J'ai le plaisir de publier la suite de la monographie de "paillasson mâle" qui nous raconte ses premiers émois
fétichistes, et comment peu à peu, il en est arrivé à la soumission...... un texte émouvant, vrai, agréable à lire, et sincère......
Comment un homme découvre et accepte sa vraie nature : La soumission....
Je n'ai eu que très peu de petites amies, j'étais sûrement trop timide. Je n'étais pas quelqu'un de solitaire ou de non sociable. Au contraire,
pendant toutes mes années d'études, j'ai toujours eu beaucoup d'amis, nous sortions énormément.
Nous parlions de filles comme tous les adolescents. Je devais faire semblant d'avoir les mêmes centres d'intérêts que mes amis, par exemple "les
seins". Il est vrai que les adolescents parlent beaucoup de cela entre eux. Je ne vais pas dire que je n'ai pas d'attirance pour les seins des femmes, ce serait faux ; mais je dois avouer
que mes yeux sont attirés immédiatement par les pieds ou la manière dont est chaussée une femme.
C'est une pulsion irrésistible, c'est plus fort que moi. Là encore je ne pouvais pas en parler. Le plus dur est de ne pas pouvoir parler librement de ce que l'on ressent. En effet, la
société nous a tellement inculqué des « modèles ». Lorsque nous sortons un peu de ces normes dominantes, nous sommes toujours caractérisés de "bizarres", de « tordus », voire
de pervers. Ainsi je n'ai parlé à personne de mon désir si profond pour les pieds de femmes. A l'époque, j'ai fini par me demander si je n'avais pas un problème. Je me posais les questions
suivantes : « Pourquoi es tu- attiré par les pieds des femmes? » » Pourquoi rêve tu- d'être dominé ? » Je ne comprenais pas et je n'avais personne pour m'aider. Mes amis
étaient pour la plupart de "beaux gosses" qui enchaînaient les conquêtes. Ils ont connu leurs premières fois. Comme eux, moi je voulais souvent "sortir" avec telle ou telle fille mais souvent
trop timide, je ne faisais rien ou alors la réponse était « non ». Voila pourquoi, je suis arrivé à l'âge de 19 ans en ayant quasiment aucune expérience, que des rêves et des fantasmes.
Ce fut une souffrance personnelle importante.
Avec mes amis, nous sortions en boîte de nuit, je les voyais draguer des filles. Je restais toujours sur le côté. J'ai vécu avec mes
amis leurs premières fois.
Ils m'en parlaient et je ressentais de la jalousie, j'étais frustré. D'ailleurs juste avant ma rencontre avec ma Princesse, j'avais
réellement envisagé d' aller voir une professionnelle pour découvrir les plaisirs de l'amour.
Petit emprunt au site strapon Jane.....
.....Mais là encore, mes vrais besoins m'ont toujours rattrapé. Je me disais « je vais plutôt lui demander si elle acceptera que je lui embrasse les pieds ».Voila, le début de mon
histoire, de mon adolescence à mes 19 ans, j'étais en façade un jeune comme tous les autres avec beaucoup d'amis. Je sortais, seul bémol, je n'avais pas de petites amies. Mais en silence, je
nourrissais mon irrésistible désir pour les Pieds Féminins si beaux, si apétissants, si émouvants..... et mon besoin de soumission qui en est la conséquence
directe.
Je réfléchissais aussi à aller voir une dominatrice professionnelle. Tous les sites Internet présentaient des Maîtresses sur Paris, elles étaient beaucoup trop éloignées pour moi.
Hommage à Maîtresse Elsa, Dominatrice
professionnelle de haut niveau...... le coût de ses honoraires exclut les smicarts...
.....J'essayais de rencontrer éventuellement quelqu'un sur les tchats mais mes rencontres ne furent pas concluantes. De plus je savais qu'avec les rencontres virtuelles, il faut être bien
prudent. Je me disais toujours : « si je trouve une fille ou une femme qui accepte que je lui embrasse les pieds, après elle connaîtra mon identité et mon secret » et ceci me fait
peur toujours à l'heure actuelle. J'ai eu deux ou trois correspondantes Internet, souvent des femmes plus mûres qui n'étaient pas choquées par mon adoration pour les pieds, qui trouvaient cela
mignon et qui acceptaient d'en parler un peu par mail.
Mais je n' en ai jamais vraiment parlé avec quelqu'un. J'ai toujours eu une attirance pour les femmes mûres car je pense qu'inconsciemment
je me dis : " si la femme est plus mûre que l'homme, elle sera naturellement dominatrice et prendra le dessus ». De plus, je me dis « une femme mûre apprécierait peut être
plus qu'une femme de mon âge d'avoir un petit jeune à ses pieds. » Cela est évidemment resté de l'ordre du fantasme comme malheureusement énormément de choses. Je me souviens lorsque
j'allais chez des amis, plusieurs fois j'ai vu leur mère occupées à mettre du vernis à ongles sur leurs jolis pieds. J'étais sous le charme, je n'avais qu'une envie, me jeter à leurs pieds. Je me
souviens aussi que lorsque j'allais à la piscine avec les amis, je regardais les pieds des femmes et je rêvais. Lorsque j'allais à la plage avec mes parents, je voyais énormément de pieds de
femmes, je rêvais de pouvoir les embrasser. J'étais tellement excité par la vue de tous ces pieds de femmes autour de moi, je devais me retenir.
Je devais aller dans l'eau pour calmer mon excitation, tout ces pieds de femmes autour de moi me rendaient « fou ».
J'étais frustré, d'une frustration cruelle. Cette situation résume parfaitement mon adolescence. J'ai toujours eu énormément de fantasmes mais
malheureusement je n'ai eu que cela.
A l'âge de 19 ans, je rencontre une fille dont je tombe littéralement amoureux dès le premier jour.
Nous lions peu à peu une amitié de plus en plus solide. Très rapidement, après avoir avoué mes sentiments, ma Princesse me dit que je ne suis pas son
genre et qu'elle préfère me garder comme ami. Peu à peu je me rabaisse intérieurement en me disant que je ne suis pas assez bien pour elle. Je me dis en moi-même : « je vais essayer de
la servir du mieux possible, d'être attentionné pour lui rendre la vie le plus agréable possible, ce qui comptera sera son plaisir, le mien doit être de servir. » ou encore : « A
défaut de pouvoir être son petit ami, je vais essayer d'être son chevalier servant, d'être un serviteur dévoué. » Ce sont des mots qui sont venus à moi naturellement, d'ailleurs à
l'époque, j'emploie même ces termes dans les lettres d'amour que je lui écris. Je lui dis tout cela, je lui dis que pour moi, elle est vraiment une Princesse et donc qu'elle mérite une
vraie vie de Princesse. Il est vrai que mes propos ou mon attitude l'étonnent, car elle n'avait jamais rencontré quelqu'un comme moi. Mais cela ne la choque pas, au contraire, elle apprécie
de pouvoir être traitée comme une vraie Princesse et de pouvoir libérer son caractère très fort. Elle commence par me réprimander pour n'importe quelle raison. Elle aime me voir m'écraser devant
elle et lui demander systématiquement pardon. Naturellement, j'ai été attiré dès le départ par ma Princesse car je n'avais jamais auparavant rencontré une fille avec un caractère aussi
fort.
J'essais alors d'être le plus attentionné possible avec elle, tout se faisait naturellement. Je me rappelle même qu'elle m'a dit : »
J'ai l'impression d'être une Princesse avec toi. » Elle était beaucoup plus expérimentée que moi et n'avait pas l'habitude de ce genre de comportement. Elle avait été habituée au
comportement machiste habituel des hommes. Je lui ouvrais la portière de la voiture, portais ses sacs, je me pliais à toutes ses volontés, à tous ses caprices.
Mais ceci n'était pas un calcul de ma part, cela venait naturellement de moi, de ma nature profonde faite de servilité à l'égard des Femmes. Elle était d'un caractère très fort, je ne la
contrariais jamais et m'excusais immédiatement pour chacune de mes erreurs. Je me souviens que les premiers mois furent vraiment très intenses en soumission.
En effet, pour ma part, il y avait des années que je rêvais d'être dominé, et pour sa part il y avait des années que son côté dominante était resté frustré. Lors de notre rencontre, je
dirais qu'il y a eu un déclic et quelques détails ont fait que nous nous sommes rapprochés naturellement. Lorsque j'ai adopté cette attitude de servitude, ma Princesse m'a dominé naturellement de
plus en plus chaques jour. Mes premiers devoirs de soumis étaient de porter son sac, de porter tous ses achats que je réglais bien évidemment.
Je lui ouvrais la portière, l'aidais à mettre son manteau, rangeais ses affaires, faisais ses devoirs et surtout j'acceptais de me faire
réprimander régulièrement. D'ailleurs, elle était parfaitement consciente de tout ceci puisque je me rappelle d'un jour où elle m'a dit : " Tu as vu comme je t'ai maté!!!". Je ne pouvais que
confirmer. De toute manière, tout le monde s'était rendu compte qu'elle me dirigeait à sa convenance. Ma famille a souvent tenté de me raisonner mais en vain, je la désirais tellement, c'était
elle et aucune autre, je lui appartenais. Sa famille aussi s'était rendu compte de la situation, son père essayait bien de lui dire de ne pas abuser mais sans aucun changement de sa part, fort
heureusement pour nous deux.... Sa mère, par contre, était naturellement une Femme dominante, elle ne disait rien et appréciait en silence que sa fille ait enfin compris comment il faut
"dresser" (je reprends la ses propres termes) un homme.
Aujourd'hui avec le recul, je comprends que lorsque j'ai rencontré ma Princesse, je l'ai élevé au rang de Déesse dans mon inconscient, ainsi je me
considérais comme son chevalier servant.
Et c'est tout naturellement que je me suis soumis à tous ses désirs et maintenant que j'y réfléchis, plus j'étais soumis et plus elle devenait
dominatrice.
Bien évidemment, de mon adolescence à cette rencontre déterminante, je ne rêvais que d' une seule chose : être aux pieds d'une femme. Avant ma
rencontre avec ma Princesse, je n'avais eu que très peu d'aventures, j'étais donc toujours « puceau » lorsque j'ai rencontré ma Princesse.
(à suivre)
Prochainement, si Maîtresse MAEVA, me l'accorde, je vous raconterai comment ma Princesse a utilisé une frustration sexuelle extrêmement stricte afin de me faire ramper à ses
pieds...
paillasson mâle, esclave virtuel de MAEVA DOMINA (avril 2009)
C'est accordé, "paillasson mâle", nous attendons tous la suite de cette passionnante histoire de vie......
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