée, n’ayant pas même pris le temps de passer chez moi prendre une douche ou manger quelque chose, j’avais sauté dans la voiture, et direction Annecy…A seize heures, j’avais reçu le SMS suivant : « A 17h 30 précises, tu m’attendras au bar de l’hôtel Mercure, ce soir je te ferai passer un nouveau test de soumission…MAEVA DOMINA. »
Comme toujours, j’étais ponctuel, je m’installais sur un siège de bar, j’ai demandé un café et un verre d’eau, j’avais soif et très envie d’une bière, mais je ne voulais pas prendre le risque d’une haleine qui pourrait Lui déplaire, les enjeux de la soirée étaient importants.
Pour devenir réellement Son esclave, je devais vivre un parcours initiatique en sept degrés. Ce soir, je passais le deuxième, ayant été reçu comme admissible lors de la première entrevue avec Celle qui allait changer ma vie.
Elle arriva avec vingt cinq minutes de retard, majestueuse dans son tailleur noir, les jambes gainées de résille bleue, chaussée de sandales rouges à talons. Je La voyais pour la deuxième fois, la première fois, nous avions rendez-vous à Sévrier, dans une guinguette au bord du lac. J’avais été subjugué par la classe qui émanait de cette femme, j’étais prêt à capituler pour de bon, il ne s’agissait plus de fantasmes, n’attendais-je pas ce moment depuis les premiers émois de l’adolescence ?. Après le dîner, nous nous sommes promenés au bord du lac, la nuit tombait, c’était très romantique. Je l’ai raccompagnée à Sa voiture, j’ai ouvert la portière comme son valet l’aurait fait. Elle s’est ensuite assise, laissant ses jambes dehors, et me fis comprendre que je devais m’agenouiller dans la boue illico presto, m’autorisa à embrasser ses bottines assez boueuses, puis à les nettoyer avec ma langue qui n’avait encore jamais connu cet humiliant plaisir. Heureusement, la rue était déserte…Après dix minutes de ce nettoyage, elle lustra ses bottines à talons contre mon visage, mes lèvres, jusqu’à être satisfaite du résultat. Je fus contraint aussi de sucer chaque talon Elle me congédia en me repoussant du pied, cela me déséquilibra, Elle en ria, et je me suis dit que c’était bon signe, et que j’avais peut être des chances d’être convoqué de nouveau par Elle.
J’eu cette chance, une semaine plus tard. Nous sommes allés au restaurant de nouveau, sa conversation était spirituelle, j’étais quant à moi assez intimidé. A un moment, Elle fit tomber sa serviette à terre, et du regard, j’ai compris que je devais promptement la ramasser. La vision de ses pieds chaussés d’escarpins me fit défaillir, Elle le remarqua et vrilla la pointe d’un talon aiguille sur le dos de ma main, et de ce fait, m’emprisonnant délicieusement.
A l’issue de quelques secondes trop brèves, Elle me releva le menton de la pointe de son autre chaussure, m’intimant de me relever.
Nous sommes ensuite allés à l’hôtel.
Dégrafant ses porte-jarretelles, Madame Maeva fit glisser les bas résille jusqu’au dessus du genou. De son index pointé au sol, Elle me signifia que je devais m’agenouiller et l’aider à quitter ses bas. Mes mains tremblaient, de stress, de fatigue, de désir. Je savais que ce moment était formidable et déterminant, Elle ne faisait pas semblant, Elle me dominait complètement, mon corps et mon âme se réunissaient dans ce même désir : devenir Son jouet, Sa chose…
J’ai croisé son regard , Elle avait vraiment une grâce naturelle devant laquelle je désirai me courber, capituler…par plaisir…Il faut avouer que je suis un cérébral : le fait même qu’Elle me tutoyait et que je la Vouvoyais me mettait dans certains états très érectiles.
Je me mis à genoux devant Elle et d’un coup, je me suis senti mieux, complètement offert et motivé pour entrer dans ce que les Dominas nomment le sous-espace. Je m’y sentais bien, à cette place servile. Mutine, Elle pointa un pied vers moi, me caressant la poitrine.
Je m’exécutais, et fit rouler un bas jusqu’à la fine cheville ornée d’une chaînette en or, puis découvris peu à peu le pied adoré et ses magnifiques courbes, j’embrassais chaque centimètre de peau nue qui se dévoilait, et Elle ria de plaisir. Le pied droit enfin dénudé, Elle le colla sur mon visage, et, des orteils, caressa mon nez et ma bouche. Je fis de même avec la jambe gauche. Exerçant une poussée de ses deux pieds, Elle me fit comprendre ainsi qu’Elle me voulait allongé sur le dos, prêt à devenir un vulgaire « pouf ». Pouf, coussin, tapis… comme autant d’anodins objets destinés au confort de son utilisatrice et qui avaient pour Elle une grande importance : n’est ce pas sur un coussin que les reines posaient leurs pieds lorsqu’elles siégeaient sur un trône ? Le remplacer par un homme complaisant est une tentation et devient par là le symbole d’une dévotion totale.
Elle glissa son pied droit sur mon ventre et, de ses divins orteils, viola mon intimité déjà très tendue. Ses ongles me griffaient un peu mais la douleur était supportable. Son autre pied se riva à ma bouche. Il était un peu moite, d’une agréable odeur musquée, d’une saveur épicée et salée, et ma langue, comme si elle était habituée, entra en action, se glissant entre chaque orteil, sur toute la plante, sur le talon. Madame Maeva aimait aussi violer ma bouche de son pied, forçant le passage, je devais ensuite sucer longuement chaque orteil. De temps en temps, Elle poussait de petits gémissements, et je crois qu’Elle se caressait, mais ma vue se limitait à quelques centimètres carrés de peau blanche et satinée, et d’ongles vernis (rouge sang !).
Elle aimait vraiment se faire lécher les pieds et ne s’en privait pas, je l’appris par la suite, lorsque je devins son esclave titulaire, ne devais-je pas la réveiller ainsi le matin, avant de
lui monter son petit déjeuner ? Elle adorait en particulier que je lui lèche longuement les pieds en fin de journée, à l’issue d’une de ses
journées fatigantes de « travailleuse » : J’étais dévolu à cette tâche qui pourrait sembler dégradante aux gens coincés et normatifs. Quelle félicité !
Elle se cala dans son fauteuil telle une reine, taquinant mes côtes de ses orteils mutins, Elle se leva, et en passant, me marcha sur la poitrine, Elle revint, une cravache à la main.
L’ordre claqua comme un fouet :
Assieds-toi au pied du canapé, poses ta tête dessus comme si tu comptais les mouches ! Voilà ! Ne bouges plus, je m’installe ! Tu vas me montrer ce que tu sais faire de ta langue ! ».
Je suivis ses instructions à la lettre : la position était contraignante pour moi qui souffrait souvent de torticolis, mais mon confort lui importait peu. Otant sa rose petite culotte, Elle s’asseya sur mon visage, exécutant quelques ajustements du bassin afin d’être confortablement installée. Ses fesses rebondies et bronzées incorporaient totalement mon visage, Elle m’écrasa de tout son poids lorsqu’Elle croisa ses deux pieds nus sur ma poitrine. J’eu du mal à respirer et mon cou devint vite douloureux. Télécommande en main, Mme Maeva alluma la petite télévision pour – me dit Elle- regarder les informations qu’Elle ne loupait jamais. Il me restait le son….cela parlait de la santé du Pape…quel décalage ! Ma bouche adhérait à Sa vulve humide, mon nez quant à lui s’enfonçait dans la raie de Ses fesses, c’était très humiliant. Prenant appui sur mes épaules, Elle ondula des hanches d’avant en arrière pendant que Ses orteils taquinaient ma tige érigée. Très vite, Elle devint très mouillée, et avec dévotion, je léchais tout ce qui s’offrait à ma bouche, mon nez s’enfonçait de plus en plus dans un orifice secret, voué d’ordinaire à des fonctions plus humbles : ma dégradation était presque totale, mais cela ne fit qu’aggraver notre frénésie mutuelle.
Elle prit un plaisir fou, si j’en juge aux « va et vient » de plus en plus rapides et appuyés sur mon visage. J’étais trempé de ses sécrétions intimes, c’était un nouveau baptême, un rite sacré voué à la Divinité faite Femme. Un goût acre emplissait ma bouche, mon nez respirait des effluves un peu « marines », ce n’était pas très agréable pour moi, et pourtant j’avais une érection dingue, et de plus ses orteils emprisonnaient l’extrémité turgescente de mon engin, le manipulant comme un levier de vitesses : je crus exploser…
Heureusement, Elle se leva, cela calma un peu le jeu et par là, me protégeait de l’accident liquide imminent, cela soulagea aussi mon cou et ma tête vraiment douloureux. Elle revint avec un verre d’eau, dans l’autre main, elle tenait une courte cravache.
_ « Vas – y ! Lape, chow-chow ! Ce n’est pas encore fini, j’ai encore besoin de ta langue d’esclave ! Remets-toi en position ! ».
Elle se réinstalla sur mon visage, mais cette fois face au canapé, ce qui inversait tout : mon nez s’enfonçait dans son calice vaginal, ma langue par contre pouvait lécher toute sa raie, ce qui évitait la routine…
Elle leva les jambes, pesant de tout son poids, assimilant ma langue à un gant de toilette, ou pire, à du papier hygiénique ! Elle murmurait ses directives d’une voix lascive et langoureuse :
_ « Fais bien entrer ta langue, lèche bien partout, plus fort ! ».
Elle accéléra les mouvements du bassin et eu visiblement un nouvel orgasme.
Se levant comme une folle, Elle me cingla la poitrine de sa cravache, m’attrapa par les cheveux et me traîna à genoux vers son fauteuil. Je ne comprenais plus ce qu’il se passait.
Elle écarta les jambes, retroussa sa jupe en cuir noir et m’ordonna de la lécher en fermant les yeux. Je me mis à l’œuvre, la langue et les mâchoires bien fatiguées.
Mme Maeva, soucieuse de son confort, passa sa jambe droite sur mon épaule. Basculant vers l’avant, Elle facilita le travail de ma langue entre ses fesses et s’abandonna à une succession d’orgasmes qui inondèrent mon visage. Lorsqu’Elle fut satisfaite, Elle me repoussa du pied et m’ordonna de m’allonger sur le dos. Posant son pied gauche sur mon sexe, elle le caressa avec frénésie, les orteils de son pied droit caressaient mes testicules, les remontant parfois brutalement, mais j’aimais bien…l’explosion liquide fut quasiment simultanée, provoquant une inondation séminale maculant ses pieds, mon ventre, jusqu’à ma poitrine. Elle me traita de dégoûtant, me fit lécher ses extrémités profanées, et m’envoya aux toilettes afin de me nettoyer.
Elle me fit faire connaissance avec Sa cravache, lors de cette soirée fatidique.
A chaque coup, je devais La remercier et lui baiser les
pieds.
Madame MAEVA s'est ensuite endormie dans le profond canapé, son pied droit recouvrait
entièrement mon visage, son pied gauche quant à lui était rivé à ma tige, de nouveau en érection. Avant de m'endormir, moi aussi, nageant dans le sous espace, je ne pouvais m'empécher de
m'interroger: Avais-je été reçu à cet examen de deuxième degré? Quand donc allais-je passer les autres épreuves? Cette perspective m'excitait au plus haut point, et paradoxalement m'inquiétait
beaucoup. Les épreuves allaient monter à chaque fois d'un cran, en crescendo... au programme, initition au fouet blackmamba, cire, pinces, piétinements intensifs, et humiliations publiques.
Madame MAEVA avait évoqué l'obligation de porter une marque permanente sur ma peau, et qu'à défaut de fer rouge (un jour?), cette marque serait entretenue avec Ses talons aiguilles..... j'avais
tout fait pour parvenir à cette situation, je ne pouvais plus me dérober, je suis un homme d'honneur... les sévices et humiliations futures me rendaient dingue de désir....
( A suivre)
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