Lundi 9 février
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08:47
(......) Connaissez-vous la trophallaxie chez la fourmi ?
Celle-ci possède une cavité, proche de la bouche, le jabot, aussi appelé "estomac social ".
Cet estomac peut servir de réservoir.
Une fois celui-ci remplis, la fourmi effectue une sorte de bouche à bouche, appelé trophallaxie afin de nourrir ses compagnes.
Comme je commençais vraiment à avoir soif, Katia se pencha vers moi, et comme décidément, nous étions connectés, elle posa doucement sa bouche sur la mienne : trophallaxie de champagne...
Dis comme çà, çà n'a rien de terriblement sensuel, mais dans un certain contexte... cela renforce un état de dépendance... le sentiment d'appartenir complètement à la personne. Force
émotionnelle du besoin primaire sans doute aussi ou réminiscence du sein maternel ?
Deux larbins "maisons", nus, excepté le petit tablier ridicule qu'ils portaient à la taille, tournaient sans cesse pour remplir les verres de ces dames.
Le champagne coulait à flots.
Je crus comprendre qu'il avait été gracieusement offert par l'esclave attitré d'Irina, avec qui Katia avait fait connaissance un peu plus tôt dans la soirée. Irina paraissait vraiment très jeune,
une adolescente, quand à Viktor, son esclave personnel, je lui donnais volontiers la cinquantaine bien sonnée. Après avoir offert le champagne sans y avoir goûté, lui aussi avait été emmené pour
passer la nuit au cachot.
Je commençais tout doucement à me dire que j'étais privilégié !
Irina lorgnait de mon côté de temps à autre, elle avait l'air curieuse de mon état. Sans porter aucun jugement, je pense que le rapport qu'elle entretenait avec Viktor était d'ordre purement vénal
et paraissait intriguée du fait que ce n'était pas notre cas, à Katia et à moi-même. Peut-être avait-elle du mal à imaginer quelle était exactement la nature de notre relation. Elle paraissait
s'amuser de tout, partait en éclat de rires, pleine de vie...
En Russie, je ne sais pas ce que je préfère le plus des auteurs ou de la gent féminine :-)
Si Dostoiesvsky, Boulgakov et autres Tourgeniev m'ont toujours fait vibrer, il en est de même des femmes slaves. Katia était née en France, mais elle possédait ce charme, ce sens de la mise en
scène, de la passion amoureuse à nulle autre pareille...ce semblait être également le cas d'Irina.
Katia levait de temps à autre le pied, et de ce fait touchait de sa botte mon sexe de plus en plus douloureux et avide...
.... avide de toucher plus insistant... de caresses...
Brusquement, Katia vida son verre : "debout ! A la chambre", me dit-elle.
Je fus étonné de me relever si facilement, j'aurais tendance à penser que la production d'endorphines du "sous espace" y était pour quelque chose, elle fait que vous ne sentez plus la douleur, ou
que plutôt vous la sublimez, comme si votre corps tout entier se mettait au service de votre esprit, de votre désir...
Arrivé à la chambre, Katia se jeta sur le lit, elle avait attrapé au passage sa courte cravache de cuir noir, jouait avec elle en la courbant légèrement entre ses mains.
"Nu" dit-elle sèchement.
Le ton ne souffrait aucune discussion, je me dépêchais donc de lui obéir.
Tandis que je me déshabillais, elle fouilla dans son sac pour en retirer une règle de bois carrée qu'elle déposa au sol.
"A genoux sur la règle" me dit-elle, "mains à la nuque".
Puis elle s'approcha de moi par derrière pour m'entourer les poignets de deux bracelets de cuir attaché à un collier qu'elle me fixa au cou.
"Punition d'un quart d'heure à genoux sur la règle" me dit-elle, .... "fois huit, cela nous fera deux heures pour t'apprendre à obéir"
J'étais pétrifié en entendant la sentence, je dois dire que je m'attendais à tout sauf à cela ! J'allais vivre un calvaire, mais elle en avait décidé ainsi.
(à suivre...)
Par MAEVA
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Publié dans : Littérature
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Je voudrais vous remercier publiquement pour la publication de mon histoire et la permission de m'exprimer ainsi sur votre site !
Je remercie également tous ceux qui ont manifesté de l'intérêt pour ma petite narration, n'hésitez pas à faire part de vos remarques et impressions.
Charles.
Belle suite pour cette histoire, en en plus très bien raconté. Toutes mes félicitations à l'auteur et merci aussi à Vous pour l'illustration qui donne encore un cachet supplémentaire au récit.
C'est toujouyrs avec le même plaisir que je viens faire ma petite ballade quasi quotidienne sur ce merveilleux espace perso.
Au plaisir de Vous relire.
La suite de la séance s'annonce passionnante.
merci bootshine pour ton récit.
Je suis certain que Vous commencez à vite comprendre quel sujet je vais aborder maintenant, eh oui c'est évident un des rêves ultimes de sous bottes c'est la soumission masculine et l'arrivée en gunarchie, alors je ne Vous raconte le nombre de fois incalculables ou il s'est endormit en rêvant à des situations trés excitantes.
Une partie de sa vie est donc composé des ces étranges rêves, dont fait partie dorénavant Maestra depuis plus de 6 mois, il ne compte plus les situations qu'il a vécu en sa compagnie, en bon chien obeissant. Il à déjà léché Ses divines semelles des milliers de fois, le seul inconvénient pour le sommeil c'est la fantastique érection que cela peut provoquer, mais bon, cela reste bien agréable. Alors, ce puit à fantasmes a été régulièrement alimenté par l'OWK, car c'est réellement un lieu fantasmatique au possible et proche d'un certain idéal de gynarchie (à mon avis tant que 'lon y est pas allé) , le rêve c'est fantastique car il n'a pas de limites contrairement à nous pauvres mortels, lol !!!
Depuis peu, j'ai associé mon delire sur l'oWK avec mon obsession pour Maestra, en effet, je ne resiste pas à Vous raconter le dernier délire du sous bottes. Pour faire court, sous bottes devient richissime, mais desoeuvré, il décide consacrer la quasi intégralité de sa fortune à la fondation d'un deuxième OWK en France, il visite des leiux dans le sud pour trouver la perle rare, et, déniche une propriété fantastique pour mettre en place son projet. Cependant, il lui faut impérativement des Femmes dominatrices pour l'aider, alors, il se tourne vers Maestra pour devenir la reine de ce royaume et mettre en place l'ensemble du fonctionnement de ce nouveau royaume. Les possibilités d'imagination sont alors trés vastes, recrutement des soumis, ecriture des lois, mise en place de l'ecole gynarchique et séléection des Femmes permanentes, de la garde royale, etc... En général le sous bottes s'endort avant d'aller trés loin, l'avantage c'est qu'il peut reprendre le lendemain. Alors, j'ai proposé Maestra comme reine suprème, je suis certain qu'elle remplirait ce rôle à merveille car je ressens que sa domination est aussi une domination d'amour. Il y a quelques temps j'ai été un peu interloqué par des commentaires de dominatrices sur des forums gynarchiques, j'avais seulement constaté que ces forums étaient devenus le rpère de lesbiennes extrémistes (croyez moi je n'ai rien contre les homos, vraiment rien du tout). Les commentaires, sur la castration chimique des hommes y allaient bon train, c'etait moche, dégradant, et, cela niait complètement l'existence même des êtres humains masculins, je me suis donc retrouvé en plein feminazisme. je pense que dominer c'est permettre à son soumis de se subblimer, d'atteindre un sous espace bienfaiteur par de le détruire physiquement et psychologiquement. je suis certain que Maestra comprend bien ce que je veux dire, alors cette gynarchie là, je lutterais sans cesse contre, je serais dans la resistance.
Bien, je délire, mais le temps passe, sous bottes Vous remercie du temps que Vous passez sur ce blog avec nous et Vous dis à ce soir dans sa tête, afin de continuer la mise en place de lOWK 2 !!. Bonne journée Maestra
De son côté sous bottes en a recencé un minimum de 10 avec chacun une fonction bien particulière. A vous de jouer si vous le souhaitez bien entendu. Bon séjour dans le Vercors Maestra source de mes fantasmes quotidiens.
Je disais que l'écurie pour males aurait son aile la plus sombre réservée aux cachots pour les récalcitrants.
Les esclaves que les Femmes supérieures feront dormir là auront leur matricule inscrit sur leur paillasse, ils y dormiront nus sous une simple couverture, prêts à être réquisitionnés pour servir toute Femme qui le souhaiterait.
Bonjour.
Je me suis inscris ici pour participer à la conversation autour d'un monde comparable à celui d'OWK mais en France.
Cela fait des années que j'y pense et que j'ai étudié tous les aspects.
Sur le plan juridique c'est totalement réalisable, avec juste quelques précautions.
Sur le plan pratique c'est également possible si des personnes veulent créer une SCi et être ainsi propriétaires de parts qu'elles donnent en gestion à une autre (la Reine)
Selon moi il suffit que de 4 ou 5 personnes suffisament dotées puis d'adopter un statut associatif avec une cotisation annuelle et des tarifs pour des accés complémentaires pour les autres membres non fondateurs.
Par contre il faut éviter l'accés à des professionnelles qui risqueraient de faire courir des risques pénaux.
L'organisation se ferait donc autour et au profit d'une Reine avec la participation éventuelle d'invitées (pour des tournages...)
Dans ce lieu je verrai bien un espace de vie (avec le minimum de confort pour les hommes), un espace de travail (où les esclaves trimeraient) et un espace de punition pour les récalcitrants (salle de torture et cachots).
Les males devront travailler de 12 à 16H :jour pour l'entretien du domaine. Aucun
Nous avons donc un pavillon de la reine, une prison, une écurie, une salle de torture, un espace de travail et une école, alors que manque t'il encore ? Je vous laisse y réfléchir, et, pour le nom du royaume, je serais honoré que Maestra veuille bien en attribuer un, notre reine. Bonne soirée Maestra
Plus sérieusement, je ne connais pas la législation française, mais j'ai crèé et géré plusieurs sociétés et associations en Belgique (pas dans ce domaine évidemment :-)))
Je trouve que c'est une bonne idée, dans la mesure où, nous les francophones, finalement, nous n'avons, en ce domaine, pas grand chose à nous mettre sous la dent
Si on prend en comparaison l'Allemagne ou l'Angleterre, on est vraiment loin derrière, ne trouvez-vous pas ? En tous cas, pour moi qui ai beaucoup voyagé, çà paraît évident.
Question de culture peut-être ? Je l'ignore ! Ceci dit , je ne jugeais pas de la qualité, mais uniquement de la quantité....
Bonne soirée à toutes et tous...
Charles.
Madame J