Jeudi 22 octobre 4 22 /10 /Oct 09:41

Voici la suite tant attendue de l'histoire autobiographique de Mon chien slavio..... bonne lecture à tous!



Chapitre 4

Ma Belle-Sœur jouit sur ma langue

 

À la porte du bar, je me retourne. Je vois qu’un grand blond quitte sa table, verre en main, et se dirige vers ma Belle-Sœur qui, l’accueille d’un éblouissant sourire. Pour moi, il ne fait aucun doute qu’elle l’aura bientôt dans son lit…

Dans son lit ! Je réfléchis tout en marchant. Elle ne m’a encore rien dit de ses habitudes amoureuses. Va-t-elle amener ce type chez elle ? J’en tremble d’avance. (J’apprendrai à cette occasion que ma Belle-Sœur ne « baise » jamais chez elle. Un hôtel discret, tenu par un de ses anciens amants toujours fou d’elle et à qui elle se donne encore de loin en loin, héberge ses ébats et galipettes. En attendant, j’ai eu une belle trouille de l’entendre jouir dans l’appartement… et peut-être de devoir la servir devant l’autre… ou pis les servir tous deux !)

Sitôt rentré, je vais dans mon réduit quitter mes vêtements et enfiler la gandoura. Au passage, je remarque que la vaste et confortable chambre de ma Belle-Sœur est tout en désordre et que son lit n’est pas fait. J’avais oublié : pressée de sortir, se livrant à mes soins pour sa toilette et son habillement, elle ne m’a pas laissé le temps de faire le ménage.

Je vais donc commencer par là. Je ramasse et range les affaires que, comme à son habitude elle a jetées çà et là, je trie celles qui sont à laver. Bien entendu, je ne peux m’empêcher de fourrer mon groin dans sa petite culotte noire (pas bien grande mais tout de même plus que celles que portent actuellement les Filles). La pressant contre mon visage, je ferme les yeux et m’enivre de ces exaltantes senteurs féminines que je n’ai pas encore eu la chance de goûter en direct. Je porte la main à mon sexe hypertendu. Quelques mouvements du poignet, une délicieuse sensation sur le gland et tout le long de la hampe, l’envie de décharger est déjà là, mais j’arrive à me dominer. Stop ! Retour à l’esclavage ! Respect pour la Maîtresse !

Je m’approche du lit. Près du chevet, sur la moquette, je manque marcher sur un de ces jolis vibromasseurs nickelés, avec une ogive bien lisse, qui se faisaient à l’époque et dont la publicité très publique affirmait qu’ils étaient efficaces pour se masser… le cou ! Ma Belle-Sœur a dû s’en servir pour se donner de la joie et je m’en sens ému, bouleversé même. Je ramasse délicatement le charmant objet, je le flaire, je le suce, ayant ainsi la sensation (bien faible hélas) de humer et lécher le sexe de ma Maîtresse. Pour un peu, je craquerais à nouveau et me masturberais !… Mais je suis un esclave docile et je renonce, bien que tout mon bas-ventre durci me fasse mal.

Le drap du dessous porte encore la marque en léger creux du corps de rêve qui s’y est lové.. Je suis dans un invraisemblable état d’agitation. Je tremble de partout, mes mains sont moites, mon sexe se cabre sans que je le touche, mes testicules se contractent. Je pourrais jouir sans autre contact que celui de ma gandoura. Il me faudrait une douche froide.

Au travail, esclave ! Il n’y a que ça qui peut te sauver ! Je défais les draps et les plie, je secoue la couverture par la fenêtre, puis je refais soigneusement le lit avec du linge propre, tout parfumé de lavande.

Un coup de plumeau et de chiffon à poussière, puis un grand passage d’aspirateur et la chambre redevient digne de la Femme d’exception qui l’occupe. Le soir est doux, je laisse la fenêtre ouverte mais je tire le voilage.

Allons- nous occuper des souliers de Madame en attendant qu’elle rentre, puisque c’est ce qu’elle nous a ordonné.

Je passe au moins deux heures à laver, essuyer, brosser, cirer, passer au chiffon les multiples chaussures, bottes, bottines, bottillons, trotteurs, escarpins, mocassins, sandales… de ma Belle-Sœur.


Non seulement, je porte d’abord ma bouche et ma langue sur tous, y compris sur les semelles, et même celles des bottes d’équitation vraiment sales, mais je me force ensuite à boire dans la cuvette une gorgée de l’eau trouble qui m’a servi au lavage de ces semelles, en me demandant quand même quels sont les risques pour ma santé…

Je me sens une âme de martyr et c’est bon.

Pour finir, un dernier coup d’œil sur mon travail. Le cuir brille, le daim a reçu ses soins spéciaux, les semelles sont comme neuves. Ici et là, une infime salissure sur une empeigne, sur une tige de botte. Vite un coup de langue et tout est net.

Tu as bien travaillé, esclave !

*

« Quelle que soit l’heure où je rentrerai, je veux te trouver à m’attendre dans l’entrée, prêt à me servir », voilà ce que m’a dit ma Belle-Sœur en me mettant à la porte du bar. Mon travail est fini. Je vais aller m’installer dans le hall d’entrée. Oui, mais une autre phrase de ma Maîtresse me trotte dans la tête : « Je ne veux jamais te voir rester à ne rien faire. » Elle avait même ajouté : « Moi, quand on me sert, c’est vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept. »

Certes, je me sens très fatigué et un petit somme ne me ferait pas de mal, mais il n’est pas encore l’heure de dormir. Que dirait ma Belle-Sœur si elle rentrait d’un moment à l’autre ? Je frissonne tandis qu’une pensée douloureuse se vrille dans mon esprit : comment serais-je supposé réagir si elle ne rentrait pas seule ?

Il s’agit donc de m’occuper, mais à quoi ?

Je me souviens alors qu’en faisant le ménage dans la chambre de ma Belle-Sœur, j’ai remarqué que l’un des tiroirs d’un semainier contient un gros nuage parfumé de bas jetés en vrac, probablement sans avoir été lavés, comme me l’a indiqué l’excitante senteur douceâtre de leurs pieds. J’allais d’ailleurs leur rendre mon hommage fétichiste habituel lorsque l’entrée de ma Belle-Sœur m’avait contraint à vite refermer le tiroir et à m’agenouiller sur place…

Et si maintenant je réunissais par paires ces veufs et ces orphelins ?

J’apporte le tiroir dans l’entrée, je le pose au sol et m’agenouille à côté. La première chose que je fais, bien sûr, c’est de saisir une poignée de ces bas et de les porter à mon visage que j’enfouis avec un frisson de plaisir intense dans cette vapeur colorée et odorante. Quelle finesse ! Quelle délicatesse ! Quelle douceur ! Quelle souplesse !

Je brasse les bas à pleines mains, je les élève au-dessus du tiroir, les y laisse retomber. Leurs tendres couleurs chatoient, ils brillent à la lumière, ils se gonflent d’air, ils paraissent vivants, on dirait qu’ils vont reprendre la forme parfaite des jolis mollets qu’ils ont gainés…

La chair de ma Belle-Sœur, dont le contact a ennobli ces mignonnes choses bien féminines, ne mérite-t-elle pas ce qu’il y a de plus beau, de plus doux, de plus séduisant et de plus cher ? J’imagine ses jambes, ses cuisses sous ces voiles ténus à travers lesquels je distingue mes mains, doigts écartés, voiles qui se distendent et s’étirent pour devenir plus fins et plus beaux encore sur la peau précieuse, laissant admirer les trésors sensuels qu’ils enveloppent…

J’ai grand-honte à l’avouer, mais cette poignée de bas de toutes couleurs et textures, qui me parle si bien de l’intimité de ma Belle-Sœur, qui est faite pour la parer et l’embellir, je la passe sous ma gandoura, à la jonction de mes cuisses, j’y frotte mon engin toujours tendu que je fais aller et venir, à petits coups de ventre, dans cette mousse affolante. Et une fois de plus, il me faut faire appel à toute ma volonté pour ne pas exploser…

Depuis combien de temps n’ai-je pas été autorisé à me libérer ? La veille de mon départ pour Lyon, j’ai vécu avec ma Femme un moment atroce qui avait portant bien démarré. Voulant se montrer gentille avant de me quitter, elle m’avait dit : « Comme je vais rester un moment sans me servir de toi pour mon plaisir, je vais te prendre. »

Elle m’avait saisi une main et entraîné vers sa chambre, je l’avais débarrassée de son peignoir et elle était tombée nue sur le lit. Je m’étais vite défait de ma sortie de bain et m’étais allongé sur le dos. Ma Femme était venue s’accroupir sur ma bouche pour quelques coups de langue « de mise en condition », puis elle avait glissé sur mon corps, jusqu’au modeste poteau qui se dressait au bas de mon ventre et que son vagin avait vite avalé.

Je pensais qu’une fois de plus ma Femme n’allait rechercher que son plaisir et ne m’accorderait pas le mien. Au lieu de cela, merveilleuse surprise, tout en me chevauchant ardemment et en ahanant, elle m’annonça ce cadeau royal : « Mon chéri, si tu… me contentes pleinement… après que… j’aurai joui de toi… tu m’enfileras… une paire de bottillons… de ton choix…et je te laisserai… te branler dessus. »

C’était une de mes plus belles récompenses. Ensuite, en parcourant les tiges et les pieds des bottillons avec ma langue, je devais faire pénétrer dans le cuir ma laitance, abondante à cause de ma longue continence, que ma Femme appelait souvent ma « cochonnerie ». (« Le sperme de mon mari est excellent pour la santé et la beauté de mes souliers », l’ai-je souvent entendue dire à ses amies, en rigolant avec elles.)

Ma Femme m’avait donc longuement possédé et avait pris sur moi plusieurs fois sa jouissance – qui plus d’une fois avait failli me donner la mienne, malgré mon entraînement (sans doute à cause de la promesse qui venait de m’être faite) ‑, avant de terminer par un orgasme mouvementé et « griffu » qui m’avait mis les épaules et le dos en sang, et que les voisins avaient dû entendre.

J’étais épuisé et fourbu de la galopade de ma Femme sur moi, mais joyeux de ce qui m’attendait. Selon notre rituel, ma bouche avait nettoyé l’intimité de ma Femme. Elle s’était assise au bord du lit, je lui avais enfilé de jolis bottillons noirs et je commençais ma petite affaire lorsque cette saloperie de téléphone a sonné. Ma Femme a décroché et écouté, puis elle s’est levée avec un grand sourire et a juste dit, tout en me repoussant d’un coup de genou dans le nez : « Mais oui, mon amour, bien sûr que j’arrive tout de suite ! » !

Un de ses amants favoris, de passage à Paris, venait de lui demander si elle voulait bien le rejoindre à son hôtel de Montparnasse pour une bonne petite partie de jambes en l’air ! Une chance pour elle mais pas pour moi…

« Je peux me finir, chérie ? » avais-je timidement demandé, car je n’étais pas loin de l’explosion. Ma Femme s’était tue un bon moment (elle se mettait du rouge aux lèvres) et j’avais cru, à son air heureux, qu’elle allait me dire oui. Au lieu de cela, j’eus droit à : « Non, mon chéri. Je préfère que tu attendes mon retour. Tu sais bien que je n’aime pas que tu te" machines" sans que je sois là ! »

La messe habituelle était dite et je n’ai pas protesté. Que pouvais-je dire, que pouvais-je faire ? Obéir était devenu mon lot, je l’avais accepté et je devais m’y tenir. J’avais aidé ma Femme à se vêtir, à se peigner et elle avait filé vers ses amours.

Quand elle est rentrée, toute guillerette, resplendissante de gaieté, toute sautillante et heureuse, elle avait complètement oublié sa promesse et je n’ai pas osé la lui rappeler.

*

Mais il n’est pas question de me laisser aller aux regrets et à la mélancolie. Le plaisir est fait pour les Femmes et les Femmes son faites pour lui. Nous ne sommes que des outils. Rien que de normal et de naturel là-dedans et nul ne le sait mieux que moi… si ce n’est les Femmes elles-mêmes.

Vite, au travail, au travail, sinon je vais craquer !

Assis sur le carrelage, le dos à la cloison, je me mets donc à trier et apparier les bas. C’est une tâche plaisante et relativement facile, euphorisante même, malgré le grand nombre de bas. Bien sûr, il reste des veufs dont le compagnon s’est perdu ou est mort en « filant », suite à un accrochage avec un ongle ou une rugosité... J’en hume longuement les pieds, que je fourre dans ma bouche, et je les mets de côté… pour plus tard.

Je ne sens pas venir l’ensommeillement et pourtant je m’endors, vautré en biais au pied du mur, le cou cassé. Quand ma Belle-Sœur rentre au petit matin, je n’entends pas sa voiture, ni même le bruit de la porte d’entrée. C’est un violent coup de pied dans les côtes qui me réveille. J’en garderai longtemps la marque et la douleur, tant le soulier de ma Maîtresse est aigu. Je me mets vite à genoux. Je me prosterne, je pose mes lèvres sur la chaussure qui vient de me faire tellement mal.




« Je ne t’avais pas dit d’être prêt à me servir, esclave ? – Si, Maîtresse ! Pardon, Maîtresse ! – (Imitant ma voix de façon moqueuse :) Si, Maîtresse, pardon Maîtresse… C’est facile à dire. Mais être prêt à me servir, ça veut dire rester éveillé, à m’attendre… Et je te trouve en train de dormir à ton aise ! (En fait, j’étais tout courbatu d’avoir dormi dans cette inconfortable position.) Quand je serai reposée, tu goûteras à ma cravache, ça je peux te le garantir. Suis-moi dans ma chambre, tu vas me déshabiller. »

À ce moment-là, ma Belle-Sœur remarque le tiroir plein de ses bas bien rangés. « Ah, je vois quand même que tu t’es rendu utile. C’est bien. Tu vois, tout n’est pas mauvais en toi. Tu me laveras tout ça demain… Allons, lève-toi et viens ! »

Dans la chambre, tandis que ma Belle-Sœur s’appuie à mon échine courbée, je lui enlève ses escarpins bleus, lui enfile ses chaussons douillets, non sans avoir baisé ses pieds à travers ses bas sombres.



Puis, levant les bras, je défais l’attache de sa jupe portefeuille rouge et la lui enlève. Et je me retrouve le nez devant le plus beau spectacle du monde.

Ou bien elle a oublié de la remettre, ou bien ma Belle-Sœur a fait cadeau à son amant de la petite culotte noire à jolis dessins blancs que je lui avais mise. Son pubis délicieusement bombé et sa fourrure bien fournie au milieu de laquelle le sillon de la fente s’entrebâille et luit, me narguent. Une senteur océane troublante en émane, odeur d’un sexe de Femme repue de plaisir.

La lisse beauté du ventre à peine arrondi est mise en valeur par le porte-jarretelles rose qui trace sur la chair dorée un bel arc, festonné de dentelle. Les minces jarretelles tendues, d’un rose plus soutenu et lisérées de noir, font ressortir la longueur et la puissance des cuisses larges et régulières, dénuées de la moindre trace de cellulite. Enfin, les bas fumés, à la large couronne noire, montent haut sur la jambe qu’ils laissent voir en transparence, et font ressortir la douce carnation de la plage de chair tendre qui se trouve juste au-dessus, entre bas et petite culotte.

Une pure merveille que peut-être un esclave est seul capable de goûter pleinement. « C’est beau, hein ?Tu en as de la veine, non ? » ironise ma Belle-Sœur en promenant ses doigts dans mes cheveux… puis dans les poils de sa fourrure. « Laisse-moi mes bas, je me trouve plus sexy avec. Et toi, esclave ? – Vous êtes très belle et très attirante, Maîtresse. – Je sais… »

Évidemment, cette contemplation, longue à raconter, n’a duré (hélas !) que quelques secondes, car je dois me relever et, tout en arrondissant mon dos pour ne pas paraître arrogant, finir de dévêtir ma Belle-Sœur. J’ôte ainsi sa veste, son corsage, son soutien-gorge, autant de pièces que je baise dévotement, selon le protocole qui m’est imposé.

Ma Belle-Sœur se laisse tomber assise au bord de son lit et me dit en bâillant : « Maintenant, tu vas faire ma toilette et je vais dormir un sacré moment parce que je suis vannée. Mon type du bar, hier, est un baiseur de première. Il m’a fait grimper aux rideaux et tu peux être sûr que je le reverrai ! »

Je suis déjà à la porte de la chambre. « Mais où vas-tu , imbécile ? – Vous ne venez pas à la salle de bains, Maîtresse ? » Ma Belle-Sœur éclate de rire. « Que tu es con ! Je te parle de ma toilette intime, idiot. Celle de ma motte, de ma chatte et de mon cul qui ont bien bataillé cette nuit ! Une gentille et douce toilette que tu vas me faire "avec la bouche" parce que j’aime ça, figure-toi, et que tu es là aussi pour ça ! »

Ma Belle-Sœur s’étend en travers de son lit, les jambes pendant en dehors, ses cuisses ouvertes magnifiées par les bas. Connaissez-vous le splendide, l’excitant, le prodigieux tableau L’origine du monde de Gustave Courbet ? C’est tout à fait ça, lingerie en plus. Imaginez mon émotion ! Quand j’y repense, j’en frémis encore. Aucune Femme ne peut être plus désirable (et désirée !) que ne l’est présentement la Sœur de mon Épouse.

Agenouillé sur la moquette, contre le lit, entre les genoux de ma Belle-Sœur, mes paumes posées sur la plage dénudée des cuisses, juste au contact des bas, j’avance mon torse dans le compas des jambes, pour me mettre en devoir d’obéir à ma Belle-Sœur, lorsqu’elle croit utile de me prévenir, en m’arrêtant d’une main sur la tête : « Comprends-moi bien, esclave. Ce n’est pas une caresse que je demande à ta langue, je veux seulement qu’elle me serve de gant et de serviette. »

Cette restriction ne m’empêche pas de jubiler et il est facile de deviner pourquoi : à part quelques effleurements de sa peau, rendus inévitables par mon travail de « femme de chambre » auprès de ma Belle-Sœur, tant pour son habillement que pour son bain ou les soins à ses pieds, ceci va être mon premier contact buccal – seulement hygiénique, certes, mais sexuel tout de même – avec les parties intimes de ma Maîtresse.

Puis, je porte mes lèvres sur celles du sexe féminin. Je promène ma bouche dans la toison. Attention ! Ne pas trop appuyer mes baisers, ne pas insister, puisque le plaisir n’est pas recherché, mais uniquement la propreté corporelle.

Je sors ma langue, en proie à une terrible envie de faire jouir cette somptueuse Femelle. À deux doigts, étirant doucement la conque de droite et de gauche, je l’ouvre et fais apparaître son intérieur incarnat, tout luisant, tout glissant. Lécher doucement, très doucement. Bien assécher ma bouche en avalant souvent ma salive en même temps que ce que ma langue ramène et qui a une saveur qui me transporte.

Ma caresse (qui ne doit pas en être une) monte vers le sommet de l’amande vulvaire. Comme j’écarte celle-ci, je vois nettement que le clitoris est loin d’être au repos. Il me semble encore en état de tumescence, comme s’il se souvenait des voluptés qu’il a goûtées il y a peu. Je suis un peu inquiet car que va-t-il se passer lorsque ma lange le titillera ? Comment vais-je faire pour le sucer sans qu’il prenne cela pour une gâterie ?

Effectivement, j’en ai à peine effleuré la base que ma Belle-Sœur soupire : « Oh, mais dis donc, mon esclave (manifestement, elle adore ce mot), c’est drôlement bon ce que tu me fais. Continue comme ça ! Je ne savais pas que j’avais encore envie de jouir, mais c’est bien vrai : je veux jouir encore ! Allez, passe tes mains sous mes fesses et donne-moi mon plaisir ! »

On imagine aisément mon bonheur !

Ma Belle-Sœur se livre avec ardeur à ma caresse, maintenant délibérée.

J’entends ma Belle-Sœur gémir de plus en plus fort et le froissement rythmé de l’oreiller m’indique qu’elle jette sa belle tête de côté et d’autre, faisant voler ses cheveux de soie. Elle coule d’abondance. J’avale, j’avale.

 Un coup d’œil me permet de constater qu’elle s’est empoigné les seins, qu’elle les malaxe, qu’elle les serre l’un contre l’autre. Ses cuisses se ferment sur moi en étau et, cette fois, ne se rouvrent pas. Je suis prisonnier du luxurieux corps féminin. Une main abandonne la poitrine et vient me crocher aux cheveux, m’attire avec force vers le sexe où ma langue s’épuise avec gratitude.

Et puis, toute cabrée, hurlant presque, ma Belle-Sœur jouit dans ma bouche d’esclave. A ma grande honte, la jouissance féminine entraîne mon propre plaisir, infiniment plus mesquin et dérisoire : je me vide en plusieurs jets, d’abord abondants puis de moins en moins, dans ma gandoura.

*

Voilà, c’est fait ! Pour la première fois, presque sans que nous l’ayons voulu, j’ai fait jouir ma Belle-Sœur. J’ai son goût dans la bouche, ses senteurs dans le nez et je vais m’ingénier à les garder le plus longtemps possible.

Sitôt après avoir été contentée, ma Belle-Sœur a gémi de fatigue. Je lui ai pris les jambes pour les lui glisser sous le drap, j’ai arrangé son oreiller et remonté la couverture. Elle a murmuré si bas que j’ai failli ne pas l’entendre : « Je suis trop crevée ce soir pour te battre comme tu le mérites, mais tu ne perds rien pour attendre ! »

Là-dessus, elle s’est endormie tout de suite et je me suis extasié sur le sourire d’ange qui s’est figé à ses lèvres pulpeuses. Quelle belle Femme ! Et quel bonheur, quelle chance d’appartenir à une telle Créature et de la servir ! Je me suis retiré dans le plus grand silence.

Avant de rejoindre ma cambuse, je me douche, en évitant soigneusement de me laver le visage, et sans me brosser les dents. Je lave ma gandoura maculée de sperme en me disant que, le lendemain, je devrai avouer mon forfait et en subir les conséquences. Mais demain sera un autre jour. ...


C’est après avoir pris son petit déjeuner au lit, le lendemain vers 11 heures, que ma Belle-Sœur, en s’essuyant les doigts dans mes cheveux comme à son habitude (je penche la tête vers elle tout en maintenant le plateau bien droit), m’annonce son intention de me punir séance tenante de ma faute.

Tout à coup, elle me regarde attentivement et s’écrie : « Mais tu as changé de gandoura ? – Oui, Maîtresse. – Sans m’en demander la permission ? – Oui Maîtresse. – Et pourquoi ça ? (Je dois pâlir d’appréhension et ma Belle-Sœur s’en aperçoit.) Qu’est-ce que tu as encore fait comme bêtise ? »

Et là, il me faut bien avouer que, le matin même, quand j’ai eu la chance de la faire jouir sous ma langue, cela m’a tellement ému que j’ai déchargé sans l’avoir voulu, que j’ai dû laver ma gandoura et en changer.

« Eh bien, c’est du propre ! Quand je pense que cela aurait pu servir à entretenir le cuir de mes souliers ! Quel gaspillage !… Bon, je vois que je vais être obligée de réviser mon jugement. J’avais pensé à dix coups de cravache sur le dos et les fesses. Tu as gagné : tu en recevras vingt ! Cours vite me chercher ma cravache d’équitation et reviens au trot me la rapporter entre tes dents. Je t’autorise à te lever et à y aller en bipède… »



La cravache est pendue dans un placard de l’entrée, à côté de la bombe. J’y cours et m’empresse de revenir à la chambre où, de moi-même, je me laisse tomber à genoux devant ma Belle-Sœur, malgré la trouille que j’ai de ce qui m’attend.

(À suivre…)

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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