Un moment difficile pour notre jeune apprenti-esclave: Il se confronte au regard extérieur, et ce regard est normatif, un homme digne de ce nom ne se
prêterais pas à des situations où il est en posture d'infériorité! Bien sûr, ils n'y comprennent rien, les normopathes! Ils ne peuvent comprendre l'infinie volupté d'être
complètement soumis aux caprices d'une femme! Le regard de la cousine est tout autre, c'est un regard d'envie et la situation est très excitante pour le jeune paillasson humain!
Comme vous le verrez, l'épisode s'arrête sur une question: Je vous demande expréssément d'y répondre. Le jeune paillasson ch'ti fait vivre le site de ses contributions, la moindre des choses
serait d'être un peu plus réactif, ou je transforme ce blog en "new letters" pour Mes chiens favoris, il ne sont pas très nombreux, ceux qui donnent et qui réagissent!
FÉTICHISME ET SOUMISSION, XV
Je suis rentré chez moi dans un état pitoyable, tant sur le plan physique que mental. J’avais sur le crâne une énorme bosse causée par l’impact contre le mur de
la douche. J’avais également, sur la joue gauche, la marque laissée par la bague de ma Princesse lorsqu’elle m’avait infligé un énorme coup de poing, toujours dans la douche.
En rentrant chez moi, je pensais pouvoir me coucher et réfléchir tranquillement à la décision que je devais prendre. Mais ma soirée n’était pas encore terminée,
mes parents, qui n’étaient pas couchés, m’attendaient. Je me suis dit que j’étais loin d’être au bout de mes peines…
J’ai essayé d’éviter la discussion avec eux mais, cette fois-ci, je n’ai pas réussi à m’y dérober. Vraiment en colère, ils m’ont ordonné de venir m’asseoir dans
la cuisine. Ils m’ont dit qu’ils avaient retrouvé de longs cheveux dans la douche et qu’ils avaient compris que ma Princesse était venue s’en servir. Ils étaient très fâchés que cela se soit fait
dans leur dos, sans leur autorisation. Ils m’ont dit qu’elle n’avait pas à se laver chez eux puisqu’elle n’était même pas ma petite amie. Profitant de la situation, ils ont enchaîné en me faisant
la morale. Ils m’ont dit : « Personne ne comprend la relation que vous entretenez depuis plusieurs mois. Cette fille n’est même pas ta petite amie et pourtant tu dépenses des
petites fortunes pour elle. Tu sais que le banquier nous a téléphoné car il est très étonné des nombreux mouvements que tu opères sur ton compte depuis plusieurs semaines. En plus, cette fille se
moque de toi, elle te traite comme son larbin. Nous ne comprenons pas que tu acceptes d’être ainsi manipulé. Elle se sert de toi, mais quand elle aura trouvé un autre garçon, elle te laissera
tomber. Nous ne voulons pas que tu souffres. Tu devrais essayer de trouver une fille qui t’aime. »
J’écoutais car je n’avais pas le choix. Mais intérieurement, je bouillais, je ne supportais pas d’entendre parler de la sorte de ma Princesse. Mes parents
étaient incapables de comprendre la relation si particulière que j’entretenais avec elle. Aujourd’hui, avec le recul, je comprends leur réaction. Elle est normale pour des parents qui souhaitent
protéger leur fils. De plus, mes parents ne connaissaient absolument rien à une relation DS. Lorsqu’ils ont eu terminé leur sermon, je leur ai fait mes excuses pour la douche et je leur ai dit
que cela ne se reproduirait pas. Cette soirée était vraiment terrible. Je devais faire face à un ultimatum impérieusement fixé par ma Maîtresse et je devais en plus supporter cette réunion avec
mes parents. Après ces excuses, je n’avais plus qu’une hâte : rejoindre vite ma chambre pour réfléchir. Mais ma mère ni mon père ne voulaient pas encore me lâcher. Ma mère m’a
demandé : « Comment t’es-tu fait cette marque sur la joue ? ». Il s’agissait évidemment de la trace laissée par la bague de ma Princesse lorsqu’elle m’avait frappé au
visage. Bien entendu, je ne pouvais pas dire la vérité. J’ai donc raconté qu’en entrant dans ma voiture, je m’étais cogné contre le coin de la portière. J’ai bien vu que mes parents ne me
croyaient pas. Avant de me laisser regagner ma chambre, ils m’ont dit : « Cette fille est vraiment méchante avec toi. Réagis, s’il te plaît. »
Je suis allé m’allonger. Cette discussion m’avait saoulé. Pour le moment, je n’avais pas le temps de réfléchir à ce que voulaient mes parents. Je devais me
concentrer sur l’ultimatum imposé par ma Maîtresse. Soit j’acceptais de lui masser les pieds devant sa mère, sa tante et sa cousine, soit elle mettait définitivement fin à notre relation. Je
connaissais bien son caractère, maintenant. Je savais que je n’arriverais pas à la faire changer d’avis. Et moi, je ne pouvais pas imaginer ma vie sans elle, je ne pouvais pas vivre sans ma
Domina. Rien que d’y penser me rendait malade. J’avais une terrible boule dans le ventre. D’un autre côté, j’imaginais cette scène où je devrais être à genoux devant ces trois personnes, en train
de masser les pieds de ma Princesse. Devant sa maman, je l’avais déjà fait plusieurs fois, cela ne me posait plus aucun problème !!!
Mais lorsque je me figurais les deux autres femmes en train de me regarder, j’avais vraiment peur. Je me sentais d’avance très gêné et pourtant je dois avouer
que la pensée d’une telle scène m’excitait malgré tout. Mais je savais bien qu’il y a une grande différence entre les fantasmes et la réalité. Réaliser ses fantasmes n’est pas toujours facile,
j’ai déjà pu le constater à mes dépens. Je n’arrêtais pas de retourner la situation dans tous les sens dans ma tête. Soit je dépassais une nouvelle fois mes peurs et ma gêne, soit je perdais ma
Princesse. Finalement, j’ai décidé de me soumettre une nouvelle fois à ma Domina. Je ne pouvais pas me résoudre à la perdre, je ne l’aurais pas supporté !!! J’ai passé une très mauvaise
nuit, je ne cessais pas d’anticiper ce moment. J’appréhendais la réaction de la tante et de la cousine !!!
***
Le lundi matin, comme tous les jours, à 7 h 15, j’attends ma Princesse devant son domicile. Comme chaque matin, je porte son sac et lui ouvre la
portière. Elle me dit : « Salut ! Alors, qu’as-tu décidé ? » Je constate que ma Domina n’a pas oublié l’ultimatum puisque c’est la première chose dont elle me parle. Je
lui réponds : « Oui, je vais t’obéir et faire ce que tu me demandes. » Ma Maîtresse sourit : « C’est très bien ! Tu es devenu raisonnable, comme je m’en
doutais. Eh bien, j’ai hâte d’être à mercredi, nous allons bien nous amuser. » Elle me dit cela avec un sourire moqueur et inquiétant. Je souris moi aussi, mais au fond de moi, je suis
terrorisé.
Le début de semaine se passe normalement. Cependant, plus nous approchons de mercredi, plus je me sens terrifié, tétanisé de peur et d’appréhension.
Et voilà ! Nous sommes mercredi. À midi, quand je raccompagne ma Princesse chez elle, elle m’ordonne : « Je t’attends pour 15 h 30. Tu
vas pouvoir dorloter mes petits pieds que tu aimes tant !! »
Bien sûr, j’arrive pile à l’heure fixée par ma Domina. C’est sa mère qui m’ouvre. Elle me dit : « Je ne savais pas que tu venais prendre le café avec
nous, mais c’est très bien. » Ma Princesse arrive alors et rectifie : « Non, maman, il ne vient pas pour le café mais pour être à mes pieds ! » J’adore ce genre de
phrase qui a le don de me rendre fou d’excitation, ce que ma Princesse a compris, je pense.
En revanche, sa mère ne comprend pas, je le vois sur son visage. Elle demande « Que veux-tu dire ? » à sa fille qui lui répond :
« C’est bien simple. J’ai très mal aux pieds, et cette après-midi, pendant que nous recevrons, il va me masser les pieds. » La maman, incrédule, s’étonne : « Devant tout le
monde ? –Mais oui, bien sûr, maman ! » La dame se tourne alors vers moi et m’interroge : « Tu vas vraiment faire cela ? » Comme je n’ai pas le choix, je
lui réponds : « Mais oui, Madame… » Cela l’agace et elle crie : « Mais enfin, c’est n’importe quoi, tu vas être ridicule !!! » Puis elle se retourne vers sa
fille pour lui dire : « Et toi, tu ne peux pas attendre ce soir pour te faire masser les pieds ? ‑ Mais non, maman. Et de plus, tu verras, il sera très heureux de le
faire !!! » Me faisant alors face, elle m’interroge du regard. Une fois de plus, je n’ai pas le choix. J’affirme à sa mère : « Oui madame, je vous assure que je suis très
heureux de faire cela à votre fille. » Mais elle en a assez et s’écrie : « Vous me fatiguez tous les deux avec vos histoires ! » S’adressant à moi sur un ton ironique,
elle me prévient : « Après tout, si tu as envie de te ridiculiser, c’est ton choix !!! »
Je suis extrêmement gêné et stressé. Je n’ai qu’une envie : me sauver. Pour moi qui suis si timide de nature, c’est terrible à supporter. Mais je dois
rester, je ne peux pas partir. Ma Princesse me tient en laisse et je n’ai d’autre choix que de lui obéir. Elle s’installe alors dans le canapé et m’ordonne : « Va me préparer un bain de
pieds à l’eau savonneuse et apporte un gant. Tu vas me savonner doucement les pieds avant de me les masser. » Je regarde discrètement sa mère qui prépare les tasses à café. Je jette un œil à
la pendule. Elle indique 15 h 55. Je sais que les deux autres femmes ne vont plus tarder à arriver. Mon cœur bat à un rythme effréné, je transpire de crainte, je suis nerveux. J’ai
tellement peur que, paradoxalement, je sens à travers mon boxer et mon jean, mon excitation devenir de plus en plus forte.
J’arrive donc aux pieds de ma Princesse avec la bassine d’eau tiède que je pose devant le canapé. Je retire alors les bottes de ma Domina, puis ses chaussettes.
Ma Maîtresse, qui a bien vu que je ne vais pas bien, me chuchote à l’oreille : « Calme-toi, tout va bien se passer. Tu vas voir, ça va être génial. » En disant ces mots, elle
trempe doucement ses divins pieds dans le bain tiède, d’un mouvement très sensuel que j’adore. J’admire ses pieds sublimes et je suis terriblement excité !!! La situation me fait fantasmer:
j'ai envie de sentir Son Pied Adoré sur ma nuque, qu'Elle me plonge la tête dans la bassine!
Justement à ce moment-là, la sonnette de l’entrée retentit. Mon sang se glace. La mère de ma Princesse va ouvrir. Les femmes se souhaitent le bonjour puis j’entends une petite voix qui
s’exclame : « Eh bien, ma cousine, je vois que l’on s’occupe bien de toi !!! » Je suis paralysé, je n’ose pas me retourner. J’ai ma main droite enfoncée dans un gant de
toilette et de la gauche, je soutiens le pied droit de ma Princesse. La cousine, qui se prénomme Lucie, s’approche. Elle fait la bise à ma Domina puis elle se tourne vers moi. Elle me dit
« Salut ! » avec un sourire qui traduit à la fois son étonnement et son ironie à la vue de ma position. Je quitte alors quelques instants des yeux les merveilleux pieds de ma
Princesse, afin de regarder sa cousine et de la saluer à mon tour. Je découvre une très jolie fille brune, devant qui je m’incline timidement, ne pouvant m’empêcher de regarder les superbes
bottes noires qu’elle porte.
Rien à faire : dans toutes les situations, mon fétichisme prend toujours le dessus. Puis la tante de ma Princesse vient à son tour près de moi. Elle nous salue, sa nièce et moi. Encore
plus intimidé que par sa fille, je lui dis un « Bonjour Madame » presque inaudible.
Puis cette dame va s’asseoir à table avec la maman de ma Princesse, tandis que Lucie est reste assise sur le canapé, à côté de ma Domina. J’entends la maman de
Lucie demander : « Alors, on peut m’expliquer ce qui se passe ici ? » Sa sœur lui répond tout naturellement : « Eh bien, ce garçon est fou amoureux de ma fille, et
elle, elle est capable d’exiger de lui n’importe quoi, comme tu en as actuellement la preuve sous les yeux. » L’autre acquiesce aussitôt : « Eh bien, c’est vrai, il doit être
sacrément fou amoureux ! » Puis elles se retournent et ne se préoccupent plus de moi, ce qui est un premier soulagement pour moi. Tous les yeux féminins ne sont plus rivés sur ma
position. Il n’y a plus que Lucie, tout près de moi, qui continue de me regarder fixement. Pendant que je continue de savonner les sublimes pieds de ma Domina, sa cousine l’interroge :
« Alors, explique-moi tout ! Cela fait longtemps qu’on ne s’est plus vues, et je constate que tu as appris à mater les garçons ! –Ah, ça oui, tu peux le dire. Je ne suis plus la
fille que tu as connue il n’y a pas si longtemps, et qui pleurait dans tes bras à cause de toutes les misères que les garçons lui causaient. Aujourd’hui, c’est moi qui tiens les
rênes !!! » Lucie qui a attentivement écouté sa cousine, lui demande alors : « C’est ton petit ami, lui ? »
Ma Princesse se met alors à rire aux éclats et répond : « Tu plaisantes, j’espère ?... Je sais que cela fait un moment qu’on ne s’est plus vues,
mais tout de même... Tu crois vraiment que mes goûts quant aux mecs ont tellement changé en si peu de temps ?
Lui, il est génial pour être à mes pieds et s’en occuper, mais certainement rien de plus. Je ne pourrais jamais sortir avec un gars comme lui. En revanche, pour ce qui est des soins de mes pieds,
c’est un véritable dieu. » Lucie paraît de plus en plus étonnée. Je le vois bien car je relève parfois discrètement la tête pour observer ses réactions. Elle dit à ma Princesse :
« Franchement, j’hallucine ! Tu as bien changé en quelques mois !... – Oui, je crois. Ma rencontre avec ce garçon a été pour moi une véritable révélation. Il m’a fait
découvrir des plaisirs, des sensations que je ne connaissais pas. Les soins de pieds, c’est tellement agréable que je ne pourrais plus m’en passer. Et, il n’y a pas que cela… ‑ Mais qu’est-il
donc exactement pour toi, alors ? ‑ C’est mon meilleur ami, et il est à mon service pour son plus grand plaisir. » De son pied droit tout humide, ma Princesse me donne un coup sur la
joue...
...et m’ordonne : « D’ailleurs, dis toi-même à ma jolie cousine à quel point tu es heureux d’être à mes pieds. » Je suis atrocement gêné de cette situation, de ma position.
Je sais que Lucie me regarde attentivement, je sais aussi que la mère de ma Princesse et sa sœur peuvent tout entendre. Je réponds à ma jeune Maîtresse avec mon cœur : « Oh, oui. C’est
un honneur et un bonheur pour moi de pouvoir prendre soin des pieds de ma Princesse. » Lucie s’exclame aussitôt : « Comme c’est mignon !!! » Mais notre conversation
commence à exaspérer la mère de ma Domina. D’un ton agacé, elle dit à sa fille : « Soit vous venez normalement à table, prendre le café, soit vous allez dans ta chambre. J’en ai marre
de vous voir là et d’entendre toutes vos bêtises !!! ». Ma Princesse m’ordonne alors de lui essuyer les pieds dans la serviette que j’ai préparée. Puis elle dit à sa cousine :
« Viens, on va dans ma chambre puisqu’ici on dérange !!! » Je m’empresse donc d’essuyer amoureusement les sublimes pieds de ma Domina, puis de lui enfiler ses chaussons. Ma
Maîtresse et sa cousine vont dans la chambre. Je range la bassine, le gant et la serviette puis je rejoins les deux jeunes filles. Toutes deux tranquillement installées sur le lit, elles sont en
train de discuter. Lorsque j’entre, ma Princesse me regarde sans rien dire. Elle se contente de pointer un index autoritaire vers ses divins pieds. Je referme vite la porte derrière moi et me
mets à genoux devant ma Domina. Lucie lui dit alors : « Tu l’as vraiment bien dressé ! Tu n’as même plus besoin de parler pour qu’il t’obéisse. C’est formidable… » Ma
Princesse m’ordonne « Maintenant, fais-moi un bon massage des pieds. Montre à Lucie comme tu es doué pour t’occuper des pieds d’une fille… »Je suis très heureux de ces compliments sur
mes qualités de masseur de pieds féminins que me fait ma Maîtresse. Saisissant le tube de crème, je commence à masser Ses Sublimes
Pieds.
Le fait de savoir que Lucie était là, juste à côté de nous, et qu’elle m’observe, m’excite encore plus que d’habitude. J’ai vraiment envie de faire de mon mieux pour prouver à la cousine que je
suis réellement doué dans ce domaine. Je m’applique donc à masser encore et encore, avec dévotion, les merveilleux pieds de ma Princesse que j’aime et désire de tout mon cœur, de tout mon être.
Pendant ce temps, ma Maîtresse et sa cousine discutent tranquillement. Lucie cherche à en savoir plus, car son étonnement est profond. Elle dit à ma Princesse : « La dernière fois que
l’on s’est vues, tu étais avec un gars, mais tu étais malheureuse. Explique-moi ce qui s’est passé depuis !… ‑ Eh bien, ce gars dont tu parles m’en a fait voir de toutes les couleurs.
J’étais amoureuse de lui, j’étais bête. J’aurais tout fait pour le garder, mais cela ne l’a pas empêché d’aller voir ailleurs. Finalement, il m’a quittée et j’ai été très malheureuse. Depuis le
début de l’année, je me suis liée d’amitié avec un gars de ma classe. Un jour, il m’a invitée à une soirée avec ses amis. Il s’agit de toute une bande de copains super cool. D’ailleurs, on sort
ensemble tout les week-ends. Ici, à mes pieds, tu vois l’un d’eux. Il m’a dit qu’il était tombé fou- amoureux de moi dès le premier soir. Depuis, nous nous sommes liés d’une sincère amitié. Ce
garçon est bien différent des autres. Il fait passer mon plaisir et mon bien-être bien avant les siens. La seule chose qui compte pour lui est de pouvoir prendre soin de ma chère personne. Par
amour pour moi, il est prêt à renoncer à beaucoup de choses, car la seule qui est essentielle pour lui, c’est d’être à mes pieds. Regarde comme il est heureux en ce moment !!! » Je
relève doucement la tête et fais un grand sourire car c’est vrai, je suis réellement fou de bonheur de pouvoir être aux pieds de ma Princesse. J’ai vraiment réussi à me détendre et la présence de
Lucie ne me gêne quasiment plus. Je la regarde qui reste bouche bée en entendant le discours de sa cousine, à qui elle déclare : « En effet, c’est vraiment un garçon différent des
autres. Moi, on ne m’a jamais massé les pieds. Je dois dire qu’en voyant le dévouement de ce garçon qui te le fait, je t’envie sincèrement, ma chère cousine. Moi aussi, j’aimerais trouver un gars
comme lui, un mec qui prenne soin de mes pieds, qui se consacre à mon bien-être sans rien me demander en échange. J’en ai marre de ces garçons qui ne pensent qu’à une chose : le sexe. Mais
je ne sais pas où je pourrais trouver une perle rare, comme lui. Aurais-tu un conseil à me donner ? » Ma Princesse lui répond : « D’abord, tu dois faire preuve d’une extrême
autorité avec les mecs.
Un garçon, c’est comme un chien : il a besoin d’être dressé !!! » Lucie paraît un peu choquée par ce propos :
« C’est tout de même très dur ce que tu dis… Comparer un homme à un chien !... » Ma Maîtresse lui répond aussitôt : « J’aurais pensé comme toi il y a peu, mais
regarde aujourd’hui où j’en suis… »
Lucie confirme : « Tu as raison, je ne peux pas dire le contraire. » Puis elle poursuit : « Je peux te demander une faveur ?… S’il
te plaît ma cousine, j’aimerais qu’il me masse un peu les pieds, à moi aussi. Juste pour goûter à ce plaisir que je ne connais absolument pas !… »
Lorsque j’entends cela, mon excitation augmente encore d’un cran. Je m’imagine déjà en train de pétrir les pieds de la jolie Lucie sous le regard autoritaire et
dominateur de ma Princesse. Cette scène m’excite déjà. Mes tabous, ma gêne du départ ont complètement disparu, j’ai vraiment envie de découvrir les pieds de Lucie, j’ai vraiment envie de les lui
masser, à défaut de les lécher...
Je ne pense même plus à sa maman qui est dans la pièce, juste à côté. Néanmoins, je sais que ma Princesse est très exclusive. Si elle adore me voir à ses pieds, si elle adore que je les lui
masse, si elle aime m’humilier devant d’autres personnes, jamais encore elle ne m’a ordonné de masser les pieds d’une autre fille. Je sais que ma Princesse est assez jalouse, et c’est d’ailleurs
pour cela que dans le pacte d’esclavage, elle m’a fait lui promettre une fidélité absolue. Je sais que ma Domina aime avoir ce privilège que les autres femmes n’ont pas, c’est-à-dire avoir un
homme à ses pieds. Pour toutes ces raisons, j’ai de sérieux doute sur la réponse qu’elle va faire à sa cousine. Va-t-elle accéder, ou non, à sa demande ?…
J’aimerais avoir l’avis de notre Divine MAEVA et des lecteurs. Selon vous, ma Princesse va-t-elle dire oui ou non ? Va-t-elle me garder pour elle
uniquement ou au contraire, va-t-elle me « prêter » à sa cousine afin de m’humilier davantage ?
J’attends vos réponses…
Paillasson ch’ti, petit soumis frileux, timoré, fantasmeur et virtuel de Maîtresse MAEVA
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