.... il faut bien s'amuser de temps en temps, dédramatiser, être "léger"! Vivement samedi que je m'amuse avec mon gode vivant!

L'introduction du personnage de Marie donne un nouveau "piquant" à cette passionnante autobiographie.... bonne lecture!!!
FÉTICHISME ET SOUMISSION (XIX)
Mon fétichisme des pieds ! En une demi-heure seulement, la tante Marie a percé à jour un secret que j’ai préservé pendant 19 ans. Au moment où j’entends ses révélations, la première chose qui me traverse l’esprit est de me demander comment ma Princesse va réagir à cette déclaration plus que surprenante.
Je ne sais pas vraiment ce que ma Domina pense du fétichisme des pieds, mais cette question, primordiale pour moi, je me la suis bien entendu posée à de très nombreuses reprises !!!
Comme vous le savez, j’ai toujours été un très grand fétichiste des pieds. Au tout début de ma relation avec ma Maîtresse, elle a un jour découvert dans mon
téléphone portable une photo gênante. En effet, le très grand désir que m’inspirent les pieds des femmes m’a parfois poussé à prendre en photos, dans la rue, ceux que je trouvais jolis et
désirables. Un jour, ma Princesse m’a demandé de lui prêter mon portable sur lequel j’avais oublié d’effacer une de ces photos. Quand elle l’a découverte, elle m’a demandé pourquoi j’avais
photographié ces pieds de femme.
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Bien que très gêné, j’ai réussi à garder mon sérieux. J’ai menti, j’ai dit que j’avais fait une mauvaise manipulation et que j’avais pris cette photo par erreur. Par chance, ma Princesse m’a cru.
Enfin, je pense... Par la suite, je n’ai plus osé photographier des pieds de femmes dans la rue. Tout d’abord parce que ce n’est pas correct et de plus, j’étais tellement souvent aux
pieds de ma Maîtresse, que je n’avais plus besoin de fantasmer sur ceux d’autres femmes. Je m’en étais plutôt bien sorti ce jour-là. Néanmoins, ma Maîtresse a prononcé cette phrase
troublante : « Tu ne serais pas fétichiste des pieds, par hasard ?… » Je n’ai rien répondu puis nous sommes passés à autre chose. Pour la première fois, ma Princesse venait
d’évoquer la possibilité que je puisse fantasmer sur les pieds d’une femme. Et j’ai tout de suite su que ma Domina connaissait ce désir particulier que certains hommes ressentent. J’ai compris
qu’elle connaissait le fétichisme des pieds…
La deuxième fois où ce fétichisme est évoqué, nous sommes chez notre ami Clément, dans sa chambre, à l’étage. Le sol est recouvert de moquette et ma Princesse a chaud aux pieds. Elle décide donc de retirer ses superbes sandales à hauts talons maintenues par des lacets qui remontent le long de la jambe. Ces chaussures me rendent dingue, c’est l’une des premières paires que je lui ai offertes, comme je vous l’ai déjà raconté dans un précédent épisode. Ce jour-là, chez Clément, ma Domina retire donc ses chaussures et ses bas. Elle marche pieds nus après avoir déposé ses bas dans ses chaussures qu’elle a laissées près de la porte d’entrée. Pendant toute la soirée, je fantasme sur les pieds de ma Maîtresse. Ils m’affolent. J’aimerais tellement m’agenouiller devant ses divins pieds, comme je le fais dans l’intimité de ma chambre. Mais lorsque nous sommes entre amis, ma Princesse a toujours tendance à se rapprocher de Clément et c’est ce qu’elle fait encore ce sir-là : elle passe encore toute la soirée juste à côté de lui. Parfois même, elle lui caresse discrètement les jambes, spectacle qui me rend jaloux bien que je réussisse à me taire.
Au moment de partir, ma Princesse m’ordonne d’aller lui chercher ses chaussures et de les lui apporter. Dorénavant, elle se gêne plus du tout pour me donner de
tels ordres devant mes amis. Ceux-ci ne disent rien mais je suis sûr que derrière mon dos, les conversations doivent aller bon train. Donc, lorsque je rapporte ses superbes chaussures aux pieds
de ma Princesse, elle se rend compte qu’il manque l’un de ses bas.
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Pourtant, elle a bien rangé la paire dans ses souliers, j’étais là et je l’ai vu. À part nous, c’est-à-dire notre petite bande d’amis, personne d’autre n’est entré dans la maison. Du coup,
ma Domina m’accuse tout de suite d’avoir fait tomber un bas en lui apportant ses chaussures. Elle nous informe de cette perte et nous nous mettons tous à la recherche du bas. Nous regardons
partout sans en trouver aucune trace. Mon ami n’a pas d’animaux chez lui, rien n’explique donc la disparition du bas. En fait, il n’y a qu’une seule explication : quelqu’un l’a
volontairement pris. Je sais bien que vous pensez tous que l’auteur de ce vol, c’est moi. Ce serait logique puisque je suis un véritable fétichiste des pieds et qu’en plus je fantasme sur
les jolis pieds de ma Domina. J’avoue avoir eu cette idée, mais je ne l’ai pas réalisée. Je ne suis pas l’auteur de ce vol.
Ma Princesse nous réunit tous et nous dit : « Quelqu’un de vous a volé mon bas. Il y a un fétichiste des pieds parmi vous ! » Bien entendu, personne ne se dénonce. Ma Maîtresse se voit donc obligée de fourrer dans son sac le seul bas qu'il lui reste et de repartir les jambes nues. Ma Domina et moi avons souvent parlé de cela par la suite. Nous avons souvent cherché à savoir qui dans la bande pouvait être le fétichiste des pieds. Elle n’a jamais eu de doute sur le fait que ce n’était pas moi. En tout cas, elle ne m’a jamais montré qu’elle me soupçonnait. J’étais rassuré : mon secret était toujours bien caché. Les principaux soupçons de ma Maîtresse portaient sur Clément. Comme elle le dit, il semble très attiré par elle. Moi, j’avoue que j’ai du mal à croire qu’il puisse être comme moi, fétichiste des pieds. Je ne peux pas croire non plus que n’importe lequel de mes amis le soit. Je pense que depuis toutes ces années que nous nous connaissons, je l’aurais senti, je l’aurais deviné, surtout que moi, ne l’oublions pas, je le suis et pas qu’un peu !!! J’avoue qu’aujourd’hui, je me demande toujours qui fut le voleur de bas. Ce jour-là chacun de nous, pour une raison ou autre, s’est absenté de la pièce où nous nous trouvions. Je n’ai donc aucun moyen de savoir qui est derrière ce vol. Le bas n’avait évidemment pas disparu tout seul, mais je n’aurai jamais la réponse à ma question. C’est dommage, car je serais très curieux de savoir…
Quoi qu'il en soit ce jour-là, j’ai reçois la confirmation que ma Princesse connaît l’existence et le sens du fétichisme des pieds. Ma Domina n’a pas Internet chez elle mais elle surfe souvent sur le net, chez des amis et c’est ainsi, je pense, qu’elle a dû découvrir ce penchant que certains hommes ont. Telles sont les deux seules fois où, avant cette fameuse après- midi chez la tante Marie, le fétichisme des pieds a été clairement évoqué par ma Domina.
En entendant l’affirmation de sa tante, ma Princesse lui demande pourquoi elle dit cela. Marie lui répond : « Dès les premières minutes où ton ami a
été devant moi, j’ai su qu’il est un véritable fétichiste des pieds. J’ai vu qu’il essayait toujours de retirer son regard de mes sublimes pieds, mais rien à faire : ses yeux étaient
irrésistiblement attirés par la vision merveilleuse de mes pieds. Il essayait de se contrôler, il tentait de dissimuler son désir mais il ne le pouvait pas, car cette envie est plus forte que
lui. Depuis que je suis assise en face de vous, c’est encore pire pour ce pauvre garçon. Il n’arrive plus du tout à se contrôler ! Si tu savais le nombre de fois où je l’ai surpris en train
de baver mentalement sur mes pieds… Le pauvre garçon n’est pas très discret. » Ma Domina reprend : « J’avoue que je suis très très surprise par ce que tu me dis. J’en reste
sans voix !… »
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Moi, je me fais tout petit dans mon fauteuil, tellement je suis gêné… mais aussi extrêmement excité. Tout en parlant, Marie n’arrête pas de croiser et de décroiser ses sublimes jambes. Cette
vision merveilleuse me fait penser à la scène de Sharon Stone dans le film « Basic Instinct ». Je vous jure que c’est vrai. Marie est une femme sublime, terriblement
sexy et qui dégage une formidable assurance et une confiance totale en elle-même. À mes yeux, cela la rend désirable à souhait. Cette scène avec Sharon Stone, je la connais par cœur. Depuis
mon adolescence, je possède la cassette du film. Avant de rencontrer ma Princesse, j’ai souvent passé en boucle la scène où, d’un seul mouvement de jambes, la sublime Sharon Stone
déstabilise complètement Michael Douglas et tous les autres policiers. Ce jeu de jambes m’a toujours rendu dingue.
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Avec Lara Fabian, Sharon Stone fut l’une des stars qui m’ont fait fantasmer dans mon adolescence. Un jour, je vous révèlerai peut-être toutes les vedettes qui font
partie de ma petite collection privée…
Marie a parfaitement conscience de son pouvoir sur les hommes. Elle en use et abuse, encore et encore. Je ne sais plus où regarder, mes yeux sont irrésistiblement attirés par ses sublimes pieds et ses magnifiques jambes. Jamais de ma vie, auparavant, je n’ai été autant troublé et déstabilisé par une femme…
Marie, voyant l’étonnement de sa nièce, lui dit : « Tu ne dois pas être choquée par ce que je te dis. Tu sais, le fétichisme des pieds n’est pas une perversion. Au contraire, c’est une bénédiction pour la femme. Pour moi, tous les hommes ont en eux ce fétichisme. Les pieds des femmes ont toujours été des armes de séduction. Mais certains hommes développent beaucoup plus ce désir que d’autres. Je vais te donner un exemple qui va t’aider à mieux comprendre. Chez une femme, la plupart des hommes vont regarder en premier ses seins ou son cul, c’est cela qui va attirer leur désir et les faire bander. Chez un fétichiste des pieds, c’est la même chose, sauf que son désir premier est concentré sur les pieds, c’est aussi simple que cela. Les pieds sont pour le fétichiste l’objet de tous les désirs, de tous les fantasmes. Dans certains cas, ils peuvent même se substituer à l’organe sexuel… »
J’écoute Marie avec attention, elle est en train de nous faire un véritable cours sur le fétichisme des pieds. À l’époque, je n’ai que dix neuf ans et non seulement je ne me sens pas du tout mûr, mais je n’ai pas encore bien conscience de mon fétichisme. Je me suis renseigné sur Internet, mais cela me fait du bien d’entendre la bouche d’une femme telle que Marie parler de cela. J’ai déjà lu beaucoup d’articles sur le fétichisme mais cela m’a toujours semblé virtuel, alors que là j’ai en face de moi une femme qui connaît et aime le sujet. Je commence peu à peu à m’accepter en tant que véritable fétichiste des pieds. Cependant, je suis terrifié à l’idée que mon secret puisse être dévoilé. Depuis tant d’années, je fais toujours tellement attention à rester discret. Mais d’un autre côté, je suis soulagé de pouvoir enfin parler de cela librement à quelqu’un. Je suis soulagé que ma Princesse soit enfin au courant. J’ai si souvent eu envie de tout lui dire, mais sans jamais oser…
Une chose est sûre, Marie est une Dominatrice expérimentée, elle a lu en moi comme dans un livre ouvert. Lorsque nous l’entendons parler du fétichisme, nous
voyons bien qu’elle connaît le sujet par cœur. Pendant ce temps, ma Princesse se remet doucement de ses émotions. Après avoir écouté attentivement sa tante, elle dit : « Je
comprends mieux maintenant en quoi il est tellement différent de tous les autres mecs que j’ai connus. Je comprends mieux son plaisir, sa dévotion à prendre soin de mes pieds. Tout devient
clair maintenant. En fait, je connaissais un peu le fétichisme des pieds, j’en avais entendu parler. Je savais que des hommes étaient attirés par les pieds des femmes, mais je n’avais jamais
imaginé ce que cela pouvait être dans la réalité. Je suis bête ! Depuis des mois qu’il passe sa vie à mes pieds, j’aurais dû comprendre, j’aurais dû me douter. Et pourtant, je
n’ai jamais fait le rapprochement !... Tu sais, il y a quelques jours, il m’a baisé et léché les pieds pendant une heure entière !
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J’ai halluciné, jamais auparavant un homme ne m’avait fait cela ! Sur le coup, je me suis demandé ce qu’il fabriquait, j’ai cru qu’il avait pété un câble mais très rapidement, je me
suis laissé aller, car c’était merveilleux. » Ma Princesse répète plusieurs fois la même phrase : « Je comprends mieux maintenant ! » S’adressant de nouveau à sa
tante, elle lui raconte : « Tu sais, nous avons conclu un pacte d’esclavage. Tu es la seule à qui j’en parle, mais je pense aussi que tu es la seule à pouvoir nous comprendre. Dans ce
pacte, il m’a juré une fidélité absolue et une obéissance totale. En échange, j’accepte de le garder à la disposition de mes jolis pieds. Il dit qu’il préfère vivre à mes pieds plutôt que
d’être dans les bras d’une autre fille. Il n’arête pas de me le répéter. J’en reviens pas que tu aies deviné cela, alors que tu le connais à peine depuis une demi-heure ! Tu as
vraiment beaucoup de choses à m’apprendre et je regrette qu’on soit restées si longtemps sans se voir… » Sa tante lui répond : « Ma chérie, il ne faut pas repenser au passé. Le
principal, c’est qu’aujourd’hui on s’est retrouvées. Désormais, tu es majeure et libre de faire ce que tu veux. Je suis très heureuse de t’avoir retrouvée, je n’ai pas d’enfants, c’est un
choix personnel mais je t’ai toujours un peu considérée comme ma fille, ce qui a rendu la séparation d’autant plus difficile. Je suis contente de voir que tu prends le chemin de la
Domination, tu verras, c’est un monde merveilleux qui fera de toi une femme comblée et épanouie. »
Ma Princesse se retourne alors vers moi et, voyant dans quel état je suis me demande : « Ça va ? Tu es tout pâle, on croirait que tu as vu un fantôme… » Je ne réponds pas, je n’arrive même plus à parler, je suis paralysé par tout ce qui vient de se passer. Marie reprend alors la parole en s’adressant à sa nièce :
« Laisse-lui quelques minutes pour se remettre de ses émotions. Tu sais, son fétichisme, c’est un secret qu’il doit protéger depuis son adolescence. C’est toujours un moment difficile pour un homme d’avouer au grand jour ce penchant, mais c’est pourtant indispensable. »
En ce mercredi après midi, il fait très chaud, nous sommes au mois de mai. Ma Princesse s’est chaussée de superbes sandales marron à lanières et
à talons. Un partie de ses sublimes pieds est découverte, ainsi que ses merveilleux orteils que j’ai eu l’honneur de vernir en début de semaine d’un marron foncé que j’adore.
Je suis assis sur le canapé, avec ma Princesse à mes côtés. En face de moi, il y a Marie aux jambes et aux pieds sublimes. J’ose de moins en moins la regarder. Juste à côté de moi, ma Domina me
regarde fixement. Elle tend ses jambes et s’amuse à bouger ses pieds et ses délicieux orteils, juste devant mes yeux. Visiblement, elle le fait exprès et je pense qu’elle veut me tester un peu.
Maintenant qu’elle connaît toute la vérité, elle veut s’amuser de moi. Elle n’arrête pas de tortiller ses sublimes pieds sous mon regard que je ne peux pas détacher d’eux. Je suis comme
envoûté, prisonnier de ce spectacle qui me rend fou. Elle a replié sa jambe gauche sur laquelle elle pose la droite et balance sa chaussure qu’elle tient du bout de ses orteils. Je suis
littéralement subjugué par ses sublimes pieds, mes yeux fixent le mouvement de va - et - vient de sa sandale. Ma Maîtresse et Marie me regardent en souriant, je m’en aperçois du coin de
l’œil. Puis soudain, le soulier glisse et tombe à terre. Le bruit du talon sur le superbe carrelage brise le silence qui s’est installé dans la pièce. Pendant quelques secondes, nous
nous regardons tous. Je ne sais pas quoi faire, je ne sais même plus vraiment où je suis… Mais je reprends rapidement mes esprits et je fais ce qui s’impose dans cette situation.
Je me jette aux pieds de ma Domina, je me mets à genoux devant ma Princesse, je ramasse sa sandale puis, de ma main gauche, je saisis doucement son pied droit, en tenant sa chaussure de mon autre
main. Tout à coup, au moment où je vais la lui enfiler, Marie se lève et m’attrape par les cheveux. (À cet instant, je me dis en moi-même que ma chevelure, que je porte mi-longue, attire la main
des femmes et que décidément elles aiment me tenir par là, ce qui est bien douloureux.) Me tenant donc par les cheveux, Marie me dit, d’une voix dure et très autoritaire : « Je veux que
tu honores les jolis pieds de ma nièce. Montre-moi ce que tu sais faire de ta misérable langue ! » Je lève alors ma tête vers ma Domina qui, je le vois à son visage, semble
presque aussi étonnée et stupéfaite que moi par l’intervention de sa tante. Elle regarde sa tante avec un tel regard !… Puis elle abaisse ses yeux sur moi et me dit : « Alors,
qu'est-ce que tu attends pour obéir à ma tante ? » Je ne demande pas mieux, moi ! Je reprends le pied droit de ma Princesse dans les mains et je commence à le couvrir de longs
baisers amoureux. Marie retourne s’asseoir dans son fauteuil, comme pour apprécier le spectacle…
Je baise avec force et dévotion le divin pied droit de ma Princesse. Je passe ma langue sur toute sa peau si douce. Ensuite, je suce un à un ses délicieux
orteils. Je lèche même entre les doigts de pied, car je veux montrer à Marie que je suis doué.
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Confortablement installée dans son fauteuil, ma Princesse semble apprécier et se détendre. Je me baisse ensuite pour passer ma langue sur sa merveilleuse plante de pied. Marie se lève alors pour
intervenir de nouveau. Cette fois, elle a appuie le talon de sa chaussure droite sur mon torse et me dit : "Allonge toi par terre, ma nièce va poser son pied sur ton visage ,
la position sera plus agréable pour toi… et surtout pour elle ! » Je m’exécute, je m’allonge complètement sur le carrelage froid de la salle à manger. Ma Princesse pose alors son
pied droit sur mon visage. Je respire à pleins poumons l’odeur merveilleuse de ses sublimes pieds, je lèche la moiteur causée par la chaleur. Je sens de plus en
plus le poids de son pied sur mon visage. C’est la première fois que je me retrouve dans cette position. J’adore ! L’humiliation est décuplée par la présence de Marie. C’est peut
être bête à dire, mais j’adore les situations humiliantes, je les ai toujours adorées, car elles m’excitent terriblement !!! Ma langue se balade amoureusement des orteils au talon,
j’avale des petits morceaux de cuir qui se sont détachés de la chaussure. Quand ma Princesse soulève son pied, c’est un vrai soulagement pour mon nez qui est resté longtemps écrasé,
mais la trêve est de courte durée. Quelques secondes plus tard, la sublime plante du pied gauche de ma Maîtresse vient se plaquer violemment sur ma bouche.
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J’entends la voix de ma Princesse qui me dit : « Allez, au tour de l’autre pied maintenant ! ». Puis j’entends Marie qui s’exclame : « Je t’adore, ma chérie.
Tu apprends vite !!! » Une réelle complicité s’est installée entre les deux femmes. Cela m’excite et me terrorise à la fois, car ma Princesse était déjà très stricte avec moi, et
maintenant qu’elle est « coachée » par une Dominatrice expérimentée, je dois m’attendre à ce qu’elle m’emmène encore plus loin dans la soumission. C'est la première fois que je
vénère à ce point les pieds de ma domina devant une autre personne. La présence de Marie accentue encore mon excitation.
En moins d’une semaine, j’ai appris à « faire l’amour avec ma bouche » aux pieds de ma Princesse. Et sincèrement, je sais que j’ai ainsi passé les deux plus beaux moments de ma vie. Cette époque est pour moi, une période bénie. Plus les jours passent, plus ma Princesse m’emmène loin dans la soumission. Cela se fait rapidement, tellement c’est naturel. Aux pieds de ma Princesse, je suis certain de connaître les plus beaux moments de mon existence. J’ai toujours su que je suis fait pour vivre en esclave total, mais il faut simplement que j’arrive à l’accepter.
Aujourd’hui, je n’ai plus peur de dire que j’ai besoin de vivre aux pieds d’une femme, de passer ma vie à ses pieds. C’est vital pour moi. Je donnerais absolument tout pour revenir à cette merveilleuse époque. Je ne sais pas ce que me réserve l’avenir. Une chose est sûre : je vivrai aux pieds d’une femme car c’est ma vie, tout simplement… Ce sera parfois un long chemin pour moi qui me suis fait peu à peu aux pieds de ma Princesse que j’ai toujours aimée de tout mon être.
Ce jour-là, donc, j’honore de la même manière le pied gauche de ma Maîtresse. Je passe amoureusement ma langue servile sur sa délicieuse plante de pied.
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Puis ma Maîtresse me fait comprendre d’un coup de pied dans le nez que je dois me redresser. De nouveau à genoux devant ma Domina, je rechausse son divin pied. Je continue à baiser ses superbes
pieds et ses délicieux orteils. Je me sens tellement bien ! Mon sexe est en feu sous mon boxer. Très discrètement à plusieurs reprises, je lève légèrement mes yeux pour regarder aussi les
superbes pieds de Marie qui sont si désirables !!! Une nouvelle fois, je vis un moment formidable, un moment magique et unique, grâce à ma Maîtresse. Alors que je suis en pleine action,
j’aimerais encore que ce moment dure pour l’éternité. Ma Princesse me donne une nouvelle fois un coup de pied et me dit : « Maintenant, ça suffit ! Tu as correctement adoré mes
jolis pieds. » C’est alors que Marie reprend la parole : « Oui, ma chérie, tu as raison. Ce jeune homme m’a l’air d’être un très bon chien. » Elle se lève de nouveau et
me saisit une nouvelle fois par les cheveux. Elle me dit, toujours d’une voix glaciale : « N’oublie pas de remercier ma nièce pour le moment magique qu’elle vient de t’offrir. » Je
lève alors mes yeux vers ma Princesse et je lui dis : « Adorer tes sublimes pieds est ce que j’aime le plus au monde. Je te remercie de tout mon cœur de m’offrir ce
privilège. » Toujours à genoux, je me tourne alors vers Marie qui se tient debout face à moi. Je lève mes yeux vers son visage et je lui dis : " Madame, je vous remercie de m’avoir
soulagé d’un secret qui devenait trop dur à porter. » Marie passe alors sa main dans mes cheveux et me dit : « Tu es un brave garçon, tu as tout pour devenir un merveilleux
esclave… » Je souris. De ma vie, je n’ai jamais été aussi heureux qu’à ce moment précis. Marie dit alors à sa nièce : « Ma chérie, si tu savais comme je suis fière de
toi ! Tu as déjà fait de ce jeune homme ton esclave. Je n’ai plus grand-chose à t’apprendre. J’aimerais juste te dire encore une règle d’or : N’oublie jamais le pouvoir absolu que
tes jolis pieds te procurent sur ce garçon. Garde toujours en mémoire une phrase, ma chérie :
Rien que par tes jolis pieds, tu peux absolument tout obtenir de ce garçon… »
Paillasson ch’ti, esclave virtuel favori de Maîtresse MAEVA
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En bonus immérité, quelques photos....
Chien slavio est depuis quelques années l'objet soumis d'une jeune Maîtresse chinoise magnifique, hautaine et très sévère, malheureusement pour lui, il la voit peu.... il m'a communiqué ce texte
rédigé par Elle, inutile de vous dire que je partage complètement son point de vue: Un esclave sert aussi de réceptacle à notre agressivité, à notre mal de vivre, moi-même, il m'arrive d'utiliser
Mon chien feet comme défouloir. Le mois dernier, je roulais entre Chambéry et Annecy. Je crève (pas moi, un pneu! ),
j'ai attendu 35 minutes au bord de la route avant qu'un mec me propose de changer ma roue! Le soir même, c'est feet le chien qui a supporté ma
rage, il a reçu 35 coups de cravache sur le cul, le dos, les épaules, les joues, je ne faisais pas semblant, au 15 ème coup, reçu en plein visage
(mais un esclave a t'il vraiment un visage?), il m'a supplié d'arrêter, mais j'ai été inflexible: 35 coups de cravache non frimés pour les 35 minutes au bord de cette route désolante, à cause de
l'égoisme des mecs! Je vous souhaite une bonne lecture de cet excellent texte, vécu et authentique.... et vrai, comme tout ce qui a été écrit dans ce blog déserté et que je vais
moi-même déserter si votre torpeur hivernale continue! C'est en cessant pendant quinze jours toute activité sur le site (grève totale et sauvage: Plus d'articles, plus de photos, aucune réponse
aux commentaires qui, en ces circonstances redeviendraient nombreux!), c'est par une nouvelle grève, disais-je que je vais exorciser Ma colère en ce jour de janvier glacial!
COMMENT JE PASSE MA COLÈRE....
par MAÎTRESSE LANLAN
(en mission à Paris...)
Ma journée n’a pas été bonne. Elle a même été carrément exécrable. Un de Mes inférieurs, ayant mal compris Mes Ordres, a fait n’importe quoi. Ma coiffeuse attitrée a raté Mon brushing. Mon masseur était malade. Un amant avec qui Je devais passer un bon moment à l’hôtel s’est décommandé à la dernière minute, sa Femme étant rentrée de voyage plus tôt que prévu. J’ai filé un bas fantaisie d’une paire toute neuve offerte par Mon esclave. Mon mari ne M’a pas appelée de Pékin pour me donner des nouvelles de Mon fils. Je Me suis cassé un Ongle en ouvrant une boîte de Coca. Mon portable ne tient plus la charge et, en plus, Mes Règles semblent vouloir débarquer avec un peu d’avance, ce qui me donne mal au ventre…
Comme Je pensais faire l’amour à l’hôtel et me faire ramener ensuite chez moi par le jules, J’ai dit à Mon esclave slavio de rester à la maison et de travailler pour Moi en M’attendant, au lieu de Me mener en voiture comme Je l’exige d’habitude. Du coup, comme aucun taxi n’arrive (on se demande d’ailleurs s’il est vrai qu’il en existe à Paris), Je dois prendre le métro qui, comme de juste, est bondé !…
Seule consolation : un beau jeune homme à l’air tendre et soumis me cède aussitôt sa place avec un beau sourire, laissant debout un bon paquet de vieillards que nous narguons tous les deux ! Il reste debout près de Moi, appuyé au dossier de Mon siège, et je crois bien que ses yeux se baladent de la pointe de Mes bottines à Mes Genoux entre lesquels Ma robe se creuse… quand ils ne plongent pas dans Mon décolleté. Mais cet hommage silencieux n’est pas pour Me déplaire. Je Me dis même que si J’avais le temps, voilà un tendron que je saurais domestiquer à Mon usage, car après tout un seul esclave (surtout un vieux comme Mon Français), c’est trop peu pour une belle jeune Femme comme Moi, décidée à profiter de tout ce que la vie peut Lui apporter d’agréable et de bon…
Quand Je rentre, un peu trempée car il s’est mis à pleuvioter, Je suis d’une Humeur massacrante. Mon esclave le sent tout de suite. Sitôt refermée la
porte d’entrée, il s’empresse de M’aider à Me mettre à l’aise, puis sitôt Mon manteau accroché au perroquet de l’entrée, il se prosterne promptement pour baiser et lécher Mes bottillons en signe
de soumission et de bienvenue.
Mais, Moi qui aime tant d’habitude ce genre de salutations serviles, Je n’ai pas ce soir la Tête à les supporter. Le plantant là, le front au sol, Je cours au salon et Me laisse tomber dans Mon
fauteuil préférée en lui gueulant dessus : « Viens Me les retirer, imbécile, au lieu de vouloir y user ta langue ! » Agenouillé devant Moi, il Me déchausse
prestement ...
...et, comme il est très attentif à ce qui M’arrive, il se rend compte que, sous Mes bas, Mes Pieds sont gelés.
Alors, les rassemblant tendrement entre ses deux grandes mains chaudes qu’il referme à peine sur eux, il se penche dessus et se met à les tiédir de son haleine, tout en Me les pétrissant avec une infinie tendresse. En temps ordinaire, ce genre d’attention et d’hommage soumis Me plaît énormément. J’en raffole. Souvent même, cette servitude affichée me fait mouiller. Mais ce soir, Je ne supporte rien, tout m’agace. Et il faut que quelqu’un paie pour ces contrariétés-là !
Quelqu’un ? Ce ne peut être que Mon esclave et Je sais qu’il a bien deviné ce qui plane sur sa tête, le malheureux. Ce n’est pas que Je le batte souvent, car ce n’est pas trop « Mon truc », comme on dit en France. Bien sûr, il reçoit de temps en temps des beignes et des coups de pied, parfois même des coups de Ma cravache, si elle Me tombe sous la Main au moment voulu, mais c’est seulement quand Je suis vraiment fâchée contre lui, parce qu’il M’a mal servie, qu’il a commis une maladresse, mal exécuté un de Mes Ordres… ou bien parce qu’il n’a réussi qu’à me donner un tout petit Orgasme de rien du tout par ses caresses digitales et buccales ou le maniement d’un gode ou d’un sex toy…
Mais là, ce n’est pas contre lui que Je suis en boule. Je suis furieuse contre le monde entier. Et même contre Moi. Seulement, comme Je n’ai que lui sous la Main, c’est lui qui va payer, il le faut bien pour que Je retrouve ce Calme et cette Sérénité qui Me sont habituels.
Et, tout à coup, Je sais ce que Je veux, ce dont J’ai Envie, ce qui va Me faire infiniment Plaisir et M’amener à oublier toutes Mes déconvenues de la journée.
Je lui ordonne sèchement : « Allons vite dans Ma chambre ! » Je vois, à l’œil réjoui de Mon esclave, qu’il interprète mal Mon Ordre. C’est comme si Je l’entendais se dire :« Maîtresse est à cran. Elle veut Se détendre en jouissant sous mes doigts, mes lèvres et ma langue, car la Volupté l’apaise et La fait dormir. Eh bien, je vais tout faire pour qu’Elle jouisse comme il faut, et après tout ira mieux pour Elle et tout rentrera dans l’ordre… »
C’est pourquoi il a l’air si surpris lorsque Je lui commande de se mettre à genoux, les reins contre Mon lit, ses mollets sous le sommier, et de renverser son buste en arrière, le dos sur le matelas, les épaules bien à plat, les bras écartés du corps.
Cependant, Me connaissant, il se trompe encore sur Mes Intentions. De nouveau, J’entends fonctionner les pauvres rouages de sa petite tête de mâle rudimentaire : « Maîtresse veut m’imposer un de ces face sittings qu’Elle adore m’infliger. Eh bien, je vais subir cela, pour l’amour d’Elle, tout en La caressant de mon mieux, afin qu’Elle soit contente et oublie les ennuis qu’Elle a manifestement endurés aujourd’hui, même si je ne sais pas de quoi il s’agit… » .
C’est touchant parfois, un esclave pareil qui se fait tant de bile pour sa Maîtresse et qui cherche à La contenter avec ses pauvres ressources de soumis. Mais il n’y est encore pas ! C’est vrai que J’aime souvent Me poser sur son visage, avec Mes Fesses nues, ou en repoussant simplement sur le côté Ma petite culotte mini, mini, et accueillir sa langue… en Me tortillant un peu pour la recevoir là où Je la veux, et ressentir des Plaisirs subtils tout en le sentant, lui, suffoquer passivement sous le poids de Mes Chairs.
Mais ce soir, Je n’ai aucune Envie de ses caresses. Au contraire, Je crois qu’elles Me porteraient sur les Nerfs. Non, ce que Je veux, c’est tout bonnement qu’il étouffe pour de bon sous Mes Fesses, sans Me caresser, qu’il devienne un coussin ordinaire pour Mon beau Derrière et que, privé d’air et de mouvement, il en bave un bon coup et paie par sa souffrance… pour les autres, pour tout ce qui M’a contrariée.
Lui tournant royalement le Dos, et M’appuyant un moment à son torse, Je M’assieds tout simplement sur son vilain museau, sans remonter du tout Ma longue robe de soie noire, dont Je sais que le tissu souple va lui coller aux narines à chaque fois qu’il tentera d’inspirer, et Me réjouissant déjà de ce lent supplice qu’il devra endurer sans se plaindre, pour le simple bonheur et la chance de Me ramener à de meilleurs Sentiments…
Pour passer le temps encore plus agréablement, J’appelle Ma meilleure Amie de Paris et Me mets à discuter avec Elle, de tout et de rien, de l’amour, des mecs et de ce qu’on peut en faire, de la soirée cinéma que Nous avons prévue pour demain soir…
Mais les Dominatrices, même aguerries comme Moi, sont parfois dépassées Elles-Mêmes par Leurs propres Désirs. Tout en téléphonant, J’entends sous moi la pénible respiration de Mon esclave qui ne fait rien pour se dérober, qui ne tente pas de tourner la tête ni de Me soulever, qui se contente d’agiter faiblement ses mains et de souffrir en silence ou presque, n’émettant que de faibles plaintes qui me parviennent très étouffées. Il n’existe plus que comme un objet qui est à Moi et dont Je Me sers à Ma Convenance…
Je n’avais aucune idée de Jouissance en tête quand Je Me suis assise. Cependant, l’haleine oppressée de Mon vieil ilote caresse et excite Mon Intimité à travers le tissu. Je ne suis pas assise depuis cinq minutes sur ce front, ce nez, ces joues, cette bouche que, malgré Moi, Je sens Mon Sexe s’humidifier de façon prometteuse et un très inattendu Désir de jouir surgir en Moi, M’échauffant tout le Corps, faisant s’ériger la pointe de Mes Seins et Me donnant la chair de poule. La Voix déjà changée, Je dis à Ma correspondante : « Excuse-Moi, Ma chérie, mais il faut que Je te quitte, J’ai une urgence !… »
L’urgence, c’est Mon Plaisir, évidemment, et Elle doit bien le deviner car Elle Me répond : « Amuse-Toi bien, ma Chérie !… ». Je La remercie et m’installe confortablement sur la figure de Mon esclave car lui, là-dessous, plongé, disparu dans le sous-espace total, il est là pour Me le donner, Mon Plaisir, puisque Je le veux.
Alors, Je Me soulève un bref instant, juste le temps de trousser jusqu’à Mes Hanches Ma longue robe
noire. L’esclave, habitué à Mes Exigences et à Mes Caprices, sait maintenant ce que Je désire. Levant une main, il écarte tout de suite Mon mignon petit slip, noir lui aussi. Je Me rassieds vite,
vite. Et aussitôt, ce vieil homme que je viens de martyriser se met à Me lécher et à Me sucer avec un art diabolique, une connaissance intuitive (et expérimentale !) de ce qui Me plaît le
plus, de ce qui Me fait le plus d’effet…
Entraîné (et amoureux) comme il l’est, il me caresse à la perfection. Et Moi, comme J’ai déjà les Nerfs à fleur de Peau et que Je Me sens chaude comme jamais, Je jouis assez vite, très longtemps
et très fort, Me trémoussant et poussant des geignements qui sont comme des pleurs de Joie Féminine.
Après ce Spasme reconstituant, Me voici enfin calmée, réconfortée de tous Mes petits malheurs, en paix avec Moi-Même et le reste du monde. Par pure
Jouissance de goûter encore un moment Mon délicieux et libre Sadisme Féminin, juste pour jouir encore de ses derniers râles de suffocation, Je reste encore un long moment tranquillement
appesantie sur le visage avili, Me faisant plus lourde encore en levant Mes Pieds, sans que Mon esclave réagisse davantage.
L’idée (purement gratuite) qu’il pourrait mourir, là, sous Moi, par Moi, pour Moi, écrasé par Mon Corps voluptueux, juste pour Mon Amusement, Me donne un long frisson d’Aise et de
Bonheur.
Quand enfin, Je daigne Me lever, quel visage il a, le pauvre ! Tout rouge, tout fripé, les yeux larmoyants, l’air réjoui et ahuri à la fois.
J’éclate de rire et lui dis, entre deux éclats : « Va vite faire couler Mon bain, Mon bon vieux chien-slavio, et reviens tout de suite Me
déshabiller ! » Il Me portera nue dans ses bras fatigués, jusque dans la baignoire...
Désolée.... ce
n'est pas Maîtresse Lanlan, ce n'est que MOI !!!!
...mais déjà Je M’imagine alanguie dans l’eau tiède et mousseuse, Me laissant aller en toute Quiétude, les Yeux fermés, les Mains derrière Ma Nuque ou Me caressant tendrement les Seins, Mes
Cheveux épandus sur Mes Épaules de bel ivoire, Mes Cuisses nonchalamment écartées, M’offrant toute, très belle, très pleine de Moi-Même et très attirante, Me livrant sans scrupule aux soins
experts et doux du vieillard qui M’appartient et sur qui J’ai tous les Droits. Pour le rendre dingue, je sortirai un Pied et le poserai, altier, sur le bord de la baignoire, et il le lèchera
longuement en poussant de petits gémissements de plaisir.....
Je ne regrette qu’une chose. Comme à un moment J’ai eu soif, Je Me suis dit que, la prochaine fois, Je lui ferai tenir un verre d’eau dans l’une de ses mains. Ou pourquoi pas, dans les
deux ?… Avec un peu d’invention et de fantaisie, une Maîtresse qui règne sur un homme peut toujours améliorer Son propre Confort.
Ah, c’est tout de même rudement utile un esclave bien dressé !…
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.... et son antidote, ces quelques photos déja anciennes..... nostalgie.....
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... contentez-vous de ces su-sucres pour passer un bon dimanche, agenouillés devant votre écran, la main droite (ou gauche) bien occupée..... Je n'en ferai pas plus pour vous aujourd'hui....
.... j'ai des articles en attente qui vous raviraient..... mais:
Tout travail mérite salaire,
rémunération de la force de travail selon la vulgate marxiste que je partage...
Je ne suis pas assez payée... compte tenu de mes compétences...
Mon salaire, ce sont vos commentaires, je m'en nourris, je suis une dévoreuse....
Alors, encore un effort si vous voulez de nouvelles publications!
Comme je suis bonne, voici en guise de consolation quelques photos du week-end dernier....pas triste...
..... comme vous le constaterez, le climat relationnel était bon entre nous.... nous étions en phase, comme en harmonie.... ce fut un bon
week-end...
.... et même pendant la courte visite de Maîtresse A, l'ambiance est restée "bon enfant"....
Elle a voulu inaugurer Ses nouvelles bottes.... léchage préliminaire et test des talons..... ouh you youille!!!
Il a eu très mal quand nous sommes montés à quatre Pieds sur son dos..... juste une trentaine de (longues) secondes, le temps de faire trois photos! Nous nous
sommes bien amusées, et le pauvre chien n'a pas même pu crier, avec deux paires de bas dans la bouche!
.... afin d'éclairer ce glauque lundi matin....
.... voila, juste un avant goût pour vous faire saliver.... si vous êtes gentils et obéissants, vous en verrez plus, nous avons fait 350 nouvelles
photos ce week end!
.... et pour une quarantaine d'heures délicieuses, je retrouve enfin ma carpette-mâle!
.... il est souhaitable pour lui qu'il soit en forme, le programme est chargé, nous avons des comptes à régler!
Pour avoir soit disant oublié de venir faire le ménage chez moi cette semaine, il y aura une bonne punition: pour l'instant, c'est en gestation. J'ai envie de lui supprimer pendant plusieurs
heures l'usage de ses mains, menottées dans le dos, contraint à l'agenouillement, il sera dès lors très vulnérable à mes toquades de Domina, j'attends vos suggestions réalistes....
.... mais il y aura des récompenses s'il les mérite! Pour cela, il endurera le maximum!
.... j'attends vos commentaires dictés par la jalousie, vous ètes incorrigibles......
Voici la suite tant attendue de cette passionnante histoire.....
FÉTICHISME ET SOUMISSION, XVIII
Nous voici donc, ma Princesse et moi, dans l’intimité de ma chambre. Je suis à ma place naturelle, c’est-à-dire agenouillé devant les divins pieds de ma Domina, auxquels je viens de faire l’amour avec ma bouche pendant une heure. Elle a vraiment apprécié ce moment : j’ai pu l’entendre à ses soupirs de bien-être et à ses cris de joie. J’aimerais continuer encore et encore de lécher et d’adorer ses merveilleux pieds, car je viens sincèrement de passer le plus beau moment de ma vie…
Au bout d’une heure, ma Princesse se penche sur moi et me tire par les cheveux. Je cesse donc de lui vénérer les pieds, je relève la tête pour regarder ma Maîtresse qui me demande : « Pourquoi viens-tu de me faire cela ?… Je vais être honnête avec toi, jamais un garçon ne m’a adorée comme tu viens de le faire. À chaque fois que je sortais avec un garçon, il ne pensait qu’à une seule chose, tu imagines bien laquelle : me faire l’amour et tirer de moi son plaisir. Je n’ai jamais connu de moment tendre où un garçon me prouvait son amour par ses baisers ou ses caresses. Au contraire, j’ai souvent entendu de la part de mes partenaires des reproches lorsque nous échangions des câlins. Bien entendu, cela a accentué mes complexes. Jamais un garçon ne m’a adoré les seins, ni aucune autre partie de mon corps, comme tu viens de le faire pour mes pieds auxquels tu viens de rendre hommage pendant un si long moment ! Je n’en reviens pas de ce que tu viens de me faire !… Je n’ai jamais ressenti de telle sensation, j’ai adoré !!! ».
Je réponds : « Ma Princesse, je ne suis pas comme les autres garçons. Quand je dis que je n’aime que toi, c’est la vérité. C’est vrai, je le
reconnais, je bandais en massant les pieds de Lucie. Elle a de jolis pieds mais je préfère de très loin les tiens. Si je bandais comme cela, c’est parce que tu étais là, juste à côté.
J’admirais tes pieds magnifiques, je savais que tu me surveillais d’un œil autoritaire et c’est cela qui me faisait bander. Cela n’avait strictement rien à voir avec ta cousine. Ma Princesse,
comme je te l’ai si souvent dit, je vais te le redire une nouvelle fois : je n’aime que toi. Je suis sincèrement fou-amoureux de toi. Mon cœur, mon être et mon âme t’appartiennent. Je suis
sincèrement heureux d’être ton serviteur. Je ne sais pas ce que je peux faire pour te prouver mon amour, pour que tu arrêtes d’en douter. Je sais que tu as tellement été déçue dans le passé
que maintenant tu as du mal à te sentir en confiance. Comme je te l’ai déjà dit, je suis prêt à me faire tatouer ton prénom sur le corps pour te prouver mon appartenance. Je suis prêt à tout pour
te prouver mon amour, je me fiche complètement des autres filles, je n’aime que toi, je ne vois que toi. Tu m’as demandé… ou plutôt ordonné… de masser les pieds de Lucie, je l’ai fait, mais il y
a une chose que je ne ferai jamais à une autre que toi : c’est ce que je viens de te faire là. Comme je te l’ai dit, je t’aime à un point que tu n’imagines même pas, j’aime absolument
tout chez toi. Par cette adoration de tes magnifiques pieds, je voulais te prouver tout mon amour. Tu as appelé cela d’une si jolie manière ! Oui, ma Princesse, j’ai fait l’amour à tes
jolis pieds avec ma bouche. En me laissant faire, tu m’as offert le plus beau moment de ma vie, c’était magique et je te remercie ! »
À ce moment, je suis vraiment très ému, je parle d’une voix hésitante, les larmes coulent le long de mes joues. Ma Princesse me regarde en souriant, elle aussi est très émue, je l’ai rarement vue
comme cela. Elle aussi a des larmes dans les yeux et je pense qu’elle est encore toute retournée par les sensations que je viens de lui procurer. Je continue donc ma déclaration
d’amour :
« Ma Princesse, je n’aime que toi et je ne bande que pour toi. Tu es et tu seras toujours la seule et unique femme de ma vie. Je préfère faire l’amour à tes merveilleux pieds avec ma bouche, plutôt que de faire l’amour à une autre femme. » Après m’avoir écouté attentivement, ma Domina me répond : « Tu m’as vraiment procuré des sensations inédites que j’adore. Je ne t’en veux plus, mais ne me dis pas que si une fille magnifique t’allumait et voulait te faire l’amour, tu refuserais, j’ai du mal à y croire ! »
Aussitôt, j’affirme à ma Maîtresse : « Et pourtant, je t’assure que c’est la vérité. » Elle me rétorque alors : « Et si tu avais la
possibilité de faire l’amour avec Lara Fabian, ne me dis pas que tu refuserais !… » Si ma Princesse me dit cela, c’est qu’elle a remarqué qu’il y a plusieurs posters de Lara Fabian dans
ma chambre.
Il est vrai que dans mon adolescence, je fantasmais énormément sur cette star, et surtout sur ses jolis pieds. En effet, j’avais réussi à trouver dans un magazine un poster où elle
apparaissait les pieds nus. Je vous lasse imaginer à quel point je fantasmais…
Je réponds à ma Maîtresse : « Lara Fabian a longtemps été pour un moi, un fantasme, je le reconnais, mais cela était bien avant que je te rencontre. Aujourd’hui, si elle venait vers moi, je la repousserais, il n y’a plus que toi qui comptes ! » Ma Princesse reprend : « Donc, tu serais prêt à rester chaste toute ta vie pour ne faire l’amour qu’à mes jolies pieds ? » Je confirme qu’elle ne se trompe pas. Elle continue : « Même si je sais que tu es bien différent des autres garçons, je reste sceptique quant à ta capacité à repousser les avances d’une belle femme. Je sais bien qu’un puceau a du mal à résister à une jolie dame ! » Je ne réponds pas, mais je remarque que ma Princesse vient une fois de plus d’affirmer sa certitude que je suis encore puceau.
Nous sommes encore tous les deux sur un nuage, nous venons de passer un moment magique. Ma Domina me dit : « Au fait, je t’autorise à aller te nettoyer dans la salle de bains. Je ne t’en veux pas d’avoir éjaculé sans mon accord, j’imagine bien que ce moment a dû être trop excitant pour toi… » Elle a raison, j’ai encore une fois le boxer plein de ma semence. Comment l'a t’elle deviné ? Elle a peut - être ressenti le frisson qui a parcouru mon corps au moment de ma jouissance.
Je lui fais mes excuses et je la remercie pour sa bonté. Ma Princesse me fait remarquer : « Je suis cool avec toi aujourd’hui car chez moi tu as été parfait et tu ne m’as pas déçue. Mais n’en abuse pas, n’oublie jamais que j’attends de toi une obéissance absolue !!! Va te nettoyer et apporte-moi mon sac de cours. Il faut que l’on reprenne les révisions car les examens approchent et si je les loupe, mes parents vont me tuer ! »
Je vais donc chercher le cartable de ma Princesse. Je le lui apporte, mais lorsque je vais m’asseoir à ses côtés sur le lit, elle me repousse violemment de ses
deux mains, en me disant : « Qu'est-ce que tu voulais faire, là ? ». Je lui réponds : « J’allais m’asseoir à côté de toi pour te faire réviser. » Ma Domina me
crie dessus : « Tu te crois où !!! Ta place est à mes jolis pieds !!! Allez, vite, aux
pieds !!! »
Comme je vous l’ai déjà dit, j’adore ce type de phrase qui me rend dingue. Je m’exécute tout de suite. Ma Princesse me montre les cours que je dois lui lire. Je pose le cahier sur le sol. Elle
m’ordonne : « Tu vas continuer de me masser les pieds tout en lisant les leçons. » J’obéis. Je suis de nouveau à genoux devant ma Domina. Je masse avec de la crème hydratante ses
divins pieds, tout en lui faisant la lecture. Cela dure deux bonnes heures, mais je suis tellement heureux d’être aux pieds de ma Princesse !...
Ensuite, elle veut que je la raccompagne, car sa mère lui a demandé de rentrer manger ce soir, sans doute pour qu’elles puissent encore se parler toutes les deux. Moi aussi, je me couche tôt, car la journée a été riche en émotions…
Le samedi suivant, ma Princesse décide d’aller rendre visite à sa tante Marie. Depuis la journée de mercredi, elle n’a pas arrêté de m’en parler… La dernière fois qu’elle a vu sa parente, elle devait avoir aux alentours de dix ans. Sa tante habite à une vingtaine de kilomètres de chez nous, dans un tout petit village. Nous avons trouvé son adresse sur Internet. Ma Princesse est vraiment décidée à lui rendre visite. J’avoue que moi aussi j’ai envie de rencontrer cette dame car, pour la première fois, je vais peut -être rencontrer une Dominatrice expérimentée. Je sens une certaine excitation m’envahir. Bien entendu, ma Maîtresse fait cela en cachette de sa maman.
Samedi, à 14 heures, nous nous mettons donc en route. En moins d’une demi-heure, nous sommes arrivés. Nous avons facilement trouvé la maison, c’est quasiment la plus grande et la plus belle demeure du village. Ma Domina ressent une petite appréhension, elle ne sait pas comment va réagir sa tante Marie. Nous restons un moment dans la voiture, garée en face de la maison. Puis ma Princesse décide d’y aller. Quand elle sonne à la porte, je me tiens juste derrière elle. Nous sommes tous les deux stressés. La porte s’ouvre sur la tante Marie qui reconnaît immédiatement sa nièce et l’invite à entrer.
Je découvre une femme magnifique, la maman de ma Domina n’a pas menti, sa beauté est sublime. Mon regard est irrésistiblement attiré par ses pieds que je trouve eux aussi sublimes. La tante Marie porte de jolies sandales, munies de lanières dorées dans lesquelles sont incorporés des brillants. Je peux admirer ses superbes orteils vernis d’un rouge vif. Elle porte un tailleur qui permet d’admirer ses longues jambes bronzées et sublimes. Elle porte un chemisier blanc qui laisse entrevoir une poitrine généreuse. Elle est superbement maquillée, elle a de jolis cheveux châtains. Elle ressemble beaucoup à la mère de ma Domina. On voit que c’est une femme qui prend énormément soin d’elle-même. C’est vraiment une très belle créature.
Ma Princesse me présente à sa tante qui lui demande si je suis son petit ami. Ma Domina lui répond : « Non, c’est mon meilleur ami mais il est bien plus que cela, c’est mon serviteur… » Avec cette phrase de ma Princesse, le ton est donné…
Sa tante vit vraiment dans une propriété magnifique, elle nous invite à entrer dans la salle à manger. Elle possède de superbes meubles, de très beaux
lustres. Nous nous installons sur le canapé, tandis que Marie s’assied dans un fauteuil, en face de nous et croise ses jambes sublimes. Je dois résister à l’envie irrésistible de fixer
mon regard sur elles pour les d’admirer, ainsi que sur ses merveilleux pieds. Ses jambes étant croisées, sa jupe moulante a tendance à remonter, ce qui me permet d’entrevoir ses magnifiques
cuisses…
Ma Princesse prend la parole, elle explique qu’elle est étonnée que sa tante l'ait reconnue immédiatement après tant d’années de séparation. Marie lui répond : « Tu es encore
plus belle qu’avant. J’ai immédiatement reconnu ton visage et tes magnifiques cheveux. Tu as de l’or sur la tête, et ce que je te dis est sincère. Tu es devenue une jeune fille vraiment
magnifique. Je suis très très heureuse de te revoir... Mais pourquoi aujourd’hui ?… Explique-moi s’il te plaît ».
Ma Princesse lui raconte alors tout : notre rencontre, ma soumission et surtout cette fameuse après-midi de mercredi où sa maman lui a donné les raisons pour lesquelles ses deux soeurs ne la voient plus. Ma Princesse ajoute : « Ma mère m’a toujours dit qu’elle ne te voit plus à cause de problèmes familiaux graves. De la manière dont elle m’a expliqué cela, j’ai cru que tu avais fait des choses horribles. J’étais jeune et je n’ai jamais cherché à comprendre, je le regrette vraiment aujourd’hui…» Sa tante lui répond : « Je t’ai toujours beaucoup aimée, j’ai été très triste de ne plus te voir. Mais j’ai parfaitement compris les raisons qui ont poussé mes soeurs à agir comme cela, et je les respecte !!! ». Après un silence pendant lequel elle regarde tendrement ssa nièce elle reprend : « Mais dis-moi tu n’es pas choquée par ce que ta maman t’a expliqué sur mon mode de vie ? »
Soudain, un jeune homme qui doit avoir notre âge, portant un tablier, entre timidement dans la pièce et dit : « Excusez-moi de vous déranger, Madame, j’ai terminé l’étage. Que voulez-vous que je fasse maintenant, Madame ? » Marie lui répond : « Nettoie donc la cuisine à fond, je passerai te voir plus tard ! » Alors que le jeune homme s’apprête à repartir, elle le rappelle et lui demande d’un ton sévère : « Tu n’aurais pas oublié quelque chose ?… »
Le jeune homme regarde Marie avec un étonnement qui peut se lire sur son visage. Je pense que l’on peut même voir de la peur dans ses yeux. Marie s’énerve tout à coup et crie : « Tu n’as vraiment aucune éducation, tu n’as même pas salué mes invités en entrant dans la pièce. Tu sais pourtant que je suis très stricte sur la politesse. Je veux que tu présentes tes excuses à mes deux invités !!! » Ma Princesse et moi sommes littéralement scotchés sur notre canapé, nous sommes gênée pour ce pauvre garçon. Nous avons la même réaction, nous disons à Marie que ce n’est pas grave, mais elle ne lâche pas le jeune garçon. Il lui obéit et, se tournant vers nous, murmure d’une voix timide : « Je vous demande pardon pour mon impolitesse. » Il présente ensuite ses excuses à Marie. Elle le prévient : « On en reparlera tout à l’heure ! En attendant, va dans la cuisine et mets-toi au travail. Je ne veux plus te voir… » Elle se montre d’une telle dureté avec ce jeune garçon que moi-même je commence à prendre peur car j’ai la confirmation que Marie est bel et bien une femme dominatrice d’une dureté impressionnante. Ma Princesse, elle aussi, semble impressionnée…
La tante nous dit : « Excusez-moi pour cette interruption. C’est mon domestique. C’est un jeune de votre âge mais il manque cruellement d’éducation,
et j’ai horreur de cela… » Ma Princesse lui dit alors : « Tu as une maison magnifique, une immense demeure, ce n’est pas étonnant que tu aies besoin d’un domestique. Mais
il est si rare de voir un homme faire le ménage !!! » Sa tante réplique : « Oui, ma chérie , tu as raison, j’ai beaucoup de mal à trouver un bon personnel masculin pour me
servir. Il y a encore un an et demi, c’est mon mari qui faisait tout pour moi. Il était à ma disposition et entretenait la maison, le soir et le week-end, mais malheureusement il vieillit et ce
rythme n’est plus tenable pour lui. Or, je tiens à lui et ne veux pas qu’il ait trop de soucis de santé. J’ai donc décidé d’engager un domestique à plein temps qui est chargé de s’occuper de
l’entretien complet de la maison et de toutes les autres tâches ménagères. Je le fais souvent travailler jusqu’à dix heures par jour, parfois plus… Mais si le boulot est bien fait, je sais me
montrer généreuse. En revanche, je refuse catégoriquement que ce soit une femme qui vienne faire le ménage et les autres travaux chez moi ! Comme tu le sais désormais, j’ai toujours eu
la conviction que nous autres femmes sommes supérieures aux hommes et que ceux-ci ne sont là que pour nous servir.
Il est donc hors de question que je me fasse servir par une femme, cela me rendrait malade. Je comprends que certaines femmes soient obligées de réaliser de tels travaux si indignes d’elles, et
qu’elles doivent gagner ainsi leur vie, mais pas de ça chez moi ! (Un silence.) Tu sais, les hommes qui cherchent un emploi de domestique au service d’une femme ne sont pas nombreux. Mon
premier serviteur, que j’avais pourtant eu bien du mal à trouver, et qui était bien courageux et infatigable, n’est resté que huit mois à mon service, avant de trouver un autre travail. La
plupart des candidats n’ont tenu qu’une semaine avant d’abandonner, tellement je suis exigeante. Celui-ci, c’est mon deuxième vrai domestique. Je dois reconnaître qu’il ne s’en sort pas trop mal,
mais je dois encore le dresser… »
Ma Princesse reprend la parole, s’adressant à sa tante : « Pour en revenir à ta question, je ne suis absolument pas choquée par ton mode de vie. Au
contraire, tu es un modèle pour moi. Tu sais, j’ai eu beaucoup d’expériences douloureuses avec les garçons. J’ai été amoureuse à plusieurs reprises, j’ai beaucoup donné aux garçons, mais
malheureusement ils en ont souvent abusé. Aujourd’hui, tout est différent grâce à celui-ci. » Ma Princesse me désigne d’un mouvement du pouce. Sa tante lui fait observer : « Moi,
dès l’adolescence, lorsque j’étais encore plus jeune que vous, j’ai eu la chance d’avoir tout de suite beaucoup de succès auprès des garçons, et je me suis rapidement rendu compte que je prenais
du plaisir à les dominer tous. Lorsque mes prétendants tournaient autour de moi, j’aimais de plus en plus les voir se soumettre à ma volonté, les voir m’obéir. J’adorais de plus en plus les voir
s’agenouiller devant moi. J’adorais les voir prendre soin de moi, de mes jolis pieds. J’ai rapidement eu la conviction que les hommes étaient là pour nous servir, nous autres filles, pour
nous obéir et accomplir nos quatre volontés et nos innombrables caprices. C’est pourquoi, depuis lors, j’ai toujours organisé ma vie selon ce principe. »
Nous écoutons Marie très attentivement. Ma Princesse lui dit : « Comme toi, j’aurais aimé comprendre cela à l’âge de seize ans, cela m’aurait évité d’avoir tous ces problèmes avec les
garçons. Enfin, je ne peux pas revenir en arrière, je suis si heureuse d’avoir compris cela aujourd’hui. Malheureusement, je garde toujours un tas de complexes. » Marie paraît très étonnée,
elle dit : « Comment une si jolie jeune fille peut-elle avoir des complexes ? Tu es magnifique, ma chérie ! Comme je te l’ai dit tout à l’heure, tu as de superbes cheveux, de
très jolis yeux. Tu es grande, mince. J’ai remarqué que tu as de très belles mains, de très jolis ongles. Enfin, tu as de très jolis pieds et de beaux orteils vernis. Tu es une
jeune fille magnifique, tu n’as absolument aucune raison d’avoir des complexes ! » Ma Princesse acquiesce en me montrant d’un mouvement du menton : « Oui, c’est
ce qu’il me répète tous les jours. Il me couvre régulièrement de compliments sur mon physique. Je vois bien qu’il est en adoration devant moi. Tout cela me fait du bien mais j’ai tellement
accumulé de complexes depuis plusieurs années que j’ai du mal à prendre le dessus. » Sa tante lui dit alors : « Je vois que ce jeune garçon semble te faire beaucoup de bien. Mais
tu me l’as présenté comme ton serviteur. Pourrais-tu m’en dire un peu plus ? » Sa nièce satisfait aussitôt à sa curiosité : « Oui, je l’ai rencontré par hasard, il y a
plusieurs mois par l’intermédiaire d’un ami commun. Ce garçon est différent de tous ceux que j’ai rencontrés jusqu’à présent. Il est tellement soumis, il est tellement aux petits soins pour moi,
qu’il me dorlote et fait toujours passer mon plaisir bien avant le sien. Et, cerise sur le gâteau, il adore prendre soin de mes jolis pieds, il en est fou ! Et moi, j’adore qu’il s’en
occupe, car je trouve ça agréable et merveilleux ! »
Je suis très intimidé et très gêné par la conversation. Tante Marie dit à sa jolie nièce : « Oh, ma chérie, comme je te comprends ! Les soins qu’un homme donne aux pieds d’une
femme, lorsque c’est bien fait, c’est extraordinaire ! Mon petit mari est très doué aussi pour cette activité. Je ne sais pas si tu le sais, ma chérie, mais ton ami est un véritable
fétichiste des pieds… »
Lorsque j’entends ces quelques mots, je suis sidéré. Comment Marie a-t-elle pu deviner en moi ce penchant, alors qu’elle ne me connaît que depuis une demi-heure ? Comment ma Princesse va-t-elle réagir à cette révélation ?
Paillasson ch’ti, esclave virtuel favori de Maîtresse MAEVA
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