Jeudi 30 avril 4 30 /04 /Avr 11:39

..... est la seule concession que je fais aux médias médiocres, "je me fais" souvent une soirée télé, un peu de régression à doses homéopathiques, voila qui détend......la télévicon est  certes agrémentée par l'esclave de Pieds, fort affairé pendant tout ce temps ..... essayez avec vos maris, mesdames; et pour pimenter le tout, le faire le soir d'un grand match de foot, et à la place, regarder un péplum, du genre Messaline ou Cléopatre...... après demain, j'ai envie d'une soirée télé!!!



..... et j'en connais un autre qui apprécie ces soirées dans l'intime proximité, même s'il ne voit généralement pas grand chose des émissions, son horizon n'est pas virtuel, ni cathodique.... cet horizon lui rappelle sa condition, et qu'il a librement choisi.....



Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : Soumis & Soumises
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Jeudi 30 avril 4 30 /04 /Avr 10:07

J'ai le plaisir de publier un magnifique texte de notre ami Charles alias "bootshine", ce texte sollicite le double registre du cerveau humain, à la fois l'émotion pure, (car l'histoire est très belle, et les situations intéressantes..), mais il suscite aussi un désir de réflexion, car il pose de bonnes questions sur cette relation duelle un peu particulière entre une femme et un homme, et notamment dans la véritable relation D/s où l'homme accepte de se mettre vraiment à nu, désarmé et vulnérable..... et puis, comment et pourquoi se rencontre t'on? Il n'y a pas de lois à l'alchimie de la vraie rencontre, c'est irrationnel. Je vous souhaite une bonne lecture de ce texte qu'il faudrait savoir savourer comme un excellent cru (du style Pernand Vergelesse 1983...), il faudrait même avoir la particularité des bovidés...... celle de ruminer.....



Je l'avais tout de suite remarquée dans la foule, je croisais  son regard lorsque je quittais  les loges pour revenir dans la salle, le concert ayant pris fin, elle esquissa un sourire, je pensai que c'était plutôt bon signe.

Tout de noir vêtue, elle avait cet air altier qui m'attire irrésistiblement... J'ai toujours eu une espèce de radar pour repérer une fille au caractère dominant; à première vue, elle en était une...

Je lui rendis son sourire, la fixant du regard...
Et comme le hasard fait parfois bien les choses, nous nous trouvâmes à discuter avec une bande d'amis communs.

Je me rapprochais insensiblement d'elle, l'air de rien, puis engageais la conversation, de la manière la plus banale qui soit, avait-elle aimé le concert, quel monde ce soir etc... le genre de propos anodins, tout juste bons à meubler en attendant mieux.

Son sourire était charmant, tout autant que sa conversation, elle devait avoir une dizaine d'années de plus que moi ... en fétichiste averti, je remarquai ses jolies chaussures à talons hauts, ce qui finit de me faire craquer. Je sentais mon cœur battre un peu plus vite et décidais de passer à la vitesse supérieure.



J'ai toujours détesté me retrouver dans le genre de situation où mon "statut d'artiste" serait censé servir d'appât ou d'atout de séduction, dans toutes mes histoires un peu sérieuses, dans un premier temps, mes compagnes ignoraient mon métier, certainement  la crainte de ne pas être aimé, apprécié, pour ce que je suis vraiment, ne pas "fausser le jeu".

Une règle d'or également, ne jamais mélanger mon job avec ma vie privée. Mais là, une fois n'est pas coutume, l'occasion était trop belle ! Puis vu les circonstances, je n'avais pas vraiment le choix.

Elle était attachée de presse, cherchait du boulot dans le secteur, je lui proposais donc de discuter de tout çà un de ces soirs tranquillement en allant manger un morceau, elle accepta avec enthousiasme.

Je décidai de m'éclipser sur cette bonne résolution, car j'étais fatigué et peu à même d'engager une conversation intéressante, de plus, nous étions sans arrêt dérangés par l'une ou l'autre de nos connaissances.

Avant de partir, je lui pris la main pour y déposer un baiser, je savourai vivement ce premier touché, elle aussi eut l'air d'apprécier ce geste auquel elle réagit très naturellement, encore un bon point me dis-je.

Nous nous téléphonâmes dès le lendemain pour fixer rendez-vous.

J'arrivai le premier dans ce restaurant, j'eus le temps de m'installer confortablement en ayant pris soin de choisir une table un peu à l'écart, histoire de tenter de créer une atmosphère un tant soit peu intime entre nous dans ce lieu public, l'endroit était agréable, la lumière légèrement tamisée, les tables pas trop proches les unes des autres.

Lorsqu'elle arriva, je faillis tomber à la renverse, l'attrait éprouvé l'autre soir était bien en dessous de celui que je ressentis à ce moment là, j'en avais le souffle coupé.

Parfois quelque chose arrive, un moment où tout "bascule", sans que l'on sache exactement pourquoi, ni comment.

Mais çà arrive ! On le sait.... on le sent.

Elle portait une paire de gants de cuir noir qu'avant toute chose elle ôta d'un geste élégant pour les déposer sur le bord de la table.

Coquetterie d'un autre temps qui, tout au long du repas, attirait irrésistiblement mon regard, rêverie fétichiste qu'imaginer ses mains recouvertes de cuir glisser sur ma peau nue.

J'essayais de dissimuler ces regards de biais, mais je crois que dès le premier instant, elle sut lire dans mes pensées.

En général, les femmes décodent les émotions, les expressions... un visage... plus vite et mieux que les hommes, elle, tout particulièrement.

La vérité est que par la suite, elle m'apprit à dire les choses, à transformer ce genre de pensée en mots, en phrases.

En cela, elle fit mon éducation.


Nous parlions de tout et rien, l'essentiel n'était cependant pas là, mais à  un autre niveau, plus subtil, fait de regards et d'émotions... du désir qui s'installe... de ses promesses.

Tout à ses propos exquis, la chaleur de sa voix, la profondeur de son regard, j'entendais  ses mots parfois sans les comprendre.

Lorsque j'y repense à présent, j'ai l'impression de contempler une photo de moi-même délavée par le temps, tout en me demandant si c'était vraiment moi.

Son visage à elle me revient en mémoire étrangement flou, à tel point que je me demande si elle a vraiment existé, si tout cela ne fait pas partie d'un rêve.

La lumière tamisée descendait en pente douce du plafond, créait un mur, une ligne de lumière entre nous qu'il me tardait de franchir.

La patience... en cela aussi elle fit mon éducation... d'abord pour la conquérir, ensuite pour la posséder, bien que ce terme ne reflète que peu la réalité des choses... aurais-je plutôt envie de dire.........    
pour qu'elle veuille enfin accepter de me posséder, moi.


Je me souviens les interminables soirées menotté au radiateur de son placard à chaussures, à l'attendre, tandis qu'elle s'amusait au dehors avec des amis.

Au début, dans ces cas là, elle me confiait une liste de tâches à accomplir en son absence... souvent des tâches ménagères, à réaliser selon un rituel précis, comme laver ses dessous à la main, ou cirer ses chaussures agenouillé dans un coin. Mais par la suite, elle préférait me laisser méditer,  selon ses propres termes... ou alors, encore elle rendait cette attente plus inconfortable encore par différents procédés, comme couper le chauffage ou m'obliger à tenir au niveau de mon visage, pendant toute la soirée, l'une de ses paires de bottes.

Parfois, lorsqu'elle rentrait, elle me laissait encore un peu "méditer" seul dans mon coin, parfois encore, elle venait immédiatement m'observer, un sourire aux lèvres, sans prendre la peine d'ôter ne fût-ce que sa veste. C'était pour moi un moment de pur bonheur, je nageais dans le sous-espace, admirant cette adorable créature inaccessible...



Très souvent, elle me donnait la fessée, moi allongé au  travers de ses jambes, le pantalon sur les genoux, précédait l'annonce : "je vais devoir te fesser, prépare-toi!". Je devais alors invariablement répéter le même rituel : déboucler ma ceinture, abaisser mon pantalon sur les chevilles, puis m'agenouiller, les yeux fixant le sol, souvent elle me laissait ainsi quelques minutes, prenant le temps d'enfiler les gants de cuir rouge qu'elle réservait à cet effet, "pour avoir un point de repère sur la couleur de tes fesses" avait-elle dit d'un air ironique.



Je me demandai parfois si elle était sadique... mais bien sûr elle l'était... un jour elle me fouetta jusqu'au sang, l'excitation à son comble.
Au début, elle invoquait quelque raison, motif de punition, même plus par la suite, car seul son plaisir comptait.

Puis vint la chasteté, elle s'était procuré une ceinture qu'elle me faisait  porter, d'abord, lorsqu'elle était absente, pour éviter que je fasse des "bêtises", puis de plus en plus souvent par la suite. Elle me l'avait offert lors d'un repas au restaurant, m'ordonnant d'aller aux toilettes la poser de suite.

Elle avait fait de moi son jouet, elle m'appelait d'ailleurs Ken, en dérision, évoquant la poupée barbie.



Ma créativité, mon ardeur à autre chose qu'à la servir diminuait de jour en jour, non qu'elle me l'impose, mais je me sentais de moins en moins exister à part d'elle.

Un jour elle m'annonça sa décision de mettre fin à notre relation, "autant pour toi que pour moi" me dit-elle, si je sentais confusément quelque raison dans ses propos, je me sentis "basculer" dans le vide...

Je ressentis alors aussi une formidable excitation, quel paradoxe !

Je ne la suppliai pas, j'acceptai sa décision, ayant appris à lui obéir en tous point.



Et même si toujours je restais conscient que c'était là la seule issue à cette relation destructrice, mais oh combien exaltante, je me maudis, sombrais dans tout ce que l'homme peut avoir inventé comme substance pour oublier... pour s'évader...

Je me sentis entouré d'obscurité, une obscurité si profonde que la nature jamais ne la connaît, en aucun lieu, seule l'âme humaine peut l'éprouver, car elle est sans fin.

Plusieurs mois plus tard, lorsque je me sentis "sevré", délivré de toute dépendance, elle revint vers moi," j'ai fait une erreur" avoua-t-elle.

Je n'ai pas voulu reprendre cette relation, jamais, mais devrais-je dire que je n'ai pas pu, toujours maintenant,  il est rare qu'il passe une semaine sans qu'ELLE me téléphone.

Comme j'évoquais le fait qu'elle était seule depuis un moment, elle me dit simplement : "je l'attends"..............................

Comment nous choisissons-nous ? La vérité est que nous nous croisons, nous étreignons, puis nous quittons, allant chacun notre chemin. Loin de démystifier la magie de l'amour, mais sans éluder la question des névroses "complémentaires"... qui ne durent jamais qu'un temps, avec comme seule issue l'ennui, la fuite.... ou la mort...

Que ce ne soit pas faute d'y avoir pensé, je n'y ai décelé aucune règle, aucune loi...

Je pris la résolution de ne plus jamais m'ouvrir autant à une femme de ce côté de ma personnalité, je forçais même un peu dans l'autre sens.

Dire que je n'ai pris aucun plaisir en me coupant de cette partie de moi-même serait mentir, mais toujours il m'a manqué quelque chose... telle une sensation de vide...

Je pense à présent que ce temps est révolu...

Parfois quelque chose arrive, un moment de "bascule", sans que l'on sache exactement pourquoi, ni comment.

Mais çà arrive ! On le sait.... on le sent.

Charles, le 22 avril 2009.

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mercredi 29 avril 3 29 /04 /Avr 11:43

..... cette photo de Mon Pied humide de la salive du chien, ce massage lingual, exécuté plusieurs fois par semaine, est à recommander pour la beauté des Pieds Féminins...... hydratation maximum des couches profondes de l'épiderme, l'esclave doit absorber une cuillerée de miel avant le léchage..... excellent, et très relaxant en fin de journée, après le travail!

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : Soumis & Soumises
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Lundi 27 avril 1 27 /04 /Avr 11:34

Pour relever le niveau, j'ai le plaisir de publier un nouveau texte de "chien gégé". J'espère que vous l'apprécierez à sa valeur, c'est comme toujours très bien écrit, et son talent narratif nous emmène très loin, du côté des limites du SM, un sujet brûlant d'actualité si je ne me trompe.....



La soirée avait été très ordinaire. Le couple, fort aimable au demeurant,  était assez indéfinissable. La dame présentée comme dominatrice mais se révélant effacée et complètement inactive, le monsieur se disant soumis mais plus simplement maso et soucieux de relations sexuelles. Ils avaient invité Maîtresse pour le week-end et, bien sur, j'avais été toléré si je m'en tenais au rôle de chauffeur et de chevalier servant de la Dame. Si Maîtresse s'activait avec le monsieur et paraissait par moments s'amuser des fantaisies qu'il lui proposait, je supputais davantage une attitude de politesse plutôt que de réel entrain. Pour ma part, après avoir effectué le service domestique habituel, je m'ennuyais ferme aux pieds de la Dame totalement absente et atone. Tant et si bien que lorsqu'elle me proposa une cigarette, je l'acceptai. Mal m'en prit. Maîtresse se leva d'un bond, laissant planté là, ahuri, le monsieur assis sur son gode. Elle me saisit par le collier, me jeta à quatre pattes et m'expédia une volée de coups de cravache bien sentis qui ne cessa que quand celle-ci se brisa net. Pour une fois, je fus bien heureux du made in China ! D'un coup de pied aux fesses, Elle m'indiqua le chemin de la chambre.



 Là, Elle m'allongea au pied du lit, les poignets attachés au collier, les chevilles entravées et repartit rejoindre nos hôtes en m'ayant au passage durement et consciencieusement écrasé les couilles sous ses semelles. Avant de franchir la porte, Elle se retourna et me jeta une couverture encore toute pliée.

Je parvins à force de contorsions à la déplier et m'en couvrir sommairement. Je percevais les bruits et les voix provenant du salon où la soirée continuait  sur un registre apparemment un peu plus agité. Seul dans cette chambre, à une heure trop prématurée pour avoir sommeil, je commençais à me lamenter sur ce week-end qui s'annonçait mal et à trouver ridicule cette situation. Finalement, je me mis à rêvasser et à sommeiller. M'étais-je endormi ? La porte s'ouvrit et la lumière gicla. Maîtresse venait se coucher. Seule. Elle commença à se déshabiller mais s'interrompit aux sous-vêtements et, me dardant de son regard sévère, vint me nouer son foulard sur les yeux. Je l'entendis fourrager un moment, de-ci de-là, sortir, revenir, puis se glisser sous la couette. Je commençais à me re-installer pour la nuit quand je sentis ses pieds bousculer la couverture et venir se poser l'un sur ma bouche, l'autre sur mon sexe.


 Enfin, il se passait quelque chose d'intéressant pour moi. Je m'appliquai à lécher avec douceur son pied qui portait les parfums d'une journée d'été tandis que mon sexe gonflait douloureusement dans sa cage aidé par les mouvements de ses orteils autour de mes couilles. Mais rapidement, Elle me retira ce plaisir, son pied gauche rejoignant le droit dans le tourment de mon sexe. Je suis bien sûr qu'Elle adorait ce genre de supplice car, entre mes gémissements, je percevais de petits bruits mouillés très révélateurs. Devinait-Elle la sensation terrible de ce phallus prêt à éclater et qui ne peut s'ériger, la douleur de la compression surpassée par moments par celle d'une peau qui se pince entre un anneau et le fer, qu'une contraction calculée parvient à dégager mais qu'un simple mouvement  de son pied déplace brutalement ? Cette sensation d'impuissance offerte, d'appartenance acceptée, de soumission totale du plus intime de soi ?

Enfin, son souffle se fit régulier et quand ses talons glissèrent de mes cuisses, je pus me pelotonner à nouveau et retrouver le sommeil.

Je me réveillai au matin dans cet équipage. N'ayant rien que je puisse faire, tenu au silence, longtemps j'écoutai le chant d'un merle heureux du soleil qui brillait au dehors. Je trompais ainsi l'oisiveté de ces matinées, lendemains de soirées où les lève-tôt tournent en rond en attendant que veuillent bien émerger les couche- tard. Des bruits de vaisselle percèrent la porte de notre chambre et Maîtresse se réveilla. Elle bougea dans son lit et je sentis sa main qui glissait sur mon ventre et reprenait son supplice favori. Puis, quand Elle me sentit bien en forme, Elle se retourna et vint s'accroupir sur mon visage, sans un mot. Bien sûr, c'était sa toilette intime qu'Elle attendait de ma bouche, toilette nécessaire et que j'accomplis en goûtant pleinement ce plaisir d'esclave.

-         Tu passes à la douche et tu vas aider au petit-déjeuner ! me dit-Elle en me délivrant.

 Nous nous retrouvâmes à trois, Elle portait sa mini de cuir, ses escarpins noirs, un chemisier blanc et s'était soigneusement maquillée en brune fatale, le monsieur et moi dans la nudité des esclaves. Il nous apprit que la Dame avait dû s'absenter pour faire des courses et ne reviendrait pas avant l'après-midi. Le traquenard se confirmait. Mais cela n'eut l'air de gêner en rien Maîtresse. Aussitôt la table desservie, Elle parut pleine de dynamisme et nous convoqua aussi sec au salon. Elle nous fit mettre à genoux devant un fauteuil et renversa le sac à malices sur le tapis. Menottes, pinces, plugs, cravaches, baillons, Elle puisait dans ces jouets comme une enfant impatiente un soir de Noël. Nous eûmes droit à subir tous les essais qu'Elle eut envie de faire Elle m'avait menotté et posé des pinces et s'occupait surtout du monsieur dont la résistance à  la douleur qui était d'évidence supérieure à la mienne la fascinait.



 Après l'avoir tourmenté un bon moment, Elle me fit approcher en me tirant par les pinces, ce qui me fit hurler et déclencha un sourire condescendant sur la face de l'autre. Elle me le fit remarquer d'ailleurs, me traitant de chochotte. Il dut se prosterner, fesses en l'air, et me saisissant fermement au collier, Elle m'approcha encore plus le visage de ces fesses. Puis Elle prit un plug énorme et l'encula lentement en me répétant : « regarde, regarde bien ! » Les coups d'œil qu'Elle me lançait en disaient long sur ses intentions à mon égard. Jamais je ne pourrai supporter un tel objet, excepté les plugs de taille raisonnable qu'Elle m'imposait parfois, mon anus était vierge de toute pénétration. Je commençais à paniquer, me faisait le regard le plus suppliant que je pouvais. Mais Elle avait préparé bien pire !

Quand Elle l'eut bien sodomisé, que le monsieur commençait à s'exciter, Elle le fit lever, face à Elle, lui flatta un peu le sexe qui s'érigea aussitôt et lui ordonna de la baiser là, comme ça. Il ne se fit pas prier. Mais, assez vite, Elle l'interrompit et lui dit :

-        " Tu veux quoi ? Sa bouche ? Son cul ?"

-        " Son cul."

Je sursautai. Sous la surprise, mon cœur fit un bond et mon souffle se bloqua. Sans attendre, Elle m'ordonna de m'agenouiller à l'envers sur le fauteuil et de bien cambrer mes fesses. Comme je n'allais pas assez vite à son goût et craignant peut-être que l'autre ne perdit sa forme olympique, Elle saisit une cravache et activa la manœuvre avec quelques coups bien placés. Je respirais mal, j'étais terrorisé. Maîtresse avait décidé cela de longue date, je le savais mais espérais toujours qu'Elle finirait par y renoncer, laisser tomber. Mais là, Elle montrait qu'Elle était vraiment Maîtresse. Les coups de cravache, les coups de pied pleuvaient sur mon cul, je n'avais pas le temps de tergiverser, forcé d'obéir, de tendre mes fesses. Puis Elle vint se placer derrière le dossier et saisit mes pinces. Elle me maintint ainsi, tirant et tournant les pinces à me faire crier. Le souffle court d'appréhension, mes sens que je voulais tendus vers mon cul ne percevaient plus que le martyre de mes tétons et c'est ainsi que je sentis l'objet s'enfoncer en moi sans trop de douleur.

Quand il se retira, Elle me lâcha et le questionna :

-Ca y est ?

-Bien à fond.

Voilà, c'était fait, une sensation bizarre m'envahit. J'aurais espéré la honte, mais non, au contraire, la fierté. Une fierté discrète, intérieure, mêlée à ce délicieux sentiment d'appartenance totale que recherchent tous les soumis.


(chien gégé, avril 2009)

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Samedi 25 avril 6 25 /04 /Avr 07:53

..... et la tonalité de certains commentaires à la limite vulgaires (même s'ils sont justifiés..), deux photos du Jardin D'Eden, celui de feet-le-chien......


.... comme si c'était vous..... sauf que c'est lui..... et pas du virtuel.......



Je vous souhaite un bon week end, moi qui part travailler.....
Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : BDSM
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Vendredi 24 avril 5 24 /04 /Avr 09:21














...... il y a une photo intrusive..... pour les illettrés, cela signifie qu'il y a des pieds qui ne m'appartiennent pas, et le jeu est de les trouver..... un cadeau à gagner pour la première bonne réponse!
Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA
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Jeudi 23 avril 4 23 /04 /Avr 12:59
.... " alors, bois cette eau bénite, le chien!"

Par MAEVA - Publié dans : Humiliation - Communauté : Soumis & Soumises
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Mercredi 22 avril 3 22 /04 /Avr 19:34

La suite du texte de notre jeune ami "paillasson mâle", allongé sur le divan, il nous livre ses souvenirs, ceux qui ont déterminés sa vie naissante (il est très jeune)..... j'aime bien ce texte, il est dans la continuité des débuts, et toujours dans une tonalité sincère, mais, n'étant pas "ceinture noire de langue française", notre paillasson est lent à écrire, il lui faut du temps pour arriver à quelque chose d'acceptable.... et Maeva, très Mère Théresa, malgré son extrème lassitude et ses doutes, passe du temps à reformuler, affiner, corriger......dont acte, alors, bonne lecture!!!



Fétichisme et soumission masculine (III)

 

Je me rappelle, au début de mon amitié avec ma Princesse, lorsque j'allais chez elle, je lui dérobais régulièrement des chaussettes.

C'était une envie irrésistible. J'avais tellement de désir pour les pieds de ma Princesse. Quand j'étais chez elle, j'apercevais des chaussettes traînant par-ci par-là. Je savais qu'il s'agissait des siennes, je les reconnaissais. Alors je cédais à la tentation sous la puissance de ce désir fou, et je prenais les chaussettes. Je ne vous dis pas la montée d'adrénaline que je ressentais en moi à ce moment là. Si ma Princesse m'avait vu, j'étais foutu. Comment aurai-je pu lui expliquer que ses chaussettes étaient dans ma poche ? Il n'y avait pas d'autres explications possibles que la vérité. Cela revenait à lui avouer mon fétichisme pour les pieds et mon adoration pour les siens. Comment l'aurait elle pris ?

Heureusement je ne me suis jamais fait prendre.

 Je crois même que par moment, j'ai aussi pris par erreur des chaussettes à ma belle mère. Sans le savoir, une relation démarrait avec ma belle mère...

 En effet, ma belle mère portait des chaussettes similaires à celles de ma Princesse.

 Je désirais tellement les pieds de ma Princesse, je dormais avec

les chaussettes de ma Princesse près de mon visage, c'était mon doudou, j'étais en pleine régression. J'avais besoin de sentir l'odeur de ses merveilleux pieds près de mon visage.

Ainsi, toutes les nuits, je m'endormais avec les chaussettes de ma Princesse contre mon nez. Je reconnaissais l'odeur de ma Princesse et cette divine odeur me transportait et me faisait rêver. De plus, lorsque ma Princesse laissait ses chaussures chez moi, je m'allongeais par terre et léchais ses chaussures en imaginant des scénarios, tels que des humiliations publiques, par lesquels je devais nettoyer Ses souliers devant d'autre personnes que je ne connaissais pas.



J'imaginais que ma Princesse m'ordonnait de me mettre  à genoux nu, afin de lécher ses bottes en cuir, c'est d'ailleurs ce que je faisais en cachette. J'ai tellement pris de plaisir à nettoyer les chaussures de ma Princesse avec ma langue.



 Lorsque ma Princesse chaussait de nouveau ses chaussures, elle était loin de s'imaginer que je les avais nettoyé avec ma langue. Enfin je pense, à moins que ma Princesse avait tout compris et le faisait exprès...

(JE CROIS QUE OUI.....MAEVA BELLISSIMA)

Vous devez avoir raison, mais à ce jour, je n'ai pas la réponse, et peut être ne l'aurais-je jamais, Ma Princesse dort depuis longtemps, telle la Belle au bois dormant......

Ma Princesse et moi devenions au fur et à mesure de plus en plus amis et complices. D'ailleurs nous ne pouvions plus nous quitter. Je faisais vraiment tout pour être le meilleur chevalier servant possible pour ma Princesse qui m'en demandait toujours plus.

Nous allions très régulièrement dans les magasins.. Nous allions dans les magasins d'esthétiques. Nous regardions ensemble par exemple les différents vernis à ongles. Ma Princesse me demandait quelle était ma couleur préférée ? Elle me disait «  Quelle couleur de vernis préfère- tu ? Après tout, c'est normal que je te demande ton avis puisque c'est toi qui va le mettre !! »



Ma princesse était très exigeante. Il fallait que le vernis soit posé de manière impeccable. C'est toute une technique que ma Princesse m'avait fait apprendre. D'abord je devais lui retirer le vernis précédent avec le dissolvant puis il fallait mettre un produit sur chaque ongle pour les rendre plus brillant. Enfin je devais placer les écarteurs d'orteils et vernir chaque ongle. J'étais à genoux devant elle, j' étais même allongé. Je voulais être le plus précis possible car si j'avais le malheur de déborder, ma Princesse me violentait.
(OUI, COMMENT ? TU POURRAIS LE RACONTER !!!! )
Je voulais tellement faire bien, j'étais tellement excité !!!

Je me souviens un jour, ma Princesse m'a demandé de me mettre à genoux et après lui  avoir vernis les ongles, elle m'a demandé de souffler sur son vernis pour le faire sécher. Je me sentais tellement humilié mais justement tellement bien dans cette situation. C'est comme pour les massages de pieds, par moment j'aurais voulu rester assis pour masser les pieds de ma Princesse, mais celle -ci a toujours voulu que je me mette à genoux. Je pense que ma Princesse voulait insister sur le fait de m'humilier à genoux à ses pieds, que c'était la posture adéquate.

Je me souviens d'une fois ou nous étions au restaurant, ma Princesse évoquait la fin de soirée, qu'elle avait envie de s'installer dans le fauteuil, ce soir pour regarder la télé. Je lui ai demandé ou j'allais me mettre, ma Princesse m'a répondu : « toi bien évidemment à mes pieds!!! »



J'étais tellement heureux de cette réponse, j'étais tellement bien aux pieds de ma Princesse, ma place est aux pieds d'une femme!!

Il est évident et je suis parfaitement conscient, qu'une femme peut faire de moi son esclave grâce au pouvoir que ses pieds peuvent avoir sur moi. Les pieds des femmes ont une telle attraction sur moi que cela suffit à me rendre vulnérable, enclin à accepter l'esclavage. C'est pour cela que j'utilise l'expression suivante : "Ses merveilleux pieds ont fait de moi un esclave ». Pendant quatre années, ce sont les pieds de ma Princesse qui m'ont amené à l'esclavage, aujourd'hui ce sont les divins pieds de Maîtresse MAEVA qui font de moi son "esclave virtuel", mais sincère, même si je ne suis qu'un petit fantasmeur qui ne parvient pas à vivre en phase avec ma nature profonde, être esclave d'une femme dominatrice. Je promets de changer avant que MAEVA BELLISSIMA se lasse de moi.....



Cette expression d'esclave virtuel, je ne la partage qu'avec vous, bien évidemment.

En fait, avant Maîtresse MAEVA, il y a deux femmes qui m'ont rendu esclave grâce à la beauté de leurs pieds, ma Princesse et ma belle mère.

Au départ, ma Princesse était vraiment très étonnée de voir mon si grand plaisir, mon dévouement à prendre soin de ses pieds. Je la remerciais à chaque fois de me donner l'honneur de m'occuper de ses pieds. Elle ne comprenait pas bien mais appréciait de plus en plus. Bien évidemment, elle ne savait pas qu'il y avait des années que je rêvais de faire cela. Elle n'était pas au courant de tous les fantasmes ou scénarios que j'avais imaginé en voyant les pieds de certaines femmes.

D'ailleurs, avant que je rencontre ma Princesse, les pieds d'une femme ont déterminé ma vie à jamais, on n'échappe pas à son destin, et aujourd'hui, j'ai encore du désir pour les pieds de cette femme. Je vais vous raconter :

« Je me souviens, lorsque j'avais  15 ans, donc bien avant de rencontrer ma Princesse, mon désir pour les pieds de femme était  bien affirmé. J'allais régulièrement chez la coiffeuse, celle-ci était une femme d'une trentaine d'années vraiment magnifique. Elle se chaussait souvent de claquettes où je pouvais voir ses magnifiques pieds vernis. Elle avait un petit tatouage sur le pied,  j'étais en admiration comme captivé par ses pieds.



 Je désirais tellement ses pieds que j'avais envisagé de lui avouer mon secret et de lui demandais de pouvoir les embrasser. J'ai souvent imaginé avouer mon secret pour enfin pouvoir assouvir mon profond désir. Je voyais cette coiffeuse tous les mois pendant des années. C'est avec cette personne que pour la première fois de ma vie, j'ai été le plus proche de tout avouer. En effet, une certaine complicité s'était installée entre nous. Sincèrement ses pieds étaient magiques. Sa peau semblait parfaite, bronzée, ses ongles toujours vernis de manière impeccable et puis ce tatouage sur le pied me rendait « fou ». Pour que vous vous rendiez bien compte de la beauté de ses pieds, je vais faire une comparaison. Sincèrement, les pieds de Maîtresse MAEVA, sont les pieds les plus jolis que j'ai vu de ma vie que se soit en réel ou en photo. Pour moi, les pieds de Maîtresse MAEVA sont parfaits, ceux de la coiffeuse s'en approchaient.



Il y avait une petite réserve dans le salon, je m'étais imaginé qu'après lui avoir tout avoué, nous irions dans la réserve ou je pourrais lui embrasser fougueusement les pieds.

 

J'imaginais même être l'esclave du salon de coiffure. Ainsi je m'occuperais des pieds des clientes pendant la coupe.

C'est d'ailleurs, un fantasme qui me fait toujours vibrer. Etre dans un salon de coiffure et embrasser les pieds de toutes les femmes pendant leurs coupes. Je suis conscient que cela est difficilement réalisable.

Pour en revenir à la coiffeuse, pendant qu'elle me coupait les cheveux, j'ai souvent eu sur le bout de la langue le départ de mes aveux. Mais malheureusement j'ai toujours renoncé aux derniers moments, je n'ai jamais osé.

Ainsi je n'ai fait qu'admirer la splendeur de ses pieds qui ont vraiment marqué mon adolescence. Je ne serais jamais sa réaction si j'avais eu le courage de tout lui dire. »

Je me souviens, au début, lorsque j'étais avec ma Princesse et que nous discutions, j'étais souvent très excité. Je sentais la bosse dans mon pantalon, rien qu'en parlant, je désirais tellement ma Princesse. Je ne vais pas dire que j'avais des éjaculations mais en tout cas très souvent j'avais du liquide qui provenait de mon sexe , celui annonçant que l'on est excité. Moi j'appelle cela, « la rosée du désir ». C'était incroyable, l'effet que ma Princesse pouvait avoir sur moi.

Sa présence, le fait pour moi de la voir, de voir ses pieds nus ou chaussés suffisaient à déclencher « la rosée du désir ».

 D'ailleurs les amis de ma Princesse, s'étaient tous rendu compte du pouvoir que celle-ci avait sur moi.. Ils lui disaient que lorsque je la regardais, j'étais en admiration devant elle, que mon regard rampait sous Ses Pieds, et c'était vrai....

 

(à suivre)

 

 

paillasson mâle, petit soumis fantasmeur et virtuel de Maîtresse MAEVA

PS: Si je signe "petit soumis fantasmeur", c'est parce que je suis conscient de n'être pour l'heure rien d'autre, je n'ai pas le droit de m'auto-proclamer esclave, même virtuel. Je jure d'obéir pour de bon à Maestra, et de rencontrer Mme Saint Ange pour vivre une vraie séance de soumission aux Pieds..... je sais aussi que je recevrai une bonne raclée bien méritée, à la demande de Maestra..... je sais qu'Elles communiquent entre Elles, qu'Elles sont complices, alors j'ai intérêt à obéir, à me soumettre à la Loi des Dominas du Sud-est, moi, petit soumis du Nord....
J'ai déja beaucoup de chances qu'Elles acceptent de s'occuper de moi....


J'en prends acte, soumis, je te laisse tout le mois de mai pour aller au bout de tes obsessions, si tu joues le parjure, adieu et bon vent! Avec les autres, la lie du blog, ceux que j'ai viré (ou qui sont partis tous seuls) parce qu'ils Me decevaient......
Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Samedi 18 avril 6 18 /04 /Avr 09:54

..... afin de récompenser ceux qui le méritent, et qui sont moins nombreux que Mes dix Orteils..... tout en regrettant que les autres en profitent! Un peu de beauté pure et convulsive, pour initialiser ce samedi ensoleillé......

 

























Cette galerie de photos pourrait s'appeler "scènes de la vie quotidienne"...... car tel est Mon quotidien.....et le sien, lorsqu'il est partagé, comme cela va être le cas dans trois petites heures.....

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA
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Vendredi 17 avril 5 17 /04 /Avr 10:36

...... donc, le moment  d'aérer nos jolis Pieds enfermés tout l'hiver......



..... pour le plaisir des esclaves fétichistes, qui servent de repose-Pieds en toutes occasions....... de ce fait, leur horizon étant limité à Nos Pieds, peu importe pour eux l'endroit où nous nous trouvons...... que l'on soit à Djerba, Nanterre, ou Megève, ils sont à leur place, sous Nos Pieds.......
 


..... quitter les bottes de l'hiver pour ces sandales à talons...... des talons impitoyables que les chiens doivent savoir endurer s'ils veulent garder cette place privilégiée......


..... la semelle et le talon léchés, c'est au tour du Pied nu..... tant convoité.....



.... vacances et bain de soleil...... l'esclave, agenouillé sur une règle lèche Mes Pieds avec une telle dévotion que je me suis endormie..... il lèchera ainsi pendant une heure..... malgré la soif et le mal aux genoux, de plus en plus insupportables......




.... j'aime le titiller de Mes Orteils dans les lieux publics, au restaurant, par exemple......




...... l'heure de la sieste........



..... mais cette belle saison présente quelques inconvénients pour le chien, j'adore marcher Pieds nus et il doit les nettoyer plusieurs fois par jour....... de ce fait, il doit prendre des bains de bouche pour l'hygiène..... inconvénients mineurs d'être esclave de Mes Pieds..... j'ai emprunté ces photos je ne sais plus où, elle sont très réalistes.....



 
..... et toi, le soumis virtuel qui vient régulièrement fantasmer ici, c'est à dire chez MOI , et cela, sans laisser trace de ton passage, aimerais-tu nettoyer ainsi Mes Pieds sales, en fin de journée un jour de "cagnard", imagines, j'ai marché une dizaine de kilomètres chaussée de tongs, Mes Pieds sont sales et moites, un banc me fait signe, pour me reposer un moment à l'ombre pendant que tu es agenouillé dans la poussière, léchant la crasse de Mes Pieds, avec la peur au ventre: l'endroit semble désert, mais quelqu'un pourrait surgir et te surprendre ainsi, petit soumis terrorisé par le regard de l'autre...... réponds avec franchise ou ne réponds pas, j'aime les gens sincères, vrais et authentiques!

 

" Lèche!!!"

Par MAEVA - Publié dans : Esclavage - Communauté : BDSM
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