Jeudi 19 février 4 19 /02 /Fév 17:30

Je ne suis en aucune manière responsable de la publicité intempestive d'Easyflirt sur chacune des pages.....cela m'est imposé......

Par MAEVA - Publié dans : Information importante - Communauté : BDSM
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Jeudi 19 février 4 19 /02 /Fév 16:05

Bien que vous ne le méritiez pas , voici la suite de cette longue et passionnante histoire vécue par Charles, alias "bootshine"......merci à lui, pour ce talent narratif et ce haut pouvoir de suggestion: feet Mon chien adore.........de ce fait, Charles m'aura aidé à ce que le chien participe un peu plus à Mon enthousiasme, par rapport à ce projet de séjour en Tchéquie.....il commence à se faire à l'idée, me presse de questions......qui vivra verra!

Je me demandais de quoi elle parlait, mais je crus me rappeler qu'à l'entrée du "long hall" trônait une espèce de grande caisse, peinte en noir. Et comme j'étais à nouveau perdu dans mes pensées, le bruit d'une cravache accompagné de la voix de Madame Christine me ramena à la réalité.

Elle devait être en train de superviser le travail de slave... on entendit encore quelques bruits sourds (je pense qu'il devait se prendre quelques coups de bottes), puis la cravache à nouveau.
C'est à ce moment que Katia s'approchât, du bout des lèvres, elle m'embrassa, c'était le premier vrai moment d'intimité que nous partagions depuis son arrivée, son baiser se fît plus insistant, dans le même temps, du bout des doigts, elle caressait à présent mon sexe érigé...
Elle roula de côté et s'empala sur moi.
Le buste relevé, elle bougeait lentement, s'appuyant des deux mains sur mon torse, de temps à autre, sa chevelure me caressait le visage, à d'autre elle rejetait la tête en arrière dans un gémissement étouffé.
D'une main, je saisis sa hanche pour ralentir encore ses mouvements, car j'étais au bord... de l'autre, je caressais sa poitrine, attirais à moi sa bouche un instant jusqu'à ce qu'elle se délivre dans un cri de fureur, au moment où je sentis sa jouissance arriver, je libérai la mienne... d'un spasme commun, nos deux corps tendus vibrèrent à l'unisson.
Comme je me détendais un peu et sentais la tension qui habitait mon corps me quitter, je me posais la question de savoir si slave se trouvait toujours derrière la porte, et comme si j'avais formulé cette question, sans que je n'ai besoin d'ouvrir la bouche, elle me répondit : "slave doit attendre mes ordres, à genoux derrière la porte"

La situation, quoiqu'un peu gènante, je dois l'avouer amenait un certain piquant à notre étreinte... toujours cette sensation d'excitation mèlée de gène.
"Moi, ça m'électrise complètement !" me dit-elle.
Je voyais briller ses yeux de cette même lueur et je compris enfin, ce que j'avais entrevu plus tôt, sans pouvoir me l'expliquer, c'était une certaine cruauté que jusqu'alors, je ne lui connaissais pas.
Elle me fixa à nouveau, puis descendit la tête, fit passer délicatement sa langue sur mes lèvres, tout en se faisant, elle remuait légèrement le bassin, ce qui eut pour effet immédiat de raviver la flamme, de durcir à nouveau mon sexe toujours emprisonné dans le sien.
Mais cette fois, j'avais envie de la posséder, plus encore, de mener la danse et d'imposer mon rythme, sans relâcher mon étreinte, je basculai de côté pour m'asseoir au bord du lit, ce qui l'obligeât à entre ouvrir les jambes du plus qu'elle le pouvait, d'autant que d'une main, posée sur ses fesses, je l'attirais à moi.
Elle étouffa un cri, j'avais moi aussi, l'impression de pénétrer en elle plus que je ne l'avais jamais fait, j'imposais alors mon rythme, lent et régulier tandis qu'elle m'embrassait goulûment.
Je cassais le rythme de temps à autre, m'arrêtait un instant, elle gémissait : "non pas maintenant"
Je continuais encore et encore, stoppant net à chaque fois que je la sentais proche de l'orgasme.
Je ne saurais dire combien de temps durât ce manège car nous étions hors du temps...
Je finis par me lever et, sans la lâcher je me dirigeais vers la porte pour la "coincer" contre celle-ci, mon rythme s'accéléra, je la tenais par dessous les jambes et mes coups de boutoir l'écrasaient sur la porte, tandis qu'elle s'accrochait à moi par le cou, les épaules.
Nous jouîmes à nouveau, elle hurla, me labourant le dos de ses ongles...
Nous restâmes sans rien dire, essoufflés l'un contre l'autre, l'un dans l'autre, la respiration haletante.
Elle m'embrassa longuement... nous étions trempés de sueur... il me semblait ne plus pouvoir bouger...
Après un moment dans cette position, je tombai littéralement à la renverse, elle me suivit aussitôt et se coucha sur le sol, à côté de moi, on entendait plus rien que nos respirations, nos yeux fixant le plafond...fondu au noir...
Nous sortîmes de notre torpeur un peu plus tard, car on frappait à la porte : "le service d'étage" me dit-elle, "ils amènent le petit déjeuner."
Peu désireux de me faire servir au lit par un larbin à moitié nu, je me dirigeai vers la salle d'eau pour m'y faire couler un bain.
Katia le comprit sans que j'aie à m'expliquer le moins du monde .
Lorsque j'entrai dans la chambre après avoir pris mon bain, elle se dirigea à son tour vers la salle d'eau en me disant "si tu veux, je t'ai laissé à manger", cela me fit penser qu'il y avait quelques heures que je n'avais plus rien avalé, je mourrais de faim.
Il y avait là un plateau bien garni, je saisis un croissant et remarquai que du sucre avait été renversé sur le plateau, Katia y avait dessiné un cœur... c'est vraiment le genre d'attention que j'apprécie plus que tout, j'engouffrai tout ce qu'il restait du petit déjeuner sans me faire prier, me versais trois ou quatre tasses de café noir et pour tout dire, je me sentais dans une forme éblouissante.
Katia revêtit une "tenue de ville", jeans et chaussures de sport, avec son sens pratique, elle avait dû penser, à raison, qu'il serait plus facile de se promener comme çà à l'extérieur.
Lorsqu'elle me regarda, elle afficha un grand sourire, car j'avais fait la même chose qu'elle.
Elle s'approcha de moi, fouilla son sac et en sortit un pot de gel dont elle prit une noisette du bout des doigts pour me la passer dans les cheveux, puis une paire de ray-ban qu'elle me posa sur le nez : "tu as plus de gueule comme çà," me dit-elle avec un sourire, et elle ajouta : "puis ainsi, tu pourras regarder à droite et à gauche discrètement".
Le voyeur que je suis pensa que c'était bien vu :-) je n'avais rien à ajouter !
Nous rejoignîmes Irina qui nous attendait à la boutique, grand espace, remplis de toutes sortes d'accessoires, vêtements, livres destinés à faire le bonheur de gens comme nous, dalles blanches au sol, larges fauteuils de cuir, dans l'un de ceux-ci trônait Irina.
Elle, n'avait pas opté pour une tenue "sport", c'est le moins qu'on puisse dire, un trait écarlate de rouge à lèvres lui "barrait" le visage, elle portait une veste d'astrakan, assortit d'une toque de la même matière et des gants de cuir noir.
Sous les pans de la veste disparaissaient des cuissardes aux talons démesurés, assez particulières puisque celles-ci étaient serties de ce qui ressemblait à de petits diamants, sur le côté de la botte ces diamants se rejoignaient pour former les lettres "Irina Fashion", un modèle sur mesure, sans aucun doute et qui devait valoir une fortune.
J'allais avoir réponse à toutes les questions que je me posais à ce sujet un peu plus tard, car à vrai dire, j'étais encore loin de la vérité. Elle se leva pour accueillir chaleureusement Katia, et comme je ne savais trop que faire, celle-ci me désigna les bottes de son amie, je compris immédiatement et m'agenouillais pour y déposer un baiser qu'Irina accepta en véritable dominatrice

c'est  dire de la manière la plus naturelle du monde et sans trop me prêter attention.
Je remarquai Viktor, agenouillé dans un coin, il fixait le sol des yeux, complètement immobile, nu, il était simplement accoutré d'un dispositif métallique qui lui recouvrait le sexe, je ne compris que plus tard qu'il s'agissait d'une ceinture de chasteté qui ne le quittait pour ainsi dire jamais ! En divers endroits du corps, il portait des traces en forme de cœur, ainsi que slave, comme je pourrais le constater plus tard, c'était le motif de l'hilarité des deux complices hier soir dans la chambre qui avaient battus leurs esclaves à l'aide d'un "paddle" de bois dans le quel était sculpté un trou en forme de cœur.
Sur un banc étaient disposés ce qu'à OWK, ils appellent "punishment aids", les aides à la punition, pas mal trouvé comme terme finalement !
Cravache, chat à neuf queues, canne anglaise, fouet... à faire frémir le plus endurci des masochistes.

Après qu'elles eurent échangé quelques mots, Irina ordonna à Viktor de se mettre en place sur un chevalet disposé à côté du banc.
Et comme je le compris fort justement, il allait servir de cobaye pour tester les divers instruments de torture installés là.
Je m'aperçus avoir commis une erreur de jugement concernant l'âge d'Irina, à bien y regarder, je me dis qu'il devait être très proche de celui de Katia.
Elles entreprirent l'une et l'autre de tester les divers instruments sur les fesses du pauvre Viktor, après qu'Irina lui eut enfoncé dans la bouche un bâillon constitué d'une balle de caoutchouc reliée à deux lanières de cuir qui s'attachaient sur la nuque.

Je fus, pour ma part, chargé de passer à l'une et à l'autre l'instrument qu'elle désiraient tester en le montrant du doigt, sans me jeter un regard, puis de le remettre à sa place, sitôt qu'elles en avait fini.
Irina ne ménageait pas ses coups, de temps à autre, elle glissait littéralement sur le sol, tant elle appuyait le mouvement du poids de son corps. Viktor était pris de soubresauts mais acceptait stoïquement la situation.

 Elles choisirent d'emporter l'une et l'autre les outils de flagellation qui leur plaisaient en ayant soin d'y inclure la fameuse "palette" percée d'un cœur, ce qui les fit encore une fois s'esclaffer. Les fesses de Viktor étaient écarlates, le sang perlait çà et là, il dû voir venir ce qu'il croyait être la fin des réjouissances avec un certain soulagement, mais il n'était pas au bout de ses peines, loin de là.
Je fus  chargé de passer à la caisse où le vendeur me signala que tout ceci serait ajouté aux notes respectives de notre séjour.
Les deux femmes décidèrent, après cet intermède, d'aller prendre un rafraîchissement dehors, je les suivis, portant les paquets, me positionnant un bon mètre derrière elles. Viktor, qui entre-temps avait été libéré du chevalet, devait suivre à quatres pattes, ce qui ne devait pas être aisé.
En effet, les allées sont composées de dalles que peuvent uniquement emprunter les dames. Les hommes doivent toujours se tenir sur le côté, à dire la plupart du temps sur un parterre de petits cailloux pointus.
Il faisait un soleil éclatant, mais une petite brise printanière un peu fraîche vous rappelait à tout moment que l'été était encore loin.
Les deux amies prirent place à une table en terrasse et commandèrent à boire, je me plaçai debout derrière le siège de Katia, n'osant déposer les paquets, tandis que Viktor s'aplatit à plat ventre sur le sol devant Irina pour lui servir de repose pieds, sans qu'elle eût à lui demander, selon un rituel bien rôdé entre eux j'imaginais....

Irina, tout en discutant, enfonçait nerveusement les talons effilés de ses bottes dans les fesses meurtries du pauvre Viktor avec un sadisme consommé, et lorsqu'il sursauta de douleur, elle lui assena trois ou quatre coups de cravache avec une violence inouïe, celui-ci, malgré la douleur se tint donc immobile. Je ne voyais aucune trace d'amour, ni de complicité entre eux, aucun regard... et comme je me questionnais, la conversation prit une tournure qui répondit à mes interrogations.
Katia, fine mouche comme toujours, demanda à Irina d'utiliser l'anglais car elle prétexta avoir du mal à suivre en russe, ce qui, je n'en doutais pas était destiné à ce que je puisse comprendre ce qui allait se dire et que je vais essayer de vous narrer......
(à suivre...)

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mercredi 18 février 3 18 /02 /Fév 09:21

Bonjour je vais essayer de mettre par écrit un petit récit j'espère qu'il sera à la hauteur de vos exigences.... un fan.....

 

En me garant devant la maison de ma belle sœur je ne pouvais cesser de penser à tout ce chemin qui m'avais amené aujourd'hui à franchir ce pas .

Tout avait commencé ce soir de réveillon chez les beaux parents quand ma compagne avait fait remarquer à sa belle sœur qu'elle portait des chaussures qui ne pourrait que me plaire moi qui ne cessais de l'inciter à porter les mêmes,  il s'agissait en fait d'une superbe paires d'escarpins à talons vertigineux et très fins. Elle lui dit cela ouvertement sans penser que cela me mettais légèrement mal à l'aise. Elle pensait vraiment que je ne les avait pas déjà vus alors que de mon coté c'était la première chose que je vis quand elle fit son entrée dans le salon.

Je pensais que les choses en resterait là mais c'était sans compter sur la curiosité de la belle sœur qui voulait en savoir plus et fit en sorte de m'aborder en aparté au cour de cette soirée, elle faisait quelques allusions pour en savoir plus sur mon attrait sur ce genres de chaussures.

Et c'est tout aussi naturellement qu'elle réussi à faire en sorte que l'on se retrouva tous les deux seuls en cuisine pour une première tournée de vaisselle, elle déclina l'offre de ma compagne pour cette tâche en disant que nous y arriverions très bien elle même et moi et que nous en profiterions pour faire plus ample connaissance.

C'est assez naturellement que je me retrouvais les mains dans l'eau de la plonge pendant qu'elle se hissait sur le plan de travail de la cuisine en croisant les jambes afin de commencer déjà à m'affoler. Elle tenait dans ses mains un torchon mais je savais déjà qu'elle n'avait aucune intention de s'en servir, elle me le tendis quand j'eu terminer de laver les verres qui avait servit pour l'apéritif.

Mon sentiment allait de la gène au plaisir et mes pensées vagabondaient dans mes petits délires de soumissions masculines et tout en rangeant les verres dans les armoires je m'imaginais que c'était elle qui me dirigeait

 et que j'avais plutôt intérêt à filer droit et ne pas la décevoir.

La soirée se prolongea assez dans une bonne ambiance et je ne pouvais m'empêcher de regarder vers ses pieds et je sentais bien qu'elle s'en rendait compte et qu'elle appréciait énormément mon attrait envers ses Divines extrémités.


Quand il fut l'heure de se quitter pendant que le frère et sa sœur c'est à dire nos conjoint respectifs s'attardaient auprès de leur parents je me proposait d'aider ma belle sœur à charger la voitures des différents cadeaux de la soirée, chose qu'elle accepta bien évidemment et c'est bien entendu moi qui transporta le plus gros des colis vers la voiture pendant qu'elle m'accompagnait les mains vides à chaque voyage. C'est en attendant nos conjoints qu'elle me demanda si je voulais bien l'aider un de ces jours à concevoir un meuble de rangement pour ses chaussures qui comme elle me l'expliquait ne manquait pas et maintenant qu'elle connaissait mon petit fantasme elle comptait bien en profiter en sachant que son compagnon lui n'avait jamais eu d'attention particulières envers ces accessoires de mode.

Les choses en restèrent là ce soir mais je sentais bien que quelques chose couvait et que c'était ma propre compagne qui avait allumé la mèche.

(à suivre...)

Un fan.


........Merci, "fan" pour cet excellent texte annonciateur de délices..... j'attends quant à Moi la suite. C'est un ordre, "fan".....et attention à l'orthographe!!!
Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Vendredi 13 février 5 13 /02 /Fév 19:00

Voici la première autocritique de "petit joueur", félon, menteur et traitre......en voie de réhabilitation......
J' adorerais l'écraser sous Mes talons......

 

Très chère Maîtresse MAEVA

Comme vous me l'avez demandé, je vais faire mon autocritique publique. En agissant comme un vil personnage, je me suis comporté comme un vulgaire esclave qui n'était pas conscient de la chance de vous avoir comme Maîtresse. J'ai effectivement choisi la solution de facilité en plagiant le site avec ce texte, qui était très beau. Je ne me suis même pas donné la peine de prendre le temps pour vous écrire un texte montrant mon attachement aux bottes et pieds féminins.

 Ce que cela représente pour le chien soumis que je suis et montrer l'importance qu'il représente dans une relation D/s et que le pied féminin est la chose la plus importante pour une larve soumise comme je le suis. J'ai omis et péché par suffisance, et cela je vous le jure que je ne le ferai plus. Je  ne veux plus que vous ayez à vous plaindre de moi, je sais que j'ai fait une grosse faute et que j'aurai de la peine à me racheter auprès de vous, qui êtes si exigeante avec vos esclaves virtuels. J'avais été choisi pour faire partie de votre garde rapprochée, je comprends que je vous ai déçu et j'accepte mon exclusion que j'espère provisoire. Car je sais maintenant que j'ai agi comme une petite larve et que je ne mérite que votre mépris. J'espère que je montre maintenant ma soumission à vos caprices et ordres et que vous me redonnerez une chance de réintégrer votre cheptel d'esclaves virtuels.

Mon attachement au pied féminin, d'être maintenu au sol par ce pied divin....

 ....me montre toute la force que vous représentez pour moi. Je suis à genoux devant vous et n'attends que respectueusement d'être puni pour mon égarement et de pouvoir me racheter à vos yeux. Je souhaite vous servir servilement et respectueusement. Je souhaite que vous me méprisiez et que vous me dominiez pour me montrer la faute que j'ai faite en publiant ce texte. Je souhaite que vous jouiez avec moi comme un kleenex et que vous me jetiez quand vous en avez assez. En d'autres termes que je sois à votre disposition quand VOUS le souhaitez.

Merci de prendre le temps de lire ma confession publique, merci de me donner encore des ordres, je ne sais pas si je le mérite véritablement. Ce que je sais, c'est que je vous suis totalement soumis et que cette erreur je la paie cher et que je ne souhaite qu'une chose, c'est de me racheter et que vous me méprisiez à vos pieds.


Je ne mérite que vos pieds et vos bottes sales.....

..... je les lèche très fort et très servilement.

Votre petit joueur

Par MAEVA - Publié dans : Humiliation - Communauté : Soumis & Soumises
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Vendredi 13 février 5 13 /02 /Fév 11:02
..... votre icone pour ce jour.....


....ou celle-ci?

..... j'adore marcher Pieds nus l'été, ils sont souvent très sales, il y en a un qui en sait quelque chose.....
Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : BDSM
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Vendredi 13 février 5 13 /02 /Fév 09:06
Voici la suite de ce voyage hallucinant à OWK, République Tchèque......



(....)Elle déposa sur chacun de mes talons une pièce de monnaie, "si une des pièces tombe, deux heures supplémentaires" me dit-elle.
La position était inconfortable au possible, et j'avais vraiment intérêt à rester parfaitement immobile, ce qui rendait encore les choses plus compliquées.
Elle s'approcha de moi par derrière, et tandis qu'elle glissait sa cravache entre mes dents, elle me caressait doucement les tétons.

"Tu vas pouvoir un peu réfléchir à présent" me dit-elle au creux de l'oreille, "je veux à l'avenir que tu sois plus obéissant, que tu exécutes mes ordres à la lettre".
Mon sexe était pris de soubresauts et je crus sincèrement que j'allais jouir sans autre stimulation que cette caresse.
Elle parût s'en apercevoir, me repris la cravache de la bouche et dit : "je vais aller souhaiter "bonne nuit" à slave et lui faire comprendre ce qu'il en coûte de me ridiculiser comme il l'a fait !"
Je la sentais un peu éméchée et ceci ajouté à l'ambiance qui régnait dans ces lieux la rendait plus dominatrice, dompteuse impitoyable qu'elle ne l'avait jamais été.
Je plaignais le pauvre slave qui allait devoir affronter son courroux.
J'attendis un temps qui me parût infini, mes genoux devenaient de plus en plus douloureux ainsi que mes bras, et même si j'étais en bonne condition physique, la position qu'elle m'avait imposée était insupportable au-delà d'une certaine durée.
Et comme je me disais que j'allais craquer et me laisser tomber sur le côté, quitte à risquer une punition encore bien pire, j'entendis tout à coup des pas dans le couloir, accompagné de rires. Katia fît irruption dans la pièce, mais elle n'était pas seule., Irina l'accompagnait.
Elle se jetèrent toutes les deux sur le lit, dans un grand éclat de rire.
Elle parlait russe, avec un peu d'anglais, et sans saisir tout, je crus comprendre qu'elles s'amusaient du bon tour qu'elles venaient de jouer à leur esclaves respectifs.

Et là, vous risquez peut-être de penser :"on le voit venir avec ces deux magnifiques dominas"... et bien non figurez-vous, la présence d'Irina me mettait franchement mal à l'aise.

C'était la toute première fois que nous nous retrouvions, Katia et moi, dans ce contexte, hors du cadre de la plus stricte intimité. En cet instant, elle paraissait tellement sûre d'elle, pour moi qui la connaissait parfois si fragile, tant en proie au doute, que j'en ressenti une vive émotion. Du haut de ses 28 ans, elle paraissait pouvoir conquérir le monde... le mettre à ses pieds...
Je ne désirais qu'Elle !... faut-il le préciser et j'avais hâte qu'Irina rejoigne sa chambre et que nous retrouvions seuls, elle et moi.
Elle discutèrent ainsi encore un temps qui me parut infini. J'aurais tout donné pour être libéré de cette contrainte, j'avais fini par ne plus rien ressentir du côté des genoux, juste une légère sensation d'endormissement, de picotement, comme c'est souvent le cas, lorsque l'on passe un certain cap dans la douleur.
Et comme pour ajouter encore à ma gène, elles firent appel au service d'étage pour commander un thé, un homme entra quelques minutes plus tard, chargé d'un plateau et se mit à genoux devant elles pour les servir.

Enfin, après cet intermède, Irina embrassa chaleureusement Katia et rejoignit ses appartements.
Je me retrouvai donc enfin seul en présence de ma Reine.
Par moments, mes membres étaient pris de tremblements, je ne sais pour quelle raison, peut-être une certaine fatigue mêlée d'émotion.
Katia vint derrière moi, elle posa d'abord ses mains sur mes épaules, puis les fit descendre le long de ma poitrine et les remonta, me griffant légèrement.
Puis elle prit doucement les pointes de mes seins entre ses doigts, les faisant rouler entre ceux-ci, "pauvre chou", me dit-elle, "mais j'ai vraiment envie que tu souffres un peu pour moi", et tout en disant cela, elle accentuait la pression sur mes tétons, durcis, eux aussi, par le plaisir, le désir....
"Jusqu'où serais-tu prêt à aller pour moi ?
-Au bout du monde" répondis-je.
"Serais-tu prêt à contenir ton désir ? A attendre jusqu'à demain, car j'ai en tête quelque chose de très spécial pour nous deux, mais il te faudra encore attendre un peu".
Cette question avait plutôt l'allure d'un ordre quelque peu adouci.
Que mijotait-elle donc ? J'avais de plus en plus l'impression d'être le jouet d'un plan machiavélique parfaitement établi.
"Oui mon ange si cruel" répondis-je, "si tu consens à me libérer de cette position infernale dans laquelle tu m'as placé
-oh", répondit-elle d'un air faussement désolé, le sourire aux lèvres "j'avais presque oublié", elle consulta sa montre "2 heures et demi, pauvre chéri".
Mais elle ne fit pas encore mine de me délivrer, en revanche, elle avait repris ses caresses sur mes seins, tandis qu'elle avait glissé son pied gainé de cuir par devant,  elle caressait la hampe de mon sexe de la tige de sa botte, la faisant monter et descendre d'un rythme lent et régulier.

"Je pense néanmoins qu'il serait préférable que tu ne partages pas ma couche cette nuit, il pourrait t'arriver quelque fâcheux laissé aller."
Le pire, c'est que je ne pouvais pas lui donner tort.
"Tu dormiras donc sur le canapé, et pour être sûr que tu sois bien sage, je t'attacherai les bras", mais demain ce sera tout autre chose, tu verras." Il nous était déjà arrivé de "jouer" plus d'une journée, mais jamais encore, nous n'en étions arrivé à ce point de désir mutuel, sans être pris par une réelle frénésie qui faisait que dans la minute, quelque soit la situation, il FALLAIT que nous fassions l'amour.
Elle continua "mais tu sais, si j'essaie de dormir dans l'état où je suis, çà va être difficile".... ce qui me fît sourire en pensant qu'en ce qui me concernait, ce n'était rien de le dire.
"Alors j'aimerais que tu t'occupes un peu de moi, comme tu sais si bien le faire... avec ta bouche, ta langue, toi, pendant ce temps tu restes bien sage"....la situation ne manquait pas de piquant...
Et pour être sûr que "je reste bien sage", après qu'elle m'eut libéré et que je l'eue dévêtit délicatement, elle me fixa les mains dans le dos à l'aide des deux bracelets que j'avais toujours aux poignets.

Tenaillé par le désir, je m'approchais néanmoins de son intimité avec une infinie délicatesse, et après m'être "promené" sur le haut des cuisses, j'activai son clitoris de ma langue, alternant les mouvements de droite à gauche, de gauche à droite, contournant, retournant, tournant et retournant encore, je pris un plaisir fou, et si je devais comparer, je dirais qu'il fût similaire à ce qu'un orgasme masculin peut procurer de sensations à son instant le plus fort, le plus intense, mais que cet état se prolongeait, qu'il était conditionné par le plaisir de Katia que j'entendais gémir doucement...
J'introduis ensuite ma langue que je roulais sur elle même en la durcissant du plus que je pouvais dans l'antre de son plaisir pour en revenir un peu plus tard à son bouton... je me délectais de ses senteurs intimes et j'avalai goulûment lorsqu'elle hurla de plaisir, m'attrapant par les cheveux, me serrant contre son intimité du plus qu'elle le pouvait. Je restai ainsi un bon moment, enivré, jusqu'à ce que j'entende sa respiration devenir régulière et profonde, que je sentis tous ses muscles se détendre.
Je me dégageais avec une infinie lenteur, la couvris de ses draps et lui déposais un baiser sur le front... à ce moment, elle n'était plus que cette fille fragile que j'avais rencontré quelques temps auparavant...
Je me libérai des deux bracelets assez facilement, car j'avais une envie folle d'aller me rafraîchir, j'aurais put me satisfaire de manière égoïste et solitaire ;-), mais je décidai de jouer le jeu jusqu'au bout, j'allai prendre une bonne douche, et, contre toute attente, je m'endormis comme un bébé sur le canapé d'un sommeil sans rêves jusqu'au lendemain matin.
Je n'avais qu'une notion très vague de l'heure lorsque je me réveillai, j'entendis du bruit dans le couloir. "Charles", me dit Katia, qui elle aussi était éveillée, "prends les deux paires de bottes que j'ai porté hier , puis dépose les devant la porte de la chambre, ensuite tu peux venir me retrouver.
J'obtempérais sans discuter et lorsque j'ouvris la porte pour déposer les bottes, j'aperçus, au bout du couloir, slave, à quatre pattes qui s'affairait sur une paire de chaussures, muni d'une brosse, il me jeta un regard, puis se remit à l'ouvrage.
Apparemment, plusieurs dames avaient fait comme Katia, et de toute évidence, slave était chargé de cet entretien matinal des bottes et chaussures que ces dames avaient bien voulu lui confier en les laissant devant leur porte.
Je rejoignis Katia qui se pelotonna contre moi, et nous passâmes un moment délicieux... Un peu plus tard, de toute évidence, slave s'affairait devant notre porte. "T'as-t-il vu?" me demanda-t-elle.
Je répondais par l'affirmative et commençais à comprendre... lorsque je parlais de machiavélisme, il faut avouer que je n'étais pas si loin de la réalité.
Je ne pus m'empêcher de me demander ce qu'il lui passait par la tête à ce moment là, à genoux, en train de lustrer les bottes de sa Maîtresse... au lit avec un autre. Même s'il ignorait tout de ce qui s'était passé depuis son arrivée.
Et comme elle me voyait pensif, elle dit :
"Ce n'est qu'un début, il va trimer une bonne partie de la journée à cirer des pompes.
Cette après-midi, j'ai demandé à ce qu'on l'enferme quelques heures dans le "box", à l'entrée."


Les clichés qui ne sont pas de Moi appartiennent au site www.owk.cz
Il vaut le détour......
(à suivre)
Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Mardi 10 février 2 10 /02 /Fév 08:25

Je serai absente jusqu'à jeudi soir, profitez-en pour écrire des commentaires éclairés......je pars dans le Vercors faire du "skating"......

..... avec des copines de Mon style, nous serons cinq, dont Maîtresse A qui comptait sur la présence de Mon chien pour agrémenter nos soirées, mais je lui fous la paix, il est chez Moi pour trois jours, avec une liste de tâches ménagères.....une liste au long fleuve, il en a pour un moment..... du coup, Ma copine a convoqué un de Ses anciens soumis qui se languit d'Elle depuis un an. Imaginez le niveau de soumission de celui qui vit dans l'attentisme depuis tant de temps, même s'il se doute qu'Elle le jetera comme un kleenex à la moindre contariété......je le plains sincèrement d'être l'objet de Mon amie pendant ces trois jours, d'autant plus qu'il sera à notre service à toutes.....

Par MAEVA - Publié dans : Information importante
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Lundi 9 février 1 09 /02 /Fév 19:15

Notre ami "chien gégé" a encore commis un texte d'un très bon niveau, érotique, suggestif, et complètement en phase avec l'esprit de votre site préféré, Maevaslave.....


J'avais terminé de débarrasser et je commençais la vaisselle. Elle se leva de table et alla s'asseoir sur le canapé. C'était le signe tacite qui signifiait qu'elle attendait que je lui serve le dessert immédiatement au salon. Cette sorte de rituel s'était instaurée peu à peu, à force d'ordres répétés, puis de réflexions  sur mon incapacité à devancer ses désirs, réflexions appuyées parfois de quelques gifles qui n'admettaient qu'un « pardon Maîtresse » bien humble en retour. J'interrompis donc ma vaisselle et m'appliquai à lui préparer son dessert. Puis, je me dépêchai de le lui amener. Le film qui venait de commencer à la télé semblait l'intéresser beaucoup et elle se contenta de m'indiquer d'un signe la petite basse près de l'accoudoir. J'y déposai l'assiette et m'en retournais vers la cuisine, ayant entre-aperçu au passage la paire de menottes près d'elle sur le canapé.

  • - Viens ici! déshabille-toi!

Devoir me déshabiller ne m'enchantait  guère, nous n'étions pas en plein été et la maison, avec ses plafonds à quatre mètres, est difficile à chauffer. Tentant d'ergoter je lui proposais d'allumer un feu dans la grande cheminée. Pourtant, je savais bien qu'elle avait horreur de mes manières de finasser ainsi, je l'avais appris aux dépends de mes fesses de nombreuses fois. Je regrettai aussitôt mes paroles, me traitant d'imbécile et redoutant l'inévitable punition. Mais rien ne vint, le film semblait la captiver davantage que mes errements. Elle se contenta de me répliquer.

  • - Non, pas ce soir. Dépêche-toi!

Je m'en tirais à bon compte, pensais-je, tout en étant quand même inquiet de répercussions futures. Après tout, il ne faisait pas vraiment froid et je savais qu'au bout d'un moment, je m'habituerais. Je fus nu en un tour de main.

 -  Mets-toi à genoux ici, de dos !

et son doigt m'indiquait le tapis tout près d'elle.

Alors, elle se redressa sur son siège et passa ses jambes de chaque coté de mes cuisses. Le nylon de ses bas contre la peau de mes fesses, le ton des ordres donnés et,  plus que cela, le regard que je conservais sur ses pieds en sandales commençaient à m'exciter.


- Les mains!

Je compris et croisai les poignets dans mon dos. Aussitôt, je sentis les menottes se refermer dessus.


- Retourne-toi, face à moi!

Elle leva les bras pour détacher la petite chaînette qu'elle portait au cou présentant ainsi sous mon nez le creux de ses seins parfumé et subtilement dévoilé par son corsage. Cela acheva de gonfler mon sexe en cage coincé tel une limace dans une éprouvette.

  • - Je vois que tu as besoin d'une petite promenade, dit-elle en retirant la petite clé de la chaînette

Alors, elle ouvrit le petit cadenas et retira le tube qui tenait mon sexe en sa dépendance. Comme j'aimais le contact de ses doigts sur ma peau ! Sa façon impérieuse de me saisir, comme pour « tâter la marchandise », pour s'assurer de la qualité de son bien, mais en même temps pleine de la chaleur et de la douceur de ses mains, me jetait dans le trouble le plus profond. Je ne savais plus si j'étais un esclave ou un homme ordinaire qu'une femme caresse avant l'amour. Elle me ramena à la réalité.

  • - Couche-toi là, sur le dos, ma queue ici!

je m'allongeai tant bien que mal entre le canapé et la table basse, veillant à tenir mon sexe à l'endroit qu'elle avait précisé. Même sur ce tapis, l'inconfort était total. Je ne savais comment placer mes bras dans mon dos. Je gigotais sans cesse. Deux coups de talons dans les côtes.

  • - Tiens-toi tranquille!

je me calais, au mieux, sans bouger. Le côté me brûlait, les coups de talons n'avaient pas été tendres ! j'essayai d'oublier cette douleur quand, à nouveau, ses talons se firent sentir. Cette fois, c'était nettement moins violent, elle avait simplement posé ses pieds sur mon ventre, les talons aiguilles plantés dans les cuisses et les couilles. Elle resta ainsi un bon moment. Elle dégustait son dessert, savourait, prenait son temps et suivait le film sans me porter la moindre attention, sauf quand elle changeait de position. A chaque fois qu'elle déplaçait ses pieds, pesant sur un talon, en faisant ripper un autre, je ne pouvais réprimer un mouvement, un gémissement. Là, sans un regard, elle prenait le temps de me consacrer un nouveau coup de pied. Moi, je ne songeais qu'à une chose : améliorer ma position. Par des mouvements que je voulais imperceptibles, je m'efforçais de changer la position de mes bras, de soulager mes épaules qui me faisaient souffrir au moins autant  que ses talons, autant dire que le film,  je n'en ai aucun souvenir !Pourtant, malgré l'inconfort de ma disposition, les souffrances de ma peau martyrisée, ma situation avait un avantage : j'avais une vue superbe sur le haut de ses bas sous la jupe, ce bout de chair féminine, support de tous les fantasmes mais dont l'accès m'était refusé.

Enfin, vinrent les pubs.

Comme de coutume, elle se leva pour aller aux toilettes. J'en profitai pour souffler un peu, gigoter, m'auto masser.

Quand elle revient s'installer, et alors que je me préparais à souffrir, elle m'annonça :

  • - ce soir, tu auras droit à une petite récompense, cela fait bien huit jours, au moins, non?

j'acquiesçais. Ca faisait bien huit jours que mon sexe se lamentait d'ennui. Elle retira prestement ses sandales, enfin, j'allais avoir ce que j'attendais depuis quarante-cinq minutes : Ses pieds sur ma bouche.

Que nenni ! Elle décida de s'orienter vers un autre endroit et elle enserra ma queue, « sa » queue, pardon, avec ses orteils. La douleur des talons, leur poinçonnement, leurs griffures qui avaient bien calmé mes ardeurs étaient changés en frôlements de nylon, en douces et chaudes pressions. Je retrouvai vite une vigueur considérable. Mais rapidement, l'anneau de la cage de chasteté qui était resté en place, comme toujours, me rappela ma condition d'esclave.

Plus je désirais ces pieds, plus il me serrait. Ca brûlait, de plus en plus, jusqu'à devenir insupportable. La souffrance noyait le plaisir et je faisais des efforts intellectuels intenses pour penser à autre chose : les impôts à venir, les soucis avec les locataires, la politique. Bernique ! Ses caresses, particulièrement adroites ne cessaient pas et ma queue ne cessait de gonfler inexorablement et de m'infliger un supplice terrible.


Enfin, elle s'arrêta. Allongeant les jambes, elle posa les pieds sur le canapé. Tout doucement, très doucement, je parvenais à calmer mon excitation. Je fermai les yeux, décidai de m'intéresser au film, tiens, pourquoi pas ? A la bande son, du moins. Mais quoi, ces caresses, que c'était bon ! S'il n'y avait pas ce foutu anneau. Déjà, je commençais à l'oublier, ne me souvenant que de la sensation du nylon sur mon gland. Et j'espérais, je redoutais. Et je m'apercevais que sous cette torture, les meurtrissures de mes bras et de mes épaules avaient été oubliées, elles revenaient sans attendre.

  • - Tu n'aimes pas, tu débandes? se moquait-elle.

Aussitôt, ses pieds reprirent leur manège, aussitôt la douleur revint, immédiate cette fois. Elle glissait sur la hampe, flattait les couilles du cou de pied, serrait le gland entre les orteils. Mon supplice s'amplifiait et malgré cela, tout au fond de moi, la flamme de ma soumission volontaire en était ranimée. Mon moi profond me disait : voilà, ta place est là, ton corps offert, ta souffrance offerte, tu lui appartiens, elle peut faire ce qui lui plait de toi et c'est bien ainsi.


Elle recommença ce petit jeu jusqu'à la fin du film, générique compris, enfin, j'allais souffler. Eh non ! Le débat qui suivait en rapport avec le film suscita toute son attention...

Ensuite, c'est une autre histoire......

(écrit par "chien gégé").
Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : Soumis & Soumises
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Lundi 9 février 1 09 /02 /Fév 08:47
(......) Connaissez-vous la trophallaxie chez la fourmi ?
Celle-ci possède une cavité, proche de la bouche, le jabot,  aussi appelé "estomac social ".
Cet estomac peut servir de réservoir.
Une fois celui-ci remplis, la fourmi effectue une sorte de bouche à bouche, appelé trophallaxie afin de nourrir ses compagnes.
Comme je commençais vraiment à avoir soif, Katia se pencha vers moi, et comme décidément, nous étions connectés, elle posa doucement sa bouche sur la mienne : trophallaxie de champagne...
Dis comme çà, çà n'a rien de terriblement sensuel, mais dans un certain contexte... cela renforce un état de dépendance...  le sentiment d'appartenir complètement à la personne. Force émotionnelle  du besoin primaire sans doute aussi ou réminiscence du sein maternel ?
Deux larbins "maisons", nus, excepté le petit tablier ridicule qu'ils portaient à la taille, tournaient sans cesse pour remplir les verres de ces dames.
Le champagne coulait à flots.
Je crus comprendre qu'il avait été gracieusement offert par l'esclave attitré d'Irina, avec qui Katia avait fait connaissance un peu plus tôt dans la soirée. Irina paraissait vraiment très jeune, une adolescente, quand à Viktor, son esclave personnel, je lui donnais volontiers la cinquantaine bien sonnée. Après avoir offert le champagne sans y avoir goûté, lui aussi avait été emmené pour passer la nuit au cachot.

Je commençais tout doucement à me dire que j'étais privilégié !
Irina lorgnait de mon côté de temps à autre, elle avait l'air curieuse de mon état. Sans porter aucun jugement, je pense que le rapport qu'elle entretenait avec Viktor était d'ordre purement vénal et paraissait intriguée du fait que ce n'était pas notre cas, à Katia et à moi-même. Peut-être avait-elle du mal à imaginer quelle était exactement la nature de notre relation. Elle paraissait s'amuser de tout, partait en éclat de rires, pleine de vie...
En Russie, je ne sais pas ce que je préfère le plus des auteurs ou de la gent féminine :-)
Si Dostoiesvsky, Boulgakov et autres Tourgeniev m'ont toujours fait vibrer, il en est de même des femmes slaves. Katia était née en France, mais elle possédait ce charme, ce sens de la mise en scène, de la passion amoureuse à nulle autre pareille...ce semblait être également le cas d'Irina.
Katia levait de temps à autre le pied, et de ce fait touchait de sa botte mon sexe de plus en plus douloureux et avide...

.... avide de toucher plus insistant... de caresses...
Brusquement, Katia vida son verre : "debout ! A la chambre", me dit-elle.

Je fus étonné de me relever si facilement, j'aurais tendance à penser que la production d'endorphines du "sous espace" y était pour quelque chose, elle fait que vous ne sentez plus la douleur, ou que plutôt vous la sublimez, comme si votre corps tout entier se mettait au service de votre esprit, de votre désir...
Arrivé à la chambre, Katia se jeta sur le lit, elle avait attrapé au passage sa courte cravache de cuir noir, jouait avec elle en la courbant légèrement entre ses mains.
"Nu" dit-elle sèchement.
Le ton ne souffrait aucune discussion, je me dépêchais donc de lui obéir.
Tandis que je me déshabillais, elle fouilla dans son sac pour en retirer une règle de bois carrée qu'elle déposa au sol.
"A genoux sur la règle" me dit-elle, "mains à la nuque".

Puis elle s'approcha de moi par derrière pour m'entourer les poignets de deux bracelets de cuir attaché à un collier qu'elle me fixa au cou.
"Punition d'un quart d'heure à genoux sur la règle" me dit-elle, .... "fois huit, cela nous fera deux heures pour t'apprendre à obéir"

J'étais pétrifié en entendant la sentence, je dois dire que je m'attendais à tout sauf à cela ! J'allais vivre un calvaire, mais elle en avait décidé ainsi.

(à suivre...)
Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Vendredi 6 février 5 06 /02 /Fév 07:13

.....qui commence dès ce matin, dans un peu moins de trois heures, le chien m'aura rejoint, il sera prosterné, agenouillé sur Mon paillasson, craintif et angoissé qu'il soit vu ainsi par un voisin, attendant que j'ouvre la porte, sa tête sera bien basse, à la limite du sous espace, et Mon Pied chaussé d'escarpin en chevreau se posera sur sa tête; un rituel inaugurant ces trois jours que nous passerons dans une grande ville que nous connaissons mal, dans un hôtel de charme, trois jours à mi-chemin entre déambulations touristiques (voire gastronomiques!)  et remise à niveau en soumission pour Mon lèche bottes. Je ne vous confierai pas notre destination afin d'éviter les invitations toujours possibles que nous ne pourrions honorer.....nous apprécions notre intimité D/s.......

.... il descendra Mes bagages, il ouvrira la porte arrière gauche, je m'y installerai. Il fera son office de chauffeur alors que mutine, Mes deux Pieds se poseront de chaque côté de ses épaules, taquinant sa bouche, violant ses lèvres.....mais il devra rester concentré sur la conduite!!! Ah! La tête de la "péagiste", l'été dernier! Et les bouchons interminables au retour du Cap D'Agde, en mai dernier! Les bouchons m'ennuient, alors je Me suis défoulée, Il fut contraint de Me lécher les orteils en public, l'habitacle d'une voiture n'abritant pas des regards extérieurs, du voyeurisme.... Pour cette raison, le chien-chauffeur craint les feux rouges, les stops, les embouteillages, toutes ces possibilités d'arrêt du mouvement induisant l'épreuve de l'humiliation publique.....j'aime humilier Mon chien, et je sens en Moi une envie irrésistible de le faire, dès son arrivée.....il fera Ma vaisselle d'hier soir, et je sais qu'il le fera à contre coeur au départ, puis la situation va l'envahir, il se fondra en elle, sa situation privilégiée d'esclave......et il prendra plaisir à récurer Mes WC, la baignoire, passer l'aspirateur. C'est décidé, nous commencerons ainsi.......

A dimanche soir, pas avant.....

Par MAEVA - Publié dans : Humiliation - Communauté : Soumis & Soumises
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