Partager l'article ! Une humiliation publique.....: .....racontée par "chien gégé" qui nous fait profiter de ses nombreux souvenirs. Cette histoire vraie et vécue ...
.....racontée par "chien gégé" qui nous fait profiter de ses nombreux souvenirs. Cette histoire vraie et vécue pose une excellente question que vous ne
manquerez pas de vous poser..... celle du choix laquelle renvoie à celle des limites......j'en connais un qui aurait détesté cette situation à cause de la présence d'autres hommes, il ne supporte
pas leur regard sur sa soumission, comme quoi il a gardé en lui des résidus de machisme que je corrigerai à la longue, ne serait-ce qu'au mois de mai au Cap d'Agde, un des rares lieux où son
esclavage peut être rendu public et visible, et cela sans choquer les sensibiltés pudibondes.....vivement le joli mois de mai! Je vous souhaite une bonne lecture, et merci à "chien gégé" qui lui
a fait le pas, et qui sait se raconter.....
Ce n'était pas habituel. Le repas terminé, alors que je débarrassais la table et m'attelais à la vaisselle, elle ne s'installa pas sur le canapé. Je ne
savais trop que faire, en principe, je venais lui servir le dessert alors qu'elle était confortablement allongée à bouquiner ou regarder la télé. Maintenant, elle était dans la salle de bains et
je l'entendais manipuler ses boites et flacons. Que faire ? la réponse vint, elle m'appela. Je me précipitai et la vis assise, en sous-vêtements « de sortie », me tendant le
vernis à ongles.
Alors que j'étais prosterné, m'appliquant sur ses orteils.....
.....elle m'annonça :
- « On va sortir, quand tu auras fini de ranger, tu te douches et tu mettras les habits que je t'ai sorti sur le lit !!!. »
Ce ton sec, impératif et n'admettant aucune réplique me faisait toujours le même effet et mon sexe, coincé dans sa cage se rappela à moi.
Je conduisais en silence, elle parlait peu, m'indiquant seulement les directions à suivre. Elle était souriante, semblait heureuse. J'en étais content car cela me permettait de sublimer mon inquiétude de ce qui allait arriver.
La boite était dans une petite rue du Canet, mais en hiver les touristes n'encombraient pas les parkings, nous n'eûmes pas à marcher beaucoup. C'était
une soirée privée, pas spécialisée S.M., où elle avait été invitée, me dit-elle, par un homme qu'elle venait de connaître et qui l'accueillit en effet à notre entrée. Le salut peu amène qu'il
m'adressa me fit comprendre qu'elle l'avait mis au courant de mon statut auprès d'elle. Il l'entraîna vers une petite salle, je suivais. Il y avait là une bonne dizaine de personnes assises sur
des fauteuils entourant une grande table basse, des hommes et des femmes discutant dans une ambiance de musique heureusement assourdie et de faible lumière....
....douce et colorée. Nous occupâmes les dernières places. Aussitôt je dus me relever pour aller au bar chercher les deux verres qu'ils avaient choisi, elle n'avait rien mentionné pour moi. Quand
je revins les servir, ma place avait été prise par une jeune femme, très jolie, au type un peu asiatique. Tous trois étaient en grande conversation et je compris que la jeune femme questionnait
ma maîtresse sur le sujet de la domination. On me fit signe d'aller m'asseoir un peu plus loin, sur un siège qui venait de se libérer entre deux hommes. L'un m'ignora, l'autre se penchait sur sa
compagne pour suivre la conversation de ma maîtresse. J'entendais mal mais je compris qu'il était question de moi aux coups d'œil qu'ils me lançaient, je percevais des bribes et des mots,
suffisamment pour comprendre ce qu'elle m'ordonna à voix haute.
J'eus du mal à avaler ma salive, mon estomac se noua. Je balayais la salle d'un regard rapide et furtif. Les conversations s'étaient tues et tous les regards
étaient sur moi. Je baissais les yeux. Alors, qui suis-je ? Un homme comme tous ceux-là, ou bien un esclave appartenant réellement à sa maîtresse ?
Quel est le plus important pour toi de ta fierté de mec ou de ses pieds sur ton visage ?
.... Instant décisif, tu as deux secondes pour choisir. Je choisis.
Je me levai, baissai mon pantalon et verrouillait mon regard aux pieds de ma maîtresse, seul soutien accessible.
Quand je me rassis, sensation du devoir accompli, les conversations reprirent très lentement. L'autre homme me posa quelques questions « techniques » sur ma cage et ma maîtresse se
relança, comme si de rien n'était dans son dialogue animé avec la jeune femme.
(chien gégé)
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