Vendredi 17 avril 5 17 /04 /Avr 08:40
..... de caniche allan..... allongé sur Mon divan, il nous livre des souvenirs d'enfance qui seront des déterminants dans sa vie amoureuse avec les femmes....



Ma vie d'adorateur de pieds féminins a commencé lorsque j'avais environ 12 ans. Je jouais avec mes cousines pendant un été long et chaud. Le perdant avait un « gage » et il (ou elle) devait respecter absolument cette partie du jeu. Ma cousine préférée D. portait des sandales du genre tongs.



 Elle était plus âgée que moi (15 ou 16 ans). A cette époque, je ne me représentais pas du tout ce que pouvait être le fétichisme et l'adoration du pied féminin. A un moment de la journée, D. gagna au jeu contre moi et m'imposa un gage de son choix. Elle exigea que j'embrasse et lèche ses pieds en public. Ses pieds étaient poussiéreux et humides de transpiration. Je tentai d'échapper à cette terrible humiliation, mais les autres cousines firent alliance avec D. et me lièrent pieds et mains en me maintenant sur le sol poussiéreux. D. retira ses sandales et posa la plante d'un pied sur ma figure....


(...)particulièrement sur ma bouche exerçant une forte pression. Son regard était différent exprimant le triomphe. Elle était victorieuse et le montrait bien. Je fus forcé d'obéir, je n'avais pas d'autre choix. Je commençai à lécher lentement la plante de son pied et je cherchai à respirer le peu d'air qui m'était accessible car la pression de son pied ne diminuait que pendant quelques secondes. D. se fichait éperdument de mes difficultés. Elle en riait même avec plaisir. Dans le même temps, je sentis mon sexe devenir plus dur, plus grand. Je ne comprenais pas bien ce qui se passait, j'étais très naïf. Je compris peu après que je venais de vivre ma première véritable érection mêlant plusieurs sensations, plaisir, humiliation, extase...

Je revis souvent ma cousine D. qui avait parfaitement perçu mon trouble lorsqu'elle écrasait ma bouche avec son pied. Chaque fois que nous nous sommes revus, dès que nous étions seuls, elle m'attirait vers sa chambre et m'ordonnait de devenir son serviteur. « Stupide gamin, tu dois obéir, tu ne dois t'adresser à moi qu'en étant à genoux quand je t'en donne la permission ou l'ordre, tu es mon esclave, mon serviteur, ma carpette si je le veux ». Je m'agenouillais immédiatement, la nommais « Maîtresse, Votre Altesse, Votre Majesté », je rampais devant Elle...



 ... et quand elle le décidait, je devais embrasser, lécher ses pieds nus si beaux. Nous eûmes cette relation durant quelques années, mais la vie nous a séparés et elle s'est mariée et expatriée.

(caniche allan, avril 2009)

Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : Soumis & Soumises
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Jeudi 16 avril 4 16 /04 /Avr 10:18

...... un nouveau texte de "caniche allan", il nous dévoilera des bribes de ses souvenirs d'enfance. Ce blog est un immense divan virtuel, je suis derrière vous, et j'écoute...... patientez avec cette photo du quotidien.......
 

.... ou peut être préférez-vous celle-ci? Nous entrons dans l'époque bénie des fétichistes des Pieds Féminins.....elle dure environ cinq mois, où l'objet convoité, habituellement caché, est dévoilé aux regards obsessionnels......

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA
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Dimanche 12 avril 7 12 /04 /Avr 10:15

..... à Son esclave, un bon texte plutôt suggestif du dernier soumis virtuel recruté, j'ai nommé notre ami "caniche allan"...... j'aime bien ce texte, comme quoi la réalité est en phase avec la fiction, sachant que ce qui est décrit dans ce texte est vécu par Mon chien feet..... Bonne lecture, et à la semaine prochaine!



.................................................................................................................................

Lettre de la Déesse à Son esclave

 

En vérité, j'adore lorsque toi, « caniche allan », ma propriété, Mon chien, j'adore quand tu adores Mes Pieds et que tu montres ta dévotion servile en suçant Mes orteils, inlassablement, avec plaisir et volupté, comme une fellation. Je veux te voir prendre mes orteils dans ta bouche lentement. J'aime avoir chaque orteil adoré individuellement et tous les orteils ensemble (les deux pieds en même temps, et si possible l'un sur l'autre ).
Je veux placer mon pied gauche sur ton visage, alors que tu es sur le plancher et que je m'assieds dans un fauteuil ou sur le bord du lit. Je place mon pied droit sur ton sexe d'esclave et je le piétine avec mes orteils. Je piétine aussi tes testicules gonflées de désir, esclave, chien !


Je vais glisser mon pied dans ton cul, placer mon gros orteil à l'entrée de celui-ci.. Je veux que sur mon ordre tu dilates et ouvres ton fondement offert, esclave, ainsi mon orteil pourra s'y loger à l'intérieur. Je fléchirais mon orteil ainsi tu pourras le sentir racler les parois de ton intimité. Je le ferai plusieurs fois, pour le plaisir de te voir gigoter comme un ver, au bout de Mon Pied qui te viole ......tu dois faire un double deuil : celui de ta liberté, celle de ton intimité, tu es un objet qui m'appartient , tu n'as plus de raison propre à toi, tu dois obéir en tout, et je ferai ce que je veux de toi; et si je vis dans le luxe, et toi dans le dénuement complet, dans la poussière, et sous Mes bottes qui te piétinent, tu embrasseras avec passion ces même bottes pour Me remercier du temps que je daigne passer avec toi, larve mâle!



Je t'ordonnerai également de laver mes pieds à l'eau claire et tiède, dans une bassine et ensuite de boire cette eau bénite jusqu'à la dernière goutte et me remercier pour ce cadeau désaltérant, sale chien. Tu ne pourras pas dire que je ne prends pas soin de ta santé!



Je veux que tu restes au pied du lit adorant Mes Pieds quand je me repose. Je veux que tu me réveilles avec tes lèvres et ta langue en embrassant, en léchant et en suçant Mes Pieds ( les plantes, le talon, lentement, tendrement, voluptueusement, et chaque orteil devra être sucé individuellement).
Je m'assiérais dans un confortable fauteuil en regardant la télévision ou en lisant, alors que tu seras à genoux puis prosterné à quatre pattes. Je placerai Mes Pieds sur ton visage, et je les frotterai avec vigueur, surtout lorsqu'ils sont moites, en fin de journée. Je t'utiliserai comme pouf. Tu es ma chose, un objet, un meuble voué à mon confort.


Quand j'arrive à la maison, je veux que tu te mettes à genoux à Mes Pieds, que tu embrasses Mes bas, que tu suces Mes Orteils encore revêtus des bas, que tu prennes Mes Orteils ainsi revêtus dans ta bouche d'esclave. Tu retireras alors mes bas lentement avec tes dents. Tu me les donneras. J'en attacherai un autour de ton cou comme deuxième collier, et enfoncerai l'autre profondément dans ta bouche. Je veux que tu limes les ongles de mes pieds et que tu en avales les résidus, de même que tu dois avaler les peaux mortes de mes Pieds précieux après le gommage.... « Avales ! Ceci est Mon corps ! »
Je veux que tu sois à genoux devant moi avec une bouteille de champagne Mumm rosé et que tu me serves une coupe humblement, les yeux rampant vers tes Maîtres: Mes Pieds. Je plongerai mes orteils dans la coupe (« je veux une coupe, pas une flûte de champagne, capisco, schiavo ? »), puis tu verseras le champagne sur mes orteils jusqu'à ce qu'ils en soient inondés , tu auras le droit de lécher en guise d'apéritif. Auparavant, tu m'auras servi une autre coupe de ce champagne afin que je le déguste en te regardant lécher le velouté humide et capiteux de Mes Pieds. J'espère que tu en seras humilié, sale chien d'esclave.
Je veux que tu fasses ton thé en utilisant Mes bas sales, portés exprès pendant une semaine. Ce sera ton infusion spéciale, encore un cadeau que je te fais, chien!
Rappelle-toi, carpette, tu M'APPARTIENS POUR TOUJOURS ! Ne me déçois jamais, car les sévices que je t'infligerai seraient insupportables, je sais être cruellement impitoyable avec les esclaves désobéissants, et encore plus avec les petits joueurs fantasmeurs .



Écoute bien, caniche allan, Ma propriété, Mon chien, Mon valet, je vais prendre un peu de repos. Tu vas te placer nu au pied du lit auquel je vais t'attacher et tu vas adorer mes Pieds Divins. Je veux que tu lèches lentement et doucement les plantes merveilleuses de mes pieds sales en fin de journée, je n'ai pas pris de douche, je veux qu'ils soient nettoyés de ta langue. Puis le dessus, embrassant chaque parcelle de Mes Pieds, plusieurs fois. Quand je serai reposée, tu lècheras entre mes orteils, cet espace secret, réservé aux initiés, là où la peau est fine et tendre, où se cachent souvent de petits résidus de saleté accumulée, tu lècheras aussi les ongles de mes orteils. Tu prendras dans ta bouche tous les orteils (oui, tous, je l'ordonne chien !), de mon pied gauche, tu avaleras Mon Pied jusqu'à ce que Mes ongles te grattent la gorge, je veux accéder à tous tes orifices, tu ne peux rien me refuser, et violer ton corps est Mon plaisir. Tandis que je pénétrerai ta bouche, je serai assise sur le bord du lit et placerai Mon Pied droit sur ta gorge, puis sur ton sexe, mes orteils écraseront alors tes testicules. Une fois que tu te rendras bien compte que je suis belle et bien ta DÉESSE ÉTERNELLE, UNIQUE, EXCLUSIVE, OMNIPOTENTE, INTRUSIVE, CRUELLE, ABUSIVE ET TOUTE-PUISSANTE, j'enlèverai mes orteils des testicules et je me préparerai à nouveau pour violer ton cul de soumis. Tu devras écarter tes fesses et être bien cambré (« Attention à la cravache ! »). J'introduirai doucement mon gros orteil luisant de ta salive de chien, puis tous ceux que je pourrai afin que tu ressentes bien que tu es à Moi. Une fois à l'intérieur, je fléchirai mes orteils... et cela plusieurs fois. Tu crieras de douleur et de joie en même temps, et tu me remercieras de te posséder ainsi, et tu banderas comme un âne en rut....

A présent, nous allons passer à autre chose ; je t'ordonne de te coucher sur le plancher sur le dos. Je m'assieds au bord du lit et place mon pied gauche sur ton visage... j'y transfère tout mon poids afin de t'écraser le nez, de meurtrir tes lèvres. J'aime t'écraser sous Mes Pieds, sentir cette chair servile palpiter sous Mes charmants orteils.....



.... deux de Mes Orteils (le second et le troisième) enfoncés profondément dans tes narines tandis que Ma plante de Pied couvre complètement ta bouche et que je place Mon Pied droit sur ta gorge contrôlant ainsi ta respiration, afin que tu comprennes que tu ne vis que parce que je le veux bien.
J'ai sur toi le droit de vie et de mort, je suis ta Créatrice et toi tu es Ma créature, tu Me dois tout...... car je t'ai un jour accordé le droit de vivre en conformité avec ta nature profonde d'esclave......

A bientôt, chien !

 

(caniche allan, avril 2009)

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mardi 7 avril 2 07 /04 /Avr 07:43

.....par lequel j'ai conforté Ma Domination sur le chien...... ou disons.... consolidé.....étayé....



..... voila une prosternation réelle, sincère, spontanée, et non frimée. J'adore...... il a été très bien dans ses divers rôles: lèche-bottes, carpette, larbin......nous nous séparons jusqu'à vendredi prochain, il est de plus en plus accro, de plus en plus soumis.....

 

...... j'adore le tenir ainsi pendant des heures, regardant un film sur Arte, téléphonant à des copines, il sait qu'il ne doit pas bouger, il est devenu un objet de confort pour Mes jambes, il endure, il attend.....il n'a pas droit à la parole....


..... la vie quotidienne de l'esclave est faite d'attente, et souvent dans des situations insolites. Pour ne pas s'ennuyer, la relation D/s réclame sa part d'inédit, d'innatendu..... ainsi, ce matin, consigne lui avait été donnée la veille de varier le rituel du réveil: Pas le léchage de Pieds habituel, celui-ci fut différé au petit déjeuner. A huit heures précises, Ma collation matinale préparée (la collazionne!), il devait s'allonger nu au pied de Mon lit, positionner correctement Mes mules à talons, et chanter "la maman des poissons est bien gentille" du délirant Boby Lapointe, et cela sans se tromper..... je l'ai laisser chanter quinze bonnes minutes avant de .....


..... daigner chausser Mes mules transparentes, repousser le chien d'un coup de talon au visage, et prendre Ma place au petit déjeuner, et lui la sienne sous la table, pour Me réchauffer les Pieds en les léchant longuement.....

 
..... l'horizon indépassable de Mon chien...... j'ai adoré ce long léchage de Pieds, il m'a relaxé, puis émoustillé, j'ai eu presque un orgasme, lorsqu'il a sucé Mon gros orteil.....avec passion..... comme si sa vie dépendait de cette action que certains rabat-joies pourraient trouver dégradante...... le chien peut lécher pendant des heures, c'est son nirvana.....

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : Soumis & Soumises
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Lundi 6 avril 1 06 /04 /Avr 06:30
..... Mon nouveau vernis à ongles?



Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA
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Vendredi 3 avril 5 03 /04 /Avr 09:45

..... s'annonce, avec ses promesses de dérèglement de tous les sens, sa gestuelle maso-fétichiste, son théatre D/s, le théatre de la cruauté...... quelques photos avant une pause de quelques jours.....












































Peu à peu, ce blog se transforme en galerie de photos.....je n'ai plus d'inspiration, ou peut être suis je déçue par les comportements consuméristes, alors, ces quelques photos parmi 10000 satisferont la majorité des visiteurs peu intéressés par les textes que j'écrivais avec la collaboration de Mon chien. C'est le nivellement par le bas.....bon week end à ceux qui le méritent!
Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : BDSM
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Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 10:05

J'ai le plaisir de publier la suite de la  monographie de "paillasson mâle" qui nous raconte ses premiers émois fétichistes, et comment peu à peu, il en est arrivé à la soumission...... un texte émouvant, vrai, agréable à lire, et sincère......

Comment un homme découvre et accepte sa vraie nature : La soumission....

 

Je n'ai eu que très peu de petites amies,  j'étais sûrement trop timide. Je n'étais pas quelqu'un de solitaire ou de non sociable. Au contraire, pendant toutes mes années d'études, j'ai toujours eu beaucoup d'amis, nous sortions énormément.

 Nous parlions de filles comme tous les adolescents. Je devais faire semblant d'avoir les mêmes centres d'intérêts que mes amis, par exemple "les seins". Il est vrai que les adolescents parlent beaucoup de cela entre eux. Je ne vais pas dire que je n'ai pas d'attirance pour les seins des femmes, ce serait faux ; mais je dois avouer que mes yeux sont attirés immédiatement par les pieds ou la manière dont est chaussée une femme.


 C'est une pulsion irrésistible, c'est plus fort que moi. Là encore je ne pouvais pas en parler. Le plus dur est de ne pas pouvoir parler librement de ce que l'on ressent. En effet, la société nous a tellement inculqué des « modèles ». Lorsque nous sortons un peu de ces normes dominantes, nous sommes toujours caractérisés de "bizarres", de « tordus », voire de pervers. Ainsi je n'ai parlé à personne de mon désir si profond pour les pieds de femmes. A l'époque, j'ai fini par me demander si je n'avais pas un problème. Je me posais les questions suivantes : « Pourquoi es tu- attiré par les pieds des femmes? » » Pourquoi rêve tu- d'être dominé ? » Je ne comprenais pas et je n'avais personne pour m'aider. Mes amis étaient pour la plupart de "beaux gosses" qui enchaînaient les conquêtes. Ils ont connu leurs premières fois. Comme eux, moi je voulais souvent "sortir" avec telle ou telle fille mais souvent trop timide, je ne faisais rien ou alors la réponse était « non ». Voila pourquoi, je suis arrivé à l'âge de 19 ans en ayant quasiment aucune expérience, que des rêves et des fantasmes. Ce fut une souffrance personnelle importante.

Avec mes amis, nous sortions en boîte de nuit, je les voyais draguer des filles.  Je restais toujours sur le côté. J'ai vécu avec mes amis leurs premières fois.

Ils m'en parlaient et je ressentais de la jalousie, j'étais frustré.  D'ailleurs juste avant ma rencontre avec ma Princesse, j'avais réellement envisagé d' aller voir une professionnelle pour découvrir les plaisirs de l'amour.


Petit emprunt au site strapon Jane.....

.....Mais là encore, mes vrais besoins m'ont toujours rattrapé.  Je me disais « je vais plutôt lui demander si elle acceptera que je lui embrasse les pieds ».Voila, le début de mon histoire, de mon adolescence à mes 19 ans, j'étais en façade un jeune comme tous les autres avec beaucoup d'amis. Je sortais, seul bémol, je n'avais pas de petites amies. Mais en silence, je nourrissais mon irrésistible désir pour les Pieds Féminins si beaux, si apétissants, si émouvants..... et mon  besoin de soumission qui en est la conséquence directe.




 Je réfléchissais aussi à aller voir une dominatrice professionnelle. Tous les sites Internet présentaient des Maîtresses sur Paris, elles étaient beaucoup trop éloignées pour moi.


Hommage à Maîtresse Elsa, Dominatrice professionnelle de haut niveau...... le coût de ses honoraires  exclut les smicarts...

.....J'essayais de rencontrer éventuellement quelqu'un sur les tchats mais mes rencontres ne furent pas concluantes. De plus je savais qu'avec les rencontres virtuelles, il faut être bien prudent. Je me disais toujours : « si je trouve une fille ou une femme qui accepte que je lui embrasse les pieds, après elle connaîtra mon identité et mon secret » et ceci me fait peur toujours à l'heure actuelle. J'ai eu deux ou trois correspondantes Internet, souvent des femmes plus mûres qui n'étaient pas choquées par mon adoration pour les pieds, qui trouvaient cela mignon et qui acceptaient d'en parler un peu par mail.

 Mais je n' en ai jamais vraiment parlé avec quelqu'un.  J'ai toujours eu une attirance pour les femmes mûres car je pense qu'inconsciemment je me dis : " si la femme est plus mûre que l'homme, elle sera naturellement dominatrice et prendra le dessus ». De plus, je me dis « une femme mûre apprécierait peut être plus qu'une femme de mon âge d'avoir un petit jeune à ses pieds. » Cela est évidemment resté de l'ordre du fantasme comme malheureusement énormément de choses. Je me souviens lorsque j'allais chez des amis, plusieurs fois j'ai vu leur mère occupées à mettre du vernis à ongles sur leurs jolis pieds. J'étais sous le charme, je n'avais qu'une envie, me jeter à leurs pieds. Je me souviens aussi que lorsque j'allais à la piscine avec les amis, je regardais les pieds des femmes et je rêvais. Lorsque j'allais à la plage avec mes parents, je voyais énormément de pieds de femmes, je rêvais de pouvoir les embrasser. J'étais tellement excité par la vue de tous ces pieds de femmes autour de moi, je devais me retenir.


Je devais aller dans l'eau pour calmer mon excitation, tout ces pieds de femmes autour de moi me rendaient « fou ».

J'étais frustré, d'une frustration cruelle. Cette situation résume parfaitement  mon adolescence. J'ai toujours eu énormément de fantasmes mais malheureusement je n'ai eu que cela.

A l'âge de 19 ans, je rencontre une fille dont je tombe littéralement amoureux dès le premier jour.

Nous lions peu à peu une amitié de plus en plus solide. Très rapidement, après avoir avoué mes sentiments, ma Princesse me dit que je ne suis pas son genre et qu'elle préfère me garder comme ami. Peu à peu je me rabaisse intérieurement en me disant que je ne suis pas assez bien pour elle. Je me dis en moi-même : «  je vais essayer de la servir du mieux possible, d'être attentionné pour lui rendre la vie le plus agréable possible, ce qui comptera sera son plaisir, le mien doit être de servir. » ou encore : « A défaut de pouvoir être son petit ami, je vais essayer d'être son chevalier servant, d'être un serviteur dévoué. » Ce sont des mots qui sont venus à moi naturellement, d'ailleurs à l'époque,  j'emploie même ces termes dans les lettres d'amour que je lui écris. Je lui dis tout cela, je lui dis que pour moi, elle est vraiment une Princesse et donc qu'elle mérite une vraie vie de Princesse. Il est vrai que mes propos ou mon attitude l'étonnent, car elle n'avait jamais rencontré quelqu'un comme moi. Mais cela ne la choque pas, au contraire, elle apprécie de pouvoir être traitée comme une vraie Princesse et de pouvoir libérer son caractère très fort. Elle commence par me réprimander pour n'importe quelle raison. Elle aime me voir m'écraser devant elle et lui demander systématiquement pardon. Naturellement, j'ai été attiré dès le départ par ma Princesse car je n'avais jamais auparavant rencontré une fille avec un caractère aussi fort.

J'essais alors d'être le  plus attentionné possible avec elle, tout se faisait naturellement. Je me rappelle même qu'elle m'a dit : » J'ai l'impression d'être une Princesse avec toi. » Elle était beaucoup plus expérimentée que moi et n'avait pas l'habitude de ce genre de comportement. Elle avait été habituée au comportement machiste habituel des hommes. Je lui ouvrais la portière de la voiture, portais ses sacs, je me pliais à toutes ses volontés, à tous ses caprices.



Mais ceci n'était pas un calcul de ma part, cela venait naturellement de moi, de ma nature profonde faite de servilité à l'égard des Femmes. Elle était d'un caractère très fort, je ne la contrariais jamais et m'excusais immédiatement pour chacune de mes erreurs. Je me souviens que les premiers mois  furent vraiment  très intenses en soumission. 


En effet, pour ma part, il y avait des années que je rêvais d'être dominé, et pour sa part il y avait des années que son côté dominante était resté frustré.  Lors de notre rencontre, je dirais qu'il y a eu un déclic et quelques détails ont fait que nous nous sommes rapprochés naturellement. Lorsque j'ai adopté cette attitude de servitude, ma Princesse m'a dominé naturellement de plus en plus chaques  jour. Mes premiers devoirs de soumis étaient de porter son sac, de porter tous ses achats que je réglais bien évidemment.

Je lui  ouvrais la portière, l'aidais à mettre son manteau, rangeais ses affaires, faisais ses devoirs et surtout j'acceptais de me faire réprimander régulièrement. D'ailleurs, elle était parfaitement consciente de tout ceci puisque je me rappelle d'un jour où elle m'a dit : " Tu as vu comme je t'ai maté!!!". Je ne pouvais que confirmer. De toute manière, tout le monde s'était rendu compte qu'elle me dirigeait à sa convenance. Ma famille a souvent tenté de me raisonner mais en vain, je la désirais tellement, c'était elle et aucune autre, je lui appartenais. Sa famille aussi s'était rendu compte de la situation, son père essayait bien de lui dire de ne pas abuser mais sans aucun changement de sa part, fort heureusement pour nous deux.... Sa mère, par contre, était  naturellement une Femme dominante, elle ne disait rien et appréciait en silence que sa fille ait enfin compris comment il faut "dresser" (je reprends la ses propres termes) un homme. 

Aujourd'hui avec le recul, je comprends que lorsque j'ai rencontré ma Princesse, je l'ai élevé au rang de Déesse dans mon inconscient, ainsi je me considérais comme son chevalier servant.

Et c'est tout naturellement que je me suis soumis à tous ses désirs et maintenant que j'y réfléchis, plus j'étais soumis et plus elle devenait dominatrice.

Bien évidemment, de mon adolescence à cette rencontre déterminante, je ne rêvais que d' une seule chose : être aux pieds d'une femme. Avant ma rencontre avec ma Princesse, je n'avais eu que très peu d'aventures, j'étais donc toujours « puceau » lorsque j'ai rencontré ma Princesse.
(à suivre)



Prochainement, si Maîtresse MAEVA, me l'accorde, je vous raconterai comment ma Princesse a utilisé une frustration sexuelle extrêmement stricte afin de me faire ramper à ses pieds...

paillasson mâle, esclave virtuel de MAEVA DOMINA (avril 2009)


 


C'est accordé, "paillasson mâle", nous attendons tous la suite de cette passionnante histoire de vie......
Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mardi 31 mars 2 31 /03 /Mars 11:59
...... pour la jeune recrue méritante et passionnée...... j'ai nommé "paillasson mâle"....... un soumis prometteur car sincère......

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : Soumis & Soumises
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Lundi 30 mars 1 30 /03 /Mars 10:49

L'ambiance est glauque et noire dans ce dernier texte de notre ami "chien gégé". Avec son talent habituel, il nous emmène du côté des "limites" de la relation MAITRESSE/esclave. J'espère qu'il sera apprécié à sa juste valeur, ou alors c'est à désespérer de tout... ... Bonne lecture, bonne semaine à tous!



OBSCURITE



Obscurité, un carré de jour pâle qui s'est peu à peu éteint. Il doit être près de 21heures, maintenant. Et l'attente. Dehors, quelqu'un agite des clés, grincement de portes, le voisin rentre sa voiture. Animation de trois minutes. La pénombre s'est établie, je perçois mieux l'odeur douceâtre de moisi qui emplit cette cave. Une odeur indéfinissable de vieux cartons, de terre humide, et, en y prêtant attention, d'urine. Forcément, ce n'est pas la première fois que je me retrouve enfermé ici et j'ai dû, déjà, m'y soulager. Elle m'a amené ici vers huit heures, après que je l'aie aidée à se préparer. Dim-up, jupette, décolleté de chasse et peintures de guerre, je n'en pouvais plus de la désirer.

  • - "Alors, esclave, tu bandes?" et elle tapotait cruellement ma cage.

Pour descendre les escaliers communs, elle m'accorda de passer un pantalon et un t-shirt que je dus retirer à nouveau une fois dans la cave. Les chaînes et les cadenas étaient restés en place depuis mon dernier séjour forcé ici. Depuis qu'elle avait un amant initié ni à la gynarchie ni aux jeux pervers elle préférait, disait-elle, m'enfermer pour le cas où il lui prendrait l'envie de le ramener à la maison. Ma prétention à lui représenter que je pourrais aussi bien me tenir tranquille dans la chambre du fond avait fait long feu.

Fort heureusement, le voyait-elle assez rarement et je supputais que leur liaison ne durerait que ce que durent les roses.

En attendant, je me retrouvais une fois de plus enchaîné nu dans le noir, mal assis sur la terre battue. Evidemment, elle s'était arrangée pour que je ne puisse pas m'allonger. Si j'étirais une jambe, l'autre se retrouvait tirée en arrière, si je m'appuyais sur le coude droit, le coude gauche se tordait douloureusement. Et ce plug, qu'elle m'avait férocement enfoncé dans l'anus, s'il n'était généralement pas douloureux, était toujours gênant et m'empêchait de garder tranquillement les rares positions pas trop inconfortables qu'à force d'efforts j'arrivais à trouver.

Quand, par chance dans mes gigotages, le souci de soulager mes misérables membres se trouve provisoirement oublié, mes pensées alors reviennent vers elle, elle et l'autre.

Maintenant il fait bien nuit, 22 heures ? Sont-ils toujours au restaurant, jouant ce jeu merveilleux de la séduction ? Sont-ils allés faire un tour sur la Prom', promeneurs parmi les autres, elle, cible de tous les regards. Lui prend-il la main ? Non, pas ça, pas sa main ! L'embrasse-t-il sur ses lèvres ? Mon cœur s'affole, des fourmis s'agitent dans mon estomac. Et pourtant je sais bien que tout à l'heure ils seront ensemble dans un lit. Pour accepter,  il ne me reste que la certitude d'être ici à ma place, celle qu'elle a décidé d'assigner à son esclave. Son esclave. Là est ma consolation : lui appartenir, obéir, servir, subir. Pour que j'aie le privilège dissimulé d'être le véritable créancier de son plaisir.


Photo empruntée au blog "la carpette" (voir Mes liens)


..... Mes pensées errent, de ci de là, revenant toujours vers elle, eux, mon imagination s'appliquant à me faire souffrir dans une sorte d'auto-sadisme incontrôlable. Une porte claque la haut, bruit de pas, la lumière sous la porte : la voilà ! Mais non, les pas s'arrêtent. On manœuvre une autre serrure, espoir déçu. A nouveau le noir. Les bruits étouffés des voitures sur le parking se font de plus en plus rares. On entend moins souvent l'eau circuler dans les canalisations qui alimentent l'immeuble et qui,  tout à l'heure, apportaient un peu d'animation. Attendre. Je m'essaie à quelque exercice de méditation, vite contrariée par quelque courbature. Alors il faut bouger, déplacer un peu un genou, une main. Et repenser à elle. Attendre. J'ai fini par pisser sous moi, je n'en pouvais plus. C'était un peu chaud quand ça a coulé sous mon mollet, maintenant la terre imbibée est froide à mes cuisses. Attendre.


J'ai dû m'assoupir, à-demi, un bruit m'a réveillé. Des talons qui claquent, la lumière, la serrure qui craque. Elle est là, enfin, resplendissante. Ma récompense : sa beauté, son bonheur. Elle a déverrouillé les deux cadenas. Je n'ai pas demandé l'autorisation, tant pis si je suis puni, je me suis précipité à ses pieds pour les baiser.


"chien gégé" (mars 2009)
Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Vendredi 27 mars 5 27 /03 /Mars 10:26
...... et bon week end!

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA
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  • : MAEVA DOMINA et ses esclaves
  • MAEVA DOMINA et ses esclaves
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  • : Blog consacré à la gynarchie, à la relation réelle Maîtresse/esclave, et- au fétichisme sincère et absolu du Pied Féminin...promotion des talents littéraires et picturaux, humour, obsessions diverses.... Contact:maevaslave-mail@yahoo.fr
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