Jeudi 5 février 4 05 /02 /Fév 11:36

Un des derniers textes du talentueux "chien gégé", lequel nous laisse augurer prochainement  de la publication d'un article très sulfureux, il s'agit d'une soirée passée à regarder la télévision......


Un don de soi sans équivoque....

 

Pour commencer, elle se met à genoux et suce, ensuite, quand c'est bien dur, on la couche et on lui écarte les cuisses, enfin, on la prend et on jouit. Voilà un homme !

 

Non, un soudard soumis à sa libido primitive et dévoyée qui n'a pas compris l'ordre naturel des choses entre les hommes et les femmes.

Ou est ma place ? Que suis-je ? Quel est mon rôle ?

Sous Ses Pieds. Un gode sur pattes. Tenir à Sa disposition l'objet qu'Elle désire.


Voilà le sens profond de cette situation où un mâle, assigné à une position choisie par Elle, pour le temps qu'Elle décide, présente à Celle qui le possède l'objet qu'Elle souhaite utiliser selon Sa volonté aussi longtemps qu'il lui plaît.

Et afin que le don soit sans équivoque et le plus total, qu'il et Elle soient surs que le plus intime de lui-même appartient à Elle , le plaisir qu'il pourrait retirer de ce jeu est refusé et changé en souffrance.

 Car, de plein droit et comme de juste, Elle lui a pris son plaisir pour ajouter au Sien. Il commettrait un vol s'il reprenait ce qui ne lui appartient plus. Son instrument de plaisir qui fut instrument de domination sur Elles, devient ce qu'il n'aurait cessé d'être : instrument de plaisir pour Elle...

..... et de soumission pour lui.

Déposé à Ses Pieds, sans volonté propre, jouet obéissant à un simple mouvement de Son Pied, se taisant là, ne demandant rien et restant aux ordres.


Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : BDSM
Ecrire un commentaire - Voir les 11 commentaires
Mercredi 4 février 3 04 /02 /Fév 08:59
Malgré votre non-réactivité (très impolie vis à vis des auteurs...et de Moi-même....)face aux derniers textes publiés, voici pourtant la suite du voyage de "bootshine" (alias Charles.......) en Gynarchie.....bonne lecture, et encore merci à lui pour cet inédit si bien écrit.......

Lorsque nous quittâmes la chambre pour nous rendre au club, elle ordonna : "tu restes derrière moi et tu gardes les yeux baissés !", la dominatrice avait, après ce court instant de détente, repris le dessus.
Lorsque nous arrivâmes, plusieurs dominas étaient déjà présentes, accompagnées ou non, mais je remarquai que j'étais le seul homme habillé dans la pièce !!!
Katia fût chaleureusement accueillie par une "consœur" qu'elle avait eu l'occasion de rencontrer en soirée sm, celle-ci me dévisagea un instant, enfin quand je parle de dévisager, je dirais plutôt qu'elle me regarda de la tête aux pieds, puis elle murmura quelque chose à l'oreille de Katia, qui finit par sourire en me regardant...
Ce mélange "autorité-complicité", c'est tout ce que j'aime ! Décidément, les choses commençaient plutôt bien.
Après un brin de causette, Katia finit par s'installer sur un siège confortable, qui, selon toute évidence lui était réservé.
Avant de s'asseoir, elle me glissa à l'oreille : "va  me chercher une coupe !" Elle omit ostensiblement de me demander si j'avais soif, chose bien inutile d'ailleurs, car je crois que les hommes en cet endroit n'ont pas le droit de consommer.

Lorsque je revins, elle était confortablement installée, sans me regarder, elle prit la coupe et donna l'ordre de m'agenouiller à côté d'elle, puis me dit : "encore une chose, j'ai remarqué que depuis que tu es arrivé, tu n'as pas les yeux en poche !" et je dois avouer qu'elle n'avait pas tout à fait tort, mais bon, pour reprendre la comparaison hasardeuse ci plus haut, c'est comme emmener un enfant à disney-land et puis lui demander de fermer les yeux !
 
 "Tu tiens la coupe, le cendrier et tu fixes la pointe de mes bottes et UNIQUEMENT LA POINTE DE MES BOTTES pour le restant de la soirée!"

Puis elle s'approcha de moi et tout en pointant du doigt le bout de ses bottes, me glissa à l'oreille : "pour chaque regard autre que celui-là, tu seras puni !"..." La règle du Fois deux" ajouta-t-elle.
ça, c'était tout elle ! Jalouse comme une tigresse, possessive à l'extrême, mais... seulement dans certaines situations !
Parfois, nous pouvions parler de nos aventures respectives, en rire, se conseiller l'un l'autre sans arrière pensée et parfois...mmmmm...
Elle me dit un jour que sa passion pour la domination était étroitement liée à cela ! Le désir de posséder, complètement, sans aucun compromis... être le centre, l'unique objet de désir... Une certaine forme d'absolu...
A l'époque, çà me laissait perplexe, maintenant, je crois comprendre un peu mieux, surtout connaissant son histoire et ce qui se passa par la suite, mais bon, arrêtons là cette parenthèse pour reprendre notre récit.
Katia utilisait parfois la règle du "fois deux" pour les punitions. Je vous explique : première motif de punition : un "tarif déterminé" : 2 coups de cravache par exemple, deuxième faute, 4 coups, troisième, 8 coups, et ainsi de suite.
Cela peut paraître peu, surtout vers le début, mais par la suite, la moindre petite erreur ou inattention peut donc vous coûter très cher, si elle se répète, ainsi dans l'exemple cité, la cinquième incartade vous coûtera 32 coups ! La suivante : 64 ! La Maîtresse se réservant, et elle seule, le droit de remettre "le compteur" à zéro et de faire "durer" cette période autant de temps qu'elle le désire.  Alors, croyez-moi, si la période punitive s'étale un peu dans le temps, vous avez intérêt à vous tenir à carreaux !

Je fixais donc mon attention sur la pointe des bottes de Katia, maintenant tant bien que mal le cendrier dans une main, sa coupe de champagne dans l'autre, ce qui n'était pas si aisé, vu l'état dans lequel je me trouvais !...;-)
L'ambiance était très hétéroclite, tour de Babel où se parlait plusieurs langues, voix uniquement féminines, les hommes présents se tenant dans le silence le plus absolu.
Katia ne paraissait plus du tout me prêter attention, elle échangea même quelques mots avec une autre Dame présente d'origine Russe comme elle, sans que je sois capable de comprendre le moindre mot.
Puis entra dans la pièce Madame Christine précédée de 3 hommes nus, où peut s'en fallait, à quatre pattes, qu'elle faisait avancer à grands coups de bottes et de cravache sans aucun ménagement, elle les haranguait en tchèque et paraissait vraiment intraitable.

Comment voyais-je me direz-vous ? Du coin de l'oeil vous répondrais-je, car l'être humain possède un champ de vision assez large après tout.
"Slave" était parmi eux, ce que ne m'avait pas dit Katia.
Le silence se fit, il commençait à régner dans cette pièce une atmosphère solennelle, peu propice aux éclats de voix et rires qui l'occupaient encore quelques instants auparavant.
Madame Christine lu à haute voix un document qu'on lui apporta, dans le style parchemin, décidément, ils faisaient bien les choses et rien n'était laissé au hasard.
Je pense que ce qu'elle lût, c'était le nom des "condamnés" qui attendaient, toujours à quatre pattes, et la sentence qui allait leur être appliquée.
Katia perçut mon regard de biais, elle se pencha vers moi et me glissa à l'oreille "fois deux".... Oui, mais fois deux quoi, me dis-je ? Car elle ne m'avait pas fait part du "tarif de base" qu'elle comptait appliquer.
Je trouvais évidemment le moment peu propice à de longues explications et me dit que chaque chose viendrait en son heure.
Le premier châtiment avait commencé. Les coups portés par Madame Christine pleuvaient sur le corps nu de l'esclave qui confirmait, d'après ses gémissements, que Madame Christine n'y allait pas avec le dos de la cuiller. Je me rappelle son physique angélique, ses longs cheveux blonds qui descendaient à la taille, une très jolie femme en vérité, mais il émanait d'elle une certaine cruauté par moments.

Et de manière générale, je ne conseillerais d'ailleurs à quiconque d'aller là bas s'il n'est pas vraiment décidé et d'un naturel robuste, car d'après ce que j'ai vu, on ne plaisante pas avec ces choses là.
Puis ce fût au tour de "slave" de prendre place sur le chevalet.
Katia se pencha pour secouer sa cigarette au-dessus du cendrier que je tenais toujours, elle en profita pour me glisser à l'oreille : " 256 coups de canne anglaise", je pus lire sur ses traits en cet instant précis quelque chose que je ne lui connaissait pas. Je jetais un œil au pauvre slave sur qui les coups commençaient à tomber, ce qui me valu un "fois quatre" bien mérité.
Arrivé au 100° coup, slave avait du mal à se tenir, Katia me dit doucement : "elle y va un peu fort pour lui, je vais arrêter çà"
Katia paraissait connaître le degré de résistance de ses soumis.
L'art consiste à s'arrêter juste avant... ou juste après le seuil de résistance de la personne pour que la douleur ne prennes pas le pas sur le plaisir tout en essayant de pousser le sujet à dépasser ses limites. Ce qui paraissait être le cas.

Elle intervint en anglais pour signifier à Madame Christine qu'elle avait assez entendu ce chien gémir, qu'on le reconduise au cachot , que l'on terminerait la punition plus tard, en ajoutant 50 coups portés à pleine force pour le désagrément que slave avait causé à l'assemblée par ses cris et gémissements fort mal à propos. Bien joué, me dis-je, elle évitait ainsi de perdre la face devant ses consœurs, tout en mettant fin au supplice. Mais à son air, je me dis que slave allait payer tout çà plus tard. Et comme je la regardais, elle me fixa et dit : "fois huit" ! Elle était furieuse !
Le troisième condamné eut droit à un bon quart d'heure de flagellation lui aussi. J'aurais bien pût dire qu'ils sortirent tous trois à quatres pattes, mais comme de toute façons, ils n'avaient pas d'autre choix. :-))

"Tu as vu ce qui t'attends si tu n'es pas sage" me dit-elle, sachant pertinemment que ce n'était pas vraiment le genre d'exercice que j'affectionnais tout particulièrement. Nous nous fixâmes dans les yeux... en ce moment, elle aurait bien pu dire fois 16 ou fois 32, je n'en avais cure, c'est le type de moment privilégié dont il faut profiter pleinement où je ne sentais plus rien que le désir qui m'envahissait, me faisait chavirer les sens, je ne me sentais plus exister que pour Elle......... que par Elle.........................
Elle fit glisser nonchalamment son pied gainé de cuir dans mon entre jambe.....

..... et sentant la "bosse" qui s'y était formée, elle dit : "et bien, et bien...." elle avança ses deux mains, avec le dos, puis la paume, elle entreprit de me caresser la poitrine, la pointe des seins... elle faisait tout çà discrètement, sans avoir l'air d'y toucher avec un naturel qui laissait sans voix, tout en continuant à me fixer. Elle me glissa à l'oreille : " peut-être plus tard, si tu es bien sage".... J'avais le sexe qui commençait à faire mal tant il était dur et pour dire la vérité, je ne sais pas si j'aurais pu résister à tel traitement si nous ne nous étions trouvé là bas justement.
La fin de soirée au club se passa gentiment....

.... Katia discuta longuement, lia connaissance, elle m'avait demandé de la suivre à genoux, et de rester juste derrière elle, j'avais donc la tête au niveau de ses fesses... que j'affectionnais tout particulièrement.... çà, elle le savait et avait donc décidé de me rendre fou... fou de désir... lorsqu'elle se déplaçait, je me "collais" à elle, tant bien que mal, respirant ainsi les effluves de cuir, mêlée à ses odeurs  intimes, çà peut paraître irréaliste, mais je vous assure que c'est le cas ! Phéromone ou autre explication, je commençais à me dire que je n'étais peut-être plus le seul à être en état d'excitation... puis pour ces choses là, j'ai le nez fin...;-)
Cette odeur, j'aurais bien pût la reconnaître entre milles... C'était l'odeur de nos ébats...
 
Bientôt la suite, si vous avez apprécié et que vous le montrez....
 
Merci au site www.owk.cz  pour les illustrations.
Par MAEVA - Publié dans : Littérature
Ecrire un commentaire - Voir les 18 commentaires
Samedi 31 janvier 6 31 /01 /Jan 07:08

..... magnifique texte de "chien gégé", lequel prend une place de plus en plus importante sur le site.....il n'est plus le visiteur anonyme et pertinent que j'ai connu il y a quelques mois.......


Livré à Vous et offert, toutes protections retirées et impossibles. Toutes sauf le bandeau sur les yeux. Il me protège plus sûrement que si mes membres étaient libres. Protégé de la peur de moi-même, de la peur de mon regard, de ce qu'il pourrait montrer et voir. Tenu dans l'ignorance de mon sort à venir pour être davantage jouet entre Vos mains et à Vos pieds. Votre excitation que je ressens presque comme si elle était mienne à mesure que je subis Votre cruauté. Etonnant comme je peux supporter la souffrance quand je me sens pris, possédé, utilisé par Votre plaisir. La fin des supplices qui n'est qu'une pause, le désir et le refus de leur recommencement pour qu'à nouveau Votre jouissance me rassure et que ma douleur me re-dise que je suis Votre.

 

Bientôt, d'autres textes de "chien gégé"......

Par MAEVA - Publié dans : Littérature - Communauté : Soumis & Soumises
Ecrire un commentaire - Voir les 22 commentaires
Vendredi 30 janvier 5 30 /01 /Jan 08:43


Je me sens harcelée par le désir de certains d'entre vous, cela m'agresse, je me sens prise comme par un piège que j'aurais fabriqué moi-même.....ainsi ce blog qui "bouffe" Mon temps libre et Mon énergie. Alors, reprenons un peu les modalités de nos échanges: Ce site est un site fétichiste, fondé sur la Suprématie Féminine et la relation réelle MAITRESSE/ esclave. C'est un lieu d'échanges et d'écoute de l'autre, un lieu de promotion des talents, un lieu de culture, un lieu libertin et libertaire, un lieu de formation permanente..... quant à Moi, je suis une Dominatrice de quarante ans, je possède un esclave, il se nomme feet-le-chien, il m'obéit en tout, il doit vivre à Mes Pieds, et il m'appartient depuis dix neuf mois, je n'en cherche pas d'autres, il est inutile de proposer sa candidature, elle ne fera que m'agacer..... il y a quelques années, j'avais plusieurs soumis. Maintenant, j'ai un esclave, et j'anime de plus un site internet fondé sur cette relation - unique - comme quoi il y aura eu des changements dans Ma vie. Enfin, il est remarquable que certains d'entre vous deviennent de plus en plus arrogants, leur ancienneté sur le blog les gonflant d'une assurance flirtant avec la suffisance, ne m'a t'on pas accablée de reproches ce matin, dans un commentaire? La coupe est pleine! Si vous ne trouvez plus assez d'attrait à ce site, quittez-le, je ne retiens personne!
Si vous restez, soyez inventifs, créatifs, dingues, marrants, étranges, mais cessez ces larmoiements sur votre pauvre condition humaine, et considérez bien que je ne suis qu'une image, des textes, parfois une voix losqu'il y a une vidéo.....ni plus, ni moins..... je suis votre guide sur la Voie......



.....vision de Mon esclave de bain, j'ai nommé l'incontournable feet-le-chien......agenouillé et nu devant la baignoire, Mon Pied nu à trente centimètres de son visage.....un vrai supplice de Tentale....


...... après m'avoir déchaussée, le chien fait une petite toilette à Mes pieds, un peu moites et échauffés en cette fin de journée..... ce service est hygiénique et relaxant.....pendant ce temps, je déguste une coupe de Mum qu'il vient de Me servir.....excellent feet.....


.....il Me sert aussi de pouf, de guéridon, de coussin, de carpette.....qu'importe le nom, il est objet domestique voué à Mon confort, au confort de Mes pieds qu'il doit vénérer....


.....paillasson pour décrasser Mes semelles.....

....lèche bottes attitré: il ne lui viendrait pas à l'esprit de cirer Mes bottes sans les avoir préalablement nettoyées de sa langue servile et lustrées avec ses cheveux (et sa nouvelle barbe).....

....le vernissage est une des prérogatives de l'esclave de Pieds..... il a persévéré malgré sa vue défaillante de trop prêt, je lui ai tout appris, mais j'ai une pédagogie adaptée aux esclaves: à chaque bavure, un coup de cravache dans la simultanéité....sur la joue, ça fait un mal agaçant.....


..... le soin de Mes Pieds suit toute une série d'actes très ritualisés, cela commence par le léchage intégral, après m'avoir oté les souliers portés trop longtemps à Mon goût. Avec du dissolvant, il retire l'ancien vernis qui commence à s'écailler. Je prends ensuite un bain de Pieds avec de la fleur de sel, température: 30°....Généralement, il doit ensuite boire une partie de l'eau en signe de communion à Moi, le week end dernier, j'ai trouvé plus drôle d'exiger qu'il se cuisine des spaghettis avec....l'eau du bain de Mes Pieds. Il a beaucoup apprécié cette humiliation, et particulièrement de manger ses pâtes sous la table, pendant que Maîtresse A, Sa fille et Moi, à "l'étage" du dessus (le dessus du panier! ) nous nous délections de gambas flambées au Calva (c'est un bon cuisinier..). Après le bain de Pieds, il doit les essuyer.....et souvent, il  les embrasse avec passion....
..... il doit ensuite les enduire d'une crème à la gelée royale (ne suis-je pas une Reine?), il doit limer les rugosités, les peaux mortes, les ongles, il doit les recueillir et les avaler: "Prends! Ceci est Mon corps!"......il peut ensuite parachever le travail en vernissant les ongles......


...... feet-le-chien est Mon chien, il est aussi  cuisinier, valet, domestique, homme de ménage chez Moi (une fois par semaine, quatre heures de ménage), il est aussi l'accompagnateur de Mes vacances et de Mes loisirs, il doit Me suivre partout, porter Mes bagages, M'ouvrir les portes, être à Ma disposition et prêt à répondre à Mes moindres caprices........

.....chauffeur.....il a oublié sa casquette....

.....souffre douleur, lorsque je suis énervée, comme ce matin en lisant l'unique commentaire du jour....

......bouillotte pour les longues soirées hivernales.....si vous saviez combien il est heureux ainsi....

..... le chien feet est à Moi, c'est Mon objet sexuel, Mon gode......feet le chien est aussi Mon amant, ou plutôt Mon "amiant" comme le disait si joliment Charles...... sa soumission à Moi, sa personnalité font "qu'il Me fait kiffer grave", comme le dirait Mon djeun de fils, ....j'aime bien m'exprimer par cette terminologie de la culture dominée.....la culture jeune.....multi-ethnique....

.....le chien quant à lui vit dans l'addiction à Ma Domination.....elle le nourrit, le ressource, ses veines charriant des flops d'endorphines , cette morphine naturelle faisant la sensation du sous espace.....il est en recherche d'absolu, il Me voudrait plus dure, je sais qu'il n'a pas encore franchi ses propres limites....


Enfin, et pour conclure ce "billet d'humeur" provoqué par l'un d'entre vous, je peux éviter de vous évoquer cette relation si cela doit soulager votre jalousie et votre frustration......cependant, je vous rappelle l'intitulé du blog, et cela dès le départ: il s'agit de MAEVA et son esclave, de façon générique.....

Par MAEVA - Publié dans : Billet d'humeur
Ecrire un commentaire - Voir les 32 commentaires
Mercredi 28 janvier 3 28 /01 /Jan 18:14
Mon ami "bootshine", alias Charles a séjourné à O.W.K....... Il nous raconte avec beaucoup de talents son expérience, son texte est illustrè par Moi, certaines photos sont de lui. Je vous souhaite une lecture haletante, les épisodes de cette longue et magnifique histoire vécue seront publiés tous les trois jours environ. J'apprécie beaucoup la tournure que prend le site, je le voulais interactif , lieu de création et d'échanges, et en ce sens, je ne suis pas déçue, même si certains d'entre vous sont encore peu réactifs.


Je suis allé à OWK, mais il y a longtemps déjà... fin des années nonante ... comme j'étais à Prague, j'en ai profité... je pense que c'était les débuts...ce fût un souvenir inoubliable !
La plupart des Dames présentes là-bas à l'heure actuelle ne s'y trouvaient pas encore à cette époque, d'autres n'y sont plus, ou moins régulièrement, mais se sont forgé une réputation au niveau international : Madame Christine.....

Madame Sarka....


Je pense qu'il existe une différence fondamentale si l'on y va accompagné ou seul. Pour ma part, j'y suis allé avec une amie, dominatrice, elle même accompagnée d'un de ses esclaves, et si j'emploie ce terme, c'est à dessein, vous verrez un peu plus loin pourquoi.
Il existait à l'époque ( je ne sais pas si c'est toujours le cas ) deux "statuts" possibles pour les hommes :
 
-soit esclave pur et simple, donc soumis à toutes les dames présentes, dans les limites de ce que l'éventuelle Maîtresse en titre veuille bien accepter...

-soit "visiteur", un niveau plus haut, bien que restant en-dessous des niveaux supérieurs appartenant exclusivement à la gent féminine, c'est donc ce statut qui m'était attribué.
Comme j'étais déjà à Prague pour raisons professionnelles, j'allai chercher mon amie Katia, à l'aéroport...

 ...accompagnée de son esclave qui portait ses valises. Elle était ravissante comme toujours, lui se tenait derrière elle, les yeux baissés, n'osant déposer les valises, même lorsque nous prîmes une boisson à la cafétéria.
Dans un premier temps, ceci me mit mal à l'aise, je dois avouer, même s'il était logique de penser que tout ceci fasse partie d'un scénario savamment orchestré à la demande même de la personne en question...
Je n'étais pas non plus très chaud quand elle accepta mon invitation en me disant qu'elle serait néanmoins accompagnée, mais que je ne devais pas m'en faire, car "cela ne nous gênerait pas".
Entre deux gorgées de thé, elle me dit que "slave" l'accompagnait en "stage punitif" et n'aurait pas droit à grand chose de plus que brimades et punitions durant les deux jours qu'elle comptait passer là-bas.
Il dormirait et passerait la plupart de son temps au cachot !!!
"Quant à toi, me dit-elle, si çà t'intéresse, ma chambre est munie d'une cage....

... tu pourras ainsi veiller son mon sommeil..." elle me dit cela en arborant un merveilleux sourire plein de malice.
 Les relations que j'entretenais avec Katia furent toujours teintée d'une certaine ambiguïté, en effet, jamais je ne fus l'un de ses "clients", puisque, au départ, nous étions amants, et que, en toute humilité, je pense l'avoir, dans une certaine mesure, "guidée", même si je pense qu'elle avait certaines dispositions en la matière...peut-être ai-je, en un sens, servit de "révélateur".
Nous nous voyions de temps à autre et nous aimions à penser que nous étions "amiants", terme que nous avions inventé pour nous situer entre amants et amis, comme vous l'aurez certainement compris.
Il arrivait aussi qu'elle me demande, surtout depuis qu'elle pratiquait en "professionnelle", de passer la nuit à ses côtés, sans rien d'autre à partager que beaucoup de tendresse.
Ce petit aparté pour essayer de vous faire comprendre quelle était la nature de notre relation.
Mais là, en l'occurence, je sentis qu'elle avait envie de "jouer", c'est le terme que nous employions... L'un de nous pouvait téléphoner à l'autre en lui demandant : "tu as envie de jouer?"... nous savions l'un et l'autre ce que çà signifiait...;-) et là, en l'occurence, je savais qu'elle avait envie de jouer avec moi, même si ce n'était pas clairement formulé.
Je commençais donc à ressentir une certaine excitation, et c'est peu dire...d'autant qu'avant de nous rendre à OWK, nous fîmes un détour par le centre de Prague ou son "slave" comme elle l'appelait fit les frais de plusieurs tenues et d'une paire de bottes magnifiques qu'elle essayait devant moi, me demandant si cela me plaisait, un sourire aux lèvres...question inutile puisqu'elle connaissait parfaitement mes goûts en la matière...

Je ressentais de plus en plus d'excitation, mêlée d'une certaine gène, le slave, derrière nous, de plus en plus chargé, je proposais de porter moi-même quelques paquets, ce qu'elle refusa catégoriquement.
Un peu plus tard, nous arrivâmes donc à OWK tous les trois.
Slave , à la demande de Katia, fût immédiatement pris en charge par Madame Christine....

.... qui lui intimât, après qui lui eut embrassé les bottes, de la suivre pour enfiler sa tenue de prisonnier et le conduire au cachot. Nous nous rendîmes à notre chambre, accompagnés de deux esclaves "maison" prenant le relais de slave pour porter les paquets.
La chambre était spacieuse et très confortable, dans un coin, comme annoncé, trônait une cage, dont les dimensions permettaient facilement l'enfermement d'une personne, sans pour autant qu'elle puisse s'y sentir à l'aise.
 
Katia congédiât les deux porteurs, nous nous retrouvions seuls.
"Ces bottes sont très jolies, mais elles me font mal" me dit-elle, se couchant sur le lit. Allongée, elle lançait une jambe en l'air après l'autre, admirant les bottes.
Je restais les bras ballants, ne sachant trop que faire, lorsqu'elle me dit : " qu'attends-tu pour me les enlever et me faire un petit massage des pieds ?"... ( ce qui prouve bien qu'un mâle a tendance à perdre une partie de ses moyens, de ses facultés cérébrales et finesse d'esprit lorsqu'il est confronté à ce genre de situation:-))
Je m'agenouillais devant le lit où je commençais à baisser la fermeture éclair de ses bottes, les enlevant précautionneusement l'une après l'autre, puis je lui massais doucement les pieds.

Les images de la journée défilaient devant mes yeux, surtout l'arrivée à OWK qui est vraiment très impressionnante, avec cette grande porte de bois, cet imposant bâtiment ancien, les Maîtresses, esclaves présents, tout concourt à vous faire entrer dans un monde très à part, tenant du rêve pour certains et du cauchemar pour d'autres, monde où les femmes règnent sur les hommes de manière absolue !
 
C'est un peu le "disney-land" du sm là-bas !...:-) Vous avez beau savoir que tout n'est question que de mise en scène, il est difficile de ne pas être envahi par l'émotion, l'impression que finalement, le monde réel a basculé dans celui de vos fantasmes, pour autant, bien entendu, que ceux-ci "colle" à cette image.

Me retrouver ainsi aux pieds de Katia, là-bas, créa en moi cette envie de "jouer le jeu à fond" si l'on peut dire, chose assez rare chez moi, qui ai pour habitude (bien involontaire ceci dit) de garder toujours un pied en dehors, telle une petite voix qui se fait entendre "tout ceci n'est qu'un jeu destiné à prendre du plaisir"...
Cette tendance m'a, dans la majorité des cas, conduit à devenir l'ami ... ou l'amant plutôt que le soumis, statut que, tout à fait sincèrement, j'ai toujours eu du mal à "tenir" au jour le jour.
Mais là, en l'occurrence, tout fût différent ! Même si... enfin, voyons çà un peu plus tard.
Revenons donc à nos moutons : à cet instant, je sentis monter l'envie de me laisser aller à cette partie de moi-même, qui, sans jamais avoir pris le pas sur ma personnalité profonde, fût toujours présente. J'avais envie, moi aussi, d'être aux pieds....

.... de servir, prêt à accepter brimades et punitions... en fait, sans mettre de nom sur cet état, j'approchais du "sous espace", terme inconnu pour moi à l'époque, bien que parfois (quoique rarement) atteint.
Katia s'en aperçut, car elle me connaissait parfaitement.
"Je vais aller faire le tour du propriétaire", me dit-elle," et toi, pendant ce temps, tu défais les valises; range tout çà avec soin, surtout les chaussures, il y a un nécessaire à cirer et un fer à repasser, je veux que tout soit impeccable à mon retour !"
Et le fait, justement, que je ne connaisse pas le temps qu'elle mettrait à revenir faisait peser sur moi un certain stress.
Je l'aidais à enfiler une robe ultra moulante, chausser ses escarpins noirs à talons aiguilles....

 .....et, tandis que j'étais déjà en train de m'afférer, elle retoucha son maquillage et sortit sans un mot, ni un regard.
 
Je venais de finir le rangement, repassé deux robes, un chemisier et ciré une paire de bottes lorsqu'elle rentra, elle paraissait plus "joueuse" que jamais. Elle passa l'inspection, et somme toute, paraissant ravie de mon travail, elle me dit qu'elle était invitée par Madame Christine au club (dont j'ai oublié le nom), pour y participer à une séance punitive de plusieurs esclaves..

"Tu m'accompagnes ! Alors, fais-toi beau" lança-t-elle et tandis qu'elle se dirigeait vers la salle de bain pour y prendre une douche.
 Je m'efforçai donc de "me faire beau"...:-) Je savais ce qu'elle entendait par là, elle m'avait dit un jour que je ne me mettais pas assez en valeur, nous étions sortis en discothèque, et le public, assez jeune, il faut bien le préciser, était plutôt habillé "olé olé"..
.;-)... pour ma part, plutôt sobre, je portais mon éternelle chemise noire un peu large. "Tu n'as rien à leur envier" m'avait-elle dit, ce qui m'avait flatté, n'osant lui répondre que je ne leur enviais rien du tout au demeurant, et que j'aimais porter cette chemise :-)...
Elle m'avait offert le lendemain un polo très moulant que je n'aurais jamais pensé acheter moi-même, mais bon, j'avais accepté le cadeau de bonne grâce...
 
J'enfilai donc le fameux polo que j'avais pris soin d'emporter et me regardait dans le miroir, pas si mécontent que çà du résultat finalement...:-)
Comme elle sortait de la salle de bain, elle sourit en me voyant... comme il est agréable d'avoir une complicité telle que celle là, qui vous rend les mots inutiles, vous donne l'impression de pouvoir communiquer rien que par un regard !
Katia enfila un pantalon de cuir qui mettait en valeur sa plastique irréprochable, puis un chemisier blanc qu'elle fit rentrer dans une énorme ceinture de cuir, elle me demanda de lui enfiler une paire de bottes que je lui avais offerte quelques temps auparavant.

Merci aux sites "the English Mansion, et O.W.K.......
(à suivre... mais seulement si vous suppliez)
Par MAEVA - Publié dans : Littérature
Ecrire un commentaire - Voir les 51 commentaires
Mardi 27 janvier 2 27 /01 /Jan 11:50




...... une prosternation naturelle.....jamais exigée.....un besoin vital pour le chien.....


..... et s'il Me vient des idées libidinales (comme bien fréquemment!), je prépare Mon gode vivant, je le "chauffe" ainsi pendant une bonne heure, il gémit de plaisir, de désir, il en oublie la douleur aux genoux, pourtant bien réelle, il est à Moi.........mais cette fois, je le sais, complètement......il m'a demandé un avenant à notre contrat: la possibilité d'être Mon esclave jusqu'à sa mort...... qu'en pensez-vous?


..... en Ma présence, il porte désormais un cockring en cuir, très serré, qui lui prend testicules et son outil soit disant érectile, il porte de plus un anneau pénien en métal qui lui va comme un gant au repos, mais qui le serre beaucoup pendant ses longues érections (il bande parfois pendant cinq ou six heures de suite....), ça me rappelle un commentaire de "chien gégé" où il évoquait sa propre expérience, lorsqu'il était allongé et nu sous les Pieds de sa Domina qui regardait le film du dimanche soir.......j'ai tant aimé son commentaire que j'aimerai bien qu'il en fasse un petit "papier" pour le blog....... "chien gégé", "sous bottes"....... Charles..... Mes journalistes attitrés......

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : Soumis & Soumises
Ecrire un commentaire - Voir les 19 commentaires
Mardi 27 janvier 2 27 /01 /Jan 06:03

..... feet-le-chien, soumettez-vous à Ma Loi, et secouez -vous de votre torpeur hivernale.....

 

......à six heures du matin, je prends le temps de penser à vous en publiant ce petit article pour vous faire patienter, annonciateur d'articles plus conséquents et encore en gestation, alors pensez à Moi un peu plus souvent et montrez-le par des commentaires plus dynamiques....... c'est "mou"!!!!


Obéissez!!! C'est un ordre!!!!


....... en cadeau du petit matin, ces jolies photos datant d'hier, histoire de commencer la journée du bon pied..... séquence humour.....


..... n'est ce pas qu'il y a une jolie vue sous la table? Comme si vous y étiez......
Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA
Ecrire un commentaire - Voir les 13 commentaires
Dimanche 25 janvier 7 25 /01 /Jan 09:24
.....du dimanche induit en vous l'endormissement des sens? Voici juste de quoi passer un moment volé sur l'ennui dominical......vous n'aurez rien d'autres, les endormis......


Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA
Ecrire un commentaire - Voir les 19 commentaires
Samedi 24 janvier 6 24 /01 /Jan 12:55

J'ai puni notre nouvel ami "visiteur" cette semaine, et si vous suivez correctement les commentaires, vous vous en souviendrez, et de plus, je l'ai puni par jeu, la "punition" étant de regarder en boucle une vidéo de Mes Pieds (une séance de léchage/nettoyage de fin de journée par le chien..) et cela, agenouillé, nu, devant son écran, et pendant une heure......"visiteur" a obéi comme l'esclave authentique qu'il est, je dirais même un esclave nostalgique...... cette expérience l'a inspiré......jugez-en, vous les "endormis".....j'apprécie beaucoup.....non seulement ce qui s'est passé entre nous, s'inscrivant dans une relation Dominante/dominé, et ce que cela a généré, ce très beau texte , bien rédigé et authentique....."visiteur" aurait sa place parmi nous, après tout, vous n'êtes plus que quatre......il y a des épurations qui se font toutes seules....... en attendant, et sans même lui demander, je l'ai baptisé ce jour, "visiteur" ne signifie plus rien, lui qui devient un acteur du site, et non des moindres. A partir de ce jour, il portera le nom ridicule de " chien gégé", je veux qu'il s'y tienne, même si je sais que ce nom ne va pas lui plaire, mais le baptème qui a une haute valeur symbôlique, le nom qui vous est attribué, cet ensemble de rites ne sont pas destinés à flatter votre ego......et si l'un d'entre vous aimait trop son pseudo, je ferai diligence pour le remplacer par un nom bien ridicule et humiliant....ça fait partie du jeu.....si c'est un jeu, c'est un jeu sérieux comme le plaisir......



Une punition peu ordinaire....

Maestra MAEVA m'avait puni. Je récoltais les fruits d'une parole un peu présomptueuse de ma part. 14h58 indiquait la pendule de l'ordi. J'étais à genoux sur le plancher de chêne, j'enclenchai la vidéo. J'avais mis en fond musical la Moldau de Smetana, puisqu'il est beaucoup question de tchèques ici, mais j'entendais clairement la douce voix de Maestra parler de récompense. C'en était une, en effet, une grande ; pour feet...Je m'efforçais de faire travailler mon imagination, me projetant à la place de feet. Feet, justement, je suis un peu comme lui, moi, je n'aime pas les hommes. Alors cette bouche, cette langue d'un autre se délectant de ces si jolis pieds féminins, ça m'agaçait. Ca me rappelait...

Elle s'était longuement fait lécher, avait pris du plaisir sur sa bouche,  je dus passer après....

 Son nectar était mêlé du goût d'une salive inconnue, froide, celle de « l'autre ». Le dégoût me submergeait, je ne pus réprimer un mouvement de recul, léger mais qu'elle perçut parfaitement. Deux violents coups de cravache sur mon dos et mes bras entravés me ramenèrent immédiatement à la réalité. Elle s'arc-bouta et se pressa plus fort sur ma bouche. Alors je compris. Je la remerciai mentalement de son geste qui m'aidait à me replacer là d'où je n'aurais jamais dû m'éloigner, ma place d'esclave. Obéir, servir.

15h20. Les genoux commencent à devenir douloureux, je bouge un peu, fléchit un peu les jambes, me redresse pour relancer la vidéo toutes les minutes. Soixante fois verrais-je donc ce pied que je désire de plus en plus. Mon esprit s'évade parfois, pour calmer mon excitation, mon désespoir de ne voir tout cela que virtuellement  mais la douleur, bien réelle, se rappelle à moi. Alors, pour l'oublier, je reviens bien vite à ces images. J'essaie d'imaginer les sensations, les goûts, les parfums. Je ressens presque sur mes lèvres le velouté de cette peau, sur ma langue les arômes de ces orteils et de leurs interstices secrets. J'éprouve au fond de moi cette docilité d'obéir à leurs injonctions et d'offrir ma poitrine à leurs fantaisies. Je rêve et mon sexe se manifeste à nouveau.

15h42. J'ai craqué, j'ai baissé mon pantalon, activé ma main.

15h48. Je commence à avoir très mal. Je déplace mes genoux le moins possible et même fléchir les cuisses me soulage peu. Ma douleur doit avoir un sens, sinon je ne la supporterai pas. Je pense à Maestra, à qui je n'appartiens hélas pas mais qui est une Maîtresse qui m'a donné un ordre. Je me concentre sur l'image de son pied, j'obéis à son pied. Ce pied qui à la fin de la vidéo se plante, comme un fanion sur un sommet vaincu, dans la marque d'appartenance de ce bienheureux esclave.

15h58. Ces dix dernières minutes ont été très dures, mais j'ai tenu et je suis heureux d'avoir pu offrir, même virtuellement, tout cela à Maestra MAEVA
Chien gégé, le 24/01/09...... jour de mon baptème en Maevacratie......


Par MAEVA - Publié dans : Promotion des talents
Ecrire un commentaire - Voir les 8 commentaires
Jeudi 22 janvier 4 22 /01 /Jan 11:27
Grace au courageux et talentueux sous bottes, notre reportage sur l'OWK continue.....les photos du même site illustreront bien le texte, et nous les en remercions......

...................................................................................................................................

OWK....

 

QUI SOMMES NOUS ?

 

  • Les principes fondamentaux:

 

L'autre royaume (OWK) est un état privé, fondé sur le principe d'une monarchie matriarcale possédant des esclaves.

Le souverain présent - est la Reine Patricia I, En poste depuis le 1er juin 1996.

L'OWK est gouverné sur le principe basique que la femme est toujours, partout et dans tout les cas supérieure à la créature mâle.

Une femme dans l'OWK a le droit de posséder et d'utiliser des esclaves. L'OWK est une nation sans frontières et peut étendre ses possessions n'importe où sur terre.

La cité capitale de l'OWK et siège de la Reine est le royaume du palais de la Reine dans la ville noire en république (Europe) tchèque.

L'OWK comme un état réel est gouverné par ses propres lois et règlements, il a sa propre monnaie, son passeport, ses forces de police, sa cour de justice, son drapeau et son hymne national.

 

 

 les classes sociales et structures politiques de l'OWK:

 

L'OWK est conduit par un souverain seul et illimité -- la Reine.

Elle provient et amende les lois et toutes autres normes, elle édicte les règles légales de l'OWK au moyen du bureau de l'administrateur suprême, la cour de la reine et la garde de la reine.

La classe sociale souveraine et supérieure dans l'OWK est la noblesse, formé par les » dames Sublimes » -- les citoyennes femmes libres de l'OWK autour du monde. Les dames sublimes sont choisis et nommées par la reine dans des fonctions d'état et de cour de justice et/ou peuvent être nommé dans la fonction d'ambassadeur des femmes officielles ou représentantes de l'OWK dans leurs propres pays. Les dames sublimes peuvent proposer des lois nouvelles et prendre activement part aux événements et manifestations de l'OWK. Leur tâche principale est cependant d'étendre l'idée d'un matriarcat absolu et la réduction à l'esclavage pratique des créatures mâles.


Les sujets de la reine forment une classe sociale inférieure dans l'OWK. Ces sont des créatures mâles qui ont décidé de vivre volontairement leur vie selon les principes et lois de l'OWK et de reconnaître la reine de l'OWK comme leur souveraine suprême. Ces créatures ont accepté que leurs libertés soit partiellement réduites comme celle de la liberté de voyager, de posséder des propriétés, d'avoir des enfants, de changer d'emploi, d'entreprise et de développer une opinion propre.

Les sujets doivent payer impérativement des impôts à la reine, doivent rester attentifs à ses lois et décrets et principalement respecter le fait qu'il est un membre d'un groupe de créatures inférieur à  toutes les femmes.


 . La classe sociale basse, du niveau d'un animal de ferme, est composé d'esclaves. Ces créatures ont perdu par confiscation tout droits et libertés et sont devenus la propriété privée de leurs propriétaires femmes. Les esclaves sont reconnus comme faisant partie officiellement des propriétés de la reine ou personnellement de la propriété privée d'une femme.

  • But d'OWK:

 

Le but de l'OWK est d'obtenir le plus de créatures mâles sous la domination illimitée des femmes supérieures sur autant de territoires que possible. La réalisation graduelle de ce but dans sa conséquence finale signifiera l'introduction d'une Gynarchie absolue :  le seul ordre social vertueux.



..... et vous, Mes chiens virtuels, aimeriez-vous m'accompagner là-bas si je vous le proposais? Vous sentez -vous capable de vivre dans un état de servitude absolue pendant 168 heures? Rassurez-vous, Mon chien en doute et exerce actuellement un travail de sape quant à Mon projet de passer une semaine à OWK. Il invoque l'effort financier (environ 3000 euros pour une semaine hors frais de voyage....), il espère la prolongation de la fermeture du centre, il aimerait que je change d'avis, m'envoie des pubs à propos des iles du Cap Vert, les iles de Kerkenah, voire la Sardaigne.....non, notre futur lieu de vacances sera en République Tchèque, qu'il le veuille ou non, je lui demanderai à l'avenir de cesser cette résistance et qu'il se prépare plutôt à vivre ce qu'il vivra là-bas...... nous commencerons cet entraînement le week end prochain, trois jours complets où il devra Me servir en tout et abdiquer de sa volonté propre: esclave.... ni plus, ni moins........



Par MAEVA - Publié dans : Reportage SM
Ecrire un commentaire - Voir les 33 commentaires

Présentation

  • : MAEVA DOMINA et ses esclaves
  • MAEVA DOMINA et ses esclaves
  • :
  • : Blog consacré à la gynarchie, à la relation réelle Maîtresse/esclave, et- au fétichisme sincère et absolu du Pied Féminin...promotion des talents littéraires et picturaux, humour, obsessions diverses.... Contact:maevaslave-mail@yahoo.fr
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Créer un Blog

Recherche

Texte Libre

Derniers Commentaires

Texte Libre

Calendrier

Mars 2025
L M M J V S D
          1 2
3 4 5 6 7 8 9
10 11 12 13 14 15 16
17 18 19 20 21 22 23
24 25 26 27 28 29 30
31            
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés