Partager l'article ! Un voyage sur la planète SM (V): Bien que vous ne le méritiez pas , voici la suite de cette longue et passionnante histoire vécue par Charles, ...
Bien que vous ne le méritiez pas , voici la suite de cette longue et passionnante histoire vécue par Charles, alias "bootshine"......merci à lui, pour ce talent narratif
et ce haut pouvoir de suggestion: feet Mon chien adore.....
....de ce fait, Charles m'aura aidé à ce que le chien
participe un peu plus à Mon enthousiasme, par rapport à ce projet de séjour en Tchéquie.....il commence à se faire à l'idée, me presse de questions......qui vivra
verra!
Je me demandais de quoi elle parlait, mais je crus me rappeler qu'à l'entrée du "long hall" trônait une espèce de grande caisse, peinte en noir. Et comme j'étais à nouveau perdu dans mes pensées,
le bruit d'une cravache accompagné de la voix de Madame Christine me ramena à la réalité.
Elle devait être en train de superviser le travail de slave... on entendit encore quelques bruits sourds (je pense qu'il devait se prendre quelques coups de bottes), puis la cravache à
nouveau.
C'est à ce moment que Katia s'approchât, du bout des lèvres, elle m'embrassa, c'était le premier vrai moment d'intimité que nous partagions depuis son arrivée, son baiser se fît plus insistant,
dans le même temps, du bout des doigts, elle caressait à présent mon sexe érigé...
Elle roula de côté et s'empala sur moi.
Le buste relevé, elle bougeait lentement, s'appuyant des deux mains sur mon torse, de temps à autre, sa chevelure me caressait le visage, à d'autre elle rejetait la tête en arrière dans un
gémissement étouffé.
D'une main, je saisis sa hanche pour ralentir encore ses mouvements, car j'étais au bord... de l'autre, je caressais sa poitrine, attirais à moi sa bouche un instant jusqu'à ce qu'elle se délivre
dans un cri de fureur, au moment où je sentis sa jouissance arriver, je libérai la mienne... d'un spasme commun, nos deux corps tendus vibrèrent à l'unisson.
Comme je me détendais un peu et sentais la tension qui habitait mon corps me quitter, je me posais la question de savoir si slave se trouvait toujours derrière la porte, et comme si j'avais
formulé cette question, sans que je n'ai besoin d'ouvrir la bouche, elle me répondit : "slave doit attendre mes ordres, à genoux derrière la porte"
La situation, quoiqu'un peu gènante, je dois l'avouer amenait un certain piquant à notre étreinte... toujours cette sensation d'excitation mèlée de gène.
"Moi, ça m'électrise complètement !" me dit-elle.
Je voyais briller ses yeux de cette même lueur et je compris enfin, ce que j'avais entrevu plus tôt, sans pouvoir me l'expliquer, c'était une certaine cruauté que jusqu'alors, je ne lui
connaissais pas.
Elle me fixa à nouveau, puis descendit la tête, fit passer délicatement sa langue sur mes lèvres, tout en se faisant, elle remuait légèrement le bassin, ce qui eut pour effet immédiat de raviver
la flamme, de durcir à nouveau mon sexe toujours emprisonné dans le sien.
Mais cette fois, j'avais envie de la posséder, plus encore, de mener la danse et d'imposer mon rythme, sans relâcher mon étreinte, je basculai de côté pour m'asseoir au bord du lit, ce qui
l'obligeât à entre ouvrir les jambes du plus qu'elle le pouvait, d'autant que d'une main, posée sur ses fesses, je l'attirais à moi.
Elle étouffa un cri, j'avais moi aussi, l'impression de pénétrer en elle plus que je ne l'avais jamais fait, j'imposais alors mon rythme, lent et régulier tandis qu'elle m'embrassait
goulûment.
Je cassais le rythme de temps à autre, m'arrêtait un instant, elle gémissait : "non pas maintenant"
Je continuais encore et encore, stoppant net à chaque fois que je la sentais proche de l'orgasme.
Je ne saurais dire combien de temps durât ce manège car nous étions hors du temps...
Je finis par me lever et, sans la lâcher je me dirigeais vers la porte pour la "coincer" contre celle-ci, mon rythme s'accéléra, je la tenais par dessous les jambes et mes coups de boutoir
l'écrasaient sur la porte, tandis qu'elle s'accrochait à moi par le cou, les épaules.
Nous jouîmes à nouveau, elle hurla, me labourant le dos de ses ongles...
Nous restâmes sans rien dire, essoufflés l'un contre l'autre, l'un dans l'autre, la respiration haletante.
Elle m'embrassa longuement... nous étions trempés de sueur... il me semblait ne plus pouvoir bouger...
Après un moment dans cette position, je tombai littéralement à la renverse, elle me suivit aussitôt et se coucha sur le sol, à côté de moi, on entendait plus rien que nos respirations, nos yeux
fixant le plafond...fondu au noir...
Nous sortîmes de notre torpeur un peu plus tard, car on frappait à la porte : "le service d'étage" me
dit-elle, "ils amènent le petit déjeuner."
Peu désireux de me faire servir au lit par un larbin à moitié nu, je me dirigeai vers la salle d'eau pour m'y faire couler un bain.
Katia le comprit sans que j'aie à m'expliquer le moins du monde .
Lorsque j'entrai dans la chambre après avoir pris mon bain, elle se dirigea à son tour vers la salle d'eau en me disant "si tu veux, je t'ai laissé à manger", cela me fit penser qu'il y avait
quelques heures que je n'avais plus rien avalé, je mourrais de faim.
Il y avait là un plateau bien garni, je saisis un croissant et remarquai que du sucre avait été renversé sur le plateau, Katia y avait dessiné un cœur... c'est vraiment le genre d'attention que
j'apprécie plus que tout, j'engouffrai tout ce qu'il restait du petit déjeuner sans me faire prier, me versais trois ou quatre tasses de café noir et pour tout dire, je me sentais dans une forme
éblouissante.
Katia revêtit une "tenue de ville", jeans et chaussures de sport, avec son sens pratique, elle avait dû penser, à raison, qu'il serait plus facile de se promener comme çà à l'extérieur.
Lorsqu'elle me regarda, elle afficha un grand sourire, car j'avais fait la même chose qu'elle.
Elle s'approcha de moi, fouilla son sac et en sortit un pot de gel dont elle prit une noisette du bout des doigts pour me la passer dans les cheveux, puis une paire de ray-ban qu'elle me posa sur
le nez : "tu as plus de gueule comme çà," me dit-elle avec un sourire, et elle ajouta : "puis ainsi, tu pourras regarder à droite et à gauche discrètement".
Le voyeur que je suis pensa que c'était bien vu :-) je n'avais rien à ajouter !
Nous rejoignîmes Irina qui nous attendait à la boutique, grand espace, remplis de toutes sortes d'accessoires, vêtements, livres destinés à faire le bonheur de gens comme nous, dalles blanches au
sol, larges fauteuils de cuir, dans l'un de ceux-ci trônait Irina.
Elle, n'avait pas opté pour une tenue "sport", c'est le moins qu'on puisse dire, un trait écarlate de rouge à lèvres lui "barrait" le visage, elle portait une veste d'astrakan, assortit d'une
toque de la même matière et des gants de cuir noir.
Sous les pans de la veste disparaissaient des cuissardes aux talons démesurés, assez particulières puisque celles-ci étaient serties de ce qui ressemblait à de petits diamants, sur le côté de la
botte ces diamants se rejoignaient pour former les lettres "Irina Fashion", un modèle sur mesure, sans aucun doute et qui devait valoir une fortune.
J'allais avoir réponse à toutes les questions que je me posais à ce sujet un peu plus tard, car à vrai dire, j'étais encore loin de la vérité. Elle se leva pour accueillir chaleureusement Katia,
et comme je ne savais trop que faire, celle-ci me désigna les bottes de son amie, je compris immédiatement et m'agenouillais pour y déposer un baiser qu'Irina accepta en véritable dominatrice
c'est dire de la manière la plus naturelle du monde et sans trop me prêter attention.
Je remarquai Viktor, agenouillé dans un coin, il fixait le sol des yeux, complètement immobile, nu, il était simplement accoutré d'un dispositif métallique qui lui recouvrait le sexe, je ne
compris que plus tard qu'il s'agissait d'une ceinture de chasteté qui ne le quittait pour ainsi dire jamais ! En divers endroits du corps, il portait des traces en forme de cœur, ainsi que slave,
comme je pourrais le constater plus tard, c'était le motif de l'hilarité des deux complices hier soir dans la chambre qui avaient battus leurs esclaves à l'aide d'un "paddle" de bois dans le quel
était sculpté un trou en forme de cœur.
Sur un banc étaient disposés ce qu'à OWK, ils appellent "punishment aids", les aides à la punition, pas mal trouvé comme terme finalement !
Cravache, chat à neuf queues, canne anglaise, fouet... à faire frémir le plus endurci des masochistes.
Après qu'elles eurent échangé quelques mots, Irina ordonna à Viktor de se mettre en place sur un chevalet disposé à côté du banc.
Et comme je le compris fort justement, il allait servir de cobaye pour tester les divers instruments de torture installés là.
Je m'aperçus avoir commis une erreur de jugement concernant l'âge d'Irina, à bien y regarder, je me dis qu'il devait être très proche de celui de Katia.
Elles entreprirent l'une et l'autre de tester les divers instruments sur les fesses du pauvre Viktor, après qu'Irina lui eut enfoncé dans la bouche un bâillon constitué d'une balle de caoutchouc
reliée à deux lanières de cuir qui s'attachaient sur la nuque.
Je fus, pour ma part, chargé de passer à l'une et à l'autre l'instrument qu'elle désiraient tester en le montrant du doigt, sans me jeter un regard, puis de le remettre à sa place, sitôt qu'elles
en avait fini.
Irina ne ménageait pas ses coups, de temps à autre, elle glissait littéralement sur le sol, tant elle appuyait le mouvement du poids de son corps. Viktor était pris de soubresauts mais acceptait
stoïquement la situation.
Elles choisirent d'emporter l'une et l'autre les outils de flagellation qui leur plaisaient en ayant soin d'y inclure la fameuse "palette" percée d'un cœur, ce qui les fit encore une fois
s'esclaffer. Les fesses de Viktor étaient écarlates, le sang perlait çà et là, il dû voir venir ce qu'il croyait être la fin des réjouissances avec un certain soulagement, mais il n'était pas au
bout de ses peines, loin de là.
Je fus chargé de passer à la caisse où le vendeur me signala que tout ceci serait ajouté aux notes respectives de notre séjour.
Les deux femmes décidèrent, après cet intermède, d'aller prendre un rafraîchissement dehors, je les suivis, portant les paquets, me positionnant un bon mètre derrière elles. Viktor, qui
entre-temps avait été libéré du chevalet, devait suivre à quatres pattes, ce qui ne devait pas être aisé.
En effet, les allées sont composées de dalles que peuvent uniquement emprunter les dames. Les hommes doivent toujours se tenir sur le côté, à dire la plupart du temps sur un parterre de petits
cailloux pointus.
Il faisait un soleil éclatant, mais une petite brise printanière un peu fraîche vous rappelait à tout moment que l'été était encore loin.
Les deux amies prirent place à une table en terrasse et commandèrent à boire, je me plaçai debout derrière le siège de Katia, n'osant déposer les paquets, tandis que Viktor s'aplatit à plat
ventre sur le sol devant Irina pour lui servir de repose pieds, sans qu'elle eût à lui demander, selon un rituel bien rôdé entre eux j'imaginais....
Irina, tout en discutant, enfonçait nerveusement les talons effilés de ses bottes dans les fesses meurtries du pauvre Viktor avec un sadisme consommé, et lorsqu'il sursauta de douleur, elle lui
assena trois ou quatre coups de cravache avec une violence inouïe, celui-ci, malgré la douleur se tint donc immobile. Je ne voyais aucune trace d'amour, ni de complicité entre eux, aucun
regard... et comme je me questionnais, la conversation prit une tournure qui répondit à mes interrogations.
Katia, fine mouche comme toujours, demanda à Irina d'utiliser l'anglais car elle prétexta avoir du mal à suivre en russe, ce qui, je n'en doutais pas était destiné à ce que je puisse comprendre
ce qui allait se dire et que je vais essayer de vous narrer......
(à suivre...)
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