Voici la suite de la monographie du petit "paillasson mâle", commencée il y a quelques mois. C'est slavio, un de Mes nouveaux chiens virtuels qui a effectué
la correction, je ne veux plus m'en occuper.....bonne lecture de ce texte sincère mais un peu lent, il ne s'y passe pas grand chose, hormis dans la tête! Il est regrettable que cette relation se
soit interrompue, la Princesse - certes juvénile- le tenait vraiment à sa botte, et sans états d'âme! 
FÉTICHISME ET SOUMISSION VII
Ma Princesse avait pris pour habitude de me confier le soin de Ses splendides Pieds. Au départ, c’était une de mes activités hebdomadaires à Son service, mais
très vite, Elle prit de plus en plus goût à me voir agenouillé devant Sa Personne, occupé à soigner Ses Pieds.
Au cours des premières semaines, Elle s’était montrée quelque peu gênée de me voir m’occuper d’eux. Mais au fil des jours, des semaines, des mois, mon côté
soumis Lui permit de développer son côté Dominatrice. Non seulement, Elle appréciait de plus en plus les soins que je donnais à Ses Pieds mais petit à petit, Elle m’emmenait de plus en plus loin
dans la soumission et l’humiliation. Le rituel des soins de Ses Pieds se trouva donc bien rodé au bout de quelques mois. Tous les jours, je passais de très longs moments à Lui rendre cet hommage
servile, pour mon plus grand plaisir mais surtout pour le Sien…
En même temps, ma Princesse prit goût à bien d’autres activités. Elle avait bien compris et constaté que je lui étais complètement dévoué. Ainsi, Elle
m’utilisait de plus en plus souvent pour faire à Sa place toutes les activités qui La rebutaient. N’est-ce pas là d’ailleurs l’un des rôles principaux de l’esclave ?…
Ma Princesse n’aimait absolument pas faire le ménage. Alors très vite, Elle a ordonné à Son esclave de le faire à Sa place. Et cet esclave, c’était moi. Mes
parents ne m’avaient jamais contraint aux travaux de nettoyage que je n’aimais pas du tout. Mais lorsque ma Domina m’obligeait à les faire pour Elle, j’étais heureux et excité de me faire
violence pour l’Élue de mon cœur.
Chaque semaine, la mère de ma Princesse demandait à sa Fille de faire du ménage dans la maison pendant qu’Elle-même était au travail. Ma Princesse avait tout de
suite trouvé la solution : Elle m’appelait, m’ordonnait d’accourir et me commandait de faire le ménage à Sa place. En fait, je devais accomplir toutes les tâches ménagères pendant qu’Elle se
faisait belle. Elle se préparait pendant de longues heures tout en surveillant mon travail. Elle m'ordonnait de faire tout briller dans la maison à Sa place, sans le dire à Sa mère bien
sûr.
je n'avais jamais fait ce genre de travaux auparavant, et voilà que je me retrouvais à genoux par terre, en train de nettoyer le carrelage, le parquet ou la
moquette.
De plus, ma Princesse était extrêmement exigeante. Elle voulait que tout soit parfait. Comme je n’y connaissais rien, Elle devait tout m’expliquer, tout m’apprendre et cela La jetait dans de très
vives colères. je devais passer l’aspirateur partout, laver le sol, nettoyer les marches de l’escalier, faire la vaisselle, l’essuyer, la ranger, et bien d’autres choses encore.
je me revois à genoux en train de frotter le sol pendant que ma Princesse se pomponnait ou se prélassait. À l’époque, je me rendais déjà compte de la situation.
Si ma famille m’avait vu !… Ma Princesse venait superviser mon travail, et j’avais plutôt intérêt à ce que le sol brille. C’est bien simple, si mon travail ne Lui convenait pas, je devais
tout recommencer depuis le début. Elle avait même été obligée de m’apprendre à faire correctement la vaisselle ! Elle surveillait la propreté de tout ce que j’étais chargé de
nettoyer.
je me rappelle, une fois j’étais à genoux dans l’escalier en train de frotter très fortement les marches pour les rendre le plus propres possible. Soudainement,
j’entendis ma Princesse arriver derrière moi. Cela peut paraître bête mais j’avais vraiment peur d’Elle. j’étais terrorisé à l’idée que mon travail puisse ne pas être à Son goût. Car si tel était
le cas, Elle se mettait immédiatement en colère. Elle criait, m’insultait. Personne jusque-là ne m’avait jamais traité comme cela, pas même mes parents. En temps normal, je ne me serais jamais
laissé injurier de la sorte, j’aurais réagi. Mais devant cette Femme dont j’étais la propriété, je savais que je n’avais pas le droit de me rebeller. je devais tout subir et tout accepter d’Elle
et me taire. Pourtant, je bouillonnais intérieurement.
Cela illustre parfaitement l’évolution de ma relation avec ma Princesse au fil des mois. Au départ, je Lui offrais mes services mais très rapidement la
situation changea. Elle prit de plus en plus le dessus sur moi et désormais Elle se mit à exiger de moi non plus des services mais ce qu’Elle considérait comme des devoirs envers
Elle.
j’en reviens donc au moment où j’étais à genoux sur les marches. je vis ma Princesse s’approcher de moi.
Elle posa un Pied près de mes mains. Immédiatement, je l’admirai tant, je désirai tellement me prosterner au bout de Ses Orteils et les baiser, qu’il était clair que maintenant Elle
pourrait faire de moi absolument se qu’Elle voudrait.
Si ma Princesse était si exigeante, c’est aussi parce que sa maman l’était avec Elle. Contrairement à moi, Elle avait été habituée à faire du ménage depuis Son
enfance. C’est pourquoi Elle était si contente de me faire trimer à Sa place. Finalement, quand Sa maman rentrait, c’est sa Fille qu’elle félicitait pour Son bon travail ! Elle était loin
d’imaginer que j’étais devenu l’homme de ménage de la maison !
À l’époque, nous étions encore étudiants. Ma Princesse appréciait énormément que je Lui masse les Pieds après les cours. Ensuite, Elle se sentait tellement
détendue qu’Elle n’avait absolument plus ni l’envie ni le courage de faire ses devoirs. Alors, tout simplement, Elle m’ordonnait de faire Son travail à Sa place... et pendant ce temps, Elle
s’installait devant la télévision. Les devoirs devaient être de qualité sinon Elle m’obligeait à tout recommencer.
je me rendais parfaitement compte de tout se que ma Princesse était capable de m’obliger à faire pour Elle, mais je Lui appartenais et je Lui obéissais
toujours. j’avais compris qu’Elle avait vraiment le Pouvoir de mettre tous les hommes à Ses Pieds, et moi le premier.
j’étais follement heureux de pouvoir prendre soin des Pieds de ma Princesse. je les trouvais si beaux, je les désirais si fort ! Elle avait pris un
formidable ascendant sur moi, rien que par la Grâce et le Pouvoir de Ses sublimes Pieds.
Dois-je rappeler que je passais toutes mes nuits avec les chaussettes de ma Princesse sur le visage et que de respirer cette merveilleuse odeur me faisait
chavirer ? Toute la journée, pendant les cours, je ne pensais qu’à une chose : aux merveilleux Pieds de ma Dominatrice. j’attendais avec beaucoup d’impatience la fin des cours pour
pouvoir enfin me retrouver à genoux pour prendre soin d’eux et les admirer de près.
je tiens vraiment à mettre en lumière la relation de cause à effet entre mon comportement soumis et mon adoration pour les Pieds de ma Princesse. En effet, pour
avoir le droit d’en prendre soin, j’aurais fait n’importe quoi car Elle avait acquis un Pouvoir quasi absolu sur moi. Elle était en mesure de faire de moi ce qu’Elle voulait. j’étais devenu Sa
chose, Sa marionnette.
Ma famille a très souvent tenté de me raisonner. Mais il n’y avait absolument rien à faire contre le Pouvoir de ma Princesse. Pourtant, j’étais resté très
proche des miens et ils avaient conservé une forte influence sur moi. Mais ils ne pouvaient pas lutter contre mon adoration pour les Pieds de ma Princesse. Rien ni personne ne pouvait briser
cette laisse imaginaire qui m’attachait à Elle…
je me rappelle aussi un jour où nous étions chez Elle. Par mégarde (ou intentionnellement ?), Elle avait laissé tomber une boucle d’oreille. Elle me dit
immédiatement avec Son caractère fougueux et Son ton cassant :
« Mais qu'est-ce que tu attends, imbécile, pour te mettre à genoux à Mes Pieds et ramasser Mon bijou ?! ».
je me souviens très clairement de ce moment. je Lui avais bien entendu obéi et je m’étais agenouillé sous la table pour chercher le joli petit objet. Ma
Princesse avait les Pieds nus dans de très jolies sandalettes. Ses Ongles étaient vernis d’un beau marron. j’étais prosterné, presque à les toucher de ma bouche. je ne cherchais absolument pas le
bijou, je ne pouvais plus quitter des yeux les sublimes Pieds. j’étais là à quatre pattes, avec mes lèvres à quelques centimètres d’eux. Ils étaient splendides, je les désirais ardemment, ils
étaient devenus mon Graal. je n’avais qu’une envie, les baiser, les lécher amoureusement, en sucer les Orteils. je faisais semblant de ne pas retrouver la boucle d’oreille car j’avais vraiment
envie de faire durer le plus longtemps possible ce merveilleux moment. j’étais tellement bien là, aux Pieds de ma Princesse ! j’aurais voulu que ce moment dure pour l’éternité !!!
Bien entendu, je n’ai malheureusement jamais osé demander à ma Princesse l’autorisation de Lui baiser les Pieds. Pourtant, à chaque fois que je les Lui massais, je n’avais qu’une idée : les
couvrir de baisers encore et encore. Ce désir pour Ses Pieds était devenu le moteur de ma vie et de ma soumission.
À chaque fois que j’avais la chance de m’occuper des Pieds de ma Princesse, je voulais les Lui baiser mais je n’ai jamais osé franchir le pas. je ne savais pas
si à ce moment-là, Elle était déjà prête à accepter une telle preuve de soumission. Pourtant, Elle m’emmenait toujours plus profond dans la servitude.
Maintenant que j’y réfléchis, je me dis que ma Princesse, qui est très intelligente, avait depuis longtemps deviné mon fétichisme pour Ses Merveilleux Pieds et
qu’Elle me manipulait à Son gré, par exemple en faisant tomber une boucle d’oreille et en m’ordonnant de la Lui chercher sous la table ! Ainsi, Elle a sans doute aussi fait exprès de me
priver de mon plus grand désir, afin de garder un contrôle total sur moi.
Comme je vous l’ai déjà dit, ma relation avec ma Princesse ne se résumait pas uniquement à une relation Maîtresse-esclave. C’était une véritable relation
d’amitié sincère. Nous avions de véritables conversations profondes. Elle m’a souvent dit :
« Pour rendre un homme fou amoureux, J’ai une technique. Un homme, plus une Fille le fait courir, plus il devient amoureux d’Elle. Regarde-toi : tu
en es le meilleur exemple. Cela fait des mois que tu cours après Moi et de jour en jour tu deviens de plus fou de Ma Personne. Aujourd’hui, tu rampes à Mes Pieds. Alors que si Je M’étais offerte
à toi dès le début, tu serais loin de te prosterner devant Moi comme tu le fais aujourd’hui. »
Ma Princesse avait pris un tel contrôle total de moi qu’Elle pouvait m’avouer cela. j’étais dorénavant à Sa botte, au sens propre comme au sens figuré. Elle
avait eu beaucoup de mauvaises expériences avec Ses anciens copains. Elle S’était « donnée » trop vite et les garçons s’étaient très mal comportés avec Elle par la suite. Elle avait su
tirer les enseignements de ces mauvaises expériences et avait décidé que désormais ce serait Elle qui mènerait les garçons à la b(r)aguette.
je fus le premier garçon qu’Elle rencontra après avoir pris ces nouvelles résolutions. Mais surtout, de tous les garçons qu’Elle avait rencontrés, à ce qu’Elle
disait, Elle n’en avait jamais trouvé aucun d’aussi soumis, d’aussi docile à Sa Volonté. Bien évidemment, cette rencontre a été déterminante pour nous deux. Moi j’attendais depuis des années de
pouvoir vivre aux Pieds d’une Femme. De Son côté, ma Princesse avait pris la décision de dominer les hommes et d’en tirer tous les profits possibles.
Parfois, je me dis que notre rencontre était écrite, que c’était vraiment notre destin. Moi, je ressentais le besoin de devenir esclave d’une Femme, et ma Princesse avait besoin de libérer son
potentiel de Dominatrice. Notre rencontre, notre relation avait donc tout pour devenir une véritable vie de Maîtresse-esclave. Ma Princesse et moi étions comme deux aimants lorsque nous nous
sommes rencontrés. Nous nous sommes vus et nous ne nous sommes plus jamais quittés. je pense que nous avions compris plus ou moins consciemment que nous avions besoin l’un de l’autre.
Bien entendu, j’étais loin d’être indispensable à ma Princesse. Elle aurait pu me remplacer facilement. Ainsi, je devais chaque jour Lui prouver mon amour par
un dévouement total. Ma Princesse était devenue pour moi indispensable.
Elle était mon oxygène, ma vie…
Paillasson mâle, petit soumis fantasmeur, virtuel et illettré de Maîtresse MAEVA.
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