Partager l'article ! Fétichisme et soumission XI: Elle va loin, cette Princesse, Elle a compris l'avantage d'avoir un serviteur inconditionnel, Elle en use, en a ...
Pour résumer la situation, ma Princesse venait de me proposer d’être Son esclave. J’étais toujours à genoux devant l’Élue de mon cœur. Une multitude de sentiments se mêlaient alors dans ma tête. J’étais excité comme jamais, je me sentais encore sous le choc de tout ce que je venais d’entendre de la part de ma Princesse.
Après quelques minutes de silence, Elle posa un Pied sur mon épaule et me dit : « Alors, qu’est-ce que tu décides ? »
Ma décision était déjà quasiment prise. Le Pied de ma Princesse, qui reposait sur mon épaule, fit encore grimper mon excitation et me confirma dans mon
choix.
Voici donc ce que je répondis à ma Domina : « Je T’aime comme je n’ai jamais aimé aucune Fille. Je sais que je n’aimerai jamais une autre Fille que Toi. Je suis tombé fou amoureux
de Toi dès le premier jour. Ces derniers mois passés à Tes côtés sont les plus beaux de ma vie. Samedi dernier, lorsque nous étions dans la voiture, j’ai vécu près de Toi l’un des moments les
plus magiques de ma vie. J’ai bien conscience que je ne suis pas assez bien physiquement pour Toi. Tu sais tout ce que je T’ai écrit dans mes lettres est vraiment sincère, c’est ce que je ressens
au plus profond de mon cœur. Je suis heureux d’être Ton serviteur et de T’être dévoué. Je préfère être Ton esclave plutôt que de vivre avec une autre Fille. Je sais que Tu as eu un passé
difficile, pour moi Tu mérites sincèrement d’avoir une vraie vie de Princesse et c’est ce que je veux T’offrir. Je suis parfaitement conscient de l’honneur que Tu me fais en me permettant de
pouvoir prendre soin de Tes superbes Pieds, j’adore être à Tes pieds, et je ne sais même pas si je le mérite. »
Étant quelqu’un de très romantique et de très sensible, les larmes commençaient à couler le long de mes joues tandis que je parlais à ma
Princesse. Ma voix devenait chevrotante. Je lui dis : « Je sais que je ne peux pas vivre sans Toi. Je Te supplie à genoux de m’accepter comme serviteur, ce serait pour moi un immense
honneur,
je Te promets une servitude exemplaire et une fidélité absolue. »
Ma Princesse m'écouta attentivement, je voyais dans Ses Yeux qu’Elle était émue. Elle me dit : « Tu as bien compris que tu devras supporter de Me voir M'amuser avec d’autres
garçons ? Je ne sais pas encore exactement la place que tu occuperas. Tout cela est nouveau pour Moi aussi. Je ne veux pas que tu Me refasses un coup comme la dernière fois avec ton pote car Je
n’accepterai plus aucune crise de jalousie. Tu connais ta place, tu dois y rester ! Es-tu sûr de ton choix ? »
Je Lui ai immédiatement répondu : « Oui, c’est ce que je souhaite le plus au monde. »
Ma Maîtresse me dit alors avec un sourire de contentement : « J’avoue que c’est la réponse que J’attendais de toi car Je sais qu’il n’y a pas beaucoup de garçons qui accepteraient une telle proposition. »
Ma servitude reprit immédiatement après notre conversation. Ma Princesse me dit sèchement : « Va Me chercher un verre d’eau et ensuite tu vas Me faire un bon massage des Pieds, et ne traîne pas !!! »
J’ai posé un petit bisou sur le Pied de ma Domina, je l’ai remerciée et je suis descendu chercher Sa boisson.
Je suis remonté avec le verre d’eau pour ma Princesse, je me suis remis à genoux et j’ai pris la crème de massage pour les Pieds.
Pendant que j'œuvrais, ma Maîtresse m’a demandé si j’étais heureux d’avoir pris cette décision. Je me rappelle parfaitement ma réponse : « Je n’ai jamais été aussi heureux de ma vie.
C’est la meilleure décision que j’ai prise, je suis si bien à Tes Pieds !... » Ma Princesse a souri. J’ai terminé la soirée, heureux comme tout, agenouillé devant Ses merveilleux
Pieds.
Le lendemain, Elle m’avait donné rendez-vous à midi, nous devions aller nous promener toute la journée. Quand je suis arrivé chez Elle, je dois avouer que je me sentais plus excité que jamais après le pacte que j’avais conclu la veille. Ma Domina m'a fait rentrer chez Elle, il n’y avait personne, ses parents étaient déjà partis. Elle S’est installée dans le canapé, Elle était vêtue d’un jean et portait de superbes bottines. Elle m’a ordonné : « Mets-toi vite à genoux devant Moi, Je veux que tu nettoies Mes chaussures, elles sont toutes sales, il est hors de question que Je sorte comme cela. Tu sais que Ma Mère est très maniaque sur ce chapitre, Elle refuse que Je sorte avec des chaussures dégoûtantes. Jusqu’à aujourd’hui, J’étais obligée de les nettoyer Moi-Même régulièrement. J’ai toujours détesté faire cela. J’ai donc décidé que, dorénavant, la propreté de mes chaussures sera l’un de tes devoirs.
Ma Princesse était très exigeante sur la propreté de Ses souliers. C'était une habitude que Lui avait transmise Sa Maman. En effet, comme je l’avais déjà remarqué, Sa Mère avait toujours des chaussures irréprochables.
C’était la première fois que ma Princesse me donnait cet Ordre. La première chose qui m’est venue à l’esprit fut de lécher Ses bottines comme j’avais pu souvent l’imaginer dans mes rêves. Malheureusement, je n’ai pas osé le faire. J’ai pris le chiffon et la cire que ma Domina m’avait préparés. Je m'en suis servi pour frotter l’intégralité de ses bottines.
Quand j'ai eu fini, ma Maîtresse les a inspectées, le cuir brillait de nouveau. Elle m’a dit : « C’est bon, elles sont propres.
Maintenant, tu Me le feras tous les jours. »
C'est ainsi qu'Elle aurait du exiger des modalités du nettoyage des bottines: Prosterné à plat ventre, comme incorporé au sol, et léchant avec
zèle..... ensuite, l'esclave peut sortir le cirage.....
Nous sommes ensuite partis courir les magasins. Nous sommes entrés dans des boutiques de vêtements, des parfumeries et surtout des magasins de chaussures. Ces derniers étaient mes préférés,
vous imaginez bien pourquoi !
Ma Princesse a fait différents magasins de chaussures au cours de l’après-midi. Le rituel était toujours le même et j'en raffolais. J’adorais voir ma
Princesse retirer Ses bottines puis enfiler de nouvelles chaussures. Ce geste si sensuel me rendait dingue. Dans l'un des magasins, ma Princesse a vu de superbes chaussures blanches avec un talon
haut et fin, fermées à la cheville par une chaînette dorée. Cette paire de chaussures était vraiment splendide. Ma Princesse l’avait tout de suite repérée, et moi aussi d’ailleurs. Elle m’a
ordonné d’aller la Lui chercher sur le présentoir. Je me suis exécuté. Quand je suis revenu vers Elle, ma Princesse m’a dit : « J’en ai marre de Me baisser pour enfiler des chaussures.
Allez, toi, aux Pieds !! » Le magasin était bourré de monde, j’avais peur, j’étais gêné mais j’étais tellement excité que pourtant je me suis rapidement mis à genoux. J’ai
retiré les bottines de ma Princesse puis Ses chaussettes. J’ai tenu une chaussure, ma Domina y a enfilé son Pied droit. Ce moment était magique. Voir Son Pied glisser dans la chaussure, en
un mouvement tellement sensuel, c'était merveilleux. Je n’oublierai jamais cet instant. Soudain, une vendeuse est arrivée et elle a demandé : « Tout se passe bien
Madame ? Je vois que l’on s’occupe très bien de Vous… ». Ma Princesse a répondu : « C’est toujours pratique, n'est-ce pas, d’avoir un homme à Ses
Pieds ! ». J’étais de plus en plus excité, mais en même temps tellement concentré sur ce que je faisais et surtout gêné devant la Fille que je n’ai même pas osé lever la tête. Mais je
ne regrette absolument pas cette humiliation publique car les sentiments et l’excitation d'un soumis sont décuplés dans de telles circonstances. Je n’avais jamais ressenti une telle émotion.
J'avais terriblement peur mais j’étais tellement heureux ! J’ai enfilé la deuxième chaussure au Pied gauche de ma Princesse, puis j’ai fermé les chaînettes au niveau de Ses chevilles. Ces
chaussures étaient vraiment extraordinaires aux Pieds de ma Maîtresse. On aurait dit qu'elles avaient été créées exprès pour Elle, pour Ses splendides Pieds qui en devenaient encore plus beaux,
plus émouvants. Et moi, comme j’étais excité !! Comme moi, ma Domina fut emballée par cette paire qu’Elle décida d’acheter. Je Lui ai alors retiré les chaussures que j’ai remises dans leur
boîte. Je Lui ai remis Ses chaussettes puis Ses bottines. Lorsque je me suis relevé, les gens me regardaient comme si j’étais un extraterrestre. Nous sommes allés rapidement à la caisse, j’ai
payé et nous sommes sortis de la boutique. Durant tout le reste de l’après midi, je n’ai fait que repenser à l’humiliation publique que je venais de vivre. L’image de ces chaussures magnifiques
aux Pieds de ma Princesse ne quittait plus ma tête. Cette vision me rendait dingue.
Nous avons continué à visiter des magasins, en particulier de vêtements. Ma Princesse choisissait Ses habits et moi, je La suivais toujours comme un bon petit toutou. Elle déposait sur mes
bras ce qu’Elle désirait essayer. Puis Elle se rendait en cabine pour l’essayage. J’avais pour ordre de rester devant le rideau et de surveiller les alentours. À chaque essayage, ma Princesse me
demandait mon avis. Bien entendu, je n’avais pas le droit de le donner lorsqu’il s’agissait de sous-vêtements. Puis nous allions en caisse pour régler les différents achats. Comme tous les
samedis, nous revenions avec de nombreuses emplettes en de nombreux paquets. Nous étions tous les deux très heureux car nous aimions parcourir les magasins ensemble. J’adorais offrir tous ces
achats à ma Princesse, c’était un immense plaisir pour moi. Ma Maîtresse aimait pouvoir enfin S’offrir tout ce qui L’avait fait rêver depuis de si nombreuses années. Ce samedi-là, nous avions
acheté une superbe paire de chaussures de luxe que je vous ai décrite précédemment, mais aussi : des maillots, des débardeurs, plusieurs pantalons. Ma Princesse avait également choisi des
strings, car Elle en portait très régulièrement. Elle aimait généralement avoir sur Elle un jean taille basse avec un string brillant qui dépassait. Cette vision me faisait rêver, vous
imaginez bien (et pas seulement moi) ! Tous les samedis, nous allions aussi dans les magasins d’esthétique, auxquels je ne connaissais rien, mais que ma Princesse m’apprit à
connaître et à apprécier. Il faut bien dire qu’il n’y avait pas beaucoup de garçons dans ces lieux. Ma Domina avait décidé de S'y rendre et je n’avais absolument pas à discuter Ses Volontés, je
devais La suivre. Je ne m’en suis jamais plaint, au contraire j’étais heureux. Ma Princesse m’expliquait les différents types de produits. Elle aimait souvent me dire : « Dans
quelque temps, tu seras une vraie petite Femme !! »
Dans ces magasins, je servais de palette géante. Ma Princesse aimait essayer sur moi tous les produits de maquillage, toutes les couleurs. Je lui offrais mes mains pour Ses essais et à la fin de la journée elles étaient couvertes de fards.
À chaque fois, nous achetions des dizaines de produits. Lorsque l’après-midi touchait à sa fin, nous avions donc acheté des habits, des sous-vêtements, une paire de chaussures et des dizaines de produits de maquillage. C'est évidemment moi qui portais tous les paquets. Il était l’heure d’aller manger. Comme nous n’avions pas beaucoup le temps devant nous, ma Princesse proposa d’aller au Flunch.
Nous y sommes donc allés. Bien entendu, ma Princesse ne portait pas son plateau. J’avais superposé le Sien et le mien et je dus me débrouiller pour les porter ensemble. Ma Princesse posa sur Son plateau ce qu'Elle désirait : entrée, dessert, boisson. Elle m’avait imposé de ne prendre ni entrée ni dessert, en m’affirmant que j’avais des kilos à perdre. Puis nous sommes passés à la caisse. C'est moi qui ai tout réglé, il n’est plus nécessaire de le redire. Ma Princesse choisit une place puis elle m’envoya chercher Son plat pendant qu’Elle dégustait tranquillement Son entrée. Quelques minutes plus tard, je revins avec nos deux plats. Je Lui demandai alors quels légumes Elle souhaitait prendre avec Son plat. Elle me l’indiqua et je repartis pour le Lui chercher et La servir.
Ce jour-là, ma Princesse S’amusa bien avec moi. Elle me renvoya à plusieurs reprises au buffet des légumes. Le Flunch était plein, je voyais les gens autour de nous qui nous regardaient. Certains souriaient, d’autres soupiraient, d’autres encore se moquaient. Une chose est sûre, mon attitude soumise envers ma Princesse ne laissait personne indifférent. J’avais faim et soif, j’avais envie de m'asseoir pour manger, d'autant plus que j’avais déjà été privé d’entrée, mais je ne me suis jamais rebellé, je savais que je n’en avais pas le droit. J’avais déjà été énormément excité toute la journée et cette nouvelle humiliation publique au Flunch ne calmait absolument pas mes ardeurs, bien au contraire. Il est clair que lors de ce samedi, ma Princesse avait décidé de tester ma servitude par rapport à l’engagement que j’avais pris envers Elle la veille.
Puis nous sommes rentrés chez nous par le train. Lorsque nous sommes arrivés dans notre ville, il nous restait dix minutes de marche avant d’arriver à
mon domicile. Alors que nous marchions tranquillement, moi avec tous les paquets dans les mains bien entendu, un violent orage éclata. Nous avons alors couru sur les derniers mètres afin de nous
abriter chez moi. Nous y sommes arrivés mais nous étions tous les deux trempés. Ma Princesse était dans une colère noire. Je fus rassuré de constater que mes parents n’étaient pas encore rentrés.
Ma Maîtresse me parlait très méchamment, je n’aurais pas aimé que mes parents entendent ça. Elle me criait dans les oreilles : « Tu n’as vraiment toujours que des idées de merde ! Si
nous avions pris la voiture au lieu du train, on ne serait pas trempés maintenant !!! Tu sais que Je suis fragile, Je vais encore être malade avec tes conneries. Qu’est-ce que tu attends
d'ailleurs pour Me déchausser ? » Je me suis immédiatement tombé à genoux devant Elle et je Lui ai retiré Ses bottines. Le bas de Son jean ainsi que Ses bas étaient trempés. Nous sommes
alors montés dans ma chambre. Ma Princesse m’a ordonné de mettre le chauffage à fond et de Lui prêter un pantalon et un tee-shirt. Je suis sorti pour qu’Elle puisse se changer tranquillement.
Elle a donc mis Son pantalon et Son tee-shirt à sécher sur le radiateur. Même dans mes habits, ma Princesse était toujours aussi sexy et je La désirais toujours autant !!! Moi, je portais
encore mes habits tout mouillés. Ma Domina m’a dit : « Qu’est-ce que tu attends pour te déshabiller ? » J’ai alors ouvert mon armoire pour prendre des habits de
rechange. Elle m’a dit : « Non ! Tu n’as pas besoin d’autres habits, il fait chaud ici, tu peux rester en boxer. » J’étais très stressé, je ne m’étais jamais présenté en boxer devant ma
Princesse, ni d’ailleurs devant aucune autre Fille. J’étais extrêmement gêné, j’hésitais à me déshabiller devant ma Domina. Elle S’est alors énervée, Elle m’a dit : « Mais qu’est-ce que tu
attends pour enlever tes fringues ? Tu as peur que Je voie que tu bandes comme un fou face à Moi. Comme si je ne le savais pas !! Tu es pitoyable !! ». Je me suis alors exécuté,
j’ai retiré mon tee-shirt et mon pantalon. J’étais donc ce jour-là pour la première fois de toute ma vie en boxer devant une Fille. En plus, mon boxer était blanc, je ne pouvais absolument
rien cacher. J’ai installé ma Princesse confortablement sur mon lit, comme à Son habitude, puis je Lui ai préparé et apporté un thé pour La réchauffer. Alors, Elle m'a dit :
« Maintenant, il est grand temps que tu t’occupes de Mes Pieds. Non seulement ils Me font terriblement mal avec toute la marche que l’on a faite aujourd’hui, mais en plus ils sont glacés.
Alors, tu as intérêt à être efficace ! » Je me suis donc remis à genoux, en boxer, devant ma Princesse et j’ai pris Ses sublimes Pieds dans mes mains.
Leurs extrémités étaient gelées, j’avais l’impression d’avoir des glaçons dans les mains. Je serrais très fort Ses sublimes Pieds pour essayer de les Lui réchauffer au maximum. Je les
Lui massais avec une crème à base d’huiles essentielles. Je ne pouvais m’empêcher de repenser à l’humiliation vécue au magasin de chaussures, puis au Flunch, je repensais aux merveilleuses
chaussures blanches que ma Princesse avait achetées. J’étais tellement heureux de pouvoir masser les Pieds de ma Domina ! Comme à chaque fois, je ne pouvais contenir mon excitation, je le
sentais, j’essayais de me calmer mais je n’y arrivais pas. Ma Princesse ne tarda pas à S’en rendre compte, Elle se pencha vers moi et me dit : « Voilà que tu bandes encore comme un fou
en Me massant les Pieds ! Décidément, tu n’es vraiment pas un garçon comme les autres !! »
Ce que ma Princesse ignorait ce jour-là, c’était que j’étais encore plus excité que d’habitude. Je sentais vraiment l’excitation monter en moi. J’ai alors commencé à avoir peur. Je craignais de
ne pas réussir à contenir ma jouissance, je sentais ma semence monter de plus en plus. Ma Maîtresse ne fit rien pour atténuer ma situation, Elle S’amusa à caresser mon visage avec Son Pied droit.
Elle m’autorisa même à y déposer de petits bisous.
Et soudain, un énorme frisson me traversa le corps, je me mis à trembler comme une feuille. Je compris immédiatement ce qui venait d’arriver : j'avais à l'instant éjaculé dans
mon boxer, à genoux devant ma Princesse ! Celle-ci avait ressenti mon tremblement, Elle vit que je faisais vraiment une tête bizarre, Elle Se pencha sur moi. En regardant mon boxer,
Elle me dit : « Alors là, Je n’en reviens pas, tu viens d'éjaculer à Mes Pieds !! » Je n’ai jamais été aussi gêné de ma vie. Je n’arrivais pas à savoir si ma Princesse était en
colère ou non. Je Lui ai alors présenté des excuses. Elle m’a répondu : « Va te changer dans la salle de bains, c’est dégoûtant et mets un pantalon !!! » Je me suis exécuté
immédiatement. Je suis revenu dans la chambre, j’ai repris ma place à genoux devant ma Princesse. Je Lui ai de nouveau demandé pardon. Elle m’a répondu : « Maintenant, Je ne veux plus
t’entendre, occupe-toi de Mes Pieds !! »
Durant le reste de la soirée, ma Maîtresse regarda la télé, je me suis efforcé de Lui réchauffer les Pieds au mieux.
Puis ma Domina me dit : « Je vais rentrer maintenant, dégage de la chambre, que Je puisse me changer ! » J’ai attendu ma Princesse au bas des escaliers, à genoux, avec Ses
bottines dans les mains. Cette attitude Lui fit plaisir puisqu’Elle m’accorda un léger sourire. Elle me tendit Son Pied droit puis le gauche. Je les Lui baisai tous les deux. Dans la voiture en
La raccompagnant, je Lui ai demandé de nouveau pardon. Ma Princesse me dit : « On en reparlera demain… ».
Paillasson (mâle ?), petit gamin fantasmeur, timoré, impatient, illettré et soumis de Maîtresse MAEVA
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Commentaire de MAESTRA MAEVA
Le jeune paillasson évoque les Pieds glacés de Sa Princesse...... voila comment MOI je me fais
réchauffer les Pieds, avouez que cela a un peu plus de "panache"!
Je possède un tapis de chair, toujours à bonne température, et à Ma disposition permanente....
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