Je ne suis en aucune manière responsable de la publicité intempestive d'Easyflirt sur chacune des pages.....cela m'est imposé......
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Je ne suis en aucune manière responsable de la publicité intempestive d'Easyflirt sur chacune des pages.....cela m'est imposé......
Bien que vous ne le méritiez pas , voici la suite de cette longue et passionnante histoire vécue par Charles, alias "bootshine"......merci à lui, pour ce talent narratif
et ce haut pouvoir de suggestion: feet Mon chien adore.....
....de ce fait, Charles m'aura aidé à ce que le chien
participe un peu plus à Mon enthousiasme, par rapport à ce projet de séjour en Tchéquie.....il commence à se faire à l'idée, me presse de questions......qui vivra
verra!
Je me demandais de quoi elle parlait, mais je crus me rappeler qu'à l'entrée du "long hall" trônait une espèce de grande caisse, peinte en noir. Et comme j'étais à nouveau perdu dans mes pensées,
le bruit d'une cravache accompagné de la voix de Madame Christine me ramena à la réalité.
Elle devait être en train de superviser le travail de slave... on entendit encore quelques bruits sourds (je pense qu'il devait se prendre quelques coups de bottes), puis la cravache à
nouveau.
C'est à ce moment que Katia s'approchât, du bout des lèvres, elle m'embrassa, c'était le premier vrai moment d'intimité que nous partagions depuis son arrivée, son baiser se fît plus insistant,
dans le même temps, du bout des doigts, elle caressait à présent mon sexe érigé...
Elle roula de côté et s'empala sur moi.
Le buste relevé, elle bougeait lentement, s'appuyant des deux mains sur mon torse, de temps à autre, sa chevelure me caressait le visage, à d'autre elle rejetait la tête en arrière dans un
gémissement étouffé.
D'une main, je saisis sa hanche pour ralentir encore ses mouvements, car j'étais au bord... de l'autre, je caressais sa poitrine, attirais à moi sa bouche un instant jusqu'à ce qu'elle se délivre
dans un cri de fureur, au moment où je sentis sa jouissance arriver, je libérai la mienne... d'un spasme commun, nos deux corps tendus vibrèrent à l'unisson.
Comme je me détendais un peu et sentais la tension qui habitait mon corps me quitter, je me posais la question de savoir si slave se trouvait toujours derrière la porte, et comme si j'avais
formulé cette question, sans que je n'ai besoin d'ouvrir la bouche, elle me répondit : "slave doit attendre mes ordres, à genoux derrière la porte"
La situation, quoiqu'un peu gènante, je dois l'avouer amenait un certain piquant à notre étreinte... toujours cette sensation d'excitation mèlée de gène.
"Moi, ça m'électrise complètement !" me dit-elle.
Je voyais briller ses yeux de cette même lueur et je compris enfin, ce que j'avais entrevu plus tôt, sans pouvoir me l'expliquer, c'était une certaine cruauté que jusqu'alors, je ne lui
connaissais pas.
Elle me fixa à nouveau, puis descendit la tête, fit passer délicatement sa langue sur mes lèvres, tout en se faisant, elle remuait légèrement le bassin, ce qui eut pour effet immédiat de raviver
la flamme, de durcir à nouveau mon sexe toujours emprisonné dans le sien.
Mais cette fois, j'avais envie de la posséder, plus encore, de mener la danse et d'imposer mon rythme, sans relâcher mon étreinte, je basculai de côté pour m'asseoir au bord du lit, ce qui
l'obligeât à entre ouvrir les jambes du plus qu'elle le pouvait, d'autant que d'une main, posée sur ses fesses, je l'attirais à moi.
Elle étouffa un cri, j'avais moi aussi, l'impression de pénétrer en elle plus que je ne l'avais jamais fait, j'imposais alors mon rythme, lent et régulier tandis qu'elle m'embrassait
goulûment.
Je cassais le rythme de temps à autre, m'arrêtait un instant, elle gémissait : "non pas maintenant"
Je continuais encore et encore, stoppant net à chaque fois que je la sentais proche de l'orgasme.
Je ne saurais dire combien de temps durât ce manège car nous étions hors du temps...
Je finis par me lever et, sans la lâcher je me dirigeais vers la porte pour la "coincer" contre celle-ci, mon rythme s'accéléra, je la tenais par dessous les jambes et mes coups de boutoir
l'écrasaient sur la porte, tandis qu'elle s'accrochait à moi par le cou, les épaules.
Nous jouîmes à nouveau, elle hurla, me labourant le dos de ses ongles...
Nous restâmes sans rien dire, essoufflés l'un contre l'autre, l'un dans l'autre, la respiration haletante.
Elle m'embrassa longuement... nous étions trempés de sueur... il me semblait ne plus pouvoir bouger...
Après un moment dans cette position, je tombai littéralement à la renverse, elle me suivit aussitôt et se coucha sur le sol, à côté de moi, on entendait plus rien que nos respirations, nos yeux
fixant le plafond...fondu au noir...
Nous sortîmes de notre torpeur un peu plus tard, car on frappait à la porte : "le service d'étage" me
dit-elle, "ils amènent le petit déjeuner."
Peu désireux de me faire servir au lit par un larbin à moitié nu, je me dirigeai vers la salle d'eau pour m'y faire couler un bain.
Katia le comprit sans que j'aie à m'expliquer le moins du monde .
Lorsque j'entrai dans la chambre après avoir pris mon bain, elle se dirigea à son tour vers la salle d'eau en me disant "si tu veux, je t'ai laissé à manger", cela me fit penser qu'il y avait
quelques heures que je n'avais plus rien avalé, je mourrais de faim.
Il y avait là un plateau bien garni, je saisis un croissant et remarquai que du sucre avait été renversé sur le plateau, Katia y avait dessiné un cœur... c'est vraiment le genre d'attention que
j'apprécie plus que tout, j'engouffrai tout ce qu'il restait du petit déjeuner sans me faire prier, me versais trois ou quatre tasses de café noir et pour tout dire, je me sentais dans une forme
éblouissante.
Katia revêtit une "tenue de ville", jeans et chaussures de sport, avec son sens pratique, elle avait dû penser, à raison, qu'il serait plus facile de se promener comme çà à l'extérieur.
Lorsqu'elle me regarda, elle afficha un grand sourire, car j'avais fait la même chose qu'elle.
Elle s'approcha de moi, fouilla son sac et en sortit un pot de gel dont elle prit une noisette du bout des doigts pour me la passer dans les cheveux, puis une paire de ray-ban qu'elle me posa sur
le nez : "tu as plus de gueule comme çà," me dit-elle avec un sourire, et elle ajouta : "puis ainsi, tu pourras regarder à droite et à gauche discrètement".
Le voyeur que je suis pensa que c'était bien vu :-) je n'avais rien à ajouter !
Nous rejoignîmes Irina qui nous attendait à la boutique, grand espace, remplis de toutes sortes d'accessoires, vêtements, livres destinés à faire le bonheur de gens comme nous, dalles blanches au
sol, larges fauteuils de cuir, dans l'un de ceux-ci trônait Irina.
Elle, n'avait pas opté pour une tenue "sport", c'est le moins qu'on puisse dire, un trait écarlate de rouge à lèvres lui "barrait" le visage, elle portait une veste d'astrakan, assortit d'une
toque de la même matière et des gants de cuir noir.
Sous les pans de la veste disparaissaient des cuissardes aux talons démesurés, assez particulières puisque celles-ci étaient serties de ce qui ressemblait à de petits diamants, sur le côté de la
botte ces diamants se rejoignaient pour former les lettres "Irina Fashion", un modèle sur mesure, sans aucun doute et qui devait valoir une fortune.
J'allais avoir réponse à toutes les questions que je me posais à ce sujet un peu plus tard, car à vrai dire, j'étais encore loin de la vérité. Elle se leva pour accueillir chaleureusement Katia,
et comme je ne savais trop que faire, celle-ci me désigna les bottes de son amie, je compris immédiatement et m'agenouillais pour y déposer un baiser qu'Irina accepta en véritable dominatrice
c'est dire de la manière la plus naturelle du monde et sans trop me prêter attention.
Je remarquai Viktor, agenouillé dans un coin, il fixait le sol des yeux, complètement immobile, nu, il était simplement accoutré d'un dispositif métallique qui lui recouvrait le sexe, je ne
compris que plus tard qu'il s'agissait d'une ceinture de chasteté qui ne le quittait pour ainsi dire jamais ! En divers endroits du corps, il portait des traces en forme de cœur, ainsi que slave,
comme je pourrais le constater plus tard, c'était le motif de l'hilarité des deux complices hier soir dans la chambre qui avaient battus leurs esclaves à l'aide d'un "paddle" de bois dans le quel
était sculpté un trou en forme de cœur.
Sur un banc étaient disposés ce qu'à OWK, ils appellent "punishment aids", les aides à la punition, pas mal trouvé comme terme finalement !
Cravache, chat à neuf queues, canne anglaise, fouet... à faire frémir le plus endurci des masochistes.
Après qu'elles eurent échangé quelques mots, Irina ordonna à Viktor de se mettre en place sur un chevalet disposé à côté du banc.
Et comme je le compris fort justement, il allait servir de cobaye pour tester les divers instruments de torture installés là.
Je m'aperçus avoir commis une erreur de jugement concernant l'âge d'Irina, à bien y regarder, je me dis qu'il devait être très proche de celui de Katia.
Elles entreprirent l'une et l'autre de tester les divers instruments sur les fesses du pauvre Viktor, après qu'Irina lui eut enfoncé dans la bouche un bâillon constitué d'une balle de caoutchouc
reliée à deux lanières de cuir qui s'attachaient sur la nuque.
Je fus, pour ma part, chargé de passer à l'une et à l'autre l'instrument qu'elle désiraient tester en le montrant du doigt, sans me jeter un regard, puis de le remettre à sa place, sitôt qu'elles
en avait fini.
Irina ne ménageait pas ses coups, de temps à autre, elle glissait littéralement sur le sol, tant elle appuyait le mouvement du poids de son corps. Viktor était pris de soubresauts mais acceptait
stoïquement la situation.
Elles choisirent d'emporter l'une et l'autre les outils de flagellation qui leur plaisaient en ayant soin d'y inclure la fameuse "palette" percée d'un cœur, ce qui les fit encore une fois
s'esclaffer. Les fesses de Viktor étaient écarlates, le sang perlait çà et là, il dû voir venir ce qu'il croyait être la fin des réjouissances avec un certain soulagement, mais il n'était pas au
bout de ses peines, loin de là.
Je fus chargé de passer à la caisse où le vendeur me signala que tout ceci serait ajouté aux notes respectives de notre séjour.
Les deux femmes décidèrent, après cet intermède, d'aller prendre un rafraîchissement dehors, je les suivis, portant les paquets, me positionnant un bon mètre derrière elles. Viktor, qui
entre-temps avait été libéré du chevalet, devait suivre à quatres pattes, ce qui ne devait pas être aisé.
En effet, les allées sont composées de dalles que peuvent uniquement emprunter les dames. Les hommes doivent toujours se tenir sur le côté, à dire la plupart du temps sur un parterre de petits
cailloux pointus.
Il faisait un soleil éclatant, mais une petite brise printanière un peu fraîche vous rappelait à tout moment que l'été était encore loin.
Les deux amies prirent place à une table en terrasse et commandèrent à boire, je me plaçai debout derrière le siège de Katia, n'osant déposer les paquets, tandis que Viktor s'aplatit à plat
ventre sur le sol devant Irina pour lui servir de repose pieds, sans qu'elle eût à lui demander, selon un rituel bien rôdé entre eux j'imaginais....
Irina, tout en discutant, enfonçait nerveusement les talons effilés de ses bottes dans les fesses meurtries du pauvre Viktor avec un sadisme consommé, et lorsqu'il sursauta de douleur, elle lui
assena trois ou quatre coups de cravache avec une violence inouïe, celui-ci, malgré la douleur se tint donc immobile. Je ne voyais aucune trace d'amour, ni de complicité entre eux, aucun
regard... et comme je me questionnais, la conversation prit une tournure qui répondit à mes interrogations.
Katia, fine mouche comme toujours, demanda à Irina d'utiliser l'anglais car elle prétexta avoir du mal à suivre en russe, ce qui, je n'en doutais pas était destiné à ce que je puisse comprendre
ce qui allait se dire et que je vais essayer de vous narrer......
(à suivre...)
Bonjour je vais essayer de mettre par écrit un petit récit j'espère qu'il sera à la hauteur de vos exigences.... un fan.....
En me garant devant la maison de ma belle sœur je ne pouvais cesser de penser à tout ce chemin qui m'avais amené aujourd'hui à franchir ce pas .
Tout avait commencé ce soir de réveillon chez les beaux parents quand ma compagne avait fait remarquer à sa belle sœur qu'elle portait des chaussures qui ne pourrait que me plaire moi qui ne cessais de l'inciter à porter les mêmes, il s'agissait en fait d'une superbe paires d'escarpins à talons vertigineux et très fins. Elle lui dit cela ouvertement sans penser que cela me mettais légèrement mal à l'aise. Elle pensait vraiment que je ne les avait pas déjà vus alors que de mon coté c'était la première chose que je vis quand elle fit son entrée dans le salon.
Je pensais que les choses en resterait là mais c'était sans compter sur la curiosité de la belle sœur qui voulait en savoir plus et fit en sorte de m'aborder en aparté au cour de cette soirée, elle faisait quelques allusions pour en savoir plus sur mon attrait sur ce genres de chaussures.
Et c'est tout aussi naturellement qu'elle réussi à faire en sorte que l'on se retrouva tous les deux seuls en cuisine pour une première tournée de vaisselle, elle déclina l'offre de ma compagne pour cette tâche en disant que nous y arriverions très bien elle même et moi et que nous en profiterions pour faire plus ample connaissance.
C'est assez naturellement que je me retrouvais les mains dans l'eau de la plonge pendant qu'elle se hissait sur le plan de travail de la cuisine en croisant les jambes afin de commencer déjà à m'affoler. Elle tenait dans ses mains un torchon mais je savais déjà qu'elle n'avait aucune intention de s'en servir, elle me le tendis quand j'eu terminer de laver les verres qui avait servit pour l'apéritif.
Mon sentiment allait de la gène au plaisir et mes pensées vagabondaient dans mes petits délires de soumissions masculines et tout en rangeant les verres dans
les armoires je m'imaginais que c'était elle qui me dirigeait
et que j'avais plutôt intérêt à filer droit et ne pas la décevoir.
La soirée se prolongea assez dans une bonne ambiance et je ne pouvais m'empêcher de regarder vers ses pieds et je sentais bien qu'elle s'en rendait compte et
qu'elle appréciait énormément mon attrait envers ses Divines extrémités.
Quand il fut l'heure de se quitter pendant que le frère et sa sœur c'est à dire nos conjoint respectifs s'attardaient auprès de leur parents je me proposait d'aider ma belle sœur à charger la
voitures des différents cadeaux de la soirée, chose qu'elle accepta bien évidemment et c'est bien entendu moi qui transporta le plus gros des colis vers la voiture pendant qu'elle m'accompagnait
les mains vides à chaque voyage. C'est en attendant nos conjoints qu'elle me demanda si je voulais bien l'aider un de ces jours à concevoir un meuble de rangement pour ses chaussures qui comme
elle me l'expliquait ne manquait pas et maintenant qu'elle connaissait mon petit fantasme elle comptait bien en profiter en sachant que son compagnon lui n'avait jamais eu d'attention
particulières envers ces accessoires de mode.
Les choses en restèrent là ce soir mais je sentais bien que quelques chose couvait et que c'était ma propre compagne qui avait allumé la mèche.
(à suivre...)
Un fan.
Voici la première autocritique de "petit joueur", félon, menteur et traitre......en voie de réhabilitation......
J' adorerais l'écraser sous Mes talons......
Très chère Maîtresse MAEVA
Comme vous me l'avez demandé, je vais faire mon autocritique publique. En agissant comme un vil personnage, je me suis comporté comme un vulgaire
esclave qui n'était pas conscient de la chance de vous avoir comme Maîtresse. J'ai effectivement choisi la solution de facilité en plagiant le site avec ce texte, qui était très beau. Je ne me
suis même pas donné la peine de prendre le temps pour vous écrire un texte montrant mon attachement aux bottes et pieds féminins.
Ce que cela représente pour le chien soumis que je suis et montrer l'importance qu'il représente dans une relation D/s et que le pied féminin est la chose la plus importante pour une larve
soumise comme je le suis. J'ai omis et péché par suffisance, et cela je vous le jure que je ne le ferai plus. Je ne veux plus que vous ayez à vous plaindre de moi, je sais que j'ai fait une
grosse faute et que j'aurai de la peine à me racheter auprès de vous, qui êtes si exigeante avec vos esclaves virtuels. J'avais été choisi pour faire partie de votre garde rapprochée, je
comprends que je vous ai déçu et j'accepte mon exclusion que j'espère provisoire. Car je sais maintenant que j'ai agi comme une petite larve et que je ne mérite que votre mépris. J'espère que je
montre maintenant ma soumission à vos caprices et ordres et que vous me redonnerez une chance de réintégrer votre cheptel d'esclaves virtuels.
Mon attachement au pied féminin, d'être maintenu au sol par ce pied divin....
....me montre toute la force que vous représentez pour moi. Je suis à genoux devant vous et n'attends que respectueusement d'être puni pour mon égarement et de pouvoir me racheter à vos
yeux. Je souhaite vous servir servilement et respectueusement. Je souhaite que vous me méprisiez et que vous me dominiez pour me montrer la faute que j'ai faite en publiant ce texte. Je souhaite
que vous jouiez avec moi comme un kleenex et que vous me jetiez quand vous en avez assez. En d'autres termes que je sois à votre disposition quand VOUS le souhaitez.
Merci de prendre le temps de lire ma confession publique, merci de me donner encore des ordres, je ne sais pas si je le mérite véritablement. Ce que je sais,
c'est que je vous suis totalement soumis et que cette erreur je la paie cher et que je ne souhaite qu'une chose, c'est de me racheter et que vous me méprisiez à vos pieds.
Je ne mérite que vos pieds et vos bottes sales.....
..... je les lèche très fort et très servilement.
Votre petit joueur
Je serai absente jusqu'à jeudi soir, profitez-en pour écrire des commentaires éclairés......je pars dans le Vercors faire du "skating"......
..... avec des copines de Mon style, nous serons cinq, dont Maîtresse A qui comptait sur la présence de Mon chien pour agrémenter nos soirées, mais je
lui fous la paix, il est chez Moi pour trois jours, avec une liste de tâches ménagères.....une liste au long fleuve, il en a pour un moment..... du coup, Ma copine a convoqué un de Ses anciens
soumis qui se languit d'Elle depuis un an. Imaginez le niveau de soumission de celui qui vit dans l'attentisme depuis tant de temps, même s'il se doute qu'Elle le jetera comme un kleenex à la
moindre contariété......je le plains sincèrement d'être l'objet de Mon amie pendant ces trois jours, d'autant plus qu'il sera à notre service à toutes.....
Notre ami "chien gégé" a encore commis un texte d'un très bon niveau, érotique, suggestif, et complètement en phase avec l'esprit de votre site préféré,
Maevaslave.....
J'avais terminé de débarrasser et je commençais la vaisselle. Elle se leva de table et alla s'asseoir sur le canapé. C'était le signe tacite qui signifiait qu'elle attendait que je lui serve le
dessert immédiatement au salon. Cette sorte de rituel s'était instaurée peu à peu, à force d'ordres répétés, puis de réflexions sur mon incapacité à devancer ses désirs, réflexions appuyées
parfois de quelques gifles qui n'admettaient qu'un « pardon Maîtresse » bien humble en retour. J'interrompis donc ma vaisselle et m'appliquai à lui préparer son dessert. Puis, je me
dépêchai de le lui amener. Le film qui venait de commencer à la télé semblait l'intéresser beaucoup et elle se contenta de m'indiquer d'un signe la petite basse près de l'accoudoir. J'y déposai
l'assiette et m'en retournais vers la cuisine, ayant entre-aperçu au passage la paire de menottes près d'elle sur le canapé.
Devoir me déshabiller ne m'enchantait guère, nous n'étions pas en plein été et la maison, avec ses plafonds à quatre mètres, est difficile à chauffer. Tentant d'ergoter je lui proposais d'allumer un feu dans la grande cheminée. Pourtant, je savais bien qu'elle avait horreur de mes manières de finasser ainsi, je l'avais appris aux dépends de mes fesses de nombreuses fois. Je regrettai aussitôt mes paroles, me traitant d'imbécile et redoutant l'inévitable punition. Mais rien ne vint, le film semblait la captiver davantage que mes errements. Elle se contenta de me répliquer.
Je m'en tirais à bon compte, pensais-je, tout en étant quand même inquiet de répercussions futures. Après tout, il ne faisait pas vraiment froid et je savais qu'au bout d'un moment, je m'habituerais. Je fus nu en un tour de main.
- Mets-toi à genoux ici, de dos !
et son doigt m'indiquait le tapis tout près d'elle.
Alors, elle se redressa sur son siège et passa ses jambes de chaque coté de mes cuisses. Le nylon de ses bas contre la peau de mes fesses, le ton des ordres
donnés et, plus que cela, le regard que je conservais sur ses pieds en sandales commençaient à m'exciter.
- Les mains!
Je compris et croisai les poignets dans mon dos. Aussitôt, je sentis les menottes se refermer dessus.
- Retourne-toi, face à moi!
Elle leva les bras pour détacher la petite chaînette qu'elle portait au cou présentant ainsi sous mon nez le creux de ses seins parfumé et subtilement dévoilé par son corsage. Cela acheva de gonfler mon sexe en cage coincé tel une limace dans une éprouvette.
Alors, elle ouvrit le petit cadenas et retira le tube qui tenait mon sexe en sa dépendance. Comme j'aimais le contact de ses doigts sur ma peau ! Sa façon impérieuse de me saisir, comme pour « tâter la marchandise », pour s'assurer de la qualité de son bien, mais en même temps pleine de la chaleur et de la douceur de ses mains, me jetait dans le trouble le plus profond. Je ne savais plus si j'étais un esclave ou un homme ordinaire qu'une femme caresse avant l'amour. Elle me ramena à la réalité.
je m'allongeai tant bien que mal entre le canapé et la table basse, veillant à tenir mon sexe à l'endroit qu'elle avait précisé. Même sur ce tapis, l'inconfort était total. Je ne savais comment placer mes bras dans mon dos. Je gigotais sans cesse. Deux coups de talons dans les côtes.
je me calais, au mieux, sans bouger. Le côté me brûlait, les coups de talons n'avaient pas été tendres ! j'essayai d'oublier cette douleur quand, à nouveau, ses talons se firent sentir. Cette fois, c'était nettement moins violent, elle avait simplement posé ses pieds sur mon ventre, les talons aiguilles plantés dans les cuisses et les couilles. Elle resta ainsi un bon moment. Elle dégustait son dessert, savourait, prenait son temps et suivait le film sans me porter la moindre attention, sauf quand elle changeait de position. A chaque fois qu'elle déplaçait ses pieds, pesant sur un talon, en faisant ripper un autre, je ne pouvais réprimer un mouvement, un gémissement. Là, sans un regard, elle prenait le temps de me consacrer un nouveau coup de pied. Moi, je ne songeais qu'à une chose : améliorer ma position. Par des mouvements que je voulais imperceptibles, je m'efforçais de changer la position de mes bras, de soulager mes épaules qui me faisaient souffrir au moins autant que ses talons, autant dire que le film, je n'en ai aucun souvenir !Pourtant, malgré l'inconfort de ma disposition, les souffrances de ma peau martyrisée, ma situation avait un avantage : j'avais une vue superbe sur le haut de ses bas sous la jupe, ce bout de chair féminine, support de tous les fantasmes mais dont l'accès m'était refusé.
Enfin, vinrent les pubs.
Comme de coutume, elle se leva pour aller aux toilettes. J'en profitai pour souffler un peu, gigoter, m'auto masser.
Quand elle revient s'installer, et alors que je me préparais à souffrir, elle m'annonça :
j'acquiesçais. Ca faisait bien huit jours que mon sexe se lamentait d'ennui. Elle retira prestement ses sandales, enfin, j'allais avoir ce que
j'attendais depuis quarante-cinq minutes : Ses pieds sur ma bouche.
Que nenni ! Elle décida de s'orienter vers un autre endroit et elle enserra ma queue, « sa » queue, pardon, avec ses orteils. La douleur des talons, leur poinçonnement, leurs
griffures qui avaient bien calmé mes ardeurs étaient changés en frôlements de nylon, en douces et chaudes pressions. Je retrouvai vite une vigueur considérable. Mais rapidement, l'anneau de la
cage de chasteté qui était resté en place, comme toujours, me rappela ma condition d'esclave.
Plus je désirais ces pieds, plus il me serrait. Ca brûlait, de plus en plus, jusqu'à devenir insupportable. La souffrance noyait le plaisir et je faisais des efforts intellectuels intenses pour
penser à autre chose : les impôts à venir, les soucis avec les locataires, la politique. Bernique ! Ses caresses, particulièrement adroites ne cessaient pas et ma queue ne cessait de
gonfler inexorablement et de m'infliger un supplice terrible.
Enfin, elle s'arrêta. Allongeant les jambes, elle posa les pieds sur le canapé. Tout doucement, très doucement, je parvenais à calmer mon excitation. Je fermai les yeux, décidai de m'intéresser
au film, tiens, pourquoi pas ? A la bande son, du moins. Mais quoi, ces caresses, que c'était bon ! S'il n'y avait pas ce foutu anneau. Déjà, je commençais à l'oublier, ne me souvenant
que de la sensation du nylon sur mon gland. Et j'espérais, je redoutais. Et je m'apercevais que sous cette torture, les meurtrissures de mes bras et de mes épaules avaient été oubliées, elles
revenaient sans attendre.
Aussitôt, ses pieds reprirent leur manège, aussitôt la douleur revint, immédiate cette fois. Elle glissait sur la hampe, flattait les couilles du cou de
pied, serrait le gland entre les orteils. Mon supplice s'amplifiait et malgré cela, tout au fond de moi, la flamme de ma soumission volontaire en était ranimée. Mon moi profond me disait :
voilà, ta place est là, ton corps offert, ta souffrance offerte, tu lui appartiens, elle peut faire ce qui lui plait de toi et c'est bien ainsi.
Elle recommença ce petit jeu jusqu'à la fin du film, générique compris, enfin, j'allais souffler. Eh non ! Le débat qui suivait en rapport avec le film suscita toute son
attention...
Ensuite, c'est une autre histoire......
.....qui commence dès ce matin, dans un peu moins de trois heures, le chien m'aura rejoint, il sera prosterné, agenouillé sur Mon paillasson, craintif
et angoissé qu'il soit vu ainsi par un voisin, attendant que j'ouvre la porte, sa tête sera bien basse, à la limite du sous espace, et Mon Pied chaussé d'escarpin en chevreau se posera sur sa
tête; un rituel inaugurant ces trois jours que nous passerons dans une grande ville que nous connaissons mal, dans un hôtel de charme, trois jours à mi-chemin entre
déambulations touristiques (voire gastronomiques!) et remise à niveau en soumission pour Mon lèche bottes. Je ne vous confierai pas notre destination afin d'éviter les invitations toujours
possibles que nous ne pourrions honorer.....nous apprécions notre intimité D/s.......
.... il descendra Mes bagages, il ouvrira la porte arrière gauche, je m'y installerai. Il fera son office de chauffeur alors que mutine, Mes deux Pieds se poseront de chaque côté de ses épaules,
taquinant sa bouche, violant ses lèvres.....mais il devra rester concentré sur la conduite!!! Ah! La tête de la "péagiste", l'été dernier! Et les bouchons interminables au retour du Cap
D'Agde, en mai dernier! Les bouchons m'ennuient, alors je Me suis défoulée, Il fut contraint de Me lécher les orteils en public, l'habitacle d'une voiture n'abritant pas des regards extérieurs,
du voyeurisme.... Pour cette raison, le chien-chauffeur craint les feux rouges, les stops, les embouteillages, toutes ces possibilités d'arrêt du mouvement induisant l'épreuve de l'humiliation
publique.....j'aime humilier Mon chien, et je sens en Moi une envie irrésistible de le faire, dès son arrivée.....il fera Ma vaisselle d'hier soir, et je sais qu'il le fera à contre coeur au
départ, puis la situation va l'envahir, il se fondra en elle, sa situation privilégiée d'esclave......et il prendra plaisir à récurer Mes WC, la baignoire, passer l'aspirateur. C'est décidé, nous
commencerons ainsi.......
A dimanche soir, pas avant.....
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