
....... ou un peu plus "hard"?

Je me suis dressée d'un seul pied sur son visage, il a senti son nez craquer, il a eu très mal...... j'espère qu'il n'est pas cassé, je préfère éviter les "bavures"......
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Je vais demain retourner au ranch de Lausanne avec Maîtresse A, nous ferons de longues promenades à cheval en forêt, et parfois, nous y emmènerons
Nos chiens respectifs pour les aérer: ils marcheront (ou plutôt "trottineront".....) à Nos côtés, le visage à la même
hauteur que Nos bottes.....Avant hier, j'ai sorti le matériel: Bottes cavalières, éperons, cravache...... et j'ai un peu joué avec...... jugez-en.....
" Mes bottes sont sales, esclave! Qu'attends-tu pour les nettoyer?"
Trônant sur le canapé, j'observe le chien qui s'approche craintivement et à quatre pattes de Mes semelles...... je prends note de son érection, c'est ce
que l'on appelle une sexualité alternative....
"Tu vas les lécher, y compris les semelles, je vais les porter dès demain!"
J'adore lui faire sentir Ma Domination.....Mon Pied Botté se fait de plus en plus pesant.....
Adoration et respect..... il couvre le cuir de nombreux baisers, ce qui est la moindre des choses, convenons-en.....
"Ne fais pas semblant de lécher! Attention à la cravache!"
"Elle te gène, cette pince?"
Piétinement.....pendant ce temps, je ne le regarde même pas, je téléphone à un ex-amant de Saint Priest.....
...... j'aime frotter mes semelles sur ses joues, sa bouche, son nez, c'est un bon paillasson mâle......
Les bottes sont parfaitement léchées.....la salive entretient les cuirs, ça ne le dispense pas de les cirer de temps en temps, mais ça, il le fait en
public......il m'accompagnera au ranch et cirera Mes bottes en public...... en attendant, il lèche avec zèle.....
Eperon et pince......je me sens l'âme ludique, ce matin.....
"Léche bien partout, attention à la raclée!"
Prosternation...... stupeur hébétée du sous espace..... il se vautre dans son indignité..... il voudrait s'incorporer à la botte qu'il
vénère.....
Je n'ai pas pu résister à l'envie de le chevaucher, un petit tour de l'appartement s'impose.....
Marcher sur lui est bon pour l'équilibre.....
" Léche encore, ce n'est pas assez propre!"
Depuis deux heures à quatre pattes, il est fatigué. Il s'affale sur le côté, je le réveille avec un grand coup de botte dans le
ventre.....
J'ai chaud aux Pieds, et envie d'autre chose...... sentir sa langue entre Mes orteils...... "Ote les
bottes!"
Essuyer la moiteur......il est là pour ça...
Dévoilement....
C'est quand même un bon chien, je lui flatte la tête de Mon Pied nu....
Je ne peux pas m'empêcher de jouer avec la pince..... il a tant peur que je l'arrache d'un coup...... la douleur est fulgurante,
parait-il.....
" Tu vas me masser les Pieds..... avec ta langue!"
Ce fut un bon dimanche...... inaugurant son semestre de lèche bottes....d'octobre à mars, il en lèche, du cuir!
Deux Femmes se font l’amour…
Au ton qu’a pris ma Belle-Sœur pour me crier : « Qu’attends-tu, esclave, pour te prosterner devant mon amie Élodie ? », je comprends qu’elle ne plaisante pas. Le coccyx douloureux du brutal coup de pied en pointe qu’il vient de se ramasser, je m’écroule prosterné aux pieds de la belle arrivante, non sans avoir eu le temps d’enregistrer l’air de totale stupéfaction qui s’affiche sur son splendide visage.
Je baise la pointe des tennis blanches, toutes neuves, d’Élodie qui, malheureusement pour le voyeur invétéré que je suis, porte un jean, dont je baise aussi l’ourlet. La jeune Femme ne me retire pas son pied, ne proteste pas, mais je devine qu’elle tient ses yeux baissés sur moi et que son étonnement n’a fait que croître.
« Qu’est-ce que ça veut dire ? Qu’est-ce que c’est que ça ? » finit-elle par lâcher. Et ma Belle-Sœur : « Ça, comme tu dis, c’est paraît-il mon beau-frère mais, comme ma Sœur me l’a prêté pendant qu’elle vit une histoire d’amour avec un nouveau jules au Canada, et qu’elle m’a dit que je pouvais en faire ce que je voudrais, c’est en réalité, tu vas être surprise… c’est mon esclave ! – (Silence prolongé.) Ton esclave ! Tu veux rire ? – Pas du tout : regarde ce qu’il te fait ! Vois avec quel empressement et quel respect il écrase sa bouche sur tes tennis. Tu crois qu’il ferait ça s’il n’était pas un esclave ? – Ben, non…, je ne crois pas. En tout cas, c’est la première fois qu’un mec se prosterne devant moi… et j’avoue que c’est bien agréable. Et excitant, je dois dire. Je crois bien que je mouille ma culotte. – Tu vois, ma chérie, on est toutes des Dominatrices, même celles qui ne le savent pas encore. –Sans doute. Je n’aurais jamais cru que ça puisse me plaire autant qu’on me lèche les godasses ! – Il te les lèche ? – Non, pas vraiment, je ne vois pas sa langue. – Tu aimerais qu’il te le fasse ? – Ah, ça oui ! – Eh bien, c’est bien facile, tu n’as qu’à le lui ordonner. Tout est facile pour une Femme qui a la chance de posséder un esclave. »
Je sens que la jolie rousse hésite, mais une Femme dans son genre n’hésite jamais longtemps quand son plaisir ou son avantage sont en jeu. « Lèche mes souliers… esclave… et lèche les bien ! – Dis donc, mon Élodie-moi tout, tu apprends vite, on dirait ! » Je tire et étire ma langue au maximum et m’apprête à lécher quand la jeune Femme s’éloigne en direction du salon où elle se laisse choir dans le premier fauteuil qui se présente à son beau séant. (Son jean noir, qui a sans doute coûté bonbon, la moule et lui fait un derrière superbe, ce genre de croupe arrogante qui, dans la rue fait retourner sur lui tous les hommes et quelques Femmes.) Je me suis empressé de la suivre en restant à genoux. Élodie étend ses jambes et je me mets à lécher ses chaussures de sport.
« C’est formidable ! Tu as vu ? Il ne s’est même pas levé pour me suivre. – Il y a avait tout intérêt. – Pourquoi dis-tu ça ? Tu l’aurais puni ? – Je me serais gênée ! – Qu’est-ce que tu dois bien s’amuser ! Disposer comme ça d’un homme, dont tu fais ce que tu veux et que tu peux punir s’il fait mal, c’est le rêve pour une Femme. – C’est surtout bien commode et bien reposant pour elle. Tu sais, il m’obéit et me sert au doigt et à l’œil. – Oui, j’ai vu. Mais tu dis qu’il est "commode". Est-ce que ça veut dire que tu ne t’en sers que comme domestique ? – C’est un peu ça… Mais, l’autre jour, comme je me suis fait nettoyer la chatte par sa bouche après un de mes baise-en-ville… ‑ Laisse-moi deviner... Tu as fini par jouir sur sa langue. – Exactement. Et pourtant, j’étais crevée et rassasiée de jouissance et je lui avais demandé de ne pas chercher mon plaisir. – Et ça ne t’a pas donné envie d’aller plus loin ? – Non. – Mais pourquoi ? – Parce que j’ai mieux à ma disposition. Franchement, tu le trouves bien, toi ? Tu le trouves baisable ? Tu le rencontrerais dans la rue, tu aurais envie de te le faire ? Sûrement non. Eh bien, moi c’est pareil… Mais je dois reconnaître qu’avec sa langue, il est plutôt bon. – Raison de plus pour t’en servir, ma chérie. Tu te rends compte ? Tu as un type sous la main. Pas un type, d’ailleurs, un esclave. Tu as envie qu’il te suce ? Tu lui ordonnes "Suce-moi, esclave !" et il te suce. Tu as envie qu’il te lèche ? Tu lui commandes "Lèche-moi, esclave" et il te lèche. Tu dis que tu as mieux sous la main. Moi aussi, j’ai mieux. Mais tu en connais beaucoup de ces mecs "mieux" qui font ce que tu veux quand tu le veux ? Moi, des baiseurs corrects ou à peu près, et même des bons, j’en trouve. Et je ne suis pas à plaindre côté plaisir. Mais pour se faire sucer et lécher la chatte et le cul, aussi souvent et aussi longtemps qu’on le désire, jusqu’à bien en jouir, c’est une autre affaire. Alors, quand on a ta chance… ‑ Tu dois avoir raison, mon Élodie. Mais pour le reste, c’est plutôt minus… »
Élodie me repousse du pied. Elle se lève et va rejoindre ma Belle-Sœur sur le canapé. Comme tout à l’heure, je me hâte sur mes genoux, puis je reste ainsi devant elles deux, les regardant à la dérobée. Les deux Femmes se penchent l’une vers l’autre. Elles s’enlacent amoureusement. Leurs bouches s’unissent. Elles sortent leur langue avant de la plonger dans la bouche de l’amie et bientôt, c’est la langue de celle-ci qui jaillit, émouvant et mobile poignard charnu luisant de salive, pour s’enfoncer entre les autres lèvres, explorer l’autre bouche. C’est diaboliquement érotique. Et puis voilà que chacune ouvre fébrilement le corsage de l’autre, lui exhibe les seins, les sort, les palpe, les entoure doucement de ses paumes, les soulève, les presse l’un contre l’autre, se penche sur eux et suce leurs tétins érigés et durs au milieu des larges aréoles dont les jolis grains de fraise ont gonflé. Inutile de préciser que je bande comme un bouc, mais pour rien.
Élodie se tourne vers moi. « Lève-toi et soulève ta gandoura, esclave ! Et tiens-toi droit face à moi. » Décidément, une Femme qui a l’occasion d’utiliser le mot esclave pour s’adresser à un serviteur mâle ne s’en prive pas. Quant à jouer à la Maîtresse, on dirait qu’elle s’y entend déjà.
Je tiens ma gandoura retroussée, exhibant honteusement mon modeste engin brandi. Élodie m’examine longuement et je me sens un peu comme un veau à la foire, qu’une acheteuse hésite encore à acheter. « C’est vrai, j’ai vu de plus jolis morceaux, mais en tout cas celui-ci me paraît bien raide et bien utilisable. Approche ! » Elle lève un pied, me frappe sans trop de brutalité sous les testicules (ma Femme en colère me les a bien plus meurtris que ça !), ce qui me fait tout de même tressaillir. « Tu as vu comme ça a fait drôlement balancer sa queue ? » Maintenant, elle a le pied sous ma hampe, et elle s’amuse à la faire bouger, de haut en bas, de gauche à droite. Puis elle l’écrase un moment sous sa semelle, la plaquant contre mon ventre. Non seulement mon érection tient bon mais je crois même qu’elle augmente.
« Moi, si j’étais toi, je me servirais de ce machin, crois-moi. Small is beautiful. Et puis, si tu n’aimes pas sa figure, tu n’as qu’à lui plaquer un oreiller dessus ! (Les deux jeunes Femmes rient longuement avant qu’Élodie puisse reprendre :) Parce que, bien sûr, tu serais sur lui, pas dessous… – Évidemment ! Tu me vois sous un esclave ? – Non, pas du tout !…Et je pense d’ailleurs que , moi, j’aimerais que le mec que je suis en train de posséder étouffe pas mal pendant que je prendrais mon pied à l’aise. J’ai lu des trucs là-dessus. Il paraît que ça donne un grand sentiment de puissance féminine. – Ça, c’est vrai. Je l’ai déjà fait avec des amants qui ont bien voulu essayer. Très excitant, très valorisant pour la Femme. J’appuyais même mes coudes sur le coussin et j’attendais que le type n’en puisse plus pour le libérer. Tout en me cherchant sur lui, je me disais "Encore une minute, encore un peu, c’est trop bon, tant pis pour lui ! Il ne va mourir pour si peu !…" Je posais une oreille contre le coussin. Je l’entendais essayer de respirer là-dessous. Il poussait des gémissements sourds, il me suppliait d’arrêter, sa tête roulait, il me caressait les reins, les fesses, pour tenter de m’amadouer, il tentait même de me soulever mais je me faisais plus pesante et il n’y arrivait pas. Il faut faire ça avec un partenaire pas trop costaud, c’est encore plus jouissif de profiter de sa faiblesse... Donc, je continuais à peser sur lui tout en me démenant sur sa queue que je sentais palpiter, se cabrer en moi. C’était très fort, très bon, et je finissais par jouir merveilleusement. Ah oui, ce sont de grands moments pour une Femme qui aime dominer et ne déteste pas faire souffrir un peu l’homme dont elle se sert ! – Arrête, chérie, tu me donnes trop envie ! – Mais attention ! Pour que ce soit parfait, il faut que l’homme sache ne pas jouir. Ça doit être dur parce qu’il paraît que, pour lui aussi, l’étouffement sous le corps d’une Femme est aphrodisiaque… ‑ J’allais justement te poser la question. Est-ce que celui-ci a appris à se retenir aussi longtemps qu’il faut pendant que la Femme jouit de lui, pour qu’elle puisse aller vraiment au bout de son plaisir ? – Oh, ça oui, tu peux faire confiance à ma frangine. Déjà, elle a horreur qu’un homme normal la souille, alors tu penses, son esclave... Oui, elle l’a bien dressé… quoique l’autre jour il a quand même salopé sa gandoura. – Ah, bon ? Qu’est-ce que tu lui avais fait ? – Mais rien. C’est lui au contraire qui me faisait des choses avec sa langue. Tu sais bien, quand il me nettoyait avec sa bouche après ma partie de jambes en l’air et qu’il m’a fait jouir presque malgré moi. – Il a déchargé rien que parce qu’il t’avait fait jouir ? – Oui. – Moi, je trouve ça plutôt émouvant. – Moi pas, parce qu’il aurait dû me demander ma permission. ‑ Tu la lui aurais donnée ? – Certainement pas ! – Tu es dure avec lui, je trouve. – Ça se peut, mais la loi, c’est la loi, surtout quand c’est la loi de la Femme… Ma Loi. Tout manquement doit être sanctionné, sinon dérive assurée. Et moi, je ne tiens pas du tout à rendre à ma Sœur qui m’a fait cette gentillesse un esclave que j’aurais gâté par trop de bonté. – Alors, qu’as-tu fait ?– Ce qu’il fallait. J’ai été obligée de le punir sévèrement. – Tu l’as battu, je parie. ‑ Oui, avec ma cravache. Vingt coups et pas pour rigoler, crois-moi. » (Je me dis : vingt coups ? Vingt-cinq, en fait, mais j’ai la prudence de la fermer !)
« Oh, comme tu m’excites, ma chérie ! Je me sens toute chaude. » Et voici Élodie qui se couche à moitié sur ma Belle-Sœur laquelle lui ouvre ses bras. Tout en lui dévorant la bouche, elle écarte les pans de la robe d’intérieur sous laquelle ma Maîtresse ne porte que ses longs bas blancs tenus par de larges jarretières froncées à l’ancienne, noires et rouges. Elle caresse les cuisses que je vois frémir, fait monter lentement ses mains vers le tabernacle du féminin plaisir, perd ses doigts dans la douce broussaille puis joue tendrement avec les lèvres du sexe qui s’entrebâille sous les attouchements et reçoit bientôt en son étui glissant un médius inquisiteur…
« Pas trop vite, mon Élodie, nous avons tout notre temps, mon amour ! » murmure ma Belle-Sœur qui, de l’index, me fait signe d’approcher, pendant que son amie continue à la caresser doucement. Un geste de sa main, dont je commence à bien connaître les expressions, me signifie de me mettre à quatre pattes, devant elles deux, en travers. Et, sitôt que je suis en position, elle soulève ses belles jambes et pose ses pieds sur mon dos, aussitôt imitée par son amie, à qui il n’est jamais nécessaire de faire un dessin.
« Parlons un peu d’abord, tout en nous caressant », suggère ma Belle-Sœur.
Élodie et ma Maîtresse bavardent tranquillement tout en promenant leurs pieds sur mon corps, comme si j’étais vraiment un simple tabouret. Que suis-je
d’autre d’ailleurs, à leurs beaux yeux ? Elles parlent de moi à la troisième personne, comme si je n’étais pas là, abaissé sous leurs pieds. « Il ceci », « il cela »…
Parfois leurs semelles s’appuient à mes flancs et je me dis que j’ai de la chance qu’elles portent des souliers à talons plats, sinon je dégusterais. À un moment, comme par inadvertance, mais je
pense qu’elle le fait exprès, pour profiter d’un pouvoir dont elle jouit pour la première fois de sa vie, Élodie croise ses deux pieds sur ma tête, à l’arrière de mon cou et, comme elle ne fait
rien pour atténuer le poids de ses jambes, je souffre vite de raideurs plutôt pénibles… qui ne diminuent en rien mon autre raideur, bien au contraire.
Je n’écoute pas trop ce que se disent les deux Femmes, en s’interrompant de temps à autre pour échanger baisers et caresses. Je pense à ma Femme. Je
l’imagine dans un univers de luxe, de farniente, de joie et de luxure. Je vois de beaux grands hôtels, des balades en amoureux aux rives des grands lacs, des soirées de casino, je vois les hommes
la dévorer des yeux, la désirer… Je la vois en train de faire l’amour et de feuler de jouissance sur le vaste lit d’une suite… J’imagine son entrejambe trempé, sa chatte entrouverte après
l’étreinte et la jouissance et qu’il ferait si bon lécher… La jalousie, l’envie, le dépit me tordent les entrailles. Et aussi l’envie de la revoir, de me remettre à son service, de redevenir son
esclave bien-aimé, de tomber à ses pieds, de lui étreindre les chevilles et de lécher ses bottes. J’aime ma Belle-Sœur et je la désire, mais j’adore mon Épouse, mon infidèle Épouse dont je suis
la propriété.
« Moi, à ta place, je ne pourrais pas me passer d’un mâle bien constitué et apte à me contenter que j’aurais sous la main, même avec un engin pas terrible. (Long soupir langoureux.) Tu vois, ma chérie, je pense et je n’en démordrai pas, que le plaisir sexuel de la Femme n’est pas quelque chose de superflu, un plus qui est toujours bon à prendre mais dont elle pourrait à la rigueur se passer. Non, sa jouissance est constitutive de sa joie de vivre. Elle lui est aussi nécessaire, aussi vitale que la bonne nourriture. Elle lui est due, alors que pour le mâle, le plaisir n’est que très contingent, je dirai même facultatif. C’est grâce à des orgasmes fréquents, intenses, profonds, reçus par elle dans les conditions qu’elle préfère, qu’une Femme reste si belle, si attirante, si prestigieuse et souvent aussi si impressionnante aux yeux des hommes. Regarde la peau d’une Fille qui baise autant qu’elle veut et celle d’une mal baisée. La première respire la santé. Elle est lisse, souple, avec une chair bien pleine et bien ferme dessous. C’est la beauté même. Elle sent bon, elle est douce, veloutée. La seconde est triste et grise, fripée, rêche, moche… C’est aussi notre plaisir, notre inépuisable aptitude à jouir, qui fondent notre supériorité. Par exemple, toi et moi, nous n’avons pas besoin de toute une nuit pour vider un homme et le mettre KO ! Moi, une fois, j’en ai vidé trois sans me forcer ! – C’est bien pourquoi, souvent, je préfère me gouiner avec une autre nana. – D’accord, moi aussi. C’est vrai que pour une Femme une autre Femme est la partenaire charnelle idéale, mais il n’empêche qu’un homme, convenablement éduqué au service sensuel de sa Compagne Supérieure… ou de sa Maîtresse, comme cet esclave-ci… et persuadé au fond de lui que seul le plaisir de la Femme est primordial, peut devenir un excellent outil, dont la Femme peut se servir avec profit. Voilà comment je vois les choses. – C’est beau et simple, ce que tu dis, tu sais ! » (Nouveaux baisers passionnés, nouveaux halètements de plaisir, froissements de tissus, petits rires.) Mais je prendrais bien un thé, moi. Et toi ? – Oui, moi aussi. »
Les pieds abandonnent mon dos. Je n’ai pas besoin d’ordre. Je file à la cuisine, n’osant pas me relever avant d’y être.
*
« Tu vas voir à quel point on peut se montrer capricieuse quand on se fait servir par un esclave, et combien c’est plaisant et amusant pour nous…
L’autre jour, en rentrant, je suis allée directement à ma chambre. Je lui avais ordonné de la nettoyer à fond et je voulais voir comment il s’en était tiré. Il était agenouillé devant moi, prêt à
me déchausser et à s’occuper de moi, et il attendait visiblement que je lui dise si j’étais contente de lui ou pas. En fait, il avait très bien travaillé, ma chambre n’avait jamais été aussi
nickel. Il devait s’attendre à des compliments, ça se voyait à sa mine réjouie, qui cachait quand même une de ces petites inquiétudes que j’aime bien entretenir chez lui. J’étais très contente
mais je pense qu’une Maîtresse, si elle veut garder et accroître son pouvoir sur son esclave, ne doit jamais se montrer totalement satisfaite de lui. Elle peut toujours s’arranger pour trouver un
détail qui cloche. N’importe quoi fait l’affaire. Nous ne sommes pas tenues à la bonne foi. Une idée me passe par la tête. Je lui demande : "Qu’as-tu fait de mon soutien-gorge et de ma
petite culotte ?" Il me répond : "Je les ai mis au linge sale avec votre chemisier, Maîtresse." Aussi sec, je lui expédie une beigne qui lui envoie la tête de côté. Il me regarde, la
joue toute rouge avec la marque de mes doigts imprimée dessus, des larmes plein les yeux. Il ne comprend visiblement pas. Je lui explique calmement : "Du linge qui a touché mon corps, qui a
été en contact avec moi, ne peut pas être sale ! Tu viens de te rendre coupable d’un manque total de respect envers ma personne." Il a toujours l’air aussi idiot, alors je lui explique qu’il
devra toujours dire qu’il a mis mes affaires "avec le linge à laver". Je lui demande s’il a bien compris. Il secoue tristement la tête pour dire que oui et tout de suite il se prosterne à mes
pieds et écrase ses lèvres sur les pointes de mes bottines, en répétant : "Oui, Maîtresse, j’ai compris et je vous demande pardon. – Redresse-toi en restant sur les genoux et
regarde-moi. Non seulement tu me manques de respect, mais tu es un sale menteur !" Je me penche sur lui, je plonge mes doigts dans la poche de poitrine de sa gandoura et j’en extrais mon
mignon slip noir que j’ai aperçu pendant qu’il se prosternait. Du coup, je lui balance une autre gifle, encore plus forte que la première. J’en ai chaud à la main, mais lui, il saigne du nez et
ça a dû lui remettre les idées en place ! Je brandis mon slip sous son nez. "Et ça, qu’est-ce que c’est ?… Tu as vu, je te connais comme si je t’avais fabriqué. J’étais sûre de mon
coup". Il me dit de son ton geignard que je déteste : "Je voulais vous rendre hommage, Maîtresse. – Me rendre hommage ? Tu crois que je vais gober ça ?… Tu es un obsédé
sexuel, un cochon, oui ! Va vite dans ma chambre et rapporte-moi ma cravache. Mais avant, ouvre ta bouche en grand !" Et je lui ai enfourné ma petite culotte, comme un bâillon, en
poussant dessus du bout des doigts pour qu’elle s’enfonce jusqu’à sa gorge ! "Tu voulais flairer ma culotte ? Eh bien flaire-la et bouffe-la, maintenant !" Quand il est revenu avec
ma cravache, il s’est spontanément agenouillé, je lui ai ordonné de garder ses lèvres appuyées sur mes chaussures et je l’ai battu de nouveau. »
Élodie se tortille sur le canapé, elle se frotte les seins, elle appuie les doigts de sa main droite réunis en pointe sur son sexe à travers son jean. Elle
finit par dire : « Ma chérie, tu m’excites trop ! Tes histoires me font mouiller. Je n’en peux plus. Tu ne crois pas que nous devrions aller sur ton
lit ? »
*
Sitôt dans sa chambre, ma Belle-Sœur se débarrasse de son peignoir et se jette, toute nue, sur le lit. Élodie se retourne vers moi qui l’ai suivie à genoux. « Déshabille-moi, esclave ! » Ma Maîtresse éclate de rire : « Dis donc, ma chérie, tu es sûre de n’avoir jamais eu d’esclave à toi ? On pourrait en douter en t’écoutant donner des ordres au mien ! – Oh, ça me vient tout naturellement… Et je crois que n’importe quelle Fille, n’importe quelle Femme normalement constituée agirait de même, tellement c’est naturel et plaisant – Tu as raison, mon Élo, nous sommes faites pour ça ! »
Penché sur ses pieds, j’ôte ses tennis blanches à la belle amie de ma Belle-Sœur qui s’est assise au bord du lit, puis ses chaussettes, blanches elles aussi et très fines. Je baise les souliers de sport, je baise les socquettes. Puis, la belle rousse s’étant mise debout, je redresse mon buste et défais la fermeture de son pantalon que je fais glisser avec précaution le long de ses jambes admirables. S’appuyant d’une main à ma tête, Élodie lève paresseusement un pied puis l’autre. Je suis d’autant plus ému que mon nez touche presque le triangle bombé de sa petite culotte bleue ourlée de noir, si ténue que j’aperçois à travers ses mailles l’abondante toison de feu, et que je sens l’odeur du sexe féminin depuis longtemps en émoi. Les doigts m’en tremblent tandis que je fais descendre ce délicat bout de tissu que la chair secrète de la Femme a enrichi. Comme il y a un instant, Élodie prend appui sans façon sur mon crâne. Un baiser sur le fond de la petite culotte dont la senteur capiteuse m’étourdit. Un instant, je pense que la belle va avancer son ventre vers moi, offrir sa touffe à mes baisers. Elle n’en fait rien. Alors, résigné, je me mets debout pour enlever la fine chemise de soie. Mais Élodie l’a fait elle-même, et ne porte plus qu’un soutien-gorge assorti à sa culotte, un balconnet qui soutient par en dessous ses seins opulents et fermes qui s’offrent ainsi à la contemplation de ma Belle-Sœur (qui doit bien les connaître !) et de la mienne. Je passe dans son dos et dégrafe ce dernier ornement de sa beauté. Elle court au lit, elle y saute, elle est dans les bras de ma Belle-Sœur.
*
Je m’apprête à me retirer discrètement pour aller me trouver quelque travail à faire, ; lorsque la voix de ma Belle-Sœur m’arrête. « Mets-toi à genoux au milieu de la chambre, les mains sur la tête. Regarde et tais-toi. Si on a besoin de toi, on te sifflera ! »
Pendant plus d’une heure, les deux splendides Femmes vont s’aimer avec passion devant moi qui n’en peux plus de désir. Assises face à face, elles
imbriquent leurs cuisses, celles de l’une entourant les hanches de l’autre. Elles se penchent l’une vers l’autre, se mangent la bouche et la langue, se malaxent mutuellement les seins, se baisent
dans le cou, à la racine des cheveux, dans l’oreille, sur les yeux… Leurs mouvements, leurs changements de position s’opèrent avec grâce et ensemble, comme si chacune devinait ce dont l’autre a
envie, juste au bon moment.
Et les voici, cuisses ouvertes, en ciseaux se pénétrant l’un l’autre, frottant leur sexe à celui de l’amante, en gémissant, frottant leurs clitoris. Puis
leurs bouches se soudent à nouveau et je vois leurs langues qui entrent, qui sortent, qui bavent un peu. Elles font des bruits de gorge, comme si elles ronronnaient. Puis, d’une seule reptation
coulée, Élodie se met sur le dos et ma Belle-Sœur vient sur elle, tête-bêche. Voici deux bouches sur deux vulves, voici deux langues dans deux vagins, voici le bruit humide des délicieux
suintements féminins, tandis que quatre mains vont et viennent, explorent toute la peau de la jolie partenaire, se glissent dans la vallée de ses fesses, tâtent le mignon pertuis, y poussent une
phalange inquisitrice. Les corps ondulent, les tailles se creusent, les voix deviennent rauques. C’est magique.
C’est si beau à regarder, si excitant, si sublime, ces deux Femmes parfaites qui s’aiment sans retenue devant un esclave auquel elles ne pensent plus, que je crois bien, pour la première fois de ma vie être sur le point de me vider, rien qu’à jouer les voyeurs, sans contact, sans utilité sexuelle d’aucune sorte, pas comme l’autre jour lorsque je venais de sucer ma Belle-Sœur et de la faire jouir. Mais je résiste, je refuse mon plaisir qui n’est rien face à celui de ces deux Femmes merveilleuses.
Et voici que ma Belle-Sœur se penche sur sa table de chevet et sort du tiroir dont je connais le contenu un magnifique double gode ! Deux splendides verges érigées pour toujours, raides et souples à la fois, faisant un angle faiblement obtus de part et d’autre d’un épaississement central qui peut permettre de l’empoigner. « Oh, qu’il est beau et gros ! Il n’y a pas beaucoup de mâles montés comme ça ! » s’exclame Élodie. – Oh, non ! Mais tu as vu, il y a deux belles queues et elles vont nous faire beaucoup de bien à toutes les deux. Tu vas en faire entrer une dans ta jolie chatte toute trempée et me baiser avec. Et après, on changera, c’est moi qui te prendrai. Tu vas voir, ce sera très chouette et très jouissif ! »
Et je les vois se faire follement l’amour. Elles retiennent de moins en moins leurs soupirs, leurs cris. Quelle belle bande-son cela ferait pour un film X ! Élodie possède ma Belle-Sœur à la missionnaire, longuement, avec des mouvements très amples. J’entends distinctement chuinter les deux sexes qu’emplit complètement l’énormité des faux phallus. Puis ma Belle-Sœur fait mettre son amie en levrette et la besogne ainsi en la tenant par les hanches pour la tirer à elle et la repousser, avant de se planter à nouveau dans le sexe gourmand… Je vois le gode, tout dégouttant de mouille, aller et venir de toute sa longueur dans cette bouche béante, cernée de fourrure, qui se serre sur lui, mais je vois en même temps le morceau qui est dans ma Belle-Sœur bouger, lui aussi, et je me dis que cet engin est vraiment merveilleux qui permet à deux Femmes de se réjouir ensemble… Parfois, seul l’épaississement du milieu les sépare : elles ont en elles toute la longueur des deux chibres et, à la façon de se remuer rageusement dessus, en ahanant, on sent que l’explosion finale du plaisir est proche.
Et ce que j’imaginais arrive : ma Maîtresse et son amie arrivent au plaisir en même temps, dans un délire de mouvements et de bruits. Le plus beau spectacle au monde : une double jouissance féminine !
Les deux Femmes, repues, à bout de souffle et de force, se séparent paresseusement, sortent de leurs ventres le double godemiché qui tombe sur le drap, puis s’étreignent avec tendresse. « Que c’était bon et fort ! » dit l’une. « Comme je t’aime ! » répond l’autre. « Viens ici, esclave ! », m’ordonne ma Maîtresse. « Ma chérie, couchons-nous en travers, avec la chatte au bord du lit et ouvrons les jambes. Il va nous nettoyer avec sa bouche. Tu vas voir, c’est fameux aussi. – Je m’en doute… ‑ Après, on se fera un petit dorm’ dorm’… »
(À suivre…)
Cette histoire vraie est de plus en plus passionnante, l'étau se ressère sur le jeune paillasson, il en est conscient, Elle
aussi, Elle ira jusqu'au bout, usera, abusera, de cette soumission totale..... bonne lecture à tous!
FÉTICHISME ET SOUMISSION X
Le dimanche soir, après avoir passé quasiment huit heures aux pieds de ma Princesse, je suis rentré chez moi, complètement détruit physiquement et moralement. J’ai raconté à mes parents que je ne me sentais pas bien et je suis allé directement me coucher. Bien entendu, comme toutes les nuits, j’ai pris les chaussettes de ma Princesse contre mon visage.Ce rituel était devenu pour moi une véritable addiction.
J’étais détruit physiquement car j’avais les genoux, le dos, les bras en compote. C’était la première fois que je restais si longtemps dans une telle posture. Je ne le regrettais absolument pas. D’ailleurs à l’époque, j’étais déjà parfaitement conscient de la chance que j’avais eue. Comme vous le savez, je suis depuis mon adolescence un véritable adorateur des Pieds Féminins. Je venais ce dimanche de réaliser un de mes fantasmes, c’est-à-dire passer toute une journée aux pieds d’une Femme. D’ailleurs, au cours de cette journée, mon excitation avait été trop forte. Une nouvelle fois, j’avais éjaculé dans mon boxer. Je n’en suis pas fier mais ma Princesse me rendait dingue. J’avais eu une nouvelle fois de la chance qu’elle ne s’en rende pas compte… enfin pas cette fois-ci…
J’étais donc aux anges d’avoir réalisé ce fantasme mais lorsque je m’étais imaginé de tel scénario, je n’avais pas envisagé la douleur physique. Enfin, il fallait en passer par là.
J’étais donc heureux mais pas complètement, car je ne pensais pas que ce dimanche se passerait ainsi. Je croyais que ma Princesse et moi étions enfin ensemble, je pensais que nous allions vivre une romance. De plus, l’autorité dont avait fait preuve ma Princesse en cette occasion m’avait vraiment fait peur. Je ne l’avais jamais vue aussi sévère, j’avais vraiment l’impression que ce jour-là, ma Princesse n’avait plus aucune limite…
Ma nuit fut très agitée, je n’ai fait que repenser à tout cela…
Le lendemain matin, à 7 heures 30, j’étais garé devant la maison de ma Princesse, je l’attendais comme tous les matins. Elle était un peu en retard.
Elle ouvrit sa porte, je sortis de la voiture, je pris son sac que je déposai à l’arrière. Je lui ouvris la portière pour qu’elle puisse s’installer sur le siège passager puis je la conduisis
jusqu’au lycée. Arrivé à l’établissement, je ressortis de la voiture pour lui ouvrir la portière....
.... je portai son sac jusqu’à la salle de classe où je la laissai avec ses amis.
Sur le trajet, ma Princesse n’avait pas été bavarde, elle semblait encore bien lasse. Elle m’avait uniquement dit : « Salut, je suis encore fatiguée, je n’ai pas bien dormi, en
plus j’ai encore mal aux pieds. Ce soir attends-toi à passer ta soirée à mes pieds et n’espère pas bénéficier d’un coussin !! » Elle faisait allusion bien sûr à ma remarque de la
veille. Bien entendu, je n’eus le droit à aucun bisou.
Toute la journée, je fus impatient qu’il soit 16 heures 30 et que je puisse enfin être aux pieds de ma Princesse. Il n’y avait vraiment que là que je me sentais bien.
Elle et moi n’étions pas dans le même établissement. Elle avait eu un cursus scolaire difficile, elle devait passer son baccalauréat au mois de juin de cette année-là. Moi j’étais en études supérieures.
Le midi, chacun de nous déjeunait chez ses parents.
Tous les soirs à 16 heures 30, j’étais garé devant le lycée, et j’attendais ma Princesse à la grille. Je lui prenais alors son sac, je lui ouvrais la portière de la voiture devant le regard amusé de ses amis. Je savais que derrière mon dos, mon comportement devait énormément faire parler. Heureusement, je n’étais pas encore trop gêné car je n’étais plus dans cet établissement. Néanmoins, j’y avais encore des amis et j’avais peur qu’à un moment ou un autre certaines informations viennent à leurs oreilles... Mais je ne pouvais rien faire, j’étais devenu l’esclave de ma Princesse, je me devais de l’assumer sinon j’aurais tout perdu.
J’ai conduit ma Princesse dans une boulangerie car elle avait un petit creux puis, arrivés chez moi, nous sommes montés dans ma chambre et je me suis mis à
genoux pour déchausser ma Princesse. Elle s’est installée sur le lit, je lui ai mis un coussin dans le dos pour qu’elle soit bien. J’ai allumé la télévision, je lui ai apporté à boire. De son
index, elle m’a montré ses pieds. J’avais compris. Je me suis mis à genoux, j’ai retiré tout doucement ses chaussettes. Ma Princesse m’a dit : « Tu sens comme mes chaussettes sont
tout humides, j’ai encore eu très chaud dans mes bottes. » Puis comme à son habitude, elle a plaqué son pied sur mon visage et m’a dit : « Alors, ils sentent bon ? » Je
sentais la moiteur, l’humidité de ses pieds sur mon visage, c’était pour moi comme une invitation au léchage. J'en rêvais...... pouvoir prendre Ses orteils en bouche était pour moi comme le stade
suprème de la volupté, mais j'attendais, espérant en recevoir l'ordre, car l'intimité de ma langue indigne sur Ses Pieds nus aurait pu être considérée comme un viol. Puis Elle m’a dit de
prendre la crème de massage. J’ai alors commencé à lui masser les pieds avec toujours la même excitation et le même dévouement.
J’avais attendu ce moment toute la journée. J’y étais enfin. Je ne pensais plus à rien. Je ne regardais qu’une chose, les pieds de ma Princesse, ils devenaient mon seul horizon. À ce moment-là,
je ne vivais que pour ses splendides pieds. Il était 20 heures, j’avais passé plus de deux heures à masser les pieds de ma Princesse. Elle
commençait à avoir faim, et elle me dit qu’il était l’heure d’aller manger. J’ai arrêté de masser ses pieds, je lui ai fait un petit bisou sur chacun. J’avais pris cette habitude en fin de
massage. Ma Princesse m’autorisait à lui faire ce petit baiser sur chacun de ses sublimes pieds, et c’était pour moi un véritable honneur. Je lui ai remis ses chaussettes, nous sommes descendus.
Je me suis mis à nouveau à genoux, je lui ai enfilé ses bottes. Nous sommes allés en ville à la friterie chercher de quoi manger. Nous mangions ensemble tous les soirs, nous ne voulions pas nous
quitter. Nos achats faits, nous retournions dans ma chambre et nous dînions. Dès le repas terminé, ma Princesse me faisait signe de reprendre ma place à ses pieds. Au début de notre relation,
elle s’inquiétait que je ne puisse pas suivre la télévision en étant à genoux à ses pieds. Mais à ce moment-là, elle avait dépassé ces interrogations, elle me voulait à ses pieds, un point c’est
tout. Ma Domina regardait donc tranquillement un programme pendant que je m’occupais de ses pieds. Puis il était l’heure que je la raccompagne car le lendemain nous devions aller au lycée. Comme
d’habitude, ce soir-là, j’ai raccompagné ma Princesse chez elle. Au moment où j’allais sortir de la voiture pour lui ouvrir la portière, elle m’a retenu et m’a fait un petit bisou sur la bouche.
Elle m’a offert de nouveau ce cadeau alors que je n’y croyais plus ! Toute la semaine s’est passée de la même manière entre lycée, massage de pieds et petit bisou de temps à autre. Même si
ce n’était pas une grande romance, j’avais vraiment l’impression de vivre en couple avec ma Princesse. Malheureusement le vendredi soir, tout aller basculer…
Ce vendredi matin, ma Princesse m’a dit qu’elle devait me parler. Toute la journée, je me suis senti très très stressé, je me demandais ce qu’elle allait m’annoncer. Au soir, nous sommes allés
dans ma chambre. Elle s’est installée sur le lit, j’ai placé un coussin dans son dos. Moi naturellement, je me suis mis à genoux à ses pieds pour l’écouter. Elle m’a dit ceci :
« Écoute-moi bien et surtout ne me coupe pas. Samedi dernier, je me suis laissée aller. J’ai été touchée par l’attention et le dévouement dont tu fais preuve à mon égard depuis
plusieurs mois. Il est vrai que je n’ai jamais rencontré un garçon comme toi. Un garçon si attentionné, si gentil, si dévoué, bref un garçon aussi soumis, alors que tu n’es même pas mon petit
ami. Je sais que tu es complètement fou amoureux de moi, tu me l’as assez dit, oralement ou dans tes lettres. D’ailleurs, tout le monde le voit. Samedi, j’ai eu envie de te donner ta chance, j’ai
passé un très très bon moment dans la voiture mais c’est tout, ça s’arrête là. Cette semaine, j’ai encore essayé pour te faire plaisir mais cela n’a fait que confirmer ce que je pensais. Tu es
devenu pour moi un ami très cher mais il ne pourra jamais y avoir plus que de l’amitié entre nous. Physiquement, tu n’es pas du tout mon type de garçon.
En plus, je n’ai pas envie de gâcher notre belle amitié. Et enfin, je vais être un peu dure mais j’ai besoin d’un garçon ayant un minimum de caractère et avec toi j’ai l’impression d’avoir
en permanence une serpillière à mes pieds.
Jusqu’à maintenant, je n’avais connu que des gars machos, je ne voudrai plus jamais d’un garçon comme cela mais tout de même j’ai besoin d’un garçon ayant un minimum de répondant… que tu
n’as pas. En revanche, tu m’as appris à aimer les massages de pieds. Personne ne m’avait jamais fait cela, aujourd’hui je ne pourrais plus m’en passer. J’aime te voir soumis face à moi. J’aime
que tu m’obéisses au doigt et à l’œil. J’aime te voir si attentionné envers moi, si gentil. J’aime tous les moments que l’on passe ensemble que ce soit dans les magasins, au restaurant, au
cinéma. Je te remercie pour tous les cadeaux que tu m’offres, jamais personne ne m’en a donné autant. Tu as déjà dû dépenser une petite fortune pour moi. Cela me fait très plaisir mais tu devrais
savoir que l’on n’achète pas l’amour de quelqu’un avec de l’argent. Les sentiments sont là ou pas.
Dans tes lettres, tu m’as souvent dit que tu étais heureux d’être mon serviteur. Tu m’écris que tu préfères être à mes pieds plutôt que d’être dans les
bras d’une autre Fille. Tu m’as même écrit que tu n’étais pas sûr de mériter l’honneur d’être à mes pieds. Tu es tellement différent de tous les autres garçons ! J’ai l’impression que tu es
un esclave et que moi je suis une Reine.
J’aime cela.
Voilà, j’aimerais savoir si tu penses être capable de poursuivre uniquement des liens d’amitié avec moi. Attends avant de me répondre. De plus,
j’aimerais savoir si tu acceptes de continuer à être mon serviteur. J’ai trop pris goût à cela et je pense ne plus pouvoir m’en passer. Je sais que je ne trouverai probablement pas un garçon
comme toi pour être à mes pieds. Alors, voici ce que je te propose : nous restons amis mais surtout tu restes mon serviteur. Tu continues à t’occuper de mes pieds et à faire absolument tout
ce que je te demande. Je vois le plaisir que tu ressens à prendre soin de mes pieds. Je n’arrive pas à comprendre comment tu peux prendre autant de plaisir à t’occuper des pieds d’une Femme mais
j’aime en profiter. Enfin, je ne cherche pas la raison, mais j’ai souvent remarqué que tu bandais en t’occupant de mes pieds. Je continuerai à t’accorder cet honneur si tu m’es toujours aussi
dévoué et obéissant. En revanche, je veux que tu me sois fidèle. Si tu as le moindre contact avec une autre Fille, notre relation particulière prendra immédiatement fin. J’ai parfaitement
conscience de ce que je te demande. Dimanche dernier, en te faisant passer toute la journée à mes pieds, en t’obligeant à manger comme un chien, j’ai voulu tester tes limites et j’avoue que tu ne
m’as pas déçue !! Si les gens nous entendaient, ils pourraient nous prendre pour des fous. Avant, je n’aurais jamais envisagé pouvoir penser un jour comme cela. C’est toi qui m’as fait
découvrir cela. J’ai maintenant pris goût à t’avoir à mes pieds et je n’ai pas envie de m’en passer. Regarde, là, tu t’es mis naturellement à genoux à mes pieds. Ce que je vais te dire est
peut-être méchant mais c’est ce que je ressens aujourd’hui : j’ai vraiment l’impression que ta place naturelle est à mes pieds. Un jour, tu m’as écrit : « J’ai le sentiment d’être
né pour te servir ». Je pense qu’en effet c’est le cas !!! Alors que décides-tu ? »
J’étais toujours à genoux aux pieds de ma Princesse. Je l’avais écoutée attentivement. J’étais complètement abasourdi par ce que je venais t’entendre. J’étais bien évidemment déçu que ma Princesse mette fin à notre petite idylle amoureuse. Mais la proposition d’esclavage qu’elle venait de me faire m’avait complètement mis KO. Je n’arrivais pas à croire qu’elle m’ait dit tout cela. À ce moment-là, la réalité était en train de dépasser mes fantasmes…
Selon vous, qu’ai-je répondu à ma Princesse ?
(À suivre…)
paillasson mâle, petit soumis frileux, timoré, fantasmeur et virtuel de Maîtresse MAEVA
J'ai été longtemps cavalière avant de dompter les mâles. Je ne monte plus les chevaux, je leur fais des calins, les embrasse sur les naseaux, les
cajole, un peu comme Nietszche, dans les rues de Turin (et si vous ne comprenez pas l'allusion, prenez-vous en à votre inculture crasse...) ..... par contre, j'ai détourné certains objets
liés à l'équitation. Pour la cravache, c'est évident. Dès le départ, lorsque j'ai été baptisée en Domina cruelle par une autre Domina de ma ville, j'ai utilisé ma vieille cravache à chevaux pour
cingler les mâles soumis que je collectionnais à Mes Pieds. Depuis, j'ai eu d'autres cravaches, et des fouets..... J'ai aussi de superbes éperons, que je remets régulièrement pour dresser le
chien...... suivez ce reportage, c'était il y a deux ans, avec feet-le-chien......
..... les éperons s'accordent bien sur Mes Bottes, naturellement......
.... mais pas seulement, j'aime aussi les porter sur Mes Pieds nus, l'obscur objet du désir devenant ambivalent: à la fois totem érotique et mauvais objet source de crainte....... les éperons ont
été au préalable aiguisés par le chien, ils peuvent faire très mal....... ......
..... mais souffrir par Mes Pieds est sa quête initiatique.....
...... caresses et supplices...... encore une alternance qui tient en éveil.....
..... j'adore sentir ce visage qui vit, vibre ...... qui palpite sous Mon Pied que je veux pesant, contraignant........
.... éperonner son dos qui me sert de pouf......
.... essuyer Mes Pieds nus et moites sur leur tapis de chair......
..... un visage complémentaire de Mes Pieds.... je dirais même un attribut confortable......
...... violer sa bouche et profiter du service de sa langue..... mais ce n'est pas vraiment un viol, un viol, c'est "quand on ne veut pas"...... mais il résiste toujours un peu, il aime se sentir
violé et contraint, en fait, il se fait du cinoche car il adore avoir Mes Orteils dans sa bouche....
..... le titiller...... le griffer de Mes ongles...... lui donner des coups de Pieds dans la machoire..... ou, de la pointe du Pied, lui remonter le menton, ou encore pincer son nez entre deux
Orteils, tout cela m'excite gravement.... lui aussi, quelle chance que cette convergence!
..... ou, de la douce plante de Mon Pied, le flatter comme un bon chien en lui caressant la joue, et d'un coup, lui administrer une gifle magistrale qui claque, tout le contraire de la routine,
il faut le déconcerter, bousculer ses certitudes ...... revoir ces vieilles photos m'a bien émoustillée: Je revois Mon chien feet dès dimanche matin, et j'ai l'intention de faire de
nouvelles photos..... avec les éperons!
J'ai aussi de magnifiques étriers!!!!
...... mais sont ils mérités? Je pourrais en douter, compte tenu du peu de dynamisme de vos réactions....... mais certains sont méritants, ils se
reconnaîtront.......
...... photos prises du sous espace........
...... tel est l'horizon de l'esclave.....
...... avantage esthétique d'être sous la table, pendant que Nous dégustons des creuses de Bretagne N° 2......
...... nous..... c'est à dire Mon amie Maîtresse A et MOI...... c'était hier soir, au domicile du chien......
...... après cette dégustation d'huitres arrosée d'un excellent Chablis grand Premier cru (1976..... excellent millésime, le chien a une bonne cave, à
notre disposition... ), nous nous sommes mis à l'aise, allongées sur le lit de l'esclave, nous avons regardé un film,
il s'agissait de Maîtresse, de Barbet Schroeder. Pendant ce temps, le chien était nu au bout du lit, nous l'avons autorisé à lécher les quatre Pieds un peu fatigués de la journée....... il
bandait comme un âne en rut......
..... il a eu droit à sa petite "gâterie"....... une bonne vie de chien, non trova?
..... une bonne vie de chien soumis, une vie dans l'alternance de récompenses qu'il recherche et qui décuplent sa servilité afin de les
obtenir.......
..... de punitions qu'il redoute, et qui le dressent réellement tant il en a parfois bavé, et notamment dans ses débuts comme chien...... pour l'anecdote, il y a deux ans, le jour de son
anniversaire, il fut contraint de garder ces aiguilles et ces pinces pendant douze heures, il me suppliait de pouvoir les oter, j'ai été inflexible.....
...... j'ai évoqué une vie variée, non routinière, alternance de punitions, de récompenses, et...... d'humiliations diverses qui le conscientisent, le
renvoient à sa condition d'inférieur. J'adore les humiliations publiques où il doit affronter le regard des autres....... se prosterner devant MOI et lécher Mes Pieds, c'est plutôt facile dans la
sphère privée, par contre, il en sera tout autre dans un bar du Cap.......
.... qu'en pensez-vous, les aspirants esclaves, en seriez-vous capable?
........ je m'aperçois que je me suis encore fait "avoir" par ce blog, au départ, je voulais juste publier les trois premières photos, je me laisse
aller, je me raconte, ça fait un long article qui me fera encore passer du temps pour vous! Saurez-vous l'apprécier? Montrez-le, sinon je ne publie rien pendant une semaine!
Ma Belle-Sœur ne plaisante pas avec la discipline
J’avais raison d’avoir peur ! Sitôt agenouillé devant ma Belle-Sœur assise au bord de son lit, et dont la nuisette vaporeuse découvre presque jusqu’en haut les cuisses magnifiques, je lui remets respectueusement, en la lui présentant à plat sur mes paumes ouvertes, sa cravache de cavalière en cuir tressé noir, terminée par une large spatule. Je la vois passer sa main droite dans la dragonne, puis elle m’ordonne de me mettre nu et d’avancer ma tête entre ses genoux.
Elle referme alors ses jambes et les serre fort sur mes tempes. « Croise tes mains sous ta poitrine ! Creuse tes reins, esclave, et lève bien
tes fesses. Offre-les-moi, présente-toi bien, donne-toi, abandonne-toi, fais-moi une confiance absolue ! »
J’entends que ma Belle-Sœur, sans doute pour m’impressionner, fait siffler de façon menaçante sa cravache dans l’air. Bien que tout mon corps soit crispé d’une vile appréhension, et que je
ruisselle d’une sueur glacée, je ne peux m’empêcher, un bref instant, de me sentir privilégié puisque, dans cette posture, je me trouve au cœur de l’intimité de cette belle Femme qui s’apprête à
me battre, mais dont la crainte honteuse que j’ai d’elle ne m’empêche pas d’admirer ses chairs secrètes (magnifique vision), et de la désirer à m’en nouer le ventre.
Et puis, me surprenant, le premier coup s’abat sur mes fesses, violent, méchant, cuisant… suivi d’un deuxième, et d’un troisième. Je tressaille et lâche un grognement sourd. « Bon, tu peux grogner si tu veux, mais pas trop fort. Et je ne veux rien entendre d’autre, pas de cris, pas de supplications, rien qui me dérange. Et tu dois rester immobile aussi, sans te tordre comme un ver de terre coupé en deux. Je ne veux pas me fatiguer, et il faut que tu apprennes à te comporter avec dignité et à souffrir en silence pour moi et par moi. Dis-toi que cela me plaît et que j’y prends plaisir, ça devrait t’aider ! Je veux juste t’entendre compter les coups pour que je sache toujours où j’en suis. Et justement, comme tu n’as compté les trois premiers, on va dire qu’ils ne comptent pas, que c’était juste un petit bout d’essai, et qu’on commence seulement maintenant »
Ma Belle-Sœur, soucieuse sans doute de ne pas trop m’esquinter et de ne pas me mettre hors d’état de la servir dans les jours qui viennent, vise des endroits différents de mon corps. Mes fesses, mes hanches, mes reins, le haut de mon dos, mes cuisses reçoivent ainsi tour à tour leur ration de cravache. La peau me brûle, j’ai parfois l’impression qu’elle éclate et saigne par endroits. (Ce n’est pas qu’une impression : en plus d’énormes bleus – j’ai la peau qui marque trop facilement ‑ j’aurai le dos strié de rouge pendant plusieurs jours.)
Je compte les coups, je grogne, mais je ne me tortille pas trop et je garde mes mains sagement croisées sous mon torse. Pour un peu, je m’en sentirais fier. Le plus dur, finalement, c’est
l’attente. Car ma Belle-Sœur prend son temps et je ne sais jamais à quel moment ni où va s’abattre sa cravache. Je me tends, je tremble et quand l’atroce tige flexible s’abat, je râle à bouche
fermée et j’ai un sursaut que je réprime vite.
Ma Femme a raison quand elle dit que j’ai vraiment une âme d’esclave, que je suis un esclave-né. Malgré la douleur, malgré ma crainte du coup suivant, je ne peux m’empêcher de trouver enviable la situation où je me trouve. Quel homme dans mon genre n’aimerait avoir la tête coincée entre les genoux d’une aussi belle Femme et voir et respirer ses beautés secrètes, ces beautés dont la vue et le désir font courir le monde depuis qu’il est monde, et sur lequel se fonde le Pouvoir Féminin ?…
À dix coups (treize en réalité !), je me demande quand même si je tiendrai jusqu’au bout, si je n’implorerai pas la pitié de ma Belle-Sœur... quitte à m’attirer quelque autre punition : un rabiot de cravache peut-être !
Mais malgré la douleur qui va augmentant, je reste à peu près stoïque, même si parfois, en serrant davantage ses cuisses, ma Belle-Sœur soit me rappeler à l’ordre. Et j’en arrive enfin à compter vingt ! Les genoux ronds et doux qui me tenaient prisonnier s’ouvrent largement, mais je me sens tellement sonné, physiquement et moralement, que je ne bouge pas et reste là, devant ma Maîtresse, tête baissée, les yeux fixant ses jolis pieds.
Jamais ma Femme ne m’a battu ainsi. Certes, elle n’est pas avare de beignes, de pincements ni de coups de genou ou de pied, mais elle ne me frappe (et je crois sans véritable plaisir) que sous l’effet de la colère ou de la contrariété. Elle ne m’a jamais puni de cette manière, avec cette espèce de cynique cruauté et cette froide détermination. Je sens que ma Belle-Sœur me martyrise (le mot est trop fort, disons : me tourmente) davantage pour son contentement personnel que par nécessité de m’éduquer.
Cela ne fait que renforcer l’admiration que j’ai pour elle, et la vénération qui commence à naître en moi, et une idée me traverse soudainement l’esprit : ma Femme a-t-elle été bien prudente en me confiant à sa Sœur, en lui donnant tout pouvoir sur moi ? Et si le prestige de la nouvelle Domina l’emportait sur celui de l’ancienne ? Mais non, c’est impossible, j’aime trop mon Épouse et Maîtresse, j’ai trop d’adoration pour elle et depuis trop longtemps…
« Franchement, je n’aurais pas cru que tu supporterais aussi bien cette séance de discipline », dit ma Belle-Sœur en souriant. « Finalement, tu es moins chochotte que je ne l’aurais cru et tu supportes les bobos sans trop te plaindre ! Tu n’es pas si mal que ça comme esclave, au fond. Nous pourrons faire quelque chose de toi, ma Sœur et moi… » Je lui dis merci… et elle me gratifie de deux nouvelles cinglades en travers des épaules. Les vingt coups annoncés sont devenus vingt-cinq. Cette fois, pris par surprise, j’ai crié de douleur, mais ma Belle-Sœur ne s’en formalise pas.
« Tu devines pourquoi je viens de te donner deux coups de plus ? – Non, Maîtresse… Ou plutôt si : parce que vous en avez eu envie et que ça vous a fait plaisir. ‑ Oui, c’est vrai, mais c’est surtout parce que tu n’as pas eu l’idée de me remercier de t’aider à devenir meilleur. – Oh, pardon, Maîtresse, vous avez raison. – Oui, j’ai raison, mais ne me le dis jamais plus car, pour toi, je dois toujours avoir raison, même quand je change d’avis toutes les cinq minutes. »
Je me prosterne, je me mets à lui baiser humblement un pied. Elle lève l’autre et le pose lourdement sur ma nuque.
« Merci, Maîtresse, de prendre la peine de me dresser. – (Faisant peser son pied sur ma tête, m’écrasant la bouche sur l’autre :) Oui, tu peux me remercier, esclave, parce que
j’aurais pu t’obliger à le faire à chaque cinglade, comme le veulent certaines Maîtresses... Et puis, je ne te l’ai pas dit mais j’avais d’abord pensé à cinquante coups ou plus, parce que, tout
de même, en t’endormant au lieu de m’attendre, tu m’as manqué de respect. Et, comme un soldat, tu as trahi ton devoir. Tu étais de garde et tu as dormi ! Tu te rends compte de l’énormité de
ta faute ? De l’injure que tu m’as faite ? Tiens, j’aurais dû être plus sévère encore, parce que vous autres, les esclaves mâles, vous êtes comme des baudets, il n’y a qu’une chose que
vous puissiez comprendre : la force. Et avant tout, notre force, la force des Femmes. Mais je suis sans doute trop bonne. Comme tu as bien travaillé et qu’en plus tu m’as donné beaucoup de
plaisir avec ta bouche en faisant ma toilette, j’ai voulu me montrer clémente et te ménager pour ta première punition chez moi. J’ai sans doute eu tort, puisque tu n’as même pas su me remercier,
mais on ne se refait pas. »
Tout en continuant à baiser la babouche jaune à décor bleu qu’elle a enfilée et ce que je peux atteindre de la peau tendre de son cou-de-pied découverte, sans oser monter jusqu’à ses chevilles, j’assure ma Belle-Sœur qu’elle n’aura pas à regretter de s’être montrée compatissante. (En même temps, je me dis in petto : « Qu’est que ç’aurait été si elle ne m’avait pas ménagé ! »)
*
Cette correction a eu le mérite de me rendre plus attentif, plus sensible aux besoins de ma Belle-Sœur, plus aux aguets de ses désirs. Comme avec ma Femme – dont le patient travail d’éducation m’a rendu extrêmement perméable aux désirs des Femmes –, j’arrive souvent à deviner, avant qu’elle me le dise, ce qu’elle va exiger de moi. Pourtant, j’hésite encore à devancer ses ordres.
Je me souviens qu’une fois, alors que j’anticipais sur une demande de mon Épouse, elle m’avait surpris en me disant, au moment où je pensais être félicité pour ma prévenance, ne fût-ce que par un sourire de satisfaction :
« C’est bien et souvent c’est commode pour moi que tu devines ce dont j’ai envie et que tu prennes les devants pour me servir et me donner satisfaction. Mais en même temps, ça m’agace un peu et ça m’inquiète. Si tu me sers de ton propre chef, sans contrainte, presque par plaisir, comme si tu étais mon égal, un simple prétendant, un simple partenaire de couple, tu cesses en quelque sorte d’être mon esclave. Tu ne subis plus ma volonté puisque tu agis de ton propre chef, tu t’émancipes, tu regagnes de l’autonomie, de la liberté presque ! Tu deviens un mari serviable, c’est tout. Et moi, je ne veux pas de ça. Je te veux sous dépendance, complètement à ma botte. Tu peux comprendre ça ? » Sidéré, je l’avais assurée que oui, je comprenais.
Mais ma Femme avait repris : « Moi, je n’en suis pas si sûre. Et tu sais ce qui va t’arriver ? Eh bien, un de ces jours, pour te remettre au pas, quand tu auras cru deviner ce que je veux, j’exigerai exactement le contraire. Ce n’est pas d’un robot que je veux disposer à mon gré, mais d’un esclave, d’un être humain mâle qui m’appartient et fait tout ce que je veux, quand je le veux et comme je le veux. J’espère que tu saisis la nuance ! » Je l’assurai encore que oui, mais je dois reconnaître que j’étais déstabilisé. Je croyais bon et sain, et agréable pour elle (ce qu’elle ne contestait pas, d’ailleurs) d’aller au-devant des envies et des besoins de mon Épouse, et voilà qu’elle me l’interdisait !
On a bien raison de dire qu’un esclave n’est jamais sûr de rien.
*
Servir quotidiennement ma Belle-Sœur, travailler dur pour elle, lui témoigner sans cesse mon respect par mes attitudes de continuel abaissement, mes agenouillements répétitifs, mes fréquentes prosternations, cela ne me coûte guère : ma Femme m’a depuis longtemps rompu à cette servitude de tous les instants, à cet effacement, à cette silencieuse efficacité, à cette humilité extrême. Et puis, je me sens en adéquation, non seulement avec la manière dont ma Belle-Sœur conçoit sa propre vie avec moi, mais aussi avec celle dont je vois la mienne avec elle :
je sais qu’à Ses Pieds, je suis à ma vraie place.
Je ne me plains de rien, au contraire. Tomber à genoux devant la Maîtresse pour lui vernir les ongles des orteils, ou près d’elle pour lui lire quelques pages ; me jeter à quatre pattes et
rester parfaitement immobile pour lui servir de repose-pieds ou de table basse ; l’éventer inlassablement quand il fait trop chaud ; lui tenir à portée de main un plateau avec verre et
bouteille ; la porter dans mes bras de sa chambre à la baignoire ou l’inverse ; lui laver le corps avec ma bouche pleine de savon ; faire la lessive soigneuse de ses dessous ;
entretenir ses chaussures ; la suivre en ville et lui servir de porteur ; accourir à ses pieds au premier de ses appels, au premier tintement de sa clochette ; m’épuiser pour elle
tandis qu’elle dort, se délasse ou se donne du bon temps ; tout cela m’est naturel.
Non, encore une fois, c’est seulement de ma libido perpétuellement attisée et toujours inassouvie, et de ma jalousie mal placée, que je souffre sans le montrer. J’ai déjà dit que ma Belle-Sœur, qui ne peut pas ne pas voir mon état de rut permanent, semble s’en désintéresser et que cela me rend encore plus fou de désir pour elle.
Souvent, le soir, je l’entends se masturber dans sa chambre, porte ouverte, avec ses doigts ou des godes (que je retrouve le lendemain en faisant le ménage de sa chambre et que je lèche avec délice). J’entends ses jouissances et je me sens comme un taureau dans un enclos. Pour me calmer, mais ça ne fait qu’empirer les choses, je bouffe littéralement ses petites culottes, les pieds de ses bas. Je me force à ne pas jouir et c’est une insupportable frustration.
Ma Femme aussi, c’est par le sexe, ou la privation de sexe, que, dès le début de notre liaison, elle m’a dominé. « Je te mène par le bout de la
queue ! » ironise-t-elle souvent. Mais elle au moins, de temps en temps, elle m’offre un exutoire.
Ma Belle-Sœur, il m’arrive même, en lessivant à genoux le carrelage du couloir, carreau par carreau, de la voir se donner du plaisir, sans que je sois le moins du monde convié à participer à sa
jouissance, fût-ce en oubliant totalement la mienne ! Quel spectacle extraordinaire ! Face à moi, genoux remontés et cuisses ouvertes au plus large, ma Belle-Sœur fait aller de toute sa
longueur dans son vagin un gros chibre noir. J’entends une sorte de floc floc faible mais régulier. De sa main gauche, ma Maîtresse se pelote les seins ou se titille le bourgeon. Elle remue ses
hanches, ses fesses qu’elle soulève parfois du lit. Elle geint, elle râle. On dirait qu’elle pleure. Elle ouvre sa bouche en grand, comme si elle manquait d’air. Sa jolie tête roule sur le
traversin, parmi ses longs cheveux épandus. Et la voilà qui me regarde et la voilà qui me sourit avec un tel air de connivence qu’un instant je crois qu’elle va m’appeler et m’ordonner quelque
chose du genre « Viens me lécher entre les fesses, viens me mettre ta langue bien profond dans le cul pendant que je me branle la chatte, ce sera encore meilleur pour
moi ! »
Pourquoi prêter à ma Belle-Sœur cette « vulgarité » de langage ? (Ou plutôt cette grossièreté, car si cette dernière est simple affaire de mots ou de comportements, la vulgarité, elle, est profonde vilenie de l’âme, c’est pourquoi la grossièreté d’une Domina envers son esclave ne m’a jamais semblé vulgaire.) Je pense que je lui imagine le même penchant que sa grande Sœur. Lorsque son plaisir approche, lorsqu’il monte en elle et lui inonde le corps, lorsqu’il précipite sa respiration, tétanise ses muscles intimes (ceux de ses fesses, de ses cuisses et de son vagin), lorsqu’il fait trembler et transpirer sa chair, ma Femme prétend en effet que les mots « sales » qu’elle m’adresse achèvent de l’exciter et avivent son orgasme, ce qui prouve bien que, plus particulièrement chez la Femme (infiniment plus complexe et plus évoluée que nous autres), le mental entre pour beaucoup dans la jouissance sexuelle. Le plus curieux est que, de nature comme de métier (elle est agent artistique, autrement dit impresario), mon Épouse cultive une langue extrêmement châtiée et une civilité sans faille.
« Que veux-tu, me dit ma Femme, je suis comme ça : quand je jouis, je sors de moi-même ! Tu dois bien t’en rendre compte d’ailleurs, puisque c’est toujours à ce moment-là que j’ai envie de te faire mal. De te pincer les tétons, de te tirailler des mèches de cheveux, de passer une main entre mon sexe et le tien pour te serrer les couilles ou te tirer les poils, de te planter mes griffes dans le dos jusqu’à te le zébrer... Et puis aussi de t’interdire de jouir, au moment même où moi j’entre dans l’orgasme. Et ça marche ! Quand j’arrive à faire coïncider ta douleur et ma volupté, celle-ci est plus intense et dure plus longtemps. C’est cent fois meilleur. Je ne sais pas si les autres Femmes ressentent la même chose en possédant un homme, mais moi, je trouve ça très agréable. Toi, forcément, moins !… » De façon un rien hypocrite (car le plaisir me manque énormément et je n’aime pas souffrir), je lui dis que je suis aussi heureux qu’elle de son bonheur, même s’il doit passer par ma souffrance. Elle me flatte la tête ou une joue… « Tu es un bon mari, et un meilleur esclave encore ! »
Au lieu des paroles lubriques que j’attendais, ma Belle-Sœur m’apostrophe, avec une expression du visage instantanément redevenue dure, presque fâchée : « Et alors, espèce de sale
voyeur, tu n’as pas autre chose à faire que de me mater en train de m’envoyer en l’air ? » L’air de connivence n’était donc que de l’autosatisfaction féminine ! L’air de gourmet en
pleine extase d’une Femme qui se livre tout entière à sa jubilation charnelle. Je me remets vite au boulot, en espérant que mon sexe va peu à peu cesser de se cabrer sous la gandoura et me ficher
la paix un moment.
Et puis, j’ai une autre grande douleur muette. Quand ma Belle-Sœur sort en ville pour se rendre à un de ses rendez-vous galants, et qu’elle m’utilise comme chauffeur, il y a ces moments atroces où je dois l’attendre devant l’hôtel où elle prend ses ébats avec son amant du jour. Je l’imagine dans les bras puissants de l’homme. Je la « vois » en train de « baiser », en train de se tordre, en train de regarder aller et venir en elle, entre ses cuisses, parfois enfoui dans sa motte joliment velue, parfois presque entièrement sorti, le gros chibre tout trempé sur lequel elle s’est embrochée. Je l’« entends » pousser des cris que je ne connais que trop bien. Je « hume » ces senteurs de Femme amoureuse que j’apprécie tant… C’est insupportable mais je dois le supporter en m’occupant comme je peux de l’auto, afin de ne pas m’y enfermer pour céder au désir onaniste.
Le plus terrible est que ma Belle-Sœur pousse parfois le vice (son amusement sadique, plutôt) jusqu’à apparaître, nue ou presque, à une fenêtre de l’hôtel, et à me regarder d’en haut, son étalon derrière elle, la tenant étroitement enlacée, ventre contre fesses, mains plaquées sur les seins, et faisant, à ce qu’il me semble, des mouvements du bassin, comme encore introduit de tout son long au plus chaud, au plus humide, au plus serré du corps délectable de ma Belle-Sœur, et comme cherchant encore à la contenter…
*
Un soir, en ramenant ma Belle-Sœur harassée de plaisir, les yeux fripés, cernés et las, d’un hôtel du Beaujolais à la maison, j’ai le culot de lui demander pourquoi elle ne fait jamais venir ses amants chez elle.
Sa réponse est cinglante. « Occupe-toi de ce qui te regarde, esclave. Je fais ce que je veux, comme je veux. »
Je crois qu’elle va s’en tenir là et je regrette déjà d’avoir osé prendre la parole pour une question aussi stupide. Mais, au bout d’un moment, elle reprend, comme se parlant à elle-même :
« Jamais un type qui me plaît et que je veux m’envoyer ne monte chez moi. Ce serait comme de lui donner mes clés. Après, ils se croient tout permis. Une Femme ne peut plus rien en tirer de valable. C’est arrivé ! Ils l’ont "eue", ils l’ont "possédée », ils l’ont "baisée", ils "se la sont tapée", ils "se la sont faite" ! Pas de ça avec moi ! Quand je les prends à l’hôtel… car c’est moi qui les prends, c’est moi qui les chevauche et les possède, c’est moi qui leur bouffe la queue… (mais uniquement avec ma bouche d’en bas…), ils se rendent compte qu’ils ne sont pour moi que les instruments de mon plaisir. Et rien d’autre. On fait l’amour à l’hôtel, chez mon pote de Fourvière ou ailleurs, et ce n’est jamais moi qui paie ! Et puis, sitôt usés, sitôt jetés. Des amants-kleenex ! (Un silence prolongé.) D’ailleurs, si un jour tu me vois amener un mec chez moi, tu pourras être sûr que ce sera pour en faire ce que tu es, toi : un soumis, un serviteur, un larbin, un esclave ! (Nouveau silence.) Mais pourquoi je te raconte tout ça, moi ? Tu seras puni pour cette question indiscrète et la salive que tu m’as fait perdre. (Effectivement, le lendemain, la cravache entrera en action pour une bonne trentaine de coups et, cette fois, je devrai dire « Merci, Maîtresse, de me rendre meilleur » chaque fois que la badine s’abattra et m’arrachera un han de douleur.) Roule et tais-toi et laisse-moi me reposer. »
*
Et puis, un matin, un grand bonheur m’arrive.
Vers dix heures trente, alors que dans la cuisine, agenouillé devant une table basse en céramique (ma Belle-Sœur exige cette posture pour la plupart de mes tâches : lessive manuelle de sa lingerie et de ses lainages ou entretien de ses chaussures…), je suis occupé à éplucher des légumes, on sonne à la porte. Je m’essuie les mains en vitesse et m’empresse d’aller ouvrir comme il est de mon devoir.
Je me trouve face à une resplendissante et sculpturale rousse plus grande que moi. Et là, m’inclinant pour lui dire bonjour et la faire entrer, je ne sais quoi faire d’autre.
Quand je suis chez ma Femme (je ne dois jamais dire « chez nous » et encore moins « chez moi »), je reçois ses amies. Je les connais toutes, aussi bien celles « qui savent » que celles « qui ne savent pas » la nature de nos relations de « domisoumission », vocable que ma Femme a retenu d’un livre américain sur le pouvoir des Femmes, dont je me rappelle l’auteur, Gini Graham Scott, et le titre français, Le Pouvoir érotique. La Domination féminine[1].
Les non-initiées, je les accueille « normalement », sans trop jouer au larbin mais en m’évertuant à les servir, Elles et ma Femme, avec toute la discrétion et la diligence voulues, par exemple en me retirant poliment du salon où je viens de leur apporter le plateau complet de leur thé, tout en disant : « Excusez-moi, Mesdames, mais il faut que je retourne en cuisine. Je n’ai pas fini l’épluchage. N’hésitez surtout pas à m’appeler si vous avez besoin de quoi que ce soit… ».
Tout effacé, modeste, tout courtois et attentionné que je me fasse, et justement parce que je me comporte ainsi, c’est-à-dire de façon aussi peu
« masculine » que possible, l’une de ces Dames remarque un jour, m’emplissant d’une confusion mêlée de fierté qui me fait rougir : « Mais on dirait que ton mari fait tout ici.
Tu l’as bien dressé, dis donc ! » Et elle ajoute, avec une sorte de soupir d’envie et de regret : « Un vrai esclave ! »
Je vois ma Femme ouvrir sa jolie bouche et sourire de toutes ses belles dents. Sur le coup, je crois qu’elle va avouer à sa copine que c’est effectivement ce que je suis, son esclave, que c’est
ce qu’elle a réussi à faire de moi, mais elle se retient à temps :
« Oh, tu sais, ma chérie, en France, on n’en est plus au temps où seules les Femmes faisaient le service puis se retiraient à la cuisine pour ne pas gêner ces messieurs qui buvaient le café et le cognac en fumant de gros cigares et en se racontant des histoires de fesses bien crapoteuses… et en ne se privant pas de nous pincer les nôtres au passage ! Tu ne trouves pas que c’est au tour de nos bonshommes de s’occuper un peu de nous et de nous faciliter la vie ? On l’a assez fait pour eux, je trouve… et en pas mal de pays du monde, ça continue, et même ici ! » Bien sûr, la Dame acquiesce, me regardant longuement dans les yeux et me forçant à baisser mon regard, tandis que je crois l’entendre se dire : « Elle en a de la chance, ma copine ! Moi aussi, j’aimerais bien avoir un esclave à la maison, au lieu de la feignasse mauvais baiseur qui me sert de mari… »
Naturellement, les amies initiées de ma Femme, je les reçois bien autrement. Dès la porte refermée, je suis prosterné à leurs pieds et baise l’extrémité de leurs souliers en les saluant d’un sonore « Bienvenue, Maîtresse (ici, je dis son prénom) ! Je suis là pour Vous servir. Madame mon Épouse va Vous recevoir… » J’ai pour consigne de continuer à baiser le cuir jusqu’à ce que la Femme m’interrompe. Il en est (celles qui sont les plus intimes avec ma Femme) qui appuient alternativement leurs talons au sol et redressent leurs semelles pour que je les baise et les lèche. L’une d’elles a dit : « Ça me grandit. Je me sens plus forte et plus belle quand il me fait ça ! »
Pendant ce temps, ma Femme est entrée dans le hall. Parfois, en enlaçant son amie pour échanger avec elle les longs baisers de retrouvailles, à pleines bouches et à langue que veux-tu (car toutes ces Dames adorent les amours saphiques et mon Épouse prétend même que « seule une Femme sait vraiment en réjouir une autre »), il lui arrive de m’écraser par inadvertance une main… ou les deux, mais je sais rester stoïque… même quand les semelles de la nouvelle venue s’égarent aussi sur mes doigts aplatis au sol, me causant une douleur atroce que je me garde bien d’exprimer autrement que par d’invisibles rictus.
Puis, quand les Femmes se déprennent l’une de l’autre, se tenant encore par les épaules et se regardant avec tendresse au fond des yeux, et que chacune congratule son amie et s’extasie sur sa bonne mine, son élégance et sa beauté, je me redresse, dos courbé et regard baissé, et je débarrasse l’arrivante, de son sac et du vêtement qui l’encombre, veste, imper ou manteau…
Mais ici, devant cette superbe rousse qui ouvre ses grands yeux verts étonnés, je ne sais quelle attitude adopter. Bien sûr, la fascination qu’elle exerce sur moi par sa beauté et son air méprisant me pousse à tomber à genoux, mais comment le prendra-t-elle ? Elle a sûrement tout pour faire une Domina, à commencer par cette prestance et cet orgueil manifeste, mais ma Belle-Sœur n’a jamais possédé d’esclave.
Justement, ma Belle-Sœur arrive dans mon dos sans que je l’ai entendue approcher, et m’envoie un violent coup de pied dans les fesses. « Qu’attends-tu pour te prosterner devant mon amie Élodie, esclave ? »
(À suivre…)
[1] Traduit et édité dans les années 1980 par Robert Mérodack, à Paris (deux volumes).
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