Samedi 31 octobre 6 31 /10 /Oct 07:48

Cette histoire vraie est de plus en plus passionnante, l'étau se ressère sur le jeune paillasson, il en est conscient, Elle aussi, Elle ira jusqu'au bout, usera, abusera, de cette soumission totale..... bonne lecture à tous!



FÉTICHISME ET SOUMISSION  X

Le dimanche soir, après avoir passé quasiment huit heures aux pieds de ma Princesse, je suis rentré chez moi, complètement détruit physiquement et moralement. J’ai raconté à mes parents que je ne me sentais pas bien et je suis allé directement me coucher. Bien entendu, comme toutes les nuits, j’ai pris les chaussettes de ma Princesse contre mon visage.Ce rituel était devenu pour moi une véritable addiction.

J’étais détruit physiquement car j’avais les genoux, le dos, les bras en compote. C’était la première fois que je restais si longtemps dans une telle posture. Je ne le regrettais absolument pas. D’ailleurs à l’époque, j’étais déjà parfaitement conscient de la chance que j’avais eue. Comme vous le savez, je suis depuis mon adolescence un véritable adorateur des Pieds Féminins. Je venais ce dimanche de réaliser un de mes fantasmes, c’est-à-dire passer toute une journée aux pieds d’une Femme. D’ailleurs, au cours de cette journée, mon excitation avait été trop forte. Une nouvelle fois, j’avais éjaculé dans mon boxer. Je n’en suis pas fier mais ma Princesse me rendait dingue. J’avais eu une nouvelle fois de la chance qu’elle ne s’en rende pas compte… enfin pas cette fois-ci…

J’étais donc aux anges d’avoir réalisé ce fantasme mais lorsque je m’étais imaginé de tel scénario, je n’avais pas envisagé la douleur physique. Enfin, il fallait en passer par là.

J’étais donc heureux mais pas complètement, car je ne pensais pas que ce dimanche se passerait ainsi. Je croyais que ma Princesse et moi étions enfin ensemble, je pensais que nous allions vivre une romance. De plus, l’autorité dont avait fait preuve ma Princesse en cette occasion m’avait vraiment fait peur. Je ne l’avais jamais vue aussi sévère, j’avais vraiment l’impression que ce jour-là, ma Princesse n’avait plus aucune limite…

Ma nuit fut très agitée, je n’ai fait que repenser à tout cela…

Le lendemain matin, à 7 heures 30, j’étais garé devant la maison de ma Princesse, je l’attendais comme tous les matins. Elle était un peu en retard. Elle ouvrit sa porte, je sortis de la voiture, je pris son sac que je déposai à l’arrière. Je lui ouvris la portière pour qu’elle puisse s’installer sur le siège passager puis je la conduisis jusqu’au lycée. Arrivé à l’établissement, je ressortis de la voiture pour lui ouvrir la portière....



.... je portai son sac jusqu’à la salle de classe où je la laissai avec ses amis.


Sur le trajet, ma Princesse n’avait pas été bavarde, elle semblait encore bien lasse. Elle m’avait uniquement dit : « Salut, je suis encore fatiguée, je n’ai pas bien dormi, en plus j’ai encore mal aux pieds. Ce soir attends-toi à passer ta soirée à mes pieds et n’espère pas bénéficier d’un coussin !! » Elle faisait allusion bien sûr à ma remarque de la veille. Bien entendu, je n’eus le droit à aucun bisou.

Toute la journée, je fus impatient qu’il soit 16 heures 30 et que je puisse enfin être aux pieds de ma Princesse. Il n’y avait vraiment que là que je me sentais bien.

Elle et moi n’étions pas dans le même établissement. Elle avait eu un cursus scolaire difficile, elle devait passer son baccalauréat au mois de juin de cette année-là. Moi j’étais en études supérieures.

Le midi, chacun de nous déjeunait chez ses parents.

Tous les soirs à 16 heures 30, j’étais garé devant le lycée, et j’attendais ma Princesse à la grille. Je lui prenais alors son sac, je lui ouvrais la portière de la voiture devant le regard amusé de ses amis. Je savais que derrière mon dos, mon comportement devait énormément faire parler. Heureusement, je n’étais pas encore trop gêné car je n’étais plus dans cet établissement. Néanmoins, j’y avais encore des amis et j’avais peur qu’à un moment ou un autre certaines informations viennent à leurs oreilles... Mais je ne pouvais rien faire, j’étais devenu l’esclave de ma Princesse, je me devais de l’assumer sinon j’aurais tout perdu.

J’ai conduit ma Princesse dans une boulangerie car elle avait un petit creux puis, arrivés chez moi, nous sommes montés dans ma chambre et je me suis mis à genoux pour déchausser ma Princesse. Elle s’est installée sur le lit, je lui ai mis un coussin dans le dos pour qu’elle soit bien. J’ai allumé la télévision, je lui ai apporté à boire. De son index, elle m’a montré ses pieds. J’avais compris. Je me suis mis à genoux, j’ai retiré tout doucement ses chaussettes. Ma Princesse m’a dit : « Tu sens comme mes chaussettes sont tout humides, j’ai encore eu très chaud dans mes bottes. » Puis comme à son habitude, elle a plaqué son pied sur mon visage et m’a dit : « Alors, ils sentent bon ? » Je sentais la moiteur, l’humidité de ses pieds sur mon visage, c’était pour moi comme une invitation au léchage. J'en rêvais...... pouvoir prendre Ses orteils en bouche était pour moi comme le stade suprème de la volupté, mais j'attendais, espérant en recevoir l'ordre, car l'intimité de ma langue indigne sur Ses Pieds nus aurait pu être considérée comme un viol. Puis Elle m’a dit de prendre la crème de massage. J’ai alors commencé à lui masser les pieds avec toujours la même excitation et le même dévouement.



J’avais attendu ce moment toute la journée. J’y étais enfin. Je ne pensais plus à rien. Je ne regardais qu’une chose, les pieds de ma Princesse, ils devenaient mon seul horizon. À ce moment-là, je ne vivais que pour ses splendides pieds.
Il était 20 heures, j’avais passé plus de deux heures à masser les pieds de ma Princesse. Elle commençait à avoir faim, et elle me dit qu’il était l’heure d’aller manger. J’ai arrêté de masser ses pieds, je lui ai fait un petit bisou sur chacun. J’avais pris cette habitude en fin de massage. Ma Princesse m’autorisait à lui faire ce petit baiser sur chacun de ses sublimes pieds, et c’était pour moi un véritable honneur. Je lui ai remis ses chaussettes, nous sommes descendus. Je me suis mis à nouveau à genoux, je lui ai enfilé ses bottes. Nous sommes allés en ville à la friterie chercher de quoi manger. Nous mangions ensemble tous les soirs, nous ne voulions pas nous quitter. Nos achats faits, nous retournions dans ma chambre et nous dînions. Dès le repas terminé, ma Princesse me faisait signe de reprendre ma place à ses pieds. Au début de notre relation, elle s’inquiétait que je ne puisse pas suivre la télévision en étant à genoux à ses pieds. Mais à ce moment-là, elle avait dépassé ces interrogations, elle me voulait à ses pieds, un point c’est tout. Ma Domina regardait donc tranquillement un programme pendant que je m’occupais de ses pieds. Puis il était l’heure que je la raccompagne car le lendemain nous devions aller au lycée. Comme d’habitude, ce soir-là, j’ai raccompagné ma Princesse chez elle. Au moment où j’allais sortir de la voiture pour lui ouvrir la portière, elle m’a retenu et m’a fait un petit bisou sur la bouche. Elle m’a offert de nouveau ce cadeau alors que je n’y croyais plus ! Toute la semaine s’est passée de la même manière entre lycée, massage de pieds et petit bisou de temps à autre. Même si ce n’était pas une grande romance, j’avais vraiment l’impression de vivre en couple avec ma Princesse. Malheureusement le vendredi soir, tout aller basculer…




Ce vendredi matin, ma Princesse m’a dit qu’elle devait me parler. Toute la journée, je me suis senti très très stressé, je me demandais ce qu’elle allait m’annoncer. Au soir, nous sommes allés dans ma chambre. Elle s’est installée sur le lit, j’ai placé un coussin dans son dos. Moi naturellement, je me suis mis à genoux à ses pieds pour l’écouter. Elle m’a dit ceci :

 « Écoute-moi bien et surtout ne me coupe pas. Samedi dernier, je me suis laissée aller. J’ai été touchée par l’attention et le dévouement dont tu fais preuve à mon égard depuis plusieurs mois. Il est vrai que je n’ai jamais rencontré un garçon comme toi. Un garçon si attentionné, si gentil, si dévoué, bref un garçon aussi soumis, alors que tu n’es même pas mon petit ami. Je sais que tu es complètement fou amoureux de moi, tu me l’as assez dit, oralement ou dans tes lettres. D’ailleurs, tout le monde le voit. Samedi, j’ai eu envie de te donner ta chance, j’ai passé un très très bon moment dans la voiture mais c’est tout, ça s’arrête là. Cette semaine, j’ai encore essayé pour te faire plaisir mais cela n’a fait que confirmer ce que je pensais. Tu es devenu pour moi un ami très cher mais il ne pourra jamais y avoir plus que de l’amitié entre nous. Physiquement, tu n’es pas du tout mon type de garçon.
 En plus, je n’ai pas envie de gâcher notre belle amitié. Et enfin, je vais être un peu dure mais j’ai besoin d’un garçon ayant un minimum de caractère et avec toi j’ai l’impression d’avoir en permanence une serpillière à mes pieds.



 Jusqu’à maintenant, je n’avais connu que des gars machos, je ne voudrai plus jamais d’un garçon comme cela mais tout de même j’ai besoin d’un garçon ayant un minimum de répondant… que tu n’as pas. En revanche, tu m’as appris à aimer les massages de pieds. Personne ne m’avait jamais fait cela, aujourd’hui je ne pourrais plus m’en passer. J’aime te voir soumis face à moi. J’aime que tu m’obéisses au doigt et à l’œil. J’aime te voir si attentionné envers moi, si gentil. J’aime tous les moments que l’on passe ensemble que ce soit dans les magasins, au restaurant, au cinéma. Je te remercie pour tous les cadeaux que tu m’offres, jamais personne ne m’en a donné autant. Tu as déjà dû dépenser une petite fortune pour moi. Cela me fait très plaisir mais tu devrais savoir que l’on n’achète pas l’amour de quelqu’un avec de l’argent. Les sentiments sont là ou pas.

Dans tes lettres, tu m’as souvent dit que tu étais heureux d’être mon serviteur. Tu m’écris que tu préfères être à mes pieds plutôt que d’être dans les bras d’une autre Fille. Tu m’as même écrit que tu n’étais pas sûr de mériter l’honneur d’être à mes pieds. Tu es tellement différent de tous les autres garçons ! J’ai l’impression que tu es un esclave et que moi je suis une Reine.



J’aime cela.

Voilà, j’aimerais savoir si tu penses être capable de poursuivre uniquement des liens d’amitié avec moi. Attends avant de me répondre. De plus, j’aimerais savoir si tu acceptes de continuer à être mon serviteur. J’ai trop pris goût à cela et je pense ne plus pouvoir m’en passer. Je sais que je ne trouverai probablement pas un garçon comme toi pour être à mes pieds. Alors, voici ce que je te propose : nous restons amis mais surtout tu restes mon serviteur. Tu continues à t’occuper de mes pieds et à faire absolument tout ce que je te demande. Je vois le plaisir que tu ressens à prendre soin de mes pieds. Je n’arrive pas à comprendre comment tu peux prendre autant de plaisir à t’occuper des pieds d’une Femme mais j’aime en profiter. Enfin, je ne cherche pas la raison, mais j’ai souvent remarqué que tu bandais en t’occupant de mes pieds. Je continuerai à t’accorder cet honneur si tu m’es toujours aussi dévoué et obéissant. En revanche, je veux que tu me sois fidèle. Si tu as le moindre contact avec une autre Fille, notre relation particulière prendra immédiatement fin. J’ai parfaitement conscience de ce que je te demande. Dimanche dernier, en te faisant passer toute la journée à mes pieds, en t’obligeant à manger comme un chien, j’ai voulu tester tes limites et j’avoue que tu ne m’as pas déçue !! Si les gens nous entendaient, ils pourraient nous prendre pour des fous. Avant, je n’aurais jamais envisagé pouvoir penser un jour comme cela. C’est toi qui m’as fait découvrir cela. J’ai maintenant pris goût à t’avoir à mes pieds et je n’ai pas envie de m’en passer. Regarde, là, tu t’es mis naturellement à genoux à mes pieds. Ce que je vais te dire est peut-être méchant mais c’est ce que je ressens aujourd’hui : j’ai vraiment l’impression que ta place naturelle est à mes pieds. Un jour, tu m’as écrit : « J’ai le sentiment d’être né pour te servir ». Je pense qu’en effet c’est le cas !!! Alors que décides-tu ? »



J’étais toujours à genoux aux pieds de ma Princesse. Je l’avais écoutée attentivement. J’étais complètement abasourdi par ce que je venais t’entendre. J’étais bien évidemment déçu que ma Princesse mette fin à notre petite idylle amoureuse. Mais la proposition d’esclavage qu’elle venait de me faire m’avait complètement mis KO. Je n’arrivais pas à croire qu’elle m’ait dit tout cela. À ce moment-là, la réalité était en train de dépasser mes fantasmes…

Selon vous, qu’ai-je répondu à ma Princesse ?

(À suivre…)

paillasson mâle, petit soumis frileux, timoré, fantasmeur et virtuel de Maîtresse MAEVA
 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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