Mercredi 20 mai 3 20 /05 /Mai 18:46



J'ai le plaisir de publier la suite autobiographique du jeune "paillasson mâle",  et j'encourage les lecteurs à lire les quatre articles précédents pour une plus ample compréhension. Il y avait dans cette relation tous les ingrédients à une relation D/s réelle, le destin en  décidé autrement..... une question demeure: Comment notre jeune soumis va t'il s'affranchir de ces déterminants tragiques? Par fidélité à cette histoire avortée, en restera t'il là, s'interdisant de vivre sa nature profonde, celle d'un esclave consentant? La vie est courte, et ne pas la vivre pleinement est un grave péché, rien à voir avec le Péché Originel, attribué à Eve, la grande Tentatrice...

Fétichisme et soumission V

 

Ma Princesse et moi étions devenu de vrais amis, nous étions ensemble le plus souvent possible. Tout le monde s'était rendu compte que j'étais fou amoureux d'Elle, malheureusement les sentiments n'étaient pas réciproques. Mes amis avaient naturellement accepté de l'intégrer dans notre groupe. Ils avaient tous compris à quel point c'était important pour moi. A l'époque, nous étions tous célibataires, mes amis avaient bien des aventures mais rien de sérieux. Ma Princesse était donc la seule fille au milieu de tout ce groupe de garçons, Elle avait peu de moyens financiers, c'est pour cette raison qu'au départ elle ne voulait pas sortir toujours avec nous. Nous allions au ciné, au snack, au bowling, etc. Ma Princesse n'arrivait plus à suivre financièrement. J'avais l'habitude de sortir avec mes amis, je ne me posais pas de questions. Mais depuis que je l'avais rencontré, tout était devenu différent. Je n'arrêtais pas de penser à Elle. J'avais besoin d'être constamment en sa compagnie, je n'arrêtais pas de repenser à Ses merveilleux Pieds que j'avais eu la chance de voir.



 Il fallait que ma Princesse soit avec moi, je ne pouvais plus me passer d'Elle, cet élan était devenu comme une drogue dure. A chaque fois, j'insistais pour qu'Elle vienne avec nous. Je lui donnais de l'argent pour nous deux. Ainsi Elle pouvait nous suivre financièrement, sans que nos amis ne sachent rien.

Ainsi, nous sortions de plus en plus. J'étais heureux qu'Elle soit avec nous, sa présence me rendait fou de bonheur.

C'était la première fois que ma Princesse rencontrait un garçon tel que moi. Elle me l'a souvent dit. Elle avait l'habitude des garçons machos et plutôt radins.

Un jour, Elle est venu me voir. Elle avait un gros problème, elle avait vraiment besoin d'argent. Elle est venu vers moi car Elle avait compris que j'étais différent des autres garçons, et qu'Elle pouvait me demander beaucoup, me tenant soumis sous Ses charmes. Bien évidemment, je me suis fait un plaisir de lui prêter l'argent dont elle avait besoin.

Notre relation devenait de plus en plus fusionnelle. La relation Maîtresse- esclave était de plus en plus présente, mais comme en filigrane, comme une promesse....

Le soir après les cours - car nous étions encore étudiants à l'époque- nous nous retrouvions. Nous passions toute nos soirées ensemble.

Un rituel s'était mis en place. Nous montions dans ma chambre. J'installais ma Princesse avec des coussins pour qu'Elle soit le mieux possible. Ma Princesse prononçait la phrase magique : « J'ai froid aux pieds ». A ce moment là, je me mettais à genoux devant Elle. Je lui retirais alors ses chaussettes. Je plaçais tout d'abord mes mains sur Ses pieds ;  moi, j'ai toujours chaud. Ma princesse me disait souvent «  si un jour je te prends dans mon lit, ça sera pour me servir de radiateur, tu seras la bouillotte de Mes Pieds! ».

Ma Princesse avait souvent les pieds gelés. Lorsque je posais mes mains chaudes sur les Pieds de ma Princesse, j'avais l'impression que je plaçais mes mains sur un glaçon.



 Elle adorait cette sensation de chaud et froid. Je restais donc comme cela un long moment. J'étais à genoux devant Elle, en essayant d'envelopper le plus possible Ses Pieds avec mes mains pour les réchauffer au maximum. Cette étape durait un long moment. Ma Princesse aimait souvent mettre Son Pied près de mon nez pour me faire sentir son odeur. Elle me demandait, espiègle : « Alors mes pieds sentent bon ? »



Puis lorsque les merveilleux Pieds de ma Princesse s'étaient plus ou moins réchauffé, une autre phase démarrait : Je prenais de la crème hydratante pour Lui masser les Pieds. Le massage durait un long moment pour mon plus grand plaisir. Je terminais toujours en faisant un bisou chaste et respectueux sur chacun de Ses Pieds, c'était un signe de soumission. Bien entendu, vous imaginez bien, si cela n'avait tenu qu'à moi, j'aurais couvert les pieds de ma Princesse de multiples baisers. J'aurais voulu lui embrasser amoureusement les Pieds, et aussi lui lécher longuement, c'était mon obsession, mais comme je ne suis qu'un petit fantasmeur timoré qui a peur de la vie, je n'ai jamais osé et c'est maintenant que je le regrette, certes notre relation évoluait de plus en plus vers une relation D/s mais peut être que ma Princesse n'étais pas prête a accepter une telle preuve de soumission.





 Les baisers sur Ses Pieds lui plaisaient, je le voyais bien, Son regard « s'allumait », éveillait peut être la Dominatrice qui sommeillait en Elle. J'achevais ce protocole de soumission aux Pieds en la remerciant humblement, comme à chaque fois. Je pouvais alors terminer la soirée à Ses côtés. Enfin c'est beaucoup dire parce que j'étais la plupart du temps debout, soit pour lui servir à boire, soit pour replacer les coussins, soit pour lui apporter telle ou telle chose. Il fallait que Sa domination sur moi soit omniprésente, voire omnipotente. C'était important pour Elle comme pour moi, nous étions bien dans nos rôles respectifs. Peu à peu, chacun prenait sa place, les rôles étaient de mieux en mieux définis. Elle commandait, j'obéissais, c'était tout simple et harmonieux, et ce n'était que le début...un début prometteur.

Nous sortions de plus en plus souvent avec nos amis. Nous allions faire les magasins.



J'avais donné à ma Princesse ma carte bleue ainsi que le code confidentiel pour qu'Elle puisse acheter tout se qu'Elle désirait sans que les autres sachent que j'étais derrière tous ces achats, j'étais tellement heureux de lui offrir tous ces cadeaux. Nous devenions de plus en plus amis, une amitié sincère. Elle me parlait beaucoup, de sa vie, de ses peurs, Elle se confiait à mon oreille attentive et dévouée.

Ma Princesse m'avait parlé qu'elle avait souvent été frustrée dans le passé d'être privée de choses qu'Elle désirait mais qu'Elle ne pouvait pas s'offrir.

J'étais sincèrement fou de bonheur de pouvoir offrir tout ces présents à Celle que j'ai considéré dès la première minute comme ma Princesse. J'ai toujours appelé cela « le plaisir d'offrir ». Le fait de La voir heureuse d'être en mesure de s'acheter tel ou tel article, le fait de lire le bonheur dans Ses yeux me comblaient tout simplement. Comme pour les massages de Pieds, ma Princesse avait eu du mal à comprendre pourquoi le fait de lui offrir tout cela me rendait si heureux. Elle n'a pas cherché à comprendre, elle constaté que j'étais heureux ainsi et profitait de mon dévouement et de ma générosité.

Je suis quelqu'un de romantique : Dès les premiers jours, je Lui ai envoyé un bouquet de roses rouges avec un petit mot lui déclarant ma flamme.

Ma Princesse a été très touchée par ce geste. Là encore, c'était la première fois qu'un garçon avait pour Elle de tels gestes. Bien entendu, cela ne changea rien à la nature de nos relations, néanmoins elle n'était pas indifférente. Je Lui offrais de plus en plus souvent  des cadeaux. Celle-ci adorait les magasins de vêtements, les magasins de beauté, les magasins de chaussures, et cela  pour mon plus grand plaisir de fétichiste...




Elle avait trouvé un moyen de me torturer, de me frustrer une nouvelle fois. Ma Princesse m'emmenait dans les magasins de lingerie, elle me montrait des soutiens gorges, des nuisettes, des tenus très sexy. Elle me demandait :          « Qu'est ce que tu penses de telle ou telle chose ? Cela m'irai bien ? »

Ma Princesse voyait bien dans mes yeux et dans mon attitude que j'étais vraiment troublé, voire excité. Elle choisissait des tenues  très sexy, Elle allait en cabine pour les essayer. Bien entendu, je n'avais pas le droit de regarder, je devais simplement rester devant le rideau pour surveiller. Puis en sortant de la cabine, Elle me disait : «  je vais prendre tel ou tel article. Regarde les bien, profite-en maintenant, car tu ne les verras jamais sur moi ! »

« Mon futur copain va vraiment se régaler avec les tenues que tu lui auras indirectement offert. » Ma Princesse savait vraiment m'humilier, ce type de propos me faisait l'effet de coups de poignards au cœur, je haïssais cet hypothétique « futur copain », Elle était cruelle de tenir de tels propos avec moi .

J'étais parfaitement conscient de la situation dans laquelle je me trouvais.

J'étais fou amoureux de ma Princesse, je savais que je n'avais aucune chance,  mais mon désir de la servir était plus fort que tout. J'étais vraiment heureux de Lui offrir toutes ces tenues, de Lui offrir tout ce maquillage, toutes ces chaussures aux courbures excitantes. Je savais que Son but était de se faire belle pour séduire d'autres garçons. C'est une évidence que j'avais intégré par la force des choses, moi, je n'étais là que pour La servir, je ne devais rien attendre en retour, hormis le plaisir de La servir. Néanmoins lorsque j'étais confronté à une situation où ma Princesse s'intéressait à un autre garçon comme cela avait été le cas avec mon ami, alors j'avais réellement dû mal à le supporter, j'étais fou de jalousie et de frustration. Je redoutais le jour où tout cela recommencerait. La première fois, j'avais eu beaucoup de chance que ma Princesse accepte de me pardonner après avoir supplié et arrosé Ses Pieds de mes larmes de regret.




En fait, Elle s'était peu à peu rendu compte que le caractère de mon ami ne se serait absolument pas accordé avec le Sien, il n'y avait pas de regrets. Donc indirectement, j'avais rendu service à ma Princesse. J'avais eu de la chance cette fois-ci mais je savais que cela n'allait malheureusement pas durer...

D'autres problèmes m'attendaient. En effet mon compte bancaire n'était pas extensible, et  les économies sur lesquelles je prélevais régulièrement pour offrir une vie de Princesse à l'élue de mon cœur n'allaient pas tarder à être épuisées.

D'ailleurs, Sa mère s'était rendu compte que les cadeaux étaient de plus en plus fréquents. Elle avait alors demandé à sa fille de me dire d'arrêter de lui faire des cadeaux. Sachant que nous n'étions que des amis, sa maman commençait à trouver cela gênant. Nous vivions à cette époque « la grande vie », j'avais un peu l'impression d'être dans le film « Pretty Women » où j'étais l'homme riche qui offrait une vie de Princesse à la femme de sa vie.

Bien entendu, la différence avec ce fameux film est que nous avions pas une relation d'amour mais une relation Maîtresse / esclave à l'état embryonnaire. Cette relation me satisfaisait pleinement, j'étais heureux aux Pieds de ma Princesse, Ses altières extrémités devenaient mon horizon préféré : Devenir réellement Son esclave était mon but, vivre sous Ses Pieds, un Graal encore inaccessible......



Je vivais dans l'obsession et la crainte de La perdre, pour la "garder", j'étais prêt à davantage d'humiliations, je rêvais par exemple de Lui nettoyer les Pieds de ma langue, avec encore plus de plaisir s'ils étaient sales et moites, en fin de journée, j'étais prêt à vivre pleinement ce qui dans la société normative serait considéré comme la pire des abjections, et cette perspective m'excitait au plus haut point.



Ainsi, lorsqu'Elle marchait Pieds nus, mon rêve aurait été qu'Elle me donne l'ordre de les nettoyer de ma langue d'esclave, celle-ci faisant office de gant de toilette....j'aurais absorbé les moindres résidus de crasse comme des hosties sacrées, rendant aux Pieds Adorés leur virginité initiale...



Malheureusement la réalité ne tarda pas à me rattraper et la chute fût très difficile... depuis, je vis une tragédie et m'interdis tout bonheur.

Paillasson mâle, petit soumis fantasmeur et virtuel de Maîtresse MAEVA

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mardi 19 mai 2 19 /05 /Mai 11:19



Notre ami "chien gégé" vient d'écrire un texte très court mais excellent.......comment un contexte évoquant la normalité peut faire oublier momentanément à l'esclave sa vraie place, et comment certaines Dominas savent   lui rappeler sa condition par une humiliation publique..... cela renvoie à une qualité que doivent avoir les vrais soumis aux Femmes: la faculté d'adaptabilité. Si ce texte   est court,  il y a le style talenteux et suggestif de "chien gégé"..... je vous souhaite une bonne lecture de cette tranche de vie....


L'humiliation....
Il y avait le petit blondinet. Le type râblé, nerveux, le zozo au coup de poing facile. Le genre de caractériel que j'évite généralement de fréquenter. Celui-là, son truc était de se travestir. Il finirait d'ailleurs le Dimanche matin par aller chercher les croissants et prendre le petit déjeuner en centre-ville habillé en pute en compagnie de Maîtresse qui me racontera plus tard s'être bien amusée de la tête des gens mais avoir craint aussi de croiser quelque flic un peu zélé. Mais enfin, ce n'était pas encore l'époque du tout sécuritaire...

Il y avait le maître de maison. Qualifions le plutôt de propriétaire de la maison, ou d'hébergeur. Un papy qui avait bien dépassé la soixantaine mais encore fort gaillard et à l'œil bien vif, surtout quand il reluquait Maîtresse. Ancien steward sur les yachts de luxe, il avait passé sa vie à servir et continuait logiquement la même chose dans sa vie sexuelle mais avec la classe et le style d'un vrai professionnel. Sa maîtresse, Sophie, en était délicieusement ravie et ne cessait de montrer à Maîtresse ces qualités remarquables. Démonstrations qui me valaient des remarques sévères de Maîtresse comme : « Prends leçon ! » ou bien : « Ca, c'est du service ! ».


Une jolie photo empruntée à : www.owk.cz

 ..... Lui jouait les faux modestes et protestait de ne rien faire de plus que ce que se doit tout bon esclave, appuyant son propos d'un coup d'œil oblique dans ma direction.

Sophie était une belle quadra, brune à la coiffure ondulée, aux lèvres pulpeuses à souhait. Les gestes étudiés, une sensualité d'enfer, le diable en personne. Abondance de biens ne nuit pas mais peut-être en faisait-elle un peu trop et mon attirance pour elle se révélait assez froide.

Maîtresse et moi étions arrivés assez tôt et tout le monde s'était trouvé en tenue de ville réuni autour de la table du jardin pour un petit apéro de bienvenue. La conversation roulait d'un sujet à l'autre et n'aurait été l'empressement du stew à servir, nous aurions pu nous croire dans un monde totalement banal. Une voiture qui passait sur la départementale  longeant le jardin klaxonna et Sophie salua des voisins d'un petit geste de la main.

Un moment, je me levai pour m'accouder à la balustrade et observer le parc en dessous. J'entreprenais le stew sur la façon dont avait été émondé un chêne et nous nous mîmes à discuter jardinage.

-        Dis-donc ! La voix de Sophie venait d'éclater dans notre dos. Nous nous retournâmes aussi sec.

- Ta maîtresse m'avait bien dit que tu venais ici pour servir, non ?

Son regard assombri était sur moi. Maîtresse avait le visage fermé, pas le moindre sourire, l'œil sévère. Le blondinet goguenardait derrière une grimace faussement compatissante et le stew faisait la moue en me zyeutant par en dessous. Je me sentis terriblement seul tout à coup. Décontenancé, désarçonné, déstabilisé. Je bredouillais un « oui » répétitif fort peu convainquant. Alors, Sophie, d'un mouvement preste de la cheville fit tomber sa sandale.

-        "Ramasse !!!"




Mon cerveau était encore branché jardinage et au milieu de cette garden-party de gens apparemment normaux, cette injonction qu'on m'adressait m'apparut sur l'instant complètement incongrüe. Des regards lourds pesaient sur moi. Je sentais les muscles de mes membres physiquement bloqués, statufiés mais l'estomac bien vivant et qui me le faisait savoir en se nouant et se re-nouant.  L'excitation d'une situation sm qui m'aurait permis d'agir avec aisance n'était pas encore descendue dans mon ventre. Cependant, je savais qu'elle allait arriver pourvu que je l'y aidât et je savais très bien aussi pourquoi j'étais ici et pourquoi Maîtresse s'était rendue à cette invitation. Je fis appel à ma connaissance de moi-même pour convoquer mes fantasmes et changer ainsi d'espace. Les rouages de ma cervelle cliquetèrent, les aiguillages s'enclenchèrent et les premiers frémissements de l'excitation se manifestèrent. Cela prit quelques secondes pendant lesquelles je trouvai une contenance en un sourire qui devait être d'une niaiserie colossale.

Mon effort pour surmonter cette humiliation fut donc d'abord intellectuel mais quand je me baissai pour prendre la sandale délicatement dans mes mains, tout me devint alors plus facile et dans l'ordre des choses.


 Son pied moite et odorant était près de mon visage. Ce qui m'aurait paru une minute plus tôt dégradant et impossible se fit alors avec le plus grand naturel. Elle accepta ma langue.




L'auto repassa sur la route, re-klaxonna, je n'y prêtai aucune attention. 
"chien gégé", mai 2009    

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Samedi 16 mai 6 16 /05 /Mai 10:35

...... recommence cette éternelle séance de dérèglement de tous les sens...... le bonheur dans l'esclavage pour l'un, la volupté d'être adorée et obéie..... pour l'Autre.....





..... obéir en tout, répondre illico presto aux moindres sollicitations, accepter Mes caprices de Domina......















Par MAEVA - Publié dans : Esclavage
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Jeudi 14 mai 4 14 /05 /Mai 10:50

 

..... du chien feet: Au cours d'une soirée privée l'été dernier, du côté de Sète, c'est à dire vers le Cap, je l'ai autorisé à faire des photos signifiantes de cette soirée qui était sur le thème du fétichisme des Pieds Féminins, le chien ne pouvait pas rater ça, c'est comme emmener un gamin à Disney Land!!! La seule consigne pour lui, était qu'il s'arrange pour que ces photos expriment l'idée du sous espace pour une carpette-mâle telle que lui, d'où l'importance d'être en contre-plongée, pour exprimer l'ambiance du sous espace, il faut y être, et s'y sentir bien..... il devait de plus  se faire discret, ne se déplaçant qu'à quatre pattes, et demander avec servilité à chaque fois la permission de photographier....... une jolie galerie du sous espace, du moins une partie, il fit cette nuit-là 155 photos!



 










































..... imaginez un peu l'état du chien! C'est comparable à un bambin  qui recevrait comme cadeau le libre accès à la confiserie du coin!



























..... vers le milieu de la nuit, il a craqué et a demandé à être aussi sur les photos.....






















...... j'aime bien les soirées "footfetish", ce n'est pas vulgaire, il y a souvent du raffinement, de l'adoration, de l'émotion, et les situations sont souvent excitantes, ça change du SM pur et dur, avec fouets et gode-ceintures obligatoires! Je déplore qu'il n'y ait pas plus de soirées avec cette thématique..... au Donjon du Léman, par exemple, je pourrais y emmener mon chien-photographe....ça le sortirait de sa bulle!
C'est ainsi que je l'ai récompensé.... au petit matin.... quel chanceux!

 

Par MAEVA - Publié dans : Reportage SM - Communauté : BDSM
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Mardi 12 mai 2 12 /05 /Mai 12:21

Le premier mai, l'an dernier, sur la plage des "naturistes / échangistes/sado-masos" du Cap..... Mes Pieds redécouvrent  le soleil. Les caresses de ses tièdes rayons sont comme précurseurs à d'autres caresses que j'attends de Mon chien qui croit pouvoir rester tranquillement allongé à Mes côtés, comme si j'étais sa petite amie.... j'ai exigé qu'il Me lèche les Pieds sur cette plage, nous n'étions pas vraiment tous seuls, ce fut difficile pour lui! Heureusement pour feet-le-chien, l'attention générale se détourna au profit d'un couple exhibitionniste, Mme se faisait faire un "cunni" par son jeune soumis..... il y eut rapidement un attroupement voyeur autour de ces deux artistes, pour le grand soulagement de Mon esclave qui a pu lécher tranquille.... jolie photo où je porte une perruque,en ce lieu, j'adore me travestir, me déguiser, je m'y amuse beaucoup....

 

Sur ces quatre Pieds altiers et magnifiques, il y en a deux à moi, et deux à Maîtresse  A........ Trouvez-les, il y a une vidéo à gagner!

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : Soumis & Soumises
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Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 08:51
...... vous souhaite un bon repos dominical.... quelques photos d'avant hier, pour alimenter  vos fantasmes.....














Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA
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Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 12:10

...... et dans une heure trente, il va retrouver sa place naturelle..... il est fébrile, presque comme la première fois...... et à cette perspective alléchante, il bande comme un âne, je le sais!

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : Soumis & Soumises
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Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 19:53
..... de Mon bon chien, et de son alter ego.....

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : Soumis & Soumises
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Mercredi 6 mai 3 06 /05 /Mai 19:34



Le jeune "paillasson mâle" poursuit sa monographie de fétichiste et de soumis. Il faut reconnaître que si maintenant, il vit dans le fantasme et le rêve, bloqué quant au passage nécessaire à l'acte; il fut une époque où il vivait quand même des choses très fortes, malheureusement interrompues par le destin. Ce nouvel épisode est semblable aux autres: les situations sont intéressantes, très signifiantes, parfois suggestives, même Mon chien a "kiffé", il a vécu une scène similaire il y a maintenant une vingtaine d'années, où, de ses larmes abondantes, il inonda les Pieds d'une de ses "ex" innombrables qui voulait le quitter.... seulement, là, elle le fit, malgré l'attitude de prosternation totale, celle qui signifie en vérité:
" Ne me quitte pas, ne m'abandonne pas,  pour que tu restes, je serai ton chien, je te servirai en tout, tu commanderas, j'obéirai, tu feras ce que tu veux de moi!"

La tentation est grande, car même si la majorité des gens rejette l'idée de l'esclavage,  considérant - à juste titre- que c'est une horreur éthique, l'idéologie ne descend pas forcément dans les arcanes de la libido, il y a comme une nostalgie de l'esclavage, la tentation est grande, et si elle l'eut, elle préféra l'ignorer et partir...... quelle cruauté! Je vous souhaite une bonne lecture de ce  texte honnète, et qui renvoie à de nombreuses questions sur les choix de l'existence humaine......

Fétichisme et soumission IV

 


Ma Princesse et moi étions devenus au fil des mois de véritables amis. Nous étions toujours ensemble. Chaque jour, je devenais de plus en plus amoureux d'Elle, mais malheureusement, celle-ci avait été très claire avec moi. Je n'étais absolument pas son genre de garçon. Je n'étais pas assez bien physiquement. Nous n'étions donc pas ensemble et je devais supporter de la voir se faire belle pour aller voir d'autres garçons. J'étais même là pour la conseiller. En effet Elle se préparait pendant de longues heures devant moi, je la voyais si belle, je la désirais tant. Ma Princesse me demandait conseil pour le choix de ses vêtements, pour le choix de son maquillage. Je savais que tout ceci n'était pas pour moi. Elle me demandait même conseil pour séduire celui vers qui, elle avait jeté son dévolu. Cette personne étant un de mes amis, ma Princesse comptait sur moi pour lui parler de se qui serait susceptible de le faire craquer. Je me rendais compte de la situation, j'avais mal à en crever, mais je ne pouvais pas réagir. J'étais complètement sous le charme de ma Princesse, je lui appartenais. Elle m'avait clairement dit que si je m'opposais à ses relations, je ne la verrais plus du tout !!! Cela, je ne pouvais le supporter. D'ailleurs je me souviens d'une fois où j'étais avec des amis et je n'avais pas obtempéré à ce que ma Princesse avait demandé. En effet, j'avais eu pour consigne de profiter d'une soirée pour dire à un de mes amis que ma Princesse était intéressée par lui, imaginez mon humiliation et le sentiment de cruauté que je ressentais. Je n'avais pas pu faire cela, je n'ai pas respecté l'ordre que m'avait donné ma Princesse. Le lendemain, je n'y pensais même plus mais Elle ne l'avait pas oublié. Au contraire, Elle me demanda de lui rendre toutes ses affaires et me dit que je ne la verrais plus car mon comportement de la veille était inexcusable. J'étais désarmé, j'en étais malade. Je ne supportais pas l'idée de ne plus la voir, pour moi c'était tout simplement inconcevable !!! Ainsi, je l'ai supplié à genoux pendant des heures. Ma Princesse était vraiment extrêmement en colère, Elle a un caractère extrêmement fort et dur. Elle est extrêmement tenace et opiniâtre. Elle était vraiment dans une colère noire, Elle avait pris sa décision de ne plus me voir et cela semblait irréversible. J'ai déjà eu moultes difficultés à la convaincre de monter dans ma chambre au moins pour m'écouter. Finalement Elle a accepté. Nous sommes allés dans ma chambre en début d'après midi. J'avais compris que là, j'étais dos au mur, il fallait que j'agisse avant qu'il ne soit trop tard. Alors ce jour là, j'ai franchi un nouveau cap dans ma soumission, dans mon humiliation. Ma Princesse était assise sur mon lit en socquettes. Je me suis mis à genoux devant Elle. J'en avais déjà l'habitude pour les massages de pieds mais là c'était différent, il fallait que je me rabaisse encore plus, que je m'humilie plus bas que terre, que je me soumette à Ses Pieds.



 Je devais oublier le peu de fierté qui me restait afin de sauver ma relation d'amitié avec Elle. Ainsi, je me suis agenouillé devant ma Princesse, puis j'eu envie d'une vraie prosternation, symbolisant ma soumission totale à Elle : j'ai posé ma tête face contre terre juste à côté de Ses magnifiques Pieds. J'ai supplié, imploré ma Princesse encore et encore. Je La suppliais de ne pas me laisser, de ne pas m'abandonner. Pendant toute l'après midi, j'ai essayé de convaincre ma Princesse que j'avais compris mon erreur et que je ne le ferais plus jamais, et que j'obéirai à l'avenir à toutes Ses exigences, et qu'elles quelles soient. Ma Princesse campait sur ses positions. Je rampais littéralement à Ses Pieds. Je pleurais en gros sanglots, j'étais dans un état pitoyable. J'étais allongé par terre, à plat ventre, la tête posée sur Ses Pieds de ma Princesse que j'embrassais à travers Ses petites socquettes roses. Pendant près de quatre heures, je suis resté comme cela à supplier, j'étais en pleurs, au bord de la crise de nerf, complètement paniqué à l'idée de la perdre . Finalement Elle a accepté de me laisser une seconde chance  mais je n'avais pas intérêt à réitérer de nouvelles fautes, il n'y aurait pas de seconde chance ! Au départ, il est évident que ma Princesse avais pris sa décision de me quitter et Elle n 'avait pas l'habitude de changer d'avis. Je pense que ce qui a fait la différence est l'état dans lequel je me suis mis ce jour là. Ma princesse a compris que la perdre m' était insupportable . Ma Princesse n'a jamais imaginé que je me soumettrais à ce point pour la garder. C'est cela qui a fait la différence. Ma Princesse n'avait jamais vécu une telle situation auparavant. Après ce jour, ma Princesse avait clairement pris le dessus sur moi, j'étais plus que jamais à sa botte !!!! 


L'idée que ma Princesse pouvait « sortir » avec un autre garçon me rendait fou de jalousie. Maintenant que j'y réfléchis bien, je me rends compte que cela a encore augmenté ma soumission. Ma Princesse avait- elle fait exprès de me rendre fou de jalousie pour me soumettre encore plus ? Tout ceci était il calculé ? je ne le sais pas. Une chose est sûre, cela a très bien fonctionné !! J'étais devenu son esclave et ce n'était pas terminé...

Le lendemain, ma Princesse m'avait demandé de lui organiser un rendez vous avec mon ami. Maintenant, je n'avais plus le choix, ma Princesse avait été extrêmement claire avec moi. J'ai donc mis en place une rencontre au soir. Mon ami et ma Princesse ont été boire un verre. J'étais vraiment mal durant tout ce temps. J'étais fou de jalousie, j'avais une boule dans le ventre, j'étais à la fois triste, à la fois en colère, je ne supportais pas la situation. J'avais envie d'aller les rejoindre mais je savais que je ne pouvais absolument rien faire hormis attendre. Ma Princesse me tenait en laisse....



 ....une laisse certes virtuelle, mais j'étais bel et bien maintenu, je ne pouvais rien faire a part subir. Finalement, Elle est rentrée quelques heures plus tard, Elle m'a appelé d'une façon autoritaire : Mon ami avait répondu négativement à Ses avances. Il lui avait dit qu'il ne m'avait jamais vu aussi « accro » à une fille et que par conséquent il ne pouvait pas me faire cela. Ma Princesse était très déçue, elle savait que indirectement, j'étais fautif. Elle ne tarda pas à me le faire payer...

Il y a un autre moment où ma relation avec ma Princesse a basculé, je vais vous raconter. Dans les premières semaines après la rencontre avec Elle, un jour, nous sommes allés dans un magasin de chaussures. Il faisait très beau ce jour là. Elle était vêtue  d'un pantacourt et d'un très joli maillot, elle était sublime. Nous sommes allés dans ce magasin, nous parcourions les différentes allées. Elle a repéré une paire de chaussures qui lui plaisait. Il s'agissait de sandales noires avec un long lacet qui remonte le long de la jambe. Ma princesse s'est assise, Elle a enlevé ses chaussures, ses chaussettes, et pour la première fois, j'ai vu les merveilleux Pieds de ma Princesse.



J'ai littéralement été sous le charme, Ses Pieds étaient sublimes ! Je ne les quittais plus des yeux, je ne savais plus ou j'étais. C'est comme si le monde autour de moi n'existait plus, je n'avais yeux que pour Ses Pieds !!! D'ailleurs ma Princesse s'en est rendu compte, Elle a dû m'interpeller à plusieurs reprises avant que je ne réagisse. Je me rappelle de Ses paroles, de son caractère si affirmé !! Elle me dit : « Qu'est ce que tu fous, t'attends quoi pour me passer les chaussures ? ». Je suis alors sorti de ma léthargie et j'ai sorti les chaussures de leur boite pour Lui donner. Ce jour là, je n'ai pas osé lui passer les chaussures aux pieds moi même. Je l'ai admiré en train d'enfiler ces merveilleuses chaussures. Au fur et à mesure que je la contemplais essayer ces chaussures, mon excitation devenait de plus en plus importante, je sentais une irrésistible érection qui gonflait ma braguette, c'en était gênant. Cette scène est marquée en moi pour la vie, je la revois chaque jour, toute la scène défile devant mes yeux seconde par seconde. Les chaussures paraissaient anodines au départ, mais aux Pieds de ma Princesse elles étaient devenu sublimes, comme transfigurées, totemisées.  Elles devenaient sacrées, objet d'un culte particulier que je Lui vouais. A ce moment là, les merveilleux Pieds de ma Princesse étaient la plus belle chose qui m'était permis de voir. Ma Princesse avait été aussi séduit par les chaussures. Malheureusement, Elle avait renoncé à les acheter car Elle n'en avait pas les moyens. Pour moi, il était hors de question qu'Elle renonce à ces chaussures,  je lui ai donc proposé de Lui offrir. Elle refusa, Elle était un peu gênée. J'ai vraiment insisté, je lui ai dis à quel point cela me faisait plaisir de lui offrir les chaussures. Je tenais absolument à La voir chaussée ainsi. Finalement, ma Princesse a accepté mon cadeau.

Ce jour là fût déterminant pour moi. J'étais déjà amoureux d'Elle depuis le premier jour mais après avoir vu Ses Divins Pieds, je n'avais plus qu'une envie : vivre à Ses Pieds comme un esclave !!

Ma Princesse a t-elle compris ce jour là, le pouvoir que Ses Pieds avaient sur moi ? Je ne sais pas. Notre relation ne faisait que commencer, et d'autres indices auraient pu la mettre sur la piste de mon fétichisme.

 En effet, dans ma chambre, à l'adolescence j'ai rempli mes murs de posters. Jusque là, il n'y a rien d'inhabituel pour un adolescent. Mais toutes ces affiches avait une particularité, une similitude, il s'agissait de photos de femmes pieds nus. Je pense que mes parents n'ont jamais compris. Pour moi, cela me permettait d'alimenter mon fétichisme tout en passant inaperçu, enfin je pense...

Mes tiroirs de chambre était remplis de revues, de programmes TV. Je conservais tous ces magazines car j'avais repéré une photo de femmes où l'on voyait des pieds nus ou chaussés. C'était était ma petite collection secrète.

Si je me souviens bien, j'ai découvert mon fétichisme des pieds en admirant les pieds d'une chanteuse sur une revue. Lorsque j'ai tourné la page de cette revue et que j'ai découvert cette photo, j'ai eu une éjaculation et un orgasme dingue. Par la suite, je revenais toujours vers cette photo, je ne pouvais plus m'en passer. Comme je vous l'ai dis, cette chanteuse était pieds nus et d'un doigt autoritaire, elle semblait dire « A mes pieds, chien ! ».



 En tout cas, c'est l'interprétation que j'en faisais. Cette mystérieuse chanteuse est Lara Fabian.

Lara Fabian est à l'origine de mon fétichisme des pieds féminins. D'ailleurs lorsque je vois cette chanteuse à la TV ou lorsque je regarde de nouveau cette photo, j'ai toujours une certaine excitation.

Cela peut paraître bête mais je remercie Lara Fabian de m'avoir fait découvrir le fétichisme des pieds car avec la rencontre avec ma Princesse, c'est la plus belle chose qui me soit arrivé...

(à suivre..) 

 

paillasson mâle, petit soumis fantasmeur et virtuel de Maîtresse MAEVA

 

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mardi 5 mai 2 05 /05 /Mai 12:04

..... d'un esclave est d'une grande commodité, outre  l'utilisation maximum de ses talents culinaires et domestiques, il est aussi un objet de service modulable, transformable, et adapté à toutes les situations: pouf, guéridon, coussin, descente de bains..... sa place est sous Mes Pieds, et ce qui pourrait sembler une habitude demeure pour lui une situation très excitante, si j'en juge sa bosse! Hier, en fin de journée, il m'a servi de déchausse-Pieds, c'est bien pratique d'en avoir un à Sa disposition, comme Moi...... et en public, c'est très humiliant et cela donne du piment à la relation!














..... et quelle volupté d'essuyer la moiteur de cette fin de journée sur ce visage qui n'est plus tout à fait un visage....... il est "essuie-Pieds", après avoir été "déchausse-Pieds"..... éclectique objet à Mon service..... au service de Mon plaisir, quel qu'il soit.....

Par MAEVA - Publié dans : Esclavage - Communauté : BDSM
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