Dimanche 1 mars 7 01 /03 /Mars 11:21

...... vos icones de ce jour.....

 










Oh! Il y a une icone intrusive, c'est à dire une fausse icone qui s'est glissée avec malice parmi les vraies, les Pieds avec un P majuscule, ceux de MAEVA DOMINA..... Le premier qui découvrira le "pot aux roses" (j'adore les expressions désuètes..) aura gagné une superbe vidéo de Mes Pieds....... (avec un P majuscule, pas comme ceux de l'intrusive usurpatrice, fort jolis, certes......)

Par MAEVA - Publié dans : Jeux
Ecrire un commentaire - Voir les 23 commentaires
Dimanche 1 mars 7 01 /03 /Mars 09:21

...... qui pourrait s'assimiler à du dressage, il est vrai que le chien a encore des progrès à accomplir afin d'être en phase avec Mes désidératas. Les séjours de remise à niveau servent à cela, ils optimisent la progression de l'esclave, lui permettent d'intégrer de nouveaux comportements, et au final, lui donnent un regain de motivation......il faut fuir la routine et inventer sans cesse.
Ainsi, dimanche dernier, je lui ai mis "la pression" dès le matin. La veille, avant qu'il se couche lové au bout de Mon lit, j'ai "réglé" Mon réveil sur 9h, ce qui signifie pour lui de se lever en conséquence, avec ses prérogatives d'esclave dans la tête: Préparer Mon petit déjeuner, et ensuite comme à chaque fois, m'éveiller doucement en Me léchant les Pieds..... c'est ainsi que j'ai exigé -dès le début de notre relation- d'être ramené avec douceur à la réalité, sentir cette langue servile se dérouler sur Mes Pieds, du talon aux orteils, M'introduisant d'entrée de jeu, dans la toute puissance et la démesure....... mégalomanie de Domina.....
 
...... pendant que le café en préparation Me titille les sens, je savoure cet instant privilégié, cette intimité délicieuse, je caresse son visage de Mes deux Pieds......viole sa bouche de Mes orteils, enfin, c'est un viol très consentant, si j'en juge au plaisir qu'il prend, et à sa bosse déformant le pantalon moulant qu'il porte...... chaque orteil est tété, sucé, léché.....inaugurant par ces sensations, une journée s'annonçant excellente.....

...... après dix minutes de cet éveil, il donne un ultime coup de langue sous le gros orteil, le café est prêt....

.....alors je Me dresse, Mes Pieds prennent contact avec le sol, et.... cramoisi, le chien s'aperçoit qu'il a oublié de poser Mes mules à côté du lit, je saisis une cravache et lui ordonne d'aller les chercher et de les ramener, à quatre pattes. Honteux de son oubli, l'esclave fait diligence, bien content de ne pas avoir reçu un coup de cravache en pleine figure, ce qu'il méritait, vous en conviendrez....mais Mon côté Domina / Mère Thérésa est bien là....

..... il comprend vite ce que j'exige, et que ramener des mules à quatre pattes, cela sous tend de se servir de sa "gueule".....n'est il pas un chien humain?


..... cette posture lui va bien, il faut souligner que je l'exige de plus en plus souvent, ça le renvoie directement à sa condition, il est bipède quand j'ai besoin qu'il le soit, le reste du temps, j'apprécie de le voir se déplacer ainsi, il commence à avoir des cals sous les genoux, signe que son corps accepte son état mutant ...... de plus, je sais qu'il est humilié, et que ça l'excite de l'être, et que son excitation vouée à l'Eros le rend encore plus soumis......
Il dépose la paire de mules devant Mes Pieds, son front touche le sol, il est prosterné devant Moi....


...... avec servilité, il Me chausse.....



........ puis je le repousse du Pied, il sait que je veux Mon café au lait et Mes tartines, que je dégusterai en écoutant France Musique, Mes Pieds au chaud, sur le chien lové sous la table.....


...... un peu frustré par l'odeur du café, puis de plus en plus heureux d'être à cette place......à sa place..... ne se nomme t'il pas "feet"?

Par MAEVA - Publié dans : Formation en esclavage - Communauté : Soumis & Soumises
Ecrire un commentaire - Voir les 6 commentaires
Samedi 28 février 6 28 /02 /Fév 12:51

....une photo-symbôle, prise sur le vif, dans le huis clos de la chambre, abritant la grande scène sadomasochiste, sans cesse renouvellée, et sans trop se prendre au sérieux, ou alors, sérieux comme le plaisir ..... c'était hier après midi, vers 17h.....

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Vendredi 27 février 5 27 /02 /Fév 09:13

Voici le dernier épisode de cette longue immersion sur une autre planète où il y a comme une inversion des valeurs dominantes.


Je remercie de nouveau Charles de nous avoir laissé partager cette tranche de vie plutôt "croustillante", je ne remercierai pas les "habitués" du site, de plus en plus constipés du clavier, ce qui Me conforte dans Ma volonté d'arrêter de publier.....


(...)Katia avait suivit l'histoire comme moi, je pense avec un peu d'étonnement, elle demanda à Irina s'il n'était pas dangereux pour un homme de rester dans cet état de frustration en permanence. Celle-ci lui répondit qu'elle pratiquait le "milking" une ou deux fois par mois et qu'elle voulait bien lui faire une démonstration tout à l'heure. Katia accepta avec enthousiasme, salua chaleureusement Irina et nous rejoignîmes nos appartements.
Katia commanda une collation qu'elle fit apporter dans la chambre, nous étions plutôt silencieux l'un et l'autre, perdus dans nos pensées.
"Que penses-tu de tout çà ? " me dit-elle.
Outre le fait que je n'en savais trop rien, et qu'il est infiniment compliqué et hasardeux de porter un jugement sur des choses telles que celles-là, je répondis que si Viktor était l'un de mes amis, je lui conseillerais fortement de s'éloigner d'Irina, mais que d'un autre côté, tout laissait à penser qu'il avait provoqué lui-même cette situation, qu'il la vivait pleinement, et qu'il pourrait y mettre un terme le cas échéant, car il paraissait être un homme assez puissant et solide pour se sortir d'un tel état de fait s'il ne lui convenait plus. Ceci expliquant cela, la relation marquée d'impuissance qu'il vivait en privé compensait peut-être une situation professionnelle trop stressante et écrasante de responsabilités.
"Je sais, mais çà me gène un peu" dit-elle, "et surtout, çà me renvoie à moi-même, à ce que je fais moi. Tu sais, en ce qui concerne Slave, il est toujours plus en demande, en demande de sadisme, de cruauté, d'humiliations...

....si je l'écoutais..." dit-elle en soupirant, et comme je la voyais très émue, je la pris dans mes bras, lui caressait doucement la nuque, elle se lova contre moi et je la berçai doucement, passant ma main dans ses cheveux.
Nous avions programmé notre départ pour le lendemain dans l'après-midi, je commençais à penser, qu'elle et moi, faisions un petite overdose de sm ...:-)
Nous décidâmes néanmoins, puisque nous étions là, d'essayer de profiter à fond de notre séjour et de remettre à plus tard ces réflexions existentielles. Peut-être, après tout, cette expérience nous permettrait-elle de mieux nous situer l'un et l'autre.
"Il n'y a que toi pour me rassurer comme çà" me dit-elle, tout en se serrant un peu plus fort contre moi.
La fumée de la "blue pollen" que j'avais emmené nous permis  de mettre un terme définitif à nos errances :-) et de nous replonger dans l'ambiance très "planète sm" dans laquelle nous nous trouvions. (Merci à Maestra Maeva pour cette appellation de son cru qui colle à merveille à ma petite narration )
Il commençait à régner une activité intense au sein d'OWK, dans les jours qui suivaient, la Reine des lieux devait faire son apparition pour une fête ou célébration dont j'ai oublié la teneur.

Arrivaient Maîtresse et esclaves participant à cet événement.
Cela nous permis de faire la connaissance de Madame Ina, une dame d'OWK tout à fait charmante qui paraissait prendre part activement à l'organisation, elle nous salua chaleureusement, s'enquit de notre séjour ... était-il agréable ? ... comme nous l'avions imaginé ?
Nous répondîmes qu'il dépassait nos espérances ! :-)
Katia portait une robe courte en lamé, très échancrée sur le dos, des escarpins à talons aiguilles, elle était magnifique, à chaque minute, son sourire me faisait fondre.
Elle avait fait un petit détour par le hall d'entrée pour s'enquérir de slave, dans son "box", à dire une boîte noire dans laquelle il était enfermé.
Dès qu'il entendait retentir l'avertisseur dont la boîte était équipée, il n'avait plus qu'à sortir la tête au niveau du sol, et s'affairer sur les chaussures de la dame qui se trouvait là, la tête au niveau de ses pieds, sans même la voir.
Et comme je l'ai dit précédemment, il y avait de plus en plus d'agitation et d'effervescence, il m'était dans l'idée qu'il n'allait pas chômer.

Katia me dit qu'il nageait dans le sous espace, bien qu'elle n'utilisa pas ce terme inconnu de nous à l'époque, qu'il se confondait en remerciements et termes élogieux pour décrire la merveilleuse expérience qu'elle lui permettait de vivre là.
Pour enfoncer le clou, elle lui avait répondu qu'il parlait trop et qu'elle préférât qu'il utilisât sa langue d'une manière qui lui convenait bien mieux : en lustrant ses chaussures. Il s'était exécuté avec une ferveur quasi mystique.
Katia rassurée, je la sentis prête à reprendre le rôle autoritaire et despotique qui lui allait si bien.
Irina avait organisé une "petite réception" afin de discuter entre dames du thème de la chasteté chez l'homme... expérience pratique à l'appui.
Je dois vous dire que si la ceinture de chasteté est très à la mode actuellement, il n'en était pas de même à l'époque et j'étais très curieux de voir ce qui allait se passer.
Il y avait là, en plus de nous deux, une autre dame, d'un certain âge, accompagnée de son chien, comme elle l'appelait et qui s'était mis à quatre pattes pour lui servir de repose pieds.

Irina vanta les mérites de la chasteté chez le mâle, expliqua le fonctionnement de la ceinture en la manipulant sur Viktor avec beaucoup d'adresse, lui faisant enlever, puis remettre, et comme le pauvre fût pris d'une érection au plus mauvais moment, elle l'envoyât passer ses attributs sous l'eau glacée, histoire que "les choses puisse reprendre leur place" sans trop de difficultés.
J'observais les mains soignées d'Irina, ses ongles démesurés recouverts d'un vernis rouge et sombre, tirant sur le pourpre et me fît la réflexion un peu idiote qu'elle devrait rencontrer certaines difficultés, si d'aventure, elle devait se remettre à taper à la machine.
C'est tout moi çà, la tête dans la lune, mais les pieds bien sur terre... une constante !
La ceinture était pourvue d'un dispositif qui rendait très douloureuse , sinon impossible, toute érection et preuve à l'appui, elle le fît s'agenouiller devant elle pour lui lécher les bottes

 tout en le gratifiant de quelques coups de cravache, ce qui eut immédiatement l'effet escompté, à dire de provoquer chez le pauvre diable un début d'érection assez douloureuse pour le faire se tortiller aux pieds de sa Maîtresse.

Elle essaya de calmer ses ardeurs immédiatement en lui assenant plusieurs coups sur les fesses, ce qui provoquât exactement le contraire de l'effet attendu et fît beaucoup rire toutes les dames présentes.
Je ne pus moi-même réprimer un sourire.
Viktor était un authentique masochiste.
L'autre dame présente montrait beaucoup d'enthousiasme et dit qu'elle allait commander immédiatement cette ceinture pour le catéchumène qui lui servait de repose-pied.
Katia me lança un regard qui en disait long, je savais qu'à tous les coups elle reviendrait sur ce sujet par la suite.
C'est alors qu'Irina expliqua que pour éviter tout problème de santé, elle pratiquait le "milking" ou traite de l'esclave une fois toute les trois semaines environ, en procédant de la manière qu'elle voulait bien nous  montrer immédiatement et qui permettait l'évacuation du liquide séminal sans érection ni manipulation de l'appareil génital masculin... et sous-entendu sans plaisir...
La proposition fût acceptée avec enthousiasme !
Je pensai que le degré d'humiliation de Viktor allait atteindre son paroxysme, d'être ainsi exposé... trait devant deux parfaites inconnues.
Katia trouva une excuse pour me renvoyer à la chambre, voulait-elle garder certaines informations pour elle ou atténuer la gène de Viktor ?
A mon sens, un peu des deux. Puis elle me connaissait, voyez-vous, je ne suis pas très "médical" dans mes rêveries fantasmatiques.
J'ai dû subir plusieurs opérations et tout ce qui ressemble à : odeur d'antiseptique, gant de caoutchouc, seringues et autres "joyeusetés" s'apparente plus pour moi à un véritable cauchemar qu'à quelque chose de formidablement excitant. Puis en somatique avéré, il suffit que je voie une maladie en photo, par exemple, pour que, tout de suite après, je me demande si je ne vais pas attraper la maladie en question, ou pire encore, commencer à en ressentir les symptômes.
Nul n'est parfait, me direz-vous, et je vous répondrai qu'il est très aimable de votre part d'essayer de me remonter le moral dans une situation comme celle-ci :-)
Je rentrai donc à la chambre et me jetai sur le lit, fermais les yeux, pour revisiter par la pensée tous les événements récents à "la lueur de mon âme".
Alors, vous vous attendez peut-être ici à la description d'une scène torride et "diablement sm" (encore une fois, je vous plagie,
Maestra Maeva
:-)))) dans les minutes qui vont suivre ? Et bien même pas, figurez-vous, je m'assoupis comme un gros bébé la tête remplie d'images, de sensations et d'émotions.
Quand elle rentra, Katia arriva à se glisser dans le lit sans m'éveiller.
Souvenir...
"Je m'éveillai tard dans la nuit et fis glisser les draps pour te regarder dormir, nue, observer la courbe de tes hanches, tes épaules se soulever lentement, au rythme de ton souffle...

Je m'approchai alors de toi, de ton dos, glissai délicatement mon bras sous ta nuque, veillant à ne pas te réveiller trop vite...
Je t'ai d'abord entouré, enveloppé d'une aura de tendresse, de douceur, de chaleur... embrassé la nuque tout en me serrant contre toi...
Mes mains glissèrent vers tes seins, tellement sensibles, que le premier frôlement les rendit durs... érigés... même dans ton sommeil... impossible alors de résister à la tentation de les caresser, d'abord délicatement, puis un peu plus fort, de les faire rouler entre mes doigts... tandis que ma langue se promenait autour de ton oreille, s'y introduit...
D'un immense soupir, te réveillant comme dans un rêve, tu tournas la tête, dans un ultime effort, tandis que mon sexe érigé se frayait un chemin entre tes fesses...
Ton regard croisât le mien, mais une fois n'est pas coutume, tu baissâs les yeux, de cette façon qui voulait dire que cette fois, tu acceptais d'être soumise à mon désir... mais surtout au tien...
Tu t'es cambrée... empalée... mes mains te saisirent les hanches, te ramenant à moi encore un peu plus... nos deux corps vibrant à l'unisson d'un plaisir partagé...
Un homme et une femme, sans plus d'artifice, et rien d'autre qu'un désir charnel et animal."............


Epilogue.
Sans plus aucun événement vraiment marquant, nous quittâmes OWK le lendemain en début d'après-midi.
Tant que nous étions encore seuls, Katia m'expliqua ce que je savais déjà, à dire, que le fantasme de slave était de passer ces quelques jours sous la férule de sa Maîtresse,  tandis que celle-ci s'enverrait en l'air avec son amant. Le tout corsé d'un régime très dur à son égard et d'une bonne dose de fétichisme.
"Ah bon ?" dis-je de l'air pénétré de quelqu'un qui vient vraiment d'apprendre quelque chose de nouveau, et lui rétorquai qu'elle avait l'art de joindre l'utile à l'agréable. Nous partîmes tous les deux d'un grand rire.
Nous fîmes nos adieux à Irina, nous embrassâmes chaleureusement en nous promettant de rester en contact, puis nous dirigeant vers la sortie, nous aperçûmes Viktor au pilori, prisonnier d'un carcan de bois, décidément, elle ne lui laisserait aucun moment de répit !

Je raccompagnai Katia et slave à l'aéroport.
Il  était radieux, me remercia chaleureusement, "sans vous, il m'eut été impossible de réaliser mon rêve" me dit-il.
Avant de partir, Katia me remit une enveloppe en me demandant de ne l'ouvrir que plus tard, je l'embrassai, lui confirmai que je rentrais dans les prochains jours et que je lui téléphonerais dès mon retour et peut-être même avant.
Quand j'ouvris l'enveloppe, elle contenait un chèque, émis par slave qui couvrait tous les frais de mon séjour. Si je pensai dans un premier temps à lui renvoyer, je me dis que, finalement, cela faisait certainement partie de son scénario et que faire çà risquait de le décevoir.
Je gardai donc le chèque.
Quelques jours plus tard, nous donnions un concert gratuit pour une association locale qui prenait en charge les femmes victimes de violences conjugales.
Je barrai le chèque au nom de l'association et le remis en mains propres à la directrice de l'établissement en me disant que ce n'était peut-être qu'un juste retour des choses.


Vivre ce type d'expérience suscite en moi un tas de questions auxquelles je ne peux toujours apporter aucune réponse : jouons-nous avec le feu ? Vaut-il mieux scénariser notre sexualité qu'être victime de nos pulsions dans la vie de tous les jours ? Peut-être, mais le dérapage n'est jamais loin, car les choses sont parfois bien plus compliquées qu'elles n'y paraissent.

Aucun rêve n'est inaccessible ... mais le chemin qui y mène... parfois très long....


Merci au site www.owk.cz pour l'utilisation de leurs photographies.....
Par MAEVA - Publié dans : Littérature
Ecrire un commentaire - Voir les 34 commentaires
Jeudi 26 février 4 26 /02 /Fév 12:19

Manque de maîtrise? Parmi une longue série de coups de Pieds sur le chien nu et prosterné, un talon qui dérape, et le sang surgit de la peau écorchée.......

 

..... un peu Domina tendance Mère Thérésa, je m'inquiête pour le chien, il Me rassure, m'affirme que ce n'est rien, et très démonstratif, couvre le cuir de Mes bottines de baisers ardents, de coups de langue enthousiastes.....

 

..... comme s'il voulait Me montrer sa gratitude de ce coup de talon en pleine figure, il  lèchera même Mes semelles, et sans que je lui demande..... belle preuve de soumission et de servilité absolue..... c'est vraiment un bon chien....


.....il Me servira ensuite de pouf pour Mon plus grand confort......

..... homme-objet, à Mon entière disposition, toujours disponible pour la satisfaction de Mes caprices, de Mes toquades de Domina.....

Par MAEVA - Publié dans : Esclavage - Communauté : BDSM
Ecrire un commentaire - Voir les 13 commentaires
Jeudi 26 février 4 26 /02 /Fév 11:04

...... pour "toutou 74" afin de récompenser son assiduité curieuse, il voulait un certain type de photo, il l'a, dix minutes plus tard ....... qui oserait dire que je ne suis pas réactive?
Pour toutou 74, la face secrète de Mes Pieds, the dark side of my feet...... celle qu'il aimerait avoir sur son visage, peut être?


......ou en plus grand, peut être?

 

 

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : Soumis & Soumises
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Mercredi 25 février 3 25 /02 /Fév 19:11

..... pour alimenter votre fétichisme obsessionnel......

.....images d'un inaccessible Graal.....



...... ces Pieds-symbôles du sous espace.....


...... Pied-caresses......


...... ou Pieds cruels.....


......Pieds bottés....Pieds Beauté.....le talon qui dérape et qui fait saigner le chien consentant et trop heureux.....
Pied Dominant qui fait courber l'échine......



.....pieds sales, à nettoyer avec la langue......


......et c'est parfois désagréable pour l'esclave de Pieds, sa langue devient noire......

..... Pieds moites, en fin de journée, après huit heures de travail.....les essuyer longuement sur le visage à disposition, fait pour cela......



......Pieds dominants, impérieux, altiers.....


...... adorés....embrassés....léchés.....sucés.....les avantages en nature du chien, mais parfois avec ses revers de médaille lorsque je lui impose une humiliation publique en rapport avec ces mêmes Pieds, cette intimité exclusive (très enviée, très convoitée, avec moulte redondance...) avec Mes Pieds, nus ou chaussés, sales ou propres, l'ivresse est la même, elle participe de la même quête initiatique devenue addiction, cette recherche d'Inaccessible (avec un grand I..)....le Divin incarné dans une Femme Dominante qui a un pouvoir absolu sur Son chien, et qui n'en abuse pas plus que cela....... les Pieds de MAEVA DOMINA symbôlisent la vérité de cette relation unique......

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA
Ecrire un commentaire - Voir les 29 commentaires
Mercredi 25 février 3 25 /02 /Fév 08:38

LE RÉCIT D'IRINA
 (Irina parle à la première personne)

"Avant l'éclatement de l'URSS, toute l'économie russe était aux mains de l'état, lorsque le système se libéralisa après la chute du mur de Berlin, il y eut des personnes, assez intelligentes ou bien placées au sein du parti pour reprendre à leur propre compte  des pans entier de l'économie, engendrant des bénéfices mirobolants.
Viktor était un de ceux là, il avait "hérité" du commerce des peaux et fourrures de toute une région.
Je trouvais à être embauchée dans cette grande boîte dont il était propriétaire et qui employait plus de milles personnes.
J'avais fait des études de droit et ne tardai pas à monter les échelons  pour finir par me retrouver secrétaire personnelle du grand patron lui-même.
J'ai été élevée par mes grands parents qui m'ont toujours traité en princesse et j'ai pris l'habitude de ne rien me voir refuser, rien n'était trop beau pour leur petite fille. J'ai toujours eu un caractère capricieux et autoritaire.
Je vivais donc plutôt mal le fait d'être sans arrêt aux ordres de Viktor qui passait aux yeux de ses employés pour quelqu'un de colérique et intransigeant.
Mais je ne tardai pas à remarquer que celui-ci n'était pas insensible à mes charmes, et plus particulièrement lorsque je me vêtais de manière plutôt féminine et sexy. Je décidai donc d'exploiter sa faiblesse à mon égard, il était rare que j'arrive au bureau autrement que moulée dans des jupes un peu courtes, juchée sur des talons aiguilles, toujours parfaitement maquillée et coiffée.

Progressivement, je remarquai chez lui un changement d'attitude à mon égard, alors qu'il était plutôt irascible avec la plupart de ses employés, il adoptait vis à vis de moi une attitude proche de l'obséquieux, renvoyait vers d'autres subalternes les tâches ennuyeuses, il lui arrivait de s'arrêter en plein milieu d'une conversation pour me regarder passer, des dossiers à la main et allait même jusqu'à me servir lui-même une tasse de thé, chose absolument inconcevable pour le reste des employés.
Étant dans le commerce des peaux, il disposait lui même de plusieurs magasins à Moscou qui vendaient des articles en cuir. Sacs, chaussures, vestes...
A plusieurs reprises, il me donna des bons d'achats pour aller me fournir gratuitement dans ceux-ci, il faut dire qu'à cette époque, je n'avais qu'une idée très vague de ce que pouvait être le fétichisme ou les relations basées sur la domination. Mais le fait est que j'étais de plus en plus souvent habillée de cuir, je disposais d'une quantité impressionnante de paires de chaussures, de bottes, de vestes, de jupes confectionnées dans cette noble matière...
Souvent, lorsqu'un nouveau modèle de bottes ou de chaussures sortait, il m'en offrait une paire, me demandant de les "tester" pour lui donner ensuite mon avis.

Plus çà avançait, et plus je le voyais devenir dingue de moi, de mes tenues. J'en jouais effrontément.
Je n'avais aucune intention de lui céder, car d'abord, il ne me plaisait pas, ensuite, c'était prendre le risque que l'acte une fois consommé ne laisse Viktor, comme c'est le cas pour beaucoup d'hommes, beaucoup moins sensible à mes charmes.
Puis un jour, il se passa quelque chose de totalement imprévu : je devais me rendre le soir même à l'opéra avec des amis.
Je décidai donc de prendre une robe de soirée au bureau, je pourrais m'y changer et récupérer ma tenue de ville que j'aurais laissée là-bas le lendemain.
Ce jour là, j'étais tout de cuir vêtue : bottes, jupe, veste.
A la fin de la journée, je me changeai dans mon bureau, j'enfilais ma robe de soirée, des escarpins et une veste chaude et laissai ma tenue de cuir déposée là, sur mon bureau.
Je saluais Viktor qui, toujours au travail à cette heure tardive, ne manqua pas de remarquer le changement d'apparence. Il me demanda d'un air faussement distrait où j'allais, je lui répondis et quittai les lieux.
Mais le concert fût annulé à la dernière minute pour on ne sait quelle raison, nous décidâmes donc, mes amis et moi, de nous rendre dans un restaurant pour y passer la soirée ensemble.
Je décidai de récupérer ma tenue de ville au bureau qui se trouvait non loin de là, plus seyante et pratique pour une sortie telle que celle-là.
Les bureaux étaient déserts, je saluai le concierge et me rendît directement à mon bureau, je tournai la clé dans la serrure, et lorsque j'entrai, j'entendis quelque chose bouger, je pris peur, allumai tout de suite, et quelle ne fût pas ma surprise de voir mon patron, à genoux devant mon bureau, il tenait entre ses mains l'une de mes bottes qu'il venait, selon toute probabilité, de lustrer avec sa langue.
Je fus d'abord choquée, outrée, je lui dit qu'il était complètement détraqué, que dès le lendemain, je viendrai récupérer mes affaires et qu'il ne me verrait jamais plus, je menaçai de révéler la scène publiquement s'il me créait le moindre problème.
Il se jeta à mes pieds, implorant mon pardon, me dit qu'il pouvait tout m'expliquer... sur mes gardes d'abord, je décidai, ne fut-ce que par curiosité, de le laisser tenter de justifier la scène grotesque à laquelle je venais d'assister.
Je m'installais confortablement et croisais les jambes, il me demanda s'il pouvait rester à genoux, cette position, d'après lui, convenant mieux à la position qu'il désirait dorénavant adopter vis-à-vis de moi.

Alors, il m'avoua tout : ses tendances masochistes, son fétichisme effréné pour le cuir, les bottes, les chaussures à talons hauts, que par le passé, il fréquentait des prostituées pour qu'elles le battent, le piétinent, mais que depuis mon arrivée, j'étais devenue l'objet de tous ses fantasmes, que je le rendais littéralement fou.
Au début, plutôt choquée, je ne tardai pas à comprendre l'immense parti que je pouvais tirer de la situation.
D'autant qu'il me dit qu'il ne désirait pas me posséder au sens biblique du terme, il voulait juste devenir mon larbin, faire le ménage chez moi, cirer mes bottes, me servir de meuble, de chauffeur, me couvrir de cadeaux... son rêve le plus fou était de devenir mon esclave au sens le plus authentique du terme.
 ce moment, je compris qu'inconsciemment, c'était là ce que j'avais toujours, au fond de moi, le plus désiré... avoir un homme à mes pieds !

Mes relations amoureuses ne duraient jamais très longtemps, on me trouvait trop autoritaire, capricieuse... je voyais là une occasion unique de m'offrir l'existence dont j'avais toujours rêvé.
Mais je lui rétorquais que, tôt ou tard, lui viendrait l'envie de me posséder, qu'il était comme tous les hommes, et que je ne croyais à aucun moment qu'il puisse résister à sa libido, ou encore, qu'un jour, frustré, il me quitterait pour une autre femme.
Il me répondit qu'il était prêt à porter en permanence une ceinture de chasteté dont je détiendrais la clé, qu'il était prêt à se faire tatouer à mon nom, il se jeta à mes pieds en me suppliant de lui laisser sa chance, de le prendre à l'essai.
Je réfléchis un instant, que risquais-je après tout ? D'autant qu'après ce qui s'était passé, je me voyais mal retourner travailler près de lui comme si de rien n'était.
Mais je voulais un peu le laisser ruminer, dans le doute, puis c'était une décision importante, et j'avais besoin d'y réfléchir, je lui dit donc que j'allais prendre quelques jours de congé et lui ferait part de ma réponse plus tard, je repris mes affaires et quittai le bureau précipitamment , le laissant seul, à genoux.
Durant ces quelques jours, Viktor me couvrit de fleurs, de lettres enflammées, il se disait prêt à tout pour moi. Je ne lui donnai aucune nouvelles.
Je me décidai à dresser une liste de mes exigences, d'abord pour me permettre d'y réfléchir, ensuite, je me dis que ce serait une bonne idée, le cas échéant, de lui faire signer pour accord

 même si je savais qu'elle n'avait aucune valeur juridique. S'il acceptait, je marquais le coup et pourrait lui mettre en dessous du nez à tout moment pour lui rappeler ses engagements.
Je ne me rendais pas très bien compte, qu'en fait, j'étais en train de rédiger le fameux "contrat d'esclavage" cher à ce type de relation.
Je me renseignai et lut tout ce que je pus sur le sujet, de la vénus à la fourrure aux ouvrages de psychologie moderne, en passant par les ouvrages d'Elise Sutton. Je commençai à bien maîtriser le sujet et me décidai à frapper un grand coup.
Je convoquai Viktor chez moi le lendemain à vingt heures précises."
Tandis qu'Irina racontait son histoire, je remarquais qu'elle avait croisé haut les jambes, elle souleva l'avant du pied posé sur les fesses déjà bien martyrisées, tout le poids se portant à présent sur le talon qu'elle fît tourner à plusieurs reprises sur lui même pour qu'il se vrille dans la chair.....

Viktor ne pût réprimer un cri de douleur. Elle le frappa à nouveau à plusieurs reprises, sans un mot, jusqu'à ce qu'il ne bouge plus.
Elle continua...
Je m'étais préparée soigneusement pour cette rencontre, parfaitement maquillée, tout de cuir vêtue, je le fis patienter au salon, à genoux, après l'avoir fait complètement déshabiller, puis vint me poster devant lui. J'avais disposé çà et là quelques bougies qui éclairaient la pièce d'une lumière tamisée en donnant à la scène un côté assez solennel et mystérieux.
Sans un mot, je lui donnai à lire le contrat et, tout en m'installant confortablement devant lui, j'allumai une cigarette."

Je reprends ici la parole à Irina, mes souvenirs sont un peu flou, mais je crois me rappeler que le contrat stipulait en outre que Viktor deviendrait l'esclave exclusif d'Irina, qu'il appellerait désormais Maîtresse.

Plus tout un tas d'autres clauses dont je ne me rappelle plus la teneur exacte, mais qui disaient en gros qu'il continuerait à lui verser un salaire sans qu'elle ait besoin de se rendre à nouveau au travail. En outre, il créerait pour elle une marque d'articles en cuir portant son nom, gérée par une société sur laquelle elle aurait tout pouvoir et dont elle détiendrait toutes les parts. (D'où l'inscription "Irina fashion" sur les bottes.)
Viktor s'engageait à respecter une chasteté absolue vis-à-vis d'elle et des femmes en général, en gage de sa bonne foi, il porterait en permanence une ceinture coercitive dont elle détiendrait l'unique clé.
Après les heures de bureau, il se précipiterait chez sa Maîtresse afin de lui servir de domestique, bonne à tout faire etc.......

Il accepta tout sans hésitation !


(à suivre...)


Les clichés qui ne sont pas de moi appartiennent au site:  www.owk.cz

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Mardi 24 février 2 24 /02 /Fév 11:40

.....du mâle, esclave à vie de sa libido.....

.....je l'ai menotté de cette manière originale, suite à une remarque candide de Laurine (20 ans, fille de Maîtresse A..), étonnée que le chien soit en érection permanente, malgré (ou à cause?) les coups de bottes dand le postérieur, les coups de cravache, les gifles..... pédagogue, je lui ai expliqué que les mâles étaient esclaves de ce qu'ils arboraient entre les jambes, et que de ce fait, cela nous autorisait à en abuser, que le pouvoir appartenait aux femmes suffisamment intelligentes pour tenir un homme sous la Domination de leurs charmes. Il a gardé ainsi les menottes pendant trois heures, avec l'interdiction de se lever, ce fut difficile pour lui de devenir ce chien à trois pattes qui Me rappelait un chien amputé d'une patte avant, lorque j'étais gamine, et je l'avais pris en pitié. Là, pas de pitié, des foux rires de le voir se déplacer ainsi, exécutant nos ordres ("Viens ici! Ramène la bouteille de Champagne! Vas chercher Mes mules!....." et j'en passe...) les plus délirants, il faut dire que nous avons un peu abusé de tout samedi soir dernier, et par conséquent, abusé de lui......il m'a quand même écrit un mot ce matin afin de Me remercier pour ces quatre jours délicieux!


Il est resté menotté ainsi de 17h à 20h, je lui ai mis la pression en lui faisant croire que nous avions égaré la clef des menottes, puis je l'ai libéré afin qu'il prépare notre repas.....quelques clichés de ces quatre jours excellents pour sa remise à niveau, quatre jours intensifs, sans temps morts pour lui, pendant quatre jours, je ne fais strictement rien, hormis donner des ordres. Je publierai peut être prochainement un reportage de cet excellent séjour, mais cela va Me prendre trop de temps, et à ce jour, vous ne le méritez pas.....


...... hier soir, le chien a eu sa récompense pour sa docilité servile, jugez-en...... c'est pour lui le Graal.....

.....c'est notamment ainsi qu'il est accro à Moi, qu'il Me sert de larbin total, qu'il m'obéit, qu'il rampe à Mes Pieds, qu'il nettoie Mes bottes de sa langue, et avec un plaisir manifeste.....son fétichisme de soumis est exploité au maximum, je sais que par Mes Pieds, je peux tout obtenir de lui, il ne s'appartient plus......

Par MAEVA - Publié dans : Symboles - Communauté : BDSM
Ecrire un commentaire - Voir les 25 commentaires
Vendredi 20 février 5 20 /02 /Fév 08:32

..... coups de bottes dans les fesses et trente deux gifles avec la semelle d'une sandale.....voila Ma dette envers feet-le-chien, une dette qui date de deux semaines, lors de notre week end à Lyon.

Je m'explique: Au début du mois, nous sommes partis trois jours dans cette insolite ville de Lyon, dans un hôtel de charme situé sur les pentes de Fourvières, vue imprenable sur la ville, chambre vaste et douillette, alternant de forts moments à l'abri des regards profanes,  dans le  "huis clos"de la chambre,  et des visites touristiques en ville ...... seulement, il a plu à verse pendant deux jours de suite

un vrai temps de chien, que, paradoxalement, le Mien n'appréciait pas.....il déteste la pluie, et surtout en milieu urbain. Il a manifesté une mauvaise humeur remarquable, et plus particulièrement le premier jour.....
il va le payer dès ce soir, bonne entrée en matière que de règler le chapitre des punitions, afin de se mettre à jour. Il ne faut jamais laisser les chatiments se cumuler, ne pas faire comme moi, au printemps dernier, être laxiste tout le mois d'avril et me retrouver en mai au Cap D'Agde, avec 250 coups de fouet à administrer. C'est inappliquable, trop fatiguant pour Moi, trop dangereux pour l'esclave. Dans ce jeu délicieux qui n'est pas tout à fait un jeu, il y a des limites que je ne franchirai pas, d'où la necessité de se mettre à jour chaque semaine, au pire, toutes les quinzaines. Depuis quelques temps, j'applique la règle assez excitante du "Fois deux", à l'instar de la Domina de "bootshine", dans cette excellente histoire vécue.
Ainsi, dès le premier jour, lorsque la nuit venue, nous nous sommes retrouvés dans l'intimité que confère la relation D/s, alors qu'il léchait Mes Pieds plutôt moites et pas très propres, afin de les délasser de cette longue marche sous une pluie très désagréable.....prérogative de l'esclave de Pieds qu'est Mon chien.....entre autres fonctions....




.....pendant qu'il léchait, suçait, otant de sa langue adroite les petits résidus douteux entre chaque orteil, léchant la moiteur salée et musquée, Me débarassant de ce fait de la crasse accumulée toute cette journée très humide, pendant ce moment que je fis durer une bonne heure, je lui ai parlé, trônant dans le profond canapé, alors qu'il était nu et à plat ventre devant Moi, dégustant avec volupté une coupe de Mum rosé qu'il avait été chercher au bar de l'hôtel, je baignais dans une sensation dingue de toute puissance, comme l'inverse du sous espace, le sur-espace?.....un espace Divin où la Femme Dominatrice est adorée comme une Déesse incarnée....
"Pendant toute la journée, j'ai joué à la Règle du "fois deux", que tu connais par l'histoire de Charles. Cela m'a fait un dérivatif à ton humeur de chien, je te rappelle la Règle: je l'ai appliqué à chaque mouvement de mauvaise humeur de ta part, le premier motif de punition équivaut à un tarif de base, et en l'occurence, il s'agissait de quatre coups du blackmamba sur les fesses. J'ai l'honneur de t'annoncer que tu as gagné 64 coups de fouet, quatre fois deux font huit, fois deux font seize, fois deux ça fait trente deux, et fois deux ça fait soixante quatre! Prépares-toi, tu ne t'en relèveras pas de si tôt! Tu n'avais qu'à pas être chiant!"
...... 64 coups du blackmamba..... lui qui se tortille comme un ver dès le quatrième! Il fut attéré, invoquant la barbarie, les crimes contre l'humanité, le syndicat CGT......puis je l'ai rassuré, le tarif de base, c'était quatre coups de bottes dans les fesses. J'ai un peu mal aux épaules, et de ce fait, je pratique beaucoup les coups de Pieds au cul, bien assénés, comme si je shootais dans un ballon, ça Me défoule, c'est humiliant pour lui, c'est parfait...... Ainsi, je lui dois 64 coups de bottes, et, j'allais oublier, trente deux gifles au visage avec une semelle de sandale

pour le lendemain, où il s'était amélioré mais avait dérapé dans sa mauvaiserie l'après midi, invoquant un "week - end de merde", ce qui était charmant pour Moi....je sais qu'il a regretté ces paroles maladroites, je sais qu'il avait l'intention de Me demander de le punir pour manque de respect. J'exécuterai la sentence ce soir, ou demain soir, ce serait marrant de faire ça avec Mes deux invitées, dont l'une n'a que 20 ans......tournant autour de lui, nu, à quatre pattes, vulnérable et humilié à l'extrème.....entre l'apéritif et le repas qu'il va Nous servir.....


..... j'appliquerai durant ces quatre jours cette règle du "fois deux", je trouve ça amusant, il n'y a qu'à varier à l'infini la nature du "tarif" de base.....et ce ne sont pas les sévices qui manquent! J'ai une imagination diabolique......oui, dès cet après midi, et jusqu'à mardi matin, les "fois deux" vont fuser. Il n'a qu'a bien se tenir, comme il sied à une personne de sa condition, un inférieur à Moi......un esclave volontaire qui Me reçoit à domicile, la tentation est grande d'en abuser......mais comme ce sont également ses attentes à lui, c'est comme dirait Ségolène, du "gagnant / gagnant", mais surtout pour Moi qui ne va rien faire que le commander pendant ces quatre jours, et le soumettre à Mon arbitraire, Mes caprices de Domina déchaînée, lui, il aura droit à cinq heures de sommeil réparateur au bout du lit..... et des spaghettis "spéciales" Maeva......

.....il m'a téléphoné.....obsessionnel....dans l'incapacité de faire le ménage complet de sa maison/chalet, visualisant en boucle nos photos, dans un état dingue.....je l'ai rassuré, il fera le ménage devant Moi, sous Ma direction, un ménage complet, des deux salons, de la vaste cuisine/bar, de la salle de bains, des WC, des cinq chambres, du vestibule, de l'escalier. Il fera le ménage nu, avec son collier, son cockring, et j'aurai une cravache en main pendant tout ce temps, avec l'intention de m'en servir au moindre faux pas. Je suis pour lui une Déesse providentielle, une fée clochette qui change l'eau en vin, comme le Fils.....transformant une corvée en humiliation excitante. J'ai le pouvoir de le faire bander en passant l'aspirateur.... vous pariez?
 
.....et puis, qui aura une maison impeccable? C'est lui.....merci MAEVA DOMINA!!!!

Par MAEVA - Publié dans : Humiliation - Communauté : Soumis & Soumises
Ecrire un commentaire - Voir les 32 commentaires

Présentation

  • : MAEVA DOMINA et ses esclaves
  • MAEVA DOMINA et ses esclaves
  • :
  • : Blog consacré à la gynarchie, à la relation réelle Maîtresse/esclave, et- au fétichisme sincère et absolu du Pied Féminin...promotion des talents littéraires et picturaux, humour, obsessions diverses.... Contact:maevaslave-mail@yahoo.fr
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Créer un Blog

Recherche

Texte Libre

Derniers Commentaires

Texte Libre

Calendrier

Mars 2025
L M M J V S D
          1 2
3 4 5 6 7 8 9
10 11 12 13 14 15 16
17 18 19 20 21 22 23
24 25 26 27 28 29 30
31            
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés