Vendredi 4 décembre 5 04 /12 /Déc 15:10
... et initiatrices du week end que je vais passer en compagnie de Mon chien feet...




... un week end à thême: le piétinement systématique... ainsi l'ai-je décidé!



.... vivement demain... pour une Domination implacable... et renouvelée...

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : BDSM
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Jeudi 3 décembre 4 03 /12 /Déc 05:42
.... couleurs chaudes, antidote à l'aube glacée...

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : Soumis & Soumises
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Mercredi 2 décembre 3 02 /12 /Déc 18:50

L'étau de la Domination Féminine se ressère d'un cran sur le jeune esclave éperdument amoureux.... Elle va exiger de lui une épreuve importante: Celle du regard des autres sur sa propre condition d'esclave.... ce n'est pas facile, vous en conviendrez.... bonne lecture!



J'ai eu quelques difficultés à illustrer cet épisode, j'ai beau avoir 25000 photographies et 500 vidéos, je n'en ai pas ayant un rapport avec ce contexte particulier de la douche....une lacune à combler...

FÉTICHISME ET SOUMISSION, XIV

 

Ma Princesse et moi étions sous la douche. Les yeux bandés, j’étais agenouillé sur le côté. Je sentais l’eau qui ruisselait sur mon visage et mon corps nu. Ma Domina m’a ordonné de la savonner. J’étais terriblement excité, ma queue était tendue au maximum. Je pensais que le contact de l’eau me calmerait au moins un peu, mais au contraire j’avais toujours le sexe en feu. Ma Princesse me demanda de tendre mes deux paumes, mains jointes. Elle y a versé du savon liquide et m’a simplement dit :  « Maintenant, savonne-moi les jambes. »

J’ai commencé par lui frotter les cuisses, puis je suis descendu doucement en caressant de mes mains savonneuses les sublimes jambes de ma Princesse que je ne pouvais admirer qu'en imagination. Je descendais lentement, le contact de mes mains sur sa peau si douce m'était un délice : c'était la première fois que je caressais les jambes de ma Domina ! Jusqu’alors, je n’avais jamais eu le droit de remonter au-dessus de ses chevilles. D’ailleurs, je n’avais jamais touché les jambes d’une fille auparavant, et si j’avais souvent eu l’honneur d’admirer les sublimes jambes de ma Princesse, jamais non plus je n'avais été autorisé à les effleurer. Ses jambes étaient incroyablement belles. Comme elle-même était grande, elle avait des jambes très longues et élancées. Elles étaient magnifiques, splendides. Leur peau était parfaite et d’une étonnante douceur . J’adorais sincèrement ses jambes et lui avais souvent dit que je les trouvais vraiment divines. Je les connaissais par cœur, tant je les avais admirées. Même si en ce moment, je ne pouvais les voir à cause du masque de nuit que j’avais sur les yeux, il ne m’était pas difficile de les imaginer. Je m’étais approché doucement  du corps de ma Princesse pour mieux le savonner. Cela fit que, tout en frottant doucement ses jambes, je sentis mon sexe entrer légèrement en contact avec le bas de l'une d'elles. Comme j’étais agenouillé, mon visage se trouvait en face du derrière de ma Maîtresse. Sans cesser de savonner ces jambes sublimes, je n’ai pu empêcher mes lèvres d'effleurer la peau si douce  des fesses de ma Princesse. Je n’ai pu m’empêcher de les baiser avec la plus grande douceur. J’ai eu peur de me faire remettre à ma place, mais au contraire ma Princesse n’a rien dit et m’a laissé faire. Alors, évidemment, j'ai continué à faire courir amoureusement mes lèvres sur ses fesses. Je les couvrais littéralement d'innombrables baisers. Bien sûr, je n'avais eu la chance de voir les fesses de ma Maîtresse et j'avoue que ce jour-là, je me sentais extrêmement frustré d’avoir mon visage quasiment collé au derrière de ma Domina sans pouvoir l’admirer. J’avais envie d’arracher mon  masque. Mais je savais pertinemment que si je faisais une telle chose, les conséquences seraient dramatiques pour moi. Je me suis donc retenu et je n’ai rien pu faire d'autre que de continuer à imaginer le corps de ma Domina. C'est une femme vraiment sublime. Je ne dis pas cela uniquement parce que j’en suis éperdument amoureux. C’est la vérité : ma Princesse est d’une beauté à couper le souffle et beaucoup de garçons sont de mon avis.

Même si à l’époque j'avais dû me satisfaire d'imaginer sous ses vêtements les formes délicieuses de son corps, je savais que celui-ci était sublime, à l’image de ses pieds splendides, dont j’étais fou amoureux. Donc, je baisais encore et encore les fesses si douces et voluptueuses de ma Domina. Je les couvrais de baisers langoureux. Pendant ce temps, je continuais de frotter doucement mon sexe sur sa cheville, dans un discret mouvement de va-et-vient. En ne disant rien, ma Princesse m’autorisait à continuer et j’avoue qu’à l’époque, je fus très étonné qu'elle me laisse agir de la sorte. Je savourais pleinement l’incroyable moment que j’étais en train de vivre. Lorsque je m’étais levé ce dimanche matin, je n’avais jamais imaginé que je connaîtrais un moment aussi fabuleux. C’était cela, la magie de ma Princesse : elle arrivait toujours à me surprendre, que ce soit par des délices ou des supplices. Mais j’adorais cela !!! Je continuais de savonner ma Domina, mais j’étais surtout concentré sur les nombreux baisers que je déposais sur ses jolies fesses. Naturellement, en même temps, mes mains approchaient lentement des fesses  de ma Maîtresse. J’étais comme irrésistiblement attiré par Elles, j’avais envie d'y poser ma bouche, de les lécher. Cependant, lorsque je suis arrivé vraiment proche de l'ouverture magique, tout près de la porte du bonheur, ma Princesse m’a dit : « Stop ! Je ne suis pas encore prête pour cela. » Je me suis immédiatement arrêté, mais je n’ai pas besoin de vous décrire l’état d’excitation dans lequel j’étais. Je continuais à frotter doucement mon sexe sur sa cheville, cela me faisait un bien fou, je sentais monter le plaisir. Et soudainement, j’ai senti un immense frisson me parcourir tout le corps. Ce fut une jouissance extrême. Je me suis mis à trembler comme une feuille et j'ai su que ma semence indigne s’était répandue. Je fus effrayé d'avoir osé éjaculer sans autorisation sur la jambe et le pied de ma Domina. Au moment où j’ai pris conscience de ce qui venait d’arriver, un violent coup de poing m'a frappé durement le visage. J’ai perdu l’équilibre, ma tête a cogné brutalement contre le mur. Pendant quelques instants, j’ai vu des milliers de points lumineux, j’avais la tête qui tournait. Ma joue me faisait mal et encore plus ma tête. Ma Domina m’a hurlé dessus : « Tu n’es qu’un sale chien dégoûtant, incapable de se tenir correctement. Tu te frottes sur ma jambe comme un chien en chaleur, tu veux me renifler le cul comme un sale clébard et enfin tu décharges sur mon pied !!! Quelle horreur !!! » Puis ma Princesse me saisit violemment une mèche de cheveux, sur laquelle elle tira sans déménagement, pour me forcer à baiser la tête, vers ses superbes pieds. Elle en leva un et l'appuya sur le haut de mon crâne. Ainsi, mon visage était maintenu plaqué sur son autre pied, dont ma semence avait souillé la pureté et que ma Maîtresse voulait que je lèche. Malheureusement, l’eau ruisselante avait déjà nettoyé le pied et la jambe de ma Princesse, et je n’ai rien eu à lécher. J’aurais sincèrement voulu le faire pour réparer mon erreur, et de plus j’aurais aimé vivre une telle humiliation. J’entendais au son de sa voix que ma Maîtresse était vraiment extrêmement en colère. Elle me dit : « T’es vraiment trop con ! Si tu n’avais pas fait l'idiot, j’avais prévu de te faire l’honneur de te permettre de me savonner les seins. Tu aurais pu les prendre dans tes mains pour me les laver !!! T’es qu’un sale chien, incapable de te maîtriser, tu as préféré te masturber contre ma jambe, comme le vieux clébard en chaleur que tu es !!! Non seulement tu m’as désobéi en éjaculant sans mon autorisation, mais en plus tu t’es servi de ma jambe et tu m’as souillée. Tu vas devoir en assumer les conséquences. Maintenant, tu vas te prosterner et me baiser les pieds pendant le reste de ma douche, et bien entendu je ne veux plus t’entendre !!! »

Je me suis donc exécuté. J’avais commis une très grave faute, j’en avais parfaitement conscience. Et je me sentais vraiment frustré, surtout depuis que je savais que je venais de passer à côté de l’immense privilège de savonner les superbes seins de ma Princesse. Elle avait une fabuleuse poitrine qui lui permettait d’afficher un décolleté qui rendait dingue tous les garçons. Ses seins n’étaient pas spécialement gros mais tellement bien proportionnés !!! J’en avais vraiment marre d’être incapable de me retenir. Cependant, la punition que ma Princesse m’avait infligée n’en était pas vraiment une, car lui baiser les pieds était mon rêve le plus cher depuis notre rencontre.



Je n’avais pas tout perdu, bien au contraire ! Le pire, c'était ma douleur à la tête car le choc contre le mur avait était violent, mais j’avais conscience qu’il me fallait souffrir pour ma Maîtresse et, de plus, lui être reconnaissant de l’immense privilège qu'elle m'octroyait en me permettant de caresser ses pieds de ma bouche. J’étais complètement prosterné à ses pieds, je n’y voyais toujours rien à cause du masque. Pendant que je baisais amoureusement les pieds de ma Domina, je l’entendais qui continuait sa toilette. Je devinais qu'elle se savonnait les seins puis les cheveux. L’eau savonneuse coulait sur moi et sur les pieds de ma Princesse que je couvrais de baisers passionnés. Je me sentais au mieux, à part cette vive douleur à la tête qui  ne m’empêchait pas de profiter du fabuleux moment que j’étais en train de vivre.

La douche  dura encore une quinzaine de minutes environ, puis ma Princesse me donna un bon coup de pied dans le visage et me dit : « C’est bon, tu peux te relever. » Alors que j’aurais voulu que ce moment dure toujours, je fus donc obligé d’arrêter de rendre hommage à Ses Pieds. Je me suis relevé lentement en me tenant à la porte de douche. Avant d’entrer dans la cabine, j’avais posé un de mes peignoirs sur le lavabo. Ma Princesse me dit : « Débrouille-toi pour sortir de la douche sans tomber et présente-moi la sortie de bain, que je n’attrape pas froid. » Comme je connaissais très bien les lieux, j’ai réussi à sortir en me tenant et sans trébucher. Je me suis emparé du peignoir et l'ai tendu à ma Princesse. Elle est alors sortie de la douche et a enfilé le vêtement. Elle m’a dit : « Maintenant, tu peux retirer ton masque de nuit. » J’avoue que cela me fit bizarre tout à coup de n’être plus dans le noir. J’ai pu contempler ma Princesse, si belle avec ses cheveux mouillés. Je l’admirais, je la désirais tellement. Elle m’a dit : « Qu’est-ce que tu attends ? Frictionne-moi, je vais attraper froid. » Qu'elle était belle, ma Princesse, dans ce peignoir beaucoup trop grand pour elle! J’ai commencé à la frictionner. Je suis parti de ses épaules, pour descendre tout doucement le long de son corps. Ma Princesse me dit alors : « Je vois que tu bandes une fois de plus comme un fou. » Je me souviendrai toujours de ce qu’elle m’a dit ensuite : « À défaut d’être endurante, ta petit queue ridicule repars vite !! C’est toujours ça !!! Dommage qu’elle soit à peine plus grande qu’un clitoris !» Elle ria aux éclats, je n’ai rien répondu et j’ai continué de frictionner ce merveilleux corps à travers le peignoir, afin que ma Maîtresse n’attrape pas froid. Finalement, je me suis retrouvé une nouvelle fois à genoux devant elle, ma place natuelle. J’ai pris une serviette pour essuyer doucement ses pieds sublimes.  J’essuyais chaque orteil, l'un après l'autre, je passais lentement la serviette entre Eux.



Ma Domina m’a dit : « Maintenant, je vais retirer mon peignoir… Qu’est-ce que tu attends pour dégager de là ? Tu n’espères tout de même pas Me voir  toute nue, c’est même pas le peine d’en rêver ! De toute façon, si un jour je t’offrais ce privilège, ça ne servirait à rien car tu éjaculerais à la seconde même où tu découvrirais mon corps, puisque tu es totalement incapable de contenir ton tout petit robinet ! C’est bien malheureux… » Je suis donc sorti et j’ai apporté à ma Maîtresse son sac avec ses habits propres. Pendant qu’elle continuait de se préparer, je suis allé dans une autre pièce pour m’essuyer, car bien entendu, je n’avais pas encore pris le temps de le faire !! Ma Princesse m’a rappelé en me sifflant, comme on fait pour un chien. Quand je suis arrivé auprès d’elle, j’étais encore tout nu car je n’avais pas osé me rhabiller sans son autorisation. J’ai ouvert la porte de salle de bains.

 

Ma Maîtresse portait un débardeur, un jean taille basse qui me permettait de voir un peu son superbe string à paillettes.

 

 Puis, elle se mit à s'occuper de ses cheveux.  Elle était extraordinairement belle. Elle m’a dit : « Qu’est-ce que tu fous encore tout nu ? Tu n’espères pas quand même pas avoir droit à ta masturbation dominicale après ce que tu m'as fait !?" Ma Princesse disait cela car elle avait bien vu que je bandais encore très dur. En effet, à la seconde même où j’avais entendu ma Princesse me siffler, mon sexe s’était redressé automatiquement. Les humiliations ont un effet incroyable sur ma libido.

 

De nouveau, ma Maîtresse était vraiment en colère. Elle m’a hurlé dessus en me disant : « Je te préviens, ça va être abstinence totale au moins pendant quinze jours. Mais tu ne vas pas t’en sortir à si bon compte. Je suis en train de réfléchir au reste de ta punition. Tu m’énerves vraiment, avec ta petite queue minable, tendue comme un arc ! » À ce moment-là, ma Domina m’a attrapé une nouvelle fois par les cheveux. Elle m’a dit : « Viens par ici. Mets-toi à genoux dans la douche.  Je vais calmer tes ardeurs... et tu n’as pas intérêt à m’éclabousser. » Elle a pris la douchette et réglé le thermostat sur la température la plus basse. L'eau glaciale a aspergé ma queue, c'était si froid que j’ai eu l’impression d’être brûlé. Je me tortillais, tout en faisant bien attention à ne pas éclabousser ma Princesse. Je l’ai suppliée d’arrêter, en pleurant tellement j'avais atrocement froid. À la fin, ma Maîtresse s'est arrêtée et elle m’a dit : « Va te rhabiller, j’en ai plus que marre de voir ton sexe si ridicule !!! ».

 

Je peux vous jurer que l’eau glaciale fonctionne parfaitement pour mettre fin immédiatement à toute excitation. Je me suis exécuté, j’ai enfilé de nouveaux habits, puis je suis retourné voir ma Princesse qui achevait de se maquiller. Elle était vraiment splendide, plus belle et sexy que jamais. Je la désirais follement, je l’aimais de tout mon cœur !!! Il ne lui restait plus qu’à se sécher les cheveux. Quand elle a eu fini, elle est allée s'allonger sur mon lit. Comme d’habitude, je lui ai placé un coussin pour caler correctement son dos, afin qu’elle soit le mieux possible. Comme ma Princesse avait faim et soif, je lui ai préparé un plateau avec des chips et du Coca. Elle regardait tranquillement la télévision. Tout naturellement, je me suis lové contre ses pieds sublimes. Je lui ai demandé une nouvelle fois pardon pour ce qui était arrivé dans la douche. Ma Domina m’a dit : « Tu penses vraiment que tu vas t’en sortir cette fois-ci avec seulement des excuses ? Comme je te l’ai dit tout à l’heure, tu devras supporter une abstinence totale de quinze jours et n’essaie pas de me  mentir, car tu sais que lorsque tu mens je le vois immédiatement. Mais ce n’est pas tout : j’ai vraiment envie de marquer le coup. Tu dois comprendre que ce que tu as fait est inadmissible. Et fais-moi confiance, je vais te trouver une punition à la hauteur de ta faute, tu t’en souviendras, crois-moi !… » Elle ponctua Ses dires d’un coup de Pied en pleine figure. Son sourire moqueur et dur m'a littéralement glacé.




Ma Domina a repris : «  En attendant que je trouve, tu vas me masser les Pieds, et je ne veux plus t’entendre !!! ». J’ai passé le reste de l’après-midi à masser ses sublimes Pieds. J’étais heureux et profitais pleinement du moment. Néanmoins, mes pensées restaient hantées par les paroles de ma Princesse au sujet de la punition qu’elle me préparait. J'avais un peu peur car je savais désormais que ma Princesse était capable de tout…

J’ai donc terminé l’après-midi aux pieds de ma Domina. Je n’ai plus dit un mot, je ne voulais surtout pas la déranger, pendant qu’elle regardait tranquillement un film. Le soir venu, nous avons mangé dans ma chambre, puis ma Domina m’a demandé de la raccompagner. Elle ne voulait pas se coucher tard afin d'être en forme pour la semaine de révision qui approchait. En effet, nous étions au mois de mai et les premières épreuves du baccalauréat approchaient à grands pas pour ma Princesse.

Nous sommes arrivés devant chez elle. J’allais sortir de la voiture pour lui ouvrir la portière comme toujours, quand, soudain elle a agrippé mon bras et m’a dit : « Attends, il faut que je te dise quelque chose !!... Pendant que tu me massais les pieds, tout au long de la soirée, j’ai beaucoup réfléchi à ta future punition. Et j’ai trouvé. Avant de te l'annoncer, je voudrais te dire que je ne te punis pas par plaisir mais parce que tu dois comprendre que chacun de tes actes a des conséquences. Depuis plusieurs mois que nous sommes si souvent ensemble, tu sais que je commence à bien te connaître. Je t’ai bien observé, j’ai étudié tes relations avec ta famille. Tu es un enfant unique tout comme moi. Mais il y a une très grande différence entre nous. Toi, tu as toujours eu tout ce que tu voulais. Tu es un enfant gâté, tes parents t’ont toujours tout donné et je suis sûr qu’ils ne t’ont jamais puni. Malheureusement, ce n’est pas une bonne éducation, car maintenant tu te crois tout permis, comme cette après-midi dans la douche. Ce type de comportement m’exaspère au plus haut point chez toi . Il est grand temps que je corrige cela. Si tu veux poursuivre notre relation un peu spéciale, tu vas devoir faire encore beaucoup d’efforts et de progrès… »

Je me suis alors permis de demander à ma Maîtresse : « Quelle est la punition que tu me réserves ? » Elle m'a aussitôt répondu : « Eh bien, voici. Mercredi après-midi, l’une des sœurs de ma mère et sa fille qui a notre âge viendront boire le café à la maison. Tu vas me masser les pieds pendant toute l’après-midi, devant ma mère, ma tante et ma cousine. Ce sera une bonne humiliation pour toi, et cela te fera le plus grand bien !!!  »

J’ai immédiatement répondu : « Non, je ne peux pas faire cela. Je t’ai déjà massé les pieds devant ta maman, ce ne fut pas facile mais là c’est trop, je refuse !!! » Ma Domina répondit froidement : « OK, monsieur refuse ! Très bien. Je ne vais pas passer la soirée à discuter de cela, car j’ai envie d’aller dormir. Puisque tu refuses de m’obéir, je récupérerai l’intégralité de mes affaires chez toi et notre relation prendra définitivement fin. Réfléchis bien. On dit que la nuit porte conseil. Demain matin, lorsque tu viendras me chercher, si tu me dis que tu acceptes la punition, j’oublierai ton refus de ce soir. Dans le cas contraire, tout sera définitivement terminé entre nous. Et je te préviens : tu pourras ramper devant ma porte pendant des heures, des jours, des mois, tu n'auras plus rien de moi. Tu sais à quel point je peux être têtue. Si je dis que c’est terminé, ce sera définitif !!! Alors, réfléchis bien à ce que tu as à perdre. Sur ce, salut. Je t’attendrai demain matin, à 7 heures 15 comme d’habitude !!! »

Selon vous qu’ai-je décidé ? J’aimerais savoir ce que vous auriez fait à ma place ?

 

paillasson ch'ti, petit soumis frileux, timoré, fantasmeur et virtuel de Maîtresse MAEVA

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Lundi 30 novembre 1 30 /11 /Nov 06:50
... à cette vision glaciale du petit matin... ce que j'ai vu à l'aube de ce lundi... quelle horreur!



.... l'antidote à cette détestation à la blancheur clinique, ce serait des photos de l'été dernier...



.... des photos de vacances...un peu de nostalgie...de la douceur, de la chaleur...



....petit reportage sur les vacances de feet le chien, en juillet dernier...



.... horizon de vacances, Mon Pied sale qu'il va devoir nettoyer de sa langue....





... que l'on soit en Aubrac, en Tunisie, en Italie, il est là où il doit être: A Mes Pieds, dans leur intime proximité....



... terreur du chien: Il sait que je vais arracher d'un coup cette pince qu'il porte depuis des heures, il se prépare à la douleur fulgurante causée par le sang qui revient d'un coup dans la zone "martyrisée"..... ça n'en fait pas pour autant un martyr...



.... consolation: Mon Pied moite de transpiration qui fait des "va et vient" sur la langue qu'il a sorti...



... petit déjeuner en Italie.... il est sous la table pendant que je me régale de tartines de pain grillé trempées dans le "café lungo"... il sucera Mes Orteils un par un...



... des semelles à nettoyer!



.... la marque a saigné...




J'aime marcher sur Mon tapis de chair, il a de la chance, je ne fais que 55 kgs!




... retour à la maison, entre la Tunisie et l'Italie, j'ai les Pieds bien sales, toute la journée en tongs avec la chaleur!




.... "Encore un effort: Le talon du Pied droit est encore sale, quant au Pied gauche, tu as du boulot!!"



"N'oublie pas entre les Orteils!!!"



.... vernissage...en public, c'était à la piscine de l'hôtel, en Italie (Riomaggiore)... une épreuve pour lui...







.... j'adore Me faire lécher les Pieds en prenant un bon bain de soleil, lui, il est à l'ombre, à genoux sur une règle en métal... son soleil, c'est MOI !!!






.... encore de bonnes illustrations de son horizon de vacances estivales... nous ne voyons pas les mêmes choses...



... pas de vacances sans Mon paillasson mâle!



Il m'apporte Mes chaussures car je vais faire Mon jogging....



Ces photos de vacances vous-on t'elle plues? Ne sont -elles pas un bon antidote à la morosité de l'hiver en genèse?
Par MAEVA - Publié dans : Reportage SM - Communauté : BDSM
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Dimanche 29 novembre 7 29 /11 /Nov 09:22

... les su-sucres pour Mes chien-chiens, scotchés devant leur écran plat...



....j'attends une langue experte...





Agenouillé devant MOI, voila ce que tu verrais, petit soumis virtuel!



...c'est ainsi que je me déchausse...



....douleur de l'inaccessible...



"Mets ton collier, chien!!!"





....Union D/s... l'harmonie totale...



Mon guéridon...



...Pieds propres....



... Pieds sales? il doit lécher.... feet le chien redoute parfois le plein été, car j'adore marcher Pieds nus mais je n'aime pas avoir les Pieds sales. Résultat: Toutes les deux heures, il les décrasse de sa langue, n'est il pas fait pour ça?



Communication non verbale: feet le chien sait ce que je veux...





"Aux Pieds, chien!!!"







Les prémisses d'une bonne correction dominicale, après la confession hebdomadaire....ça va être sa fête!!!



Certains d'entre vous penserons que je ne me suis pas "foulée", mais c'est un cadeau inespéré pour vous alors que ce blog est de moins en moins interactif! De plus, c'est la croix et la bannière pour insérer des photos (merci overblog!), et j'ai passé deux heures à faire cet article ce matin, et je pars travailler!!! J'attends plutôt des remerciements que des réclamations!

Par MAEVA - Publié dans : Les pieds de MAEVA - Communauté : Soumis & Soumises
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Samedi 28 novembre 6 28 /11 /Nov 07:38

Voici la suite du très bon texte du chien slavio, votre professeur émérite en orthographe!


Chapitre VIII

  Une masseuse chinoise qui aime à dominer…

Tout en parlant avec ma Femme (« Excuse-moi un instant, ma chérie… »), ma Belle-Sœur me fait signe de reposer l’écouteur en place puis rejette le drap. Voyant qu’elle veut sortir du lit, je m’empresse de lui avancer son fauteuil préféré. Sans lâcher le téléphone, elle dégage une jambe puis l’autre. Le temps que je me hâte de lui enfiler ses babouches et de m’incliner pour y poser humblement mes lèvres, elle se dresse devant moi qui suis à genoux, dans ma position naturelle. La nuisette que seul un nœud de ruban tient fermée sous les seins, bien visibles et bien fermes dans leur crémeuse opulence, est entrouverte juste devant mes yeux, dévoilant le bombé doré du ventre et le triangle d’amour moussu. Je sens sur mon visage la chaleur de la peau et mes narines palpitent à son odeur tiède, derrière laquelle je perçois celle du sexe, plus musquée.

Cédant à une irrésistible impulsion, je me penche et dépose un baiser, un seul, de nature plus religieuse qu’érotique, en plein centre de la toison délicieusement parfumée qui me chatouille le nez. Ma Belle-Sœur pousse un « Oh ! » scandalisé en même temps que son poing droit m’atteint à la tempe puis qu’elle me décoche un violent coup de pied qui rate de peu mon entrejambe et me meurtrit l’intérieur de la cuisse. « Pour qui tu te prends, espèce de… ? » grogne-t-elle sans achever sa phrase et en se laissant tomber sur son siège avant de reprendre la conversation.

« Oh rien ! Je viens juste de corriger ton mari. (…) Il m’a manqué de respect. (…) Non, pas du tout, mais il m’a baisé la foufoune sans mon autorisation. Tu te rends compte du toupet ? Mais l’incident est clos. Où en étions-nous déjà ? »

Ma Belle-Sœur et ma Femme vont encore se parler longuement. Aux réponses que j’entends, je devine qu’il est question de l’amant, de moi, de la vie ici et là-bas, des multiples plaisirs auxquels mon Épouse bien-aimée s’adonne avec son Adonis friqué, cet étalon performant que je ne peux m’empêcher d’envier et de détester… Je continue de soutenir l’appareil et dois même changer de main, tellement mon bras s’est ankylosé.

Sur un signe de ma Belle-Sœur, je me mets à croupetons au sol, face à elle. Elle lève ensemble ses jambes en un très gracieux mouvement qui me révèle fugacement la beauté fulgurante de ses cuisses et de la jointure de ses fesses, et pose la semelle de ses babouches sur mes épaules. Quelle merveille ! Quelle belle absence de rancune de la part de ma Maîtresse ! Et quelle situation pour moi ! Tout le splendide panorama de son intimité s’ouvre devant moi, moins troublant que découvert en catimini sous une robe ou une jupe, mais bien émoustillant tout de même… jusqu’au moment où ma Belle-Sœur interrompt de nouveau la conversation. (« Attends encore, ma chérie, il faut que je neutralise ton mari. Il m’agace à me zieuter le cul !… ») Elle saisit sur son chevet sa boîte de boules Quiès. « Approche tes oreilles ! » Elle me les obture. « Ouvre ta bouche en grand ! » Elle s’empare d’un des bas que je lui ai ôtés à son coucher, le roule dans sa main en laissant légèrement dépasser le pied qui pendra sous mon menton, le pousse du bout de ses doigts, tout rêche sur ma langue, vers la fond de ma gorge qui en goûte la saveur, tandis que mon nez en savoure la fragrance. Puis elle prend le bandeau pour les yeux, cadeau d’une compagnie aérienne, qu’elle porte quelquefois au lit pour mieux se reposer et qui gisait sur l’accoudoir du fauteuil. « Penche-toi, esclave ! » J’obéis. Elle me plaque le bandeau sur les yeux.



En un instant, de par la souveraine volonté d’une Femme qui se sert de moi comme d’un repose-pieds, je suis devenu sourd, muet et aveugle ! C’en est fini de ma vision préférée. Il est temps, je crois, que je comprenne qu’ici et maintenant je ne suis pas un voyeur, mais rien qu’un meuble quand ma Belle-Sœur en décide ainsi. Deux tapes sèches des pieds sur mes épaules me font savoir que je dois baisser celles-ci. Je devais les tenir trop haut pour le bon confort de ma Maîtresse… C’est une posture très pénible à tenir longtemps, mais, de nouveau immergé dans le sous-espace, je ne tiens pas à passer pour un mauvais meuble. Obéissant et heureux d’obéir, je me tasse sur moi-même et fais le dos rond.

*

Il est neuf heures et demie environ. Dans la vaste pièce que ma Belle-Sœur appelle le dressing, je suis occupé au repassage quand ma Maîtresse, l’air rayonnant, surgit à une heure où je la croyais encore au lit, dormant comme un ange. Immédiatement, fer posé sur son support, je suis à genoux, les lèvres sur ses sandales d’intérieur, en guise de bonjour muet. « Relève-toi, esclave. Tu vois ce meuble pliant rangé contre le mur ? C’est mon lit de massage. Tu vas pousser ta table à repasser sur le côté et me déplier ce lit ici, en plein milieu. Vers onze heures, ma masseuse, qui me sert aussi de manucure et de pédicure, sonnera et tu iras l’accueillir. As-tu compris ? –Oui, Maîtresse. » Je tombe à nouveau à genoux et lève la main droite, index dressé. « Parle ! – Maîtresse, votre kiné sait-elle que je suis votre esclave ? ‑ Non, mais tu feras comme si elle le savait. » J’ai compris. Ma Belle-Sœur, ne me laissant pas le temps de lui baiser les pieds, quitte la pièce en me disant : « Laisse tomber le repassage pour l’instant. Tu le finiras quand tu m’auras fait déjeuner, car je retourne me coucher et tu vas me servir mon petit déjeuner. »

Comme il m’a été ordonné, j’installe la table de massage moelleusement capitonnée de ma Maîtresse puis cours à la cuisine préparer le plateau de son premier repas. Le lui apporter ; m’agenouiller près de son lit ; lui maintenir le plateau bien à plat et bien immobile ; malgré mes yeux baissés, réussir à contempler ma Propriétaire de si près, presque à frôler sa chair ; baigner dans son atmosphère parfumée ; voir le plaisir manifeste qu’elle prend à manger et à boire ; enfin, deviner à sa mine réjouie la joie qu’elle éprouve à être servie ; voilà un des meilleurs moments de ma journée de servitude, l’un des plus gratifiants.

Et puis, j’ai un espoir secret. Une fois rassasiée, une fois qu’elle m’a fait pencher ma tête vers elle pour s’essuyer les doigts dans mes cheveux, il n’est pas rare que ma Belle-Sœur réclame à ma langue ce que, d’après Françoise Hardy, elle appelle son « premier bonheur du jour ».

Alors, plateau vite déposé sur la moquette épaisse, j’ai le droit de me glisser sous le drap de ma Déesse et d’avancer mon buste entre ses jambes qu’elle fait passer par-dessus mes épaules, bien à l’aise, ses talons calés dans mon dos. Je l’imagine fermant ses jolis yeux, dégageant ses seins de la nuisette et du drap pour pouvoir se les caresser et les sentir se gonfler et raidir leurs pointes sous ses paumes et entre ses doigts, croisant pour le moment ses mains sous sa nuque après avoir étalé sa chevelure sur l’oreiller bien gonflé qui soutient bien ses épaules, se laissant couler avec délectation dans un abandon total qui explique le soupir de bien-être que j’entends fuser de ses lèvres…

Alors, lèvres de ma bouche ventousées à celles de son sexe, paumes glissées à plat sous ses fesses rondes et fermes, je la suce avec amour, je la lèche avec ferveur,  jusqu’à ce qu’elle crie son plaisir en me broyant les joues entre ses cuisses.




Ce matin-là, c’est encore ce qui se produit pour la plus grande jubilation de ma Dominatrice et mon plus grand contentement d’esclave. Satisfaite, repue de cette première volupté, ma Belle-Sœur se soulève en creusant ses reins, puis remue ses hanches et ses fesses pour s’essuyer la vulve et ses alentours parmi mes cheveux, comme tout à l’heure ses doigts, avant de me repousser du pied. « Sors de là. Va finir ton repassage et laisse-moi me reposer. Ne me réveille surtout pas avant que tu entendes sonner. Allez, ouste ! Du balai !… »

Je sors, emportant le plateau.

*

Il est onze heures passées de quinze minutes quand retentit le carillon de l’entrée. Mon repassage est terminé depuis un moment et je suis agenouillé dans mon réduit, à brosser les vêtements de ma Belle-Sœur – vestes, blousons, chapeaux et manteaux… ‑ que j’étale pour ce faire sur une table basse. Au premier tintement, j’abandonne mon travail, réveille doucement ma Maîtresse en osant à peine lui effleurer l’épaule, et cours à l’entrée.

Une mignonne petite Chinoise un peu grassouillette, très blonde de peau mais très brune de cheveux et de sourcils, apparaît, souriant à belles dents. Elle porte une robe imprimée à motifs floraux, très gaie, largement échancrée sur sa poitrine bien meublée, assez évasée du bas, plutôt courte et d’un tissu très mobile (le genre de vêtement féminin que le voyeur impénitent que je suis adore). Des bottillons rouges montent jusque sous ses genoux gainés de noir qu’elle a bien ronds et bien jolis.

Je vois tout cela en un clin d’œil, bien sûr, car sitôt la porte repoussée, me conduisant comme si je me trouvais devant une Domina, je tombe à genoux et me prosterne pour poser mes lèvres sur le pied des bottines. J’entends un « Oh, mais qu’est-ce que c’est ? » prononcé d’une voix chantante et à peine nasalisée, presque sans accent… sans cependant que cet étonnement se traduise par un retrait des pieds, ce qui est bon signe chez une Femme.

Une porte s’ouvre dans le hall. Ma Maîtresse vient d’entrer. Je vois près de mon visage qui touche presque le plancher Ses sandales, Ses beaux ongles vernis d’un rouge foncé, l’ourlet flottant de Son déshabillé. J'ai une envie irrésistible de lécher les sompueux orteils, mais je m'abstiens, je n'en ai pas reçu l'ordre.



 Les deux Femmes s’enlacent. Certains bruits que je connais bien maintenant m’apprennent qu’au-dessus de moi elles se baisent à pleines bouches et à langue que veux-tu. Leurs baisers et leurs caresses durent plusieurs minutes car ma Belle-Sœur aime prendre son temps quand elle aime une Femme.

N’ayant pas reçu d’ordre contraire, je continue à écraser ma bouche sur les bottines… non sans lever de temps à autre mes yeux sous la robe de la visiteuse qui a de jolies jambes et de jolies cuisses mais porte malheureusement un collant sous le gousset duquel, au carrefour des cuisses dodues, se devine une sage petite culotte blanche.

« Qu’est-ce que c’est que ce drôle de monsieur, chez toi, ma toute belle ? » demande la jolie kiné quand les bouches féminines se déprennent enfin. « Eh bien, l’état civil te dirait que c’est le mari de ma Sœur, mais moi je peux t’apprendre quelque chose de bien mieux : comme tu le vois sans doute, c’est tout simplement mon esclave ! ‑ Ton esclave ! (Comme si cela lui était déjà devenu naturel, la Chinoise, qui s’écarte de ma Maîtresse et se penche sur moi, présente son autre pied à mes hommages serviles.) Et c’est pour ça qu’il me baise les bottes avec autant d’entrain ? ‑ Oui, ma chère, et pour peu que tu en manifestes l’envie, il pourra te les lécher aussi ! – Formidable ! Je peux ? Vraiment ? ‑  Mais oui, puisque je te le dis ! ‑ Alors, ça c’est extra. Je n’en reviens pas. Ça a l’air si facile… Mais attends un peu. Je vais m’asseoir une minute. J’ai fait plein de massages à des vieilles ce matin, et je suis vannée. »

Les deux Femmes, se tenant par la taille et se regardant avec amour, se dirigent vers le salon. Je les suis à genoux. Ma Belle-Sœur se laisse choir dans un fauteuil, la kiné dans celui qui lui fait face. Je suis déjà à ses pieds. « Eh bien, lèche, mon bon toutou, puisqu’il paraît que tu es fait pour ça ! » Ma Belle-Sœur rit. « Tu t’y mets vite, dis donc ! ‑ Oh, moi, tu sais, dès qu’il s’agit de rabattre leur caquet aux hommes, je ne me le fais pas dire deux fois ! Alors, tu parles, en voir un qui me lèche les bottes, c’est un vrai régal ! »

Voulant que ce joli petit bout de Femme se réjouisse un maximum, je tire ma langue autant que je peux, pour qu’elle lui soit bien visible, ce qui, je l’ai maintes fois remarqué, augmente le plaisir et le sentiment d’orgueil de la Femme qui se fait rendre cette sorte d’hommage. Je la passe bien à plat, bien mouillée et bien lentement sur les tiges, les empeignes, les talons, tentant de sourire malgré le goût âcre du cirage ou du produit d’entretien dont le cuir est imprégné.



Je ne lève pas les yeux mais je sens le regard de la visiteuse s’attarder sur ma nuque. Je pense qu’elle jubile et me demande si elle n’est pas en train d’humidifier sa si sage petite culotte.

Les deux Femmes jasent comme si de rien n’était pendant que je me pèle la langue. Ma Belle-Sœur apprend à son amie qu’en réalité je suis l’esclave de sa Sœur qui m’a prêté à elle parce qu’elle se la coule douce au Canada avec un jeune amant qui la fait jouir comme une reine. « Et tu sais quoi ? Hier, elle m’a appris au téléphone qu’elle se trouve si bien là-bas tous les deux, qu’il se montre si amoureux d’elle et qu’il lui donne tant de plaisir, qu’elle lui a demandé de prolonger leur séjour d’une quinzaine. Comme il a terminé son travail sur place et qu’il est fou d’elle, il a accepté ! ‑ Ça veut dire que tu vas disposer de celui-là pendant deux semaines de plus ? ‑ Eh oui ! ‑ Eh bien, ma cochonne, tu peux dire que tu as une sacrée chance, toi… Et moi, j’espère qu’on va se revoir bientôt ! Au fait, c’est quand notre prochaine séance de kiné ? »

C’est ainsi que j’apprends abruptement que je vais jouer malgré moi les prolongations en tant qu’esclave de ma Belle-Sœur qui, jusque-là, n’avait pas cru utile de m’en informer, étant donné que mon avis n’est d’aucune importance. En suis-je peiné ? Oui, un peu parce que ma Femme, la Dame à qui j’appartiens vraiment et pour toujours, la Tsarine à qui j’ai abandonné ma vie, me manque cruellement. En même temps, conscient que sa Sœur se comporte avec moi de façon plus rude, j’ai la consolation de me dire que, grâce à sa sévérité sans faille, je vais revenir à ma Sultane, la plus douce, la plus compréhensive des Dominas, meilleur esclave que je n’étais, plus aimant encore s’il se peut, plus dévoué, plus attentionné et sans doute plus efficace…

« Allons, toi, arrête de faire le clébard sur mes bottes. Tu es un bon chien. C’était bien bon, mais à la niche, maintenant ! Il faut que je m’occupe de ta chère Patronne… »

*

Pendant que la petite Chinoise triture avec une fermeté mêlée de tendresse les chairs de ma Belle-Sœur, allongée et à demi assoupie sur le lit de massage, n’ayant pas reçu d’ordre et ayant achevé mes tâches, je ne trouve rien de mieux à faire que de rester agenouillé près de la table. La masseuse abaisse sur moi un regard à la fois dur et rigolard. « Approche-toi un peu plus, là, sur ma droite, au bout de ma main. Oui, très bien ! Ne bouge plus. Maintenant, rejette ta tête en arrière et reste comme ça en tenant ta bouche ouverte aussi large que tu peux. Je suis certaine que je vais en avoir l’usage. »

Effectivement, l’usage en vient vite. Les petits bourrelets de crasse qu’en faisant rouler la peau sous ses doigts la masseuse extrait des pores de ma Belle-Sœur (qui n’est pourtant pas avare de douches, j’en sais quelque chose car c’est moi qui les lui donne) finissent dans ma bouche, tout comme les tampons démaquillants enduits de produits de beauté et de laits assouplissants spécifiques. « Tu n’es pas forcé de tout avaler », me dit en riant la jolie Chinoise. « Mais je dois avouer que tu me fais une poubelle très commode. Ah, ta Patronne a bien raison de dire qu’un homme peut être utile à un tas de choses pour une Femme pourvu qu’elle apprenne à s’en servir ! »

En fait, je trie ce que je reçois. Si je garde à l’intérieur de mes joues les cotons en me promettant de les recracher plus tard aux ordures, je m’empresse en revanche d’avaler avec gratitude les petites saletés, les peaux mortes et même quelques poils qui me viennent de ma Maîtresse. Ne fais-je pas la même chose quand je passe ma langue entre ses orteils après un long lèche-vitrines ou une balade en sandalettes un peu longue à la campagne ?



Et quand à sa toilette elle me donne à manger les rognures d’ongles que je lui coupe ou ce que je retire d’en dessous au bout de la lime ? Et quand elle me force à lécher la pierre ponce avec laquelle je lui ai frotté les coudes, ou encore, lorsqu' Elle prend un bain de Pieds prolongé dans la cuvette prévue à cet effet, et que je dois ensuite boire l'eau alors qu'Elle déguste un excellent champagne?

Pendant que je lui donne sa douche, une fois massée, ointe, pétrie, assainie et apaisée par les mains expertes de son amie, ma Belle-Sœur lui demande si elle a encore des visites à faire l’après-midi. La réponse est non, elle est libre. « Alors, si tu veux bien, on va manger ensemble et après on s’amusera. Est-ce que ça te dit ? ‑ Oh que oui ! Mais il sait cuisiner, celui-là ? ‑ Pas du tout. C’est son plus grave défaut. Il est nul. Tout ce qu’il sait faire c’est éplucher, préparer ce qu’on lui dit, servir, débarrasser, faire la plonge et ranger. ‑ Ce n’est déjà pas si mal pour un simple bonhomme ! Si les Chinois savaient faire ça, les Chinoises seraient plus heureuses. ‑ Ça te dirait qu’il nous fasse des sandwiches au jambon et au fromage, avec des fruits et un bon café ? ‑ Vendu comme ça. Et on aura plus de temps pour nous faire des folies au dodo. »

« Tu as entendu, esclave ? Alors qu’est-ce que tu attends pour filer à la cuisine ? » Tandis que je sors, je les vois se tomber dans les bras l’une de l’autre, ma Belle-Sœur entièrement nue, l’autre encore habillée. Seins contre seins, les mains au sommet des fesses de la partenaire, les voilà reparties à se bouffer la langue et à échanger haleines et salives, en gémissant à petits cris enamourés prometteurs de Volupté Féminine…

J’apporte le plateau avec deux sandwiches pour chacune, un « pot » (lyonnais) de côtes du Rhône, des poires, des prunes et une bouteille Thermos de café fort, des tasses, des verres, des couverts, des serviettes.

« Apporte vite une robe d’intérieur et des chaussons à mon amie et déshabille-la ! », m’ordonne ma Belle-Sœur. Agenouillé devant la jolie petite Chinoise rondelette qui reste assise, je lui ôte ses bottines, puis les chaussettes qu’elle porte en dessous, non sans baiser les unes et les autres. Elle se lève et se tourne, me regarde de là-haut, moi qui suis en bas, à Ses Pieds. Elle promène Son Pied nu, un peu moite... sur mon dos, sur mes fesses, sur le visage.Je descends la glissière de sa robe que je lui enlève avec précaution, sans oublier d’y poser mes lèvres, et ensuite je procède de même avec le collant que je déroule jusqu’aux pieds sans presque toucher la peau de la Femme ni accrocher les mailles (ma Belle-Sœur exige que j’aie toujours les ongles coupés ras : « C’est plus doux quand tu me caresses intimement et c’est mieux aussi pour mes affaires fragiles… »). Un baiser à l’entrejambe du collant, puis quand je les enlève, un autre au fond de chaque bonnet du soutien-gorge, et un dernier, pétri de davantage de recueillement encore, à la bande épaisse du joli petit slip, cette bande ouatée qui caresse tendrement le sexe de la Femme et reçoit ses précieuses émanations…

 « Il fait toujours ça ? » demande la kiné qui apparaît nue et sans la moindre gêne devant moi qui suis retombé sur mes rotules. « Quoi, ça ? ‑ Baiser religieusement tout ce qu’il nous enlève ? ‑ Oui, c’est un rite que ma  Sœur lui a imposé depuis le début de leur mariage. Elle prétend que ça maintient le mâle dans le respect de la Femme puisque même ses vêtements doivent être honorés, ennoblis qu’ils ont été par le contact avec son corps. Et je pense qu’elle a raison. ‑ Je le crois aussi. Mais il ne baise pas notre peau ? – Si, mais jamais de sa propre initiative ! L’autre jour, figure-toi que j’ai été obligée de le battre parce que, à genoux devant moi qui sortais du lit en nuisette, il avait osé me poser un baiser sur la chatte ! ‑ Oh, ce n’était pas bien grave, ni bien désagréable, et ça devait partir d’un bon sentiment de sa part. ‑ Peut-être, mais c’est grave quand même car c’est une privauté qu’un esclave ne doit jamais se permettre, dont il ne doit même pas avoir l’idée. Notre peau, il doit même craindre de lui faire sentir ses mains. Tu comprends, nous devons rester pour lui des Déesses littéralement intouchables. En revanche, si à toi il te vient une envie de recevoir baisers et caresses, là où tu veux, quand tu veux et de la manière que tu veux, il est là pour te les donner aussi longtemps que tu le désires. Ses mains, ses lèvres, sa langue, sa gorge sont à toi, comme tout le reste de sa personne, pour l’usage qu’il te plaît d’en faire. Mais sur ton ordre seulement. Sinon, tu sais, ces esclaves mâles se croient tout permis et bientôt ils réclameraient le droit de te faire l’amour ! ‑ Tu ne baises pas avec lui ? ‑ Je ne le faisais pas, pour ne pas déroger… et aussi parce qu’il n’a pas une bite terrible, mais une copine m’a persuadée que j’avais tort et, depuis, je m’en sers aussi pour faire l’amour parce qu’il bande rudement bien et me laisse tout le temps de venir. Mais lui, je ne le laisse pas jouir, bien sûr. ‑ C’est dingue ! Qu’est-ce que ça me plairait ! ‑ Ah, tu vois, toi aussi. Je crois que toute Femme normalement constituée aspire à ça : dominer un ou plusieurs hommes et en faire ce qu’elle veut pour en tirer toute sorte de plaisirs et d’avantages. »

*

Les deux Femmes mangent et boivent sans rien me proposer. Je reste à genoux à côté d’elles, prêt à répondre à leurs moindres ordres, mais trop occupées d’elles-mêmes, elles me laissent en paix. Sans trop oser les regarder en face, j’admire à la dérobée leur beauté, si différente de l’une à l’autre, mais aussi captivantes l’une que l’autre, l’une ronde et brune, l’autre élancée et blonde, l’une à la peau merveilleusement cuivrée, l’autre bronzée au soleil et aux UV. Ni l’une ni l’autre ne fait mine de cacher sa nudité. Y a-t-il un homme dans la salle ?

Elles interrompent parfois leur maigre repas pour se prendre la bouche en se caressant les seins, le dos, les hanches, et je crois bien qu’elles se donnent la becquée, qu’elles échangent de la nourriture mêlée de salive… C’est beau et émouvant à voir. J’en oublie ma faim et ma soif.


Mon site a été arbitrairement classé "X", alors je ne vais pas me géner, au risque d'énerver notre anachorète de service!

« Allez, du vent, débarrasse-moi tout ça, et rejoins-nous dans la chambre. » Je suis déjà à la porte lorsque la Chinoise ajoute, à voix très forte : « Et reviens-nous à poil et la queue au garde-à-vous, sinon gare ! » Puis, elle se ravise : « Oh, excuse-moi, chérie, je fais comme si j’étais chez moi, comme si ce type était à moi. ‑ Mais tu as bien raison. Et quand tu es chez moi, il est à toi autant qu’à moi. L’essentiel est qu’il nous serve bien et qu’il nous satisfasse toutes les deux. Pas vrai, esclave ? » Je me contente de m’incliner très bas en me tournant vers Elles sans lever les yeux, ressentant encore la sensation délicieuse de Son Pied nu sur moi... sensation éphémère, nostalgique, je n'ai pas eu l'opportunité de les lécher, de prendre Ses orteils en bouche, mille fois hélas!

 




Quand je reviens très peu de temps après, les deux Femmes se font l’amour avec tendresse. Ma Belle-Sœur est passivement allongée sur le dos, genoux légèrement remontés, cuisses ouvertes, et la Chinoise, en biais sur elle, son joli postérieur exposé à mes regards, promène sa bouche des lèvres de ma Maîtresse à ses seins, à son cou, à ses yeux, à ses cheveux, tout en lui doigtant le minou de ses phalanges expertes. Un instant, la Chinoise se retourne. « Oh, mais c’est bien raide, tout ça ! Je pourrais accrocher mon chapeau à sa petite bite ! », s’exclame-t-elle en riant. Et ma Belle-Sœur : « Occupe-toi donc de moi, pas de lui. Et toi, reste debout devant le lit, les mains sur la tête, et regarde-nous nous donner notre plaisir. » Je suis en position quand la Chinoise toussote : « Tu ne l’autoriserais pas plutôt à me lécher entre les fesses ? J’adore ça ! – Bon, si tu veux… » Déjà, je suis à plat ventre sur le lit, je me glisse entre les cuisses de la masseuse qui vient de les écarter. À deux mains, sans aucune brusquerie, j’ouvre son délicieux derrière, je fais apparaître le fond de ce vallon de chair incroyablement délicate et douce, d’un ocre très clair, je le contemple un instant avant d’oser y porter ma langue, j’admire la joliesse du petit œillet serré qui se niche là, bien au chaud, enjolivé d’un très fin duvet châtain qui doit être fort doux sous les lèvres . Mais le cul de la Chinoise frémit, elle remue ses hanches, elle s’impatiente.

Alors, lentement, posément, avec application, je vais lécher cette raie adorable, vers le haut, vers le bas, en mesurant ma salive, mouillant la peau secrète de la Chinoise mais pas trop, faisant exprès de ne pas même effleurer les bords de sa pastille anale que je vois pourtant palpiter, appelant ma caresse. Les fesses de la masseuse frémissent et je sens bien que mes attouchements lui plaisent. Entre ses cuisses, je vois s’immiscer sa main gauche (je suppose que, de l’autre, elle continue de masturber ma Belle-Sœur) et je comprends qu’elle va se toucher, elle aussi, et chercher sa propre jouissance. Puis, elle soulève un instant ses reins et pousse son beau cul vers mon visage, comme pour me dire de ne plus finasser.



Je distingue les geignements de plus en plus forts de ma Belle-Sœur de ceux, plus discrets mais non moins éloquents de son amante que je suis fier de contribuer à provoquer par mon inlassable travail lingual. Et très vite, sans que je cesse de faire aller et venir ma langue dans le cul gourmand de la masseuse, tout chaud et tout lubrifié de ma salive,  j’entends et sens les deux Femmes jouir au-dessus de moi, dans leur univers de beauté, de pouvoir et de pleine liberté, ma Belle-Sœur des caresses de sa kiné et celle-ci de l’œuvre de ma bouche et de celle de ses propres doigts.



C’est le premier orgasme de ces Dames supra-sensuelles. Ce ne sera pas le dernier ni peut-être le meilleur.

(À suivre…)

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Vendredi 27 novembre 5 27 /11 /Nov 12:47

.... amateurs éclairés des Pieds Féminins, porteurs de hauts talons impitoyables... je pense que vous apprécierez...



... je ne possède plus ces bottines, responsables de nombreux piétinements cruels... Elles ont changé d'usage, devenant les doudous nocturnes de Mon chien "paillasson ch'ti".... quel veinard!



... invite au léchage ou / et à la fellation des talons.... il fera les deux...



... une réplique des sandales de la Reine Cléopatre (les siennes étaient en or et sans les talons...)... les talons hauts furent inventés des siècles plus tard, par la Reine despote, Catherine de Médicis...



... des talons impitoyables!



... j'aime laisser Ma trace sur la peau servile...



... mise à l'épreuve du chien: A la tombée de la nuit, au mois de juin, à
Annecy, un joli jardin public, peu de monde, mais un peu quand même.... "Prosterne-toi, chien! A plat ventre! Embrasse Mon Pied!"


.... vision en direct du sous espace....



... il les connait par coeur, ces vieilles bottes! Il est intime avec! Il les a tant léchées, il en connait le goût, le vieux cuir en est imprégné de sa salive, et le chien connait bien le "piquant" des talons!



... renouveller régulièrement la marque d'esclavage...jusqu'au sang... la bonne méthode est  d'y mettre du poids, et de tourner le talon, à droite, à gauche....comme si je voulais le visser, le dévisser dans sa chair indigne et inférieure....



... malgré les apparences, des talons qui peuvent être cruels, surtout si je marche sur lui, ce qui peut être dangereux avec des talons plus pointus.... c'est une loi de la physique: plus la surface du talon est petite et plus ça fait de dégats dans l'épiderme de l'esclave!



... voila le bon compromis....douleur / risque  de blessûre....un jour, je l'ai piétiné jusqu'au sang avec ces sandales toutes mignones et qui appartenaient à ma fille...



...lorsqu'il sent intuitivement Ma colère de Domina, lorsqu'il pressent le risque d'un piétinement impitoyable, il prend les devants, il manifeste une servilité exemplaire afin de m'amadouer, il a déja de l'expérience: Il sait que le risque est grand tant que je suis chaussée de hauts talons, le dévoilement de Mes Pieds nus augure souvent un peu de douceur...



.... quoique.... dimanche dernier, il a pris une bonne trentaine de gifles de Mon Pied nu... ça claquait fort!



A chaque gifle, il Me remerciait... je ne lui avais pas même demandé!



....son visage de chien est posé en adoration sur Mon Pied gauche, le Pied droit, jaloux de l'autre, prend un peu d'élan,
et.... clac! ...
"Merci Déesse MAEVA!!!"....



Cette dernière photo est pour Mon chien virtuel, "paillasson ch'ti", les autres n'ont qu'à fermer les yeux, cette photo est pour lui exclusivement, c'est ainsi qu'il me verrait.... s'il me voyait....

Si cette galerie vous a plu, faites le savoir....ce n'était qu'un avant-goût, j'en possède actuellement 350 paires!!!

Par MAEVA - Publié dans : Fétichisme
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Jeudi 26 novembre 4 26 /11 /Nov 10:52

... du bonheur partagé....



... le bonheur dans l'esclavage à Mes Pieds... réel pour un unique privilégié, un élu..... virtuel pour les autres, ceux qui le méritent, ceux qui donnent, et ils ne sont pas Légion....


.... je suis généreuse avec vous, vous offrant cette vision de l'inaccessible, je suis généreuse et cruelle, je sais que certains d'entre vous souffrent devant cette photo de l'Absolu....


.... les chiens virtuels vivent par procuration, s'identifiant avec l'esclave-élu, certains le jalousant....



... avouez qu'il y a de quoi le jalouser!



.... le samedi soir, à l'issue d'une semaine laborieuse et harassante... c'est ainsi que je décompresse... regarder un vieux Dracula en DVD, les Pieds reposant sur Mon tapis de chair....


Par MAEVA - Publié dans : Fétichisme - Communauté : Soumis & Soumises
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Jeudi 26 novembre 4 26 /11 /Nov 09:11

J'ai le plaisir de publier la suite de la longue monographie de Mon chien virtuel, "paillasson ch'ti" (nouveau nom, je baptise et débaptise comme je l'entends!).... notre jeune ami n'aspire plus à être l'esclave de Celle qu'il nomme "sa Princesse",  il est son esclave, et sa soumission monte en crescendo....c'est passionnant!



FÉTICHISME ET SOUMISSION, XIII

 

 

Comme je vous l’ai expliqué, au début de ma monographie, j’ai rencontré ma Princesse par l’intermédiaire d’un de mes amis, et je suis tombé immédiatement sous Son Charme…

Voici une lettre authentique que ma Maîtresse m’a écrite quelques jours après notre rencontre. Je vous la fais partager.

« Voilà, je suis en cours avec Fabrice et je m’emmerde. Du coup, je t’écris ce mot. Ton texto d’hier m’a fait super plaisir et il m’a touchée !! C’était gentil ! Je suis super contente de vous connaître, toi et tes amis, et de vous avoir comme copains. Je le répète tout le temps : je vous adore… Si, si ! C’est vrai, je pense à toi et à tous les autres de la bande. J’ai hâte que ce soit les vacances car ça va être trop cool pour moi… Enfin, c’est ce que j’espère !! Déjà, j’ai envie de passer un bon week-end, ce serait déjà ça !! Bon, je vais te laisser pour cette fois.

À plus. Bisous

PS : Dans la bande : toi, tu es le garçon super gentil, super prévenant. Il y a ton meilleur pote, le beau gosse. Il y a aussi Nicolas, le déconneur, qui a un fort caractère. Il y a Fabrice, un peu saoulant mais qu’on adore. Il y a Michael le complexé et enfin Clément le rigolo. Vous êtes mes amis et je suis heureuse de vous avoir rencontrés. »

 

Voici la lettre que je lui ai écrite en réponse.

« Il est 20 heures, je T’ai raccompagnée, il y a à peine 45 minutes et Tu me manques déjà !!

Je n’ai plus l’habitude d’être chez moi à cette heure-là. Je ne cesse de penser à Toi. Tout d’abord, Ta lettre m’a fait super plaisir. Tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureux de T’avoir rencontrée. D’ailleurs, je ne remercierai jamais assez Fabrice de T’avoir mise sur ma route. Je crois qu’on a vraiment de la chance d’avoir tous nos amis !! C’est vrai que, parfois, il y a de petites crises entre garçons mais j’espère qu’il n’y en aura jamais entre Toi et moi !! Tu sais que je Te considère et Te considérerai toujours comme beaucoup plus qu’une Amie, je n’aime et je n’aimerai personne comme je T’aime Toi. Je serai toujours là pour Toi, je ne demande qu’une chose, c’est que Tu sois heureuse et que je puisse longtemps admirer Ton si joli sourire. J’espère que le rayon de soleil que Tu es pour moi continuera longtemps d’éclairer mon existence… J’espère que nous ne laisserons jamais la vie nous séparer car je ne sais pas comment je ferais sans Toi. D’ailleurs, je ne sais pas comment j’ai fait jusqu’à maintenant !!

Si je pouvais retirer d’un coup de baguette magique tous ceux qui Te font des misères, je le ferais, mais je ne suis pas encore magicien. En revanche, je veillerai toujours sur Toi comme sur un Trésor inestimable.

Bisous. »

 

« Je serai toujours là pour Toi » ‑ « J’espère que nous ne laisserons jamais la vie nous séparer car je ne sais pas comment je ferais sans Toi » ‑ « Je veillerai toujours sur Toi comme sur un Trésor inestimable. »

Ces phrases prennent tout leur sens aujourd’hui, lorsque l’on sait ce qui est arrivé à ma Princesse. Il y a quatre ans, lorsque j’ai écrit cette lettre, j’étais loin d’imaginer ce que la vie nous réservait, et pourtant ces phrases semblent prémonitoires…

 

Ma Princesse et moi avions de plus en plus nos petites habitudes. Conformément au pacte d’esclavage que j’avais accepté, j’obéissais en permanence aux ordres de ma Domina. Je me masturbais tous les mercredis et les dimanches, étendu devant Ses superbes Pieds, dans ma chambre.



Non....je déconne... elle ressemble plus à cela:



 En dehors de l’intimité qui nous réunissait là, nous sortions régulièrement avec ma bande d’amis. Au fur et à mesure de ces sorties, j’ai constaté un rapprochement entre ma Princesse et l’un de mes amis. Il s’agissait de Clément. C’était un garçon très comique et très communicatif. Dès la première soirée, j’avais constaté que ma Domina et lui s’entendaient très bien. Par la suite, je n’y ai pas prêté attention plus que cela. Comme je vous l’ai décrit, au début de notre rencontre, ma Princesse avait jeté son dévolu sur un autre de mes amis. Il s’agissait de Nicolas. Comme vous le savez, par respect pour notre amitié, il avait refusé de « sortir » avec ma Domina. En revanche, j’allais bientôt me rendre compte que Clément n’avait pas le même sens de la solidarité amicale. Je me rappelle parfaitement la première fois où j’ai vraiment commencé à être jaloux de lui. C’était un samedi où nous avions été invités par Nicolas à passer  toute l’après-midi chez lui. Ma Domina S’était faite très belle, comme toujours. Elle portait un débardeur qui mettait en valeur Sa si jolie Poitrine. Une superbe jupe permettait d’admirer Ses Jambes magnifiques. Et le plus beau : ma Princesse était chaussée de ces merveilleuses sandales blanches que nous avions achetées ensemble dans un magasin de Lille. Ma Domina m’avait demandé de venir La prendre chez elle après le déjeuner. Comme souvent, je L’ai observée pendant qu’Elle Se préparait. Je La désirais tellement ! Ma Maîtresse aimait me demander de La conseiller sur ce qu’Elle devait mettre pour être vraiment sexy. J’adorais les sandales blanches que j’avais achetées pour Elle. Je Lui ai donc conseillé  de les porter ce jour-là. Elle fut d’accord avec mon choix. Ma Princesse me dit : « Mais avant, tu vas Me mettre du vernis à ongles, ce sera bien plus joli. Commence par Me faire un bon massage de Mes Pieds pendant que J’achève de Me maquiller. Estime-toi heureux que Je choisisse ces chaussures, elles sont neuves, tu n’as donc pas à Me les nettoyer ! ».

Je me suis immédiatement exécuté. Je me suis mis à genoux et j’ai commencé le massage de Ses divins Pieds. Cela dura une trentaine de minutes, puis ma Domina me dit : « Maintenant il est temps d’appliquer le vernis. » Ma princesse en avait choisi un, de couleur marron, avec des reflets dorés. Je l’ai tout de suite adoré. Je me suis appliqué au maximum pour Lui vernir les Ongles de Pieds correctement, puis pour le sécher j’ai soufflé doucement sur les Orteils.



 Ma Maîtresse S’est déclarée satisfaite de mon travail. Je L’ai chaussée et nous nous sommes mis en route. En conduisant, je devais faire très attention, je ne pouvais m’empêcher de regarder, d’admirer les délicieux Pieds de ma Princesse dans ces superbes chaussures. J’étais tellement fou des Pieds de ma Domina ! Dans mon esprit, je me disais : « Tu dois patienter jusqu’à demain avant de pouvoir te masturber enfin devant les superbes Pieds de ta Princesse. »

Nous sommes arrivés chez mon ami. Toute la bande était déjà réunie. Lors de cette après-midi, j’ai vraiment constaté un réel rapprochement entre Clément et ma Maîtresse. Il n’arrêtait pas de La faire rire. À un moment, nous avons envoyé un ballon sur le toit. Clément s’est alors proposé de faire la courte échelle à ma Princesse pour qu’Elle puisse le récupérer. Je voyais mon pote la tenir par les Jambes, j’observais ses mains posées sur la Peau de ma Domina et ses yeux baladeurs sous Sa jupe… J’étais fou de jalousie. Puis ma Domina est redescendue, mon pote a commencé à Lui parler de Ses jolies chaussures. Il Lui en faisait des compliments en prenant Ses Pieds dans ses mains. J’observais toute cette scène et me sentais malade de voir mon ami caresser les Pieds de ma Maîtresse. J’entendais ma Princesse dire : « Oui, moi aussi J’adore ces chaussures, Je me suis fait plaisir en les achetant. » J’avais envie de dire « C’est moi qui les Lui ai offertes. ». Mais je devais me taire et subir ce spectacle qui me faisait si mal. Je savais que cette conduite était inhérente à mon nouveau statut d’esclave. Mon pote et ma Domina ne se sont plus quittés de la soirée. Clément est un garçon bien différent de moi. Il n’est pas timide, il est super rigolo. Dans notre bande, c’était le clown de service. Cet aspect de sa personnalité plaisait vraiment à ma Princesse qui rigolait aux éclats avec lui. De plus, Clément était bien plus beau gosse que moi...



... et au contraire de moi, il était mince. Lors de la soirée, ma Maîtresse et Clément se sont allongés tous les deux sur le canapé. Mon copain n’arrêtait pas de La taquiner et de La faire rire. Je voyais bien qu’un rapprochement s’effectuait entre eux. Toute la soirée, j’ai assisté à ce genre de scène, j’en étais malade, j’étais fou de jalousie. Je ne pouvais rien faire, je devais faire semblant que tout allait bien. J’aurais dû me douter que cela allait arriver. En effet, dès la première soirée, le courant était très bien passé entre ma Domina et mon ami, quand nous avions invité ma Princesse par l’intermédiaire de Fabrice. Ce premier soir-là, c’est moi normalement qui devais reconduire ma future Domina chez elle. Malheureusement, j’avais trop fait la fête avec mes amis, j’avais trop bu et j’étais incapable de prendre le volant. Mon ami, lui, a encore une qualité que je n’ai pas : il ne boit pas d’alcool. C’est donc lui qui a raccompagné ma Princesse à ma place. Il est clair que, dès le départ, j’étais parti sur de mauvaises bases et qu’au contraire mon ami, lui, avait marqué des points auprès d’Elle.

Pour en revenir à notre soirée, tout le monde s’était super bien amusé… à part moi, bien entendu. Tout le temps, j’ai admiré les superbes Pieds de ma Princesse dans ces sandales blanches que j’adorais et sur lesquelles je désirais tellement poser mes lèvres.



 Pendant toute notre petite fête, je n’ai pas pu m’empêcher de regarder mon ami qui n’arrêtait pas de toucher les Pieds de ma Maîtresse.



J’étais dingue de jalousie. Plus que tout au monde, je désirais rendre hommage à ses splendides Pieds. J’étais excité, je savais que je devais patienter sagement jusqu’au lendemain pour avoir le droit, comme tous les dimanches, de me masturber devant ces superbes Pieds.

Finalement, la soirée se termina au milieu de la nuit. Mon ami qui ne buvait pas, nous ramena. Il déposa en premier ma Princesse puis ce fut mon tour. Je fus rassuré que la relation ne soit pas allée plus loin ce soir-là entre mon ami et ma Domina. Mais au fond de moi, je me doutais que cela allait finir par arriver. Cela semblait inévitable et je l’appréhendais…

Le lendemain, ma Princesse me contacta comme à son habitude par « texto ». Elle me demanda une nouvelle fois si j’étais seul chez moi. Mes parents sortaient régulièrement le dimanche, j’avais donc une nouvelle fois la maison pour moi seul. J’ai donc répondu « Oui », mais avec crainte. La dernière fois que ma Princesse m’avait posé cette question, Elle m’avait annoncé Son Désir de me voir me masturber à ses divins Pieds. Alors, cette fois-ci, je me demandais ce qu’Elle m’avait préparé. Sachant que Sa Domination sur moi était de plus en plus forte, je savais qu’Elle était dorénavant capable de tout. J’ai été chercher ma Princesse chez Elle. Elle était prête, mai j’ai remarqué qu’Elle n’était ni maquillée ni coiffée. J’étais très étonné qu’Elle veuille sortir comme cela. Ma Princesse m’a ordonné d’aller directement chez moi. Lorsque nous y sommes arrivés, mes parents n’étaient pas là. Je me suis tout de suite mis à genoux pour déchausser ma Princesse. Quand nous sommes montés, Elle m’a dit : « Je vais utiliser ta salle de bains, une bonne douche va me détendre… Il y a longtemps que j’ai envie d’utiliser ta salle de bains, mais quand tes parents sont là, ce n’est pas possible, ils piqueraient encore une fois une crise... Une bonne douche va me faire beaucoup de bien. On va d’ailleurs y mettre un peu de piment. » Je connaissais ce regard malicieux de ma Princesse, je savais qu’Elle me réservait une surprise... Elle m’a dit : « Tu auras le droit à ta masturbation dominicale après Ma douche. Au fait, hier soir tu as fait la gueule toute la soirée, tout le monde l’a vu, tu devais être fou de jalousie. Mais Je suis tout de même contente de toi, tu as su te maîtriser. » Puis nous sommes allés dans la salle de bains. Ma Princesse m’a ordonné de me déshabiller. Maintenant, je n’avais plus trop de problèmes pour le faire et je me suis exécuté. Je devenais coutumier du fait de me retrouver nu devant ma Domina. J’étais donc à genoux nu devant Elle dans la salle de bains. J’ai commencé par retirer les chaussettes de ma Princesse. J’ai à nouveau découvert Ses merveilleux Pieds, que je désirais, qui m’excitaient tellement.



 Depuis la veille, j’étais déjà fou d’excitation, j’avais eu du mal à patienter jusqu'au dimanche pour me masturber et là, je devais encore attendre ! C’était dur. Je tenais les Pieds nus de ma Domina dans mes mains. J’ai commencé par les Lui masser, mais Ma Maîtresse m’a dit : « Non ! Pas tout de suite ! » Elle a pris son sac et en a sorti un masque de nuit. Elle m’a dit : « Je vais te le mettre sur les yeux. C’est un bandeau que J’utilise la nuit pour dormir paisiblement dans le noir. Tu vas venir avec Moi dans la douche et tu vas t’occuper de moi, mais il est hors de question que tu Me voies toute nue. » J’étais donc à genoux , tout nu devant ma Princesse. Elle m’a posé le masque sur les yeux. Il était très efficace, je ne voyais absolument plus rien. Ma Domina m’a pris les mains et les a posées sur Sa Taille. Elle m’a dit : « Maintenant, retire Mon pantalon. » J’ai tâtonné pour trouver le bouton du haut, je l’ai défait, puis j’ai commencé à descendre la glissière de la braguette. C’était la première fois que je déshabillais une Fille. J’étais terriblement excité. J’ai fait descendre tout doucement le pantalon le long des superbes Jambes de ma Domina. Puis Elle m’a dit : « Retire-moi Mon string, maintenant. » Je sentais mes mains trembler tandis qu’elles montaient le long de Ses Jambes. Ma Princesse S’en est rendu compte et m’a demandé : « Pourquoi trembles-tu comme une feuille ? C’est la première fois que tu retires la culotte d’une Fille ?! Ah non, c’est vrai, tu m’as dit que tu n’étais pas puceau !… » Puis Elle S’est mise à rire aux éclats. J’étais de plus en plus excité. Je sentais mon sexe être de plus en plus sous pression. J’ai attrapé peur, je me suis dit en moi-même : « Je crains de pas réussir à résister à l’excitation. » Je tenais mes mains de chaque côté du string. Je le descendais doucement. J’imaginais le Sexe de ma Domina qui se trouvait là, à quelques centimètres de mon visage, sans que malheureusement je ne puisse le voir ni le toucher, ni l’embrasser et le lécher. Ma Domina était surdouée pour me mettre dans des situations terriblement excitantes et surtout frustrantes. Ma Maîtresse m’a alors dit : « Relève-toi et retire-Moi Mon chemisier. » Là encore, bien évidemment, c’était la première fois que cela m’arrivait. J’ai ouvert les uns après les autres tous les boutons de ln chemise. J’imaginais la superbe Poitrine de ma Domina qui commençait peu à peu à apparaître, mais malheureusement je ne pouvais que l’imaginer. Enfin, ma Maîtresse m’a dit : « Retire-Moi Mon soutien-gorge, maintenant. » Là, ce fut le pire, car je n’avais jamais fait cela pour une Femme. En plus, d’avoir les yeux bandés rendait la chose encore plus difficile. Je savais que, pour la plupart des soutiens-gorge, la fermeture se trouve à l’arrière. J’essayais de la repérer, je la sentais sous mes doigts mais j’étais incapable de l’ouvrir. J’essayais encore et encore, mais je n’y arrivais pas. Ma Princesse ne tarda pas à S’agacer et me dit : « T’es vraiment bon à rien. Un homme qui est incapable de dégrafer le soutien-gorge d’une Femme n’est pour moi qu’un moins que rien. T’es bon que pour me masser les Pieds !!… Allons, il est temps d’aller dans la douche maintenant. » Ma Domina désirait depuis longtemps Se doucher chez moi. J’avais la chance d’avoir des parents bien plus aisés que les Siens. Nous avions une toute nouvelle douche, avec un système multi-jets, et ma Maîtresse avait envie d’en profiter. Nous devions le faire en cachette de mes parents car ceux-ci n’auraient pas été d’accord. Déjà qu’ils n’aimaient pas beaucoup ma Princesse, ils n’auraient jamais accepté qu’une Fille, qui n’était même pas ma petite Amie, prenne une douche chez eux. Nous sommes entrés dans la cabine. Ma Domina dut me tenir pour que je ne tombe pas. Elle m’ordonna de m’installer sur le côté. Là, il y avait un petit rebord sur lequel je me suis mis à genoux. Ma Princesse a ouvert le robinet, je sentais l’eau chaude ruisseler sur mon corps. Mon sexe était tendu au maximum, j’avais par moment l’impression qu’il allait exploser, tellement mon excitation était forte. C’est à ce moment que ma Domina me dit : Maintenant, tu vas Me savonner… ». Je vivais un moment magique, un de mes fantasmes se réalisait, mais j’avais peur, je craignais d’éjaculer prématurément, j’appréhendais de ne pas être à la hauteur…

 

paillasson ch'ti, petit soumis frileux, timoré, fantasmeur et chien virtuel de Maîtresse MAEVA

 

 

Par MAEVA - Publié dans : Littérature
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Jeudi 26 novembre 4 26 /11 /Nov 05:17

... le dimanche matin, je m'amuse bien avec Mon chien.....



... et son gros serpent....



...à l'issue de sa confession hebdomadaire qu'il fait à genoux devant MOI, après l'avoir châtié, j'aime jouer avec lui, alterner douleurs et caresses.....



.... moments de crainte et de volupté.....où la douleur est transcendée...



.... il se montre objet de Mes lubies, il accepte tout, il reçoit tout comme une Grâce Divine....



.... il me déchausse....



.... cela me donne l'idée de l'utiliser comme présentoir à chaussures, il serait nu, à côté de la porte, je n'aurais qu'à enfiler Mes souliers...



.... je lui fait part de Mon idée, je pose Ma semelle sur les lèvres du chien, il lèche avec une servilité non feinte....



..... doux dimanches matin, à l'heure de la messe.....



... le croirez-vous? Je l'ai maintenu ainsi pendant trente minutes pendant lesquelles je téléphonais à Mon amie Maîtresse A, nous avons ri comme des folles de notre convergence: A 100 km de là, Elle faisait la même chose avec son nouveau chien, un directeur d'hypermarché, un mec bouffi de fric et de suffisance......

Par MAEVA - Publié dans : Esclavage - Communauté : BDSM
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